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**[SIDA] : le "VIH" ne cause pas le SIDA ** 3/3


Schnappi
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Question toute naïve, de non spécialiste... Pourquoi des travaux comme ceux de Cheminot (c'est impressionnant !) ne sont pas publiés officiellement, je veux dire en cela : ce travail est-il porté à la connaissance de décisionnaires, "d'autorités"... Je ne lis pas à fond tout le forum alors peut-être me direz-vous si ce point a été abordé... Pour ma part, je trouverais affligeant que tout ce travail de soit pas communiqué au delà de ce forum. icon_confused.gif

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Entre autres parce que tout ce qui remettrait en question, un peu trop clairement, le binôme "VIH" - SIDA ne pourrait forcément pas être sérieux et ne mériterait donc pas la moindre attention, et encore moins la moindre publication officielle.

Modifié par wallypat
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D'abord, il ne s'agit ici que d'une "revue", proposant des hypothèses de travail à partir d'une compilation d'expérimentations.

Mais effectivement, il serait possible de le publier (en expurgeant la partie trop polémique dans un premier temps) dans des revues comme Medical hypotheses, où Eleni Papadopoulos a pu publier. Je n'ai malheureusement pas eu le temps dans ma vie de faire une thèse (je me suis arrêté au DEA et à l'agrégation). Je ne sais pas si je pourrais être publié au niveau mondial avec si peu de références.

De toutes manières, ces hypothèses seront certainement lues, et l'important, c'est que les choses avancent, que d'autres, plus titrés, aient l'idée de rechercher dans ce sens. C'est d'ailleurs ce qui arrive aux idées du Groupe de Perth, que de nombreux chercheurs, sans le crier sur les toits, ont reprises. Et je comprends malgré tout le Groupe de Perth, qui réclame la paternité de l'hypothèse du stress oxydatif, car ce sont eux qui les premiers en ont parlé en 1983 ou 84.

Modifié par Cheminot
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La difficulté à se faire entendre est énorme, j'en ai bien conscience. Je n'ai découvert que cette année en venant sur ce forum la dissidence (j'ai contact pourtant avec des gens de diverses origines, de diverses compétences, pas totalement bouchés en général) mais vraiment, je n'avais jamais entendu parler de ces travaux avant cette année... Je n'entendais parler que de gens qui (Na!) refusant de se mettre des préservatifs allaient tuer le reste de la population ! C'est la seule chose que j'avais capté par les médias... 4-spamafote.gif

Grâce à vos interventions ici, j'ai découvert des approches autres et j'ai fait le rapprochement avec un membre de ma famille décédé il y a quelques années, qui avait donc été ciblé "malade du sida" mais qui n'eut des complications sérieuses de santé que dès qu'on lui annonça une séropositivité et fait prendre les "fameuses" thérapies. Il n'est donc plus de ce monde. Nous avions, dans la famille, tous fait le constat de cette "dégringolade" liée à l'annonce et à certains "soins" mais ce que nous captions nous semblait juste constat incompréhensible, "dérangeant"... Maintenant je comprends un petit peu mieux...

Je ne pense pas cependant qu'il faille être défaitiste et dire qu'il est inutile de se faire entendre (ou lire) sous prétexte que ce serait perdu d'avance. Ce serait tout à fait desespérant...Car cela signifierait que les infos en question ne circuleraient que pour un noyau de gens qui resteraient dans une bulle, sorte de conversation de salon pour un petit nombre de personnes. Je veux croire que personne ne se résignera à cela. icon_biggrin.gif

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Je n'entendais parler que de gens qui (Na!) refusant de se mettre des préservatifs allaient tuer le reste de la population ! C'est la seule chose que j'avais capté par les médias...  4-spamafote.gif
Mettez quand-même vos préservatifs parce que :

1- ça protèges des IST :

(Montagnier lui-même a montré que des personnes séropositives peuvent redevenir séronégatives et le nombre de leurs cellules T4 revenir à la normale par la simple cessation des rappports anaux, ce qui signifie que le passage à la séropositivité n'était pas due à un rétrovirus)

Deux extraits des commentaires, traduits en français, de Eleni Papadopulos-Eleopulos et al/Groupe de Perth ( http://www.sidasante.com/science/dtlmep.htm )

suite à l'interview de Montagnier, en 1997 ( http://www.sidasante.com/journal/dtintlm.htm ), accordée à Djamel Tahi, réalisateur du film "Sida : Le doute" (1996)

Comme quoi il faut peu pour se retrouver pris dans un engrenage dont le sens dépasse l'entendement.

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Je viens de découvrir une publication du labo de chimie et de biochimie de Greensboro, piloté par Ethan Taylor, le spécialiste des Glutathion Peroxydases.

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.f...l=pubmed_docsum

arginine deficiency, which has been associated with increased oxidative stress
.

Une protéine comme la NO synthase, qui crée du NO à partir de l'arginine, utilise aussi tous les oxydants présents pour provoquer cette synthèse. Donc, c'est la présence de ces oxydants (oxydative stress) qui non seulement va être corrélée à la déficience d'arginine, mais elle va en être la cause. Etce stress oxydatif peut alors logiquement être la cause de l'apparition de protéines nouvelles, à partir du génome humain, par ce phénomène dit de "slice".

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Ce résumé me paraît également très intéressant pour cette autre raison :

superoxide, which rapidly combines with NO to form peroxynitrite, which can cause activated T-cells to undergo apoptosis.

Sauf erreur de ma part, il me semble qu'il s'agit de l'un des tout premiers articles scientifiques déclarant expressément que le peroxynitrite peut causer l'apoptose des lymphocytes T. Auparavant, Cheminot avait relevé un article soulignant que le peroxynitrite pouvait causer l'apoptose des monocytes. Mais dans le résumé cette fois-ci cité, on parle bien des lymphocytes, et pas des monocytes.

Cela me paraissait intéressant à relever également.

Modifié par wallypat
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On est en 2006, et il se trouve que des chercheurs orthodoxes parlent de

"meilleur compréhension des intéractions complexes entre immunité, infections et abus de consommation de drogues".

article

Biensur les causes chimiques sont présentés comme des co-facteurs soit d''infection ou d'évolution vers le SIDA.

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Petite question:

Si en 84 on a découvert le VIH ainsi que lle fait qu'il soit verticalement transmissible, Pourquoi n'a-t-on pas tester toutes les mères des jeunes infectés de l'époque afin de remonter la chaîne et meiux comprendre l'origine du "Virus"?

Modifié par delwere
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Parce que ça fait très c.. d'admettre qu'un bébé a été infecté par le saint-esprit si ses parents s'étaient avérés séronégatifs.

Impossible donc de remonter la chaine.

D'où la recherche d'explications qui semblent moins c... , du genre "infection inconnue" (bébé abusé, transfusions, bagarre à la garderie, cantine avec du "vih" dans la salade, etc...)

C'est un peu loufoque mais quand un "scientifique" le dit, ça fait moins c...

Le jour où un scientifique dira qu'on attrape le "vih" en faisant le ménage, ca passera comme une lettre à la poste.

Tout est loufoque avec le "vih", et le terme est gentil.

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Oui, tout à fait. C'est une réflexion que je me faisais aussi il y a quelques jours.

A mon avis, la plupart du temps, on va chercher le dernier transmetteur du VIH, mais sans aller plus loin (et parfois, on ne fera même pas ça et la cause restera inconnue). Parce que, comme le dit Liane, si on devait chercher plus loin (le contamineur du contamineur), ben, on ne trouverait rien. Et c'est sur que ça la foutrait mal.

Alors, pour ne pas passer pour des cons, les medecins orthodoxes évitent d'être trop curieux et de remonter trop loin dans la chaine de "la contamination".

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Parce que, comme le dit Liane, si on devait chercher plus loin (le contamineur du contamineur), ben, on ne trouverait rien. Et c'est sur que ça la foutrait mal.

Mais est-ce vraiment sûr que cela serait dangereux pour l'orthodoxie du sida de ne rien trouver plus loin dans la supposée chaîne de contamination ?

Je n'en suis pas sûr du tout.

Si je me souviens bien (allez sur ce site par exemple), les partisans de la "logique" de Duesberg en matière de sida préconisent que l'on dépiste systématiquement la mère des personnes séropositives n'ayant pas eu spécialement de pratiques à risque de contamination.

Les partisans en question sont tellement persuadés que le "VIH" existe et est inoffensif qu'ils sont intimement persuadés que l'on découvrirait que les mères en question sont également séropositives.

Pour ma part, je ne demanderais pas mieux que l'on fasse systématiquement cet examen : s'il s'avère que les mères en question ne sont pas séropositives, ce qui sera le cas en fait, ce serait plutôt en faveur de l'hypothèse rétrovirale du sida, soit l'orthodoxie du sida, et pas du tout en faveur de l'hypothèse de Duesberg.

En fait, ce serait très bien car la dissidence du sida ne devrait plus perdre son temps avec la "logique" de Duesberg et sera alors forcée d'opter pour la seule autre explication sérieuse restante mais également celle qui est véritablement dangereuse pour l'orthodoxie du sida, à savoir l'explication du Perth Group !

Donc, oui, je suis à 100% pour le dépistage des mères de séropositifs. Cela constituerait en effet un grand bond en avant pour la dissidence du sida, à savoir celle du Perth Group, et un bond de géant ... en arrière pour la "logique duesbergienne" !

Modifié par wallypat
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Pour autant que de besoin, je reproduis ci-dessous un passage tiré de cet article permettant de mieux comprendre pourquoi le sida ne pourrait pas être causé par un rétrovirus, à supposer même que le "VIH" aurait effectivement existé en tant que rétrovirus :

Plusieurs virologues ont remarqué un quatrième paradoxe de l'hypothèse HIV: en effet, ce virus appartient à la classe des rétrovirus, qui sont des virus d'une structure particulièrement simple contenant beaucoup moins d'information génétique que la plupart des autres virus. En effet, la majorité des virus sont dits "lytiques" c'est-à-dire qu'ils tuent les cellules qu'ils infectent et causent ainsi la maladie. Les rétrovirus, en revanche, ne tuent généralement pas les cellules qu'ils infectent, mais se contentent de copier leur information génétique et de l'insérer dans l'ADN de celles-ci. Dès lors, des particules virales sont constamment produites et éjectées de ces cellules hôtes dont la survie est indispensable au rétrovirus. Il est donc peu vraisemblable que des rétrovirus soient à l'origine de maladies graves, et encore moins d'affections fatales comme le SIDA qui impliquent la mort d'un grand nombre de cellules. En réalité, depuis les temps les plus reculés, l'ADN de chaque être humain comporte entre 50 et 100 rétrovirus latents transmis de génération en génération.

Dans le passé, des recherches menées par Harry Rubin ont montré que les rétrovirus ne pouvaient infecter les cellules qui ne se dupliquent pas. Et comme les neurones du cerveau humain ne se redupliquent plus après les premières années de la vie, il est fort peu probable que le HIV puisse infecter ces cellules. Ceci expliquerait pourquoi le HIV n'a jamais pu être isolé des neurones et confirmerait aussi la difficulté à le déclarer comme cause de la démence.

Harvey Bialy, rédacteur scientifique de la revue professionnelle Bio/Technology, soutient que la structure génétique du HIV ne diffère pas assez de celle des autres rétrovirus pour rendre compte du comportement si divergent que l'on voudrait lui attribuer. En effet, l'information génétique détenue par le HIV n'est pas inhabituelle chez les rétrovirus. Elle ne contient aucun gène si différent de ceux des autres rétrovirus qu'il puisse être le "gène du SIDA". De plus, le HIV ne garde pas d'information en réserve pendant des années: il utilise la totalité de son information génétique lorsqu'il infecte la cellule la première fois. En d'autres termes, il n'y a aucune raison de croire que le HIV puisse causer le SIDA 10 ans après plutôt qu'au moment de l'infection quand il ne rencontre d'ailleurs pas d'obstacle immunitaire.

Il me semble qu'il n'a été que très rarement insisté sur ces arguments, raison pour laquelle je les ai donc reproduits, d'autant plus que pour une fois, les explications sont en français.

Modifié par wallypat
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Les rétrovirus, en revanche, ne tuent généralement pas les cellules qu'ils infectent

Chose confirmée par Etienne de Harven lui-même, il y a deux ans à peine :

Le Sida était, dès les années 1983, diagnostiqué en partie sur la base de la diminution du nombre des lymphocytes CD4 dans le sang circulant. Le « rétrovirus » considéré comme la cause de la maladie était suspecté infecter préférentiellement les lymphocytes CD4 et les détruire. Or, de tous les rétrovirus, bien connus chez les souris et les oiseaux, aucun ne tue les cellules quils infectent, cest-à-dire quaucun nest cytolytique. Ici encore, le mystère reste entier...
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Ceci prouve bien que quand bien même le "VIH" existerait réellement, les relatifs bienfaits des trithérapies ne s'expliquent par leurs prétendues propriétés antirétrovirales puisque par définition, elles ont pour objectif de provoquer la baisse de l'ADN proviral et, par voie de conséquence, de l'ARN viral. Or il se fait qu'avec les trithérapies, la charge virale (= ARN) diminue certes (du moins assez généralement) mais sans que la cause de cette baisse (à savoir la baisse préalable de l'ADN proviral) recherchée par les trithérapies soient retrouvée. En d'autres termes, les drogues anti-"VIH" n'ont pas de propriété antirétrovirale et leurs relatifs bienfaits doivent par conséquent s'expliquer autrement que par leurs prétendues propriétés antirétrovirales, même si un rétrovirus "VIH" avait réellement existé !

Je me rends compte à l'instant que cette absence de propriété dite "antirétrovirale" des trithérapies a également été expliqué brièvement en français (en traduction donc) par le Perth Group, dans ce slide-ci

et celui-ci:

On dit que les drogues anti-VIH courantes agissent en empêchant les nouveaux cycles d'infection, c'est à dire en empêchant la formation de nouveaux ADN proviraux dans les cellules précédemment non infectées, ce qui ensuite, empêche la formation de nouveaux ARN dans ces cellules et la production de nouvelles particules virales.

Ainsi, les drogues qui diminuent la charge virale, c'est à dire l'ARN, devraient d'abord diminuer l'ADN proviral, c'est à dire, "le fardeau viral".

Mais ce qu'on constate est que la charge virale diminue jusqu'à des niveaux indétectables tandis qu'il n'y a aucune diminution significative de l'ADN.

Ainsi, soit "l'ARN du VIH " soit "l'ADN du VIH " soit les deux, ne sont pas du VIH, soit la transcripase inverse et les inhibiteurs de protéase n'ont pas d'effets anti-VIH.

Ils interdisent seulement la mesure de l'ARN.

Si la première hypothèse est la bonne, alors, il ne peut y avoir aucun génome de VIH et ainsi aucunes drogues anti-VIH.

La conclusion est donc sans appel : loin de prouver que le "VIH" existe, le relatif succès des trithérapies prouve justement le contraire, à savoir que le "VIH" n'existe pas en tant que rétrovirus !

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Salut, j'ai vu des posts qui parlaient de la candidose mais je les retrouve plus. Quelqu'un pourrait il me renseigner, car il y a tellement de sujets (interessant, mais manque de temps, on peut pas tout lire), j'avoue que je suis un peu perdue. Au fait, 1 an et demie sans tri ni test et toujours là...  Bye.

Seva,

Je viens de tomber sur un article qui m'a l'air très complet et qui parle de la candidose sous toutes ses formes :

" La Candidose, une maladie de notre époque "

Je ne peux que conseiller d'en parler avec un pro du domaine avant toute auto-médication (rapport à son terrain personnel), en espérant que depuis ton message, tu as trouvé toutes les infos que tu cherchais.

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Intéressante l'interview de Lynn Gannett (qui a travaillé pendant 3 ans comme chercheuse sur l'AZT) dans "deconstructing the myth of AIDS" (à 1h03). Elle dit que lors de l'étude sur l'AZT, en fait, les effets négatifs de l'AZT, souvent, n'étaient tout simplement pas enregistrés par les responsables de l'étude. Forcément, si on ne rapporte pas les effets secondaires qui sont rapportés par les participants à l'essai clinique, on peut faire passer de la mort aux rats pour un médicament.

http://video.google.com/videoplay?docid=39...&q=myth+of+aids

Modifié par aixur
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