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**[SIDA] : le "VIH" ne cause pas le SIDA ** 3/3


Schnappi
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Wallypat,

Biensur qu'on pourrait jouer sur les variables pour faire disparaitre le paradox.

Je ne vois pas pourquoi le même preservatif devrait être plus fiable chez les homos que chez les hétéros !!!

Cependant je vais fournir bientôt les références relatives a la fiabilité des prservatif quand à la transmission di VIH.

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Cependant je vais fournir bientôt les références relatives a la fiabilité des prservatif quand à la transmission di VIH.

Selon cette méta-analyse de 2002, le taux de fiabilité de protection du préservatif face au « VIH » est effectivement de 80% :

REVIEWER'S CONCLUSIONS: This review indicates that consistent use of condoms results in 80% reduction in HIV incidence.

Il est toutefois primordial de constater que ce pourcentage de fiabilité ne concerne que la (supposée) transmission hétérosexuelle de la séropositivité.

En dautres termes, ce pourcentage de 80% ne peut pas être utilisé pour ce qui concerne la transmission sexuelle anale, comme la fait Delwere, ce qui est donc susceptible de remettre en question les conclusions qu'il a tirées.

Je nai pas (encore ?! Peut-être que ce genre détudes na jamais été faite, en réalité ?!) retrouvé le pourcentage de fiabilité du préservatif contre le « VIH » dans le cadre des relations anales.

La première idée qui viendrait en tête serait sans doute que ce pourcentage de fiabilité serait moins élevé (auquel cas la contradiction relevée par Delwere demeure) car il est bien connu que le préservatif a plus de risque de se déchirer lors des rapports anaux. Mais ce raisonnement ne me paraît pas valable car on compare cette fiabilité par rapport aux rapports génitaux : cest un peu comme comparer des pommes avec des poires. Pour évaluer cette fiabilité du préservatif contre le « VIH » en cas de rapports anaux, il faut bien sûr comparer avec des personnes pratiquant, sans préservatif, la sexualité anale uniquement (en dehors de tout rapport génital). Je ne dispose pas de chiffre à ce sujet mais jai de bonnes raisons de penser que cette fiabilité du préservatif (du moins, en terme de pourcentage) en cas de rapports anaux sera supérieure à celle en cas de rapports vaginaux : en effet, les deux types de rapports présentent les mêmes risques de (supposée) transmission du « VIH » (par exemple les MST et, de manière générale, toutes les circonstances pouvant positiver le test appelé par erreur "VIH") mais la réception anale présente en outre un facteur complémentaire pour le moins majeur de (supposée) transmission du « VIH », à savoir la réception anale du sperme lui-même (ce qui nest évidemment pas le cas pour les rapports génitaux). Or le préservatif protège par nature contre ce risque supplémentaire, absent lors des rapports génitaux.

Par conséquent, dès lors que lon a de fortes raisons de penser que le pourcentage de fiabilité du préservatif contre le « VIH » en cas de rapports anaux est supérieur à celle en cas de rapports génitaux, il me paraît alors fort probable (essayons par exemple de faire le calcul avec 80% de fiabilité pour les rapports génitaux et 95% pour les rapports anaux, et voyons le résultat) que la contradiction relevée par Delwere disparaisse. Auquel cas, plus que jamais, lusage du préservatif simpose pour réduire les risques de (supposée) transmission sexuelle de la séropositivité en cas de relations anales.

Modifié par wallypat
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Wallypat,

Bienur que le présrvatif s'impose pour réduire le risque. C'est évident et indiscutable!!

Ce qui'l faut trouver (chez les orthodoxes) c'est la fiabilité aboslue des préservatifs quand à la transmission du VIH.

Si l'on trouve dans les fourchettes qu'ils proposent des valeurs <=90% pur les rapports homo la contradiction que je viens de relever reste valide.

En plus, mis à part cette contradiction, si la fiabilité du préservatif est de l'ordre de 90% par acte, ceci veut dire que le risque d'un rapport non protégé est le même que pour dix rapports protégés. Quel conseil tu donnerais aux couples sérodiscordants dans ce cas?

Jette un coup d'oeil sur cet article il comprend quelques références.

Article

Il est vraie que mes calculs supposent que la fiabilité calculée est absolue.

Cependant si on me dit que pour les hétéros la fiabilité est de 80% et que pour les homos c'est 99%,

1- la contradiction reste partiellement valide - Homo risque protégé = 0,05/1000 à 0,3/1000 contre hetero risque non protégé= 0,2/1000 à 0,5/1000 !!!

2- On passe d'une fiablité de 4/5 pour les heteros à 99/100 pour les homos. Cela pourraît être des statistiques correctes mais alors là pour donner les arguements scientifiques d'une telle différence il faut vraiment du boulot.

Cependant, si l'on se base sur la théorie du PG on aura beaucoup moins de mal à justifier un tel écart icon_smile.gif

Dans tous les cas, quelque soit les valeurs et les réparttions de ces valeurs proposées dans le contexte de la fiabilités des préservatifs il est dure de s'échapper d'au moins d'un des 3 paradoxes que j'ai cité à savoir:

1- Contradiction entre safe/risque

2- Risque relié à un seul acte est équivalent à celui relié à 10 actes (pour les couples sérodiscordants)

3- Si la fiabilité est tellement diffrente entre cas heteros et homos, alors comment l'expliquer?

Merci

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Quel conseil tu donnerais aux couples sérodiscordants dans ce cas?

La réponse me semble évidente pour les couples séro concordants (+) :

- une vie chaste ;

- des journées rythmées par la prise de médications ;

- des semaines agrémentées par des visites chez les thérapeutes ;

- un strict respect de la nouvelle réglementation paranoïaque sur le tabac et autres mesures de ce type ;

- beaucoup d'humilité quant à la perception du proche avenir ...

- un retour sur soi-même afin de comprendre pourquoi on en est arrivé là au gré, le plus souvent, de sataniques pulsions ...

La réponse me paraît tout aussi évidente pour les couples séro discordants :

- la séparation ou le divorce ...

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Dans tous les cas, quelque soit les valeurs et les réparttions de ces valeurs proposées dans le contexte  de la fiabilités des préservatifs il est dure de s'échapper d'au moins d'un des 3 paradoxes que j'ai cité à savoir:

Mais à vrai dire, Delwere, je suis parfaitement daccord avec la plupart des contradictions que tu as relevées ! Et lhypothèse rétrovirale du sida constitue à cet égard une mine absolument inépuisable dincohérences, de contradictions et autres bizarreries.

En revanche, je ne suis pas vraiment daccord avec cette contradiction particulière que tu as relevée et sur laquelle Aixur a insisté. Là, à tout le moins, il convient de sassurer préalablement des pourcentages de fiabilité effective selon le type de rapport sexuel.

Alors, cest sans doute difficile à déterminer. Mais à supposer même que cela soit difficile à déterminer, cela implique déjà quon ne peut certainement pas conclure que les rapports anaux réceptifs protégés seraient plus dangereux que les rapports vaginaux non protégés, faute de pouvoir sappuyer sur des données fiables.

Et jaime tout particulièrement cette remarque-ci de ta part :

3- Si la fiabilité est tellement diffrente entre cas heteros et homos, alors comment l'expliquer?

Effectivement, si on opte pour lhypothèse rétrovirale, cela me semble difficile à expliquer. Cest peut-être justement pour cette raison-là que je ne trouve pas de pourcentage de fiabilité en la matière et que la seule indication que je trouve généralement, cest que la fiabilité du préservatif serait moins élevée en cas de rapports anaux. Mais cette dernière remarque de lorthodoxie du sida ne constitue toujours pas une indication du pourcentage de fiabilité de lusage des préservatifs pour les seuls rapports anaux, et ne prouve pas que le pourcentage de fiabilité en cas de rapport anal serait moins élevé quen cas de rapport génital.

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Wallypat,

Cest peut-être justement pour cette raison-là que je ne trouve pas de pourcentage de fiabilité en la matière et que la seule indication que je trouve généralement, cest que la fiabilité du préservatif serait moins élevée en cas de rapports anaux.

Tu sais, moins est la fiabilité de préservatif pour les homos plus accentuée est la contradiction première que j'ai levée!!! Donc quand l'orthodoxie dit que le préservatif est moins fiable pour les homos ça n'arrange pas le coup.

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Delwere,

Je n'ai pas eu le temps de te répondre sur cette question mais très rapidement et simplement:

J'estime que la notion de "comportement à risque" est très bien définie lorsque l'on envisage cela dans l'optique de modes de transmission mais également que ceux-ci ne peuvent pas être réellement évalué en terme statistique à cause du contexte dans lequel les études sont réalisées.

Les études ont été réalisées sur des couples sérodiscordants : - combien d'études exactement ?

Parce qu'avoir un rapport du genre 1/1000 sur 300 études avec une variabilité relativement identique d'un groupe (cohorte) à l'autre serait relativement représentatif.

Mais ce qui n'est pas représentatif c'est de prendre plusieurs études avec des résultats complétement contradictoires est d'en faire une moyenne. Par exemple dans une étude le "hasard" fera qu'il y aura beaucoup de contamination peu après le début de l'étude et dans une autre aucun durant toute la durée de l'étude et c'est sur ce genre de relativité que des chiffres sont extrapolés.

Autrement dit la réalité dépasse toujours le cadre de l'étude et que c'est même plutôt la réalité qui contrôle ce qui se passe dans le cadre de l'étude - donc il ne faut pas t'étonner s'il y a des "incohérences" au sujet de la quantification des comportements à risques.

Cordialement

PS: L'extrapolation est hautement problématique car elle suggère qu'un échantillon peut être représentatif de la totalité.

Par exemple: Si sur un échantillon de 10 personnes 5 seulement sont concernées par un problème X, une extrapolation portant sur 100 impliquera que 50 personnes concernées. Hors si nous faisons la vérification concrète sur 100 personnes nous en auront peut-être que 20 réellement ou 80....qui sait... puis sur ces 100 cas observer concrètement nous pouvons extrapoler sur 1000 personnes et vérifié concrètement. etc etc

Modifié par Psyence
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Salut Psyence,

Tous ce que tu dis là me semble correcte.

Sauf qu'a ma connaisance les statitiques c'est un outils très important qu'il faut utiliser dans l'étude de certains phénomènes et surtout les maladies contagieuses comme le SIDA. D'ailleur l'orthodoxie du SIDA utilise énormément des méthodes statitiques dans leurs études. En ce qui me concerne les chiffres publiés doivent être utilisable à un certain moment sinon pourquoi on les a?

Il est clair que les chiffres restent des chiffres et peuvent être interprétés de plusieurs façons. Mais dans certains cas c'est le seul moyen qui nous donne une idée sur la réalité.

Pour la contradiction que je viens d'évoquer, il n'y a pas un grand soucis d'interprétation. En effet, quand un chercheur écrit que la fiabilité du préservatif quand à la trasmission du VIH est de 80% ce résultat doit être pris très au sérieux pour que les habitants de cette planète changent de comportement et utlisent des moyens de protection beaucoup plus fiables. Parceque 80% ou 90% de fiabilité ne changent vraiment rien au risque de 30/1000 pour une maladie mortelle.

Donc de deux choses l'une, soit les chercheurs sur la fiabilité du préservatif sont complètement perdus soit ce qu'on appelle safe sex n'est pas si safe que ça finalement!!!

Enfin, les statistiques peuvent être incomplètent, approximatives etc. Mais quand elles sont contadictoires là il y a un problème de fond ou dans la théorie ou dans la méthode statistique elle même.

Enfin, j'adore cette phrase que j'ai touvé dans cet article:

"Car manufacturers have introduced additional safety features such as air bags not in order to encourage drivers to engage in higher risk driving manoeuvres and death-defying stunts. Even here they emphasise the limitations of such devices, something, which the NZAF ignores with respect to condoms, due to its eroticised condomania infatuation."

Traduction approximative

"Les constructeurs automobiles ont introduit des fonctions supplémentaires de sécurité tel que les airbags, non dans un but d'encourager les automobilistes à s'enager dans des manoeuvres de conduites très risquées ou présenant des danger de mort.

Et même dans ce cas, ils mentionnent clairement les limitations de leurs systèmes de sécurité, une chose que le NZAF (New Zeland AIDS foundation) ignore dans au sujet des préservatifs .... etc ..."

Eh bien, chiffres ou pas chiffres. Finalement si l'on n'est pas sûr de la fiabilité des préservatisf pourquoi on nous encourage a les utiliser comme moyen de protection face à une infection supposée mortelle??? (Biensûr je ne veux pas dire qu'il ne faut pas les utiliser quand même).

Merci

Modifié par delwere
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Delwere,

Oui, l'outil statistiques est important mais d'un point de vue épistémologique ce qu'il représente réellement doit être relativisé surtout en biologie qui est plus proche d'une science humaine que d'une science exacte.

Mesuré un taux précisément ne pose peut-être pas de problème, mais savoir ce qu'il signifie est beaucoup plus problématique. Mesurer un simple taux c'est aussi très différent que de mesurer une relation de cause à effet sachant que d'inombrables facteurs interviennent entre les deux et modifie les résultats d'une exépérience à l'autre.

Absolument toutes les prévisions faites par extrapolation sur le nombre de cas de SIDA qui ont été annoncés se sont avérées faux et avec un écart qui dépasse largement la notion d'approximation.

Les chiffres sont utiles seulement lorsque ce qu'ils représentent de façon fiable ce qu'ils sont sensés représenter et cela suppose la mesure des facteurs influent.

Pour moi mettre un préservatif relève d'un simple principe de précaution - il semble logique à notre échelle de penser qu'un reservoir en caoutchouc limitant l'exposition direct avec des sécrétions vaginales et du sperme limite également le risque de contamination, non ?

Mais bon, calculer cette limite suppose la connaissance de :

- la qualité du matériaux

- si le sujet est porteur ou non

- l'intensité du rapport

- la durée du rapport

- la façon de le mettre

- ...

bref toutes ces variables entre ligne de compte de façon très différente d'un cas à l'autre...

Les chiffres sont relatifs aux critères qui sont pris en compte et à la variabilité qui se produit d'un cas à l'autre selon ces critères - mais le problème de l'induction est assez simple : plus nous généralisons plus nous nous éloignons de la réalité.

Cordialement

L'abstinence, de sexe et d'injection, reste encore le meilleur moyen de se protéger du point de vue orthodoxe. icon_smile.gif Besoin de chiffre pour appuyer cela ?

Modifié par Psyence
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Psysence,

Je suis tout a fait d'accord qu'enfiler un préservatif ne fait que limiter les risques de contamination.

MAIS quand cette contamination est supposée mortelle il convient d'avoir un idée sur le risque

a prendre. Et si ce risque n'est pas si négligeableque ça ou inconnu (ce qui est probablement le cas pour l'usage du préservatif)

l'homme de la rue doit en être informé dans l'urgence.

C'est cela ce que je veux dire dès le départ. Calculer le taux de fiabilité exacte n'est pas aussi important que

protéger les êtres humains contre des risques mortels. Et donc si on a des doutes quant à la haute fiabilité

du préservatif, il est très dangereux de qualifier son usage (même convenable) de "safe sex".

Enfin, je trouve scandaleux le fait de qualifier l'usage du préservatif de "safe sex" tant que sa très haute fiabilité (car risque supposé mortel) n'est pas mise en évidence.

Donc voilà, en déhors de toutes les limites que les méthodes statistiques peuvent présenter, il conviendrait de dire:

"l'usage du préservatif pourrait protéger contre la séroconversion, son taux de fiabilité est inconnu. Certaines études proposent des taux de fiabilité entre 60 et 86%" au lieu de dire que " l'usage convenable du préservatif est une pratique safe-sex".

En ce qui concerne l'abstinence de sex et d'injection j'ai vraiment besoin de chiffres icon_smile.gif. Car on vois toujours dans les rapports de surveillance du SIDA: enter 10% et 20% des séroconversions ont un mode de contamination indéterminé. J'aimerais bien savoir ce que "indéterminé" veut dire (non communiqué? non-sex et non-injection? ???). Ceci me confirmerait le fait que ceux qui s'abstiennent à 100% sont à 100% à l'abri de ce monstre.

Merci

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Delwere,

Oui, donc ce qui te dérange sur le fond est d'ordre éthique et concerne la "publicité mensongère" qui est faite au sujet d'une pratique dont la sécurité réelle serait inférieur à la sécurité annonçée.

Je comprends et c'est justement parce que c'est très important par voie conséquence (contamination => mort) qu'il devrait y avoir un peu plus d'études testant cette fiabilité - mais aussi un peu plus d'imagination de la part des chercheurs sur les moyens de le tester.

Sincèrement les méthodes servent à pouvoir faire ce genre de différences mas si elles ne sont pas "fiable" elle-même, aussi du fait de la difficulté de les mettre en oeuvre, rien ne peut être affirmer. Le bon sens veut que le préservatif protège en limitant l'exposition - dans quelle proportion ? Là est la question - et c'est pourquoi ils important de bien examiner le contexte de déroulement d'une étude - afin de savoir comment un chiffre est né et si dans d'autres conditions un tout autre chiffre pourrait naître. La répétition est un critère important en science.

Pour la "publicité mensongère" peut-être faudrait-il regarder cela plutôt du point de vue "sociologique" s'il ne s'agit pas là d'un effet marketing des fabriquants. Au fond personne (à ma connaissance), aucun fabriquant n'a dit non plus que le préservatif était fiable à 100% et je crois que c'est sur la base d'une omission comme celle-ci que le "public" en à déduit quoi ? La sécurité - sans forcément se poser la question de la fiabilité. (Je crois que tous le monde a extrapoler la sécurité )

De ce point de vue la question que tu examines présente de l'intérêt, effectivement, je ne dis le contraire.

Cordialement

Modifié par Psyence
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PS: Les infections à l'origine indéterminées pose les questions suivantes:

- les autres modes de contamination

- mensonge du patient au sujet de son comportement

- la non-spécificité des tests

"Le déni du patient au sujet de son comportement" peut paraître choquant - pourtant c'est une façon de se protéger de la loi qui est sur la voie de criminaliser les comportements à risques.

Partant justement du principe que le préservatif protège et que son utilisation est de notre bon vouloir, cela ne m'étonnerait pas que l'on puisse qualifé une contamination suite à un rapport non-protégé d"homicide involontaire avec négligence" - et même de "tentative d'homicide" pour ceux qui connaissent leur séropositivité:

Bref des raisons de mentir il y en a, ne serait-ce déjà que pour son préserver son image.

Cordialement

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Salut Psyence,

Voilà, on se comprend finalement.

- et c'est pourquoi ils important de bien examiner le contexte de déroulement d'une étude - afin de savoir comment un chiffre est né et si dans d'autres conditions un tout autre chiffre pourrait naître. La répétition est un critère important en science.

En parallèle et tant que le niveau de fiabilité n'est pas connue, toute pratique sexuelle où il y a pénetration (avec ou sans préservatif) imliquant une partie séropositive doit être considérée comme pratique à risque. En aucun cas de telles pratiques doivent être qualifiées de "safe sex" face à une infection supposée mortelle (D'ailleur elle est pire que mortelle car elle aussi tendance a gâcher la 'longue' période de vie qui sépare la découverte de l'infection et la mort).

Le constructeurs de voitures fournissent les ceintures et les airbags, conseillent de mettre la ceinture et activent automatiquement l'airbag, mais jamais ils encouragent à foncer façe au mur à 50km/h, pourtant ils sont sures de la fiabilité de leurs équipements. La machine du SIDA semble être dans une direction tout à fait contraire!!

Et enfin, mon point ce n'est pas vraiment la publicité monsongère, c'est plutot le caractère RELATIF du mots "safe sex" ou "Haut risque". (Par exemple le "safe drive" ne veut pas dire foncer à 50Km/h dans un mur en comptant sur la fiabilité de l'airbag). Je comprend que le sex n'a rien avoir avec la conduite d'une voiture, mais quand les riques sont mortels les choses doivent être beaucoup plus sérieuses surtout pour le phénomène SIDA où des millards d'euros sont encore investis.

Merci

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Avec toutes vos statistiques d'épicier, une question s'impose :

... après tout cela, êtes-vous encore aptes à entrer en érection et d'entretenir une quelconque libido ... ? ... Ces calculs ne sont pas intégrables dans le Kama Sutra ...

... depuis la nuit des temps (sinon l'Humanité ne serait pas là où elle en est), Papa entre dans Maman selon des procédures tout de même assez limitées en nombre (malgré les progrès de la technologies) ... Parfois mais toujours depuis la nuit des temps (mais là l'Humanité n'aurait en rien souffert si tel n'avait pas été le cas), certains Papas potentiels entrent dans d'autres Papas alors que quelques Mamans potentielles aussi préfèrent, de leur côté, astiquer d'autres Mamans peu ouvertes quand les premiers Papas passent par là ...

Ces exceptions nous distinguent de l'animal où, sauf plus amplement informé, il n'y a pas de mélanges des genres. Pour le reste, c'est très semblable même si la traditionnelle levrette emporte le plus souvent l'agrément dans le règne animal ...

Enfin bref, contrarier ces ancestrales pratiques n'augurent rien de bon ... pour le devenir de l'Humanité ... Il y a des risques à vivre, c'est vrai ... Le risque "grossesse" par exemple ... ou celui d'avoir des difficultés pour aller uriner le lendemain matin ... ou deux ou trois jours après ...

... mais qui ne risque rien n'a rien ... et surtout pas la sérénité indispensable à l'accomplissement d'orgasmes bien menés ...

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Viduité,

C'est une question de valeur - tous ne place pas les mêmes en premier.

Cela dit effectivement, le choix entre la mort (sida) et la mort (non-procréation) ouvre la voie à une procréation sans sexe et peut-être que d'autres technologies viendront de te chatoullier les zones du cerveaux qui corrpesondent à l'orgasme que tu recherche tant - pour les neuropsychologues cela sera exactement pareil même si toi tu y voiyais une différence. icon_smile.gif

Cordialement

Mais avant de choisir ses valeurs, il faudrait pouvoir déterminer si le sexe est véritablement = à danger de mort - tous le reste n'est qu'une conséquence de cette question

Modifié par Psyence
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le choix entre la mort (sida) et la mort (non-procréation) ouvre la voie à une procréation sans sexe et peut-être que d'autres technologies viendront de te chatoullier les zones du cerveaux qui corrpesondent à l'orgasme que tu recherche tant - pour les neuropsychologues cela sera exactement pareil même si toi tu y voiyais une différence.

... eh bien ce sera sans moi : la voie de la procréation sans sexe et je-ne-sais-quelle-cybertechnique pour obtenir l'orgasme (au fait, ça ne t'intéresse pas toi l'orgasme ? ... je parle bien sûr de l'orgasme classique ... ) ne m'intéressent d'aucune manière.

... certes, je suis de la vieille école ... et la cyber-drague ou les rencontres assistées par ordinateur sous le contrôle de neuropsychologues me rendraient "frigide" ...

Il me faut des contacts basiques avec les filles des terroirs ... et je prends le risque de ne pas obtenir la fiche signalétique complète de la gourgandine courtisée ... son tour de poitrine alléchant, ses cuisses gracilles, ses fesses généreuses et son joli sourire (tant qu'à faire) me suffisent lorsqu'il s'agit d'évaluer l'intérêt à distraire une soirée de mon emploi du temps ...

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Une chose incroyable arrive en ce moment : les "repenseurs du vih" peuvent poster sur des journaux "mainstream" australiens sans être effacés :

http://www.news.com.au/adelaidenow/story/0...5006301,00.html

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La presse relaye le décès d'Arnaud Marty-Lavauzelle, l'ancien président de AIDES.

Il est dit qu'il serait décédé, à 61 ans, des suites du VIH qu'il a combattu pendant 20 ans.

Il n'est pas opportun de jaser en de telles circonstances mais une question mérite d'être posée tout de même.

Etant donné qu'il fut engagé dans la lutte pour "l'accès aux soins" en Afrique notamment, j'imagine qu'il a respecté lui-même scrupuleusement les protocoles disponibles durant la période.

Quelques observations surgissent alors :

- une d'abord relative aux succès thérapeutiques de ces protocoles ... au vu du dénouement de son propre parcours ...

- une autre relative aux causes réelles de ce dénouement (certes on peut dire que sans cela, il n'aurait pas tenu vingt ans ... mais ...) ...

- comme les articles précisent que sa situation s'est lentement dégradée jusqu'à l'épuisement total, on peut en conclure que les années, aréthmiquement - putativement ? - gagnées, ne constituent pas un succès en eux-mêmes ... ne vaut-il pas mieux, dans le pire cas de figure, 10 ans de "normal" à "15 ou 20 ans d'enfer" ?

Par ailleurs et compte tenu de la personnalité de Marty-Lavauzelle, je suis très perplexe sur le fait qu'il soit utile d'identifier "la lutte" par le biais de lobbyings homosexuels ...

C'est un peu comme pour l'approche culturelle ... Il y aurait une "culture gay" clairement identifiable ... voire élitiste ... un peu comme si les hétéros seraient un peu en retrait compte tenu de leur "grande méconnaissance" de la meilleure sexualité ... pour peu, les hétéros seraient des handicapés de la zigounette et de la culture ... et les gays disposeraient d'une prévention favorable en ces domaines ...j'ai même lu un jour qu'il existait une architecture et un art de vivre gay ... Hormis la non nécessité de prévoir un bidet dans les salles de bain, je ne vois pas en quoi l'architecture gay se distinguerait de l'architecture hétéro ...

Pourquoi faire du communautarisme ? ...

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Salut,

Voici comment certains "scientifiques" orthodoxes travaillent sur les possibilité de transmissions du VIH par voie orale:

We analysed a cohort of heterosexual HIV- serodiscordant couples with the aim of evaluating the risk of transmission ascribed to unprotected orogenital intercourse. A total of 135 seronegative individuals (110 women and 25 men), whose only risk exposure to HIV was unprotected orogenital sex with their infected partner, registered 210 person-years of follow-up. After an estimated total of over 19,000 unprotected orogenital exposures with the infected partner not a single HIV seroconversion occurred.

article

Je confirme que la recherche dans le domaine du VIH/SIDA n'est pas aussi évidente que ça.

A+

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