Invité bertheletbruno Posté(e) le 5 février 2007 Partager Posté(e) le 5 février 2007 bonjour à tous! Version finale : sida et "faux-positif", une nouvelle vie "La science ne cherche pas à énoncer des vérités éternelles ou des dogmes immuables ; loin de prétendre que chaque étape est définitive et qu'elle a dit son dernier mot, elle cherche à cerner la vérité par approximations successives." (Bertrand Russell / 1872-1970 / ABC de la relativité) Que ceux à qui l'on a dit qu'ils étaient atteints par le terrible syndrome d'immunodéficience acquise ou qui ont été testé séropositifs reprennent espoir. Sans être un professionnel de la santé, je voudrais vous faire la recommandation suivante, basée sur la logique et le bon sens... On vient de vous annoncer un diagnostic de sérologie positive aux tests ELISA, WESTERN BLOTT avec un grand renfort de PCR : Pas de panique! Avant de tirer toute conclusion hâtive, voici une mesure d'anamnèse simple qu'il est possible d'entreprendre avec votre référent médical, si celui-ci fait encore preuve d'esprit de synthèse, de scepticisme et de pragmatisme intellectuel. Si ce n'est pas le cas, soit-dit en passant, changez de praticien! Aviez-vous une ou plusieurs de ces conditions déclarées avant le test, parmi la liste suivante : (Liste non exhaustive en date du 25 Janvier 2007) Acidose lactique Anémie Anémie à cellule falciforme Angiomatose bacillaire Anticorps contre les antigènes des lymphocytes T Anticorps antimembrane cellulaire Anticorps anti-microsomes Anticorps anti-nucléaires Anticorps anti-lymphocyrtaires Anticorps contre certains sucres Anticorps naturels Arthrite rhumatoïde Anticorps contre le tissu musculaire lisse Anticorps IgM contre l'hépatite A Anticorps contre les cellules pariétales Anticorps anti-collagène Anticorps ant HLA Anticorps anti-mitochondriaux Autres rétrovirus Cancers Candidose pulmonaire, oesophagienne, oro-pharyngée, vaginale Choc émotionnel récent Cholangiopathie sclérosante Cholangite sclérosante secondaire Cirrhose alcoolique Cirrhose biliaire primitive Coccidioïdomycose extra-pulmonaire Crytococcose et hystoplasmose cutanées Cryptococcose pulmonaire Déficience rénale Dermite séborrhéique Encéphalopathie Epstein-Barr, le virus d', Mononucléose infectieuse Eczéma Fièvres Fièvre-Q avec hépatite asociée Folliculite à pityrosporum ovale Gingivite Hémodialyse Hémophilie Hépatite Herpès Histoplasmose hépatique Homosexualité réceptive Hyperbilirubinémie Hypergammaglobulinémie Hyperlipidémie Hyperviscosité sanguine IgM contre les globules blancs Immunisation passive par gammaglobulines ou immunoglobulines Infections des voies respiratoires supérieures (rhume ou grippe) Infections virales diverses en cours Infections ou vaccinations récentes Insuffisance rénale Insuffisance rénale avec hémodialyse Leishmaniose viscérale Lèpre Leuco-encéphalite multifocale progressive Leucoplasie chevelue de la langue Lupus érythomateux systémique Lymphadénopathie généralisée persistante Lymphome Lymphomes malins non hodgkiniens Maladies autoimmunes Maladie de Hodgkin Maladie de Kaposi Malaria Malnutrition, carences multiples Méningite à cryptocoques Méningite lymphocytaire Multiparité Myélome multiple Mycobactéries aviaires Mycoses diverses Myopathies Neuropathie démyélisante, périphériques Neutropénie Pancréatite Péliose hépatique Polynévrite sensitive Pneumocystose pulmonaire Pneumonies bactériennes récidivantes Pneumopathie interstitielle à cytomégalovirus Prise de stupéfiants Prurigo Psoriasis Purpura Rétinite à CMV Ribonucléoprotéines humaines normales Salpingite Sclérose en plaques Septicémies récidivantes à salmonelles Stress Strongyloïdose Syndrome de Guillain-Barré Syndrome de Stevens-Johnson Syphilis Traitement à l'interféron de patients hémodialysés Thrombopénie Toxoplasmose pulmonaire, cérébrale Transfusion sanguine Transplantation d'organes Tuberculose Vaccination anti-grippale Vaccination anti-hépatite B Vaccination anti-tétanique Végétations ano-génitales à papillomavirus Verrues vulgaires ou à molluscum contagiosum Xérose Zona Si oui, il est raisonnable de penser, avant tout "scénario catastrophe", que c'est bel et bien cette condition qui a provoqué un éventuel résultat "faux-positif" et non une prétendue infection à VIH. Prenez en compte la pathologie initiale, traitez-la avant d'envisager tout traitement à base de chimiothérapie (AZT, inhibiteurs de protéase, de transcriptase inverse, etc). C'est un principe de précaution sage qui s'est révélé salvateur dans de multiples cas. Toutes ces affections médicales sont susceptibles d'expliquer le taux élevé d'anticorps que l'on vient de déceler chez vous. N'oubliez pas que les tests que l'on vient de vous faire subir démontrent uniquement un taux élevé d'anticorps. Ils ne démontrent pas l'hypothétique présence d'un virus tel que le prétendu VIH. En outre, les anticorps révélés par ces tests n'ont aucune spécificité qui puisse permettre de faire un diagnostic précis. Enfin, on n'est pas "malade" parce que l'on a des anticorps dans le sang! C'est normal et c'est même, le plus souvent, une fort bonne chose! Si votre praticien de référence n'a pas pris le temps de lire la liste des conditions déclarées par les fabriquants de tests comme source de "faux-positifs", donnez la lui. Premium non nocere NB : anorexie, cachexie, vomissements, fatigue, fièvre, insomnie, maux de tête, nausées, perte de l'ouïe, perte de conscience, pertes de mémoire, problèmes visuels, hématomes, manque de souffle, sécheresse de la bouche, sudation excessive, toux, ulcères buccaux et bien d'autres encore ne sont pas des symptomes exclusifs d'une prétendue infection à VIH. Soyez vigilant ! Informez vous. Un conseil prudent : renforcez votre terrain avant d'envoyer l'armée. Un témoignage éclairé : "Pour moi, lautre vision du sida, cest apprendre à être critique, pour réellement prendre des décisions pour moi, plutôt que de laisser la société, un médecin, une compagnie pharmaceutique me dire ce qui est le mieux pour moi ; de réellement considérer toutes les options et de vivre sur ce que je sens juste en moi, de ne pas prendre des décisions basées sur la peur et la mort, mais plutôt de prendre des décisions basées sur la vie." -- Copyright original : Bruno Berthelet - 2007 Copyright © 2000 Free Software Foundation, inc 59 Temple Place, Suite 330, Boston, MA 02111-1307 USA Chacun est libre de copier et de distribuer des copies conformes de ce document, mais nul n'est autorisé à le modifier. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wallypat Posté(e) le 5 février 2007 Partager Posté(e) le 5 février 2007 (modifié) Enfin, on n'est pas "malade" parce que l'on a des anticorps dans le sang! C'est normal et c'est même, le plus souvent, une fort bonne chose! Je voudrais quand même apporter un bémol de taille à cette affirmation, un peu trop béate, voire même niaise, me semble-t-il. Lorsqu'une personne souffre d'hypergammaglobulémie (soit un excès d'anticorps) à ce point élevé que le test appelé par erreur "VIH" se met à virer au rouge, ce n'est certainement pas un signe à prendre à la légère. Et ce signe devient certainement inquiétant dès lors que cette hypergammaglobulémie, et partant, la séropositivité, perdurent. Car une personne réellement en bonne santé ne développe pas un niveau d'anticorps aussi élevé (= risque de test "VIH" positif) pendant aussi longtemps. L'hypergammaglobulémie - du moins durable dans le temps - a depuis toujours été considérée par la médecine comme l'indice d'une propension à être ultérieurement malade, car elle indique par définition que quelque chose ne va pas dans l'organisme en question. Le "quelque chose" en question est toutefois un peu moins imprécis avec la séropositivité durable, laquelle n'est qu'une application particulière de cette notion médicale d'hypergammaglobulémie durable. La séropositivité, du moins dans les groupes à risque de sida d'Europe, d'Amérique du Nord et d'Australie, représente justement dans ces groupes une hypergammaglobulémie durable. Ceci - et d'autres arguments (comme ceux développés ce post-ci et celui-là, lesquels ont pour net avantage de ne pas se baser sur des études épidémiologiques [contrairement à bon nombre d'arguments invoqués de part et d'autre] et évitent ainsi les interprétations partisanes en fonction de ses idées préconçues sur le sujet) - expliquent pourquoi dans ces groupes à risques-là la séropositivité peut être l'indice d'une propension à développer durablement des maladies particulières. Mais en dehors de ces groupes à risque très spécifiques que sont les toxicomanes, les gay consommateurs de drogues récérationnelles et les hémophiles (groupes auxquels en définitive la définition "sida" aurait dû rester confinée depuis toujours, et c'est l'extension de plus en plus large des notions de séropositivité et de sida qui font dire à certains que la séropositivité ne serait en aucune cas l'indice d'une propension à développer ultérieurement des maladies particulières), et comme l'ont démontré d'autres sur ce forum, il n'a jamais été prouvé que la séropositivité puisse être l'indice d'une propension future à développer des maladies particulières, je suis alors d'accord avec le passage cité ci-dessus. Modifié le 5 février 2007 par wallypat Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité bertheletbruno Posté(e) le 5 février 2007 Partager Posté(e) le 5 février 2007 Je voudrais quand même apporter un bémol de taille à cette affirmation, un peu trop béate, voire même niaise, me semble-t-il. [...] Mais en dehors de ces groupes à risque très spécifiques que sont les toxicomanes, les gay consommateurs de drogues récérationnelles et les hémophiles (groupes auxquels en définitive la définition "sida" aurait dû rester confinée depuis toujours, et c'est l'extension de plus en plus large des notions de séropositivité et de sida qui font dire à certains que la séropositivité ne serait en aucune cas l'indice d'une propension à développer ultérieurement des maladies particulières), et comme l'ont démontré d'autres sur ce forum, il n'a jamais été prouvé que la séropositivité puisse être l'indice d'une propension future à développer des maladies particulières, je suis alors d'accord avec le passage cité ci-dessus. Pour information : ce document a été l'objet de nombreuses attentions, forme et fond ont ete validé par etienne de harven avant diffusion. Toute remarque non acrimonique est la bienvenue. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wallypat Posté(e) le 5 février 2007 Partager Posté(e) le 5 février 2007 (modifié) Pour information : ce document a été l'objet de nombreuses attentions, forme et fond ont ete validé par etienne de harven avant diffusion. Toute remarque non acrimonique est la bienvenue. Jai évidemment beaucoup de respect pour Etienne De Harven, cela ne signifie pas pour autant quil y a lieu de prendre pour argent comptant tout ce quil dit et/ou dapprouver tout ce quil dit ou approuve lui-même. Ainsi, Etienne De Harven (visiblement marqué par les images de bourgeonnement de particules dapparence rétrovirale dans la culture) a-t-il affirmé à plusieurs reprises que Montagnier et Gallo avaient vraisemblablement isolé un rétrovirus endogène. Faut-il le croire pour autant sous prétexte quil sappelle Etienne De Harven ? Non bien sûr, tout simplement parce que le Perth Group a démontré quil ny a pas la moindre preuve que même un rétrovirus endogène avait été isolé, et que le bourgeonnement nest en aucune façon lapanage des seuls rétrovirus. Pour revenir plus précisément au sujet de cet article, à plusieurs reprises également, Etienne De Harven a précisé que les tests « VIH » devraient tout simplement être interdits, et ce sans entrer dans la moindre nuance (apparemment). Avec le Perth Group, je ne partage nullement ce point de vue et jestime que ces tests « VIH » peuvent être utiles malgré tout, mais bien sûr dans une toute autre optique. Ma remarque navait absolument rien dacrimonique, sinsérait dans le débat très tendu relatif à la corrélation ou labsence de corrélation entre séropositivité et sida, et avait surtout pour but dapporter un bémol au ton un peu trop idyllique de cet article. Car à lire cet article, on croirait que tout va bien dans le meilleur du monde et quil y a lieu de ne pas accorder le moindre intérêt à un test positif. Cest justement en raison de ce manque de précautions oratoires que certains sur ce forum ont malgré tout fini avec une pneumocystose, avec parfois des reproches extrêmement virulents adressés ensuite aux dissidents. Je nai pas spécialement envie que de tels reproches soient à nouveau faits à lavenir. Donc, oui, ce qui est écrit dans cet article est vraisemblablement exact en gros (il n'y a qu'à lire le deuxième post écrit dans ce topic, que j'écrit à l'appui de ton témoignage), mais il y a lieu de relativiser certains passages et dapporter des nuances. Telle est mon opinion et désolé si cela ne plaît éventuellement pas à tout le monde, mais généralement, mes opinions sont étayées (et cest très rarement en me fondant sur des arguments dautorité). De manière générale, sil fallait recourir aux arguments dautorité (tels la référence à Etienne De Harven), il va de soi quil ny aurait plus de dissidence du sida et que le sida serait causé par le « VIH ». Modifié le 5 février 2007 par wallypat Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Olivier92 Posté(e) le 29 mars 2009 Partager Posté(e) le 29 mars 2009 Bruneau Merci pour ton témoignage. J’aimerai savoir, comme tu témoigne à visage découvert, as-tu reçu des pressions depuis 2005 ? Les pressions peuvent être soft, par exemple les 2 clowns que tu cite au début de ton témoignage (Le Dr G et le Pr C) peuvent avoir essayé de te contacter rétrospectivement, car se faisant (officiellement ;->) beaucoup de souci pour toi et ta santé. Sans aller jusqu’à des menaces de mort, il y a toute une gamme de pression que le lobby pharma peut exercer. Je ne serais pas surpris que ton phone soit sur écoute par les RG, dito pour ta messagerie. Pour des raisons de confidentialité si tu préférer me répondre en MP ; comme tu veux.. Encore une fois bravo. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
maelle Posté(e) le 30 mars 2009 Partager Posté(e) le 30 mars 2009 J'ai lu sur un forum que Bruno Berthelet était décédé en janvier 2009... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wallypat Posté(e) le 31 mars 2009 Partager Posté(e) le 31 mars 2009 J'ose espérer que ce n'est en réalité pas le cas. Mais dans le cas contraire, cela illustrera une énième fois combien il faut prendre un test "VIH" positif très au sérieux, même si cela n'a rien à voir avec quelque rétrovirus "VIH" que ce soit. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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