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forum sidasante

Un peu de presse!


Ceriums
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Salut Amédeo,

Le problème dans cette affaire n'est pas directement lié à la fiabilité des kits de test du VIH. Le problème principal c'est la transmissibilité ou non du VIH par voie sexuelle. Plus précisemment, est-ce que réagir positivement au test VIH se transmet sexuellement.

Pusique dans cette affaire il s'agit de couples hétérosexuels, la meilleure étude en la matière qu'il convient d'utiliser c'est celle de padian. Parcontre le Perth Group voulait allez plus loin (montrer qu'il y a pas de peruve d'existance du VIH), je trouve que c'est trop risqué, mais si ça marche c'est un grand pas.

Ciao

Modifié par delwere
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Et puis, Delwere, les indications officielles sur ces taux de transmission suivent bien les indications de Padian. Elles sont également utilisables, que ce soient les données des CDC ou celle du ministère de la santé français.

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Cheminot, oui c'est vrai. Mais si dans un couple une partie est séroconvertie, l'orthodoxie considère que c'est une transmission par voie sexuelle. Je ne crois pas qu'ils font des diagnostiques différentiels!

Cependant dans cette affaire, l'article de presse dit que l'inculpé (qui connait sa S+ité) a eu des rapports non protégés avec 3 femmes. Je ne sais pas si celle-ci ont était "contaminées" par suite de ses rapports! Peu être que oui, et si c'est le cas, il y a beaucoup de questions qui se posent.

En plus, si l'otrthodoxie admet que le préservatif a une fiabilité de protection de 80%, je trouve complètement illogique d'inculper ce genre de personnes a cause de rapports non protégés. En effet, même les rapports protégés ne "protègent'' pas à 100%.

J'avoue que je ne comprends pas l'approche suivie par la justice et le fondement de l'inculpation!

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Le HIV refuse de se transmettre sexuellement dans certaines régions d'Afrique selon cet article:

ici

C'est un article intéressant!

Parcontre si quelqu'un pourrait m'expliquer si le raisonnement suivant (un paragraphe de l'article) a un sens:

Une etude datant de 2003 sur 14 couples serodiscordants vivant dans les abords du lac a montré que quand les individus  résistant ont une réponse immunitaire au VIH plus faible que leur parteneres S+, leur système immunitaire s'attaque plus efficacement au virus et ils continuent à tester négatifs.

Merci

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Je n'ai pas réussi à localiser la source publiée, mais cette info a été reprise l'an dernier par le site de l"Alberta Reappraising Aids Society" :

http://www.aras.ab.ca/transmission-hetero.html

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Le HIV refuse de se transmettre sexuellement dans certaines régions d'Afrique selon cet article:

ici

C'est un article intéressant!

Super, cet article. Justement, j'étais en train de faire une nouvelle section à la partie thème de sidasante, sur les incohérences de la transmissibilité de la séropositivité, et j'étais en train de chercher des témoignages de séropositifs n'ayant pas contaminé leur partenaire malgré de longs mois ou années de rapports sans préservatifs (et inversement, de séronégatifs n'ayant pas été infectés).

D'ailleurs, s'il y en a qui ont d'autres témoignages, ça m'intéresse (pour le moment, j'ai récupéré ceux de Claire, d'Anjayl, et de DaK'AZ. Et j'ai aussi l'histoire de Paul Michael Glaser).

Modifié par aixur
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Invité Dee Stroy

Waow... c'est quoi encore cette histoire de SF... ???

U.S. experiment uses AIDS to fight AIDS

Maggie Fox

Reuters

Tuesday, November 7, 2006

An AIDS virus genetically engineered to fight other AIDS viruses worked better than expected, suppressing the virus and renewing the immune systems of a few patients, researchers reported on Monday.

The study involved just five people, and such an approach needs years more study, they cautioned -- but the surprising results offer new hope both for the field of gene therapy and for treating the fatal and incurable AIDS virus.

"The goal of this phase I trial was safety and feasibility and the results established that," said Dr. Carl June of the University of Pennsylvania School of Medicine, who led the study.

"But the results also hint at something much more," he added.

"It seemed to have a vaccine-like effect in that the immune system was better in most of the patients than when they enrolled. We are trying to study the mechanism."

The AIDS virus infects close to 40 million people worldwide and has killed 25 million. A cocktail of drugs can help control infection, but there is no cure and no vaccine.

The drugs cause sometimes severe side-effects in some patients and the virus can evolve resistance, so that patients have to move to new drug combinations.

Gene therapy is a promising but troubled field of research based on the premise that altering genes can cure disease. It has cured only a few patients, and some have developed leukemia as a consequence. One gene therapy volunteer died in 1999.

June's team tried a new gene therapy approach, first crippling the HIV virus, they report in this week's issue of the Proceedings of the National Academy of Sciences.

"The virus is gutted so that it only has half the size of the original or pathogenic virus," June said in a telephone interview.

ANTISENSE APPROACH

The so-called envelope gene remains, and is reversed, a manipulation called antisense.

The researchers then recruited five patients with HIV who were beginning to fail treatment, meaning the drugs no longer worked and the virus was beginning to damage their immune systems.

June's team removed the immune cells, CD4 T-cells, that are attacked by HIV. The researchers infected the CD4 cells in the lab with their newly engineered antisense HIV virus, then infused them back onto the patients.

When HIV or any other virus infects a cell, it injects its own genetic material into the cell. The cell is turned into a virus factory, sometimes pumping out thousands of copies of a virus before it explodes.

After the new antisense virus was infused, newly infected cells pumped out defective virus, June said.

"The virus particles that are released are, like, sterile. They are nonpathogenic," June said.

This test was meant only to show that the approach was safe, and three years later, none of the patients show any ill effects.

The treatment appears to have helped restore the immune systems of four of the five patients, and the virus remains partly suppressed.

"We put back more (CD4 cells) than we took out. We don't know if that is why their immune system gets better, because there are more soldiers, or whether it got better because of better antiviral effects," June said.

The therapy is being developed by Gaithersburg, Maryland-based VIRxSYS Corp. and the studies are partly paid for by the National Institute of Allergy and Infectious Diseases.

Phase II trials are underway in HIV patients who have disease well-controlled by drugs. June said it is not yet clear if the treatment could work only in infected patients, or might even be used as a preventive vaccine some day.

http://www.prisonplanet.com/articles/novem.../071106AIDS.htm

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Hello Aixur

D'ailleurs, s'il y en a qui ont d'autres témoignages, ça m'intéresse (pour le moment, j'ai récupéré ceux de Claire, d'Anjayl, et de DaK'AZ. Et j'ai aussi l'histoire de Paul Michael Glaser).

Et bien moi, j'ai vécu les deux expériences.

Curieusement, j'ai eu deux relations majeures dans ma vie, une qui a durée cinq ans, une autre quatre an. Autant te dire que même informé de mon statut sérologique, ces deux partenaires n'ont jamais voulu se protéger... Et de ces deux individus, aucun des deux n'a basculé VIH+. J'en était arrivé d'ailleurs à l'époque ou je croyais dans la théorie VIH à me dire que je devais être "non contaminant" !!

Et puis, une rencontre, et patatra, j'aurais transmis "l'état VIH +" à une personne dans ma vie, et j'avoue que cela m'a complètement traumatisé pendant des années. De sorte que je n'ai jamais trop sus quoi en penser....

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Curieusement, j'ai eu deux relations majeures dans ma vie, une qui a durée cinq ans, une autre quatre an. Autant te dire que même informé de mon statut sérologique, ces deux partenaires n'ont jamais voulu se protéger... Et de ces deux individus, aucun des deux n'a basculé VIH+. J'en était arrivé d'ailleurs à l'époque ou je croyais dans la théorie VIH à me dire que je devais être "non contaminant" !!

Et puis, une rencontre, et patatra, j'aurais transmis "l'état VIH +" à une personne dans ma vie, et j'avoue que cela m'a complètement traumatisé pendant des années. De sorte que je n'ai jamais trop sus quoi en penser....

Je ne sais pas quelle logique l'hypothèse virale propose pour expliquer ton cas, mais certainement elle en a au moins une qui soit acceptée par le monde VIH/SIDA.

Je connais du moins une approche très commune : " Il faut plus d'argent pour effectuer des recherches afin de comprendre le phénomène et peut être utiliser les résultats pour traiter les contaminés ou pour vacciner les autres". ce lien est un exemple.

Tu vois donc comment un paradoxe est détourné pour devenir un cas très intéressant permettant de comprendre les propriétés des personnes n'ayant pas été contaminées malgré de longues périodes d'exposition non protégées. Et donc ces propriétés étant identifiées, serviront peut être à traiter ou à vacciner. Et comme d'habitude -conclusion commune- cela prendra des années avant d'aboutir a un résultat convaincant.

Crois moi, dans ce domaine, quelque soit les paradoxes et les contradictions que tu puisses mettre en avant, le dogme viral est toujours aussi robuste. Des tonnes de contre exemples/paradoxes de l'hypothèse virale on été dréssés par la dissidance sur tout les plans et rien n'a changé. Il est donc évident que le problème n'est pas scientifique.

Tant qu'ils persistent à mettre leurs lunettes à verres-VIH, rien ne changera.

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Et la dernière relation (celle où il y a eu contamination), elle a duré combien de temps ? 

Elle n'a pas duré très longtemps, quelques mois tout au plus. Il s'agit d'ailleurs de la personne qui est devenu par la suite on peut le dire, mon meilleur ami, en dépit des circonstances un peu "gore" qui ont entourées notre rencontre. Il est vrai que c'est un cas qui m'a beaucoup troublé, car en effet, je veux bien admettre que sa séroconversion ait été fortuite, mais une chose que j'affirme en toute objectivité, c'est que cette personne ne s'était jamais exposé à quelconques oxydant. Ni drogue, ni médicament, ni bronchodilatateur de quelques sortes, bref, quelqu'un qui avait vraiment une vie saine...

Et il est vrai que son cas a lui cadre à merveille avec la théorie orthodoxe, de sorte qu'en dépit de ce que je sais aujourd'hui concernant la dissidence, j'en demeure pas moins extrêmement troublé en mon fort intérieur, et que j'ai vraiment le sentiment que je l'ai contaminé avec quelque chose que je ne parviens pas à définir.... C'est finalement à cause de ce cas précis que j'ai toujours communiqué dans différents post sur ce forum, avec l'idée directrice qui est : "attention, ok, le VIH n'existe probablement pas, mais il y a quand même un "truk"", genre les fameuses protéines alloimmune qu'évoque Cheminot, et que sous certaines conditions aléatoires, on est bien fichu de transmettre...

Bref, le débat est loin d'être clos faute d'investissement sérieux de la communauté scientifique pour élargir leur champs de recherche....

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Salut Jeff,

Et il est vrai que son cas a lui cadre à merveille avec la théorie orthodoxe, de sorte qu'en dépit de ce que je sais aujourd'hui concernant la dissidence, j'en demeure pas moins extrêmement troublé en mon fort intérieur, et que j'ai vraiment le sentiment que je l'ai contaminé avec quelque chose que je ne parviens pas à définir

Du moment que le test VIH peut réagir positivement à plus que 80 situations différentes, (y compris des infections par des germes transmissibles), je ne vois pas comment son cas cadre "à merveille" avec l'orthodoxie!!

Je crois qu'il y a ici deux problèmes différents à dissocier si l'on est neutre:

1- Réaction positive au test VIH

2- SIDA

La dissidance focalise sur le SIDA (2). Duesberg et autres parlent d'une cause chimique, le Perth Group parle plus généralement du stress oxydatif comme cause du SIDA.

En ce qui concerne la cause de tester VIH+, Duesperg parle des anticorps du VIH sans nier le fait que le test peut réagir positivement à d'autres situations. Le PG parle en général d'un niveau élevé d'anticorps multi-spécifiques et considère qu'il n'ya pas de preuve comme quoi la VIH existerait.

Donc, je ne vois pas en quel point le cas de ton ami cadre avec l'orthodoxie!! Au contraire il cadre bien avec la dissidance jusque là car:

1- La dissidance admet que le test VIH peut réagir positivement dans plusieurs cas y compris germes infectieux.

2- La dissidance n'admet pas un SIDA automatique après une réaction positive du test et considère d'autres causes pour le SIDA.

Donc si tu appelles cadrer avec l'orthodoxie une séroconvertion après une probable infection c'est que:

1- tu ne veux pas admettre le multi-spécificité du test VIH.

2- tu "crois" que cela causerait le SIDA, donc tu n'a pas une attitude neutre.

La question qui reste à résoudre c'est quel germe a réellement causer les symptômes ainsi que la séroconvertion?

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La question qui reste à résoudre c'est quel germe a réellement causer les symptômes ainsi que la séroconvertion?

En effet, la question est bien là... La seule chose que je sache, c'est que ce "germe" ou "pathogène" est en moi, que je l'ai transmis, et qu'il a bel et bien induit un test HIV+ sur mon ami, et sur lui uniquement d'ailleurs, puisque mes deux relations passés ont semble t il été immunisé naturellement envers ce "germe".

La question ne se pose pas en terme de neutralité, une pression sociale existe aussi, je veux dire par là que quel que soit tes convictions, tu as une relation non protégé avec quelqu'un, il en découle que son statut sérologique change et devient +, tu lui dis quoi ???? Genre ben c'est pas grave, pure coincidence, le test n'est pas spécifique, ça peut être tout et n'importe quoi... Bla bla, bla bla...

En théorie, oui, pourquoi pas.... Dans la pratique, je peux te garantir que sur le plan moral, tu en prends un sacré coup quand même....

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En tout état de cause, à supposer même que les symptômes dits de la "primo-infection" "VIH" auraient été causés par un "germe" quelconque, dont une liste relativement impressionnante a déjà été reprise dans ce topic-ci (l'hypothèse d'un germe quelconque est d'ailleurs tout ce qu'on veut, sauf une certitude : n'oublions pas par exemple les causes toxiques, parfois totalement insoupçonnées, de la séropositivité, d'autant plus que si on lit le tout premier post de Jeff-Lyon, le lecteur constatera de lui-même que les symptômes de la "primo-infection" "VIH" de l'ami en question ne sont parus que quelques semaines après le rapport à risque, et non dans les heures ou même les jours qui ont suivi [dans ces conditions, il me paraît difficile de prétendre que cette provisoire séropositivité serait forcément la conséquence de ce rapport à risque]; que dire par exemple et en outre des cas d'allergie au sperme), l'important est bien de signaler à l'ami en question que compte tenu de son mode de vie (brièvement relaté par Jeff-Lyon), il n'a aucune raison de penser que sa séropositivité aurait pu résulter de facteurs durables et que cela mènera tôt ou tard au sida.

S'il pense néanmoins le contraire, tôt ou tard et l'effet nocebo aidant, cela pourra effectivement mener au sida, tout cela à cause d'une erreur diagnostique de taille, à savoir que la séropositivité serait, ne fût-ce que dans un seul cas, le signe d'une infection par un rétrovirus exogène "VIH".

Par ailleurs, je me pose une question : la séropositivité est généralement le signe d'une déjà très forte oxydation du corps. A la longue, cette oxydation ne peut-elle pas mener à la création de protéines encore plus alloimmunes (entre autres dans le sperme), lesquelles pourraient causer une séropositivité (forcément provisoire) chez certains individus réceptionnant ces protéines étrangères ?

Il ne s'agit bien entendu que d'une hypothèse de plus parmi la centaine d'autres pouvant déjà être retenues, toutes ces hypothèses ayant en commun la parfaite inutilité du "VIH" pour l'expliquer.

Modifié par wallypat
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Voici ce qui semble être une très mauvaise nouvelle dans l'affaire australienne, évoquée il y a quelques semaines à peine dans ce topic-ci.

En effet, selon cette dépêche, la Cour aurait refusé que le séropositif condamné en première instance puisse interjeter appel de sa condamnation.

A la lecture de cette bien courte dépêche, il me paraît difficile de savoir réellement pourquoi. En tout cas, j'ai l'impression que si la procédure en appel est finalement rejetée, c'est pour une question de recevabilité de la demande, et non pour les questions de fond (soit l'essentiel) : dès lors que la demande paraît jugée irrecevable, il ne sert évidemment à rien de trancher les questions de fond.

J'espère que prochainement, on en saura bien plus sur les raisons de ce refus.

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Oui et non, car il s'agit ici d'un cas différent, qui ne plaide pas de la même façon. Mais il y a jurisprudence... alors.

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Invité Dee Stroy

Un peu de presse sur Agoravox...

http://www.agoravox.fr/article.php3?id_art...mmentaire230370

Où Voltaire me répond en se trompant de prénom :

@patrick

Vous confondez charge virale (quantité de virus présent dans le coprs) et présence virale !

Tous les patients ayant le SIDA ont le virus HIV. TOUS !

La PCR permet de détecter dinfimes quantités de matériel génétique, et donc dinfimes quantités de virus dans le sang, même sil ny a pas danticorps présents.

Par contre, la PCR ne permet pas facilement de connaitre la quantité de virus (charge virale).

Vous nêtes pas scientifique, ce nest pas un reproche, mais cela vous amène à tout confondre. Et dans le cas présent, à colporter des âneries.

Ayant travaillé 10 ans comme chercheur dans un labo de biologie moléculaire, je sais de quoi je parle !

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Je ne suis quà peine étonné du ton suffisant, frisant même larrogance, de cet orthodoxe du sida. Car tel est bien lune des caractéristiques des négationnistes du stress oxydatif.

"In adults, adolescents, and children infected by other than perinatal exposure, plasma viral RNA nucleic acid tests should NOT be used in lieu of licensed HIV screening tests (e.g. repeatedly reactive enzyme immunoassay)" (l'emphase sur "NOT" figure dans le texte original lui-même). 

En d'autres termes, si ta méthode de PCR est si spécifique et si fiable pour détecter le "VIH", pourquoi la CDC recommande-t-elle vivement de ne PAS utiliser seuls les tests de détection génétique du "VIH" en lieu et place des tests d'anticorps, en tout cas chez les adultes, les adolescents et les enfants "infectés" par d'autres voies que la voie périnatale ? (ceci dit, en passant, on peut se demander, d'une part, comment la PCR qui est décrite comme si spécifique pour détecter les séquences spécifiques d'un rétrovirus exogène "VIH" ne devrait pas être utilisée chez les adultes, les adolescents et les enfants "infectés" via le sang, mais est en revanche recommandé et approuvé pour détecter la transmission verticale du "VIH" [?!], et, d'autre part, comment la PCR fait-elle la distinction entre les enfants "infectés" par voie périnatale et par les autres moyens [?!]).

Enfin, de façon générale, rappelons que les tests génétiques, quels qu'ils soient, ne peuvent être utilisés pour prétendre isoler le "VIH" chez une personne que si et seulement si la preuve a préalablement été apportée que le matériel génétique détecté est bien originaire d'un rétrovirus "VIH". Or, en l'occurrence, cette preuve n'a jamais été apportée, les prétendues isolations de Montagnier et Gallo n'ayant pas apporté cette preuve !

Modifié par wallypat
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