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**[SIDA] : le "VIH" ne cause pas le SIDA ** 3/3


Schnappi

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Je pense que les fameux ARN existent chez tout le monde, à bas bruit, ainbsi que les anticorps, à bas bruit également, car des apoptoses normales, il y en a toujours, et heureusement, et que, comme par hasard, elles sont provoquées par la même substance chimique qui apparaît en excès lors de ces stress oxydatifs azotés. Il est donc normal que ce processus soit codifié par la nature, et qu'il fasse apparaître tout ce que l'on a découvert.

Pourquoi pas mais de ce que j'avais vu des expériences de localisation de ces séquences intégrées présentes dans l'ADN des patients dits infectés et il y avait des contrôles nég alors est-réellement présent chez tous le monde ?

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Salut à tous

A propos des anti-oxydants , voici une reponse de medecin aux journées de reflexion sientifique sur le theme : Le corps malmené par le "Vih" et les traitements (2005)

Lawrence Sarfaty , hopital Saint-antoine (Paris)

Pour le TT antioxydant , vous voulez sans doute parler de l'acide ursodesoxycholique qui est un TT tres efficace . C'est un acide biliaire hydrophyle , qu'on retrouve dans la bile d'ours , et qui a des proprietés hepato-pratectrices

Quand on le donne , dans toutes les hepathopathies , on voit les enzymes hepatiques diminuer . Ce produit n'a aucun effet secondaire , est tres bien supporté , la posologie est de 1 gr par jour ; Pour la vitamine E qui a des vertus antioxydante , le probleme , c'est que c'est efficace a des doses tres elevées , avec effectivement des problemes de toxicité . On la donne donc à 1.5 gr par jour , mais ce n'est certainement pas suffisant .

La discussion portait sur la coinfection ( sida , vhc )

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copié-collé du blog de Bruno Berthelet :

Essai de Rebecca Culshaw traduit par Bruno :

Encore une autre particularité de lévangile du VIH/SIDA est que beaucoup de ce que nous entendons et encore beaucoup plus de ce que les docteurs et des chercheurs croient pour être vrai, est tellement éloigné de ce qui est documenté dans la littérature scientifique que lorsquon apprend ce qui y figure vraiment dans, la réaction immédiate est lincrédulité.

Je doute que beaucoup de citoyens ordinaires, voire de praticiens médicaux soient conscients que dans des kits dessai danticorps au VIH il existe des phrases davertissement telles que : "Le test EIA [Elisa] ne peut pas être utilisé pour diagnostiquer le SIDA." Je doute que beaucoup de personnes qui se soumettent à ce test aient une connaissance quelconque que leur avenir, leur capacité à obtenir lassurance, à porter des enfants naturellement, à voyager, ou à vivre sans crainte, dépend des résultats dun essai qui na pas même été approuvé pour diagnostiquer linfection du VIH, sans pouvoir être "confirmé" par les nombreux tests semblables, qui fonctionnent tous de la même manière et qui contiennent tous des avertissements semblables.

Mais je doute même plus que la majorité de praticiens médicaux soit consciente du changement subtil mais significatif dans la langue utilisée dans les kits de tests VIH depuis le début de lère du SIDA. Par exemple, de 1984 jusquau passé très récent, les inserts de kit de test contenaient cette déclaration sans équivoque : "le SIDA est causé par le VIH". En 2002, lOraSure modifie cette déclaration pour dire : "le SIDA, les complexes liés au SIDA et le pré-SIDA sont supposés être causé par le VIH."

Mais juste cette année, dans un remarquable - et potentiellement significatif - changement dans la pensée, la tendance semble être de faire une déclaration encore moins péremptoire. Par exemple, linsert du test ELISA dAbbott Diagnostic contient la sentence suivante : "Les données épisémiologiques suggèrent que le Syndrome immuno-déficitaire acquis (le SIDA) est causé par au moins deux types de virus dimmunodéficience humaine, connus collectivement comme le HIV."

Vironostika semble être même moins désireux de soutenir un vrai rôle causal, comme le dit linsert de leur kit de test de 2006 : "les données publiées indiquent une corrélation forte entre le syndrome dimmuno-déficiece acquise (le SIDA) et un retrovirus reconnu comme le virus dImmunodéficience Humain (le HIV)."

Tout cela nous indique que vingt-deux ans plus tard, nous navons pas avancé. Comme lindique la publication récente de Rodriguez et al., la quantité de virus (mesurée de manière douteuse par les tests de charge virale) na pratiquement aucune influence sur la baisse des cellules CD 4+ et on a si longtemps cru que ces cellules mouraient sur lordre du VIH

Ainsi que Zvi Grossman la exposé dans une publication récente, "les processus pathogènes et physiologiques menant au SIDA restent une énigme." Autrement dit, nous navons toujours aucun indice sur ce que fait le HIV en réalité .Que deviennent les cellules-T ? Personne ne le sait. De même, quest-ce que la charge virale ? Personne ne le sait.

Après vingt-deux ans, nous sommes revenus à la corrélation - revenus à lépidémiologie. Nous sommes toujours scotchés dans la même habitude de promouvoir ces tests, qui peuvent mesurer quelque chose, mais personne vraiment ne comprend ce que cest. Pire encore, nous utilisons les résultats de ces tests pour littéralement ruiner des vies des gens.

La tendance la plus inquiétante de derniers est "la recommandation forte" que toutes les femmes enceintes soient testées pour le HIV. Et si elle nest pas testée pour le HIV pendant sa grossesse, nous recommanderons fortement quelle soit testée tandis quelle est en travail. Est-ce que je suis la seule personne que cela inquiète ?Tterroriser et intimider des femmes quand ils sont le plus vulnérables - quand elles sont enceintes et quand elles donnent naissance - est un signe dune société qui souffre dune maladie plus mauvaise que celle quelle terrorise.

Cest dautant plus horrible que la grossesse est documentée dans la littérature médicale comme une source de faux positifs pour les tests danticorps VIH. Ce qui pourrait sembler a priori une décision se souciant de lenfant à naître se trouve être en réalité une décision non informée, parce que la plupart des mères parturientes ne sont pas conscientes que leurs chances dêtre enregistrée comme (faussement) positives augmenteront (et laugmentation apparaît particulièrement saisissante parmi des femmes noires).

La plupart ne saura pas quun résultat positif empêchera son enfant de recevoir la nutrition optimale via lallaitement. La plupart ne sera pas conscient quelle sera contrainte de prendre des médicaments dont on ne connaît même pas les effets à long terme sur elle ou sur son enfant.

Le plus mauvais aspect de ce type de terrorisme médical aboutit aux situations comme le cas tragique de Joyce Ann Hafford (qui a conduit à un tel effet dévstateur suite à la chronique de Celia Farber dans son récent article dans le magazine dHarper), qui est mort suite à la toxicité de la nevirapine. Le fait que Hafford puisse finalement avoir été fausse positive en fait la perte dautant plus horrible. Et nous ne pouvons pas oublier le fait que nous navons aucune idée ce qui arrivera à long terme aux enfants qui reçoivent ces médicaments) in utero. Nous navons aucune idée, de même que nous navons aucune idée sils tomberaient même malades sils nont pas reçu les drogues(médicaments).

Tout ceci dit, la seule preuve que nous ayons dun quelconque rôle joué par le VIH dans le SIDA est une corrélation epidémiologique. Pire, cest une corrélation entre les manifestations dun syndrome clinique particulier et les résultats dun test danticorps qui na pas été standardisé, na jamais été vérifié sis-à-vis du véritable isolement viral et qui nest pas même approuvé pour le diagnostic dune infection au VIH.

A cause de ces tests, nous avons créé toutes les types de lois discriminatoires, mais nous ne savons même pas ce que ces tests signifient. Et si nous ne savons pas ce quils signifient, nimporte quelles données de corrélation qui pourraient être obtenues deux doivent être regardées avec prudence, si non rejetées entièrement. Quand tout est ainsi mis à nu, nous commençons lentement à comprendre comment incertaines sont les fondations de lindustrie du VIH/SIDA toute entière, et tout ce qui va avec nest rien ( ??).

(*) : Rebecca V. Culshaw worked on mathematical models of HIV infection for almost ten years. She received her Ph.D. in mathematics (with a specialization in mathematical biology) from Dalhousie University in Canada in 2002 and is currently an assistant professor of mathematics at the University of Texas at Tyler.

Modifié par Cheminot
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Nico,

J'ai sur les genoux la seconde édition du bouquin de biochimie de "de Voet & de Voet" de 2002.

Voilà ce que je lis dans le chapitre concernant le tassement des bases dans l'ADN à double hélice.

On y lit d'abord que les interactions conduisant à ces tassements sont assez spécifiques. Il y a déjà ici apparition d'une certaine spécificité des sites sensibles des bases en fonction de l'environnement. Vous ne pouvez niez, vous les biologistes, l'existence d'une certaine régiosélectivité.

Par ailleurs, ces forces sont de type Van der Waals, mais il est indiqué plus loin dans le bouquin que ces forces sont actuellement très mal comprises. Incompréhension dont ils parlent tout au long du paragraphe.

Comment peux-tu alors affirmer avec conviction que l'attaque de l'ADN par un composé comme les peroxynitrites ne peut être qu'aléatoire, si, à la dimension de l'angström on ne connaît rien sur les forces d'interaction intramoléculaires.

Car il est évident que ces interactions vont modifier la densité électronique de chacun des cycles aromatiques formant ces bases. Cela étant, comme les peroxynitrites agissent en tant qu'agents nitrants, il s'agit donc d'une réaction de substitution électrophile aromatique, dont on sait qu'elle est véritablement régiosélective en fonction de la densité électronique de chaque carbone.

Les purines sont globalement plus riches en électrons que les pyrimidines, il est donc normal de trouver surtout de la nitroguanososine. Mais, comme les couples de bases se superposent en couches parallèles, une guanosine entourée de deux adénines ou de deux thymines ne réagira pas de la même manière.

Ce qui me semble en cause ici, c'est le dogme du hasard, qu'on vous a enseigné depuis les classes du lycée, et qui ne colle pas avec la réalité de la matière qui est décrite par la physicochimie. Je me demande s'il ne faudra pas renverser la biologie telle qu'elle est conçue actuellement.

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Comme je voulais mettre le texte de Rebecca Culshaw sur sidasante, j'en ai un peu amélioré la traduction. J'ai aussi rajouté le titre (sinon, on ne savait pas de quel texte il s'agissait à l'origine). Voilà la traduction modifiée :

Bien, qu'en est-il de ces tests ?

(Well, What About Those Tests?)

par le Dr Rebecca Culshaw

Une autre particularité de l’évangile du VIH/SIDA est que beaucoup de ce que nous entendons et encore beaucoup plus de ce que les docteurs et des chercheurs pensent être vrai, est tellement éloigné de ce qui est documenté dans la littérature scientifique que lorsqu’on apprend ce qui y figure vraiment, la réaction immédiate est l’incrédulité.

Je doute que beaucoup de citoyens ordinaires, voire de praticiens médicaux soient conscients que dans les kits de tests d’anticorps pour le VIH, il existe des phrases d’avertissement telles que : "Le test EIA [Elisa] ne peut pas être utilisé pour diagnostiquer le SIDA." Je doute que beaucoup de personnes qui se soumettent à ce test aient une connaissance quelconque que leur avenir, leur capacité à se faire couvrir par les sociétés d'assurance, à porter des enfants naturellement, à voyager, ou à vivre sans crainte, dépend des résultats d’un test qui n’a même pas été approuvé pour diagnostiquer l’infection par le VIH, sans pouvoir être "confirmé" par les nombreux tests semblables, qui fonctionnent tous de la même manière et qui contiennent tous des avertissements semblables.

Mais je doute encore plus que la majorité des praticiens médicaux soit consciente du changement subtil mais significatif dans le langage utilisé dans les kits de tests VIH depuis le début de l’ère du SIDA. Par exemple, de 1984 jusqu’à un passé très récent, les notices des kits de test contenaient cette déclaration sans équivoque : "le SIDA est causé par le VIH". En 2002, OraSure modifie cette déclaration pour dire : "le SIDA, les complexes liés au SIDA et le pré-SIDA sont supposés être causés par le VIH."

Mais depuis cette année, dans un remarquable - et potentiellement significatif - changement de pensée, la tendance semble être de faire une déclaration encore moins péremptoire. Par exemple, la notice du test ELISA d’Abbott Diagnostic contient la phrase suivante : "Les données épidémiologiques suggèrent que le Syndrome d'Immuno-Déficicience Acquise (le SIDA) est causé par au moins deux types de virus d’immunodéficience humaine, connus collectivement comme le VIH."

Vironostika semble être même moins désireux de soutenir un vrai rôle causal, comme le dit la notice de leur kit de test de 2006 : "les données publiées indiquent une corrélation forte entre le syndrome d’immuno-déficience acquise (le SIDA) et un retrovirus désigné comme étant le virus d’Immuno-Déficience Humain (le VIH)."

Tout cela nous indique que vingt-deux ans plus tard, nous n’avons pas avancé. Comme l’indique la publication récente de Rodriguez et al., la quantité de virus (mesurée de manière douteuse par les tests de charge virale) n’a pratiquement aucune influence sur la baisse des cellules CD 4+ alors qu'on a si longtemps cru que ces cellules mouraient sur l’ordre du VIH. Ainsi que Zvi Grossman l’a exposé dans une publication récente, "les processus pathogènes et physiologiques menant au SIDA restent une énigme." Autrement dit, nous n’avons toujours aucun indice sur ce que fait le VIH en réalité .Que deviennent les cellules-T ? Personne ne le sait. De même, qu’est-ce que la charge virale ? Personne ne le sait.

Après vingt-deux ans, nous sommes revenus à la corrélation - revenus à l’épidémiologie. Nous sommes toujours scotchés dans la même habitude de promouvoir ces tests, qui peuvent mesurer quelque chose, mais personne ne comprend vraiment ce que c’est. Pire encore, nous utilisons les résultats de ces tests pour littéralement ruiner des vies des gens.

La tendance la plus inquiétante de derniers est "la forte recommandation" que toutes les femmes enceintes soient testées pour le VIH. Et si elles ne sont pas testées pour le VIH pendant leur grossesse, nous recommanderons fortement qu’elles le soient au moment de l'accouchement. Est-ce que je suis la seule personne que cela inquiète ? Terroriser et intimider des femmes au moment où elles sont le plus vulnérables - quand elles sont enceintes et quand elles accouchent - est le signe d’une société qui souffre d’une maladie plus mauvaise que celle qu’elle terrorise.

C’est d’autant plus horrible que la grossesse est documentée dans la littérature médicale comme une source de faux positifs pour les tests d’anticorps VIH. Ce qui pourrait sembler a priori une décision se souciant de l’enfant à naître se trouve être en réalité une décision non informée, parce que la plupart des mères parturientes ne sont pas conscientes que leurs chances d’être enregistrée comme (faussement) positives augmenteront (et l’augmentation apparaît particulièrement saisissante parmi les femmes noires).

La plupart ne saura pas qu’un résultat positif empêchera son enfant de recevoir la nutrition optimale via l’allaitement. La plupart ne sera pas conscient qu’elle sera contrainte de prendre des médicaments dont on ne connaît même pas les effets à long terme sur elle ou sur son enfant.

Le plus mauvais aspect de ce type de terrorisme médical aboutit à des situations comme celle du cas tragique de Joyce Ann Hafford (qui a conduit à un tel effet dévastateur suite à la chronique de Celia Farber dans son récent article dans le magazine Harper), qui est morte suite à la toxicité de la nevirapine. Le fait que Hafford puisse finalement avoir été fausse positive rend sa perte d’autant plus horrible. Et nous ne pouvons pas oublier le fait que nous n’avons aucune idée ce qui arrivera à long terme aux enfants qui reçoivent ces médicaments in utero. De même, nous ne savons absolument pas s'ils tomberaient seulement malades s’ils ne prenaient pas de médicaments.

Ceci étant dit, la seule preuve que nous ayons d’un quelconque rôle joué par le VIH dans le SIDA est une corrélation epidémiologique. Pire, c’est une corrélation entre les manifestations d’un syndrome clinique particulier et les résultats d’un test d’anticorps qui n’a pas été standardisé, n’a jamais été vérifié à l'aune d'un véritable isolement viral et qui n’est pas même approuvé pour le diagnostic d’une infection au VIH.

A cause de ces tests, nous avons créé de nombreuses lois discriminatoires, mais nous ne savons même pas ce que ces tests signifient. Et si nous ne savons pas ce qu’ils signifient, n’importe quelles données de corrélation obtenues à partir de ces tests doivent être regardées avec prudence, si ce n'est rejetées entièrement. Quand tout est ainsi mis à nu, nous commençons lentement à comprendre combien sont incertaines les fondations de l’industrie du VIH/SIDA toute entière, et tout ce qui reste est alors la chose suivante : rien.

(*) : Rebecca V. Culshaw a travaillé sur des modèles mathematiques de l'infection au VIH pendant presque 10 ans. Elle a obtenu un Ph.D. en mathematiques (avec une specialisation en mathématiques appliquées à la biologie) à l'université de Dalhousie au Canada en 2002 et est actuellement professeur assistante de mathematiques à l'Université du Texas à Tyler.

http://barnesworld.blogs.com/barnes_world/..._culshaw_2.html

Modifié par aixur
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Pour informatrion

http://www.evolutionquebec.com/site/sante/vih.html

Selon le scénario officiel, l'épidémie prit naissance en 1980 lorsque Michael Gottlieb, un immunologiste nouvellement promu au centre médical de l'UCLA à Los Angeles, eut l'idée de se servir de la toute nouvelle technologie de comptage des cellules T. Il fit circuler auprès de ses collègues une demande informelle afin qu'on lui signale tous les cas de déficit immunitaire. Dans les quatre mois qui suivirent, il reçut quatre rapports concernant de tels cas : il s'agissait d'homosexuels de sexe masculin frappés de pneumonie à Pneumocystis carinii. Persuadé que le CDC ne pourrait manquer d'être intéressé, il contacta l'officier local en exercice au bureau de santé publique de Los Angeles, Wayne Shandera. Shandera avait un cinquième rapport du même type, concernant également un homosexuel. En reliant tous ces cas différents, il compila un rapport pour le CDC.

Normalement, chacun de ces cinq cas particulier aurait dû être traité par un médecin particulier, sans que jamais l'idée d'épidémie n'effleure personne. Mais la présence sur place d'un agent de l'EIS a certainement aidé le CDC à rassembler ces cas disparates pour les faire apparaître comme un foyer d'épidémie. La rapport Shandera atterrit sur le bureau de James Curran, un des responsables de la division vénérienne du CDC. Un livre publié en 1987 "And The Band Played On" nous rapporte, page 67, que Curran écrivit en marge du rapport le commentaire suivant : "Hot stuff. Hot stuff", c'est-à-dire "Sensationnel. Sensationnel." Il le fit immédiatement diffuser par l'agence.

Le 5 juin 1981, le rapport était publié et Curran avait déjà mis sur pied une équipe spéciale chargée de détecter les cas de syndromes de Kaposi et d'infections opportunistes, l'équipe KSOI qui devait commencer par une enquête sur les cinq premiers cas collectés. Deux autres membres de l'EIS, Harold Jaffe et Mary Guinan, tous deux officiers de la section vénérienne, étaient chargés d'encadrer l'équipe spéciale d'enquête. Leur premier travail fût de trouver un maximum de cas semblables aux cinq premiers afin de prouver que l'épidémie se répandait... .... Pour citer l'historienne Elisabeth Etheridge : "Bien que les malades aient été des utilisateurs réguliers d'amyl nitrite ou poppers , aucun des membres de l'équipe KSOI ne voulut admettre que le problème était d'origine toxicologique." (Sentinel for Health, 1992, p. 326).

L'EIS se mit en campagne pour prouver que le sida est contagieux. L'officier EIS David Auerbach confirma que ces homosexuels à très multiples partenaires étaient reliés les uns aux autres par une longue chaîne de relations sexuelles... ... Même des Haitiens vivant en Floride ou à Haiti même furent interrogés par l'officier de l'EIS Harry Haverkos qui décréta que la tuberculose endémique qui les affectait était une autre forme de sida.

Loin d'imaginer les pièges cachés de cette enquête de l'EIS, le grand public avala, sans sourciller, l'hameçon et la ligne lancés par le CDC. Bientôt la compétition fit rage entre les scientifiques : c'était à qui indentifierait le premier le virus responsable du sida. Pourtant, même cette recherche était truquée d'avance. Donald Francis, membre de l'EIS depuis 1971, avait décidé onze jours après la publication du rapport originel, le rapport Shandera, que le syndrome baptisé sida devait être attribué à un retrovirus - avec une longue période d'incubation, qui plus est ! Mettant en oeuvre ses nombreux contacts dans le domaine des retrovirus, Francis passa les deux années suivantes à pousser Robert Gallo à isoler un nouveau retrovirus. Gallo finit par se sentir intéressé et prit son brevet pour avoir découvert le VIH.

Pendant sa conférence du 23 avril 1984, Gallo apporta la touche finale à la croisade entreprise par le CDC et l'EIS. Flash des appareils photos, vrombissement des caméras, micros et magnétos : la nation entrait en guerre contre le sida, poussée par Robert Gallo et le Ministre de la santé Margaret Heckler. Très peu nombreux ceux qui connaissaient la véritable histoire cachée derrière cette conférence et le programme de manipulations socio-politiques que Don Francis et les autres maffieux avaient mis au point pour tromper le peuple américain.

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Tiens, à propos également des découvreurs du virus. Quelqu'un (je ne sais pas si je peux donner son nom, donc, je m'abstiens) m'avait écrit il y a un peu plus de 6 mois. Et il m'avait communiqué ce lien.

http://picardp1.ivry.cnrs.fr/Leibowitch.html

Comme on ne peut apparemment pas reproduire le texte en question, j'en fais un résumé partiel.

Un certain Jacques Leibowitch se vante d'être à l'origine de la découverte du VIH. Apparemment, il aurait eu besoin d'un virologue pour valider sa stupide croyance que c'était un virus qui était à l'origine du SIDA. Il serait allé voir le D. Stehelin à Lille, Jean Paul Lévy à Cochin. Mais ils auraient refusé de chercher le "virus". Levy lui aurait quand même donné le numéro de Robert Gallo aux NIH. Et il lui aurait déconseillé Montagnier, parce que selon Levy, Montagnier était considéré comme un mauvais, le 182ème joueur mondial en matière de rétrovirologie. Il cherchait un rétrovirus depuis 20 ans sans arriver à en trouver un. Donc Leibowitch aurait appelé Gallo. Il est tombé sur sa secrétaire et lui a dit "je vais vous laisser six mots clés que vous lui répéterez, OK? HTLV, Health, Transfusion, Haïti, Africa and AIDS". Le lendemain, Gallo rappelait. Et 2 mois plus tard, en février 1983, il s'invitait à un meeting avec Gallo et tout le staff des NIH. Selon lui, si Gallo a merdé au début, c'est qu'il y avait un mec qui salopait le boulot, et aussi parce qu'il était obnubilé par l'idée de trouver un HTLV. Et ça ne marchait pas.

Donc, l'histoire du virus aurait été imaginée par Leibowich au départ, pas par Gallo ou Montagnier.

Bon, cela dit, le Leibowitch en question a l'air bien prétentieux (genre j'avais tout compris avant tout le monde, je suis un mec super cool qui allait aux réunions en patins à roulette et qui n'était pas impressionné par les super pontes qui faisaient trembler les autres). Donc, peut-être aussi qu'il a arrangé l'histoire à son avantage. Mais peut-être pas. A voir.

La personne qui m'a écrit m'a suggéré de faire une copie d'écran et une sauvegarde de la page en question, parce que "dès que nous allons l'utiliser elle disparaîtra, j'en suis certain". Je crois qu'effectivement, il serait sage que ceux qui iront lire ce texte en fassent une sauvegarde.

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Invité Dee Stroy

Voici une version validée de l'interview disponible à cette adresse :

http://picardp1.ivry.cnrs.fr/Leibo.html

Très amusant de faire la comparaison entre les deux versions... beaucoup d'attaques sont adoucies telle cette phrase qui disparait :

"À Pasteur, ils ont des oursins dans les poches. Ils se démerdent toujours pour baiser ceux avec qui ils travaillent. Cest comme ça. Ils ont le syndrome bien bourgeois français qui garde son truc, qui veut pas partager tellement il est radin. Ça n'a pas loupé."

Modifié par Dee Stroy
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Ah oui, je n'avais pas vu qu'il y avait une version retouchée.

Sur Montagnier, ça passe de :

"il m'a déconseillé de contacter Luc Montagnier à Pasteur, un mauvais. Et c'est vrai, Montagnier c'était le 182ème joueur mondial en rétro virologie, ça faisait vingt ans qu'il cherchait un rétrovirus sans rien trouver...

Montagnier, on me dit il est nul..."

à

"et ils ne m'ont pas conseillé un certain Montagnier à Pasteur, au registre qu’il jouait 182ème dans la rétro virologie mondiale...

Avec les français ? Montagnier, on me dit qu’il est pas balèze..."

Amusant.

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"À Pasteur, ils ont des oursins dans les poches. Ils se démerdent toujours pour baiser ceux avec qui ils travaillent. Cest comme ça. Ils ont le syndrome bien bourgeois français qui garde son truc, qui veut pas partager tellement il est radin. Ça n'a pas loupé."

Normal l'Institut Pasteur ne vit que grace a des subventions ou des "donations" de généreux "donateurs" comme des labos pharmaceutiques... et en contre partie, ces généreux "donateurs" ont droit à la priorité sur le résultat des recherches qui les "touchent" de près... or tout ce qui touche au SIDA est la chasse gardée de certains labos français en attente de pouvoir sortir vaccin et/ou médicaments...

Ce ne sont pas des oursins qu'ils ont dans les poches, mais des contrats qui les lient financières à des entreprises...

Par exemple, l'utilisation du nom "Pasteur" leur appartient : quiconque veut l'utiliser pour un nom de société ou une marque doit payer des royalties, et si l'utilisateur veut aussi la priorité sur les résultats, les royalties sont là pour justifier les échanges financiers...

Bref, l'institut Pasteur se finance comme il peut mais ses résultats vont en premier à ceux qui participent... logique commerciale d'un organisme non commercial...

C'est comme le label "testé par l'institut Pasteur" : il a une valeur largement supérieur aux frais réels des tests réalisés... reflechi.gif

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Salut,

Si j'ai bien compris cet article, il semblerait que les femmes la séropositives chez la femmes constitue un facteur de

risque dans les décès suite à des accidents ou des blessures graves!!!

    In the WIHS cohort, the rate of death due to accident or injury was 2.96 deaths per 1000 person-years [PY] for both HIV positive and HIV negative women.

    In the MACS cohort, the rate of death due to these causes was 0.79 per 1000 PY for HIV positive men and 0.63 per 1000 PY for HIV negative men.

    In the final multivariate analysis, the following factors were associated with a significantly higher risk of death in women:

    - decreased CD4 cell count;

    - unemployment;

    - heavier alcohol use;

    - injection drug use.

    In men, the significant predictors of death were:

    - higher education;

    - depressive symptoms;

    - larger number of sex partners.

Il y-t-il autre chose que le VIH n'est pas capable de provoquer? à part l'ICL (Idiopathic CD4+ T-lymphocytopenia) icon_smile.gif

Enfin avec in tel raisonnement, je crois que j'ai trouvé l'infection responsable du SIDA. C'est tout simplement la vie!!!

Une fois infectée, une personne passe en mode asymptômatique. Cela pourrait durer entre 1 jour et 114 ans avant de dévlopper les symptômes. La vie est aussi la cause de toutes les autres maladies et surtout de la mort. Une bonne alimenation et une parfaite hygiène de vie pourrait retarder l'apparition des symptômes ainsi que le décès qui s'en suit. Pour le moment la recherches n'ont par réussi à complètement stopper les effet de cette infection. Egalement toutes les tentatives de vaccins ont échoué. Le plus agé de survivants est une femme qui est actuellement au Japon et qui cumule 114 ans depuis son infection. Cette infection se transmet seulement en mode vertical. Des tentatives d'infection par clonage ont échouées. En france on compte autour de 900.000 nouvelles infections par ans et ce nombre est en constante augmentation. C'est vraiment inquiétant !!! icon_smile.gif Dans d'autres pays cette infection est même responsable de famine et selon certains "c'est la bite des noirs" qui constitue le pricipal cofacteur. 5-aureole.gif Enfin, on a aussi constaté que certaines personnes peuvent évlouer brutalement vers la mort suite à des accidents motel. Il a été prouvé que ces personnes aussi on été infectées par la vie. 5-nonnonnon.gif

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Enfin avec in tel raisonnement, je crois que j'ai trouvé l'infection responsable du SIDA. C'est tout simplement la vie!!!

Une fois infectée, une personne passe en mode asymptômatique. Cela pourrait durer entre 1 jour et 114 ans avant de dévlopper les symptômes.

5-nonnonnon.gif5-nonnonnon.gif . Excellent.

C'est clair qu'il y a tellement d'affections possibles à cause du VIH, qu'on se demande ce qui n'en fait pas partie. Même être dépressif peut-être causé par le VIH. Forcément, quand on part dans ce genre de délires, c'est la porte ouverte à tout.

Modifié par aixur
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Bonsoir,

Une fois infectée, une personne passe en mode asymptômatique. Cela pourrait durer entre 1 jour et 114 ans avant de dévlopper les symptômes.

C'est exactement ce que j'ai essayé de faire comprendre en disant que la séropositivité et les maladies opportunistes ne pouvaient être qu'une corroboration.

J'entends par "corroboration" le fait de mettre en rapport une chose avec l'autre sans qu'il y ait forcément de lien de cause à effet... car c qui peut faire croire à une "corrélation" c'est la longue attente que l'une des 29 maladies opportunistes apparaissent conjointement à un statut sérologique qui est aussi "permenent". (Ce fait de pratiquer le test qu'une fois,si ce n'est deux à intervalle de 6 mois aujourd'hui pour confirmation )

Je ne rajouterais pas à cela toutes les conditions pouvant rendre ce test positif..

Cordialement

Modifié par Psyence
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Par rapport à votre discussion, en me souvenant des mes cours de statistiques, je crois que l'important, ce n'est pas qu'il y ait corrélation, mais corrélation forte.

Donc, pour la séropositivité et le SIDA, vu que déjà, comme souligné par delwere, dès qu'il y a vie il y a corrélation avec la maladie, il y a forcément corrélation. Mais la corrélation est trop faible pour que ça ait une signification quelconque.

Cela dit, je crois que pour Wallypat, l'idée était que la corrélation augmentait quand on considérait les personnes ayant certains comportements à risque, comme la prise de drogue. Ca devait être plutot là dessus qu'ils se concentrait. Cela dit, le problème, à ce moment-là, c'est que la corrélation séropositivité/SIDA perd alors complètement de son importance par rapport à celle "prise de drogue/SIDA" (d'ailleurs, je préfère le terme de corrélation prise de drogue/maladie. Parce que, pour moi, ils ne s'agit pas de maladies d'immunodéficiences). Donc, comme indicateur, même dans le cas le plus favorable, ça n'a pas grand intérêt. Surtout que si la personne arrête de prendre de la drogue, la corrélation séropositivité/maladie redevient faible.

Cela dit, je crois que l'important, ce n'est pas tellement les corrélations, que les rapports de causalité. Voir une corrélation n'a pas tellement d'importance. C'est plutot comprendre la causalité qui est important et intéressant.

En fait, si je me souviens bien, je crois que toute cette histoire avait comme base, pour Wallypat et Cheminot, l'idée que la séropositivité est la marque d'un stress oxydatif et que si celui-ci est important et prolongé, il est difficile, voir impossible parfois, que le corps endigue ce stress oxydatif. Et donc, la personne va avoir tendance à continuer à développer des maladies diverses et variées, caractéristiques du stress oxydatif. La, effectivement, il y a explication d'un rapport de causalité.

Donc, en fait, tout le point d'achoppement se situe sur l'idée que même en abandonnant les comportements à risque, on continue à risquer de contracter des maladies. Mais il faut que la corrélation soit forte. Et même là, ce n'est pas suffisant, il faut qu'il n'y ait pas d'autres causes possibles conduisant à la maladie. Or, dans le cas des séropositifs, il y a le traitement contre le "SIDA" qui vient parasiter l'analyse de la corrélation entre séropositivité et maladie. Donc, le différent se situerait sur la corrélation "séropositivité/maladies dans le cas des séropositifs ex-drogués qui n'ont pas pris de traitements ou alors, les ont abandonnés". Je ne crois pas qu'on ait beaucoup de statistiques pour ces personnes là. Et est-ce que la corrélation est forte ? Surtout qu'il ne faut pas qu'il y ait de comportement de substitution (genre fumer 3 paquets de clope par jour, bouffer énormément, etc...), ni de traitements autres que la trithérapie (genre prise répétée d'antibiotiques), ni de suivi paranoiaque de la part du système médical (qui va voir une pneumonie là où il y a simplement une grosse angine).

Personnellement, je pense que le corps a des capacités d'autoréparation très importantes. Je pense qu'il est possible qu'un stress oxydatif, ou autres causes de maladie, engendrent une diminution permanente de de capacité. Mais ça va être rare. C'est possible si la personne arrive à un point tel de dégradation d'un organe que celui-ci ne va pas pouvoir se réparer. Et je pense qu'il va être très rare qu'une personne subisse une dégradation une fois la prise de drogue ou de médicament supprimée. Et s'il y a dégradation, ça ne va pas se jouer sur plusieurs années. S'il y a dégradation, à mon avis, elle devrait être rapide et fatale. A mon avis, ça va être le cas s'il y a un organe vital touché. Ouai, c'est ça, tout doit se passer au niveau des organes vitaux. Mais je ne crois pas en un processus de dégradation généralisé, qui ne se situerait pas à un endroit précis. C'est trop vague.

Il y a bien l'idée que le rapport oxydants/antioxydants serait dégradé en faveur des oxydants, avec la trop faible présence d'antioxydants en face. Ce qui causerait maladie sur maladie. Mais je ne pense pas que ce soit quelque chose de valable sur le long terme. Si la personne a réussi à sortir d'une maladie et à retrouver la santé, ça veut dire que le rapport oxydants/antioxydants a été rééquilibré.

D'ailleurs, on a le cas des personnes qui prennent un traitement contre le cancer. Ca engendre un très fort stress oxydatif. Et pourtant, une fois fini, les gens récupèrent sans trop de problème (je ne parle pas de situations ou il y a un organe qui a été fortement dégradé par le traitement). Le problème, c'est que souvent, on va leur trouver une récidive et que le deuxième ou le troisième traitement va les tuer.

Mais bon, vu que j'étais concentré sur d'autres choses, je n'ai pas lu grand chose de vos débats. Donc, il y a probablement des choses que j'ai loupées, des idées déjà traitées. Faudra que je lise tout ça.

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Invité Obyonetaopy

......Depuis 15 ans, les volontaires des Médecins Aux Pieds Nus ont procédé à des expérimentations sur le sida, dans plusieurs pays, en recourant aux Huiles Essentielles immuno-stimulantes. Les résultats ont été exceptionnels. Ils ont été priés de quitter les pays où ils avaient prodigué gratuitement leurs soins. L'ONU SIDA veille au grain !

Les MAPN viennent de commencer une vaste étude destinée à traiter les enfants sidéens. Nous vous taisons le nom du pays.....

article au complet ici : http://www.mapn.org/pour-en-savoir-plus/ed...-contre-le-sida

A+

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Psyence, Aixur,

Je crois que je commence à comprendre l'approche de Psyence dans son débat avec Wallypat.

Effectivement des coïncidences entre deux variables font croire à une corrélation alors il se peut qu'il n'ya aucun lien entre les deux.

Au début de l'affaire SIDA, le cytomégalovirus (CMV) était identifié comme un très sérieux candidat comme cause de SIDA mais

cette piste à été rapidement abondonnée malgrès le fait qu'on a trouvé ce virus chez plus que 99% des sidéens (je n'ai pas la référence sous la main mais je suis sûr que j'ai lu cette information dans article de Duesberg). Le CMV n'est plus considéré comme coupable même s'il est omniprésent chez les sidéens car tout simplement en Afrique et dans 'autre spays en voie de développement presque 100% des gens le portent dansleur sang (avec les anticorps). Ce serait alors insensé de dire que le CMV est la caused du SIDA. Le CMV est un virus connu avant le SIDA, il n'était donc pas possible de le truquer afain de recalibrer le test des anticorps (comme pou rle VIH dilution de 400).

Le test de VIH régit prositivement chez les sidéens (ne général), je crois sincèrement que le test a été calibré pour cela. Pour les autres, si le test régit positivement pour une raison ou une autre, eh bien, comme dit Psyence, il faut juste attendre qu'une des 26 maladies se développe catalisées par les antiviraux et une bonne dose de stress psychologique. Si la maladie ne se développe pas, eh bien la personne sera nommée "long term survivor".

Comme je l'ai montré dans des posts précedents, parmis ceux qui ne connaissent rien sur leur séropositivité, seulement 500 (hétérosexuels) par an développent une des 29 maladies en France. Ce nombre semble être contant depuis 1990 (d'après les données disponibles).

Je suis donc du coté de Psyence dans son approche, on ne peut pas dire qu'il y a corrélation entre VIH et SIDA, il y a plutot des méchanismes mis en place qui font croire à cette corrélation voulue dès le départ.

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Bonjour,

Je ne sait pas trop où mettre ce post dans les topics...

http://www.liberation.fr/actualite/terre/232558.FR.php

en clair ci-dessous ...

Santé. L'OMS stoppe les recherches sur un gel car il favorise l'infection.

Effet secondaire fatal pour un spermicide antisida

Par Eric FAVEREAU

QUOTIDIEN : vendredi 2 février 2007

C'était un grand espoir de recherche et surtout une nécessité : mettre au point un système de protection contre le virus du sida pour la femme. Hier, une très mauvaise nouvelle est venue du siège de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Les tests cliniques d'un gel microbicide ­ le Carraguard ­, ont dû être stoppés après qu'il eut été démontré que les femmes qui l'utilisaient étaient davantage susceptibles d'être infectées par le VIH.

Comparaison. La déception est d'autant plus forte que l'on était arrivé avec ce spermicide au stade ultime de la recherche, celui des essais de phase III. On avait ainsi prescrit ce gel à des femmes qui se trouvaient fréquemment en situation à risques vis-à-vis du VIH afin de comparer ensuite leur situation à celle de femmes qui ne le prenaient pas. Les tests de phase III ont fait apparaître un «nombre plus élevé d'infections par le VIH dans le groupe qui utilisait le principe actif que dans le groupe qui utilisait un placebo». «Une trentaine de femmes sur 1 300 participantes à l'étude ont été contaminées», a détaillé Tim Farley, coordinateur pour la prévention des maladies sexuellement transmissibles de l'OMS. L'étude était menée depuis juillet 2005 en Afrique du Sud, au Bénin, en Inde et en Ouganda. Une étude similaire, menée au Nigeria, a également été stoppée par mesure de précaution.

Le gel ­ appelé Ushercell ou Carraguard ­, avait été mis au point par le laboratoire canadien Polydex Pharmaceuticals : il avait été testé depuis plusieurs années sur des animaux et donnait toutes les garanties de sécurité. Des essais sur de petits groupes de femmes avaient aussi été menés, avec succès. «Son échec est une grosse surprise», a reconnu Tim Farley. «C'est une catastrophe», a ajouté, hier, une épidémiologiste française.

Conçu à base d'extraits d'algues marines, le Carraguard était considéré comme le plus prometteur des microbicides contre le sida. Sa mise sur le marché était même prévue pour 2009. En août, lors de la conférence internationale sur le sida de Toronto de nombreux experts avaient insisté sur l'urgence de mettre au point de «nouveaux outils de prévention». La Fondation Bill-et-Mélinda-Gates avait ainsi dégagé de gros budgets.

Déjà, en 1997, une tentative similaire avait échoué. Le nonoxynol 9, spermicide utilisé lui aussi au niveau local, était en expérimentation de phase III. Assez vite, les résultats ont montré que ce spermicide n'était pas efficace et, plus grave, qu'il se révélait même dangereux : en causant des lésions vaginales, il rendait les femmes encore plus vulnérables au virus du sida.

Lésions. Tout porte à croire que c'est le même phénomène qui est en cause avec le Carraguard. En laboratoire, le gel tue bel et bien le virus du sida mais, in vivo, sa toxicité provoque des lésions qui entraînent un risque plus élevé de contaminations. Une contradiction, aujourd'hui, fatale. D'autres spermicides (au moins trois) restent néanmoins en essai à travers le monde.

La démarche scientifique est sans doute d'une utilité qu'on peut mettre en doute, en se focalisant sur le VIH, mais moi ce qui m'étonne c'est que les tests soient faits sur les pays d'Afrique pour l'essentiel semble-t-il... On pourra peut-être m'expliquer pourquoi icon_confus.gif

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Bonjour,

Je suis donc du coté de Psyence dans son approche, on ne peut pas dire qu'il y a corrélation entre VIH et SIDA, il y a plutot des méchanismes mis en place qui font croire à cette corrélation voulue dès le départ.

En effet les possibilités que cette prédiction se réalise sont tellement nombreuses qu'elle ne peut que se réaliser et nous convaincre de cette relation de cause à effet.

Cela dit je pense que ces mécanismes d'auto-persuasions se sont mis en place à l'insu des chercheurs du fait d'avoir envisager au départ qu'une seule cause à certains cas d'immunodéficience et par voie de conséquence aux maladies résultantes.

Le plus intéressant c'est qu'une erreur initiale se détecte dans tous les faits subséquents - hors c'est un peu ce que démontre toutes les "incohérences" du SIDA.

Cordialement

Modifié par Psyence
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