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forum sidasante

L'AZT : toxicité, fonctionnement, ...


Terry
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Cela dit, je ne vois pas en quoi le fait d'avoir des verrues et des condylomes a à voir quoi que ce soit avec l'immunité. Et je parle ici en me plaçant du point de vue officiel.

Ce n'est qu'un problème local.

Ensuite, il y a le problème des cd4. Mais si ce problème n'est pas accompagné de problèmes de santé qu'on peut relier (en se plaçant du point de vue officiel) à une immunité déficiente, on ne peut pas dire qu'il ait pour le moment quelque symptôme clinique que ce soit montrant une faible immunité. Ca reste complètement virtuel pour le moment (uniquement les cd4 qui sont bas).

Apparemment, les verrues sont liées à une sècheresse de la peau. Donc, il est possible que les produits qu'il prenait entrainaient une sècheresse des muqueuses au niveau de l'anus (si c'est là qu'il a ce problème) et que du coup, soient apparues les verrues et condylomes.

S'il prenait de l'argent colloïdal, à mon avis, ce n'est pas très surprenant. C'est considéré comme un antibiotique très très puissant. Et tout ce qui a une action antibiotique sur les bactéries est forcément un désagrégateur de cellules. Donc, a partir de là, je vois bien pourquoi ses cd4 baissent. C'est l'action antibiotique de l'argent colloïdal qui désagrège ces derniers et en réduit donc le nombre. Et par ailleurs, c'est probablement ça, entre autres, qui doit provoquer l'apparition des verrues. Remarque, peut-être que l'agent colloïdal n'est pas en cause et que c'est un autre produit qui a engendré le problème. Mais puisqu'il avait commencé à prendre ce produit depuis 2 mois, on peut penser que c'est bien lui à l'origine du problème.

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au passage Aixur,

l'argent ionique colloïdal n'est pas un antibiotique très très puissant (lol), bien qu'il inhibe la prolifération des levures et de certaines bactéries, il ne tue pas les virus et ne tue pas non plus les cellules, d'ailleurs qui a dit et prouvé que pour guérir fallait tuer un virus ???

On retrouve de l'argent au naturel dans les fruits et les légumes également dans les viandes mais moins depuis l'agriculture intensive, les terres s'appauvrissent.

Olalema

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  • 8 months later...

Wallypat, si je puis me permettre, comment ça va ? Question que je me pose depuis un bon moment déjà, et je ne suis probablement pas la seule, mais ce soir, en parcourant le forum de virusmyth, où il était question d'acide arachidonique etc. et où j'ai failli poster des questions (remises à demain ou à jamais, selon) je me le demandais un peu plus que d'habitude.

Quoi qu'il en soit, j'espère vivement que vous allez bien, toi et ton ami.

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  • 5 years later...

Une nouvelle publication de chercheurs allemands nous explique que "le VIH serait sélectionné par les cellules du système immunitaire pour éliminer la guanosine de leur ADN" (la guanosine est un des quatre "briques" qui constituent l'ADN), ce rendrait le supposé VIH "capable d'éviter au moins partiellement sa découverte" par le système immunitaire".

En effet, le système immunitaire détecterait l'ADN rétroviral (à simple brin) via la guanosine d'une molécule cellulaire, la cGAS : "Si nous enlevons la guanosine de ces structures, la cellule ne peut plus réagir avec un ADN à simple brin." Mais en revanche, "si on ajoute des guanosines, les cellules réagissent plus fortement".

Je relis à tête reposée la dernière brillante idée de nos experts du VIH - du moins la façon qu'ils ont de la traduire en mots. C'est peut-être moi qui ait du mal avec l'anglais ce soir.

Mais non c'est bien ça : "HIV-1 viruses appear to have been selected by the immune system to eliminate guanosines from their DNA."

Le maléfique VIH serait donc capable d'être sélectionné par son ennemi (le système immunitaire) pour le désarmer, en le déshabillant sélectivement des briques essentielles de son ADN. Tout juste s'il ne lui arrache pas le coeur battant à main nue...

(Soupir...)

Vous avez mal à la tête ? Vous en avez assez des histoires alambiquées ? Je vous comprends.

Et pourtant... il y a presque 10 ans, Cheminot décrivait probablement le même phénomène à sa façon, avec une explication... assez différente.

Chacun peut comparer et se faire son idée... s'il en était encore besoin.

Il n'y a aucun complot, leo, et je suis persuadé que pratiquement tout le monde est de bonne foi.
Il y a simplement des erreurs communautaires commises à cause d'a priori que je considère comme dogmatiques :

- tout d'abord, le principe du hasard dans l'évolution. La chimie nous apprend que les contraines stériques et électroniques imposent la régiosélectivité des réactions. Et les réactions chimiques du vivant n'échappent pas à cette règle. En particulier, ce ne sera pas n'importe quelle base de l'ADN qui sera par exemple oxydée par les peroxynitrites (résultant de la présence en excès de NO), mais bien spécifiquement la guanosine. De plus, à cause du tassement des bases dans l'ADN-B, il y a proximité des divers plans formés par ces bases, et dans un enchaînement AAGACT, la guanosine aura une réactivité différente que dans un enchaînement CTGGAC (à voir si ces enchaînements sont possibles, je n'ai pas le code sous les yeux et je ne le connaît pas par coeur). En tous cas, la chimie ne connaît pas le hasard, et donc cette notion de mutation rapide ne pouvant exister que dans un organisme dit vivant est à mes yeux théoriquement et expérimentalement inadmissible.

- ensuite, et cela découle de la remarque précédente, la vision strictement exogène de la plupart des maladies, ce qui arrange à vrai dire tout le monde, étant entendu que personne ne veut vraiment se remettre en cause.

On a donc, en toute bonne foi, imposé l'idée que le sida était dû à un virus, et les chercheurs se sont évertués à en chercher un coûte que coûte. Si tu lis en détail les transcriptions de témoignages du Dr Gallo et d'autres médecins australiens, tu comprendras qu'en réalité, c'est à partir de cet a priori inconscient qu'ils ont tout bâti.
Alors, évidemment, l'argent s'en est mêlé, mais bien plus tard, car il se mêle de tout, celui-là.
Mais à partir de ce moment-là, la problématique a été scellée, à cause des implications politiques et économiques que sa remise en cause provoquerait.

L'adresse qui permet de lire ces témoignages, donnés au cours du procès de Chad Parenzee, à Adélaïde, est ici pour Robert Gallo

D'autres experts :

Elizabeth Dax

et tous les autres ici

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Mais pourquoi les cliniciens qui sont souvent des virologues et immunologues experimentés ne remettent pas en cause leur connaissance du vih à la lecture de toutes ces publications, théories (charge virale) et contre-preuves (non isolement du vih) qui surgissent régulièrement depuis 30 ans ??

ont ils peur pour leur place ? peut être ne lisent ils pas les travaux et tiennent pour acquis toutes ces aberrations ??

j'ai du mal à comprendre...

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Les chercheurs ayant verrouillées toutes les portes de sorties à double tour au moment de "l'invention du VIH", puis les ont coulés après dans un béton tellement épais, il n'y a rigoureusement aucun espace scientifique dans lequel ce type de débat puisse être mené et porté jusqu'à son terme. Les conséquences politiques de sa remise en cause seraient absolument inouïes et ébranlerait tellement l'édifice politique, industriel et scientifique que cela n'a aucune chance d'aboutir spontanément.

Il faudrait par exemple que :

- Les enjeux économiques liés au sida disparaissent : ce qui n'est pas encore le cas parce que de nouvelles molécules coûteuses sont encore mis sur le marché aujourd'hui;

- Les enjeux scientifique autour du sida disparaissent - comme les "énigmes" autour du "VIH" demeurent - et vont continuer à demeurer, ce n'est pas demain la veille que cela va s'arrêter comme ils sont sur une très mauvaise piste...;

- Les enjeux sanitaires autour du sida disparaissent : qu'il n'y a itplus de patients, et plus de malades. Mais si le nombre de "séropositifs" parmi les hétérosexuels reculent, c'est le contraire chez les homosexuels où les "séroconversions au test dit VIH" sont au plus élevé (ce qui est normal si les causes n'ont pas été suffisamment bien identifiées, elles ne peuvent pas être correctement prévenues...)

30 ans ont montré que malgré ce que l'on peut considérer ici comme de graves insuffisances, la théorie rétrovirale était jugée suffisamment solide pour être universellement acceptée.

Aussi il faudrait des événements extérieurs, par nature imprévisible, pour inverser à court terme le cours des choses : une révolution technologique qui créée des instruments pour voir les choses autrement; des progrès scientifiques dans un autre domaine médical qui vient remettre en cause, de façon non intentionnelle des éléments clés de la théorie rétrovirale: une politisation qui se sera faite à la base sur un autre sujet et qui déborde sur le sida (par exemple, la contestation de l'AZT qui s'est développée en Afrique du Sud découle d'abord de la lutte contre l'apartheid, et pas de la lutte contre le sida en tant que tel)...

Pas sûr qu'on le voit de notre vivant... :wink:

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