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forum sidasante

**[SIDA] : le "VIH" ne cause pas le SIDA ** 3/3


Schnappi
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En réalité, Viduité, ce que propose Wallypat s'adresse essentiellement aux personnes qui présentent un sida évolué - c'est-à-dire qui présentent des infections à champigon incurables selon les principes de la médecine officielle - Cess gens ont déjà subi l'agression d'antibiotiques, voire d'AZT, et la fameuse trithérapie (et en réalité les substances qui la composent) va pour un temps amenuiser les effets pratiquement irréversibles causés par les drogues précédentes (ou les drogues récréartives). En particulier, les trithérapies proposées aujourd'hui ne proposent plus que des substances réductrices, mais qui demeurent tout de même très toxiques (à part le 3TC ou le FTC, qui sont relativement peu toxiques).

Alors, il y a effectivement eu amélioration dans les années 96-98, grâce à l'introduction du 3TC et à la diminution du dosage de l'AZT, mais depuis, on reste pratiquement au même niveau de mortalité, et il y aurait même une augmentation de la mortalité par d'autres causes que le sida proprement dit. Je cible particulièrement ici le ténofovir dont je pense le plus grand mal, même s'il est réducteur, car c'est un organoposphoré. C'est du moins ce que montre cette étude récente.

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Comment vas-tu depuis tout ce temps Cheminot ?

Pour l'interprétation à donner à ce post de Wally, j'avais pris la précaution, en propos liminaires, d'évoquer une possible mauvaise interprétation de ma part. Ceci étant, je reste assez dubitatif sur le sens général de ce post (d'ailleurs, je n'ai pas trouvé la message de Terry qui l'avait initié).

Il faut dire que j'ai perdu le fil de la réflexion.

... si je me rappelle bien Terry est homosexuel (remarque Pascal Sevran et Jean Cocteau aussi) ... j'espère au moins qu'il n'a pas blasphémé sur la question du bon usage de la verge en Afrique ... car on ne plaisante pas avec cela ...

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Bonjour,

Javance doucement dans la prise dinformations communiquées sur le sida.

Certains points me paraissent encore assez obscurs (vu mon QI cest sans doute normal icon_redface.gif )...Je mexplique : si jai bien compris donc, nous mettons de côté en quelque sorte le HIV qui nest significatif de rien du tout mais nous pouvons considérer que ce que lon nomme sida est un ensemble de maladies qui prennent essor sur limmunodéficience (si je me trompe, rectifiez mon propos, merci)... Immunodéficience elle-même enclenchée par la malnutrition et/ou la prise de certaines drogues et/ou la fragilisation du terrain suite aux transfusions...(ma liste est incomplète).

Je voudrais savoir doù viendrait la recrudescence des maladies opportunistes (puisque a priori, la prise de drogue et les autres facteurs précités, y compris certaines pratiques sexuelles ne datent pas que des années 80)... Et sil ny a aucun virus, aucun facteur très très précis qui soit source de limmunodéficience, si de surcroît on ne peut pas se fier aux dosages sanguins qui donc ne sont significatifs de rien et peuvent varier pour diverses raisons, oui en ce cas comment peut-on dire que les personnes concernées vont « se soigner » ?...

Tout simplement, dans mon raisonnement, je viens de songer que si toute la liste des maladies qui apparaissent (et se combinent pour les individus -cest déjà inquiétant davoir plusieurs symptômes en même temps !- ) sont déjà toutes bien connues (tuberculose hépatites, atteintes neurologiques...et je ne cite pas les 73 que jai relevées dans un ouvrage), on va dire que si il ny a pas un virus pour « justifier » tout ça, il ny a pas en somme de médicament, de vaccin, à chercher et dès lors quel type de solution vise-t-on ?

Les personnes sur ce forum qui donc ont, à juste raison sûrement, évité les AZT et autres traitements tueurs, ont-elles comme perspectives de prendre des compléments alimentaires à vie ? Admettons que demain, on annonce que les infos portées par la dissidence du sida sont reconnues...OK, il y a donc eu plantage sur les années écoulées...quel serait le chemin à prendre, lorientation des recherches pour que les personnes touchées ne soient pas à ouvrir des parapluies permanents de compléments alimentaires, anti-oxydants ? Est-ce même envisageable ? icon_confus.gif

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Un des aspects que j'apprécie dans ce forum et qui est unique, à mon sens, c'est la diversité des interlocuteurs, diversité de leurs origines, diversités de leur compréhension, connaissance...

Cela n'empêche en rien un vrai dialogue, aussi bien au niveau humain, que scientifique avec une rare qualité aussi bien de vulgarisation que de validité scientifique.

Preuve, pour d'autres, que cela est possible.

Pas de pouvoir sur mais du pouvoir pour.

Il est clair que je ne connais pas d'autres forums qui permettent d'échanger de manière aussi riche et libre.

Cela est précieux !

Faisons tout pour que cela dure.

Modifié par sidarta
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oui, Sidarta, tu as tout à fait raison...Pour ma part, j'essaie de m'informer le mieux possible parce que les gens qui sont ici par leurs témoignages m'ont amenée à m'intéresser vraiment à ce sujet...

Je n'ai pas de pathologie de cet ordre (je veux dire qu'on ne m'a pas situé séropo ...termine inappropiré mais bon...). Je suis arrivée sur ONCT suite à un cancer, je cherchais des infos mais je me sens très touchée par ce qui se dit sur ces topic du sida. Je trouve que ce qui est échangé ici est instructif et j'aimerais bien que les choses avancent.

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Je voudrais savoir doù viendrait la recrudescence des maladies opportunistes (puisque a priori, la prise de drogue et les autres facteurs précités, y compris certaines pratiques sexuelles ne datent pas que des années 80)...

Lire par exemple ce post, celui ou encore celui-ci.

Les personnes sur ce forum qui donc ont, à juste raison sûrement, évité les AZT et autres traitements tueurs, ont-elles comme perspectives de prendre des compléments alimentaires à vie ? Admettons que demain, on annonce que les infos portées par la dissidence du sida sont reconnues...OK, il y a donc eu plantage sur les années écoulées...quel serait le chemin à prendre, lorientation des recherches pour que les personnes touchées ne soient pas à ouvrir des parapluies permanents de compléments alimentaires, anti-oxydants ? Est-ce même envisageable ?

Comme je viens de la signaler ci-dessus, il faut en réalité faire beaucoup de recherches sur le sujet. Mais étant donné que tout l'argent disponible est consacré à la conception de présumés et bien coûteux "antirétroviraux", on ne paraît pas prêt à faire de réels pas de géant en la matière. La situation est d'autant plus compliquée que les agents oxydant paraissent être en mesure de causer des dommages irréversibles à l'organisme, ce qui pourrait peut-être (voire même très vraisemblablement) nécessiter la prise d'un traitement permanent, quel qu'il soit. Il semble en tout cas que revenir en arrière est plus difficile pour ceux qui ont déjà fait un sida digne de ce nom, du moins quand cela est possible.

Bref, on est quand même dans un grand flou dans la matière, et la perpétuation de l'absurde hypothèse rétrovirale n'arrange certainement pas les choses.

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Alors ça, c'est la meilleure !

Le cancer du col de l'utérus (infection au papillomavirus) est considérée comme une maladie opportuniste au "vih" :

Interactions synergiques entre le VIH et lherpès génital en contexte africain .
http://sidanet.refer.org/webapps/komplete/...e.html&page=860 (encore orthodoxe)

5-humhum.gif

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Un passage m'a interpellée dans le lien suivant ; http://sidanet.refer.org/webapps/komplete/...e.html&page=860

Modifications de la muqueuse génitale.

Les taux élevés d'estrogène et de progestérone au cours de la grossesse pourraient affecter la sensibilité au VIH en induisant des modifications structurelles de la muqueuse du tractus génital ou par effet immunologique.

La grossesse induit une hyperplasie de l'épithélium et des glandes vaginales, ainsi qu'une hypervacularisation et un oedème local qui pourraient majorer la sensibilité au VIH. Les cellules du tractus génital expriment des corécepteurs au VIH1 régulé par l'imprégnation hormonale et, en laboratoire, il est possible d'infecter ces cellules par le VIH.

En outre, chez les femmes VIH négatives, les contraceptifs oraux combinés peuvent entraîner une dérégulation des corécepteurs CCR5 au VIH1, ce qui pourrait aussi majorer la sensibilité au virus.

http://sidanet.refer.org/webapps/komplete/...e.html&page=885

Ce que je comprends, c'est qu'il y a plus de chances de tester positif au "vih" sous pilule que sans, car les hormones dérégulent l'équilibre vaginal qui devient plus propice à diverses infections (IST).

Y-a-t'il une autre explication qui implique les substituts hormonaux dans le stress oxydatif ?

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Y-a-t'il une autre explication qui implique les substituts hormonaux dans le stress oxydatif ?

1-nuts.gif Je commence à faire le tour de la question mais toute lumière supplémentaire serait la bienvenue.

Pour la pilule et le stress oxydatif, ça se confirme :

Quelle a été ma stupeur lorsque j'ai découvert la structure chimique d'un des deux composants de ce patch : la norelgestromine.

Il s'agit d'un progestatif de synthèse dont la fonction essentielle (une cétone éthylénique) est bloquée sous forme d'une oxime.

Cette oxime va être hydrolysée dans le corps et libérer du levonorgestrel et de l'hydroxylamine, qui est un oxydant puissant (potentiel rédox du couple hydroxylamine/ammoniac à pH=0, égal à 1,3 V, pratiquement autant que le chlore/chlorure.

Il est vrai que les quantités journalières absorbées sont minimes (0,2 millimoles d'hydroxylamine par an), mais à force de cumuler les oxydants, que va-t-il se passer?

http://www.onnouscachetout.com/forum/index...?showtopic=4519

4/ - Se nourrir correctement pendant la grossesse est donc élémentaire, non seulement pour le bébé mais aussi pour la mère.

- Se mettre sous progestatif de synthèse (pilule contraceptive ou Traitement Hormonal de Substitution à la ménopause) quand on a déjà des problèmes de stress oxydatif ne va certainement pas arranger les choses.

5/ Quelqu'un peut-il me dire si la progestérone/les progestatifs interviennent dans le "métabolisme" du monoxyde d'azote (NO) ? Merci 1-nuts.gif

Modifié par Liane
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Je voudrais savoir doù viendrait la recrudescence des maladies opportunistes (puisque a priori, la prise de drogue et les autres facteurs précités, y compris certaines pratiques sexuelles ne datent pas que des années 80)...

Lire par exemple ce post, celui ou encore celui-ci.

Merci pour ces précisions, j'en ai fait une première lecture (j'aime bien l'image des peintres gays dans un des posts ! c'est très parlant) mais je reprendrai tout ça car cela nécessite d'être vu tranquillement... Ceci dit, je me permets de noter une question complémentaire qui a émergé pour moi en lisant les posts en question (autant la noter de suite !) : quand il est évoqué le sarcome de Kaposi comme naissant sur le terrain de l'utilisation de drogues spécifiques (et ma question vaut aussi pour toute maladie qui serait très liée à un facteur précis), peut-on considérer que quelqu'un qui a un Kaposi a forcément utilisé des drogues ou ce sarcome peut-il, même s'il est né sur un terrain bien spécifique, être "porté", "transmis" à autrui alors que cet "autrui" ne serait pas drogué (relation sexuelle notamment)...Et ce sarcome donc ne touche jamais jamais les femmes ?

Une chose aussi me surprend... Dans les "images" que l'on a du passé, la tuberulose était, il me semble, contagieuse (?). C'est bien pour cette maladie qu'on mettait les gens en sanarorium et qu'on prenait des précautions ? Or, on mentionne parmi toutes les maladies du sida la tuberculose mais je n'ai pas l'impression qu'on souligne un risque de contagion pour l'entourage global (ou alors, je n'ai pas été assez attentive aux infos médicales).

Modifié par Rozen
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5/ Quelqu'un peut-il me dire si la progestérone/les progestatifs interviennent dans le "métabolisme" du monoxyde d'azote (NO) ? Merci  1-nuts.gif

Bon ben, je continue mon monologue.

Si les progestatifs sont fortement oxydants, c'est l'oestrogène qui s'amuse avec le NO et est vasorelaxant ! icon_eek.gif

L'une des explications du rôle protecteur des estrogènes sur la maladie artérielle est l'effet agoniste de ces estrogènes sur la vaso-relaxation endothélium-dépendante médiée par l'oxyde nitrique (NO):

les estrogènes permettraient le maintien de cette vaso-relaxation active, à effet protecteur vasculaire.

http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=13670805

Pour poursuivre sur ce sujet, je suggère de continuer ici :

http://www.onnouscachetout.com/forum/index...ic=12090&st=100

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5-humhum.gif Je vois que Liane a mis un lien qui mène à des infos sur le Kaposi...euh...je vais lire ....J'ai posé une question mais en fait j'aurai sûrement une partie de la réponse par le lien en question... 4-spamafote.gif Voilà ce que c'est de pas avoir eu le temps de lire toutes les discussions.
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Je voudrais savoir doù viendrait la recrudescence des maladies opportunistes (puisque a priori, la prise de drogue et les autres facteurs précités, y compris certaines pratiques sexuelles ne datent pas que des années 80)...

Le VIH est très certainement apparu avant le déclenchement de l'épidémie de SIDA en 1981. Il semble que des cas sporadiques de Sida aient pu survenir avant le déclenchement de cette épidémie : ainsi, certains ont avancé qu'Érasme de Rotterdam, l'auteur de l'"Éloge de la folie", serait décédé en 1536 du Sida ; cette hypothèse repose sur le fait que les symptômes qui ont précédé son décès ont fait l'objet d'une description précise qui permet de les rattacher à des infections opportunistes définissant le Sida. Un autre cas est encore mieux documenté et il permettrait de mieux comprendre la date d'apparition de l'épidémie : le test du Sida a été effectué rétrospectivement sur une des première sérothèques réalisée chez un steward qui avait contracté des infections opportunistes similaires à celles du Sida, et qui est décédé dans les années 1960.

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un lien qui mène à des infos sur le Kaposi....

Tu peux également lire ce post.

Sinon, on ne trouve pas les sarcomes de kaposi que chez les seuls séropositifs gay consommateurs de drogues récréationnelles, tout particulièrement de poppers.

On peut également en trouver dans d'autres secteurs de la population (séronégative), comme cela a toujours été le cas d'ailleurs : des personnes âgées, des personnes ayant subi une transplantation d'un organe, etc...., bref des personnes exposées à des facteurs immunodépressifs (vieillesse, médicaments donnés pour tolérer la transplantation, ...).

Pour le reste, je te renvois tout particulièrement au post cité ci-dessus (et dont il est d'ailleurs fait référence dans la synthèse).

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Le VIH est très certainement apparu avant le déclenchement de l'épidémie de SIDA en 1981.

Il faudrait déjà avoir préalablement prouvé son existence.

Serais-tu donc en mesure de relever cette gageure ? Si oui, merci de nous communiquer les références d'au moins un article scientifique ayant isolé un rétrovirus "VIH" chez ne fût-ce qu'un seul sidéen.

Et je dis bien "isoler" ! Donc, pas des marqueurs, des indices, ou que sais-je encore, qui peuvent en fait représenter n'importe quoi ... faute d'une photographie au microscope électronique in vivo d'un nouveau rétrovirus "VIH" et vu que ces marqueurs, ces indices, etc... n'ont jamais été spécifiques des rétrovirus et encore moins d'un nouveau rétrovirus.

Un autre cas est encore mieux documenté et il permettrait de mieux comprendre la date d'apparition de l'épidémie : le test du Sida a été effectué rétrospectivement sur une des première sérothèques réalisée chez un steward qui avait contracté des infections opportunistes similaires à celles du Sida, et qui est décédé dans les années 1960.

On a déjà expliqué ces différents cas. Ceux-ci ne prouvent absolument rien. On n'isole pas un nouveau rétrovirus en se fondant sur les symptômes de différentes maladies, au surplus non nouvelles.

Bien plus important encore, la positivité d'un test "VIH" n'est JAMAIS la preuve d'une contamination par le "VIH". D'innombrables facteurs peuvent les faire réagir positivement. Ces facteurs sont justement surabondants dans les groupes à risque de sida, en sorte que même chez eux (et je dirais même plus : surtout chez eux !), le "VIH" est parfaitement inutile pour expliquer le sida, en particulier lorsqu'on constate que le "VIH" n'a jamais été isolé chez un seul malade. Ces facteurs existaient également avant 1981 et il n'y a donc rien d'étonnant de constater que le sang conservé de certaines personnes ayant vécu avant 1981 puisse réagir positivement au test appelé par erreur "VIH", si justement ces personnes avaient été exposées à certains de ces facteurs. On pourrait remonter aussi loin que l'on veut, un résultat positif ne prouvera toujours pas que le "VIH" serait apparu avant 1981. Qui sait : peut-être que le sang d'une momie égyptienne réagira aussi positivement. Cela ne sera jamais la preuve qu'elle aurait été contaminée par le "VIH". Voire même le sang d'un homme de Cro-Magnon ...

Je conclurai en rappelant que l'on ne déduit pas l'existence d'un nouveau rétrovirus exogène à partir de considérations historiques, économiques, épidémiologiques, sociales, touristiques, ... mais bien en premier lieu parce que ce nouveau rétrovirus a été isolé chez au moins un malade.

Donc, pas d'isolation, pas de preuve de l'existence du "VIH". Toutes les autres considérations ne permettront jamais de remédier et de combler cette lacune qui est non seulement fondamentale mais surtout rédhibitoire de l'hypothèse rétrovirale elle-même, d'autant plus si ces considérations peuvent elles-mêmes être réfutées et/ou être expliquées autrement.

Modifié par wallypat
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Allons du calme

Je repondais juste à Rozen , non sur la veracité du vih , mais sur le fait qu'il existait deja avant l'apparition de " l'epidemie " , des affections correspondants au sida . Je ne suis pas responsable des propos de l'article

Je ne retrouve pas le lien , je cherche _biglol.gif

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Charlysa, oui, je ne pense pas trahir le propos développé sur ce forum si je dis que les maladies existaient avant qu'on les enregistre sous le terme "sida" bien sûr... Et on en a raccroché de plus en plus au wagon au fil du temps (quand a priori on a voulu aussi faire monter dans le train du sida les hétérosexuels et terroriser l'ensemble de la population). Le gros problème est surtout cette histoire de VIH a qui les médecins orthodoxes veulent faire porter le chapeau...Il n'a pas été isolé pour le moment... contrairement à ce que tout le monde croit.

Il faut bien lire les liens proposés et la littérature à ce sujet...mais il y a de quoi faire ouf.gif et il faut reconnaître que dès qu'on aborde des terme scientifiques ce n'est pas toujours facile mais il faut passer par là car ce thème ne supporte pas l'à peu près.

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