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forum sidasante

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Je comprends que ce p... de sujet a de quoi faire péter les plombs.

Il y en a qui se posent des questions, il y en a qui ont des réponses, il y en qui s'en foutent de tout ça, et tous les jours le soleil se lève. Le bon sens n'a jamais étouffé personne, au contraire. N'oubliez pas de vivre !

Jeff,

Compte tenu que :

1- le " vih " n'a jamais été isolé

2- les " primo-infections " ne sont pas spécifiques au " vih "

3- tous les tests " vih " (càd Elisa, Western Blott, PCR/charge virale) ne sont pas spécifiques au " vih "

4- les tests " vih " réagissent positifs à environ 80 facteurs différents

5- la chute des CD4/t4 n'est pas spécifique au " vih "

6 - après une confirmation d'infection au " vih ", un séropo ne se voit plus jamais proposer un Elisa : bizarre ! (on se contente de la PCR/charge virale dont l'inventeur - Kary Mullis - dit lui-même que ça ne devrait pas servir à rechercher le " vih ") ...

... pourquoi est-ce que tu as envoyé ton ami faire un test " vih " ???

(même si son médecin pensait à la grippe alors que c'était peu-être, comme le dit Cheminot, une réaction aloimmune)

Fais-lui déjà lire ce résumé :

Le VIH cause-t-il réellement le Sida ?

Pendant qu'on focalise sur le " vih ", les causes réelles de cette réaction violente ne sont pas recherchées, ni traitées correctement ou supprimées (si c'est possible).

C'est le problème de la pensée unique.

Pour revenir sur la PCR/charge virale chère à la "primo-infection" et Kary Mullis :

Y a-t-il un scientifique dans la salle?

"Le virus est la cause du Sida.

Il n'y a aucun doute sur ce point. Posez la question à cinq mille chercheurs, ils vous répondront tous la même chose".

Cette réponse laconique, fut celle du Professeur Robert Gallo à un journaliste qui le questionnait sur les arguments de son virulent collègue, le Professeur Peter Duesberg.

Dans le domaine de la recherche scientifique, la parole de cinq mille chercheurs n'est pas suffisante.

La science avance par hypothèses, qui sont soumises à des règles très strictes. Si une hypothèse est correlée par ces règles, celle-ci devient alors un fait, et donc une référence scientifique.

Dans le cas contraire, elle reste une hypothèse.

L'histoire du Biochimiste Kary Mullis illustre bien le manque de preuves scientifiques qui entoure la théorie sur le Sida.

En 1993, Kary Mullis obtient le Prix Nobel de Chimie pour son invention de la P.C.R. (Polymerase Chain Reaction).

L'invention du Biochimiste américain permet de déceler la plus infime particule virale.

Bien sûr cette nouvelle découverte devait servir la recherche sur le Sida, et Kary Mullis fut lui-même amené à travailler dans ce domaine.

Dés l'instant où il commença son travail, Kary Mullis voulut se procurer la référence scientifique qui stipulait que le virus était la cause du Sida.

La réponse qu'il reçut était plutôt surprenante.

Personne n'avait besoin d'une telle référence, tout le monde savait cela.

Devant son insistance, on le dirigea vers le Centre des Maladies Infectieuses d'Atlanta.

Là aussi, on ne lui apporta pas de réponse satisfaisante.

Au cours d'un colloque international sur le Sida, Kary Mullis s'adressa directement au professeur Luc Montagnier, I'homme qui avait découvert le virus responsable du Sida.

Le virologiste français avoua que cette référence n'existait pas.

Depuis, Kary Mullis n'a cessé de questionner les arguments qui soutiennent la théorie sur le Sida.

Il est à ce jour le troisième Prix Nobel à avoir rejoint le groupe "Reappraising Aids".

La notoriété du Biochimiste américain n'a fait qu'accroître l'embarras des responsables de la recherche sur le Sida, qui ont néanmoins réaffirmé qu'il n'y avait aucun doute sur le fait que le virus était la cause du Sida.

Quiconque soutenant le contraire, encourageait les gens à risquer leur vie.

Ce à quoi Kary Mullis rétorqua qu'il n'était pas un "lifeguard", mais un scientifique.

En tant que tel il se devait de dire ce qu'il pensait, et il ne pouvait apporter son soutien à une théorie qui relevait plus de la religion, que de la science.

A lire ici : http://www.subversiv.com/doc/sida/tahi.htm

Jeff, je ne suis ni séropo (d'ailleurs, ce terme veut-il encore dire quelque chose ? il faudrait déjà savoir à quoi on est séropo), ni dissidente (ce terme aussi veut-il dire quelque chose ?). Je suis.

Et j'essaye d'être au plus près du réel que nous vivons tous différement, en fonction de notre vécu à chacun.

N'empêche que le réel est là, souvent impalpable. Et nous ne le perçevons qu'à travers ce que nous sommes d'accord de croire ou de ne pas croire (conditionnements)

Wally,

Meuuuuuuh non, t'es pas tout seul !

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Bonsoir,

Ce n'est pas pour faire plaisir à Wallypatt qui se sent seul mais je le rejoins sur un certain point. Il est vrai qu'il y a dans l'esprit des gens une très forte association entre la détection d'anticorps, de la protéines p24 et gp120 qui sont sensé être les représentants d'un virus causant l'immuno-déficience.

"Un test positif n'est jamais le signe d'une infection par le VIH"

Je me permets une image banale pour bien illustrer ce "slogan" Wallypatien.

De l'huile et des traces de pneus sur la chaussée, des débris de verres, (anticorps, p24, gp120) suppose un événement impliquant un véhicule (virus, protéines, substances, etc ), mais le véhicule lui-même est absent. Il n'a pas été interpelés. (Pas été isolé) On ignore, le type, la marque, le modèle, la couleur, le numéro de plaque. (Identité génômique, chimique) Beaucoup de véhicules différents peuvent produire exactement les mêmes marques lors de leur passage.(facteurs pouvant causer la séropositivité) Plusieurs accidents ( primo-infection) ont été constaté en présence des mêmes marques ( test) peut-on déduire que c'est toujours le même véhicule (VIH supposé) qui soit en cause ? Nous avons bien photographié (microscopie électronique) un véhicule suspect à plusieurs reprises (2x), mais la gomme des pneus, l'huile moteur et les débris de glaces sont des composés commun à beaucoup de véhicules différents.

Voilà en résumé métaphorique le problème central concerant l'affirmation qu'un virus cause le SIDA.

Cette analogie a ses limites mais elle présente au moins le mérite d'être pédagogique pour expliquer comment il est possibile de créer un mythe sur la bases d'indices tout à fait tangibles. Je ne suis pas dissident, ni orthodoxe, ce qui m'intéresse dans toute cette affaire c'est comment peut-on construire un mythe avec de la réalité, par quel processus de pensée.

Cordialement

Modifié par Psyence
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(Psyence @ Vendredi 29 Septembre 2006 à 21h44)

"Un test positif n'est jamais le signe d'une infection par le VIH"

Je me permets une image banale pour bien illustrer ce "slogan" Wallypatien.

De l'huile et des traces de pneus sur la chaussée, des débris de verres, (anticorps, p24, gp120) suppose un événement impliquant un véhicule (virus, protéines, substances, etc ), mais le véhicule lui-même est absent. Il n'a pas été interpelés. (Pas été isolé) On ignore, le type, la marque, le modèle, la couleur, le numéro de plaque. (Identité génômique, chimique) Beaucoup de véhicules différents peuvent produire exactement les mêmes marques lors de leur passage.(facteurs pouvant causer la séropositivité) Plusieurs accidents ( primo-infection) ont été constaté en présence des mêmes marques ( test) peut-on déduire que c'est toujours le même véhicule (VIH supposé) qui soit en cause ? Nous avons bien photographié (microscopie électronique) un véhicule suspect à plusieurs reprises (2x), mais la gomme des pneus, l'huile moteur et les débris de glaces sont des composés commun à beaucoup de véhicules différents.

Voilà en résumé métaphorique le problème central concerant l'affirmation qu'un virus cause le SIDA.

C'est tout simplement excellent (à mon avis), Psyence !

Merci !

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Bonsoir à tous ! Je répond en bloc à vos post !

Le problème, c'est qu'on entretient un dialogue de sourd :

Donc, excusez-moi tous, mais CESSEZ de dire ou de laisser entendre que les symptômes de la primo-infection seraient ceux d'une contamination par le "VIH".

Ou avez vous vu que je prétendais que la primo infection résultait d'une infection par le VIH ??? Je ne fais que décrire le fait que la séroconversion dites HIV est très souvent précédé par une primo infection. Je n'ai pas parlé de séroconversion HIV, mais séroconversion tout court.... On peut séroconvertir HBV... J'entend par séroconversion le changement de la formulation sanguine. Je sais que chez les francophones, il y a un abus de langage, lorsqu'on dit séropositif, on l'assimile automatiquement à HIV, mais c'est un pure abus de langage, on peut etre séropositif à tout un tas de truk, de virus divers et varié, et même à ceux qui ont vraiment été isolé ! lol

Si cela peut faire plaisir a Wally, puisque le mot HIV semble le mettre ds tous ses états, on peut trouver un code ecrit qui mette tous le monde en phase, ne disons plus séroconversion HIV, mais séroconversion au stress oxydatif, ou séroconversion SO. Comme ça on évacue l'arlésienne. Et on s'embrouille plus sur un quiproko de langages.

Je vais d'abord répondre à la question de Liane, je suis d'accord avec l'ensemble des propositions que tu cites, sauf la Numéro 2.... Pourquoi j'ai envoyé mon amis faire un test "SO" (VIH Oups pardon Wally) ??? Parce que la primo infection est très caractéristique contrairement à ce qui est prétendu tout au long de ces post. Parce que je l'ai instantanément reconnu. Et cela n'a rien a voir avec une intuition esotérique. Parce que c'est une combinaison très spécifique de symptomes. Je reconnais, qu'étant issus d'une famille appartenant au monde médicale, je dispose d'un entrainement naturel depuis ma plus tendre enfance à poser des diagnostiques. Ma mère en avait fait un espèce de jeu avec moi quand j'étais mome, et je trouvais ça rigolo... Ben oui, j'étais un peu concon qd j'étais gamin...

Et que tout oeil aguérit et expérimenté est en mesure sans avoir recour au moindre test de savoir qu'il s'agit d'une séroconversion SO .

COMMENT FAITES-VOUS, VOUS LES DISSIDENTS ATTACHES ENCORE AU "VIH", POUR DISTINGUER LES SYMPTOMES D'UNE "PRIMO-INFECTION VIH" AVEC LES SYMPTOMES IDENTIQUES D'UNE AUTRE PRIMO-INFECTION ?

Ben désolé Wally, au risque ce coup ci de te paraitre prétentieux, non, cela ne ressemble pas à un rhume, ça ne ressemble pas à une grippe, ça ne ressemble pas à une angine, aucun rapport avec les symptomes d'une infection rhino pharyngés. Toutes ces descriptions sont simplètes et bien loin de la réalitée. J'ai vu des gens avec des grippes épouvantables cloués au lit des jours durant grelottant de fièvre. J'ai vu des gens avec des angines carabinées à plus pouvoir déglutir. Et il ne m'est jamais venu à l'idée qu'ils étaient en séroconversion SO. Car une séroconversion SO, ben cela ne ressemble en rien à tout cela.

La prilmo infection, pour l'avoir vécu, pour l'avoir vu, est un mix totalement anachronique de tous l'ensemble des symptomes de toutes ces infections, mais toutes en même temps... Et ça, c'est exceptionnel . Plus qu'exceptionnel, c'est complètement anormal .

Alors, certes, pour répondre a Delwere, c'est mon expérience, aussi celle de quelques amis, mais c'est aussi le témoignage d'une multitude de séropositif.

Je ne vois pas en quoi je devrais accorder plus de fiabilité aux déclarations du "psy d'une association privée pour les personnes malades du SIDA" qu'à ce qui figure dans le passage reproduit. En fait, le pourcentage de la (supposée) primo-infection est tout simplement inconnu !

Mon expérience, elle a été faite sur le terrain, avec une mise en contact direct ou indirect avec une multitude de gens séropositifs... C'est vrai que je ne suis pas laborantin ou bilogiste mettant en oeuvre des test Elisa et Western Blot... D'ailleurs, les laborantins, que peuvent ils en savoir de la primo infection, ils sont d'ailleurs très bavard dès lors qu'il trouve un mauvais résultat... Dans ce genre de circonstance, en france, la plupart ne te donne même pas le résultat... T'informant en begayant que certains de tes résultat nécessitent la prise de contact immédiate avec ton médecin... Généralement en regardant leur pompe, le plafond, les murs, mais jamais droit dans les yeux et fonce vite dans leur bureau... J'ai parfaitement lu l'article auquel Wally se réfère, et en ce qui me concerne, j'accorde beaucoup plus de crédit aux dires désintéressés d'un psy qui a eu les couilles de tenir la mains de gens en phase terminal, abandonner de leur famille au fond d'un lit d'hopital... D'autant que le dit psy était un parfait partisan des médecines douces... Et que son association, privé justement, ne serait ce que pour garder son indépendance, ne recevait aucune subvention, n'était financé que par d'authentiques don privé.

Quant à ma propre séroconversion SO, je ne crois pas une seconde qu'elle soit lié à la vaccination pour la fièvre jaune, je me suis fais vacciner ds la même pièce au même moment avec mes parents. Qui eux sont parfaitement séronégatif.

Des tas de "choses" peuvent provoquer une lente détérioration de nos antioxydants, à commencer par le style de vie. En d'autres termes, cette lente détérioration n'est pas nécessairement due à un agent infectieux.

Là, je suis bien d'accord avec Wally, j'attire simplement votre attention sur le fait que moulte de mes amis séronégatif ont des vies de patachon, et ne développe pas de SIDA, ni au bout de dix ans, ni au bout de trente....

Tandis qu'à mode de vie équivalent, voir même à mode de vie très rangé, nathuro, saine vie, un séropositif SO peut se retrouver aux urgences au bout d'une dizaine d'année. Et que la seule incrimination des traitements antiretrovirs ne suffit pas a l'expliquer, parce que certains refusent d'en prendre, et qu'à la fin des années 80, avant la réintroduction de l'AZT, il y avait des gens malades qui mourraient... Dès lors, l'état de séropositivité n'est pas à prendre à la légère.

Alors ok, moi, j'admet sans problème qu'il existe 80 voir 100 raisons qui peuvent provoquer la séroconversion SO. et que bientot, la liste s'alongera et qu'on en fera un parchemin genre bulle papalle...

N'empeche que j'ai observé avec objectivité que maintes séroconvertions SO sont précédées d'un épisode de primo infection. Et qu'au dela du listing de la bulle papalle, il y a bien un évènement clé qui va déterminer un avant, et un après. Pour ma part, puisqu'il le faut, on va mettre carte sur table... Il se trouve que trois mois avant la date présumé de la séroconversion SO, j'ai eu un dépistage HIV, dans le cadre de mes études professionnels, étant Pilote d'avion de formation. Comme tout Pilote, on a une visite annuel au CEMPN (Centre d'Expertise Médical du Personnel Naviguant), et là je vous garantit, c'est du mega decryptage !! J'étais négatif, bien entendu. J'étais jeune, et avait plutot eu saine vie. Je me serais même pas aviser de fumer un joint, car il y avait une légende qui disait qu'au CEMPN justement, ils avait des moyens de repérer ds le sang le fameux TSH du Cannabis jusqu'à 4 mois après consommation... Motif d'exclusion à vie ! D'autre part, étant issu du monde médicale, très curieusement, les antibiotiques étaient quasi interdit à la maison !! Parce que les médecins, si ils en prescrivent des wagons à qui en demande, pour leur propre enfants, ben tintin !! Ils sont pas si dingues que ça en fait, surtout quand ça touche leur rejeton !

Pendant qu'on focalise sur le " vih ", les causes réelles de cette réaction violente ne sont pas recherchées, ni traitées correctement ou supprimées (si c'est possible).

C'est justement là que je veux en venir. La cause réelle de cette réaction violente, on ne la connait pas. Ce qui implique de la part de la dissidence un devoir de réserve.

Car si à l'origine, j'ai lancé ce débat qui peut sembler avoir ni queu ni tete, ce n'était pas si anodin que ça. Et c'est a dessein que je suis partit sur une reflexion générale tournant autour de la primo infection. Car en effet, j'ai lu maintes et maintes fois, aussi bien ds ce forum, que sur le site de Mark, que le SIDA n'était pas une maladie sexuellement transmissible.... Cette affirmation me dérange profondemment, car si en effet, il y a sans doute une multitude de raison qui peuvent provoquer la séroconversion SO, sans passer ni par des seringues souillées, ni par des rapports passifs non protégés, n'empeche que force est d'observer que cette affirmation va aussi complètement à l'encontre de ma propre expérience, mais aussi de l'expérience avéré de nombreux sero SO.

Et entendons nous bien, je ne parle pas ici de VIH. Je parle de cette prédisposition au Stress Oxydatif, qui elle a bel et bien l'air de pouvoir se transmettre via des rapports non protégé, et particulièrement anaux.

Que ce soit via l'exposition à un retrovirus inconnu non isolé, ou comme le pense Cheminot et j'adhère à sa théorie à des protéines alloimunes, il y a bel et bien un agent, qui de toute évidence peut se transmettre sexuellement ou via les contacts de sang. Et que dans la mesure ou nous ne sommes pas plus capable de prouver que ce n'est pas le cas, pas plus que les orthodoxes peuvent prouver que le VIH existe. Il faut rester vigilant dans nos affirmations. Car la charge de la preuve n'est pas moins valable pur nous même que pour eux. Ce forum peut être librement visité par des gens anonymes, qui pourraient penser, halleluiah ! le VIH n'existe pas ! Allons y gaiement ! La capote, c'est pas top, n'empeche que jusqu'à preuve du contraire, je pense qu'affirmer que le SIDA ne se transmet pas sexuellement, c'est assez dangereux.

Bien à vous !

Jeff

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Jeff-Lyon,

Je voudrais juste indiquer que cet espace est un Forum qui traite de certains sujets où des personnes (venant de tout bord) parlent de leur propres avis. En aucun cas ce forum doit être pris comme étant une source d'indications thérapeutiques ou conduite face à une maladie ou à des sysmptômes. Je crois aussi que c'est le cas de tous les forum sur internet.

Maintenat j'avoue que je ne te suis plus. Pour les raisons suivantes:

1- Tu parles des symtômes de primo-infection comme étant spécifiques - cela se contredit avec tous ce que j'ai vu dan sla littérature jusqu'à maintenant

2- Tu parles de la séroconversion tout court et tu address à une dissidence. Je crois que ce topic regroupe des personnes dissidentes de l'hypothèse HIV-->SIDA, donc séroconversion pour eux c'est une réaction positives des standard de HIV.

Donc si toi (présumé dissident) tu prétends que la primo-infection SO (=VIH) est très caractéristique, je me demande pourquoi l'orthodoxie n'utilise pas ce fait s'il est si authentique que cela. Au contraire, souvent l'orthodoxie parle de symptômes pas du tout spécifiques et qui passent souvent inapperçus.

Grosso modo tu prétends que les symptômes de nature à faire positiovement réagir le test VIH sont très spécifiques et en même temps tu parle de séroconvertion tout court (c.à.d. pouvant se produire suite à une infection par n'importe quel germe oarmis un grand nombre de germes possibles), je ne vois pas ta logique.

3- En plus je vois que tu mélanges SIDA et HIV en parlant de la transmssion. Je ne capte plus!

Tu insistes sur le fait que tu ne prends pas de drogues, que tu as une vie seine, etc. mais pouratnt tu as eu une primo-infection avec un test VIH+. Et alors, wallypat a dréssé 80 raisons pour lesquelles on pourrait faire une primo-infection et tester + au VIH.

Sincèrement je ne vois plus ou tu veux aller!!

je trouve que tu as l'air de vouloir démontrer qu'il existe un (ou plusieurs) "machin" qui infecte (par voie sangine ou sexuelle), cause une primo-infection a symptômes spécifiques, qui réagit positivement au test VIH et qui cause le SIDA. Et bien rends toi compte que décripter un tel montage constitue le rêve de tout chercheur en la matière. D'ailleur c'est ce que l'orthodoxie essaye de faire depuis 25 ans, sauf qu'ils se sont plantés: le machin n'etait pas isolé, la transmission sexuelle pas prouvée, les symptômes de la primoinfection pas spécifiques et rares, les tests du machin pas a 100% fiables,etc ..

L'orthodoxie a vraiment du mal a soutenir un montage pareil même en croyant au VIH, car tous simplement l'hypothèse a besoin de preuves scientifiques pour devenir une réalité. Les preuves scientifiques doivent donner des moyens permettant d'établir des prédictions précises, c'est ce que l'orthodoxie n'a pas réussi à faire.

Finalement je crois que tu ne prends pas en compte les écrits des habitués de ce forum. En effet, il était toujours dit et redit que l'uage du préservatif est toujours fortement conseillé car il protège naturellement et au moins des MST.

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(Jeff-Lyon @ Samedi 30 Septembre 2006 à 01h56)

Re moi, juste histoire d'illustrer ce qui soit disant ressemble à un rhume innofensif... Jeter un oeil sur le lien suivant....

Primo Infection

Il est vrai que ces "boutons" impressionnent.

De là à dire que ce serait à cause du "VIH" (ou de le laisser entendre), c'est aller bien vite en besogne et c'est supposer, un peu naïvement à mon avis, que seul le "VIH", à supposer qu'il eût pu exister, puisse causer cela.

Ci-dessous, une liste non exhaustive de maladies (réelles, c'est-à-dire non "VIH") pouvant par exemple causer de tels rash cutanés (comme vu dans ton lien) et trouvé dans cet article-ci :

Les exanthèmes morbilliformes et rubéoliformes

L'éruption est dite "morbilliforme" s'il s'agit, comme dans la rougeole, d'une éruption maculo-papuleuse, faites d'éléments érythémateux arrondis ou ovalaires plus ou moins nombreux mais séparés. Les éléments ("les boutons") sont nombreux, confluant parfois par endroits en placards à l'intérieur desquels on trouve des intervalles de peau saine, avec des éléments isolés à la périphérie des placards. Mesurant 3 à 6 mm de diamètre, les éléments sont franchement papuleux et rouges.

L'éruption est dite "rubéoliforme" lorsque les éléments sont peu nombreux, plus petits, moins saillants, ne confluant pas et plus roses que ceux de la rougeole.

(Une macule est une tâche rouge sans relief sur la peau due à la dilatation de capillaires sanguins. Une papule est une tache rouge en relief sur la peau.)

Causes des exanthèmes morbilliformes ou rubéoliformes :

La rougeole ;

La rubéole ;

L'exanthème subit (roséole) ;

L'exanthème de Boston : il est provoqué par le virus Echo-16. L'évolution se rapproche de celle de l'exanthème subit : incubation de 3 à 8 jours, fièvre élevée de 24 à 36 heures puis la fièvre tombe et l'éruption apparaît maculo-papuleuse, d'abord localisée à la face et à la partie supérieure du thorax et bientôt généralisée, de couleur rose saumon, faite de taches de 1 à 2 mm de diamètre, légèrement saillantes. L'éruption, non prurigineuse, dure de 1 à 5 jours et s'efface sans laisser de trace ;

Les autres infections à ECHO virus entraînant des éruptions qui évoquent la rubéole. Le virus Echo-9 donne la maladie de Crawford avec fièvre, vomissements, douleurs abdominales, céphalées (réaction méningée) et éruption rubéoliforme non prurigineuse de 2 à 5 jours ;

Les virus Coxsackie provoquent des érythèmes maculo-papuleux localisés ou généralisés, plus ou moins fébriles, avec des signes d'infection rhino-pharyngée et des adénopathies.

Le virus Coxsackie A 16 détermine le syndrome "pied-main-bouche" : petites vésicules ulcérées dans la bouche, puis après quelques jours un exanthème maculo-vésiculaire sur les bords des doigts et des orteils et sur les paumes et les plantes. La maladie comporte peu de fièvre et guérit en moins d'une semaine ;

Les adénovirus peuvent déterminer une éruption avec atteinte rhino-pharyngée, toux, larmoiement etc...

La mononucléose infectieuse (l'éruption peut être due à la maladie elle-même ou à la prise d'un antibiotique tel que l'ampicilline) ;

La maladie des inclusions cytomégaliques ;

La maladie des griffes du chat ;

Les rickettsioses ;

Les septicémies bactériennes (méningocoques etc...) ;

La toxoplasmose acquise ;

Les allergies médicamenteuses : pénicilline et dérivés, sulfamides, vaccins etc...

Les réactions toxiques ;

D'autres maladies : RAA, purpura rhumatoïde, polyarthrite chronique, dermatomyosite, lupus érythémateux disséminé etc... peuvent entraîner une éruption.

L'exanthème scarlatiniforme

L'éruption est dite "scarlatiniforme" lorsqu'elle ressemble à celle de la scarlatine : nappes congestives, en principe rouge franc, à l'intérieur desquelles on ne voit pas d'intervalles de peau saine; accentuation de l'éruption au niveau des plis cutanés (plis du coude, du genou etc...).

Une desquamation des paumes et des plantes est notée à la fin de l'éruption.

Les causes sont multiples :

La scarlatine ;

Les "rash scarlatiniformes" ;

Certaines formes de varicelle ;

La primo-infection herpétique ;

Les septicémies bactériennes ;

La leptospirose ;

La "cinquième maladie" ou mégalérythème épidémique touche l'enfant de 5 à 15 ans. L'incubation silencieuse est de 6 à 15 jours. L'exanthème se manifeste sur la face, les joues où il s'étend symétriquement de part et d'autre du nez en ailes de papillon, épargnant le nez, le menton et le front. C'est un placard rouge sans bourrelet. Sur les membre l'érythème progresse des racines vers les extrémités. Assez vite, le centre pâlit et ne persistent que de larges zones de coloration normale cernées par une bordure polycyclique.

L'évolution, s'étend sur 10 jours. Très peu de fièvre, très peu de prurit, pas d'énanthème et pas d'adénopathie. Le virus est un parvovirus B19. En cas de drépanocytose, l'infection peut provoquer une anémie aiguë. Au cours de la grossesse, l'infection peut provoquer un anasarque foetoplacentaire.

La rubéole ;

Les infections à virus Coxsackie ou Echo ;

La mononucléose infectieuse ;

La maladie de Kawasaki ;

La toxoplasmose ;

Les infections à staphylocoques ;

L'allergie médicamenteuse : antibiotiques etc...

Les allergies cutanées : Nylon, textiles synthétiques etc...

Les allergies par voie générale ;

les autres maladies : rhumatisme articulaire aigu, polyarthrite juvénile, collagénoses diverses etc...

Les éruptions vésiculeuses

Il s'agit de vésicules qui sont de petites bulles disséminées.

La varicelle ;

Le prurigo strophulus ;

L'impétigo bulleux ;

Le zona ;

Primo-infection herpétique ;

Syndrome pied-main-bouche ;

La variole.

L'érythème noueux

L'éruption est faite de quelques éléments au niveau des faces d'extension des membres, là où les os sont superficiels et près des articulations, de façon bilatérale et symétrique : face antérieure de la jambe sous le genou, face postérieure du coude etc...

Chaque élément est légèrement saillant, ovalaire, à grand axe parallèle à celui du membre. Sa taille varie de 5 mm à 4 cm. Sa couleur est rose ou rouge vif, puis violacée.

Chaque élément, de consistance ferme, ou nouure est enchâssé dans le derme et l'hypoderme, mobilisable sur les plans profonds ; il est douloureux à la pression mais indolore spontanément.

Chaque élément passe par les couleurs successives de la contusion : violet, puis verdâtre, enfin jaunâtre. Il disparaît en 8 à 10 jours sans suppuration ni cicatrice.

On observe le plus souvent 2 à 4 poussées de quelques éléments d'où la coexistence de nouures d'âges différents.

Les causes sont nombreuses :

La primo-infection tuberculeuse ;

L'infection par le streptocoque béta hémolytique (rhumatisme articulaire aigu) ;

La maladie des griffes de chat (lymphoréticulose bénigne d'inoculation) ;

L'allergie aux sulfamides ;

La rectocolite hémorragique, la maladie de Crohn...

L'érythème polymorphe

C'est une dermatose caractéristique par son aspect érythémato-papuleux en cocarde ; elle peut être de nature infectieuse ou allergique.

Il existe une forme bulleuse (syndrome de Stevens-Johnson).

Dans sa forme érythémato-papuleuse, l'érythème polymorphe est caractérisé par l'apparition de papules oedémateuses rouges violacées de forme arrondie. L'extension périphérique va réaliser une cocarde de 1 à 3 cm en 48 heures. Du centre à la périphérie, on note successivement :

Une vésicule centrale ;

Un anneau central érythémateux rouge foncé ;

Un second anneau vésiculeux lilacé ;

Un troisième érythémato-papuleux.

Cette éruption siège de façon symétrique autour de la bouche et sur les zones d'extension des membres.

L'enfant, de 8 ou 10 ans, présente un peu de fièvre, quelques douleurs articulaires et des éléments maculo-papuleux de 0,5 à 1 cm de diamètre, déprimés, violacés au centre avec un bourrelet bien coloré, éléments en cocarde etc...

Les causes sont multiples : allergie aux sulfamides, hydantoïnes, Gardénal®, antithermiques, analgésiques, pyrazolés, phénylbutazone...etc

Parfois, la cause est infectieuse : herpès, mycoplasme, MNI etc...

Dans sa forme bulleuse, l'érythème polymorphe présente la même topographie. Les bulles peuvent se trouver au centre d'une cocarde ou bien reposer en peau saine. L'existence de plusieurs poussées permet d'observer tous les aspects évolutifs d'une bulle : pustule, croûte, érosion.

L'atteinte de la bouche est fréquente.

L'évolution est bénigne en quelques jours.

Le syndrome de Stevens-Johnson est la forme aiguë fébrile la plus sévère de l'érythème polymorphe.

N'importe quel lecteur aura naturellement compris à la lecture de ce qui précède que d'innombrables maladies peuvent se manifester par des rash cutanés tels que vu sur le lien "VIH" donné par Jeff-Lyon. Cela ne conduira pas forcément ensuite aux maladies proprement dites (exemple : toxoplasmose [5O% des français ont rencontré la toxoplasmose et ont des anticorps contre la toxoplasmose, sans faire la maladie pour autant] contractée à l'occasion d'un rapport un peu trop rapproché avec une autre personne : cela pourra se traduire par un tel rash cutané, mais pas par la maladie elle-même sauf si immunodépression ultérieure).

Il n'est pas besoin d'être médecin pour savoir que bon nombre de ces (réels, contrairement au "VIH") germes, bactéries et autres virus peuvent être contractés justement à l'occasion d'un rapport un peu trop rapproché avec une autre, et même sans qu'il s'agisse nécessairement d'un rapport dit "non protégé" (que dire alors des homosexuels qui dans leurs pratiques sexuelles, sont exposés aux matières fécales du partenaire [on en trouve des tas de saletés là-dedans, sans vouloir faire un dessin !]). De même, bon nombre de ces germes peuvent causer les autres symptômes prétendument attribués à la "primo-infection VIH".

Comme par exemple la mononucléose :

Principaux symptômes

Une fatigue extrême.

Un gonflement et une sensibilité des ganglions de la région cervicale (côtés et arrière du cou).

Un accès de fièvre en fin de journée pouvant aller jusqu'à 40,5 ºC (105 ºF).

Des maux de tête.

Une perte d'appétit.

Un mal de gorge.

Autres symptômes

Des courbatures.

Des rougeurs.

Un gonflement du foie (dans 20 % des cas) ou de la rate (dans 50 % des cas).

Une légère jaunisse causée par une surcharge temporaire du foie.

En d'autres termes, il ressort manifestement de ce qui précède que les symptômes de la "primo-infection VIH" n'ont aucune spécificité au "VIH", à supposer même que ce dernier existât.

C'est ce qui est confirmé d'ailleurs par bon nombre de soi-disant "experts" ès "VIH", tels cette organisation :

La primo-infection par le VIH peut se déclarer cliniquement 15 jours à 3 mois après la contamination, chez 20 à 50% des patients infectés.

L'aspect clinique est, dans ce cas, un syndrome mononucléosique analogue au syndrome viral de la grippe ou de la rubéole. Les signes sont, par ordre décroissant de fréquence : adénopathies cervicales et axillaires (parfois splénomégalie), fièvre pouvant persister un mois, sueurs, asthénie intense -voire des malaises-, une anorexie, des courbatures, des myalgies, un rash cutané -voire urticaire-, une dysphagie douloureuse, des céphalées, des arthralgies, parfois une candidose avec ulcérations buccales. De façon exceptionnelle : encéphalopathie (avec troubles de la conscience, désorientation, amnésie, troubles de la personnalité -voire coma), méningite aiguë lymphocytaire, myélopathie, neuropathie périphérique. Ces symptômes disparaissent au bout de quelques semaines à un mois. Ces signes, totalement non spécifiques, doivent faire évoquer le VIH chez un sujet jeune, ayant des conduites à risque.

Conclusion : je ne vois toujours rien qui irait à l'encontre de l'idée que la "primo-infection VIH" est bien un mythe. Certes, les symptômes sont là, mais absolument rien ne prouve que cela serait dû au "VIH". Qu'il suffise de lire la liste reproduite ci-dessus. Ce sont au contraire les germes cités ci-dessus qui peuvent rendre positif le test dit "VIH". Mais cela ne signifie en rien que c'est une "primo-infection VIH".

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Je me rends compte que dans le lien "VIH" donné par Jeff-Lyon, il y a également une photo d'"érosions buccales".

Pour éviter toute équivoque à ce sujet, le lecteur est invité à lire par exemple ce document, où il constatera que les causes d'érosions buccales sont tout simplement innombrables. Lisez par exemple le "Tableau I" et vous constaterez que les causes d'érosions buccales recoupent bon nombre des causes de rash cutanés !

Mieux encore, concernant les érosions buccales "VIH" :

Exceptionnellement, des érosions buccales suggèrent une primo-infection à VIH : les lésions sont aphtoïdes et accompagnent un exanthème morbilliforme (diagnostic sur le contexte, avec demande d'antigènémie).

Bref, non seulement ces érosions buccales n'ont aucune spécificité au "VIH" mais en plus elles sont exceptionnelles !

Mais où est donc la "primo-infection" spécifique du "VIH" ?

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Hello Delwere,

Bon, visiblement, le message a du mal a passer, je reprend :

1- Tu parles des symtômes de primo-infection comme étant spécifiques - cela se contredit avec tous ce que j'ai vu dan sla littérature jusqu'à maintenant

Je ne suis pas d'accord du tout, la primo infection est tout ce qu'il y a de plus spécifique. D'ailleurs, les orthodoxes qui ont longtemps affirmé qu'elle n'était pas spécifique sont en train de faire un revirement comme seul eux en ont le secret. Et désormais, la littérature scientifique décrit bel et bien un ensemble de symptomes au contraire très spécifique. Simplement, l'information à mis plus de dix ans a descendre auprès des généralistes. Les signes spécifiques sont les suivants :

Tableau d’allure grippale avec fièvre (38 à 39,5°C), sueurs, asthénie, malaise général, arthralgies et myalgies, céphalées, douleurs pharyngées, parfois signes digestifs.

Une polyadénopathie est possible.

Des signes neurologiques sont fréquents (près de 50 p. 100 des cas), avec syndrome méningé, troubles du comportement, plus rarement encéphalite, crises convulsives ou polyradiculonévrite.

Eruption cutanée Présente dans 60 à 70 p. 100 des cas symptomatiques.

Erythème généralisé qui apparaît entre le 1er et le 5e jour des signes généraux.

Il touche le plus souvent le tronc, la racine des membres et le cou, parfois le visage. Il est habituellement morbilliforme fait de maculo-papules de quelques millimètres à 1 cm de

diamètre, arrondies ou ovalaires, bien limitées, non confluentes, non squameuses. Il peut toucher les paumes et les plantes.

Le prurit est rare et modéré. La durée de l’éruption est de 5 à 10 jours.

Des formes plus rares sont possibles à type d’urticaire, d’éruption vésiculo-pustuleuse, ou d’éruption strictement palmo-plantaire.

Manifestations muqueuses

Enanthème de la muqueuse buccale. Erosions muqueuses de 5 à 10 mm de diamètre. L’atteinte bucco-pharyngée s’accompagne de douleur à la déglutition. Des ulcérations oesophagiennes sont possibles.

Des érosions ou ulcérations génitales ou anales sont également fréquentes.

Voilà, mais le problème, c'est que pendant les années 90, aucuns toubibs faces à ce genre de symptomes n'avait la moindre idée de ce que ça pouvait être... Les gens qui les consultait repartait avec de l'efferalgan, une prescription d'antibiotique au cas ou, des pastilles a sucer pour la gorge et pour les médecins les plus mauvais, une prescription d'anti hystaminique... N'empeche que le cumul de tous ces symptomes ne cadre en aucun cas avec un angine, une grippe ou un rhume.... Donc contrairement à ce que tu affirmes, pour une personne avertit, la primo infection est tres caracteristique .

2- Tu parles de la séroconversion tout court et tu address à une dissidence. Je crois que ce topic regroupe des personnes dissidentes de l'hypothèse HIV-->SIDA, donc séroconversion pour eux c'est une réaction positives des standard de HIV.

Nan nan nan !! La terminologie de la séroconversion n'a aucun rapport avec le VIH. As tu fais une maladie infantile étant enfant ??? Genre une varicelle ??? Alors si tel est le cas, tu es séropositif au virus VZV... Je ne prétend pas qu'il s'agisse du virus HIV. Ce qui est certain, c'est que sauf rarissime cas, les gens déclaré Séronégatif au "SO" ou disons le franchement au VIH, ne développe pas le trouble d'immunosupression appelé SIDA. Tandis qu'une grande quantité de personne déclaré Séro+ HIV, eux, voient au bout d'une dizaine d'année leur système immunitaire entrer en dysfonction.

Alors si certes, les tests de diagnostiques ne sont spécifique de rien, et encore moins d'un virus HIV, il n'en demeure pas moins, 'un résultat positif n'est pas un bon signe de santé à moyen long terme. On s'en fout qu'ils soient spécifique ou non à un virus qui existe ou pas. Il n'en demeure pas moins que cela prépodispose les positifs à une tonne de problème de santé. Il y en a quelques un qui passe a travers, mais ils sont pas légions non plus.

3- En plus je vois que tu mélanges SIDA et HIV en parlant de la transmssion. Je ne capte plus!

Nan nan nan, ne croyant pas au virus HIV, je ne parle pas de transmission de virus. Je ne connais pas l'origine du disfonctionnement conduisant au SIDA. Ce que j'ai observé par contre, c'est que ce disfonctionnement est transmissible par voie de sang ou par voie sexuelle. Point barre.

Tu insistes sur le fait que tu ne prends pas de drogues, que tu as une vie seine, etc. mais pouratnt tu as eu une primo-infection avec un test VIH+. Et alors, wallypat a dréssé 80 raisons pour lesquelles on pourrait faire une primo-infection et tester + au VIH.

Je ne prenais pas de drogue avant ma séroconversion, ça c'est certain, depuis je me suis rattrapé, cela dit, j'aurais mieux fais de m'abstenir... Je ne suis pas né positif au test HIV, spécifique ou non. Et sur les 80 raisons draissé ds le listing, je n'en vois aucune qui pourrait s'appliquer à mon cas de manière crédible ds le laps de temps qui sépare Avril à Juin 90. En dehors de la prise subite de risque via des rapports non protégé.

D'ailleur c'est ce que l'orthodoxie essaye de faire depuis 25 ans, sauf qu'ils se sont plantés: le machin n'etait pas isolé

Faux !! Voila déjà fort longtemps que l'orthodoxie a trouvé son arlésienne !! Et cela fait bien longtemps que la recherche fondamentale a contourné tous les problèmes de fond et d'isolement de leur virus, cela en cultivant allègrement des artefacts via des cellules cancereuse qui exprime des tas d'ARN étrange, et tous le monde s'est bien entendu qu'ils étaient bien conforme au soit disant VIH.... Ils se cassent vachement moins la tete que tu te l'imagines. Le problème de l'isolement a été tous simplement zappé ! Ya pas un rond dépensé pour ça !!

Maintenant, mon approche est factuel, et je suis navré si je jette un pavé dans la marre chez les dissidents. Ce que les dissidents rejettent, c'est le rapport de causalité VIH=SIDA.

Et je suis d'accord, car sur le plan scientifique, ce rapport de causalité ne tient pas debout.

Du coup, étant curieux, et en plus, c'est quand même de ma vie qu'il s'agit, je me pose des question, et je pose l'équation ?=SIDA

De là, je réunis l'ensemble des faits, et je cherche à me faire une opinion crédible sur le plan scientifique. Aujourd'hui, Cheminot m'a apporté enfin une piste crédible, et qui a l'air enfin de tenir la route sur le plan scientifique et qui me semble plus satisfaisante que le listing des 80 raisons qui peuvent induire un résultat VIH+. Moi, je veux bien que quelqu'un qui présente un herpes puisse développé des anticorps susceptible de faire virer un test Elisa au rouge, mais ce sont des cas endémiques, ils ne sont pas légions, si on décrypte le listing en question, plus de la moitié de la population mondial aurait été testé HIV +... Ce serait la plus grande catastrophe sanitaire de tous les temps... Ce qui est loin d'être le cas...

Je pense pour ma part en effet que nous sommes confronté à un agent infectieux d'un type complètement nouveau, qui n'est ni une bactérie, ni un virus. La théorie de cheminot a le mérite d'unifier toutes les théories, une protéine alloimunes capable de s'auto induire, générant des réactions immunitaires (d'ou la primo infection), transmissible par auto induction, toxique pour les anti oxydants, d'ou découle le stress oxydatif. Qui conduit à terme au dysfonctionnement immunitaire qui laisse la porte ouverte à un ensemble de maladies opportunistes qui peuvent aboutir à la mort.

Je ne vois rien qui cloche

Bien à vous

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(Jeff-Lyon @ Samedi 30 Septembre 2006 à 03h32)

Je ne suis pas d'accord du tout, la primo infection est tout ce qu'il y a de plus spécifique. D'ailleurs, les orthodoxes qui ont longtemps affirmé qu'elle n'était pas spécifique sont en train de faire un revirement comme seul eux en ont le secret. Et désormais, la littérature scientifique décrit bel et bien un ensemble de symptomes au contraire très spécifique. Simplement, l'information à mis plus de dix ans a descendre auprès des généralistes. Les signes spécifiques sont les suivants :

Tableau d’allure grippale avec fièvre (38 à 39,5°C), sueurs, asthénie, malaise général, arthralgies et myalgies, céphalées, douleurs pharyngées, parfois signes digestifs.

Une polyadénopathie est possible.

Des signes neurologiques sont fréquents (près de 50 p. 100 des cas), avec syndrome méningé, troubles du comportement, plus rarement encéphalite, crises convulsives ou polyradiculonévrite.

Eruption cutanée Présente dans 60 à 70 p. 100 des cas symptomatiques.

Erythème généralisé qui apparaît entre le 1er et le 5e jour des signes généraux.

Il touche le plus souvent le tronc, la racine des membres et le cou, parfois le visage. Il est habituellement morbilliforme fait de maculo-papules de quelques millimètres à 1 cm de

diamètre, arrondies ou ovalaires, bien limitées, non confluentes, non squameuses. Il peut toucher les paumes et les plantes.

Le prurit est rare et modéré. La durée de l’éruption est de 5 à 10 jours.

Des formes plus rares sont possibles à type d’urticaire, d’éruption vésiculo-pustuleuse, ou d’éruption strictement palmo-plantaire.

Manifestations muqueuses

Enanthème de la muqueuse buccale. Erosions muqueuses de 5 à 10 mm de diamètre. L’atteinte bucco-pharyngée s’accompagne de douleur à la déglutition. Des ulcérations oesophagiennes sont possibles.

Des érosions ou ulcérations génitales ou anales sont également fréquentes.

Voilà, mais le problème, c'est que pendant les années 90, aucuns toubibs faces à ce genre de symptomes n'avait la moindre idée de ce que ça pouvait être... Les gens qui les consultait repartait avec de l'efferalgan, une prescription d'antibiotique au cas ou, des pastilles a sucer pour la gorge et pour les médecins les plus mauvais, une prescription d'anti hystaminique... N'empeche que le cumul de tous ces symptomes ne cadre en aucun cas avec un angine, une grippe ou un rhume.... Donc contrairement à ce que tu affirmes, pour une personne avertit, la primo infection est tres caracteristique .

Dans ce post-ci, j'ai énuméré des tas de germes (autres qu'angine, grippe, rhume, ...) qui peuvent déjà causer de telles éruptions cutanées. Je ne suis pas médecin mais je ne serais pas étonné d'apprendre que parmi ces germes, certains peuvent causer certains des autres symptômes. D'ailleurs, ma liste reprend justement le germe "purpura (rhumatoïde)" d'ailleurs mentionné plus haut par Cheminot lui-même.

Au surplus, des maladies fourre-tout, genre syphilis, causent la plupart des symptômes cités.

Tu prétends que les symptômes de la primo-infection seraient très spécifiques. Pourrais-tu donner des références d'orthodoxes du sida affirmant cela, sur base d'études scientifiques peer-review (et pas des "on-dit", "je pense", "mon expérience", "par ouï-dire"), quand bien même cela ne prouverait rien ? Car là, je n'ai que ta parole contre des dizaines de sites internet, pourtant très actualisés, qui disent exactement le contraire.

Donc, je n'ai que ta parole. C'est bien peu pour fonder un fait. Car moi, les faits que je constate, c'est, outre ce que je lis sur les sites internet spécialisés en "VIH" et dans lesquels AUCUN confirme que les symptômes sont spécifiques au seul "VIH", que je connais au moins une centaine de séropos (je ne vais pas entrer dans les détails). Avec une vingtaine d'entre eux, j'ai eu l'occasion de parler des circonstances de leur séropositivité. Bien peu m'ont parlé de tes signes de primo-infection. En tout cas, moi, je ne les ai pas connus personnellement, hormis une encéphalite, mais plus de deux ans après l'annonce de ma séropositivité.

Nan nan nan !! La terminologie de la séroconversion n'a aucun rapport avec le VIH. As tu fais une maladie infantile étant enfant ??? Genre une varicelle ??? Alors si tel est le cas, tu es séropositif au virus VZV... Je ne prétend pas qu'il s'agisse du virus HIV. Ce qui est certain, c'est que sauf rarissime cas, les gens déclaré Séronégatif au "SO" ou disons le franchement au VIH, ne développe pas le trouble d'immunosupression appelé SIDA. Tandis qu'une grande quantité de personne déclaré Séro+ HIV, eux, voient au bout d'une dizaine d'année leur système immunitaire entrer en dysfonction.

Alors si certes, les tests de diagnostiques ne sont spécifique de rien, et encore moins d'un virus HIV, il n'en demeure pas moins, 'un résultat positif n'est pas un bon signe de santé à moyen long terme. On s'en fout qu'ils soient spécifique ou non à un virus qui existe ou pas. Il n'en demeure pas moins que cela prépodispose les positifs à une tonne de problème de santé. Il y en a quelques un qui passe a travers, mais ils sont pas légions non plus.

Ah, merci pour ce passage ! Voilà qui va peut-être relancer le débat sur ce point et qui m'oppose à Psyence.

Comme tu pourra le constater à la lecture de ce topic-là (pages 8 à 16), après quelques (très) grosses difficultés, j'ai admis qu'il n'y avait pas de corrélation, même lâche, entre séropositivité et sida, du moins certainement pas dans les groupes non à risque de sida.

Cependant, le débat continue avec Psyence car je persiste à dire (tout comme toi visiblement, mais un peu autrement) que le fait qu'une personne d'un groupe à risque de sida (ou ayant du moins un style de vie à risque de sida) est déclarée séropositive est l'indice d'une propension certaine, quoique lâche, de ce séropositif à faire ultérieurement un sida, du moins si ce style de vie perdure.

Cette corrélation, dans les groupes à risque de sida, entre séropositivité et sida est fort décriée par Psyence, et je ne comprends toujours pas pourquoi. Tu trouveras d'ailleurs mon dernier post sur ce sujet ici. Bienvenu au club ! Au moins, je ne me sens plus seul sur ce coup-là ! lol

Nan nan nan, ne croyant pas au virus HIV, je ne parle pas de transmission de virus. Je ne connais pas l'origine du disfonctionnement conduisant au SIDA. Ce que j'ai observé par contre, c'est que ce disfonctionnement est transmissible par voie de sang ou par voie sexuelle. Point barre.

Evidemment qu'un stress oxydatif peut être transmis par le sang ou par voie sexuelle. Le Perth Group ne dit pas autre chose en parlant de l'exposition aux protéines étrangères. C'est tout particulièrement le cas par le sang ou dans le cadre de la sexualité anale réceptive. Toutefois, en cessant cette exposition (avant que ce stress oxydatif n'ait causé des dommages irréversibles) et pour autant qu'il n'y ait pas d'autres causes durables de stress oxydatif, c'est réversible.

Qu'il suffise de citer le cas célèbre (en 1985) de cette femme qui redevint séronégative après avoir cessé de s'exposer aux protéines étrangères de son mari, réceptionnées à l'occasion de relations anales réceptives (cf ici):

One of the first case reports of heterosexual transmission was published by Luc Montagnier and his associates in 1985. The wife of an HIV positive haemophiliac who practised vaginal, oral and anal intercourse was found to be seropositive and to have low T4 cells. She was followed for ten months after exposure to her husband’s semen was discontinued. When retested her T4 cells were normal and had a negative antibody test.5

Par conséquent, l'usage des préservatifs reste indispensable et la synthèse le confirme expressément. Ce n'est en effet pas parce que le "VIH" n'existe pas que le préservatif ne servirait plus à rien.

Je ne prenais pas de drogue avant ma séroconversion, ça c'est certain, depuis je me suis rattrapé, cela dit, j'aurais mieux fais de m'abstenir... Je ne suis pas né positif au test HIV, spécifique ou non. Et sur les 80 raisons draissé ds le listing, je n'en vois aucune qui pourrait s'appliquer à mon cas de manière crédible ds le laps de temps qui sépare Avril à Juin 90. En dehors de la prise subite de risque via des rapports non protégé.

Et bien, tu viens de donner la raison probable :

En dehors de la prise subite de risque via des rapports non protégé

Comme déjà précisé dans un de mes précédents posts, on peut (heureusement, ce n'est pas une obligation !) attraper des tas de choses lors d'un rapport non protégé, en particulier anal, ou à l'occasion de ceux-ci. Certaines de ces choses peuvent même causer certains des symptômes qualifiés de "primo-infection VIH".

Par ailleurs, et c'est tout particulièrement valable pour ceux qui pratiquent la sexualité anale (encore plus, si elle est réceptive), des symptômes pareils pourraient très bien être une allergie très forte au sperme d'une personne ou de manière générale à certaines protéines étrangères d'une personne.

Le drame, c'est de t'avoir fait croire à l'époque que tu avais été "contaminé" par le "VIH", et te voilà pris dans un bien méchant engrenage, en commençant par l'effet nocebo qui induit lui-même un puissant stress oxydatif (voir par exemple ce post ou encore cet article par exemple) et, partant, lentement mais presque sûrement le sida ! Nul besoin d'invoquer je ne sais quel germe infectieux pour justifier cela !

Faux !! Voila déjà fort longtemps que l'orthodoxie a trouvé son arlésienne !! Et cela fait bien longtemps que la recherche fondamentale a contourné tous les problèmes de fond et d'isolement de leur virus, cela en cultivant allègrement des artefacts via des cellules cancereuse qui exprime des tas d'ARN étrange, et tous le monde s'est bien entendu qu'ils étaient bien conforme au soit disant VIH.... Ils se cassent vachement moins la tete que tu te l'imagines. Le problème de l'isolement a été tous simplement zappé ! Ya pas un rond dépensé pour ça !!

Et voilà le soi-disant argument-massue de l'orthodoxie du sida (je sais que tu n'en es pas un, Jeff, mais cela y ressemble vachement !)

Le fait de trouver des "ARN étranges" ne prouve en aucune façon qu'il s'agit de celui d'un rétrovirus, et encore moins d'un nouveau rétrovirus, ou d'un quelqu'autre germe d'ailleurs. Avant de déclarer que des ARN "étranges" soient représentatifs d'un nouveau rétrovirus appelé "VIH" (ou même de n'importe quoi d'autre), il est absolument NECESSAIRE d'avoir auparavant isolé le "VIH" lui-même ou le germe en question.

Cela n'a jamais été fait et, partant, il est impossible de dire que l'ARN "étrange" est celui d'un nouveau rétrovirus. Ce qui s'est passé, c'est que lors des isolations de Montagnier en 1983 et de Gallo en 1984, il fut décrété qu'une partie de l'ARN retrouvé dans le gradient de densité spécifique des rétrovirus était celui d'un nouveau rétrovirus "VIH". A partir de là, le mal a été fait, et tout ARN (et son ADN proviral) ayant des points communs avec ces ARN de 1983 et 1984 et retrouvé chez des personnes faisant un sida est considéré comme celui d'une variante différente de "VIH", et tout cela étant soi-disant "confirmé" par la présence des anticorps dits "spécifiques" du "VIH". Avec en outre le problème que l'on trouve chez des sidéens des ARN de plus en plus éloignés, ce qui fait dire à l'orthodoxie du sida que le "VIH" peut muter jusqu'à près de 50% de son matériel génétique !

On rappellera à toutes fins utiles :

- que l'on n'a jamais trouvé le "génome" "théorique" du "VIH" chez aucun malade du sida,

- que l'on a jamais trouvé deux "génomes" identiques du "VIH", pas même chez le même malade,

- que plus de 99,99% des "génomes" du "VIH" sont défectifs (un peu comme les rétrovirus endogènes, d'ailleurs).

En définitive, ton argument de l'ARN "étrange" ne tient pas parce qu'il faut préalablement avoir fait la preuve qu'il est bien celui d'un rétrovirus, et même ici d'un nouveau rétrovirus.

Et par ailleurs, il me paraît assez naïf de croire qu'un ARN "étrange" doive nécessairement être représentatif d'un rétrovirus exogène ou même d'un organisme exogène quelconque.

Un ARN "étrange" peut en effet être le résultat de tas d'autres choses, bien plus probables d'ailleurs qu'un quelconque rétrovirus exogène :

1) Le génome d'un rétrovirus endogène.

2) Le génome d'un rétrovirus obtenu de novo par recombinaison génétique de séquences rétrovirales endogènes, de séquences rétrovirales et/ou cellulaires ou encore de gènes cellulaires non rétroviraux.

3) La conséquence d'un phénomène de transposition et/ou de restructuration de génomes, lequel peut mener à l'apparition de nouveaux génotypes ou phénotypes (comme ceux du fameux "VIH"). Ces restructurations peuvent résulter de chocs externes à l'organisme : toxicité, stress oxydatif, etc....

Tout cela est très bien résumé dans cette réponse du Perth Group

Furthermore, despite the ample evidence to the contrary, for most retrovirologists the finding of a novel nucleic acid in a cell can be due to nothing else but an infectious agent. Half a century has passed since the Nobel Laureate Barbara McClintock discovered the phenomenon of transposition which can lead to the appearance of new genotypes and phenotypes. According to McClintock, the genome can be restructured not only by transposition but also by other means as well. In her Nobel lecture of 1983, she said, "rapid reorganisation of genomes may underline some species formation. Our present knowledge would suggest that these reorganizations originate from some "shock" that forced the genome to restructure itself in order to overcome a threat to its survival...Major genomic restructuring most certainly accompanied formation of new species". The "genomic shock" which leads to the origin of new species may be "either produced by accidents occurring within the cell itself, or imposed from without such as virus infections, species crosses, poisons of various sorts, or even altered surroundings such as those imposed by tissue culture. We are aware of some of the mishaps affecting DNA and also of their repair mechanisms, but many others could be difficult to recognize. Homeostatic adjustments to various accidents would be required if these accidents occur frequently. Many such mishaps and their adjustments would not be detected unless some event or observation directed attention to them...Unquestionably, we will emerge from this revolutionary period with modified views of components of cells and how they operate, but only however, to await the emergence of the next revolutionary phase that again will bring startling changes in concepts".

As we have mentioned elsewhere9,19 an exogenous retrovirus is only one possible explanation for the finding of novel nucleic acids in AIDS patients. Other explanations are:

The genome of an endogenous retrovirus, that is, a stretch of RNA with a corresponding proviral DNA present in the cellular DNA of uninfected animals and which is passed from generation to generation vertically (from parents to offspring via the germ cell line) and which under certain conditions can be expressed and incorporated into retroviral particles.

The genome of a retrovirus de novo assembled by genetic recombination and deletion of: (a) endogenous retroviral sequences or (b) retroviral and cellular sequences or © non-retroviral cellular genes.

An RNA obtained by transposition, that is, by certain replicating DNA sequences (transposons) becoming inserted elsewhere in the genome, or by retroposition, that is, by particular RNA (retrotransposons) first being transcribed into DNA and then similarly being inserted into the genome. Retroposition can "use cellular mechanisms for passive retroposition, as well as retroelements containing reverse transcriptase". The retroelements may be retrovirus-like elements or nonviral elements. Not only can retroposition "shape and reshape the eukaryocytic genome in many different ways" but the nonviral retroelements may be similar to the retroviral elements.

A basic principle of molecular biology is that the primary sequence of RNA faithfully reflects the primary sequence of the DNA from which it is transcribed. However, in the 1980s RNA editing, "broadly defined as a process that changes the nucleotide sequences of an RNA molecule from that of the DNA template encoding it", was discovered. In the process a non-functional transcript can be re-tailored, producing a translatable mRNA, or modify an already functioning mRNA so that it generates a protein of altered amino acid sequences. Sometimes editing is so extensive that the majority of sequences in a mRNA are not genomically encoded but are generated post-transcriptionally producing the "paradoxical situation of a transcript that lacks sufficient complementarity to hybridize to its own gene!". According to Nancy Maizels and Alan Weiner from the Department of Molecular Biophysics and Biochemistry at Yale University, "the central dogma has survived hard times. The discovery of reverse transcriptase amended but did not violate the central dogma of how genes make proteins; introns qualified the conclusion that genes are necessarily collinear with the proteins they encode; somatic rearrangement of lymphocyte DNA called stability of eukaryotic genomes into doubt...and catalytic RNA challenged the pre-eminence of proteins and breathed new life into the ancient RNA world". However, the discovery of RNA editing "could come close to dealing it a mortal blow".

Thus the finding of novel RNAs in human cells, especially those of AIDS patients and those at risk, can no longer be regarded as incontrovertible proof that the RNA has been exogenously introduced by a putative HIV or any other infectious agents. That this may be the case has of late been accepted by Luc Montagnier. In a written testimony dated February 2nd 2000, to the US House of Representatives Committee on Government Reform, Subcommittee on National Security, Veterans Affairs and International Relations, in support of the work of his colleague, Howard B Urnovitz, (Montagnier is on the scientific advisory board of a publically traded biomedical company whose director is Urnovitz), Montagnier wrote: "I have reviewed Dr Urnovitz's published research and the testimony prepared for presentation to this Committee and strongly advise that future research on Gulf War Syndrome should include the study of the detected genetic material".

Urnovitz and his colleagues presented evidence of the existence, in Persian Gulf War veterans, of "novel", "nonviral" RNAs, "possibly induced by exposure to environmental genotoxins". They concluded: "The patterns of the occurrence of RPAs [polyribonucleotides] in the sera of GWVs [Gulf War Veterans] and healthy controls are sufficiently distinct to suggest possible future diagnostic applications...Our studies of patients with active multiple myeloma suggest that patients with individual chronic multifactorial diseases may have unique RPAs in their sera. Validated tests for such putative surrogate markers may aid in the diagnosis of such diseases or in the evaluation of responses to therapeutic modalities".

In the same year that Montagnier claimed HIV isolation, 1983, in a paper entitled "Expression of novel transposon-containing mRNAs in human T cells" researchers from the USA and Canada reported "Using an HERV-H LTR probe, 6 and 4.5 kb transcripts were detected by Northern blot analysis which were induced in normal peripheral T cells after treatment with phytohaemagglutin" (HERVº human endogenous retrovirus). Phytohaemagglutin has been and continues to be used not only by Montagnier but by virtually every retrovirologist who claims proof for HIV isolation.

Since Montagnier agrees with Urnovitz that novel, nonviral RNAs appear in the Gulf War Veterans, then why should the existence of novel RNAs:

In AIDS patients and those at risk be the genome of a retrovirus HIV and not the result of the many toxins including genotoxins to which they are exposed?

In cultures containing tissues from AIDS patients be interpreted as HIV RNAs rather than the result of the many toxins including genotoxins to which both the patients and the cultures are exposed? Especially when both Montagnier and Gallo accept that HIV cannot be detected in cultures which are not treated with such toxins (oxidant agents) including PHA?

When hard pressed all the HIV experts will ultimately accept the non-specificity of retroviral-like particles, reverse transcription and antibody/antigen reactions. That this is the case is illustrated is exemplified by the fact that at the beginning of the AIDS era they were the first to report isolation of HIV from individuals at no risk of AIDS.166-168 In 1985 Weiss and his colleagues reported the isolation of a retrovirus from mitogenically stimulated T-cell cultures of two patients with common variable hypogammaglobulinaemia. This retrovirus "was clearly related to HTLV-III/LAV" (HIV); evidence included positive western blot with AIDS sera and hybridization with HIV probes.168 In 1984 Montagnier and his colleagues reported that "activated lymphocytes from a healthy blood donor were spontaneously releasing a virus similar to LAV1 in culture."169 With the method presently used for "HIV" isolation (reaction of p24 with proteins in culture) Schupbach and his associates using cultures of whole blood reported positive results in 49/60 (82%) of "presumably uninfected but serologically indeterminate" individuals and in 5/5 (100%) "seronegative blood donors".170

En d'autres termes, Jeff-Lyon, ton argument de l'ARN "étrange" ne prouve en aucune façon l'existence du "VIH" ou de n'importe quel rétrovirus ou de n'importe quelle autre entité biologique.

Pour me démontrer le contraire, il faudra d'abord m'isoler le "VIH" lui-même (ou cette autre entité biologique).

Je rappelle encore ce que j'ai écrit à ce sujet dans un précédent post :

Les rétrovirus, tels qu'est censé l'être le "VIH", ne relèvent pas de notions cosmologiques, nucléaires ou ésotériques dont l'existence supposée ne pourrait être qu'inférée à partir d'observations indirectes (ici : via un ARN déclaré ex cathedra et sans preuve comme étant celui du "VIH" !). Ce sont des particules que l'on peut voir (au microscope électronique), même si ce n'est pas à l'œil nu !

Donc, où est donc cette isolation ?

Or : pas d'isolation, pas de rétrovirus "VIH" (ou quoique ce soit d'autre), et ce par définition !

Je pense pour ma part en effet que nous sommes confronté à un agent infectieux d'un type complètement nouveau, qui n'est ni une bactérie, ni un virus. La théorie de cheminot a le mérite d'unifier toutes les théories, une protéine alloimunes capable de s'auto induire, générant des réactions immunitaires (d'ou la primo infection), transmissible par auto induction, toxique pour les anti oxydants, d'ou découle le stress oxydatif. Qui conduit à terme au dysfonctionnement immunitaire qui laisse la porte ouverte à un ensemble de maladies opportunistes qui peuvent aboutir à la mort.

Je ne vois rien qui cloche

Moi, personnellement, je n'ai aucun problème avec cette hypothèse de protéines alloimmunes (sauf erreur de ma part, il peut également s'agir que de simples protéines étrangères [par exemple, dans du sang non chauffé] ou de sperme d'ailleurs, non ?). Cette hypothèse me semble parfaitement s'insérer dans la théorie du stress oxydatif comme cause du sida et je ne doute pas qu'elle puisse expliquer certains cas de séropositivité et de sida. Donc, oui, cela me semble parfaitement valable et en accord avec le stress oxydatif.

Le Perth Group ne cesse en effet de dire que l'exposition répétée et durable à des protéines étrangères (en particulier via le sang ou lors des rapports anaux [ce dernier cas me semble d'ailleurs être celui de tes propres connaissances]) peut mener à la séropositivité et au sida.

En revanche (mais peut-être que je me trompe, et peut-être que Cheminot peut me corriger si j'ai tort), je ne vois pas en quoi le cas des protéines alloimmunes devrait nécessairement conduire à une détérioration du système immunitaire irréversible (comme tu me sembles le laisser entendre, si je comprends bien), en particulier si le séropositif n'est plus exposé à ces protéines étrangères ou alloimmunes, ou à d'autres causes de fort stress oxydatif (en commençant d'ailleurs par l'effet nocebo lui-même). Cela peut expliquer certainement une séropositivité (avec ses symptômes de primo-infection) mais certainement pas le sida, à moins de continuer à être exposé à ces protéines ou à d'autres causes durables de stress oxydatif, en commençant tout particulièrement avec les oxydants azotés.

Mais pour ce qui me concerne, cela ne peut qu'expliquer certains cas de séropositivité et de sida. Et de toutes façons, ces protéines alloimmunes n'ont toujours rien à voir avec du "VIH".

Et suite à mes "discussions", parfois enflammés, avec Psyence, j'ai de plus en plus l'impression que le sida et la séropositivité est le résultat d'une combinaison variable de facteurs en fonction de chaque individu, sauf que certains de ces facteurs sont typiques et récurrents des groupes à risque de sida. Mais tous ces facteurs ont ceci de commun : ils causent un stress oxydatif durable menant au sida. Il n'est nul besoin de "VIH" ou de quoi que ce soit dans ce genre pour l'expliquer. L'ARN "étrange" peut être le résultat de ces combinaisons de facteurs. La circonstance que le supposé génome du "VIH" peut varier jusqu'à près de 50% ne fait que le prouver surabondamment.

Si cela peut faire plaisir a Wally, puisque le mot HIV semble le mettre ds tous ses états, on peut trouver un code ecrit qui mette tous le monde en phase, ne disons plus séroconversion HIV, mais séroconversion au stress oxydatif, ou séroconversion SO. Comme ça on évacue l'arlésienne. Et on s'embrouille plus sur un quiproko de langages.

Pour moi, "VIH" entre parenthèse, cela me suffit amplement. Il ne paraît pas nécessaire de dire SO ou stress oxydatif vu que la séropositivité (contrairement au sida) n'est pas forcément systématiquement le résultat d'un stress oxydatif.

Mais le problème, c'est que tel que tu as suggéré le problème, j'ai vraiment cru que je me trouvais devant un orthodoxe du sida faisant une sorte de coming out honteux ! lol Bref, cela m'a fait un peu sortir de mes gonds

C'est justement là que je veux en venir. La cause réelle de cette réaction violente, on ne la connait pas. Ce qui implique de la part de la dissidence un devoir de réserve.

Effectivement qu'on ne la connaît pas (précisément) ... puisque cela peut être la conséquence d'une foule de choses ! Qu'il suffise de lire la liste des innombrables germes, microbes et autres virus pouvant déjà causer les rash cutanés (sans compter tout le reste) si soi-disant "caractéristiques" de la "primo-infection VIH". Le seul problème avec l'orthodoxie du sida, c'est ce que si elle a affaire à des jeunes hommes, non mariés, elle ne va pas se creuser la tête : elle fera un test "VIH" et si c'est positif, ton affaire est entendue. Et puis tu viens 15 ans plus tard sur ONCT faire croire que cela serait forcément la conséquence non du "VIH", mais d'un germe non identifié, alors que cette primo-infection peut être la conséquence de tas de choses, et pourquoi pas de protéines alloimmunes (parfaitement en accord avec la théorie du stress oxydatif comme cause du sida).

Car si à l'origine, j'ai lancé ce débat qui peut sembler avoir ni queu ni tete, ce n'était pas si anodin que ça. Et c'est a dessein que je suis partit sur une reflexion générale tournant autour de la primo infection. Car en effet, j'ai lu maintes et maintes fois, aussi bien ds ce forum, que sur le site de Mark, que le SIDA n'était pas une maladie sexuellement transmissible.... Cette affirmation me dérange profondemment, car si en effet, il y a sans doute une multitude de raison qui peuvent provoquer la séroconversion SO, sans passer ni par des seringues souillées, ni par des rapports passifs non protégés, n'empeche que force est d'observer que cette affirmation va aussi complètement à l'encontre de ma propre expérience, mais aussi de l'expérience avéré de nombreux sero SO.

Et entendons nous bien, je ne parle pas ici de VIH. Je parle de cette prédisposition au Stress Oxydatif, qui elle a bel et bien l'air de pouvoir se transmettre via des rapports non protégé, et particulièrement anaux.

On a déjà suffisamment souligné que le préservatif doit continuer à être utilisé. D'ailleurs, le Perth Group va encore plus loin que l'orthodoxie du sida elle-même puisqu'il préconise que même entre séronégatifs, le préservatif soit utilisé (pas uniquement entre séropositifs et séronégatifs donc). Car comme tu l'as toi-même précisé, le Perth Group a constaté que les rapports anaux non protégés sont source de stress oxydatif et peuvent causer la séropositivité.

Finalement et sauf erreur de ma part, nos positions ne sont pas si éloignées que cela, elles sont peut-être mêmes strictement identiques ! Je me réjouis entre autres de tomber sur quelqu'un qui trouve évidente la corrélation lâche, quoique certaine, entre séropositivité et sida (du moins, dans les groupes à risque de sida).

C'est sans doute le mot "agent" qui peut induire en erreur car cela fait penser à une cause unique à la séropositivité et au sida (sous-entendu, le "VIH" ou quelque chose dans ce genre) alors que des tas de facteurs peuvent y mener, en ce compris les protéines alloimmunes (mais pas uniquement, bien sûr) comme souligné par Cheminot.

Outre sans doute cette croyance que les symptômes de la "primo-infection VIH" seraient si spécifiques (alors que tu n'es pas en mesure de donner des références de publications scientifiques étayant tes dires, si ce n'est ta bonne foi, celle de ton ami psy et le témoignage de certains de tes compagnons d'infortune). En tout cas, ce ne fut pas mon cas ni celui de bien d'autres séropositifs que je connais et ai connus.

PS : De manière générale, toutes ces discussions commencent à me sembler de plus en plus théoriques. Car sur un plan pratique, ce qu'il importe de faire en premier lieu, c'est bien de faire contrôler régulièrement son taux de glutathion plasmatique et intracellulaire. Si cela diminue progressivement au cours des années, en cessant de s'exposer (à temps) aux causes probables de cette diminution de glutathion, on aura généralement trouvé ce qui cause chez le séropositif en question ce stress oxydatif (et aurait pu causer plus tard un sida). Ce qui est certain, c'est que dans aucun des cas, la cause sera trouvée dans le "VIH" !

A cet égard, je serais curieux de connaître tes prochains résultats de ton contrôle "glutathion" !

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(wallypat @ Samedi 30 Septembre 2006 à 02h57)

(que dire alors des homosexuels qui dans leurs pratiques sexuelles, sont exposés aux matières fécales du partenaire [on en trouve des tas de saletés là-dedans, sans vouloir faire un dessin !]).

Je n'ai évidemment pas écrit cela pour faire de l'humour.

Une recherche rapide de deux minutes sur internet permet de constater (on s'en serait douté, mais autant le confirmer encore) que les matières fécales contiennent des tas de microbes (et je ne vois pas pourquoi elles ne contiendraient justement pas celles que j'ai citées auparavant et pouvant causer les rash cutanés dits "spécifiques" d'une "primo-infection VIH"), dont certains pourraient très bien causer à mon sens ce qui est appelé à tort la "primo-infection VIH".

Ici :

De nombreux germes responsables des intoxications alimentaires sont répandus par les matières fécales.

Ou encore ici :

La principale source de maladie diarrhéique, ce sont les matières fécales, ou fèces, humaines (des mots officiels pour caca etc.). Alors, la priorité no.1, c'est d'empêcher que ces matières fécales ne contaminent l'eau et d'empêcher les microbes (des organismes microscopiques) que ces matières fécales transportent de passer d'une personne à une autre.

Cet autre document non apprend même qu'un tiers des matières fécales n'est rien d'autre que des bactéries !

Les bactéries représentent environ un tiers du volume des matières fécales

Comme précisé dans ce même document, c'est tellement bien connu que les matières fécales sont source de microbes les plus divers que des analyses médicales sont faites sur celles-ci pour découvrir d'éventuels germes pathogènes :

Pour rechercher certaines pathologies, le médecin prescrit une coproculture (du grec kopros, excrément, saleté) qui est effectuée dans un laboratoire d'analyses médicales et qui est destinée essentiellement à rechercher certains germes pathogènes (bactéries, virus, champignons)

Et cerise sur le gâteau, les matières fécales contiennent énormément d'azote !

Dès lors, pourquoi pas des oxydants azotés dans les matières fécales, dont Cheminot a souligné à multiples reprises l'importance en matière de sida ?!

Il y a deux sources principales d'azote dans les matières fécales. Une partie provient des aliments non digérés et une autre partie provient de l'azote métabolique fécal (Figure 1). En général, plus de 80% des protéines qui arrivent dans l'intestin y sont digérées; le restant passe dans les matières fécales. L'azote métabolique fécal est une perte d'azote dêe aux enzymes digestives sécrétées dans l'intestin et au renouvellement rapide des cellules intestinales.

Enfin, l'urine contient aussi de nombreuses substances azotés :

- les urines sont volumineuses et de plus, elles sont fortement chargées en substances azotées,

A la lecture de ce qui précède, on comprend encore mieux (à supposer que cela était encore nécessaire) pourquoi les homosexuels seraient apparemment plus exposés aux soi-disant "primo-infections VIH" après un rapport dit "non protégé" :

- Exposition anale à des protéines étrangère, dont le sperme;

- Exposition aux matières fécales (contenant des tas de protéines étrangères, des germes pathogènes les plus divers et des tas de substances azotées);

- Exposition anale à l'urine (et entre autre à son caractère azoté).

Plus que jamais, le "VIH" reste parfaitement inutile pour expliquer ce qui est appelé "primo-infection VIH" chez les homosexuels ayant eu un rapport dit à risque !

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Je réponds rapidement au problème des matières azotées excrétées. Celles-ci sont toutes réduites (le contraire d'oxydées). Ce sont des amines, des indoles, de l'urée pour l'urine...Elles ne peuvent en aucune manière être responsables de stress oxydatif. D'ailleurs, la probabilité de "transmission" lors de ce qui est appelé "relations anales insertives" est du même ordre que celle de la relation vaginale insertive.

Le métabolisme est ainsi fait que toutes les matières azotées oxydées y seront réduites (par les systèmes implicant le glutathion en particulier).

Les fécès contiennent d'ailleurs aussi des composés soufrés réduit ou oxydés, et c'est la balance entre les deux qui explique la diarrhée : l'excès de sulfate (soufre oxydé) implique la diarrhée des personnes malades du sida.

NB : essayez donc un jour d'ingérer du sulfate de sodium... vous verrez!!

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de très nombreux germes, qui, chez une personne en bonne santé, ne présentent absolument aucun danger, et surtout, sont indispensables à se santé. je pense en particulier aux colibacilles fécaux qui permettent en partie la formation de ces matières.

Et pourtant, lorsqu'un déficience du terrain permet à ces colis de se développer dans l'urine ou les reins... Dieu sait ce que chacun (et surtout chacune) déguste.

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Faisant quelques recherches complémentaires sur le sujet, je suis tombé par exemple sur ce document, d'où il paraît clairement ressortir que par exemple les virus "Coxsackie" sont transmissibles via les matières fécales :

On distingue habituellement 2 virus Coxsackies : A et B., à transmission oro-fécales (des selles à la bouche par lintermédiaire de la main).

Or ces virus-là font justement partie de la liste (reproduite un peu plus haut) des germes pouvant causer des rashs cutanés semblables à ceux dits de la "primo-infection VIH".

Je crois que c'est intéressant à souligner. Je ne serais d'ailleurs pas étonné d'apprendre qu'il pourrait en être de même de certains autres germes repris dans cette liste.

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Pour revenir sur tous ces tests " vih " que je qualifie " à la c... " car ils condamnent :

Probabilité des causes et Sida ( Formule de Bayes)

" Prenons par exemple une maladie rare qui atteint, disons 1 individu sur 10 000 ( ce peut être le sida ou la vache folle ).

On met au point un test pour détecter si un individu est infecté par la maladie.

Ce test donne des résultats fiables dans 99,9 % des cas: c'est donc à priori un excellent test.

Supposons à présent qu'on pratique le test sur un individu pris au hasard et que ce test soit positif.

Quelle est la probabilité quel'individu ainsi testé soit effectivement infecté ?

Le calcul des probabilités nous répond sans hésiter 10 % ( 9% exactement).

Autrement dit, alors que le test est positif, l'individu a 90 % de chances d'être sain.

Si dans notre exemple, la maladie atteignait 1 % des individus, le test positif sur un individu pris au hasard l'informerait qu'il a plus de 90 % de chances d'être malade.

Les tests de dépistage ne sont efficaces que pour les maladies fréquentes ou les épidémies.

Dans le cas de maladies rares, contrairement à ce que disent les bons esprits, ("Le test n'est pas parfait mais ça vaut mieux que rien"), il faut que les tests soient parfaits.

Si on applique un test excellent mais imparfait pour dépister la maladie de la vache folle et qu'on abatte les vaches testées positives, on va déclencher un massacre bovin généralisé, ruineux et inutile ."

L'Express, 1 au 7 mars 2001, Claude Allègre

http://www.lyca.ch/pfrache/4%20b/Bayes%20et%20sida.pdf

Le problème est que, dès le départ, la maladie en question a été définie par du FAKE (tests non spécifiques et signes cliniques qui peuvent indiquer plusieurs causes différentes non dûes au " vih " )

C'est sur ce fake que le taux de prévalence du " vih " est établi dans le monde.

C'est sur ce fake que l'orthodoxie va, sans aucune gêne, foutre les boules à quelqu'un qui fait un test " vih " positif.

Toujours sur le même fake, le gars en question va sombrer dans une horreur bien réelle (angoisses et vie orchestrée par des mesures soi-disant prédictives de vie ou de mort)

On n'est pas loin de la boule de cristal et on nous demande d'y croire aveuglément !

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Dans le même sens que Liane :

Ces derniers temps, des pressions ont été exercées en vue de tester systématiquement toutes les femmes enceintes, qu'elles appartiennent ou non à un groupe à risque vis-à-vis du SIDA. La Fondation Américaine pour la Recherche sur le SIDA (AmFAR) estime qu'une telle pratique conduirait immanquablement à un désastre, pour la raison que voici :

"Prenez, par exemple, les tests effectués sur les donneurs de sang provenant de la population générale et qui se sont présentés spontanément. La prévalence de l'infection parmi eux pourrait être de 1 sur 100 000 personnes... Si le test a une spécificité de 99,9%, cela signifie que 0,1% (c'est-à-dire 1 pour 1 000) des tests réalisés seront faussement positifs. Sur une population de 100 000 personnes, 100 personnes environ auront donc un test faussement positif... Ceci signifie qu'un résultat positif sur une telle population à prévalence de 1 sur 100 000 n'a qu'une chance sur 100 d'être un vrai résultat positif !" (AmFAR, 1999)

Mais ces disparités n'apparaissent que dans les populations non ciblées, non à risque de sida.

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Terry (merci ! icon_wink.gif ) en parle aussi ici :

Le nombre de faux positifs, dépend non seulement de la spécificité des tests, de la qualité de la technique, mais encore de la prévalence de l'infection dans la population.

Il ne faut pas oublier que, lorsque celle-ci est basse, par exemple un individu infecté vrai positif parmi 3 000, on observera environ dix faux résultats positifs dans une population de 10 000 personnes (0,1 % de 9 997).

Sur les treize résultats positifs obtenus en laboratoire, 77 % seront faussement positifs, nécessitant de nombreux examens complémentaires répétitifs, dont les répercussions psychologiques ne peuvent être négligées.

Par contre, lorsque la prévalence de l'infection augmente dans une population, la probabilité qu'un résultat positif soit un vrai positif, c'est-à-dire la valeur prédictive positive du test, augmente.

http://www.ccne-ethique.fr/francais/avis/a_014p03.htm#XXVII

Et voilà, on se base sur un taux de prévalence basé sur du fictif (fake) dans une population à risque (homos, blacks, etc...) ou pas pour établir la probabilité d'un " vrai " positif.

En fait, on reste dans le " probable " pour condamner (probable = peut-être/peut-être pas) avec des test qui, tous, ne sont pas spécifiques au " vih ".

Mais le gars condamné sans appel par du " probable ", lui il n'est pas probable, il est vraiment là.

On nage en plein délire, collectif, de surcroit, et sans ingérence de plantes hallucinogènes !

Quand on hallucine du réel avec du " probable ", ça s'appelle " fumer la moquette ! " !

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Et pour tous ceux qui se sont fait dépister à leur insu à cause d'une grossesse, d'un délit de faciès (groupes à risques), de symptômes bizzaroïdes que le médecin n'a pas été capable de diagnostiquer correctement (pas étonnant s'il fume la moquette) :

Une Commission fédérale d'experts suisses a estimé que "la recherche sérologique d'une infection VIH est une intervention portant atteinte à l'intégrité corporelle du patient.

Elle ne peut donc être réalisée qu'avec le consentement de celui-ci.

Ce consentement n'a de valeur que s'il est l'expression de la volonté réelle et librement formée du patient.

Cette volonté, le patient ne peut la formuler qu'après avoir été dûment informé, faute de quoi son consentement est inefficace...

C'est probablement la première fois dans l'histoire de la médecine, qu'un simple examen de laboratoire comme le test Sida peut conduire à des conséquences majeures pour l'intégrité de l'individu, en particulier à une morbidité psychologique et à un bouleversement social imprévisibles".

Elle en tire la conséquence que "contrairement à d'autres examens et dépistages, la recherche de signes sérologiques d'infection VIH ne doit être proposée que dans des situations bien choisies et toujours après en avoir décidé avec le patient".

Pour des motifs analogues, les instances compétentes du Conseil de l'Europe et de l'Organisation mondiale de la santé, se sont prononcées en principe contre toute obligation.

http://www.ccne-ethique.fr/francais/avis/a_014p02.htm#XII

Ca date de 1988. Y a-t-il plus récent concernant les dépistages à l'insu de son plein gré ?

En tous les cas, ça explique pourquoi on encourage vivement les gens à se faire dépister par eux-mêmes.

Et si, en plus, on y envoie nos potes, on pourra bientôt faire des soirées tupperware... pardon..." dépistage vih " avec un gentil animateur : Qui c'est qui n'a pas encore son test ?

Ok, Jeff, humour mal placé. Mais je n'ai toujours pas compris pourquoi tu as envoyé ton ami au casse-pipe (test)

Vu sur quoi l'orthodoxie se base pour déclarer une séropositivité ...

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Liane,

Je crois que le poucentage de fiabilité des tests pose lui aussi des questions:

- Comment a-t-on calculé un tel pourcentage de fiabilité?

- Que ce que c'est qu'un "faux positif"? quel critères? quel genre d'examins?

- Et donc c'est quoi un Vrai positif?

De toutes façons ce qui est sûr c'est que la fiabilité de ces tests n'est pas 100% ce qui donne beaucoup de pertinance à ta remarque.

J'ajouterai à cela la fiabilité des préservatifs quant à la transmission du VIH. Les recherches orthodoxes parlent de 80%.

Alors si 'on prend 10.000 couples homosexuels avec les données suivantes:

- Dans chaque couple une personne est S+ l'autre est S-

- Le S- pratique l'anal receptif dans chaque rapport

- Rythme soutenu de 2 rapports par semaine protégés (avec usage de préservatif)

On sait que la probablité pour qu'une personne S- soit infectée suite à un seul act anal récéptif non protégé est de 5 à 30 pour 1000. Cela veut dire avec l'usage du préservatif cette probabilité deviendra de 1 à 6 pour 1000.

Donc pour le meilleur des cas (1 pour 1000)

- Il faut en moyenne 1000 acts pour une séroconvertion --> en moyenne 10 ans par couple

- Durant la première semaine tu as 20.000 acts, parce que 10.000 couples --> en moyenne 20 séroconvertions

- Tu as donc en moyenne 20 sérconvertions par semaine

- Tu as en moyenne 1080 seroconvertions par an, donc tu as en moyenne 10 ans pour que tout le monde (10.000 coupel) soit S+, tous ça en étant protégé

Pour les pires des cas (6 pou 1000, mais dison 5 pour 1000):

- Il faut en moyenne 200 acts pour une séroconvertion --> en moyenne 2 ans par couple

- Durant la première semaine tu as 20.000 acts, parce que 10.000 couples --> en moyenne 100 séroconvertions

- Tu as donc en moyenne 100 sérconvertions par semaine

- Tu as en moyenne 5400 seroconvertions par an, donc tu as en moyenne 2 ans pour que tout le monde (10.000 coupel) soit S+

, tous ça en étant protégé

Alors quand on nous dit qu'il faut simplement se protoger quand on partage sa vie avec un S+, est ce qu'on est au courant des risques d'une telle protection? Si mes calculs sont correctes, je trouve la situation est du moins confuse!!!

PS. La probablité qu'une personne S- soit infectée suite à un seul act anal récéptif protégé est de 1 à 6 pour 1000. Cette probabilité est PLUS élevée que toutes les probabilité de séroconertion suite aux autres types d'acts NON PROTEGES.

Modifié par delwere
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