abyssen Posté(e) le 3 octobre 2006 Partager Posté(e) le 3 octobre 2006 (modifié) bonjour, il y a énormément de sujets sur le sida et j'en ai lu pas mal sur ce forum, et pour etre franche il est difficile de faire une recherche pour voir si un sujet a déjas été abordé, donc ne vous énérvé pas si l'article que j'ai trouvé a déjas fait office de discussion. voici http://www.doctissimo.fr/html/sante/mag_20...47_hiv_1931.htm Modifié le 3 octobre 2006 par abyssen Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wallypat Posté(e) le 3 octobre 2006 Partager Posté(e) le 3 octobre 2006 Pour ma part, je me permets de renvoyer à ce post-ci (si ce n'est que ce qui fait réagir les tests dits "VIH" ne sont apparemment pas toujours du stress oxydatif mais cela peut être d'autres choses également). On pourrait remonter à du sang congelé provenant de la préhistoire que cela ne prouvera toujours pas que le "VIH" existait déjà à l'époque, ni même à l'heure actuelle d'ailleurs. Les circonstances pouvant faire réagir positivement les tests dits "VIH" peuvent très bien exister (du moins, pour un certain nombre d'entre elles) depuis 1931, ou même bien auparavant. Une réaction avec des anticorps ne prouve pas l'existence du "VIH" s'il n'est déjà pas prouvé que les anticorps en question réagissent avec des antigènes d'un nouveau rétrovirus "VIH". Idem pour les tests génétiques. Bref, tout cela, c'est de la foutaise ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
abyssen Posté(e) le 3 octobre 2006 Auteur Partager Posté(e) le 3 octobre 2006 bon je ne maitrise pas du tout le sujet, mais j'ai lu la plupart des sujets sur les dissidents, et j'avoue que je trouve vos explications plutot crédibles. et aujourd'hui j'ai une trouille bleue d'aller faire une analyse, car si par malheur et malgré une vie saine, si par malheur je suis detecté comme séropositive. si c'était le cas, les mèdecins iraient toujours chercher qu'un jour peut etre j'ai contracté le virus chez le dentiste, ou n'importe quoi d'autres, comment échapper à ça, malgré tout ce que vous avez tenté de démontrer pour prouver qu'il n'y a aucun rapport entre le vih et le sida ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Psyence Posté(e) le 3 octobre 2006 Partager Posté(e) le 3 octobre 2006 Bonsoir, Wallypat...devient légèrement "aixurien" (pour dire radicaliste) Une infection simiesque bénigne serait donc à l’origine de l’épidémie de SIDA, aujourd’hui responsable de plus de 20 millions de victimes. Au delà de l’intérêt historique de cette découverte, il est important de comprendre comment la transmission s’est réalisée de l’animal à l’homme afin de pouvoir se protéger contre d’éventuelles autres infections de ce type. En faisant abstraction de la fiabilité de tous le processus technique ayant permis d'identifié une vielle souche du VIH-1, je me demande bien comment une infection bégnine peut devenir soudainement maligne . Hors a priori c'est le cas si l'en on juge de l'épidémie de SIDA actuelle. Prenant le premier chiffre que j'ai trouvé sur google; La population mondiale a triplé au cours de ces 70 dernières années je me demande bien comment nous avons pu triplé le nombre d'individus puisque sur 70 ans cela suppose d'innombrables rapport sexuels non-protégés en présence de VIH, sachant qu'une personne infectée meurent en 10-12ans sans traitement. Delwere est plus doué que moi por ce genre de calcul A nouveau un nouvelle découverte suppose des remises en questions...je me réjouis de voir leur réponse. Le mieux pour eux est de dicréditer cette recherche si elle soulève trop de questions de ce genre ou d'explication sans justification. Cordialement. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
delwere Posté(e) le 3 octobre 2006 Partager Posté(e) le 3 octobre 2006 (modifié) Oh l'histoire du singe. ça fait presque une mythologie!! L'article parle de 3 hypothèses de transmission et dit si l'on trouve la vraie on pourrait se protéger d'éventuels infections de ce type. Pourquoi pas aussi developper des vaccins afin de pouvoir se protéger de ces éventuelles infections, quel délire !!! Entre temps d'après l'hypothèse (1), j'ai compris que je dois faire attention aux sushi et aux steack tartare Pourquoi pas si l'homme s'est infecté en bouffant du chimp pourquoi pas d'autre animaux (et poissons) en bouffant les restes de ce chimp Cependant je crois que cette hypothèse qui parle du developpement socio-économique de l'Afrique ignore le commerce triangulair et les diverses occupations européennes qui se sont produites bien avant 1930. J'ai rien compris aux 2 autres hypothèses parcontre je crois que l'article n'a pas parlé de deux autres hypothèses non encore validées: 1- le VIH existe ; 2- le VIH cause le SIDA Pour appuyer Psyence, il y a un truc qui attire l'attention: - Sachant qu'une personne infectée non traitée a entre 10 à 12 (dans les années 80 cette valeur était estimée à 1 à 2 ans) a vivre avant de succomber au SIDA et sachant que le virus a commencé sa propagation dans les années 30 ou 40 ou 50, et que les rapports ne sont pas protégés on aurait assisté à pic de mortalité dans les années 40, 50, 60 ou 70 (32, 42, 52, 62)!!! ce n'était pas le cas. Au contraire on assistait a une mortalité croissante depuis 1981 et le pic c'est produit en 1996 !!!! Donc on pense que les foyers du virus étaient SF, LA et NY. Comme quoi le virus a sauté d'Afrique en Amérqiue et a commencé a se répartir très rapidement, très logique !!! surtout que pendant ces années il y avait beaucoup plus de colonistateurs européens que d'américains à ce que je me rappelle en Afrique. Alors je viens maintenant a un fait intéressant. - Premiers cas de SIDA ont été "découvert" en 1981 - Le tests du HIV en 1984 et on a trouvé des VIH+ partout en Amérique y compris les coins les plus isolés. On a touvé a peu près un million de HIV+. Donc il semble que le virus s'est TRES RAPIDEMENT propagé aux USA. Ok, mais depuis 1984 le nombre des HIV+ aux USA est presque constant. Donc le virus a changé de vitesse de transmission une fois on a découvert le test, Génial !!! peut être grace au safe-sex !!! La vitesse de transmission en Amérique était incroyablement rapide avant la découverte du test ceci parceque les très nombreux cas découvert en 84, 85 et 86 doivent avoir une infection récente (1 à 2 ans) sinon il serait déjà mort (selon l'espérance de vie des HIV+ connue a lépoque) Alors comment est-il possible d'avoir une si grande vitesse de propagastion si les probabilités d'infection par rapport non protégé sont quand même très faibles. Et comment a-t-il rapidement atteint même les coins les plus isolés? peut être à cause du développement socio-économique des USA Ceci sans ajouter le fait que le SIDA apparu en 1981 était presque exclusivement réservé aux hommes homosexuels pour une bonne période! ceci était le cas pour l'Amérique et le 'Europe. Pour l'Afrique je n'ai pas de données. Mais de deux choses l'une, 1- le virus est resté emprisonné chez les hommes homosexuels depuis 1930,40,50 jusqu'aux années 80. Peut après la découverte des tests, il a commencé progressivement a toucher les hétéros, ça aussi c'est très logique , 2- une autre hypothèse aussi logique, c'est que le virus s'est propagé dans toute la population africaine mais quand il a voyagé aux USA et en Europe il a préféré les hommes homos pour une bonne période de temps tout en se propageant très rapidement !! Je ne veux pas encore continuer à étaler des choses très logiques concernant les transmissions verticales, les transfusions de sang multiples et les accidents du personnel de santé qui se produisaient bien avant la découverte du virus mais semblaient préférer bien logiquement les hommes homosexuels malgrès la propagation très rapide du virus en partant de ses trois foyers !!! Enfin toutes ces hypothèses sont très logiques, vous ne touvez pas ??!!! Modifié le 3 octobre 2006 par delwere Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Liane Posté(e) le 3 octobre 2006 Partager Posté(e) le 3 octobre 2006 (abyssen @ Mardi 03 Octobre 2006 à 17h17) voici http://www.doctissimo.fr/html/sante/mag_20...47_hiv_1931.htm Et voilà Le film ( en français en plus ) qui retrace les soi-disantes " origines du Sida " : [media=] [/media] Je récapitule : 1- Doctissimo / variante 1 1 - A l'époque, deux médecins belges avaient procédé à ces prélèvements sur 1 800 personnes dans le cadre d'une campagne contre la malaria. Conservés dans le froid et analysés en 1985 aux Etats-Unis, un échantillon sur les 672 analysés se révèle être positif au VIH1. Provenant d'une personne dont on ne sait rien, cette donnée constitue la trace la plus ancienne du VIH et, jusqu'à présent, 1959 constituait l'année zéro du sida. 2- Le film " les origines du Sida " / variante 2 Il faut lire tout ce qui suit pour arriver à suivre Doctissimo qui ne fait que réinventer une histoire (en omettant plusieurs détails) qui circule depuis un moment. Mais on connait déjà tous (depuis qu'on nous le serinne) le résumé de cette histoire officielle : " le vih provient du singe " Le vaccin contre la polio est le premier vaccin à être fabriqué à partir de reins de singes. Comment le fabrique-t-on ? Quels sont les différents types de vaccins anti-polio ? Pour faire un vaccin, on commence par faire une culture à partir de reins de singes puis il faut : - Prélever un morceau de tissu rénal et le diviser avec une paire de ciseaux. - Laisser reposer cette suspension pour faire une monocouche de cellules. - Ajouter le virus de la polio. - Prélever ensuite le liquide de ces cultures. - Filtrer pour enlever le reste des cellules. On obtient alors une suspension de virus. Soit on l’inactive avec du formol, soit on l’affaiblit par des passages successifs dans des cultures de cellules. Il existe deux types de vaccins : 1) Le vaccin inactivé et injecté de Jonas Salk. Il contient des particules de virus de la polio qui ont été tuées dans du formol. L’immunité qu’il confère est temporaire et nécessite trois injections successives. Pour fabriquer son vaccin, Jonas Salk utilise des reins de macaques Rhésus. 2) Les vaccins vivants atténués de Albert Sabin et de Hilary Koprowski. Ils contiennent des particules de virus de la polio qui sont vivantes, mais affaiblies au cours d’un long processus où l’on passe le virus dans des cultures de cellules, jusqu’à ce que sa capacité à déclencher la maladie disparaisse. Ce vaccin est administré par la bouche et est efficace dès la première prise. Les notes de laboratoires d’Albert Sabin attestent qu’il utilisait des reins de macaques Rhésus ou de macaques synomolgus. Hilary Koprowski a « perdu » toute documentation permettant de prouver l’espèce de singe qu’il a utilisée. Il nie avoir utilisé des chimpanzés. La course au vaccin : Dans les années 50, les Etats-Unis sont en guerre contre la polio, ce fléau qui attaque les enfants. C’est le début d’une course au vaccin entre les plus grands scientifiques : Jonas Salk, Albert Sabin et Hilary Koprowski. Chronologie : - 27 février 1950 : Hilary Koprowski est le premier à tester son prototype de vaccin oral, à base de virus vivant atténué, sur un enfant américain de Letchworth village. - 12 avril 1955 : Le vaccin de Jonas Salk est homologué. C’est un vaccin qui utilise un virus inactivé, autrement dit « tué » et qui nécessite trois injections. Une campagne de vaccination de masse suit cette homologation aux Etats- Unis. 90 millions d’Américains seront vaccinés. - 23 avril 1955 : Drame autour de la vaccination antipoliomyélite : 260 enfants ayant reçu le vaccin Salk tombent malades, onze d’entre eux meurent. Des lots de vaccins provenant des laboratoires Cutter (en Californie) étaient défectueux : ils contenaient encore du virus vivant. - Mai 1955-1960 : Ce drame relance la course au vaccin entre Albert Sabin, au Children’s Hospital Research Foundation (Cincinnati), et Hilary Koprowski, d’abord au Laboratoire Lederle (Pearl River, État de New York) puis au Wistar Institute de Philadelphie. - 1958-1959 : Albert Sabin teste son vaccin oral, à base de virus vivant atténué, sur 6 millions d’enfants en URSS. - 1957-1960 : Hilary Koprowski teste son vaccin expérimental « CHAT » sur 1 million d’Africains du Congo belge. - Novembre 1958 : Albert Sabin analyse le vaccin « CHAT » de Hilary Koprowski et découvre qu’il est instable et contaminé par un virus inconnu. - Novembre 1958 : L’OMS désapprouve dans une lettre confidentielle les campagnes de vaccinations de masse menées par Hilary Koprowski au Congo belge. Printemps 1960 : Le vaccin oral d’Albert Sabin est homologué et utilisé dans le monde entier pour les campagnes de vaccinations de masse. Durant l’été 1955, Hilary Koprowski et Ghislain Courtois, virologue et directeur du laboratoire médical de Stanleyville (Congo belge), se rencontrent lors d’un colloque au Kenya et décident de créer un camp d’élevage de chimpanzés pour faire officiellement des recherches sur l’hépatite et la polio. Chronologie : Hilary Koprowski et le Congo belge - 1er mai 1956 : Le projet aboutit : ouverture du Camp Lindi, situé en retrait de Stanleyville. Ghislain Courtois en est le directeur. - Janvier 1957 : Plus de 200 chimpanzés sont déjà arrivés au Camp Lindi. - Février 1957 : Ghislain Courtois reçoit Hilary Koprowski pour la première fois au Camp Lindi. Ils immortalisent cette visite par une photo « officielle » devant la pancarte du camp. - Mars 1957 : Premières vaccinations de 4228 personnes avec le vaccin oral expérimental « CHAT » de Hilary Koprowski à Stanleyville. - 1er mai 1957 : Hilary Koprowski quitte les laboratoires Lederle à Pearl River dans l’État de New York (Etats-Unis) avec son vaccin oral expérimental « CHAT ». Il devient directeur du Wistar Institute à Philadelphie. - 1er octobre 1957 : Inauguration en présence de Hilary Koprowski, Ghislain Courtois et toute l’équipe des médecins belges du nouveau laboratoire médical de Stanleyville (Congo belge). Ce laboratoire est immense et possède la technologie de pointe de l’époque. - 26 décembre 1957 : Deux ans et demi après l’ouverture du camp, Gilbert Rollais, le chasseur officiel du camp et son équipe de Pygmées ramènent le 401e chimpanzé au Camp Lindi. - 1er février 1958 : Fritz Deinhardt, spécialiste en cultures de tissus au Children’s Hospital de Philadelphie arrive à Stanleyville pour, officiellement, faire des recherches sur l’hépatite. - Du 24 février au 10 avril 1958 : En l’espace de six semaines, 215 504 personnes sont vaccinées avec le vaccin « CHAT 10A11 » dans la vallée de la Ruzizi, frontière entre le Congo belge, le Rwanda et le Burundi. - Novembre 1958 : L’OMS désapprouve les campagnes de vaccinations de masse menées par Hilary Koprowski au Congo belge. - 1959 : Dans le cadre de leurs recherches, Joseph Vandepitte et Arno Motulsky font le tour du Congo belge et collectent 2000 échantillons de sang humain. - En 1985 : Le chercheur André Nahmias découvrira que l’un de ces échantillons est positif au VIH... - Juin 1960 : Indépendance du Congo belge. La situation politique entraîne la fermeture du Camp Lindi dans lequel il reste 50 chimpanzés. Au total, un million de personnes ont reçu le vaccin expérimental. Chez Doctissimo, on ne sait rien de cette personne dont le sang a réagi positif. Dans le film, l'infection au " vih " de la même personne est dûe à un vaccin expérimental contre la polio (dont le virus est cultivé sur des cellules de reins de singes) 3- Variante 3 Comme le dit Delwere : le virus provennant d'un singe africain, il a été humainement contracté à l'origine par quelqu'un qui aurait mangé du singe(ou forniqué avec). Et de là, l'épidémie mondiale qui bizarrement, ne s'est pas déclarée en Afrique, mais dans les mileux gays des US. En fait, le tout 1er gars qui avait attrapé le virus en Afrique, sans " toucher" aux populations africaines, s'est dépêché d'aller le répandre aux US. Les méchants US, pour se venger, ont ramené le virus en Afrique (après une escale auprès des toxicos) Ensuite, les Africains ont chercher à refiler la patate chaude ailleurs, histoire de ne pas en être les dépositaires. La suite, on la connait. Au sujet du singe, la question a été abordée dans ce topic : Interview de Montagnier : - Le fait qu'on ait trouvé un réservoir naturel du Vih chez les primates du Cameroun, a fait dire à certaines personnes que la maladie viendrait du pays... - Montagnier : Il faut être prudent avant d'annoncer ça. Ce d'autant plus que les pygmées du Cameroun qui sont en contact avec les singes ne sont pas infectés. Et même si le virus est dans les primates, ça ne veut pas dire qu'il est forcément à la source. S'il faut voir au niveau de l'épidémie, il faut bien distinguer entre le virus d'origine et le virus d'épidémie. L'épidémie n'a pas commencé au Cameroun, et elle n'a pas commencé non plus avec les colonisateurs des Camerounais, ni les Allemands, ni les Français, ni les Anglais. Si le Sida était déjà là en 1920-1930, il se serait déjà diffusé en Europe. Ça n'a pas été le cas. - Variante 4 : Le " vih " serait né en labo en vue d'une guerre bactériologique. Toutes ces variantes pour un virus qui n'a jamais été isolé et qui fait ch... le monde entier !!! Abyssen, pendant que l'orthodoxie traque le " vih " et en a fait un gros businness, ben nous on est là à se demander ce qui se passe, certains morts de trouille à l'idée de faire un test qui ne révèle pas le " vih ". La peur est mauvaise conseillère. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
abyssen Posté(e) le 3 octobre 2006 Auteur Partager Posté(e) le 3 octobre 2006 (modifié) oui c'est ça le problème liane, c'est qu'on nous tiens par la peur et ça marche meme si on en est conscient. on affirme ça aussi : on trouvait 1 femme pour 2,8 hommes en 2001 contre 1 femme pour 5 hommes au début des années 1990. et dans l'ordre des victimes -les singes -les homo -les hetero -les femmes -et après à qui l'tour ? Modifié le 3 octobre 2006 par abyssen Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
nexus11 Posté(e) le 4 octobre 2006 Partager Posté(e) le 4 octobre 2006 (Psyence @ Mardi 03 Octobre 2006 à 19h31) En faisant abstraction de la fiabilité de tous le processus technique ayant permis d'identifié une vielle souche du VIH-1, je me demande bien comment une infection bégnine peut devenir soudainement maligne. Une "maladie" présente chez un animal particulier ne le rend pas forcément très malade, on appelle l'animal qui l'héberge un porteur sain, c'est le résultat d'une "entente" entre l'hôte et son parasite qui dure depuis des milliers voir des millions d'années, l'intérêt d'un germe n'est pas de tuer son hote mais de la maintenir en vie pour qu'il continue à le transporter, sauf au début de la rencontre ou quand la concentration en pathogène est trop grande, c'est là que ça peut être fatale. La tendance naturelle va donc vers la bégninité des maladies sauf en cas de : >Rencontre : Il faut savoir que beaucoup des maladies infectieuses sont apparues chez l'homme suite à sa sédentarisation et à sa promiscuité avec les animaux porteurs sains qu'il a commencé à élever (vaches, chèvres, chiens, chevaux, oiseaux...) ou à fait arrivé à cause des stocks de semences (rats, insectes) : grippe, peste, tuberculose, rage, diphtérie n'existaient pas avant chez l'homme... >Concentration : A cause des regroupement humains de plus en plus importants autour d'une même réserve d'eau par exemple : polio, cholera, entérite, méningites sont endémiques des zones où l'eau potable manque. Les germes qui se dévellopent dans notre nourritures ne deviennent pathogènes que quand ils prolifèrent, d'où le danger de la pasteurisation qui laisse le champs libre à la première bactérie arrivée, qui se retrouve sans concurrence locale. >Faiblesse de l'hôte : Si celui-ci est déjà malade, affaibli par manque de nourriture ou par une pollution chimique quelconque. >Mutation du parasite Sans doute très rapide et fréquente chez les parasites des insectes. Cette mutation peut devenir plus pathogènes dans un premier temps, comme lors d'une rencontre avec un parasite microbien inconnu. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wallypat Posté(e) le 4 octobre 2006 Partager Posté(e) le 4 octobre 2006 (modifié) Juste pour dire que les considérations qui précèdent de nexus11 (et d'autres intervenants antérieurs) me paraissent très intéressantes sur le plan général, mais que sur le plan du "VIH" proprement dit, elles sont purement théoriques (quoique intéressantes, bien sûr) car il faut d'abord commencer à apporter la preuve que le "VIH" existe déjà en tant que rétrovirus exogène chez les sidéens et séropositifs. Cette preuve n'a jamais été apportée jusqu'à ce jour. Par conséquent, toute discussion sur le "Pourquoi le "VIH" est devenu pathogène" est purement théorique, et revient à discuter du sexe des anges (même si cela reste intéressant, bien sûr). Je précise cela pour éviter que le débat "dérape" et qu'on en vienne à parler du "VIH" comme s'il existait réellement en tant que rétrovirus exogène. Et je rappelle à toutes fins utiles que le "VIH" (ou "SIV" chez le singe) n'a d'ailleurs jamais été isolé chez le singe, ainsi qu'il ressort par exemple de cet article. Dès lors, faire des comparaisons entre le singe et l'homme sera également inutile, du moins du point de vue "VIH" ("SIV"). Il en va bien sûr autrement sur le point de savoir pourquoi les singes ne font pas de sida mais bien les hommes. Mais de telles explications ne nécessitent nullement le "VIH" (ou le "SIV" pour le singe). Modifié le 4 octobre 2006 par wallypat Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Psyence Posté(e) le 4 octobre 2006 Partager Posté(e) le 4 octobre 2006 Bonsoir, Je précise cela pour éviter que le débat "dérape" et qu'on en vienne à parler du "VIH" comme s'il existait réellement en tant que rétrovirus exogène. Tout d'abord l'absence de preuve de l'existence du "VIH" ne prouve pas sa non-existence non plus ! C'est pourquoi ces disscussions, même théorique, présentent un certain intérêt ! Finalement si nous prenons comme référence les affirmations des partisans de l'existence du "VIH" et que nous les confrontons à elles-mêmes, nous sommes en mesure de déduire indirectement quelle est la réalité de ce virus ou quelle est la véracité, la pertinence de leur théorie. En résumé les explications données par nexus111 portent sur l'importance des co-facteurs dans l'activation d'un virus, d'un germe..mais celui-ci n'est pas causal, il est participatif. Ces seuls co-facteurs peuvent donné un résulat similaire sans ce virus-là et en présence de n'importe quel autres germes. Je ne crois pas qu'un seul virus signe le SIDA. Je ne crois pas qu'un virus ouvre la porte à l'activation de tous les autres germes, virus, et donc infections. Cordialement Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wallypat Posté(e) le 5 octobre 2006 Partager Posté(e) le 5 octobre 2006 (Psyence @ Mercredi 04 Octobre 2006 à 21h45) Je précise cela pour éviter que le débat "dérape" et qu'on en vienne à parler du "VIH" comme s'il existait réellement en tant que rétrovirus exogène. Tout d'abord l'absence de preuve de l'existence du "VIH" ne prouve pas sa non-existence non plus ! C'est pourquoi ces disscussions, même théorique, présentent un certain intérêt ! Bien sûr que cela présente de l'intérêt ... mais pour autre chose que le "VIH" ! Car cet argument : Tout d'abord l'absence de preuve de l'existence du "VIH" ne prouve pas sa non-existence non plus ! Fait furieusement penser à l'argument de désespoir invoqué en dernier lieu par l'orthodoxie du sida, ne sachant plus quoi répondre aux acerbes critiques du Perth Group lors du débat qui a opposé pendant deux ans l'orthodoxie du sida et la dissidence du sida. Voir par exemple ici (en titre) : Absence of evidence is not evidence of absence. Soit : L'absence de preuve n'est pas la preuve de son absence. Fonder en définitive l'hypothèse rétrovirale du sida sur cet argument me semble particulièrement faiblard, pour ne pas dire plus encore. Avec ce genre d'argument, j'en reviens à cette autre cause tout à fait possible du sida, que j'avais brièvement et ironiquement défendue il y a quelques mois : les extraterrestres ! En effet, ce n'est pas parce qu'on ne peut pas prouver que les extraterrestres causent bien le sida que cela prouve pour autant que les extraterrestres ne causent effectivement pas le sida. ---> Sous-entendu : le sida est bien causé par les extraterrestres (et ce, par des mécanismes "qui restent à résoudre") ! Bref, tout cela pour dire qu'une science aussi établie que celle que serait le sida rétroviral ne peut avoir de fondations solides si elle est bâtie sur ce genre d'argument, qui me semble encore pire que les arguments tirés de suppositions. Et je rappellerai une énième fois que les rétrovirus ne relèvent pas de notions cosmologiques, nucléaires ou ésotériques dont l'existence supposée ne pourrait être qu'inférée à partir d'observations indirectes. Ce sont des particules que l'on peut voir (en tout cas au microscope électronique), même si ce n'est pas à l'œil nu. A défaut de pouvoir en voir, même chez des sidéens en phase terminale et ayant une charge virale astronomique, il faut avoir le courage d'en tirer toutes les conséquences, aussi pénibles soient-elles (pour l'orthodoxie du sida). A défaut, mon hypothèse du sida causé par les extraterrestres redevient tout aussi plausible et sérieuse que celle du rétrovirus. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Psyence Posté(e) le 5 octobre 2006 Partager Posté(e) le 5 octobre 2006 Bonjour, Wallypat, Tout d'abord l'absence de preuve de l'existence du "VIH" ne prouve pas sa non-existence non plus ! Non ici ta réaction est vraiment de mauvaise foi car tu me fais dire ce que je n'ai absolument pas dis. Tout d'abord un argument sert à étayer une idée et il est clair que l'absence de preuve de l'existence du VIH ne permet pas d'affirmer comme une vérité tout ce qui est affirmer par l'orthodoxie à ce sujet. Là je reconnais leur abus. D'autre part, affirmer que son existence n'a jamais été prouvée ne permet pas à la dissidence d'affirmer qu'il n'existe pas car il y a aussi une absence de preuve directe de sa non-existence. C'est un constat méthodologique simple ; nous pouvons soit démontrer l'existence d'une chose ou soit démontrer sa non-existence et tout ça est très différent d'une absence de démonstration. Le débat entre dissident et orthodoxe se résume simplement; - les premiers accusent des les seconds d'une absence de démonstration "convaincante", mais eux-mêmes n'apportent pas non plus la démonstration du contraire. L'argument récurrent de la dissidence porte sur la non-spécificité des tests VIH et PCR, c'est-à-dire sur un sérieux manque de précision et d'insuffisances techniques qui découlerait directement de l'absence d'isolation. Même si cette argument est vrai (ce que je crois) il n'exclut toutefois pas la possibilité de l'existence d'un virus, car ce qu'il dit, cet argument, c'est que les tests peuvent aussi réagir à tout autre chose qu'un virus et non qu'ils réagissent à tout autres choses sauf à un virus. Expliquer autrement le SIDA (par la théorie du stress oxydatif) se justifie lorsqu'on prétend que le virus n'existe pas - c'est la moindre des choses. Cette substitution ne suffit pourtant pas à prouver sa non-existance du fait qu'il existe toujours la possibilité qu'à un effet donné peut correspondre plusieurs causes. Tu sauras que cet espèce de flou ou d'incertitude n'est pas mon fait, mais le fait d'une absence de démonstration convaincante de la part des deux clans. Absence of evidence is not evidence of absence. Pour ce qui est de cette phrase employée par les orthodoxes elle justifie leur recherche. Mais d'un point de vue totalement impartial l'absence d'évidence peut autant suggérer une absence d'existence qu'une insuffisance technique pour démontrer son existence. La seul façon de trancher est de démontrer qu'il n'existe pas, mais ça personne ne l'a fait ! En science il n'est jamais prouvé qu'une chose soit vraie, il est seulement prouvé que pour l'instant elle n'est pas fausse. Tous le problème est les affirmations abusives, voir parfois délirantes, qui résultent de cette éventuelle insuffisance...et surtout le fait que la recherche soit exlcusivement portée sur cette "cause probable"...là-dessus je suis à 100% avec ton point de vue. Cordialement. PS: Pour ce qui est des considérations sur les extraterrestres je considérais cela comme étant le résultat de tes propres divagations. Tu sauras que déduire indirectement l'existence de certains faits à partir d'observations est une pratique courante en science. La plupart des théories se sont contruites ainsi avant d'avoir rendu possible le développement des techniques permettant une observation (ou construction parfois) directe de ces faits. Mais oui nous pouvons aussi faire une critique de la science...car en effet elle est loin d'êtreaussi absolue qu'elle paraît l'être...pour le grand public.. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wallypat Posté(e) le 5 octobre 2006 Partager Posté(e) le 5 octobre 2006 (modifié) Il me semble logique que la dissidence nait jamais prouvé que le « VIH » nexiste pas. Premièrement et sauf erreur de ma part, il est quasiment impossible de prouver un fait négatif (ici : prouver que le « VIH » nexiste pas). Dès lors, dun point de vue purement théorique (ou presque), le « VIH » pourrait effectivement exister puisquil est impossible ou presque de prouver un fait négatif. Cest sur base de cette (quasi) impossibilité que lon pourrait par exemple affirmer que les martiens existent puisquil na pas été prouvé quils nexistent pas. Ce nest donc pas vraiment exagéré de faire un tout petit pas de plus et de dire que le sida est causé par les extraterrestres puisque cette hypothèse ne peut être exclue. Dune façon un peu moins osée, je pourrais peut-être également dire que le sida est causé par un virus, ou une bactérie, ou un germe quelconque. Ces différentes hypothèses sont tout à fait plausibles puisquil ne serait plus nécessaire de prouver que le virus, la bactérie ou le germe existe vraiment. Sa présumée existence serait déduite de labsence de preuve de sa non-existence ! Deuxièmement, la dissidence na pas à prouver que le « VIH » nexiste pas. Elle doit juste constater que son existence na pas été démontrée du tout. Il est vrai quil y a quelque temps, jai utilisé lexpression « de façon raisonnablement acceptable ». Mais depuis lors, jai continué à analyser les « isolations » en question, en lisant cette fois-ci les arguments du Perth Group et ma conclusion est devenue bien plus radicale : le « VIH » na pas été isolé le moins du monde, de quelque façon que ce soit. Il sagit tout simplement dun échec éclatant. Il ny a pas lombre dune preuve ou dun commencement de preuve. Il y a juste des indices et des marqueurs qui peuvent représenter un peu nimporte quoi, et qui ne représenteront un rétrovirus « VIH » que si et seulement si la science a comme préjugé que le « VIH » existe en tant que rétrovirus exogène contaminant des gens. Mais on ne saurait établir une science sur base de préjugés, dopinions, de suppositions ou présuppositions. Et pourtant lhypothèse rétrovirale du sida est fondée là-dessus. Je crois que les meilleures preuves que le « VIH » nexiste pas (qui, en théorie et sur le plan logique, pourrait effectivement exister) consistent à constater : - que le « VIH » na tout simplement jamais été isolé (cest pourtant le minimum déjà requis), - et quil existe une théorie (le stress oxydatif) qui permet déjà dexpliquer le sida sans « VIH ». Ces deux faits me paraissent plus que suffisants pour reléguer définitivement lhypothèse rétrovirale du sida au rang des plus grandes catastrophes scientifiques et médicales. De manière générale, la dissidence na nullement la tâche dapporter la preuve de quoi que ce soit, à savoir que le « VIH » existe. Cest au contraire uniquement à lorthodoxie du sida de prouver non seulement que le « VIH » existe mais également que le « VIH », par son existence, court-circuiterait la théorie du stress oxydatif comme cause du sida. Tant que ces deux preuves nauront pas été apportées, la seule conclusion raisonnable qui me vient à lesprit est dabandonner irrémédiablement lhypothèse rétrovirale du sida. Et après 25 ans de recherche, cela me semble non seulement évident mais aussi urgent. Et d'en revenir ainsi à l'explication qui avait eu cours dès le début de l'épidémie, à savoir l'hypothèse "style de vie" et qui tenait déjà très bien la route. Modifié le 5 octobre 2006 par wallypat Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
abyssen Posté(e) le 5 octobre 2006 Auteur Partager Posté(e) le 5 octobre 2006 si ça c'est pas du débat, les mecs vous me scotché Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Psyence Posté(e) le 5 octobre 2006 Partager Posté(e) le 5 octobre 2006 Bonsoir, Premièrement et sauf erreur de ma part, il est quasiment impossible de prouver un fait négatif (ici : prouver que le « VIH » n’existe pas) Il s'agit pas de prouver un "fait négatif", mais de prouver l'impossibilité d'un fait par l'étalissement d'un fait contraire, c'est-à-dire par la négation. Amener un fait contraire à la théorie c'est le principe même de la falsification (réfutation). Je donne un exemple "virutel" pour illustrer cela; - si l'on démontre que les morceaux d'ARN dit pro-viral qui sont mesurer par la PCR sont incapables d'infecter une culture de cellules - nous apportons un fait contraire qui réfute une propriété attribuée au prétendu virus en question; - ce qui tend à prouver sa non-existence. Une fois que toutes les propriétés attribuées sont réfutées que reste-t-il de son existence ? Maintenant il est dit que c'est à celui qui fait une affirmation de la démontrer. Bon c'est un peu facile car il s'agit d'un argument pour se disuader de vérifier par soi-même l'affirmation d'un autre. Mais une fois que la démonstration faite par l'autre, elle peut être contestée. A ce moment et toujours selon la même règle, c'est à celui qui conteste cette démonstration de prouver le contraire. Bref, le mieux serait de cherche à le savoir ensemble... mais bon....chercher vérifier ce que je ne pense pas est une chose étrange trop étrange pour ses convictions personnnelles. Cordialement. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité kalam2050 Posté(e) le 5 octobre 2006 Partager Posté(e) le 5 octobre 2006 Accueil Cobayes humains Science ou conscience Mythes et Réalités Lobby pharmaceutique Abolition vs Bien-être Inutile et trompeuse Néfaste aux humains Méthodes alternatives Action - Abolition Cancer - Polluants Sida - Vaccins Lutte contre le Sida et Expérimentation Animale "Sida et Vaccin contre la Polio " - Animal Aid "Une firme britannique a testé des médicaments contre le SIDA sur des orphelins " - The Observer Cobayes humains et Business des vaccins Les Vaccins : Historique - Production - Expérimentation Greffe dorgane Xénogreffe Animaux Frankenstein Dissection Tests cosmétiques Les Vaccins : Historique - Production - Expérimentation Article original "Vaccines" écrit par lassociation BUAV Traduction de larticle par Lucia Le nom le plus souvent associé à la découverte de la vaccination est celui du physicien Edward Jenner, originaire de Gloucester. En examinant une petite fille vivant à la ferme, il apprit que celle-ci navait pas peur dattraper la variole car elle avait déjà eu celle de la vache. Il était bien connu que les trayeuses attrapaient souvent des infections dues à des lésions aux mamelles des vaches et Jenner découvrit également que les fermiers croyaient dur comme fer que ce genre dinfections pouvaient les immuniser contre la variole. (1) Histoire Jenner décida dexpérimenter la théorie et, en 1796, vaccina un garçon de huit ans en lui injectant le fluide issu des pustules présentes sur les mains dun ouvrier de laiterie atteint de variole de vache. Un peu plus tard, Jenner injecta à lenfant du pus de variole provenant de la cloque dun autre patient. La variole ne se développa pas chez lenfant. Par conséquent, il injecta du fluide variolique à une dizaine dautres personnes ayant déjà attrapé la variole de vache et eux aussi restèrent sains. En 1798, Edward Jenner publia ses découvertes. (2) Sa méthode de vaccination supposait quil existât une proche similitude entre la variole humaine et la variole bovine, cette dernière étant de loin la moins dangereuse. Linfection la plus bénigne était artificiellement administrée chez les gens en tant que moyen de prévention contre la variole par le biais dune transfusion entre patients. Plus tard, la production du vaccin antivariolique se réalisa à partir de la peau de petits veaux. La semence du virus était injectée dans labdomen de lanimal par petites incisions et celui-ci était enfermé dans létable, la tête attachée de façon à lempêcher de lécher les plaies. Cinq jours plus tard, on récupéra la semence des plaies pour lutiliser comme vaccin. Bien que beaucoup de gens pensent que Jenner a découvert le vaccin contre la variole, linoculation de la variole bovine nest pas née de cette façon. En 1774, un fermier du Dorset, Benjamin Jetsy, avait déjà utilisé cette technique sur les membres de sa famille. De plus, les tentatives pour créer une protection contre la variole remontent à plusieurs années avant celle de Jenner, même si la variole bovine navait pas alors été prise en compte. Cette méthode fut utilisée pour la première fois en 1718 lorsque de petites quantités de pus provenant des pustules de personnes souffrant dune forme bénigne de la maladie furent administrées à des patients. La technique était dangereuse, mais les risques furent réduits en rendant le fluide moins virulent. En réalité, linoculation contre la maladie avait été pratiquée en Inde depuis des siècles et en Chine depuis le 11ème siècle. (3) Le vaccin de Jenner ne fut pas accueilli avec grand enthousiasme car ses dires selon lesquels son vaccin apportait une immunité durable se révélèrent inexacts. (4) Plusieurs projets de loi furent introduits dans le but de mettre la pratique en vigueur et la vaccination devint obligatoire en 1852. Par la suite, elle fut légalement appliquée accompagnée damendes de plus en plus sévères. En 1871-1872, période immédiate à lentrée en vigueur de la vaccination obligatoire, le taux de mortalité fit un énorme bond avec plus de 42 000 décès en Angleterre et au pays de Galles. (5) Lopposition organisée à la vaccination obligatoire débuta en 1866 avec la création dune ligue et en 1889, on désigna une Commission Royale sur la vaccination. Bien que léminent historien médical Charles Creighton considérât la vaccination contre la variole inutile, la Commission Royale décréta finalement comme universelle la vaccination obligatoire des nouveaux nés, même si elle accepta le fait quil existât des dangers liés à la pratique. Quatre des quinze membres de la Commission étaient contre la vaccination obligatoire. Deux autres désapprouvèrent la décision finale et publièrent un rapport appelant à une révision de lhistoire de la variole, en déclarant que : "Il existe dautres modes plus efficaces et commodes (et bien moins condamnables) déradiquer la variole ou de protéger les communautés de sa contamination. Trop peu dattention a été accordée à lorganisation sanitaire, la notification ponctuelle, lisolation, aux mesures de désinfection, de propreté et aux conditions de vie saines, que nous jugeons de première importance pour la prévention et léradication des fléaux de la maladie." En réalité, les premiers signes dun déclin de la variole remontent aux années 1780, longtemps avant les expériences cliniques de Jenner. Une récente analyse du déclin de la variole à Londres, publiée dans le Medical History, a démontré que la vaccination na pas été le seul facteur responsable de ce constat : "Lhistoire de la variole vers la fin du 19ème siècle ne soutient pas lidée que la vaccination fût entièrement ou finalement responsable de léventuelle disparition de la maladie en Grande-Bretagne. Ce fut pendant ces années, en fait, que lon développa le système de contrôle de la maladie, lequel devint le pilier de la brillante campagne actuelle pour léradication du virus. " (6) Le "système" incluait la désignation dune autorité sanitaire portuaire qui avait pour mission déviter la propagation de la maladie de létranger, lisolation des contacts ainsi que la désinfection totale des foyers. (1) Une meilleure alimentation, en outre, renforçant la résistance corporelle joua probablement un rôle dans le déclin de la maladie comme ce fut le cas pour dautres infections. En Grande-Bretagne, la vaccination contre la variole cessa en 1940 car on considéra alors que les risques lemportaient sur les avantages. (2) La vaccination connut un léger regain à la fin du 19ème siècle lorsque de grands chercheurs tels que Pasteur et Koch mirent laccent sur la théorie du germe pathologique. Il suffisait, semble-t-il, pour combattre une infection, soit de détruire soit disoler les microbes responsables, réduire leur virulence et créer un vaccin comme ce fut le cas pour la variole. Pasteur réalisa des expériences pour mettre au point un vaccin contre le charbon, la maladie qui touchait le bétail et les moutons, bien quil soit plus connu pour ses études sur la rage. Il se pencha également sur le choléra chez le poulet qui, comme le charbon, était considéré comme très préjudiciable économiquement. Lutilisation par Koch de bacilles diminués dans le but de développe un vaccin contre la tuberculose fut un échec précoce. Les tests se révélèrent désastreux après que des malades venant des quatre coins du monde partirent sinstaller à Berlin dans lespoir dêtre sauvés par la tuberculine. Mais le remède fut testé à partir dexpériences sur animaux qui se révélèrent erronées : non seulement la tuberculine ne fut daucune efficacité sur les humains mais elle contribua à une recrudescence de la tuberculose chez des patients déjà atteints. En dépit de toute la souffrance des animaux, nous savons à présent que les vaccins ne représentèrent quun facteur marginal dans léradication des épidémies infectieuses comparés aux mesures essentielles de santé publique. Dans la majorité des cas, les vaccins (ou traitements médicinaux spéciaux) furent introduits lorsque les décès dus à la maladie atteignirent un nombre relativement bas. Dans le cas des quatre infections infantiles les plus répandues, la rougeole, la scarlatine, la coqueluche et la diphtérie, on enregistrait déjà une baisse denviron 90% du nombre de décès lorsque les antibiotiques et limmunisation générale contre la diphtérie firent leur apparition.(2) Dans les années 1860, le taux de mortalité en Grande-Bretagne dû à la coqueluche dépassa 1 300 enfants pour un million, mais chuta à 5 pour un million lorsquun programme national de vaccination fut lancé dans les années 1950. (6) Il en fut de même pour la rougeole. (7) Même avec la disponibilité de vaccins, la classe sociale dun enfant reste un facteur crucial ; à Glasgow, le professeur Gordon Stewart a découvert que la classe sociale joue un rôle trois fois plus important que la vaccination dans lapparition de la rougeole. ( Production et expérimentation Depuis la publication des découvertes de Jenner, deux écoles de pensée vigoureusement opposées ont existé : celle qui soutenait la vaccination et celle qui la considérait comme inefficace et risquée. Étant donné que la préparation et lexpérimentation concernaient généralement les animaux, les opposants à la vivisection se sont toujours alliés à la deuxième école. Il existe deux types de vaccins : lun où lagent responsable de la maladie est un virus et lautre où il sagit dune bactérie. Louis Pasteur représenta une figure clé dans le fait dutiliser des animaux vivants pour préparer des vaccins viraux. Ses tentatives apparemment réussies de mettre au point un vaccin contre la rage avaient fait éloge à la recherche en laboratoire. Le vaccin de Pasteur furent créés à partir de tissus cérébraux danimaux vivants volontairement infectés, mais aujourdhui nous savons quil est inefficace lorsquil est injecté suite à une morsure danimal enragé. Les maladies dérivantes du vaccin vont des réactions locales bénignes aux troubles neurologiques sévères, dont la paralysie et la mort. (2) En outre, un rapport de lOrganisation Mondiale de la Santé datant de 1973 recommandait que les vaccins contre la rage du type Fermi ne dussent plus être utilisés dans la mesure où ils contenaient encore le reste du virus actif qui pouvait causer des symptômes cliniques de la rage. (2) Néanmoins, le succès apparent de Pasteur signifiait que ses procédés réalisés à partir danimaux vivants ou de leurs tissus dans la production de vaccins représentaient un facteur significatif. Ceci a cependant mis en évidence une dangereuse approche due au problème de la contamination par virus. Prenons le cas du vaccin anti-polio : en 1949, des scientifiques montrèrent que le virus de la polio pouvait se développer dans une culture de tissu humain, ce qui constitua une importante découverte dans le développement dun vaccin. (2) Cependant, les singes étaient visiblement une source bien plus appropriée de tissus et plus tard, Salk et Sabin créèrent leur vaccin à partir de tissus provenant des reins de singes. Malheureusement, on découvrit que plus de 60 virus se logeaient dans ces tissus, dont plusieurs se révélaient mortels pour lhomme. (10) Mis à part les décès causés par un virus auparavant inconnu, lAgent Marburg, ainsi que par les infections dues à lHerpes B, plusieurs centaines de milliers de personnes furent infectées par le virus SV40, trouvé dans le vaccin anti-polio créé à partir de cellules de singe. (11) On pense que le virus SV40 peut être cancérigène. (11) En fait, les virus cancérigènes pouvant contaminer les tissus provenant de primates ne le deviennent que lorsquils traversent la barrière des espèces. Lutilisation de cellules humaines dans la préparation de vaccins viraux reste lapproche la plus sûre. Une préparation à partir de cellules et de tissus provenant de chiens, de poules et de canards est également considérée comme dangereuse étant donné que les virus cancérogènes ont été trouvés dans les deux cas. Les vaccins contre les maladies virales comme la polio, la rubéole, la rougeole, les oreillons, la variole et la fièvre jaune peuvent tous être créés à partir de cultures de cellules humaines. (12) En effet, seule la préparation dun vaccin contre la rage à partir de cellules humaines rendit disponible un moyen de protection relativement fiable et efficace. Malgré lexistence dautres moyens plus surs, les tissus danimaux sont encore largement utilisés pour créer des vaccins pour lhomme. Déjà en 1970, P B Stone de la Division de Recherche thérapeutique de Pfizer avertissait : "Il existe... toujours la possibilité quun nouveau virus ou un virus inconnu ne puisse être détecté par la batterie de tests actuels. Cette situation ne serait pas satisfaisante dans le cas dun organisme non pathogénique mais désastreuse si le virus non détecté se révélait pathogénique pour lhomme." (13) Quelques scientifiques pensent que les singes sont à lorigine du virus du sida. (14) On pense quun virus similaire, bien quinoffensif, présent chez le singes verts dAfrique, a infecté puis a subi une mutation pour donner naissance au virus HIV causant le sida. Selon lune des théories mises en avant par des scientifiques du laboratoire clinique de lINRCA à Ancena en Italie est que le transfert à lhomme du virus présent chez le singe pourrait avoir un lien avec le début, dans les années 1950, dun commerce important de primates entre lAfrique et les pays occidentaux dans le but de faire de la recherche et des études dans le développement de vaccins anti-polio. Par exemple, on pense que les Etats-Unis à eux seuls utilisaient 50 000 singes par an durant les années 1970 pour produire et tester des vaccins anti-polio. Il est soutenu que de tels événements impliquent nécessairement davantage de contacts entre les Africains et les singes quils ont capturés puis transportés. En Grande-Bretagne, le vaccin anti-polio est créé à partir de cellules humaines, pourtant, malgré les risques, beaucoup de pays à travers le monde continuent à le produire à partir de tissus de reins de singes verts dAfrique et quelques autres utilisent des singes rhésus. (15) Les vaccins contre les maladies bactériennes comme la coqueluche sont créés à partir de cultures de cellules bactériennes tandis que des techniques modernes peuvent permettre de synthétiser chimiquement les vaccins par des manuvres génétiques. Les vaccins sont testés autant pour leur sécurité que pour vérifier leur efficacité dans la protection contre la maladie. Selon le Lancet, les tests de vérification sont de plus en plus effectués dans les cultures cellulaires plutôt que chez les animaux car ce procédé est jugé plus raisonnable et plus fiable. (16) Par exemple, en 1980, lOMS a approuvé le choix privilégiant le test du vaccin anti-polio dans une culture cellulaire plutôt que chez les singes. Mis à part lexamen de sécurité, des vaccins sont encore testés sur des animaux. (17) Ces tests sont appelés tests de puissance. Dans quelques cas, on détermine cette puissance en vaccinant un animal de laboratoire puis en lui administrant lagent responsable de la maladie pour voir si le vaccin garantit une quelconque protection. De tels tests impliquent quil y ait un groupe dit "de contrôle" composé danimaux auxquels on a administré la maladie mais sans aucune protection. Sinon, après la vérification dun vaccin, le sérum des personnes vaccinées peut être testé afin de voir si des anticorps se sont développés. Une autre approche consiste à utiliser la méthode des tubes à essai afin de mesurer la concentration en antigènes du vaccin. Ces derniers ont pour fonction de stimuler les anticorps. Dans le test de la puissance des vaccins contre la pneumonie, les expériences sur animaux ont peu de valeur puisque les microbes responsables sont en général inoffensifs pour les animaux de laboratoire. En conséquence, de nouveaux tests réussis basés sur une analyse chimique, réalisés in vitro et daprès des études menées avec des volontaires humains ont rapidement été développés puis introduits. Les mêmes procédés de production et dexpérimentation sappliquent aux vaccins vétérinaires bien que, dans la majorité des cas, la raison reste léventuel apport bénéfique à lhomme. Aujourdhui, la vaccination semble être une obsession en médecine. Mais on ne devrait pas voir en cela une alternative "facile" aux réformes sociales plus que nécessaires à lamélioration de la santé publique non seulement dans le Tiers-Monde mais également dans les milieux pauvres en Grande-Bretagne. De plus, étant donné que la recherche médicale est avant tout orientée vers le profit, il est fort à parier que des vaccins seront produits selon des conditions de plus en plus nombreuses. La recherche a même permis de développer un vaccin contre le cancer des poumons, (1 même si la cause en est bien connue puisque dans 90% des cas, le responsable est la cigarette. Un autre exemple est donné par le vaccin de la société Wellcome contre les caries. Malheureusement pour elle, sa popularité a baissé en faveur de lhygiène dentaire. Avec de tels cas, nous avons déjà de quoi baser nos campagnes de prévention. Même avec le sida, pour lequel près de 25 vaccins expérimentaux sont en développement, des campagnes vigoureuses de prévention sanitaire peuvent se révéler être de francs succès en particulier dans les zones à risques telles que San Francisco où la propagation du sida a pratiquement cessé parmi la population homosexuelle masculine. Mais les vaccins ne sont plus produits uniquement pour des cas pathologiques. Depuis 1986, trente Australiennes se prêtent à des essais cliniques dans le but dexpérimenter la fiabilité du tout premier vaccin de contrôle des naissances. (19) Une expérience sponsorisée par lOMS et la société pharmaceutique Sandoz. Le vaccin est basé sur une hormone humaine, la gonadotrophine chorionique, qui est produit par lembryon six à sept jours après la fécondation. On pense que le vaccin fonctionnera si on provoque une réponse immunitaire qui neutraliserait lhormone et ainsi interromprait le processus de reproduction avant que luf fécondé ne soit implanté dans lutérus. En fait, les chercheurs eux-mêmes ne sont pas sûrs du mode daction exact, mais le vaccin a été testé sur des animaux et semble empêcher les grossesses chez les babouins. Durant la période dessai de six mois, aucune réaction de rejet "significative" na été reportée et des enquêteurs ont déclaré que le procédé "pourrait constituer une stratégie de contrôle des naissances plus quacceptable autant dans les pays industrialisés que dans les pays en voie de développement". (19) Les tests continuent afin de vérifier que le vaccin empêche réellement la grossesse chez la femme. Peut-être nest-ce pas une surprise, mais les chercheurs affirment que le vaccin de contrôle des naissances développé en Australie par lOMS implique un "mécanisme dinterruption de grossesse" "jugé inacceptable pour beaucoup de gens". Dautres chercheurs travaillent sur un vaccin de contrôle des naissances qui agirait contre les protéines produites lorsque le sperme pénètre les ovules. Un tel vaccin supposerait que lon stoppe la fécondation et pourrait être administré tant aux hommes quaux femmes. Des expériences menées en 1988 chez des cochons dInde mâles et femelles à lUniversité du Connecticut montrent que des anticorps à la protéine, appelés PH20, réussissent à empêcher la grossesse. (20) On a également montré que ces expériences réussissaient lors détudes préliminaires dans des éprouvettes. Bien que limmunisation est aujourdhui une pratique courante chez beaucoup de gens, la polémique fait encore rage quant à sa fiabilité et sa valeur, comme le prouvent les récents arguments concernant le vaccin contre la coqueluche. Il existe des cas où des enfants, après linoculation du vaccin de la coqueluche, ont été atteints de dommages cérébraux voire en sont morts. (21) Malgré cela, de fortes pressions sont exercées sur les parents pour faire vacciner leurs enfants. La campagne de 600 000 livres du gouvernement britannique en 1988 favorisant la vaccination combinée contre la rougeole, les oreillons et la rubéole incluait des affiches clamant "donner à votre enfant la chance que vous navez pas eue : une vaccination contre les dommages cérébraux, la cécité et la surdité". Ce qui faisait référence à un " petit nombre " denfants décédés de ces maux dans le pays. (Selon le bureau de recensement de la population et des sondages, six personnes, dont quatre âgées de moins de 15 ans, sont morts de la rougeole en 1987). Mais est-ce que ces parents savent quune grande proportion des décès, disons, dus à la rougeole, surviennent chez des enfants maladifs atteints de pathologies préexistantes telles que la leucémie, la déficience immunitaire et diverses anomalies congénitales, où il est probable quils seraient moins résistant à linfection ? En outre, combien des autres décès denfants "préalablement normaux" étaient liés à la sous-alimentation et à la faible résistance qui en résulte ? Le composant de la rougeole présent dans le vaccin combiné est produit à partir dembryons de poule et est par conséquent contre-indiqué chez les enfants allergiques aux protéines contenues dans les ufs. Est-ce quun vaccin dérivé de cellules humaines devrait être disponible pour les parents qui le préfèrent ? De plus, les effets de la vaccination sur le long terme sont mal compris et nécessitent une recherche clinique et épidémiologique minutieuse. Autrement, il se pourrait que nous nous retrouvions à faire le commerce de maladies constituant généralement des inconvénients pour certains états de santé vraiment graves. La profession médicale admet quil existe de rares cas de dommages cérébraux, de réactions allergiques, darthrite persistante en relation avec le vaccin de la rubéole et aux vaccins associés aux infections comme la polio, sans compter dautres symptômes plus répandus comme la fièvre et les convulsions. Il faut également prendre en compte les effets les plus subtiles sur notre système immunitaire. Le livre "Vaccination and Immunisation : Dangers, Delusions and Alternatives (Vaccination et immunisation : dangers, illusions et alternatives) discute des dangers et démontre quil existe une relation possible entre limmunisation et tout une série de maux dont la mort subite du nourrisson, des scléroses multiples voire même le cancer. (21) Lauteur Chaitow conclut en affirmant que même si la vaccination peut apporter une certaine protection, celle-ci est de loin plus faible que ce que lon pourrait croire et que la vaccination nest certainement pas la raison du déclin des infections épidémiques. Il met également laccent sur les alternatives positives. (22) Si les parents doivent se faire une opinion, il leur faut connaître les faits exacts, non seulement au sujet de la valeur et de la fiabilité de limmunisation mais également au sujet des autres choix possibles, comme les médicaments homéopathiques et surtout une bonne alimentation, permettant le renforcement du système immunitaire. Si les parents optent finalement pour la vaccination, alors il est de notre devoir envers nos enfants et les animaux de nous assurer que les produits soient développés dans des conditions sûres et humaines. En ce qui concerne dautres sections de recherche médicale, les deux options sont inextricablement liées. Références (1). Walker. K. The Story of Medicine (Hutchinson, 1954). (2). Sharpe, R. (1988) The Cruel Deception. Thorsons Publishing Group. (3). Sand, R. The Advance of Social Medicine (Staples Press, 1952). (4). Ramsay, A.M. & Emond, R.T. Infectious Diseases (Heinemann, 1967). (5). Hardey, A. (1983) Medical History 27 : 111-128. (6). BMJ (1983) 9 April : 1208. (7). McKeown, T. The Role of Medicine (Blackwell, 1979). (. Bassili, W.R. & Stewart, G.T. (1976) The Lancet 28 Feb : 471-473. (9). Hattwick, M.A. & Gregg, M.B. in The Natural History of Rabies, vol 2 GM Baker (ed) (Academic Press, 1985). (10). Lecurnu, A. & Rowan, A.N. in ATLA abstracts, Collected reviews 1976-1979. Burkett M (ed) (FRAME, 1980). (11). Hayflick, L. (1972) Science 19 May : 813-4. (12). Hayflick, L. (1970) Laboratory Practice 19 : 58-62. (13). Stones, P.B. (1970) Laboratory Practice 19 : 40-44. (14). Science (1985) 6 Dec : 1141. (15). Zuckerman (1986) BMJ 158. (16). Lancet (1985) 19 Oct : 900-2. (17). Aggerbeck, H. & Heron, I. (1995) Vaccine 13(14) : 1360-5. (1. Pantel, K. et al (1995) J. of National Cancer Institute 87(15) : 1162-8. (19). Jones, W.R. et al (1988)The Lancet 8598 : 1295-8. (20). Scrip (1988) 1352 : 24. (21). New Scientist (1989) 30 Dec : 23. (22). Chaitow L. Vaccination and Immunisation : Dangers, Delusions and Alternatives. (Saffron WAlden, 1987). Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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