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**[SIDA] : le "VIH" ne cause pas le SIDA ** 3/3


Schnappi
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Nouvelle découverte, que l'on peut interpréter a posteriori comme confirmant les approches de Gisselquist et al.

L'isoniazide, principal antituberculeux utilisé en Afrique, tue le bacille de Koch en libérant quoi??? Devinez!!!

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....le relatif succès des trithérapies ......

et un mythe de plus ??? où sont les études prouvant cela ??? nul part, par contre je viens de mettre en lien deux resultats d études faites en france prouvant le contraire !

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Terry, le fossoyeur de la dissidence d'expression française du sida, est de retour, plus en forme que jamais, et prêt à poignarder dans le dos et à réduire à néant les maigres avancées faites très laborieusement et bien péniblement jusqu'à maintenant par la dissidence française du sida.

Comparés à toi, les orthodoxes du sida sont des enfants de coeur. Qui dans la dissidence du sida a encore besoin d'un ennemi comme l'orthodoxie du sida ... alors qu'elle a dans ses rangs une personne comme toi prête à la discréditer ? Je commence de plus en plus à penser que tu n'es en réalité qu'un orthodoxe du sida qui a emprunté les habits d'un dissident du sida .... pour mieux poignarder régulièrement le mouvement dissident dans le dos. Et là, je dis tout haut ce que plusieurs personnes m'ont confié tous bas en privé. Et je commence de plus en plus à le penser car ce n'est pas la première fois que tu tentes ainsi de discréditer la dissidence du sida.

On est encore une fois reparti sur ce même débat. Et tu reviens à nouveau avec cette étude "Cohorte Aquitaine". Il me semble que tu l'avais déjà citée il y a deux ans et que Candide t'avait déjà bien remis à ta place à ce sujet, et c'est d'ailleurs l'un des (très) rares points sur lesquels j'approuve Candide.

Ton étude n'étaye en rien tes assertions.

N'as-tu pas lu le passage suivant ou n'as-tu fait que survoler les études en question ?

Mortality among the patients declined from 29.4 per 100 person-years in 1995 to 8.8 per 100 person-years in the second quarter of 1997. There were reductions in mortality regardless of sex, race, age, and risk factors for transmission of HIV. The incidence of any of three major opportunistic infections (Pneumocystis carinii pneumonia, Mycobacterium avium complex disease, and cytomegalovirus retinitis) declined from 21.9 per 100 person-years in 1994 to 3.7 per 100 person-years by mid-1997. In a failure-rate model, increases in the intensity of antiretroviral therapy (classified as none, monotherapy, combination therapy without a protease inhibitor, and combination therapy with a protease inhibitor) were associated with stepwise reductions in morbidity and mortality. Combination antiretroviral therapy was associated with the most benefit; the inclusion of protease inhibitors in such regimens conferred additional benefit.

6) Dois-je encore continuer ?

Bon, continuons.

Encore une nouvelle analyse globale, ici datant de 2003 : à moins d'être d'une mauvaise foi patente, cette étude effectuée sur 9.000 séropositifs d'Europe, d'Argentine et d'Israël a clairement démontré que la très forte baisse du taux de mortalité est due à l'introduction des trithérapies.

7) Un autre exemple ?

Allez, oui, pour te faire plaisir, car en plus, cette étude datant de 1997 concerne tout spécialement la lamivudine que tu affectionnes tant ! Cette étude prouve en effet que l'inclusion de la lamivudine dans les trithérapies réduit très fortement le taux de mortalité. On n'en sera bien entendu pas étonné. Cheminot s'est déjà très longuement et brillamment expliqué là-dessus.

CONCLUSION

Ton affirmation n'est nullement appuyée par les deux documents cités et a été largement réfutée depuis des lustres.

Maintenant, ne me fais pas dire ce que je n'ai pas dit. Les drogues appelées à tort "antirétrovirales" sont de la m...., tout particulièrement en raison de ses terribles, effrayants et assez souvent irréversibles effets secondaires, au surplus parfois mortels !

A mon avis, ce n'est que dans les cas extrêmes que le recours à celles-ci s'avère indispensable, et encore, le plus souvent dans les cas de sida "occidental" car dans les cas de sida nutritionnel, soit l'écrasante majorité, on est vraiment en droit de se demander si le recours aux trithérapies est vraiment justifié, même en partie.

Quant aux cas de sida occidental, il paraît possible de se passer de ces trithérapies dans un certain (grand) nombre de cas, quitte à devoir user de thérapies dites "alternatives", en particulier le recours aux antioxydants.

En d'autres termes, dans bon nombre de cas, le recours à ces trithérapies peut s'avérer inutile et/ou provisoire en raison de solutions alternatives assez souvent efficientes.

Mais quand bien même de meilleurs solutions que les trithérapies peuvent exister pour bon nombre de personnes et le fait que les effets positifs des trithérapies ont été amplifiés au départ parce que administrées à des gens sous AZT, il me paraît particulièrement culotté d'affirmer que la trithérapie équivaut à la mort. Il faut en effet être d'une mauvaise foi manifeste et vouloir la perte de la dissidence du sida pour affirmer cela sans la moindre nuance et en étant aussi catégorique, en outre en invoquant deux études qui ne concernent en définitive en rien l'évolution du taux de mortalité des sidéens !

J'ose espérer qu'il ne faudra pas revenir une énième fois sur le sujet, à moins bien sûr que tu viennes avec des faits réellement nouveaux et que tu sois capables de réfuter les études et les statistiques citées ci-dessus.

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Dee Stroy,

cet article indique en gros qu'après la diminutiuon exceptionnelle des cas de sida et de la mortalité asssociée dans les années 96-97 - liée selon nous à la diminution des doses d'AZT et à l'utilisation de 3TC - cette mortalité n'a plus évoluée, et même augmenté (mais pas dans las proportions initiales, c'est pourquoi les discours semblent si contradictoires).

Je me demande si cette augmentation de la mortalité n'est pas due à l'utilisation du Ténfovir, composé organophosphoré (un peu comme le Roundup).

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Cheminot,

Si j'ai bien compris, selon l'orthodoxie la tri-therapie ne fait qu'augmenter l'esperance de vie des séropositifs mais celle-ci reste relativement inféreure à la normale.

Alors si l'on considère par exmple qu'au moment de l'introduction de la thri-térapie,

le nombre de décès/an des séropositifs était à 1000. Et que la tri-thérapie ajoute ,disons, 10 ans à l'espérance de vie d'un séropositif.

Ceci entrainera la dimunition du taux de décés dans les années qui suivent (disons 100/an) l'introduction de la 3thérapie. Mais passé 10 ans, le taux de mortalité doit remonter de plus belle. Car les séropos vont voir seulement une retardement de leur échéance de décès (de 10 ans). Parcontre le taux de mortalité quand a lui doit forcément remonter (d'une manière agressive) puiseque le nombre de séropositif ne fait qu'augmenter.

Si l'on crois à l'orthodoxie, on doit s'attendre à une augmentation très importante du taux de décès. Cela fait 11 ans et on n'a toujours pas vu cette augmentation. Alors de deux choses l'une:

- Ou bien la 3thérapie augmente la durée de vie des séropostifs de beuacoup plus que 11 ans, disons 20 ans. Et la légère augmentation des décès correspond au commencement de l'augmentation importante des taux de décès

- Ou bien la théorie orthodoxe n'a aucun sense.

Enfin, Si l'on crois à la théorie orthodoxe, la 3thérapie fait augmenter l'espérence de vie, son effet sur le taux de décès n'est que transitoire (au début de son introduction). Passé cette période, la 3thérapie ne devrait logiquement avoir aucun effet sur le taux de décès des séropositifs.

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J'ai une question (pour Cheminot, par exemple, que je salue au passage) icon_biggrin.gif

Je me place dans l'hypothése où le Sida n'est pas un lié à un virus mais n'est qu'un syndrôme (lié au stress oxydatif principalement):

Comment expliquer dans ce cas que ce syndrôme n'est pas émergé plus tôt qu'en 1983 environ...

Les comportements à risque, stressants, oxydants existaient avant 1983.

Comment se fait-il que soudain apparaisse un tel syndrôme?

Quelle est la part de réalité et la part de réinterprétation ?

Quelle est l'explication dissidente?

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Bonjour Elko,

Tu poses toujours les bonnes questions pour faire avancer le débat. icon_biggrin.gif

Deux facteurs importants permettent, me semble-t-il, d'expliquer cela :

- d'une part, le fait que la mesure du taux de CD4+ n'a pu être implémentée qu'à partir du milieu des années 1970-80

- ensuite, la résistance qui est rapidement apparue aux nouveau traitements antibiotiques "efficaces" (métronidazole, bactrim,...) n'a pas été attribuée à la chimie même de ces antibiotiques (puisqu'on ne la connaissait pas à l'époque), mais sur celui d'un virus, comme c'est souvent le cas en biologie.

- on s'est ensuite rendu compte qu'en Afrique, cette séropositivité - les tests ont d'abord été créés pour prévenir le sida aux EU et en Europe - avait une prévalence inattendue. En réalité, la dernière étude que j'ai citée, associée à toutes celles qui montrent le rôle de l'excès de monoxyde d'azote dans l'apparition de la séropositivité et du sida, montre bien que le phénomène existait avant 1980, car l'isoniazide est un bien vieux médicament, mais en Afrique, on disait tout simplement que le BK résistait, jusqu'au moment où l'apparition des tests a fait basculer ces malades dans la catégorie "sida".

Vois si tu veux ma présentation que je viens de remanier pour tenir compte de tout cela.

Modifié par Cheminot
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A titre d'explication complémentaire, j'ajouterais que l'"épidémie" de sida a avant tout touché, et de très très loin, les gay.

L'explication principale proposée dès le départ fut l'abus de consommation de drogues récréationnelles, tout particulièrement le poppers, un très fort oxydant azoté dont Cheminot a expliqué à multiples reprises les implications sur la survenance du sida (l'abus de consommation d'oxydants azotés, dont les nouveaux traitements antibiotiques cités par Cheminot dans le post qui précède, a commencé à survenir à partir du milieu-fin des années 70).

Or la consommation de poppers et autres drogues récréationnelles a commencé à se populariser à partir du milieu des années 70. Compte tenu du fait que les dégâts causés par cette consommation commencent à survenir quelques années plus tard, il est normal que les "premiers" cas soient survenus en 1981. Du moins, cela est la date officielle. Car en fait, Duesberg a montré que l'on pouvait déjà retrouver quelques cas de sarcome de kaposi chez des gay dès 1978. Ils ne furent toutefois pas comptabilisés car la technique de comptage des lymphocytes T4 fut mise au point en 1980 (ou une année auparavant).

L'explication du poppers et autres drogues récréationnelles fut toutefois abandonnée (pour celle du rétrovirus invisible "VIH"), tout particulièrement parce que cela ne permettait pas d'expliquer les cas de sida chez les hémophiles et les toxicomanes. Mais c'était toutefois oublier que la cause du sida doit être retrouvée essentiellement dans l'exposition aux oxydants azotés en général, dont le poppers est juste l'un des exemples.

Examinons également ce graphique des cas de sida en France depuis le début de l'épidémie : on constate que le sida n'est vraiment devenu une "épidémie" qu'à partir de 1986-1987 (on atteint mille cas par an qu'à partir de 1986 !), c'est-à-dire en même temps que l'on commençait à généraliser les "traitements" à l'AZT ! Avant l'administration de l'AZT, le sida doit manifestement être considéré comme un phénomène marginal, et certainement pas comme une épidémie quelle qu'elle soit.

Modifié par wallypat
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Reprenez moi si je me trompe mais en relisant certain post de même que le topic sur le pléomorphisme j'ai l'impression que le position du Groupe Perth n'est pas loin de la théorie de Béchamp du moins au niveau du terrain. (mille excuse si je répète ce qui a déjà été dit )

En somme, il y a pas mal de maladie qui résulte de notre mode de vie. De toujours en demander plus à notre organisme, il finit par être débordé. Pour faire court, on détruit notre terrain et après on s'étonne que l'on est malade.

Par la même occasion, on pourrait utiliser l'approche du PG pour une multitude de bobos et pas seulement pour le vih/sida

N'hésitez pas à me corriger si je suis dans le champ!

Cordialement

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Pour le SIDA/VIH l'approche du PG est une approche "style de vie" donc

altération du terrain. En plus, le PG reclame depuis les années 86 les preuves tangibles de l'existance du VIH. Duesberg a la même approche sauf que lui admet que le VIH existe mais non causale du SIDA.

Je ne crois pas que le PG est un partisant de la théorie d'Antoine Béchamp. Le PG ne parle pas de microzymas et n'admet pas, a ce que je sache, que la maladie dépend plutôt du terrain que du microbe. Parcontre pour le cas SIDA/VIH, en l'absence de preuves d'existance du VIH la théorie du PG repose sur le stress oxydatif auquel le terrain est exposé.

Modifié par delwere
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Intéressante discussion, à l'heure même on rapporte ceci de Peter Duesberg :

Duesberg emphasized that microbes aren't the primary cause of diseases.

Duesberg dit avec force que les microbes ne sont pas la cause première des maladies. Peu à peu, à cause de la réflexion qu'ils portent sur le sida et le vih, tous ces chercheurs en arrivent à cette conclusion plus globale, que ce soient les gens de Perth, Heinrich Kremer, Stefan Lanka....et Peter Duesberg.

Voir Barnesworld

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L'isoniazide, principal antituberculeux utilisé en Afrique, tue le bacille de Koch en libérant quoi??? Devinez!!!

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Bonjour,

L'isoniazide libère de l'oxyde nitrique, c'est-à-dire du monoxyde d'azote (NO), c'est bien ça ? Que l'on trouvait également dans les Poppers, au passage, d'après Wikipédia:

http://fr.wikipedia.org/wiki/Monoxyde_d...i-0000002F-QINU

Quelle conclusion en retires-tu ?

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Si tu lis attentivement la source de la référence 14 http://fr.wikipedia.org/wiki/Monoxyde_d%27azote#_note-13, tu verras que l'excès de monoxyde d'azote conduit à un excès de peroxynitrites, d'où la déficience en T4 - mort cellulaire -, la déficience en arginine, la formation de protéines anormales,... la séropositivité...

Modifié par Cheminot
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Intéressant. La piste du NO (à travers les poppers, puis le traitement de la tuberculose) est-elle actuellement creusée, du côté de la dissidence ? (c'est peut-être une question de béotienne, si oui, excusez-moi).

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Elle est essentiellement creusée par Heinrich Kremer, et j'ai personnellement approfondi.

Tu sais, cette publication concernant la tuberculose est très récente (2004), et n'a pas été repris par Heinrich Kremer.

Mais je pense être dans la continuité de sa recherche, car, pour l'instant, cette piste semble être d'une très grande limpidité.

Modifié par Cheminot
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Intéressante discussion, à l'heure même on rapporte ceci de Peter Duesberg :

Duesberg emphasized that microbes aren't the primary cause of diseases.

Duesberg dit avec force que les microbes ne sont pas la cause première des maladies. Peu à peu, à cause de la réflexion qu'ils portent sur le sida et le vih, tous ces chercheurs en arrivent à cette conclusion plus globale, que ce soient les gens de Perth, Heinrich Kremer, Stefan Lanka....et Peter Duesberg.

Voir Barnesworld

Attention avec l'expression en question. Parce qu'on peut prendre ça de deux façons : 1) les microbes ne causent pas les maladies dites microbiennes. 2) les maladies microbiennes ne représentent qu'une petite partie du total des maladies.

C'est la deuxième façon de comprendre la chose dont parle Duseberg.

C'est très différent du 1). C'est infiniment moins révolutionnaire. C'est juste la constatation d'un état de fait. Ca ne va pas bien loin. Parce que les partisans des germes pathogènes ont alors beau jeu de dire que c'est la vaccination, les antibiotiques, etc..., qui sont la cause de la diminution des malades et morts dus aux maladies microbiennes. Et que si ceux-ci n'étaient pas là, les maladies microbiennes représenteraient une part beaucoup plus importante des malades. Et ils n'ont qu'à citer l'Afrique pour plus que relativiser les propos de Duesberg concernant la proportion que représente les malades dus aux germes pathogènes dans le total des malades.

Par ailleurs, les partisans de la théorie des germes pathogènes peuvent ressortir l'idée du danger de la mutation des germes. Effectivement, dans ce cas là, il y a danger que ce qui était vrai hier concernant la faible proportion des malades dus aux microbes pathogènes, ne le soit plus demain. Ce qui peut justifier le maintien de l'hystérie à propos des microbes pathogènes.

Ca aurait été étonnant, quand même, que Duesberg devienne si révolutionnaire à 70 ans. Alors que ça fait des années qu'il adopte une position assez conservatrice parmi les dissidents.

La position de Stefan Lanka est beaucoup plus radicale.

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Par ailleurs, les partisans de la théorie des germes pathogènes peuvent ressortir l'idée du danger de la mutation des germes. Effectivement, dans ce cas là, il y a danger que ce qui était vrai hier concernant la faible proportion des malades dus aux microbes pathogènes, ne le soit plus demain. Ce qui peut justifier le maintien de l'hystérie à propos des microbes pathogènes.

Un germe n'a pas besoin forcement de muter pour être dangereux, cf ebola, listéria etc......

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Un germe n'a pas besoin forcement de muter pour être dangereux, cf ebola, listéria etc......

Effectivement, mais, dans la mesure ou je rapportais ce que dit la version officielle, c'était contenu dans ce que je disais.

Bien sur, ma position est encore plus révolutionnaire que celle de Lanka, puisque j'inclus aussi les bactéries dans la remise en cause (sauf certaines pour lesquelle je suis d'accord avec l'orthodoxie quand à leur action indirecte, comme la toxine du tétanos ou la toxine cholérique).

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