delwere Posté(e) le 7 octobre 2008 Partager Posté(e) le 7 octobre 2008 (modifié) Pour que tout bascule il faudrait un événement majeur, la presse s'occupera du reste dans un temps record! Regardez la crise financière où plusieurs analystes ont exprimé leurs inquiétudes depuis deux ans, rien ne s'est passé. Ceux qui parlaient il y a deux ans de la baisse de l'immobilier ont été pris pour des marginaux! Il a suffit que LEHMAN BROTHERS s'effondre pour que plus personne ne pourrait nier l'existence et l'ampleur de cette crise. Même les plus hauts responsables, ont attendu cette bombe médiatique pour commencer à prendre des mesures (comme si ils ne savaient pas déjà que la situation était très mauvaise) Les démissions ou déclarations de certains responsables de l'industrie du SIDA, aussi importantes soient elles, ne constituent que des vaguelettes sans effets. Tant qu'il y aurait pas un événement de taille qui intéresse toute la presse internationale, rien ne bougera! Rappelez-vous que tout a commencé dans une grande conférence de PRESSE. Aujourd'hui l'événement majeur (celui des Nobels) va dans le sens du courant, donc la vie continue. Modifié le 7 octobre 2008 par delwere Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 10 octobre 2008 Partager Posté(e) le 10 octobre 2008 Ce qui se passe est pourtant inedit. Ainsi Bamboué nous fait part de brèches dans le milieu hospitalier. Et il est tout de même remarquable que le mur du silence se fissure. Au plus haut niveau, on parle des personnes qui ne croient pas à la causalité VIH pur le Sida. Et si Bjoern Vennstroem dit qu'en gros ils ont été obligé de donner ce prix Nobel pour "silence those who claim that HIV does not cause AIDS", c'est qu'il y a vraiment le feu dans le camp des orthodoxes. C'est, me semble-t-il, une déclaration d'impuissance face à une vague qui ne cesse de monter. Et puis, ainsi que je l'ai déjà dit, Montagnier ne va-t-il pas introduire le loup dans la bergerie avec son stress oxydatif? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
bamboo Posté(e) le 10 octobre 2008 Partager Posté(e) le 10 octobre 2008 donner ce prix Nobel pour "silence those who claim that HIV does not cause AIDS", c'est qu'il y a vraiment le feu dans le camp des orthodoxes. C'est, me semble-t-il, une déclaration d'impuissance face à une vague qui ne cesse de monter. Je crois que oui ! En apprenant ce nobel, c'est tout de suite ce que j'ai pensé : ils rentrent en guerre ! C'est le début de leur fin !!! Youpiiiiiiiiiiii Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 11 octobre 2008 Partager Posté(e) le 11 octobre 2008 La meilleure de l'année : http://africa.reuters.com/top/news/usnJOE495101.html Le jambon fait boire, boire désaltère, donc le jambon désaltère! LOL! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wallypat Posté(e) le 12 octobre 2008 Partager Posté(e) le 12 octobre 2008 "Isolation of the virus itself is going to be the single most important discovery that will allow us to develop a vaccine, if a vaccine is ever developed," said Adriano Boasso, immunologist and AIDS researcher at Imperial College in London. Alors là! Ils sont tous devenus des adeptes du groupe de Perth! Ils ne se rendent même pas compte de ce qu'ils disent, ces immunologistes, et ce que sous-entend cette simple phrase!! Très bien vu, Cheminot ! Et ce qui me sidère également est le journaliste retranscrit les propos de ce chercheur ... sans se poser de questions (au sujet justement de cette prétendue isolation du "VIH") et sans esprit critique. Bref, il s'agit encore d'une nouvelle illustration de la faillite du quatrième pouvoir censé pourtant nous protéger ! Le travail du journaliste actuel se réduit à un simple boulot de scribe, de courroie de transmission de (pseudo) informations communiquées par les pouvoirs en place. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wallypat Posté(e) le 30 octobre 2008 Partager Posté(e) le 30 octobre 2008 Montagnier reçoit en 2008 le prix Nobel de médecine pour avoir "découvert" le prétendu rétrovirus "HIV" en 1983. Il est certain que le comité attribuant les prix Nobel n'ont jamais lu les écrits du Perth Group, qui n'ont jamais pu être réfutés (en tout cas pas pour ce qui concerne la prétendue isolation du "VIH") jusqu'à ce jour dans ne fût-ce qu'un seul article scientifique publié dans une revue scientifique peer review. A ce sujet, le lecteur anglophone trouvera ici plusieurs piqûres de rappel du Perth Group datées du 28 octobre 2008, ridiculisant, s'il en était encore besoin, l'attribution de ce prix Nobel. Analysis and commentary on Montagnier's scientific publications in regard to the 2008 Nobel Prize in Medicine Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wallypat Posté(e) le 19 novembre 2008 Partager Posté(e) le 19 novembre 2008 Encore deux autres cas de séroréversion (séropositif devenant à nouveau séronégatif) : http://www.pubmedcentral.nih.gov/picrender...67&blobtype=pdf (notez que pour faire tenir coûte que coûte l'hypothèse rétrovirale du sida, les auteurs de cette étude sont arrivés à la conclusion que les toxicomanes en question auraient été ... de faux positifs ! LOL ) http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=7759723 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 19 novembre 2008 Partager Posté(e) le 19 novembre 2008 On retrouve Elizabeth Dax, qui a témoigné au procès de Parenzee. On va finir par penser que tous ces gens-là sont vraiment plus bêtes que leurs pieds! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 3 décembre 2008 Partager Posté(e) le 3 décembre 2008 David Rasnick met gracieusement tout son travail de recherche à la disposition de tous ceux qui sont intéressés par ces études : lien Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 10 décembre 2008 Partager Posté(e) le 10 décembre 2008 La société savante Semmelweiss demande la rétraction du journal "Science" en ce qui concerne les publications de Robert Gallo de mai 1984. lien Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
cotedazur83 Posté(e) le 10 décembre 2008 Partager Posté(e) le 10 décembre 2008 La société savante Semmelweiss demande la rétraction du journal "Science" en ce qui concerne les publications de Robert Gallo de mai 1984. Dites moi je ne me trompe car mon Anglais est rouillé depuis 30 ans, ce n'est pas entrain de bouger sérieusement cette fois-ci. Gallo à l'air sérieusement épinglé. Il ne pourra qu'y avoir des suites à ces déclarations. La guerre est déclarée, et c'est un bataille de gagnée. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 10 décembre 2008 Partager Posté(e) le 10 décembre 2008 C'est Rethinkingaids qui a écrit ce texte demandant la rétractation de Science. Ce qui est nouveau, c'est que la Société Semmelweis, qui est réputée aux Etats-Unis, ait suivi Rethinkingaids dans ses conclusions. Manifestement, le fossé se creuse entre les divers participants à ce débat. Personnellement je suis entièrement d'accord avec la mise en question des papiers publiés par Gallo en 1984, où il a véritablement forcé la main à la communauté scientifique, ce que n'a jamais fait Luc Montagnier. Mais je déplore que le fossé se creuse ainsi et il me semble que la pierre d'achoppement réside dans l'acceptation ou non de l'amélioration des condition de vie des personnes ayant un sida déclaré sous l'influence du changement thérapeutique qui a eu lieu vers 1996. J'ai déjà donné mon opinion ici Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Psyence Posté(e) le 9 janvier 2009 Partager Posté(e) le 9 janvier 2009 Bonjour, J'aurais aimé savoir ce que vous pensez de cette citation d'André Gernez à propos du SIDA Le SIDA est une maladie digestive ; le risque d'être infecté est essentiellement lié à la pratique de la sodomie. L'Afrique est particulièrement touchée car la sodomie y est souvent utilisé comme méthode contraceptive. Le scandale du siècle tome 2, 2007, France, dans DVD interviews des Dr André Gernez, Dr Delahousse et Dr J-P Willem, paru 2008, Jean-Yves Bilien. Je ne sais pas si cet auteur a été abordé ici. Cordialement PS/Salutation à Wally, Cheminot et les autres Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
aixur Posté(e) le 9 janvier 2009 Partager Posté(e) le 9 janvier 2009 Bonjour, J'aurais aimé savoir ce que vous pensez de cette citation d'André Gernez à propos du SIDA S'il n'a dit que ça sans rien ajouter d'autre alors il raconte n'importe quoi. C'est beaucoup plus multi-factoriel qu'un simple problème de sodomie et de digestion. Même au sein de la dissidence, le problème de sodomie est considéré comme un problème parmi d'autres, et très loin d'être le plus important. Personnellement, j'ai des doutes sur cette histoire de lien entre sodomie et sida. Si ça se faisait par micro traumatismes, il faudrait que l'anus saigne en permanence, ou en tout cas fréquemment, pour qu'il y a contamination du sang. Et vu que le sang coagule, rapidement, la contamination cesserait. D'ailleurs, encore faut-il qu'il y ait contamination. Or, puisque le flux irait plutôt du système sanguin vers l'anus que de l'anus vers le système sanguin, on voit mal comment les matières fécales pourraient se retrouver dans le système sanguin. On peut imaginer que la guérison locale des lésions de l'anus se fasse plus lentement, mais c'est tout. Normalement, ça devrait rester un phénomène plutôt local. D'ailleurs, si les matières fécales contaminaient le flux sanguin, on peut penser qu'un empoisonnement local des chairs s'ensuivrait, avec risque de gangrène. Par ailleurs, je ne vois pas le lien entre sodomie et digestion. Si Gernez donne plus de détails, j'aimerai les connaitre. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 10 janvier 2009 Partager Posté(e) le 10 janvier 2009 Quelques documents à méditer : http://molehr.oxfordjournals.org/cgi/conte...7/10/913?ck=nck et sur le site de Henry Bauer http://hivskeptic.files.wordpress.com/2008...aldysbiosis.pdf Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
aixur Posté(e) le 10 janvier 2009 Partager Posté(e) le 10 janvier 2009 Cheminot, J'ai lu l'article sur la "dysbiosie intestinale". Je ne suis pas convaincu. En fait, concernant la dysbiosie elle-même, ils établissent que ça se traduit par l'émission d'anticorps multi-antigènes. Et c'est à partir de ce critère qu'ils établissent ensuite ou non s'il y a dysbiosie. Dans le cas du sida, ils disent que la phase sida se traduit justement par le fait que le sérum des sidéens réagit à plein d'antigènes différents. Donc, le stade sida est accompagnée par la dysbiosie selon eux. Et donc, la dysbiosie serait à l'origine de nombreux cas de sida. CQFD. Sauf que personnellement, je pense que les tests d'anticorps sont totalement non spécifiques, qu'ils ne réagissent en fait qu'à la quantité de particules présentes dans le sérum, et que justement, le stade sida se caractérise très souvent par une explosion de la quantité de débris cellulaires. Du coup, forcément que tous les tests d'anticorps vont avoir tendance à réagir lors du stade sida. Dans mon schéma de pensée, leur théorie est donc est donc complètement fausse. Si les tests d'anticorps réagissent tous lors du sida, ça n'a rien à voir avec la dysbiosie, mais avec la prise de médicaments qui désagrègent les cellules, ou à cause de la baisse du taux de cortisol. D'ailleurs, leur définition de la dysbiosie devient complètement foireuse, vu que n'importe quel médicament qui désagrège les cellules peut faire entrer quelqu'un dans cette catégorie. Sinon, au stade sida on va avoir tendance à donner des médicaments (des antibiotiques par exemple), qui donnent mal au ventre. Donc, si on se base seulement sur les symptomes de la dysbiosie, en oubliant les effets des médicaments en question, on pourra dire que c'est une preuve de la présence de la dysbiosie. Alors que ça n'a rien à voir. Par ailleurs, ils ont tendance à étendre la problématique à d'autres problèmes que la seule sodomie. Par exemple, ils parlent du problème du lavement (j'y reviendrai). Ils parlent aussi du problème de la prise de drogue. Je suis désolé, mais c'est un problème complètement différent. Là, on retombe dans l'analyse de Duesberg qui dit que les drogues ont tendance à faire engendrer un état sidéen. Apparemment, leur but était de traiter aussi des problèmes autour de la sodomie. Mais ça élargit le problème de façon artificielle. Si on s'en tient à la seule sodomie, ils n'ont que le problème de la dysbiosie qui y serait relié (et encore, apparemment par l'intermédiaire du problème du lavement). Et à mon avis, cette histoire de la dysbiosie ne tient pas la route. Concernant le problème des lavements, c'est intéressant. On n'y pense pas assez. Peut-être que ça a un impact, mais d'une façon qui n'aurait rien à voir avec les arguments avancés dans le papier. Il est peut-être possible que le lavement entraine une perturbation du colon et aboutisse à une constipation (par quel mécanisme ? Ca, par contre, je ne sais pas). Du coup, les personnes la pratiquant prendraient des laxatifs de façon régulière. Les laxatifs auraient tendance à stimuler la production de cortisol. Lorsqu'ils arrêteraient d'en prendre, le taux de cortisol s'effondrerait, et ils se retrouveraient avec le symptomes soi-disant du sida. Sinon, est-ce que le lavement perturbe la digestion par la suite, comme ils le soutiennent ? Mouai, faut voir. Dans la mesure ou le lavement ne doit concerner que l'anus et la fin du colon, je ne vois pas trop pourquoi ça perturberait la digestion. Mais peut-être que ça va plus loin que le bout du colon. A voir. Sinon, concernant le fait que ça entrainerait le largage de déjection dans le sang, là aussi, je doute. Dans ce cas, la moindre diarrhée devrait le faire. A moins que ça ne fasse remonter les déjections dans le colon. Cela dit, le principe, c'est justement de les faire partir rapidement. Donc, même s'il y a remontée, elle ne doit être que de très courte durée. Sinon, pour le premier papier que tu cites, d'accord, le sperme est un oxydant si j'ai bien compris. Seulement, ça, ça n'est qu'une partie du problème. Encore faut-il savoir s'il arrive à traverser de façon massive la barrière de l'anus. Ca, on n'en sait rien. Et puis, il faudrait faire une étude comparant le coté oxydant du sperme à celui des déjections. A mon avis, c'est aussi oxydant que le sperme. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
bamboo Posté(e) le 11 janvier 2009 Partager Posté(e) le 11 janvier 2009 Le SIDA est une maladie digestive ; le risque d'être infecté est essentiellement lié à la pratique de la sodomie. L'Afrique est particulièrement touchée car la sodomie y est souvent utilisé comme méthode contraceptive. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jibrail Posté(e) le 21 janvier 2009 Partager Posté(e) le 21 janvier 2009 Bonjour, J'aurais aimé savoir ce que vous pensez de cette citation d'André Gernez à propos du SIDA Le SIDA est une maladie digestive ; le risque d'être infecté est essentiellement lié à la pratique de la sodomie. L'Afrique est particulièrement touchée car la sodomie y est souvent utilisé comme méthode contraceptive. Le scandale du siècle tome 2, 2007, France, dans DVD interviews des Dr André Gernez, Dr Delahousse et Dr J-P Willem, paru 2008, Jean-Yves Bilien. Salut, Comme l'indique les papiers que cite Cheminot, il y a de nombreuses présomptions sur le rôle du système digestif et particulièrement des intestins dans la régulation du système immunitaire (il y aurait autant de Cd4 dans les intestins que dans le reste du corps, et cela correspond aussi à la plus grande surface d'échanges du corps, et de très loin, entre l'extérieur et l'intérieur du corps), et partant, dans l'apparition de la séropositivité et des maladies liées au sida. La plupart des études d'observation de la transmission laisse aussi entendre que seule l'intensité de pratiques de sodomies passives non protégées sont vaguement corrélées avec la fréquence de la séropositivité (à la différence de toutes les autres pratiques sexuelles et en lien avec le caractère oxydant du sperme). La seconde observation (sur la base limitée de ton très court extrait) me parait néanmoins très contestable, en laissant entendre que l'Afrique serait particulièrement touchée parce que la sodomie y serait plus fréquente. C'est une assertion qui de mon point de vue ne repose sur rien (les enquêtes sérieuses sur la sexualité se compte sur le doigt de la main), qui assimile l'Afrique à un tout homogène alors qu'il s'agit d'une mosaïque de sociétés très variées, dont certaines sont très prudes et certaines plus libérées... Il l'oppose au reste du monde en matière de sexualité, sans doute parce qu'il ne sait pas expliquer autrement pourquoi il existe de telles différences entre les taux de séropositivité (par ailleurs passablement surgonflés) en Afrique ou dans les Caraïbes par rapport aux autres régions... Cela participe du même présupposé raciste qu'utilise l'orthodoxie, où des idées préconçues sur la sexualité des Africains seraient de nature à expliquer la fréquence de la séropositivité sur ce continent, tout simplement parce que c'est l'unique raison qui serait compatible avec l'hypothèse rétrovirale du sida. Pourtant de nombreux autres facteurs tels que cité par Cheminot dans ce message peuvent expliquer la situation spécifique de l'Afrique. Pour résumer par rapport à ta question : oui le sida est peut-être en partie une maladie digestive, la sodomie joue sans doute un rôle chez un certain nombre, mais non pas du tout pour la suite concernant la sodomie en Afrique. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
brume de l'abro Posté(e) le 31 janvier 2009 Partager Posté(e) le 31 janvier 2009 Je ne sais pas trop dans quel topic placer ce que je viens de lire (en anglais, désolée) sur le site de Henry Bauer, mais ça peut faire suite aussi à ce topic... Vers le bas de cette page sur le site de Henri Bauer : Tony Lance said Friday, 30 January 2009 at 6:34 pm Cytotalker, I found out about this study only within the last two weeks. To say I was stunned when I read it would be an understatement! The most interesting part, to me, was the measurements the researchers made of both beneficial and potentially pathogenic microbes in the intestinal tract of “HIV+” and “HIV-” people. They found that: —92% of the “HIV+” individuals had Pseudomonas aeruginosa in their gut compared to only 20% of the general population. What’s more, the levels of P. aeruginosa was 10 times higher in the “HIV+” people. —100% of the “HIV+” subjects had C. albicans in their fecal samples. This compares to 40% of the general population. Most remarkable, the levels of C. albicans was nearly 10,000 times higher in the “HIV+” individuals than in “HIV negatives”. —The comparisons of beneficial bacteria such as Bifidobacteria and Lactobacilli were equally illuminating. The amount of Bifidobacteria in the “HIV+” group was between 25% and 50% of the general population. Astonishingly, the levels of Lactobacilli were “nearly undetectable” in the “HIV+” subjects. These findings offer pretty strong evidence that what’s going on in “HIV/AIDS” has its origin in the gut. And the proliferation of unchecked microbes, particularly fungi such as C. albicans, plays a primary role. Les pourcentages me rappellent de manière indirecte les taux élevés de certaines CV, qui deviennent indétectables après quelque temps de prise de anti-retrovirals. Tony Lance y réagit à cette publication., d'ailleurs citée dans le post précédent sur la même page du site de Bauer. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 31 janvier 2009 Partager Posté(e) le 31 janvier 2009 Tout cela me fait penser à un post que j'écrivais ici même il y a 4 ou 5 ans : le sida semble résulter de la prolifération des nettoyeurs de cellules mortes que sont les champignons. La quantité de cellules mortes dans le gros intestin doit être impressionnante, et tout cela, me semble-t-il très logiquement - étant le résultat de l'excès multifactoriel de peroxynitrites. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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