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forum sidasante

Un peu de presse!


Ceriums
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Avant de conclure, et comme tu lis l'anglais, lis en entier le site suivant :

http://www.justiceforej.com/

ainsi que :

http://reviewingaids.org/awiki/index.php/Eliza_Jane_Scovill

Modifié par Cheminot
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Le TAC doit certainement être lié aux intérêts de l'industrie pharmaceutique. Ca ressemble fortement à une opération montée de toute pièce pour ouvrir le marché aux médicaments antirétroviraux (ARV). 5,54 millions de personnes pouvant potentiellement prendre des ARV, hors de question pour l'industrie pharmaceutique de laisser passer ça.

Modifié par aixur
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Il me semble en outre avoir lu il y a quelques semaines que les manifestations organisées par le TAC en Afrique du Sud étaient bien loin d'être spontanées, en ce sens que la majorité des participants étaient rétribués de diverses façons par le TAC pour grossir le rang des manifestants !

Pour ma part, j'ai l'impression que le TAC est en fait aux abois. Voir ici.

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  • 4 weeks later...

Un article intéressant paru dans Th Business, il propose une évaluation des thérapies anti-virales.

Il y a dedans un paragraphe trés intéressant:

If patients with active TB, for example, test HIV-positive, they are held to be co-infected and suffering from Aids. Yet as reported in The Business (9/10 and 16/17 May 2004 and 21/22 May 2006), HIV antibody tests have never been validated as specifying the presence of HIV. The same is true of so-called viral load tests. There is also clear evidence that the bacterium which causes TB can itself cause people to test false positive for HIV. This raises the urgent question of whether TB should be included in the list of nearly 30 illnesses considered diagnostic of Aids, and sufferers treated with potent antiviral drugs for an infection they have not been proved to have. Since TB affects millions of malnourished people, removing it as an Aids-indicator disease would radically reduce estimates of HIV/Aids incidence in countries where many still live in poverty.

Ce paragraphe parle des frontières floues entre TB et SIDA.

Enfin, Duesberg disait "une personne ayant la TB et testant VIH+ est considérée comme ayant le SIDA,

une personne ayant la TB et testant VIH- est considérée comme ayant la TB"

Alors que dire si, comme le prétend cet article, la TB a elle seule provoque des faux VIH+???!!!

Il y a aussi deux trucs pas mal:

- Les personnes atteintes de TB réagissent très mal aux thérapies anti-virales

- Si on retire la TB des maladies caratéristiques du SIDA, il semble que les statistques vont être lourdement impactées

surtout en Afrique.

Ciao

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"The other side of Aids" est en ligne sur video.google :

http://video.google.com/videoplay?docid=-6100849606222443259

A propos d'une des remarques :

"the daughter of this filmmaker died of aids in 2003"

la date de la mort de Eliza Jane est fausse, et la justice de Los Angeles a décidé d'arrêter son action, car toutes ces accusations étaient infondées :

http://justiceforej.com/

Modifié par Cheminot
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Désolée si ça a déjà été mentionné :

Quelqu'un a déjà lu ce livre ?

Dans leur livre "AIDS : A second opinion" ("Sida une opinion alternative"),

Gary Null et James Feast constatent que les bénéfices des compagnies pharmaceutiques sont conditionnés au fait que la population prenne des traitements permanents.

AIDS : A Second Opinion (2002)
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Voilà, je ne savais pas trop où le placer.

Les Médecins aux Pieds Nus dénoncent :

Dans un hôpital dAmérique latine, des médecins ont pu obtenir des guérisons cliniques grâce à des huiles essentielles en prise interne.

Affaire à suivre.

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BBC news:

Il semble que les fumeurs sont plus vulnérables à l'infection VIH, soit. Mais quelle-est la probable raison?

La réponse donnée par cet article frise le ridicule!!!

...pourrait être le resultat du fait que les fumeurs ont plus tendance à prendre des risques, comme par example rapport sans protections, que les non-fumeur.

Alors là, je crois qu'on commence à entrer dans l'univers du délire!

Et tant qu'on y est pourquoi pas ajouter que la HIV augmenterait aussi la toxicité du tabac??!!

Et pourquoi pas ajouter cela aussi (une petite fiction de ma part):

icon_cool.gif

L'augmentation du prix du tabac en France a contribué au fait que les fumeurs prennent becaucoup plus de risques sexuels. Ceci s'explique par le fait qu'ayant acheter un paquet de cigarettes à 5 Euros (pour commencer une soirée qui ne manque pas d'intimité), on n'a plus de monnaie (en général) pour acheter des préservatifs au distributeur (qui n'accepte que les pièces, et qui ne rends pas la monnaie).

Alors si le tabac était à 3 euros, il y aurait beaucoup plus de chance d'avoir deux euros dans sa poche après avoir acheté un paquet de cigarettes et donc d'acheter un paquet de préservatifs.

_biglol.gif

L'article est

Il y a là comme une odeur forte et persistante d'un agent fortement oxydant (tabac) mais personne ne semble la sentir!!

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Il semble que les fumeurs sont plus vulnérables à l'infection VIH, soit. Mais quelle-est la probable raison?

La réponse donnée par cet article  frise le ridicule!!!

Question d'autant plus intéressante, me semble-il, que l'article en question précise entre autres :

La fumée de cigarette active ces cellules séquestrées dans lespace alvéolaire qui, sous laction de ce stimulus indésirable, libèrent dans le milieu extracellulaire de grandes quantités danion superoxyde et de peroxyde dhydrogène. Lanion superoxyde peut interagir avec le NO pour générer des peroxynitrites (ONOOH) de toxicité élevée.

CQFD.

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Wallypat,

Pour moi il n'y a aucun doute que le tabagisme est un facteur de stress oxydant.

Ce qui m'a étonné dans cet article c'est plutôt l'entêtement des "chercheurs" qui disent

qu'ils savent que le tabac pourrait affecter le système immunitaire mais ils persistent à

croire que la raison de la vulnérabilité des fumers au VIH est leur prise de risques sexuels

plus importante que les non-fumeurs. Je trouve que cela constitue une stigmatisation des fumeurs le

moins qu'on puisse dire abérrante.

Ciao

Modifié par delwere
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Psyence,

Je ne suis pas d'accord sur

Cependant, ils ont également trouvé que  tabagisme ne semble pas accélerer la progression des HIV au SIDA.

Ceci engendre de forte contradictions dans les relations qui ont été faites.

L'étude dit que ce lien est maintenant cachée par l'usage des antiviraux (si j'ai bien compris).

merci

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On prend des fumeurs et des non-fumeurs et l'on pratique des tests "HIV" puis on compare. Mais cela ne prouve pas qu'il y a forcéement causalité entre le fait de fumer et la séroposititivé, car cela peut-être le fait que d'une co-incidence entre deux choses fréquentes.

N'ayons alors pas peur de suivre ce raisonnement jusqu'au bout et prenons par exemple les cas suivants.

On prend des gay consommateurs de poppers et des gay non-consommateurs de poppers et l'on pratique des tests "HIV", puis on compare et on constate qu'il y a énormément plus de séropositifs chez les gay consommateurs de poppers. Mais cela ne prouve pas qu'il y a forcément causalité entre le fait de consommer du poppers et la séroposititivé, car cela peut-être le fait que d'une coïncidence entre deux choses fréquentes.

Autre exemple : on compare la qualité de vie des héroïnomanes et des non-héroïnomanes et on constate que le groupe des héroïnoimanes font proportionnellement plus de maladies graves que les non-héroïnomanes. Cependant, ce genre d'étude ne pourrait pas prouver que l'héroïne constitue un facteur fortement aggravant de mauvaise santé car, par exemple, les héroïnomanes ont également la propriété de souffrir de malnutrition ou du moins de très mal se nourrir. La cause essentielle de leurs problèmes de santé ne serait donc peut-être pas l'héroïne mais la malnutrition.

Conclusion : La consommation de poppers ne constitue pas un facteur contribuant à la séropositivité et on peut continuer à en consommer sans crainte de séropositivité ?! Vive la consommation d'héroïne ?!

En réalité et sauf erreur de ma part, je pense que l'argument invoqué, du moins si j'ai bien compris, consiste à dire que l'association épidémiologique n'est pas nécessairement la preuve de son lien de causalité.

Je suis 100% d'accord avec cet argument. Par exemple, l'orthodoxie du sida précise que sauf cas extrêmement rarissimes, il n'y a pas de sida sans "VIH". Cette association épidémiologique serait donc la preuve que le sida est causé par le "VIH". Evidemment, il n'en est rien car l'association épidémiologique n'est pas la preuve de son lien de causalité.

Mais je pense que cet argument n'est recevable que s'il n'est pas scientifiquement possible d'expliquer ou du moins s'il n'existe pas une façon raisonnablement scientifique d'expliquer la cause de l'un par l'autre, en d'autres termes la pathogenèse de l'un par l'autre (c'est par exemple justement le cas pour le "VIH"; après 25 ans de "recherche", l'orthodoxie du sida reste incapable d'expliquer la pathogenèse du sida qui serait causé par le "VIH", en sorte qu'une éventuelle association épidémiologique "VIH" et sida ne sera pas vraiment de nature à prouver quoi que ce soit).

Par exemple, on pourrait prendre des gay roux et des gay non roux, pratiquer des tests dits "VIH", on compare et on constate qu'il y a énormément plus de séropositifs chez les gay roux que les gay non roux. Il me semble clair que dans ce cas, il n'est pas raisonnablement acceptable de dire que le fait d'être un gay roux accroît les risques de devenir séropositif, même si des milliers d'études devaient le "confirmer". Il me semble en effet extrêmement difficile d'expliquer en quoi le fait d'être roux pourrait avoir une incidence dans la survenance de la séropositivité, dans la pathogenèse de celle-ci. Et on peut citer des millions d'autres exemples de ce genre : cuisiner entre 16 heures et 18 heures multiplierait par trois le fait de devenir séropositif, regarder la télévision 5 heures par jour accroîtrait par dix le risque de devenir séropositif, etc...

Sur un tout autre plan, on pourrait sur base de telles associations épidémiologiques prétendre que les oiseaux migrateurs provoquent l'hiver car à l'approche de l'hiver, on constate que les oiseaux commencent à migrer.

En revanche, on peut plus que raisonnablement scientifiquement expliquer que la cigarette est une source d'oxydants azotés. Dès lors, si des études constatent une corrélation, fût-elle lâche, entre tabac et séropositivité, ces études ne peuvent que très raisonnablement confirmer cette corrélation déjà établie préalablement au niveau de la pathogenèse (ce qui n'est déjà pas le cas avec les gay roux ou avec les oiseaux migrant à l'approche de l'hiver), quand bien même il est plus que vraisemblablement impossible de supprimer des sujets étudiés les autres causes de séropositivité. Affirmer le contraire reviendrait en définitive à dire que rien n'est vraiment de nature à causer la séropositivité.

En d'autres termes, l'association épidémiologique ne permet en principe pas à elle seule d'établir un lien de causalité entre deux éléments, mais elle peut en revanche confirmer surabondamment un lien déjà plus que vraisemblablement établi auparavant de façon scientifique, en particulier au niveau de la pathogenèse, entre ces deux éléments. Or, l'orthodoxie du sida fait exactement le contraire, du moins dans l'optique de l'hypothèse rétrovirale. Elle n'a jamais pensé que le fait de fumer augmenterait le risque d'être "contaminé" par le "VIH" (chose pourtante évidente dans l'optique "stress oxydatif"). Elle fait des études et constate cette association épidémiologique. Ce n'est alors qu'à ce moment-là qu'elle essaie d'expliquer la pathogenèse d'une façon scientifique (sous l'optique rétrovirale donc). Or, dans le stress oxydatif comme cause du sida, c'est exactement le chemin inverse : la pathogenèse tabac-séropositivité est scientifiquement établie (du moins, en tant que facteur contribuant à la séropositivité) et les études constatant une telle association épidémiologique ne peuvent que confirmer surabondamment une telle corrélation, déjà établie auparavant (c'est la même chose avec la séropositivité chez les groupes à risque de sida et la corrélation lâche vers le sida : les études paraissant constater cette lâche corrélation ne font que confirmer la pathogenèse déjà antérieurement expliquée, à savoir que l'être humain n'est pas fait pour vivre constamment en état d'hypergammaglobulinémie [taux élevé d'anticorps]).

Tel me semble être le cas de la cigarette qui ne peut que constituer un facteur aggravant le risque de survenance de séropositivité. Tel me paraît être aussi le cas du poppers. Dans ces deux cas, la pathogenèse probable entre cigarette ou poppers et séropositivité est clairement établie d'une façon scientifique, avant même la confirmation surabondante par les études épidémiologiques.

Je ne puis donc qu'être 100% d'accord avec Delwere lorsqu'il écrit :

Sinon, je ne dirais pas qu'il y a un lien de causalité entre fumer et VIH. Je dirais plutôt que le stress oxydatif (parmis d'autres causes) pourrait provoquer la séropositivité et que le tabac est l'un des multiples facteurs de stress oxydatif.

Je n'aurai en revanche pas été d'accord avec Delwere s'il avait écrit "le sida" au lieu de "la séropositivité" car dans ce cas, je lui aurais demandé quelles sont les causes autres que le stress oxydatif pouvant causer le sida, sans que ces autres causes constituent par eux-mêmes des sources de stress oxydatif et/ou contribuent au stress oxydatif. En d'autres termes, je lui aurais demandé ce qui cause l'apoptose des cellules immunitaires chez les sidéens si ce n'est pas le stress oxydatif.

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Bonsoir,

En fait ce que tu nommes "association épidémiologique" ne se distingue pas si radicalement de la "pathogènese".

A nouveau la recherche souffre d'un argument ciculaire ; la pathogènese suggère l'association épidémiologique et l'association épidémiologique suggère la pathogènese.

L'exemple absurde que tu donnes ici illustre parafaitement mon propos:

Des gay roux et des gay non roux, pratiquer des tests dits "VIH", on compare et on constate qu'il y a énormément plus de séropositifs chez les gay roux que les gay non roux. Il me semble clair que dans ce cas, il n'est pas raisonnablement acceptable de dire que le fait d'être un gay roux accroît les risques de devenir séropositif, même si des milliers d'études devaient le "confirmer".

Cette idée commence enfin à faire son chemin et j'en suis très content. Pourtant les centaines d'études faites par l'orthodoxie fonctionnent ainsi pour une raison précise dont je parlerais plus loins.

Maintenant le fait de soutenir une "association épidémiologique"par une "pathogenèse" (qui n'est rien d'autre que "l'histoire de la maladie"-> plus précisément les facteurs susceptibles de la causer, pouvant la cause) ne confirme pas cette liaison causale pour autant.

Autrement dit ce n'est pas parce qu'il y a plus de cas de séropositivité chez les homosexuels consommateur de poppers et que l'on explique parraléllement que le stress oxydatif cause la séropositivité dans certains cas que le lien est confirmé.

Même si je semble être dans un profond déni d'un lien indéniable ce n'est pas le cas, mon questionnement méthodologique est sincère.

Il faut démontrer que le stress oxydatif provoque systématiquement une séropositivité - hors pour rappel illustratif, tu as toi-même expliquer que les 40% de cas de pneumoncystoses sans séropositivité sont provoquer par des corticoïdes et des chimiothérapie anti-rejet. Il s'agit que d'un exemple illustrant la possibilité que le stress oxydatif peut ne pas causer de séropositivité du tout simultanément à une maladie caractéristique de SIDA.

Bref très simplement pour démontrer que cette séropositivité là est liée à la consommation de poppers il faut

- Supprimer le poppers chez les séropositifs (si encore possibillité de reversibilité).

- Administrer du poppers à des séronégatifs

Observer leur "séroconversions croisées" et à ce moment il sera possible d'affimer qu'une seule chose:

"Le stress oxydatif résultant de la consommation de poppers provoque une séropositivité."

Rien de plus et surtout pas le "stress oxydatif cause la séropositivité"

qui serait une conclusion abusive.

Je pense que ce genre d'études n'existent pas.

Le problème avec la théorie virale c'est que le facteur causale n'a jamais pu ête supprimer. Je reviendrais là-dessus de façon très précise à l'avenir car je suis entrain d'approfondir ce genre problème méthodologique.

Et pour rappel je m'oppose pas à la possibilité que la consommation de poppers provoque une séropositivité qui soit représentative du SIDA dans ce là, je dis juste qu'il me semble qu'aucune étude ne confirme cela dans ce but et surtout à la généralisation abusive que tous les cas de séropositivités sont représentativent du SIDA parce prétendument systématiquement représentative d'un stress oxydatif.

En tous cas merci pour cette intervention qui m'a permis de clarifier encore plus ce genre problème.

Cordialement

Modifié par Psyence
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tu as toi-même expliquer que les 40% de cas de pneumoncystoses sans séropositivité sont provoquer par des corticoïdes et des chimiothérapie anti-rejet.

Correction : Tu as toi-même suggérer que les 40% de cas de décès de pneumocystos sans séropositivité seraient provoquer par des corticoïdes et des chimiothérapies anti-rejet.

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Psyence,

or pour rappel illustratif, tu as toi-même expliquer que les 40% de cas de pneumoncystoses sans séropositivité sont provoquer par des corticoïdes et des chimiothérapie anti-rejet

En réalité, la principale arme chimique antirejet est un dérivé nitré, l'imurel, donc source de stress oxydant.

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