delwere Posté(e) le 29 novembre 2006 Partager Posté(e) le 29 novembre 2006 Salut! J'ai quelques questions sur la version orthodoxe de VIH/SIDA. Pourriez-vous me corriger si j'ai tord. L'orthodoxie considère comme valide les proposition suivantes: 1- Le SIDA est causé par un virus nommé VIH 2- Le VIH est transmissible verticalement, sexuellement et par les tansfusions 3- Une personne est considérée comme infectée par le VIH si elle ragi positivement au protocol de test nommé "test du VIH". Cette personne est donc considérée comme séropositive au VIH. 4- Une personne séropsitive ne suivant pas une trithérapie devrait développer le SIDA dans un délai moyen de 8 à 10 ans. Des exceptions existent mais elle sont très rares. 5- Une personne séropsitive suivant une trithérapie devrait développer le SIDA dans un délai moyen de 15 à 20 ans. Des exceptions existent mais elle sont très rares 6- Une personne ayant le SIDA devrait décéder dans un délai relativement court (aucune idée sur le délai) à cause de complications et d'éventuel infections opprtunistes. Merci Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Liane Posté(e) le 29 novembre 2006 Partager Posté(e) le 29 novembre 2006 7- Le Protocole de Bangui (pdf) qui date de 1985, permet de déclarer des personnes séropositives sans tests et sur simples symptômes cliniques, en Afrique notamment. 8- Les marqueurs orthodoxes qui servent à décider du début de la trithérapie se basent uniquement sur la charge virale, le taux des CD4/T4 (200 étant la limite), et parfois les CD8. Aucun intérêt n'est manifesté sur les taux de glutathions. 9- Une légèreté ahurissante est témoignée concernant le protocole des traitements à soumettre à un co-infecté " vhc - vih " (le foie) 10- L'AZT et la Névirapine sont toujours prescrits, malgré leurs toxicités notoires et leurs résultas désastreux à court/moyen terme (selon les doses). 11- Aucun "cause à effet" de l'oxyde nitrique n'est admis sur la dépréciation de la santé des patients. 12- Malgré toutes les études rendues publiques depuis 1988, les antioxydants ne font pas encore partie du protocole officiel des traitements contre le "vih" et la prévention du sida chez les séropositifs. 13- Les séro-reconversions (positif->négatif) ne sont pas considérées comme un guérison du "vih". La séropositivité est un état acquis à vie (comme les yeux bleus) 14- Pour le bien de la "science", des expériences atroces (encore mieux sur des cobayes qui ne peuvent ni s'exprimer ni s'enfuir) servent à tester certaines molécules. 15- La plupart des médias officiels occultent les voix qui posent des questions (je ne dis plus qu'on m'a volé 3 mois de ma vie, mais 25 ans !). L'information ciblée dans un sens unique et précis pousse le public à se ferrer de lui-même, au final. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Liane Posté(e) le 3 décembre 2006 Partager Posté(e) le 3 décembre 2006 (Liane @ Mercredi 29 Novembre 2006 à 21h17)13- Les séro-reconversions (positif->négatif) ne sont pas considérées comme un guérison du "vih". La séropositivité est un état acquis à vie (comme les yeux bleus) " Depuis 1988, l'on a différents documents à diposition qui témoignent du fait que chez les personnes séropositives, les tests de séropositivité tout commes les tests de présence directe des virus peuvent se négativer. " http://perso.orange....pi/thehans1.htm Quelqu'un peut me préciser en quoi consistent les tests de présence directe des virus ? Ce sont des cultures ? Merci. ...je ne dis plus qu'on m'a volé 3 mois de ma vie, mais 25 ans ! Et pour cause : " Le sang est un suc tout particulier "Dans sa conférence " Le sang est un suc tout particulier " du 25 octobre 1906 (in Le sens de la vie, Triade-Editions, paris 1977. GA 55), Rudolph Steiner décrit la relation existant entre le déploiement de la conscience humaine et les forces de vie du sang. ... Nous ressentons bien d'avantage qu'avec les autres maladies cette emprise sur "les forces du sang" dans les phénomènes pathologiques que l'on nomme aujourd'hui Sida, que l'on se représente l'action d'un virus maléfique, ou bien du test HIV positif, ou bien encore un traitement avec l'AZT avec son effet mortifère sur le sang. Rudolf Steiner décrit comme l'affaiblissement du sang aboutit à un affaiblissement de la personnalité tout entière et renvoie de plus au fait que certaines forces ont précisément pour but un tel préjudice : "Quelle que soit la puissance qui désire prendre possession d'un individu, elle doit agir sur celui-ci de telle façon qu'elle se manifeste jusque dans son sang. Si par exemple une puissance mauvaise veut acquérir de l'influence sur un être humain, il lui faut s'assurer le pouvoir sur son sang." Voilà le sens profond du texte de Faust que nous avons cité. Voilà pourquoi celui qui représente le principe du mal dit : "Signe le pacte de ton sang." "A celui auquel le sang appartient, à celui-là appartient aussi l'homme, c'est-à-dire le Moi de cet homme." ... Cette puissance se montre également au niveau de la société : une angoisse monstrueuse vient nous saisir, introduisant dans l'homme par suggestion une force destructrice absolue, qui tire sa vie du HIV-virus. En fonction de cela, il faudrait maintenant dans le monde entier que tout individu, même ceux qui n'ont rien à voir avec le Sida, même les séronégatifs, puissent être menés sous la tutelle d'un contrôle. Ainsi les immenses efforts des sujets atteints eux-mêmes et de tout ceux qui cherchent à les étiquetés comme tentatives bien intentionnées de bienfaisance consolatrice. Une chose devient alors évidente : il s'agit dans le phénomène du Sida non pas seulement d'une atteinte portée à la santé corporelle, mais d'un asservissement de l'âme et de l'esprit de l'être humain. Le Sida se manifeste donc comme la culmination provisoire d'une médecine qui se trouve de plus en plus sous la domination de l'angoisse. http://perso.orange....pi/thehans1.htm Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wallypat Posté(e) le 3 décembre 2006 Partager Posté(e) le 3 décembre 2006 (Liane @ Dimanche 03 Décembre 2006 à 02h06)Quelqu'un peut me préciser en quoi consistent les tests de présence directe des virus ? Ce sont des cultures ? Merci. L'expression "détection directe du 'VIH'" , souvent utilisée par l'orthodoxie du sida, est extrêmement trompeuse et bien sûr erronée. Elle vise effectivement ce que l'orthodoxie du sida appelle "culture" du "VIH". La "culture" du "VIH" est même très souvent considérée par l'orthodoxie du sida comme une isolation (sic !). Rien n'est plus faux. Que faut-il en réalité entendre par "culture" du "VIH" ou détection "directe" du "VIH" ? Il faut savoir que les (rétro)virus ne peuvent pas se multiplier seuls. Ils sont donc cultivés sur des cultures de cellules qu’ils infectent. Les cellules utilisées sont en général des cellules cancéreuses appartenant à une lignée "immortelle" (notons que la plupart de ces cellules sont déjà connues comme porteuse chronique de rétrovirus exogènes et surtout endogènes !) sur lesquelles on verse le sérum à tester non purifié, ainsi que divers produits chimiques stimulants et mitogènes (= des oxydants justements). On détecte ensuite dans cette culture la présence d’un phénomène pourtant absolument non spécifique des rétrovirus, à savoir l’activité de la transcriptase réverse, ainsi que l’antigène P24, les anticorps, les particules susceptibles d’avoir la taille d’un rétrovirus, etc. Plus particulièrement, la détection grâce à cette culture de protéines du "VIH", dont la plus spécifique serait la P24, est considérée par l'orthodoxie du sida comme la preuve par excellence de la détection "directe" du "VIH". Il y en a réalité beaucoup de problèmes avec cette affirmation, à commencer par le fait que l'on n'a jamais démontré jusqu'à ce jour que la P24 (ou quelqu'autre protéine du "VIH") est bien le constituant d'un rétrovirus "VIH". A défaut d'avoir prouvé cela, la détection de la protéine P24 ne sera jamais la preuve d'une contamination par le "VIH". Par ailleurs, il a déjà été démontré par la dissidence du sida que la P24 est une protéine d'origine cellulaire, ainsi que d'ailleurs les autres prétendues protéines du "VIH". Bref, aucun des phénomènes détectés par la culture du "VIH", aussi nombreux soient-ils, ne peut être la preuve d'une contamination par le "VIH", et encore moins la preuve d'une détection "directe" du "VIH" ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Liane Posté(e) le 3 décembre 2006 Partager Posté(e) le 3 décembre 2006 (wallypat @ Dimanche 03 Décembre 2006 à 22h45)On détecte ensuite dans cette culture la présence d’un phénomène pourtant absolument non spécifique des rétrovirus, à savoir l’activité de la transcriptase réverse, ainsi que l’antigène P24, les anticorps, les particules susceptibles d’avoir la taille d’un rétrovirus, etc. Merci Wally. En clair, non seulement les tests "vih" peuvent se négativer mais aussi les "cultures" ! Pas mal pour un "virus soit-disant indélogeable" ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
delwere Posté(e) le 5 décembre 2006 Auteur Partager Posté(e) le 5 décembre 2006 J'ai trouvé dans ce livre la phrase suivante: Further evidence that AIDS is caused by a pathogen(s) was provided by its diffusion in West Germany. All 44 of the initial cases of AIDS reported there, on or before March 31, 1983, had occurred in people who had either travelled to Haiti or Africa or were amongst gay men who had vacationed recently in California, Florida, or New York. This is hardly surprising since each one of these locations was by then an AIDS hot spot, where all sexual encounters were high risk. Auriez vous une réfutation de cette proposition. Merci Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wallypat Posté(e) le 5 décembre 2006 Partager Posté(e) le 5 décembre 2006 Personnellement, je ne vois pas trop ce qu'il y a à réfuter dans ces 44 cas premiers cas de sida en Allemagne. Il faudrait connaître les antécédents de chacun de ces sidéens, et par exemple, comment ont-ils été traités par exemple : abus de Bactrim, de Septrim, ... Et quelles maladies avaient-ils au départ ? Concernant Haïti, il me semble avoir lu en son temps qu'il y avait une épidémie d'hépatites B à l'époque et de MST (---> implique des traitements azotés entre autres). Sans compter toutes les drogues que l'on consomme de ce côté-là ... Quant à l'Afrique, toutes les choses que l'on peut attraper en revenant de là ... En outre, il me semble avoir déjà lu à de multiples reprises que les premiers cas de sidéens hétérosexuels non toxicomanes sont pour ainsi dire apparus en même temps que les tests "VIH", soit en 1984. Etant donné qu'il s'agit ici de cas datant de maximum du 31 mars 1983, il faut considérer que presque tous les sidéens en question étaient en fait des gay ou des hétéros toxicomanes. De manière générale, l'exemple cité par Foster ne prouve absolument rien et des tas d'explications peuvent être données. Et les explications possibles sont d'autant plus nombreuses que l'on ne sait strictement rien sur ces 44 cas en réalité. Je rappellerai enfin que l'on ne déduit pas l'existence d'un nouveau rétrovirus à partir de considérations touristiques, économiques, sociales, épidémiologiques, et que sais-je encore, car elles peuvent toutes avoir des explications différentes ne nécessitant nullement quelque rétrovirus que ce soit. L'existence du "VIH" ne peut être déduite que de son isolation ... et de rien d'autre ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wallypat Posté(e) le 6 décembre 2006 Partager Posté(e) le 6 décembre 2006 Concernant le cas d'Haïti, il est vrai qu'on en fait grand cas. Mais qu'en est-il en réalité ? Voici ce que rapporte Peter Duesberg lui-même, dans cet article : La situation est similaire à Haïti: On n'a signalé que 2'300 cas de SIDA alors que l'infection virale est considérée comme omniprésente. Et même si ce recensement est inférieur à la réalité, la présence du SIDA est bien inférieure à ce qu'impliquerait l'hypothèse HIV. Où est donc l'épidémie de sida en Haïti ? Car cet article de Duesberg n'a pas été écrit au début des années 80 mais bien au début des années 90 ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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