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forum sidasante

**[SIDA] : le "VIH" ne cause pas le SIDA ** 3/3


Schnappi
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Non justement je ne fais pas d'hypothèse, c'est une question bien réelle. J'ignore si l'un de nous est séropositif (a priori ma compagne non, vu qu'elle a déjà fait un test mais j'ignore le quel, et après avoir lu le sujet je vois que les tests ne sont pas fiables donc bon...). A priori nous sommes tous les deux sains, mon immunité se porte très bien (merci maman de m'avoir nourri au bio et soigné surtout à l'homéopathie _biglol.gif )

C'est un peu dommage (et pas que pour le budget) de réaliser qu'on aurait pu se passer de la "capote" depuis longtemps ouf.gif

En tout cas ça semble bien confirmer, merci !

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Un léger bémol, Wallypat.

Il a été montré que le sperme d'une personne malade d'une MST était bien plus riche en oxydants immunosuppresseurs (peroxynitrites) que le perme d'une personne en bonne santé.

Oui, effectivement, c'est d'ailleurs bon de le rappeler dans ce topic clé de ce forum.

C'est pourquoi je renvois sur ce point précis le lecteur à ton post du 12 juin dernier où tu avais expliqué cela, références scientifiques en plus.

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et après avoir lu le sujet je vois que les tests ne sont pas fiables

Un bémol de taille quand même, et lis la synthèse à ce sujet.

Les tests dits "VIH" n'ont aucune fiabilté (0%) pour détecter une "contamination" par le "VIH" mais ont en revanche une fiabilité de 100% pour affirmer que la personne testée séropositive est actuellement confrontée à des facteurs immunodépressifs (sources de stress oxydatif, donc) la prédisposant ultérieurement au sida si elle ne cesse pas de s'exposer à ces facteurs immunodépressifs. Il y a donc une corrélation certaine, quoique lâche, entre la séropositivité et le sida.

Ces tests sont donc assurément utiles pour savoir si la personne testée souffre actuellement d'un fort stress oxydatif. Evidemment, à l'heure actuelle, ce n'est pas du tout comme cela que ce test est interprété alors que ces tests pourraient assurément être fort utiles s'ils étaient interprétés dans l'optique du stress oxydatif (réversible si l'on ne s'y prend pas trop tard), et donc en dehors de toute l'hystérie actuelle sur le sujet.

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et après avoir lu le sujet je vois que les tests ne sont pas fiables

Un bémol de taille quand même, et lis la synthèse à ce sujet.

Les tests dits "VIH" n'ont aucune fiabilté (0%) pour détecter une "contamination" par le "VIH" mais ont en revanche une fiabilité de 100% pour affirmer que la personne testée séropositive est actuellement confrontée à des facteurs immunodépressifs (sources de stress oxydatif, donc) la prédisposant ultérieurement au sida si elle ne cesse pas de s'exposer à ces facteurs immunodépressifs. Il y a donc une corrélation certaine, quoique lâche, entre la séropositivité et le sida.

Ces tests sont donc assurément utiles pour savoir si la personne testée souffre actuellement d'un fort stress oxydatif. Evidemment, à l'heure actuelle, ce n'est pas du tout comme cela que ce test est interprété alors que ces tests pourraient assurément être fort utiles s'ils étaient interprétés dans l'optique du stress oxydatif (réversible si l'on ne s'y prend pas trop tard), et donc en dehors de toute l'hystérie actuelle sur le sujet.

Oui, effectivement, c'est l'intérêt des tests.

Mais disons que ça incite à prendre des mesures pour son hygiène de vie (éviter les contacts avec les facteurs de stress oxydatif etc., que ce soit des personnes ou des éléments environnants), mais la "capote" apparaît clairement comme la 5ème roue du carosse, si on sait que son partenaire est sain icon_smile.gif

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la "capote" apparaît clairement comme la 5ème roue du carosse, si on sait que son partenaire est sain icon_smile.gif

La capote reste indispensable, ne fût-ce déjà que pour éviter la propagation de (vraies) MST.

J'insiste à nouveau sur cela pour bien préciser que les repenseurs scientifiques du sida font également et clairement la promotion de l'usage de la capote, tout comme l'orthodoxie du sida. Qu'il n'y ait pas de méprise à ce sujet.

Pour le reste, je t'invite à lire la synthèse pour toute autre question.

Bonne soirée. icon_biggrin.gif

Modifié par wallypat
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Invité Magnus

cf tf1 :

"Une semaine avant l'ouverture de la XVIe conférence mondiale sur le sida à Toronto (Canada), une étude montre que l'efficacité des trithérapies est partiellement contrebalancée par un dépistage et un accès au traitement plus tardifs.

"La réponse virologique, excellente, est meilleure d'année en année, signe que les ARV (anti-rétroviraux) sont aujourd'hui à la fois plus puissants et mieux tolérés", analyse le Pr Geneviève Chêne, de l'Agence nationale de recherche sur le sida (Anrs), qui a participé à ces travaux (1). Cette réponse virologique désigne l'effet des multithérapies ARV sur la charge virale, c'est-à-dire sur la quantité de virus dans le sang. En 2002-2003, 83% des patients avaient une charge virale indétectable six mois après le début du traitement contre 73% en 1997 et 58% en 1995-1996.

Mais, remarque la spécialiste, "la mise sous traitement tend à être plus tardive, ce qui peut expliquer que l'on ne voit pas d'amélioration au niveau de la progression de la maladie et de la mortalité (stable à 2%) au cours du temps". Or, précise-t-elle, "plus le nombre de lymphocytes CD4 (cellules sanguines stratégiques de la défense immunitaire et cible privilégiée du virus) est bas au commencement du traitement, plus le risque d'évolution clinique est élevé".

Le taux d'"événements cliniques" (infections opportunistes essentiellement) définissant le sida un an après le début du traitement tend ainsi à augmenter alors qu'il avait baissé en 1998 et 1999. Un phénomène qui s'explique en grande partie du fait de l'augmentation des cas de tuberculose.

Davantage de femmes et d'hétérosexuels

L'étude note aussi des évolutions significatives des populations traitées : il y a désormais moins d'homosexuels masculins (34% en 2002-2003 contre 56% en 1995-1996) et de patients infectés par injection de drogue intraveineuse (9% en 2002-2003 contre 20% en 1997). A l'inverse, la proportion d'hétérosexuels a augmenté, passant de 20% en 1995-1996 à 47% en 2002-2003. Parallèlement, le pourcentage de femmes a doublé (16% en 1995-1996 contre 32% en 2002-2003).

L'infection par le VIH concerne aujourd'hui de "nouvelles populations" ayant "visiblement accès plus tardivement au dépistage et aux soins". Cette situation tend à contrebalancer les bénéfices du traitement anti-sida, en dépit de leur efficacité, soulignent les chercheurs. "Il s'agit d'une tendance à l'échelle européenne et nord-américaine, observée dans d'autres pays industrialisés", indique le Pr Chêne.

En France, selon un rapport d'experts publié en juillet, la moitié des patients commencent leur traitement alors qu'ils ont déjà un déficit immunitaire sévère ou un sida, souvent parce qu'ils ignorent leur séropositivité au moment du diagnostic.

Une étude sur près de dix ans

L'étude, publiée samedi dans la revue médicale britannique The Lancet, porte sur 22.200 patients d'Europe (dont 5.000 pour la France) et d'Amérique du Nord. Chacun d'entre eux a reçu un premier traitement entre 1995 et 2003, contenant au moins trois anti-rétroviraux (ARV).

(1) L'Anrs chapeaute le suivi de plus de 60.000 patients vivant avec le VIH, dont 5.000 inclus dans l'étude."

icon_tresfache.gif L'efficacité des trithérapies ? Ils se la péteraient pas un peu ? icon_tresfache.gif

Y en a qui serons à la conférence mondiale sur le sida ?

Modifié par Magnus
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Davantage de femmes et d'hétérosexuels

L'étude note aussi des évolutions significatives des populations traitées : il y a désormais moins d'homosexuels masculins (34% en 2002-2003 contre 56% en 1995-1996) et de patients infectés par injection de drogue intraveineuse (9% en 2002-2003 contre 20% en 1997). A l'inverse, la proportion d'hétérosexuels a augmenté, passant de 20% en 1995-1996 à 47% en 2002-2003. Parallèlement, le pourcentage de femmes a doublé (16% en 1995-1996 contre 32% en 2002-2003).

L'infection par le VIH concerne aujourd'hui de "nouvelles populations" ayant "visiblement accès plus tardivement au dépistage et aux soins". Cette situation tend à contrebalancer les bénéfices du traitement anti-sida, en dépit de leur efficacité, soulignent les chercheurs. "Il s'agit d'une tendance à l'échelle européenne et nord-américaine, observée dans d'autres pays industrialisés", indique le Pr Chêne.

Evidemment, encore une fois.

Tout le monde aura en effet compris que ce n'est pas le "VIH" qui se propage davantage chez les femmes et chez les hétérosexuels (non toxicomanes) que chez les gay et les toxicomanes, mais bien les tests appelés par erreur "VIH". Lorsqu'on sait à combien de stimuli (plus de 80) ces tests dits "VIH" peuvent réagir positivement, ces stimuli pouvant bien sûr également être présents chez les femmes et hétérosexuels (non toxicomanes), et sans que ces stimuli aient quelque rapport que ce soit avec le "VIH" (à supposer même que ce dernier aurait existé), il n'est dès lors pas étonnant que l'on trouve davantage de nos jours de séropositifs chez les femmes et les hétérosexuels (non toxicomanes), les tests appelés "VIH" connaissant à l'heure actuelle une épidémie au sein de cette population (et non le « VIH » bien sûr)!

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Invité Magnus

Comment le virus nous infecte ?

Je souligne ce passage :

Because HIV is a relatively young human virus, scientists know less about it than other, longer-lived viruses.

Scientists do know that part of HIV's success lies in its target choice—the immune system, typically responsible for defending a body from a virus.

The virus infects the CD4 T-cell, a key player in our immune systems. They're in charge of regulating the duration and strength of a person's immune response. Romerio likens these T-cells to a quarterback on a football team.

"They're the brain of the immune system," Romerio said.

However, there's a paradox that scientists have yet to understand. Although HIV only infects 2 to 5 percent of a person's T-cells, all of the immune cells appear impaired under a microscope.

Even though the star quarterback is sick with the flu, his seemingly healthy substitutes can't seem to play the game either, Romerio explained. None of them can throw the ball or tell their teammates how to play.

"We're hoping to come up with new strategies for restoring the immune system to fight HIV," Romerio told LiveScience. "It's an important component of the vaccine. It needs to defend against HIV, and also teach the antibodies how to eliminate the virus.

"Since the discovery of the virus, we have learned a lot about the virus and how it gains access to cells and how it works," Romerio explained. "But I think we still do not have the key piece of the puzzle that would allow us to figure out exactly what happens when HIV infects human beings. We need a fundamental understanding of how HIV interacts with the human immune system."

Je ne comprends pas ce paradoxe du microscope (toutes les cellules infectées au microscope)...

Et quand au dernier paragraphe, enfin un demi aveu...

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We need a fundamental understanding of how HIV interacts with the human immune system.

Bien sûr ils ont besoin de comprendre le mécanisme fondamental! Ils trouveront certainement le résultat mais sous une seule condition: s'ils considèrent toutes les possibilités, y compris que le HIV n'a aucun impacte sur le système immunitaire (c.à.d. ce débarrasser de l'hypothèse de départ)! S'ils ne font pas ainsi, il y aura comme d'habitude de nouvelles théories qui éliminent le paradoxe en question mais qui génèreront encore de nouvaux paradoxes, de l'argent et du temps afin que les chercheurs continuent leurs manège.

Une approche qui ne questionne pas son hypothèse de départ et qui s'enfonce dans un processus circulaire de recherche de "théories" qui resolvent des "paradoxes" n'a rien avoir avec la recherche d'une solution fondamentale au SIDA. Malheureusement les financements colossaux actuels semblent soutenir exclusivement cette approche. Et on connaît les résultats!

Il semble que ces financements préfèrent des chercheurs qui analysent la merde des chimpanzés pendant des années pour prouver que ces derniers constituent un réservoir naturel de HIV (et donc pour continuer à tourner en rond dans le cercle paradoxes/théories) au lieu d'élargir le domaine de la solution et donc de financer la dissidence.

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Toutes ces infos vont dans le sens de cette déclaration du groupe de Perth parue dans Médical Hypotheses où ils demandent à Luc Montagnier d'arrêter de danser sur deux pieds.

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Bonsoir,

Dans le forum de futura-sciences j'ai trouvé l'argument suivant :

http://forums.futura-sciences.com/thread83465-2.html

Citation:

Posté par wikipedia

Le premier signe documenté d'infection par le VIH chez l'Homme remonte à 1959, année où une prise de sang a été effectuée sur un homme à Kinshasa, dans l'actuelle République démocratique du Congo. Suivent alors plusieurs patients atteints de maladies rares (notamment la maladie de Kaposi), aujourd'hui considérés comme opportunistes dans les cas d'infections par le VIH. Des tests VIH ont par la suite confirmé la présence du virus.

En 1969, un adolescent afro-américain de quinze ans meurt à l'hôpital de Saint Louis d'une forme particulièrement violente de maladie de Kaposi (une maladie opportuniste chez les victimes du sida). Un test VIH est effectué en 1987 par des chercheurs de l'Université de médecine de Tulane, ces derniers détectent la présence du VIH-1 dans le sang de l'adolescent, confirmant ainsi les soupçons apparus dès 1984. Lors de son entretien avec les médecins, le garçon avait admis être né à Saint Louis et n'avoir jamais voyagé ou reçu de transfusion sanguine. Les médecins soupçonnaient le garçon d'être un prostitué, ce qui pourrait expliquer l'origine de son infection.

En 1976, un matelot norvégien, sa femme et leur fille de neuf ans meurent des suites du sida. Le matelot avait présenté les premiers signes d'infections dès 1966, soit quatre ans après avoir passé du temps dans des ports le long des côtes de l'Afrique de l'Ouest.

En 1977, un chirurgien danois, le docteur Grethe Rask, décède des suites du sida, après avoir séjourné au Congo dans les années 1970.

- Les moeurs étaient les mêmes avant 1980, pourquoi une telle explosion du nombre de cas ?

- Les hémophiles n'ont jamais montré de SIDA avant l'explosion épidémique. Comment expliquer leur maladie dans ce cas ?

- Les contaminations hétérosexuelles existent et sont de plus en plus nombreuses, piqûre de rappel : http://www.doctissimo.fr/html/sante/...emmes_niv2.htm)

- La faiblesse de la probabilité de contamination pour un seul rapport ne veut pas dire que ce n'est pas mesurable. Les statistiques sont là pour ça, et quand on voit la probabilité après un an de rapports réguliers (cf un de mes deux posts précédents), on comprend un peu mieux...

- l'AZT n'est commercialisé qu'en 1988 (rappel de la source http://www.ogilvyrenault.com/fr/Reso...id= 76&pId=37). Pourtant le SIDA a tué pas mal de gens avant. Pas la majorité bien sûr puisque la majorité des contaminations se sont faites dans les années 80... La zidovudine, même si ce n'est pas le meilleur médicament, je le reconnais, ne peut pas être la cause du SIDA.

À bon entendeur salut,

Hibou

Qu'avez-vous en réponse à cela ?

Amicalement

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Re-bonsoir,

Je suis à la recherche de la méthode qui a été employée pour démontrer le lien VIH -> SIDA, alors je fouille un peu dans le passé de l'histoire officielle du SIDA et voilà ce que j'ai trouvé sur le site de l'institut Pasteur:

http://www.pasteur.fr/actu/presse/dossiers.../decouverte.htm

.

Dès le début de l'année 1983, la recherche autour de ce virus nouvellement identifié s'intensifie. Commence une grande période de caractérisation du virus et de développement de tests sérologiques, parallèlement à une recherche visant à démontrer le lien entre le virus découvert et la maladie sida .

L'un d'entre vous a-t-il connaissances de la publications de ces recherches ?

Amicalement.

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Bonsoir,

Dans le forum de futura-sciences j'ai trouvé l'argument suivant :

http://forums.futura-sciences.com/thread83465-2.html

Si on lit toute la synthèse collective, toutes les réfutations (ou presque) s'y trouvent déjà.

Alors, en résumé et rapidement :

À bon entendeur salut,

Et l'esprit critique ?

PS : Je ne constate finalement qu'une seule chose : les orthodoxes du sida, tels ceux du forum futura-sciences, viennent à peu près toujours avec les mêmes arguments. Qu'ils se donnent la peine de lire la synthèse, et on ne perdra plus de temps à répéter encore et encore les mêmes réfutations (restées elles-mêmes irréfutées, pour la plupart, si pas toutes, par l'orthodoxie du sida).

Modifié par wallypat
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L'un d'entre vous a-t-il connaissances de la publications de ces recherches ?

La publication de 1983 par laquelle un nouveau rétrovirus (ultérieurement dénommé "VIH") aurait été découvert est celle de Montagnier.

Tu trouveras la mise à mort en règle de cette publication et donc de la prétendue découverte du "VIH" en lisant par exemple cet article (en français) du Perth Group, intitulé "Commentaire sur l'interview avec Montagnier par Djamel Tahi".

Il est hallucinant que l'orthodoxie du sida fasse comme si ces critiques, rédhibitoires, n'existaient pas, à défaut de pouvoir les réfuter.

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Bonjour,

Merci Wally pour ces précisions.

- Il est vrai que pour un forum qui prétends être "scientifique", le forum "futura science" est très étroit d'esprit au point de fermer systématiquement les discussions gênantes. Pourtant la science est faites de remise en question. Mais bien entendu remettre en question leur acquis c'est les plonger là où ils ne savent plus quoi penser. C'est très embarassant pour un savant d'amdettre qu'au font il ne sait pas, mais qu'il croit.

Amicalement

Modifié par Psyence
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Je ne suis pas d'accord sur le fait "qu'il ne savent pas mais qu'ils croient".

Je crois que l'orthodoxie conduit une recherche qui a toujours du sens. Etant donnée que le lien de causalité HIV/AIDS était dès le départ un question a prouver scientifiquement (ref: premières publications de l'orthodoxie) une des manières de prouver ce lien est

de trouver un remède qui tue le HIV. Et donc si on arrive a le faire et puis comme résultat: plus de SIDA, ca serait la meilleure preuve. Il paraît que la plupart des scientifiques ont choisi cette direction icon_smile.gif

(Fiction)

Si jamais le VIH existerait (sans qu'il soit la cause du SIDA) et si jamais ils trouveront un moyen pour le tuer, ils auront le jackpot. Car ils vont biensur considérer les nouveaux cas de SIDA sans HIV comme étant resultat du stress oxydatif. Il y aura donc encore de l'argent pour bosser sur le stress oxydatif.

(/Fiction)

Sauf qu'ils n'ont rien trouvé d'utile jusqu'à maitenant. c'est la réalité et ça fait mal au coeur. Encore pire ils ont tellement bossé que l'hypothèse de départ est devenu une vairité pour eux.

Je crois que la meilleure solutions pour tous c'est de trouver un médoc qui permet d'aveugler tous les tests HIV 5-aureole.gif

Ciao.

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(fiction)Si jamais le VIH existerait (sans qu'il soit la cause du SIDA) et si jamais ils trouveront un moyen pour le tuer, ils auront le jackpot. Car ils vont biensur considérer les nouveaux cas de SIDA sans HIV comme étant resultat du stress oxydatif. Il y aura donc encore de l'argent pour bosser sur le stress oxydatif.

Pour quelqu'un de neutre dans ce débat, la possibilité que plusieurs causes provoquent ensemle ou séparément le sida existent logiquement. Mais le SIDA est définit comme la relation exclusive d'une cause spécifique à un effet qui peut-être partagés.

Amicalement

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En anglais mais très intéressant!

Al-Bayati un homme qui vérifie toutes les hypothèses en agissant sur le terrain réel par l'évaluation et l'expérience. A la fin de son interview il dit " its definite that HIV does not cause AIDS, AIDS is caused by the immune depression, which is caused by corticosteroid and other medication and chemical exposures"

http://southafrica.indymedia.org/uploads/2...l-bayatipt1.mp3

Ciao

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Ci-dessous, le résumé d'une étude très intéressante parue en janvier de cette année et d'où il ressort que la pneumocystose est très loin d'être une maladie essentiellement réservée aux seuls séropositifs, comme le prétend - à tort - l'orthodoxie du sida :

Pneumocystis pneumonia - a retrospective study 1991-2001 in Gothenburg, Sweden.

Mikaelsson L, Jacobsson G, Andersson R.

The Sahlgrenska Academy at Goteborg University, S-405 30 Goteborg, Sweden.

OBJECTIVES: Pneumocystis pneumonia (PCP) is a severe opportunistic infection in immunosuppressed patients, caused by Pneumocystis jiroveci. The incidence among HIV negative patients is considered to have increased during the last decade. METHODS: We collected data retrospectively from the cases with PCP diagnosed at Sahlgrenska University Hospital between January 1991 and December 2001. RESULTS: 118 episodes of PCP were registered in 108 patients. The most common underlying immunosuppressions were HIV and solid organ transplantation with 29 and 26 cases, respectively. The number of PCP cases did not increase during the study period. Out of the 118 episodes of PCP 89 (75%) were in patients not infected with HIV. No clusters were found among HIV positive patients. We found 5 smaller clusters among non-HIV patients. Among the cases with proven PCP, 17% were on prophylaxis: 30% of the HIV infected patients and 13% of the non-HIV patients.

En effet, sur les 118 cas - prouvés - de pneumocystose relevés dans cette hôpital suédois de janvier 1991 à décembre 2001, 75% de ces cas se sont retrouvé ... chez des séronégatifs !

Et encore plus "étonnant" : 17% des patients ayant souffert d'une pneumocystose suivaient "pourtant" un traitement prophylactique. Lorsqu'on sait que le traitement "préventif" de choix de l'orthodoxie du sida pour la pneumocystose n'est rien d'autre que le Bactrim, dont on sait qu'il est pourtant de nature à causer sur le long terme le sida sur ordonnance, on ne s'en étonnera guère !

Modifié par wallypat
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