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forum sidasante

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Hello à tous !

Je me permet de lancer ce petit post, pour mon édification personnel. Je suppose que la plupart des participant de ce forum sont séropositif "Elisa" "Western Blot", et j'aimerais vous poser à tous une question quant à votre séroconversion. Car il existe un instant "t" avant lequel nous étions séronégatifs, suivi d'un instant "t+1" dans lequel nous avons basculé.

Vous souvenez vous de cet instant "t+1" ????? Le moment ou le crops bascule... Avez vous été malade ?? Ou est ce passé complètement inaperçu ??? Si tel est le cas, qu'est ce qui vous à conduit alors a faire le test "baton vaudou" ???

Je me permet de vous poser cette question, parce que il y a quand même un truk qui me dérange un max.... Je ne connait pas plétore de séropositif dans ma vie personnelle, mais néanmoins quelques uns... Et une chose me frappe, bien que n'ayant aucune valeur scientifique au sens des dissidents, les orthodoxes décrivent parfaitement dans leur théorie cette séroconversion qui se manifeste par une grippe violente accompagné souvent par un rasch cutané...

Pour ma part, il n'y a pas photo, c'est exactement ce qu'il m'est arrivé... De tous les gens séropo que je connaisse, l'histoire est la même également.

Et le pire...... Il y a quelque mois en arrière.... C'est à peine si j'ose vous le dire... J'ai retrouvé un de mes amis au fond de son lit, avec un 39 de fièvre, grelottant tout ce qu'il pouvait, avec plein de tache rouge sur le corp.... Il avait vu un toubib qui lui a dit qu'il faisait une bonne grippe... Mais pour moi, c'était tellement flagrant, que je l'ai envoyé dare dare faire un dépistage, et je me suis pas planté.... Il était en pleine séroconversion. En discutant avec lui, il m'a avoué avoir pris des risques ds les semaines qui précédaient....

Putain, c'est un comble, moi qui ne croit pas au VIH, j'ai diagnostiqué une séroconversion, et j'ai tapé juste ! Et tout non spécifique qu'ils soient, ben des examens approfondis ont parfaitement mis en évidence un pic foudroyant d'anticorps anti "chose", ce qui a permis au médecin qui a pris en charge mon ami de dater quasi à trois semaine près sa contamination originelle...

Tout cela, moi je veux bien que ce soit un incroyable enchevetrement de coincidence... Voilà pourquoi je souhaiterais me référer à vos expériences individuels... Car en ce qui me concerne, chaque cas que j'ai malheureusement observé cadre parfaitement avec une théorie d'agent pthogène, VIH ou autres d'ailleurs. Toutes les personnes que je connaisse ont eu une réaction immunitaire assez violente qui ont marqué leur basculement ds la séropositivité. Qui dit réaction immunitaire, dit implicitement mise en contact avec un corp étranger pathogène...

Bien sur, ce n'est qu'une expérience personnelle, et que j'ai observé en tout est pour tout sur 5 personnes maxi... N'empêche que je trouve ça troublant...

Qu'en pensez vous ????

Jeff

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Bonsoir Jeff-Lyon

Personnellement, étant séronégatif, je ne suis pas vraiment concerné, selon la théorie la plus répandue. Néanmoins cela fais partie de mes réflexions sur le sujet, donc je me permets d'intervenir un peu.

Lorsqu'une théorie décrit un phénomène et que celui-ci se produit comme il est décrit, cela a un fort effet persuasif et renforce notre conviction dans toute la théorie ; ce qui oblige à prendre point par point.

- Ton ami a-t-il été testé séronégatif avant cette épisode de fivère ?

Pour parler de "séroconversion" à ce moment là, il faut connaître son statut sérologique avant cette épisode car si sa séropositivité est plus ancienne alors il s'agit d'une co-incidence. Dans ces conditions de non comparaison aucune distinction ne peut être faites entre causalité et coincidence.

Les actes sexuels sont fréquents et il est très facile de trouver un épisode dans lequel on a un doute, et que l'on considérait à risque après avoir fait une fièvre suspecte et un test positif, mais avez-vous essayé de le rattaché à d'autres comportements ? En fait il faudrait plutôt chercher un comportement inhabituel pour expliquer le pourquoi maintenant ! - Prise de médicaments, nourriture exotique (pour soi), soirée très arrosée, drogues, etc.. Arrivez-vous à le rattaché à autre chose qu'un comportement sexuel ?

D'autre part nous savons que la charge virale existe chez les séronégatifs et cela ne m'étonnerait pas que lon puisse mettre en évidence un tel "pic" lors d'une fièvre banale. Vérifier serait utile

...Il serait peut-être intéressant de refaire le test sous forme de contrôle de routine dans 6 à 8 mois sans qu'il déclare son statut sérologique et en prétendant appartenir à une catégorie à non-risque (genre moins tibétain) en veillant à bien supprimer les comportements pouvant potentiellement provoqué un test positif.

L'infection par le VIH est décrite par ces symptômes mais originellement c'est ces symptômes qui ont suggérer une infection par un virus - hors cela joue en faveur de l'interprétation du test le fait qu'il demande un dépistage corrélativement à son état. Voilà pourquoi refaire le test en-dehors de toute suggestion me semble intéressant (comme l'a fait Viduité)

Tu connais en tout 5 séropositifs dont tous les 5 ont fait cette primo-infection ? - il y a-t-il un point commun entre vous cinq ?

Il est aussi possible de considérer qu'il y ait bien eu infection par un virus mais qui ne cause pas l'immuno-déficience.

Cordialement

Modifié par Psyence
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Hello Psyence,

Merci pour ta réponse

Ben c'est bien ça qui me tracasse.... Bon évidemment, on ne connait jamais les gens à 100%, il y a ce qu'ils veulent bien dire, et ce qu'ils taisent... Néanmoins, l'ami que j'ai évoqué avait été dépisté négatif six mois avant lors de test de routine. Visiblement, c'est quelqu'un qui a saine vie, un peu carriériste, pas de consomation de poppers qui selon ses propre terme le rend "malade comme un chien"... Donc, rien à ce niveau là.... Sinon, dans les mois qui ont précédé, un peu de surmenage incontestablement, mais bon, rien de plus qu'un surmenage de cadre supérieur au taquet.... Quant aux comportement à risque, je sais que ce n'était pas son habitude, là, selon ses dires, et je le crois, le comportement a risque était vraiment motivé par un réel coup de foudre, sur le plan affectif.... Le coup de foudre ayant entre temps mystérieusement disparu ds la nature....

Quant aux autres séreopos que je connais, en effet, nous avons tous fait exactement la même expérience sur le plan de la séroconversion. Je m'en souviens comme si c'était hier, j'avais 20 ans, et oui déjà 15 ans (Pas pris une ride !! ouf !!!)

Pour ma part, le doute vient surtout que 15 jours avant, j'avais fait un vaccin contre la fièvre jaune.... Je partais avec mes parents en voyage en afrique l'été suivant... Bien entendu, je me suis intérogé si cette vaccination n'avait pas généré ce statut séropo, mais je me suis fais vacciner en même temps que mes parents, qui eux ne sont jamais devenu séropo.... Par contre, faut être honnete, moi aussi à cette période là, j'étais complètement luv luv, et je ne me suis pas protégé sur le plan sexuel..... D'ailleurs, je me souviens aussi que l'élu de mon coeur avait aussi disparu, ce qui m'avait vallu un profond chagrin !!

Au fond, c'est à se demander, ma naturopathe m'a un jour dit que le SIDA, c'était la maladie des gens SIDéré par l'Amour.... Jolie définition...

Bon, n'empeche que c'est troublant.... Et je t'avoue que sur ce plan là, je souscrit à ton point de vue, les fait cadre bel et bien avec la théorie. Je te précise cependant que le pic d'anticorps n'est pas spécialement visible via un examen de charge viral, mais bel et bien via une forme plus abouti de "western blot" via une ultra concentration subit de glycoprotéine. Donc, là, on est pas dans le domaine de l'aiguille mutliplié dans la botte de foin...

Je vais néanmoins accompagner mon ami durant les prochain mois, l'encourager aussi a faire tout de suite un bilan nutritionnel, ça pourrait être intéressant vu que la séroconversion est récente, l'encourager à quelques mois de saine vie +++, et lui refaire faire le test en anonyme d'ici quelques mois... Je vous tiendrais informé !

Bien à toi

Jeff

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Salut,

Pour ma part je nai eu aucun symptôme mais la personne avec qui je vis a eu une violente réaction (encéphalite) avec des ganglions énormes (crane et coup).. cest moi qui lui ai dit daller au plus vite faire un test : 9 millions de répliques (ou même 90 millions je sais plus !)et 90 T4.

Mais au début jai cru que cétait encore le début dune 6ème paralysie faciale...

Ils nont jamais su dou venaient ses paralysies à répétitions sauf de dire que ça peut etre la cause dun virus logé dans les nerfs.

Alors.. VIH ou toujours le même virus ?

Enfin bref cest comme ça que ça ma amené a faire un test dont jai déjà indiqué les résultats sur un autre post.

Nempêche que le traitement de cheval quon lui a filé à faillit lachever..

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Pour ma part, et pour éviter de me répéter, je renvois à ce post ainsi qu'à celui-ci.

Les primo-infections ne prouvent strictement rien du tout, et certainement pas que l'on a été contaminé par le "VIH". Elles prouvent uniquement et au mieux que la personne en question a été exposée à un germe quelconque, peut-être suffisamment puissant en fonction de la résistance de l'individu que pour rendre positif le test appelé par erreur "VIH" (à supposer en outre que cette séropositivité soit due à cela et n'était en fait pas déjà préexistante).

Qu'une personne fasse ce qui est appelé à tort "une primo-infection" au "VIH" après une relation dite "à risque" n'a strictement rien d'étonnant, en particulier lorsque la personne en question n'est pas habituée à ce genre de relation dite "à risque". Ces contacts extrêmemement rapprochés sont l'occasion de transmettre au partenaire des tas de microbes, virus et autres germes, et pas forcément de façon strictement sexuelle : grippe, mononucléose, une forme virulente d'herpès, une forme d'hépatite, des mycobactéries, etc... (et on pourrait en citer des dizaines d'autres). Si le partenaire soi-disant contaminé supporte mal le germe transmis d'une façon ou l'autre (cela peut être par un simple baiser profond par exemple), il fera de gros symptômes assimilés à tort comme étant une "primo-infection" par le "VIH". Ces gros symptômes pourront se traduire par des charges dites "virales" élevées (il n'est pas rare de trouver par exemple des charges "virales" astronomiques chez des séronégatifs faisant par exemple une grippe ou une mononucléose), des anticorps en surnombre (rappelons que les anticorps au supposé "VIH" n'ont aucune spécificité) ou même la détection de la tristement célèbre protéine P24 (laquelle n'est aucunement spécifique à l'hypothétique "VIH").

Plutôt que de se focaliser sur la présumée primo-infection, je pense qu'il vaut mieux se concentrer sur le style de vie de la personne déclarée à tort "séropositive au VIH".

La primo-infection n'est rien d'autre que de la foutaise pour faire accréditer l'idée de l'existence d'un "VIH". Que fait-on alors des milliers d'autres bactéries, virus et autres germes (non spécialement recherchés lors des analyses médicales car trop nombreus et car le "VIH" est la solution de facilité pour expliquer "tout cela") pouvant être transmis à l'occasion d'un rapport dit "à risque" (et pas forcément par le biais de la relation sexuelle proprement dite, il peut simplement s'agir d'un contact un peu trop rapproché) et pouvant causer les symptômes prétendument attribués au "VIH" ??? Au moins, ceux-là existent réellement et il n'est par conséquent nul besoin d'inventer la "primo-infection" au "VIH" pour expliquer les symptômes en question !

Modifié par wallypat
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(wallypat @ Vendredi 29 Septembre 2006 à 02h15)

Qu'une personne fasse ce qui est appelé à tort "une primo-infection" au "VIH" après une relation dite "à risque" n'a strictement rien d'étonnant, en particulier lorsque la personne en question n'est pas habituée à ce genre de relation dite "à risque".

Les primo-infections ne prouvent strictement rien du tout, et certainement pas que l'on a été contaminé par le "VIH". Elles prouvent uniquement et au mieux que la personne en question a été exposée à un germe quelconque, peut-être suffisamment puissant en fonction de la résistance de l'individu que pour rendre positif le test appelé par erreur "VIH" (à supposer en outre que cette séropositivité soit due à cela et n'était en fait pas déjà préexistante).

Ca, je suis bien d'accord... Entendons nous bien, je ne fais pas l'apologie de la théorie VIH.

La primo-infection n'est rien d'autre que de la foutaise pour faire accréditer l'idée de l'existence d'un "VIH".

Néanmoins, la dite foutaise correspond aussi à l'expérience de la plupart des gens séropositifs en validant de facto l'existence d'un point de bascule via une réaction immunitaire violente, dont les symptomes se ressemblent étrangement. Qui généralement est lié à la prise de risque via des rapports sexuelles non protégé. C'est factuel.

Le nier revient a aller à l'encontre de la plupart des expériences individuels des séropositifs. Enfin il y a quand même des million de gens qui ont des rapports sexuels non protégé, ne saurait ce que pour faire des enfants, et qui ne tombe pas malade comme des chiens, et ne deviennent pas séropositif.

Devant ces faits, qui ne prouve rien sur le plan scientifique j'en conviens, vouloir à tous prix nier l'existence d'un agent pathogène et contagieux, qui induirait une séroconversion, ne rend pas service à la dissidence. Parce que je suis navré, si je commence à raconter à mon ami qui vient de basculer, qu'il est probablement séropo parce qu'il a mangé des Suchis la semaine d'avant, je crois guère que si dans la foulé, je lui parle des failles de la théories orthodoxes, qu'il m'accorde le moindre crédit.

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Salut Jeff-Lyon,

Tu mets le doigt sur un sujet très imporatnt et qui dérange les partisants du stress oxydatif mais pas l'intégralité de la dissidance.

Alors basculer vers HIV+ après une réaction immunitaire, suite à une prise de risque est un fait qui dérang

les partisants du SO car il ne s'agit pas d'une exposition chronique à un agent stressant!! Il s'agit bien ici de quelque chose qui est transmise d'un personne à une autre et qui convertie la personne réceptrice.

Sur ce point j'aimerai bien savoir les réactions de Wallypat et de de Psyence. Pour Wallypat il utilise toujours

une référence qui préconise que dans la réalité pas plus de 5% des séroconvertis ont vécu une épisode de primo-infection. cette information ne co-incide pas avec ta propre expérice, intéressant!!

Parcontre la théorie de Duesberg ne semble pas du tout mise en question par ce fait. Duesberg, dit si ce VIH existe, tous ce qu'il est capable de faire est d'engendrer une réaction immunitaire et une probable fièvre et rush.

Donc, en général la dissdence ne nie pas qu'un agent pathogène pourrait être a l'origine d'une épisode de primo-infection et aussi du basculement du test du coté positif.

Reste aux partisants du stress oxydatif d'expliquer le phénomène que tu viens de décrire!!!

Quand à moi, je vois beaucoup de contradictions dans la littérature a propos de ce sujet.

Merci

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Salut Delwere,

J'ai effectivement lu l'affirmation de Wallypat concernant les fameux 5% de personne qui ont vécu un épisode de primo infection. Pour ma part, je trouve ce chiffre complètement hallucinant, car cela implique que les 5% sont exclusivement des gens que je connaisse, ce qui serait assez stupéfiant. L'un de mes amis a longtemps dirigé en ses qualité de psy une association privé pour les personnes malades du SIDA. J'en ai souvent discuté avec lui, bien entendu sous le couvert de l'anonymat. Et selon ses propres statistiques, on approche bien plus de 90 % les gens séroconvertis qui ont connu un épisode de primo infection violent. Il a brassé à un moment plus de 800 patient, il travaillait limite 24 h sur 24.

Je ne remet aucunement en cause la parole et la bonne fois de Wallypat, mais je serais intéressé de connaitre ses sources et d'en apprécier la fiabilité.

Maintenant, il est clair aussi que ce sujet me dérange doublement, car il y a quelques années,et je n'en suis pas fière, suite à une soirée un peu arrosé, j'ai moi même eu une relation non protégé avec mon ami de l'époque... Quoi qu'on en dise, un type qui venait de la campagne, on peut pas imaginer plus saine vie, le poppers, je crois qu'il savait même pas ce que c'était. N'empeche que patatra, 3 semaines après, fièvre violente, rash cutané, bref la total, immédiatement dépisté, il était en pleine séroconversion, avec pic d'anticorp comme pour mon ami il y a quelques mois... Bref, faut que je vive avec ça aujourd'hui... Et c'est parfois même souvent très douloureux... Mais en attendant, je trouve que ça fait un peu beaucoup à l'echelle de mon insignifiante personne pour ne pas me poser quelques questions.

Si certes, il n'est en effet pas prouvé que le VIH existe, cela n'implique pas de facto qu'il n'existe pas un agent infectieux susceptibles de causer la séroconversion et la lente détérioration de nos anti oxydants. Je ne vois pas en quoi les théories seraient incompatibles. Car sur le plan biologique, nous possédons dans notre moelle épinière un ensemble de cellule souche de type HSC (Hematopetic steam cell) qui dérive elle même de cellule totipotante. Ce sont les cellules précurseurs ou souches de nos lymphocytes. Elle pourront dans leur division se différencier au besoin aussi bien en lymphocyte, macrophage, dendritique, globule rouge etc....

Rien ne contredit la théorie qu'un agent infectieux de type rétroviral transcripte un code erroné directement ds l'ADN de nos cellules souches. Dès lors, les multiplications avenirs dérivés de ces cellules souches seront toutes affectées par ce mauvais code. Peut être que ce code exprime un ARN tordu et se dérivera vers une protéine toxique pour le glutathion.

Quant à l'agent pathogène d'origine, VIH ou Bidule machin, il est de toute façon maitrisé et réduit quasi à néant par notre immunité naturelle. Pas étonnant qu'on ne le retrouve pas après ! C'est comme pour les gens qui ont été affecté par l'hépatite B, le virus est souvent introuvable ds le corps, ce que l'on détecte, c'est les antigènes, c'est à dire la mémoire que garde le corps d'avoir été en relation avec cet hote non désiré...

Après tout, c'est bien ce que la recherche essaye désespéremment de faire avec la thérapie génique, user d'un rétrovirus pour transcrire un codage correct d'ADN aux cellules de personne vivant avec un malformation génétique. La mucovicidose en est un parfait exemple. Des expériences in Vivo ont déjà montré un certain succès.

Moi, je n'ai pas de conviction pure en la matière, faudrait être sacrément prétentieux. Quoi qu'il en soit, la seule chose pour laquelle j'ai des certitudes, c'est qu'il existe pour l'instant une cause non identifié (CNI et pas OVNI), qui va affecter notre capacité à des détoxinés la machine cellulaire. Et que dans le temps, cette accumulation de toxine oxydative va affecter l'ensemble du corps et conduire à un syndrome d'immunospuppression.

Quant à cette CNI, de multiple théorie sont avancée dans tous les coins, je n'en rejette aucune. La dissidence avance sur la métamorphose des comprtements sociaux depuis les années 70, surconsommation d'antibiotique, prolifération des oxydes nitriques, malbouffe pétrit de conservateur douteux... Et je leur donne raison, il y a certainement une piste importante là dedans, mais peut être que toutes ces raisons se combine aussi avec un virus endémique, peut être présent depuis la préhistoire, qui a lui tout seul est parfaitement innofensif, mais dont certaine partit du génome est jsutement activé par ces agents extérieurs. Notre corps est pétrit de rétrovirus complètement innofensif, et cela depuis les temps les plus ancien de l'évolution. Innofensif, oui, mais si on change quelques éléments chimiques dans l'environnement, on peut conduire un virus totalement innofensif a devenir virulent.

Et l'hypothèse que le SIDA soit justement l'expression de cette théorie ne me semble pas aussi implausible dès lors qu'on s'efforce de garder l'esprit ouvert et impartial.

J'essaye tant bien que mal de stimuler un débat objectif. Comme le disait Rivarolle, " tout ce qui est excessif est insignifiant". J'ai une formation scientifique à l'origine, et je suis philosophe par nature. Ce curieux paradoxe m'a essentiellement conduit à l'humilité. Je ne fais pas partit des gens qui sont contre ce qui est pour, et pour ce qui est contre. Sur le point de vue de la théorie orthodoxe, il n'y a pas photo, leur approche est pétrit de faille. Mais c'est pour autant que j'adhère aveuglement à toutes les théories de la dissidence.

Je crois que la dissidence se crédibilisera justement en affichant une attitude humble. C'est justement ce manque d'humilité chez les orthodoxes qui me met hors de moi, et qui pourrait me pousser compulsivement à rejeter leur théorie en bloc...

Bien à vous tous

Jeff

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Jeff, il existe, je pense, une autre possibilité, c'est celle de la maladie alloimmune provoquée par ces oxydants particuliers, et surtout, transmissible, en particulier par le sang.

Et là, ce sont des protéines qui sont responsables de cette alloimmunogénéticité, et non des ARN. Je cite in extenso l'abstract de Milton, écrit en 1984, en ce qui concerne cette alloimmunogénéticité :

Murine lymph node cells heated to 45 degrees C for 1 h or 56 degrees C for 15 min lost their ability to provoke a primary cytotoxic alloantibody response, though they were able to provoke a secondary response in animals primed with normal lymph node cells two months previously. The primary immunogenicity of whole blood and spleen cell preparations was destroyed by 56 degrees C but not by 45 degrees C treatment. Treatment of spleen cells with 45 degrees C heat, and ammonium chloride to remove red cells, destroyed their immunogenicity, whereas ammonium chloride treatment alone did not, suggesting that the red cells were the immunogenic component of heated spleen cells and, by implication, of blood. Further evidence for a difference in the immunogenicity of 45 degrees C heated blood and normal blood was provided by the finding that heated blood did not prime for a response to 45 degrees C lymph node cells given two months later.
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Bonjour Cheminot, très intéressant, je vais gratter ds cette direction. Selon toi, ce type de protéine seraient elles susceptibles d'être perçu par notre système immunitaire comme un corps étranger ? Et dès lors d'activer une réaction de primo infection tel que je décris ?

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oui, justement, et ce qui est d'autant plus étrange, c'est que cette étude de Kion et al. montre que des souris soumises à de telles protéines alloimmunogènes expriment les anticorps des protéines P24 et GP120 du "Vih". Ils disent d'ailleurs que ces réultats sont surprenants, car ces souris n'étaient pas exposées au Vih. Et cela date de 1991.

De manière sournoise, Aegis, une des boîtes américaines de publications sur le Sida, mettent en doute la véracité de cette expérience, alors qu'il leur suffit de la reproduire honnêtement. mais tu comprends tout ce que cela remet en cause.

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Bon sang !

Mais c'est incroyable ce que tu me dis là ! Ca cadrerait ainsi à perfection avec toutes les observations, le chainon manquant, ou l'unification des théories... D'autant que le fameux pic d'anticorps que j'évoquais plus haut de mes amis était bien un dosage approfondi des glycoprotéines 24 et 120 qui présentaient un pic anormal que l'on ne trouve que au début de la prétendu "contamination"...

Il n'y a personne depuis 1991 qui a eu l'idée d'aller plus loin dans ces recherches ???

Bien à toi !

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Jeff-Lyon,

Un truc qui attire l'attention dans ton expérience est le fait que les symptômes sont souvent les même (Forte fièvre et rush cutané). Alors que les symptômes d'une primo-infection sont plus larges que ça: Mal à la gorge, courbatures, atriculations douleureuses, asthénie, Diahrée etc ..

Chimano,

As-tu des references qui montrent que la transmission de maladies alloimmunes proquerait les même symptômes décrit par Jeff-Lyon? Je n'arrive pas à trouver un truc pareil.

Merci

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Le purpura est considéré comme une maladie alloimmune, et provoque du rash cutané :

http://www.google.com/search?q=alloimmune+...fr&start=0&sa=N

et choisir "Neck Pain and Rash in an 18-Year-Old Student "

et ceci est encore plus intéressant :

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.f...0&dopt=Abstract

et si tout cela n'étaient que les multiples facettes de maladies alloimmunes provoquées par ces fameux oxydants azotés mal maîtrisés?

Modifié par Cheminot
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Hello Delwere

J'evoquais le rash cutané et la forte fièvre un peu en raccourcis, mais je te confirme que j'y ajoute également le mal de gorge, les courbatures etc... Ce qui est significatif d'ailleurs, car selon le médecin inexpérimenté que tu pouvais rencontrer à l'époque, il diagnostiquait tantot une grippe tantot une angine virale... Alors que ce qui est curieux, c'est que la primo infection est sur le plan symptomatique un mélange des deux.... Les courbatures si caractéristiques de la grippe, et le mal de gorge si caractéristique à l'angine. La fièvre accompagne l'un comme l'autre, d'ou découle un état asthénique....

De toute façon, comme tous le monde, j'ai fais des grippes, j'ai fais des angines, la seule fois que je m'en souvienne, c'était la primo infection tellement c'était à la fois semblable et différent, et violent, je crois que c'est quelque chose qu'on ne peut pas oublier.... Je me souviens que je prenais des bains pour essayer de faire baisser ma fièvre, je me trainais quasi à quatre patte ds mon appart, j'avais l'impression que je chauffais l'eau du bain !! Jamais connu ça avant....

la réalité, c'est que de ce jour là, et ça fait 15 ans, j'ai sentis une modification importante dans mon corps, il y avait un avant, il y avait un après... Je ne me suis jamais senti sur le plan de sensation très subtil comme avant, comme une impression subtil d'acidité de mon corps.... Je savais que quelque chose avait changé.... Et je me doutais bien quoi.... J'ai mis six mois pour trouver le courage d'aller faire le test....

Bien à toi

Jeff

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Invité Thérésa

Il n'y a personne depuis 1991 qui a eu l'idée d'aller plus loin dans ces recherches ???

Si certainement, la question est: depuis 1991 quelqu'un a-t-il obtenu le financement nécessaire à ces recherches? malice.gif

Devise des labos pharmaceutiques: "cancer, sida, vaccins...et Alzheimer, pour demain"

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(Thérésa @ Vendredi 29 Septembre 2006 à 15h57)

Si certainement, la question est: depuis 1991 quelqu'un a-t-il obtenu le financement nécessaire à ces recherches?

Devise des labos pharmaceutiques: "cancer, sida, vaccins...et Alzheimer, pour demain"

C'est vrai que si ça rapporte pas grand chose aux labos, on est pas sortit de l'auberge.... lol

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Jeff-Lyon

Juste un truc, peut être hors sujet.

J'ai comme l'impression que j'ai vu un cas très semblable au tient sur un autre forum (Dupagne ou Doctissimo je ne me rappelle plus). Mais ça reseemble étrangement a ton cas:

- Même période d'infection (à 19 - 20 ans, Il y a 15 ans)

- Même symptômes (surtout le ait de chauffer l'eau du bain)

- Peut être même source d'infection (vaccin)

- Avoir contaminé un ami

J'essayerai de trouver l'autre post!

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Jeff-Lyon

Néanmoins, la dite foutaise correspond aussi à l'expérience de la plupart des gens séropositifs en validant de facto l'existence d'un point de bascule via une réaction immunitaire violente, dont les symptomes se ressemblent étrangement. Qui généralement est lié à la prise de risque via des rapports sexuelles non protégé. C'est factuel.

Le nier revient a aller à l'encontre de la plupart des expériences individuels des séropositifs. Enfin il y a quand même des million de gens qui ont des rapports sexuels non protégé, ne saurait ce que pour faire des enfants, et qui ne tombe pas malade comme des chiens, et ne deviennent pas séropositif.

Devant ces faits, qui ne prouve rien sur le plan scientifique j'en conviens, vouloir à tous prix nier l'existence d'un agent pathogène et contagieux, qui induirait une séroconversion, ne rend pas service à la dissidence. Parce que je suis navré, si je commence à raconter à mon ami qui vient de basculer, qu'il est probablement séropo parce qu'il a mangé des Suchis la semaine d'avant, je crois guère que si dans la foulé, je lui parle des failles de la théories orthodoxes, qu'il m'accorde le moindre crédit.

Excuse moi, Jeff-Lyon, mais visiblement tu n'as pas lu et/ou compris les posts auxquels je t'ai renvoyé.

Je n'ai JAMAIS nié que des personnes dites comme faisant une "primo-infection" au "VIH" font une réaction immunitaire violente.

Je n'ai JAMAIS nié que ces symptômes puissent être dus à un agent pathogène et contagieux, qui puisse rendre positif le test dit "VIH".

Ce que je dis, c'est que je n'ai AUCUNE preuve que cette réaction immunitaire forte soit le résultat d'une contamination par le "VIH". D'une part, parce que son existence n'a jamais été prouvée chez un seul sidéen (si tu prétends que le "VIH" existe en tant que rétrovirus exogène ou sous quelque forme que ce soit, merci de me donner tes arguments et en particulier la procédure de son isolation), d'autre part parce qu'au moins 80 circonstances peuvent rendre positif le test appelé par erreur "VIH".

Hello, les lecteurs, reveillez-vous un peu ! Dois-je rappeler les 80 circonstances en question ?

There are abundant scientific publications explaining that there are more than 70 different documented conditions that can cause the antibody tests to react positive without an HIV infection (Johnson 1993, 1995, 1996a,b; Hodgkinson 1996; Turner 1996, 1997/8; Shenton 1998; Papadopulos-Eleopulos et al 1993; Giraldo 1997d, 2000a; Giraldo et al 1999).

Some of the conditions that cause false positives on the so-called "AIDS test" are: past or present infection with a variety of bacteria, parasites, viruses, and fungi including tuberculosis, malaria, leishmaniasis, influenza, the common cold, leprosy and a history of sexually transmitted diseases; the presence of polyspecific antibodies, hypergammaglobulinemias, the presence of auto-antibodies against a variety of cells and tissues, vaccinations, and the administration of gamma globulins or immunoglobulins; the presence of auto-immune diseases like erythematous systemic lupus, sclerodermia, dermatomyositis and rheumatoid arthritis; the existence of pregnancy and multiparity; a history of rectal insemination; addiction to recreational drugs; several kidney diseases, renal failure and hemodialysis; a history of organ transplantation; presence of a variety of tumors and cancer chemotherapy; many liver diseases including alcoholic liver disease; hemophilia, blood transfusions and the administration of coagulation factor; and even the simple condition of aging and some vaccinations, to mention the most important (Johnson 1993, 1995, 1996a,b; Hodgkinson 1996; Turner 1996, 1997/8; Shenton 1998; Papadopulos-Eleopulos et al 1993; Giraldo 1997d, 2000a).

Christine Johnson, from California, has listed, from the scientific literature, the following conditions that cause false-positive reactions in the antibody tests for HIV (Johnson 1996a,b):

• Natural occurring polyspecific antibodies (Barbacid et al 1980; Healey & Bolton 1993).

• Anti-carbohydrate antibodies (Snyder & Fleissner 1980; Healey & Bolton 1993; Cordes & Ryan 1995).

• Antibodies with a high affinity for polystyrene used in the test kits (Arnold et al 1994; Pearlman & Ballas 1994; Yoshida et al 1987).

• HLA antibodies to class I and II leukocyte antigens (Blanton et al 1987; Bylund 1992; Cordes & Ryan 1995; Profitt & Yen-Lieberman 1993; Sayers et al 1986; Schleupner 1990; Schochetman & George 1992; Steckelberg & Cockerill 1988; Yu et al 1989).

• Passive immunization (receipt of gammaglobulin or immune globulin as prophylaxis against infection) (Ascher & Roberts 1993; Cordes & Ryan 1995; Gill et al 1991; Jackson et al 1988; Lai-Goldmnan et al 1987; Isaacman 1989; Profitt & Yen-Lieberman 1993; Piszkiewicz 1987; Yale et al 1994).

• Administration of human immunoglobulin preparations (Bylund et al 1992).

• Hypergammaglobulinemia (high levels of antibodies) (Moore et al 1986; Peterman et al 1986).

• Globulins produced during polyclonal gammopathies, very common in groups at risk for AIDS (Bylund et al 1992; Cordes & Ryan 1995; Schleupner 1990).

• Anti-lymphocyte antibodies (Mathe 1992; Ujhelyi et al 1989).

• Anti-collagen antibodies (found in gay men, hemophiliacs, Africans of both sexes and people with leprosy) (Mathe 1992).

• Multiple blood transfusions (Cordes & Ryan 1995; Ng 1991; Peterman et al 1986; Proffit & Yen-Lieberman 1993; Schochetman & George 1992; Yu et al 1989; Sayre 1996).

• Individuals with coagulation defects (Bylund et al 1992; Schochetman & George 1992).

• Hepatitis B vaccination (Jackson et al 1988; Lee et al 1992; Pearlman & Ballas 1994; Profitt & Yen-Lieberman 1993).

• Tetanus vaccination (Pearlman & Ballas 1994).

• False positive in other serologic tests, including RPR for syphilis (Bylund et al 1992; Fleming et al 1987; Moore et al 1986; Schleupner 1990; Schocheman & George 1992).

• Healthy individuals as a result of poorly-understood cross-reactions (Bylund et al 1992).

• Anti-hepatitis A IgM antibody (Schleupner 1990).

• High levels of circulating immune complexes (Biggar et al 1985; Moore et al 1986).

• Presence of normal human ribonucleoproteins (Cordes & Ryan 1995; Schleupner 1990).

• Malaria (Biggar et al 1985; Charmot & Simon 1990).

• Visceral Leishmaniasis (Ribiero et al 1993).

• Leprosy (Andrade et al 1991; Kashala et al 1994).

• Tuberculosis (Kashala et al 1994).

• Autoimmune diseases: systemic lupus erythematous, scleroderma, connective tissue disease, dermatomyositis (Bylund et al 1992; Leo-Amador et al 1990; Pearlman & Ballas1994; Proffit & Yen-Lieberman 1993; Ranki et al 1992; Schochetman & George 1992).

• Systemic Lupus erythematosus (Esteva et al 1992; Jindal et al 1993).

• Rheumatoid arthritis (Ng 1991).

• Serum-positive for rheumatoid factor, antinuclear antibodies, and other autoantibodies (Dock et al 1988; Steckelberg & Cockerill 1988; Yoshida et al 1987).

• Anti-smooth muscle antibody (Schleupner 1990).

• Anti-mitochondrial antibodies (Cordes & Ryan 1995; Schleupner 1990).

• Anti-microsomal antibodies (Mortimer et al 1985).

• Other antinuclear antibodies (Cordes & Ryan 1995; Schleupner 1990; Steckelberg & Cockerill 1988).

• Anti-T-cell antigen antibodies (Cordes & Ryan 1995; Schleupner 1990).

• Renal failure (Cordes & Ryan 1995;Jindal et al 1993; Schleupner 1990).

• Hemodialysis (Bylund et al 1992; Fassbinder et al 1986; Peterman et al 1986; Schochetman & George 1992; Ujhelyi et al 1989).

• Alpha interferon therapy in hemodialysis patients (Sungar et al 1994).

• Renal transplantation (Burkhardt et al 1987; Cordes & Ryan 1995; Neale et al 1985; Schleupner 1990; Ujhelyi et al 1989).

• Organ transplantation (Agbalika et al 1992; Ng 1991).

• Upper respiratory tract infection (cold or flu) (Challakere & Rapaport 1993).

• Acute viral infections, DNA viral infections (Cordes & Ryan 1995; Pearlman & Ballas 1994; Profitt & Yen-Lieberman 1993; Schleupner 1990; Steckelberg & Cockerill 1988; Voevodin 1992).

• Flu (Ng 1991).

• Flu vaccination (Arnold et al 1994; Challakere & rapaport 1993; Cordes Y Ryan 1995; Hsia 1993; MacKenzie et al 1992; Profit & Yen-Lieberman 1993; Simonsen et al 1995).

• Herpes simplex I (Langedijk et al 1992).

• Herpes simplex II (Challakere & rapaport 1993).

• Epstein-Barr virus (Ozanne & Fauvel 1988).

• Recent viral infection or exposure to viral vaccines (Challakere & Rapaport 1993).

• Pregnancy in multiparous women (Cordes & Ryan 1995; Ng 1991; Profitt & Yen-Lieberman 1993; Steckelberg & Cockerill 1988; Ujhelyi et al 1989; Abbott 1997).

• Cancers (Pearlman & Ballas 1994).

• Multiple myeloma (Bylund et al 1992; Profitt & Yen-Lieberman 1993; Steckelberg & Cockerill 1988).

• Hematologic malignant disorders and lymphomas (Burkhardt et al 1987; Cordes & Ryan 1995; Profitt & Yen-Lieberman 1993; Schleupner 1990; Steckelberg & Cockerill 1988).

• Q fever with associated hepatitis (Yale et al 1994).

• Hepatitis (Sungar 1994).

• Alcoholic liver disease (Bylund et al 1992; Cordes & Ryan 1995; Mendenhall et al 1986; Pearlman & Ballas 1994; Schleupner 1990; Schochetman & George 1992; Steckelberg & Cockerill 1988).

• Primary sclerosing cholangitis (Schochetman & George 1992; Steckelberg & Cockerill 1988).

• Primary biliary cirrhosis (Cordes & Ryan 1995; Profitt & Yen-Lieberman 1993; Schleupner 1990; Steckelberg & Cockerill 1988).

• Stevens-Johnson syndrome (Burkhardt et al 1987; Cordes & Ryan 1995; Profitt & Yen-Lieberman 1993).

• Sticky blood in Africans (Mortimer et al 1985; Papadopulos-Eleopulos 1988; Pearlman & Ballas 1994).

• Heat-treated specimens (Jungkind et al 1986; Schleupner 1990; Schochetman & George 1992; Smith et al 1987; Van Beers et al 1985).

• Lipemic serum (Schochetman & George 1992).

• Hemolyzed serum (Schochetman & George 1992).

• Hyperbilirubinemia (Bylund et al 1992; Cordes & Ryan 1995).

• Proteins in the equipment used for these tests (Cordes & Ryan 1995).

• Other retroviruses (Blomberg et al 1990; Cordes & Ryan 1995; Dock et al 1988; Schleupner 1990; Tribe et al 1988).

Bon nombre de ces circonstances peuvent être acquis par une relation sexuelle dite "non protégée" ou à ces occasions-là. Par exemple, une mononucléose peut être acquise simplement avec un baiser profond et peut provoquer des symptômes dits de "primo-infection au VIH". De même, le simple fait de recevoir des protéines étrangères peut provoquer des symptômes de ce genre. C'est encore plus facile lors des pénétrations anales réceptives. Sans compter sur les effets du sperme réceptionné dans le rectum.

Comme si cela ne suffisait pas, on constate depuis quelques années une augmentation des "séroconversions" chez les hétérosexuels. Cela n'est évidemment pas un hasard. La terreur sur le sujet est à ce point gigantesque que même les hétéros commencent à se faire de plus en plus régulièrement des tests dits "VIH" après un rapport à risque. Vu que presque n'importe quoi peut rendre ces tests positifs, il n'est pas étonnant que de plus en plus d'hétéros fassent aussi des "primo-infections VIH", non pas parce qu'ils ont été exposés au "VIH" mais bien parce qu'ils multiplient les tests dits "VIH" !

Donc, excusez-moi tous, mais CESSEZ de dire ou de laisser entendre que les symptômes de la primo-infection seraient ceux d'une contamination par le "VIH". Vous ne m'en fournissez pas la moindre preuve.

On peut attraper n'importe quoi à l'occasion d'une relation sexuelle non protégée, et pas seulement de (vraies) MST au sens strict du terme.

Dans tout ce qui a été écrit précédemment, je n'ai rien lu qui prouverait que les symptômes en question seraient ceux d'une contamination par le "VIH" et pas ceux d'une grippe, d'une mononucléose, d'une hépatite, d'une forme particulière d'herpès, et de façon générale d'un microbe quelconque. Cela est d'autant plus frappant que l'orthodoxie du sida dit elle-même que les symptômes de la "primo-infection au VIH" n'ont rien de spécifique au "VIH" et sont communs à des tas d'autres maladies. Ils ne seront considérés comme étant ceux de la "primo-infection" au "VIH" qu'a posteriori, si le test dit "VIH" réagira positivement. Or nous savons depuis des lustres qu'un test dit "VIH" n'est JAMAIS le signe d'une infection par le "VIH" et qu'une multitude de circonstances peuvent les faire réagir positivement, sans avoir besoin de "VIH" pour l'expliquer.

Donc, si le test ne réagit pas, les symptômes en question n'étaient pas ceux d'une "primo-infection au VIH". En revanche, si le test réagit positivement, ces (exactement) mêmes symptômes seraient ceux d'une "primo-infection par le VIH".

En d'autres termes, la question n'est même pas de savoir si les symptômes en question sont bien ceux d'une "primo-infection au VIH", mais bien : "Quelle est donc la spécificité des tests dits "VIH"". Donc, avant de parler de primo-infection, commençons d'abord à voir quelle est la spécificité de ces tests et examinons le point de savoir si ceux-ci peuvent, ne fût-ce que dans un seul cas, détecter une contamination par le "VIH".

Enfin il y a quand même des million de gens qui ont des rapports sexuels non protégé, ne saurait ce que pour faire des enfants, et qui ne tombe pas malade comme des chiens, et ne deviennent pas séropositif.

En quoi cela serait la preuve que la séropositivité est le résultat d'une contamination par le "VIH" ?

Par ailleurs, et en n'exagérant même pas, j'ignorais jusqu'à ce jour que sur les 50 millions d'habitants de France, dont je présume qu'il y en a au moins 35 millions qui ont régulièrement des relations sexuelles, il n'y en avait que plus ou moins 7.000 qui font chaque année des rhumes, des angines, des grippes, des mononucléoses, etc..., bref, qui tombent malades comme des chiens une à quatre semaine après avoir eu une relation sexuelle non protégée (à supposer d'ailleurs que seule la relation sexuelle aurait pu causer de tels symptômes, sans oublier les innombrables autres causes : drogues, intoxication alimentaire, pollution, fatigue, etc...)?

Pour ne prendre que mon propre cas, je suis diagnostiqué séropo début 2000, à cause d'un test fait à mon insu (par mon ancien médecin généraliste). Et d'ailleurs en colère par le procédé utilisé, j'ai refusé de me faire suivre, du moins jusqu'en octobre 2002 où je commence à faire une encéphalite, se traduisant par une perte de l'audition (je ne l'ai su que trois semaines plus tard alors que j'avais spontanément guéri, et selon le docteur "VIH" lui-même, cela n'était pas dû au "VIH" mais à des causes "inconnues", que pour ma part j'attribue au vaccin contre la grippe et l'hépatite B). Ne sachant pas d'où venait cette perte d'audition et m'étant gardé de dire que j'avais été diagnostiqué séropositif début 2000, l'hôpital m'a fait des tas d'examen, et comme c'est l'habitude (en tout cas, en Belgique), un test dit "VIH" à mon insu. Il s'avéra positif et il me fut déclaré que j'avais sans doute fait une "primo-infection VIH". Et je me souviens très bien que dans les cinq jours précédant cette perte d'audition, j'avais eu des relations non protégées. En revanche, trois à quatre semaines auparavant, j'avais fait un vaccin contre la grippe et un deuxième rappel du vaccin contre l'hépatite B. Compte tenu de tout ce qui précède, il ne m'est jamais venu à l'esprit que cette encéphalite était les symptômes d'une primo-infection. Et si je suis manifestement toujours resté séropositif, c'est à cause de mon (ancien) mode de vie. Je ne vais pas rejeter la faute sur un rétrovirus "VIH" mais bien sur mon style de vie. Je suis seul responsable de ce qui m'est arrivé, et je trouverais particulièrement lâche de ma part de fuir mes responsabilités et de mettre ma situation sur le compte du "VIH" au lieu de mon style de vie (poppers, etc...).

J'ai effectivement lu l'affirmation de Wallypat concernant les fameux 5% de personne qui ont vécu un épisode de primo infection. Pour ma part, je trouve ce chiffre complètement hallucinant, car cela implique que les 5% sont exclusivement des gens que je connaisse, ce qui serait assez stupéfiant. L'un de mes amis a longtemps dirigé en ses qualité de psy une association privé pour les personnes malades du SIDA. J'en ai souvent discuté avec lui, bien entendu sous le couvert de l'anonymat. Et selon ses propres statistiques, on approche bien plus de 90 % les gens séroconvertis qui ont connu un épisode de primo infection violent. Il a brassé à un moment plus de 800 patient, il travaillait limite 24 h sur 24.

Je ne remet aucunement en cause la parole et la bonne fois de Wallypat, mais je serais intéressé de connaitre ses sources et d'en apprécier la fiabilité.

Premièrement, il ne s'agit pas de "mon" affirmation mais bien de celle trouvée dans cet article déjà cité dans un post auquel j'avais renvoyé :

La primo infection par le virus VIH intervient normalement entre 1 à 4 semaines après l’infection (rapport ou injection contaminants). La moyenne se situe à 10 jours après l’infection. Elle n’est pas symptomatique dans tous les cas, les études sont très peu fiables sur ce point (de 10 à 90%) car elle est très souvent asymptomatique, c’est à dire qu’elle passe totalement inaperçue. Un confrère biologiste de la région toulousaine, qui fait beaucoup de dépistage, m’a assuré que dans son expérience personnelle, pas plus de 5% des séropositifs qu’il a diagnostiqué avaient vécu un épisode primo infectieux symptomatique.

Je ne vois pas en quoi je devrais accorder plus de fiabilité aux déclarations du "psy d'une association privée pour les personnes malades du SIDA" qu'à ce qui figure dans le passage reproduit. En fait, le pourcentage de la (supposée) primo-infection est tout simplement inconnu !

Deuxièmement, même si le pourcentage de primo-infections symptomatiques serait, non pas de 5%, non pas de 20%, non pas de 80%, mais bien de 100%, cela ne prouvera de toute façon pas que cela est bien une conséquence d'une contamination par le "VIH".

Et je crois utile de reproduire la suite de cet article, que personne ne semble avoir lu ... ou du moins sans en avoir tiré les conséquences.

La primo infection est caractérisée par une multiplication virale intense avec dissémination virale qui précède le développement des réponses immunes ayant pour objectif de contrôler au maximum l'infection. Lors de cette phase aigue, le malade présente dans la plupart des cas un syndrome mononucléosique : fièvre, céphalées, sueurs nocturnes, adénopathies (apparitions de ganglions indolores à la palpation), douleurs musculaires ou articulaires, fatigue, mal de gorge.

Dites-moi, est-ce que seul le "VIH", à supposer qu'il existât, produit ces symptômes "typiques" ? lol

Tous ces symptômes sont très fréquents dans de nombreuses infections rhino-pharyngés, et il n’y a malheureusement pas de diagnostic différentiel clinique possible avec un simple rhume ou une angine.

Ah bon, il n'est pas possible de différencier les symptômes d'une "primo-infection au VIH" avec ceux d'un simple rhume ou d'une angine ?! Et on persiste dans ce forum-ci à prétendre qu'il y aurait une "étonnante" corrélation entre ces symptômes et une supposée "primo-infection VIH" ?!

Juste après dans l'article, on précise comment on finit par savoir s'il s'agissait d'une primo-infection ou non :

Le seul diagnostic qui est envisageable à ce stade est un diagnostic biologique, avec recherche des antigènes P24, c’est à dire de la présence directe du virus dans l’organisme. Ce test est très coûteux et pas très fiable et n’est pas recommandé pour le dépistage. C’est pour cela qu’il faut attendre entre deux et trois mois pour rechercher les anticorps anti-vih que le système immunitaire a fabriqué après la primo infection.
Si certes, il n'est en effet pas prouvé que le VIH existe, cela n'implique pas de facto qu'il n'existe pas un agent infectieux susceptibles de causer la séroconversion et la lente détérioration de nos anti oxydants.

Des tas de "choses" peuvent provoquer une lente détérioration de nos antioxydants, à commencer par le style de vie. En d'autres termes, cette lente détérioration n'est pas nécessairement due à un agent infectieux.

Ce qui est de toute façon certain, c'est que cela n'est pas dû au "VIH" faute d'avoir prouvé son existence.

Rien ne contredit la théorie qu'un agent infectieux de type rétroviral transcripte un code erroné directement ds l'ADN de nos cellules souches. Dès lors, les multiplications avenirs dérivés de ces cellules souches seront toutes affectées par ce mauvais code. Peut être que ce code exprime un ARN tordu et se dérivera vers une protéine toxique pour le glutathion.
Et je leur donne raison, il y a certainement une piste importante là dedans, mais peut être que toutes ces raisons se combine aussi avec un virus endémique, peut être présent depuis la préhistoire, qui a lui tout seul est parfaitement innofensif, mais dont certaine partit du génome est jsutement activé par ces agents extérieurs. Notre corps est pétrit de rétrovirus complètement innofensif, et cela depuis les temps les plus ancien de l'évolution. Innofensif, oui, mais si on change quelques éléments chimiques dans l'environnement, on peut conduire un virus totalement innofensif a devenir virulent.

Et l'hypothèse que le SIDA soit justement l'expression de cette théorie ne me semble pas aussi implausible dès lors qu'on s'efforce de garder l'esprit ouvert et impartial.

Moi, je suis tout à fait partant pour garder un esprit ouvert et impartial. Mais avant de commencer à envisager sérieusement la piste d'un virus endémique, la moindre des choses serait déjà de l'isoler, chose qui n'a jamais pu être faite. Dès lors, pourquoi perdre son temps à envisager cette hypothèse alors que celle du stress oxydatif permet déjà d'expliquer, quasi parfaitement le phénomène du sida.

Je reconnais que ces discussions me rendent complètement dingue et hors de moi. Elles prouvent à suffisance combien l'idée vicieuse et malsaine d'un rétrovirus responsable d'une façon ou d'une autre du sida a pénétré les esprits, même des dissidents. La plupart de ces derniers n'arrivent même plus à imaginer un monde sans "VIH" et se sentent obligés de lui attribuer un rôle quelconque, fût-il de second couteau.

Il serait peut-être temps de rappeler encore et encore et encore que l'hypothèse du rétrovirus résulte des soi-disant "isolations" de Montagnier et Gallo, que tout ce qu'on a appris à ce sujet, jusque dans ces moindre détails, part de ces deux "isolations". Dès lors que l'on constate qu'il ne fait aucune doute que ni Montagnier, ni Gallo n'ont isolé le moins du monde le moindre rétrovirus, pas même endogène, chez un sidéen, il n'y a pas d'autre choix que de rejeter toute théorie du sida qui attribuerait un rôle quelconque, même de second couteau, à un rétrovirus. Pour envisager le cas contraire, la moindre des choses serait de prouver l'existence de ce rétrovirus, fût-il chez un sidéen ayant des charges virale astronomiques.

En d'autres termes, et excusez mon insistance, il n'y a pas d'autre choix que d'opter pour la théorie du stress oxydatif comme cause du sida car il s'agit de la seule théorie, scientifique du moins, ne faisant pas intervenir un rétrovirus, même à titre de second couteau. Aucune autre théorie ne peut tenir la route car il convient préalablement d'avoir prouvé l'existence d'un rétrovirus.

Maintenant, on ne peut exclure l'hypothèse du rétrovirus endogène, produit par l'organisme malade de stress oxydatif. Mais le "VIH" est censé être un rétrovirus exogène, essentiellement transmissible par voie sexuelle. En outre, dans l'hypothèse même du rétrovirus endogène, la cause première du sida reste toujours le stress oxydatif.

Moi, je n'ai pas de conviction pure en la matière, faudrait être sacrément prétentieux.

Moi, j'estime qu'il faut être sacrément prétentieux, comme l'est l'orthodoxie du sida, pour prétendre qu'un rétrovirus exogène "VIH" existerait .... alors qu'aucune preuve de son existence chez les sidéens n'existe. Mais je reconnais qu'il est quasiment impossible de penser autrement vu tout le matraquage médiatique, journalistique, publicitaire, etc... qu'il y a sur le sujet depuis 25 ans et qu'il est quasiment impossible de ne pas penser un seul instant que le "VIH" ne puisse pas exister. Tout devient pourtant si simple et logique dès lors que l'on raisonne sans "VIH".

Donc, j'ai à tout le moins une conviction pure en la matière, à savoir que l'existence du "VIH" n'a jamais été prouvée. C'est donc sans la moindre prétention mais au contraire avec la plus grande certitude que je continuerai à affirmer que le sida est causé par le stress oxydatif, faute d'autre théorie raisonnable sous la main et faute d'avoir prouvé l'existence d'un rétrovirus "VIH", quel qu'il soit et quelle que soit sa forme ("agent infectieux de type rétroviral qui transcripte un code erroné directement ds l'ADN de nos cellules souches").

Quoi qu'il en soit, la seule chose pour laquelle j'ai des certitudes, c'est qu'il existe pour l'instant une cause non identifié (CNI et pas OVNI), qui va affecter notre capacité à des détoxinés la machine cellulaire. Et que dans le temps, cette accumulation de toxine oxydative va affecter l'ensemble du corps et conduire à un syndrome d'immunospuppression.

Il me semble que la théorie du stress oxydatif comme cause du sida ne dit pas autre chose, sauf avec plus de détails.

Quant à l'agent pathogène d'origine, VIH ou Bidule machin, il est de toute façon maitrisé et réduit quasi à néant par notre immunité naturelle. Pas étonnant qu'on ne le retrouve pas après ! C'est comme pour les gens qui ont été affecté par l'hépatite B, le virus est souvent introuvable ds le corps, ce que l'on détecte, c'est les antigènes, c'est à dire la mémoire que garde le corps d'avoir été en relation avec cet hote non désiré...

Là, j'avoue ne pas comprendre du tout, mais cela est peut-être (ou même certainement) dû à un manque de connaissance.

En quoi le "VIH" serait-il maîtrisé ? On sait au moins depuis 1935 que les anticorps ne sont pas forcément protecteurs d'une infection mais ne peuvent au contraire qu'être révélateurs d'une infection.

Par ailleurs, à supposer même que le "VIH" puisse exister mais qu'il soit réduit "quasi" (pourquoi "quasi") néant par notre immunité, comment fait-il pour causer plus de trente maladies ?

Par ailleurs, tu cites l'exemple de l'hépatite B et de ses antigènes. Une telle comparaison n'est nullement possible vu pour le "VIH". En effet, avant de prétendre que tel antigène serait celui du "VIH", la moindre des choses serait déjà d'isoler le "VIH" lui-même (chose qui a en revanche été faite pour l'hépatite B) afin de vérifier quels sont ses antigènes (ou protéines).

Je pense que ces différents passages ("quasi" réduit à néant, détection d'un rétrovirus par des antigènes dont on ne sait pourtant pas s'ils proviennent bien d'un rétrovirus, etc...) illustrent l'extrême difficulté à envisager, même chez les dissidents, une théorie du sida sans "VIH" sous une forme quelconque.

Il suffit pourtant de supprimer le mot "VIH" et tout devient limpide.

Est-il par ailleurs besoin de rappeler que les rétrovirus, tels qu'est censé l'être le "VIH", ne relèvent pas de notions cosmologiques, nucléaires ou ésotériques (par exemple : "quasi" réduit à néant) dont l'existence supposée ne pourrait être qu'inférée à partir d'observations indirectes (exemple : via des antigènes, dont on n'a pourtant pas la preuve qu'ils sont bien ceux d'un nouveau rétrovirus). Ce sont des particules que l'on peut voir (au microscope électronique), même si ce n'est pas à l'œil nu ! Etant donné qu'il n'a jamais été possible de voir du "VIH" à partir d'un prélèvement effectuée chez un sidéen, même ayant des charges virales astronomiques, il me paraît tout simplement ahurissant d'attribuer un rôle quelconque, même de second couteau, à un rétrovirus dont on ne sait même pas s'il existe, et de laisser entendre que le sida puisse être causé, même de très loin ou indirectement, par le "VIH.

Delwere

Tu mets le doigt sur un sujet très imporatnt et qui dérange les partisants du stress oxydatif

Ah bon ? Je viens d'apprendre que ce sujet me dérange !

Ce qui me dérange en fait, c'est que des dissidents attribuent les symptômes de la "primo-infection VIH" au "VIH" ... sans la moindre preuve, si ce n'est en se fondant sur les résultats des tests d'anticorps, de la P24, des tests génétiques, etc... Alors là, cela me dérange effectivement ... vu que l'on ne m'a jamais prouvé que ces tests auraient une quelconque spécificité au "VIH".

Alors basculer vers HIV+ après une réaction immunitaire, suite à une prise de risque est un fait qui dérang

les partisants du SO car il ne s'agit pas d'une exposition chronique à un agent stressant!! Il s'agit bien ici de quelque chose qui est transmise d'un personne à une autre et qui convertie la personne réceptrice.

"MERDE", alors !

Combien de fois ai-je déjà dit que le sida est le résultat du stress oxydatif (et jusqu'à ce jour et sauf erreur de ma part, personne sur ce forum n'a pu réfuter cette affirmation) ? En revanche, les tests positifs d'anticorps peuvent être le résultat d'une foule de choses, dont le stress oxydatif, mais pas uniquement bien sûr. Dois-je reproduire à nouveau la liste des (au moins) 80 facteurs pouvant rendre positifs les tests dits "VIH", liste que j'ai déjà citée à d'innombrables reprises ?

Donc, je ne vois pas en quoi cela me poserait un problème qu'une personne soit déclarée, momentanément, séropositive après un contact avec un agent infectieux quelconque ou même de simples protéines étrangères. Je n'ai d'ailleurs pas dit autre chose dans mes précédents post (grippe, mononucléose, etc..).

Visiblement, soit on ne se donne pas la peine de me lire attentivement, soit on ne veut y lire que ce qui arrange la thèse du lecteur.

Sur ce point j'aimerai bien savoir les réactions de Wallypat et de de Psyence. Pour Wallypat il utilise toujours

une référence qui préconise que dans la réalité pas plus de 5% des séroconvertis ont vécu une épisode de primo-infection. cette information ne co-incide pas avec ta propre expérice, intéressant!!

Comme je l'ai expliqué plus haut, même si les primo-infections symptomatiques seraient au nombre de 100%, cela ne prouve en aucune façon que c'est le résultat d'une contamination par le "VIH".

Par contre la théorie de Duesberg ne semble pas du tout mise en question par ce fait. Duesberg, dit si ce VIH existe, tous ce qu'il est capable de faire est d'engendrer une réaction immunitaire et une probable fièvre et rush.

La théorie de Duesberg présuppose déjà que le "VIH" existe en tant que rétrovirus exogène.

Par conséquent, aurais-tu l'amabilité de me donner déjà une étude qui aurait isolé le "VIH" ? A défaut, l'hypothèse du "VIH", quelle qu'elle soit, ne peut relever que d'un très mauvais film fantastique ou de science-fiction !

Donc, en général la dissdence ne nie pas qu'un agent pathogène pourrait être a l'origine d'une épisode de primo-infection et aussi du basculement du test du coté positif.

Et cela n'est pas nié par le Perth Group, non plus. C'est exactement le contraire. N'ai-je pas dit plusieurs fois que les "primo-infections" peuvent être le résultat d'une contamination par n'importe quel agent pathogène, et pas spécialement le "VIH" ? Sans compter que ces symptômes peuvent aussi être le résultat d'une foule d'autres choses qu'un quelconque agent pathogène.

En fait, Delwere, tu vois des problèmes tout simplement inexistants dans la théorie du stress oxydatif (contrairement à Psyence, me semble-t-il)!

Et contrairement à ce que tu as fait croire, je n'ai aucun problème avec les "primo-infections VIH". En fait, c'est bon nombre d'autres dissidents qui voient un problème dans les "primo-infections" et qui l'attribuent au "VIH". Je trouve dès lors particulièrement ironique de dire ensuite que c'est moi qui aurais un problème avec les primo-infections !

Et d'ailleurs, je repose la question :

COMMENT FAITES-VOUS, VOUS LES DISSIDENTS ATTACHES ENCORE AU "VIH", POUR DISTINGUER LES SYMPTÃ"MES D'UNE "PRIMO-INFECTION VIH" AVEC LES SYMPTÃ"MES IDENTIQUES D'UNE AUTRE PRIMO-INFECTION ?

Merci de me répondre de façon convaincante et argumentée à cette question, faute de quoi cela en est forcément terminé du mythe de la "primo-infection VIH" !

Ah, il y a vraiment des jours où je me sens bien seul sur ce forum !

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Franchement, je ne vois pas où est le problème. Il est normal qu'un certain nombre de séropositifs croient qu'ils ont fait une primo-infection, vu que souvent, ils vont faire le test APRES avoir été malade. L'idée de la primo-infection, dans ce cas, c'est une simple théorie après coup. C'est le cerveau qui construit un rapport de causalité alors qu'il ne s'agit que d'une simple corrélation. Tu es dans ce cas là, à mon avis.

Sinon, pour le pourcentage de personnes qui ont une primo-infection, 5 %, pourquoi pas ? C'est peut-être plus, comme tu as l'air de le penser. Mais en tout cas, on ne peut pas se baser sur ta seule expérience, Jeff-Lyon. Pour l'instant, tu ne nous a donné que ton expérience et celle de ton copain je crois. 2 personnes, on ne peut pas dire que ça fasse un super échantillon statistique, pour le moins.

Surtout que, dans ton cas, on peut penser que le fait de t'être fait vacciner contre la fièvre jaune 3 semaines avant n'a pas du aider.

Personnellement, je me souviens qu'il y a 15 ans, je m'étais fait vacciner 3 années de suite contre la grippe. Et, alors que les 10 années précédentes, mes rhumes avaient été de moins en moins violents, pouf ! ces 3 années là, j'ai eu un rhume particulièrement violent (limite grippe), puis, un truc carrément bizarre que je n'avais jamais eu avant (ni après) ; une espèce de toux qui a duré quasiment un mois. Et je crois que le dernier truc a été un rhume assez important qui a récidivé au bout de 15 jours. Lorsque j'ai arrêté la vaccination contre la grippe, à nouveau, les rhumes sont devenus de moins en moins violents. Tout ça ajouté au fait que les courbatures post vaccination duraient de plus en plus longtemps (1 semaine la première fois, 3 semaines la dernière).

Donc, avant de penser à la primo-infection, je crois qu'il faudrait s'interroger sur le problème du vaccin. En tout cas, il y a une explication alternative toute trouvée. Et il y en a peut-être d'autres : chaleur de ce mois de juin 1990 augmentant les symptomes de la grippe à cause d'une légère déshydratation, etc....

Modifié par aixur
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