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forum sidasante

mensonges et responsabilité


Invité anarista

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Il faut se rendre compte que le site Sidasanté a été mis en place par Mark avant 1996, en particulier avant l'utilisation de la lamivudine dans la trithérapie. Et lorsque le traitement consistait soit en l'AZT seul, soit en AZT + ddI ou d4T.

Les critiques de l'époque étaient à mon avis justifiées, simplement en constatant que la mortalité des gens traités ne cessait d'augmenter.

Les "dusbergiens" avaient raison à l'époque, du moins en ce qui concerne la toxicité de l'AZT. Le problème est qu'ils n'ont pas varié d'un pouce en ce qui concerne l'efficacité des traitements officiels, alors qu'il est clair que les trithérapies (qui contiennent toutes sans exception de la lamivudine ou de l'emtricitabine, je le rappelle) ont révolutionné le traitement du sida.

Il serait bon qu'Aixur fasse un tri entre les critiques de l'hypothèse VIH->Sida et les critiques des traitements, en ne laissant pas le lecteur croire que la trithérapie n'a pas eu d'impact positif.

Cependant, le "côté obscur" de la trithérapie est l'utilisation de l'AZT, qui ne peut qu'être source d'ennuis à long terme. Actuellement l'AZT est de plus en plus mis de côté, et c'est certainement un bien. Par exemple le traitement proposé en Afrique n'en comporte plus.

A mon avis, on a dû en haut lieu se rendre compte de l'erreur commise, mais grâce à la trithérapie (qui l'a combiné avec la lamivudine et autre chose), on a pu éviter le scandale que le dévoilement de sa toxicité aurait créé.

Dans cinquante ans, on pourra en parler ouvertement.

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Actuellement l'AZT est de plus en plus mis de côté, et c'est certainement un bien. Par exemple le traitement proposé en Afrique n'en comporte plus.

Cheminot, j'aimerai bien savoir si l'AZT est quand-même encore utilisé de nos jours, seul ou en combinaison avec d'autres molécules. Si oui, où ?

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Bon, désolée pour la question. En 2-3 clics, 1er résultat :

À l'issue d'un essai clinique réalisé en Thaïlande dans le cadre du programme international Perinatal HIV Prevention Trial (PHPT-2), une équipe de chercheurs thaïlandais, américains et français (1), montre qu'il est aujourd'hui possible de réduire le risque de transmission mère-enfant du VIH au-dessous du seuil de 2%, grâce à l'association d'un traitement court par AZT et d'une prise unique d'un autre antirétroviral, la névirapine.

En Thaïlande, le traitement court habituellement prescrit pour la prévention de la transmission mère-enfant du VIH, repose sur l'administration d'AZT au cours du dernier trimestre de la grossesse, durant le travail et l'accouchement, et pendant une semaine chez le nouveau-né. L'allaitement artificiel est également recommandé, afin d'éviter la contamination des enfants par le lait maternel. Les chercheurs ont proposé d'ajouter à ce traitement une dose unique de névirapine à la mère et à son enfant. 1 844 femmes enceintes infectées par le VIH, réparties dans 37 hôpitaux de tout le pays, ont participé à l'essai. Une fois leur consentement recueilli, elles ont été réparties au hasard dans 3 groupes. Alors que dans le premier groupe, mères et enfants ont reçu le traitement standard par AZT, dans le second une dose unique de névirapine a été ajoutée au traitement des mères au moment de l'accouchement, et dans le troisième, une dose unique de névirapine a été ajoutée au traitement des mères et des enfants.

http://www.ird.fr/fr/actualites/fiches/2004/fiche206.htm

Je n'ose pas chercher plus icon_eek.gif

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D'abord il n'y a pas d'enrôlement de femmes avec placebo. Il ne s'agit donc pas d'un vrai double aveugle.

Ensuite, il est normal que la nevirapine diminue le taux de séropositivité, car c'est un réducteur (ses métabolites sont des phénols), l'AZT étant, lui, un oxydant (ses métabolites sont des amines et des alcènes).

En ce qui concerne l'allaitement, cette étude applique des méthodes en contradiction avec d'autres études plus récentes.

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Cheminot, l'importance de l'allaitement est connue de tout médecin qui se prétend de ce nom. Idem pour le rôle des antioxydants sur le système immunitaire (depuis 1988 dans le cas " vih - hiv " ).

Pourtant, c'est toujours l'artillerie lourde qui est brandie, même quand il n'y pas pas d'urgence (au " mieux ", on balance du Bactrim)

Quant à la Névirapin(e), elle ne semble plus autorisée en Allemagne, mais en Afrique toujours.

Je me demande ce que l'orthodoxie donne maintenant aux femmes enceintes et aux séropos des pays de l'Est (Russie, etc...)

Il y a peut-être une politique de changement sur l'usage de l'AZT, mais y a-t-il des déclarations officielles sur la "chose" ?

(sans remettre en doute ton affirmation)

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mais y a-t-il des déclarations officielles sur la "chose"

Certainement pas, il faut faire passer cela en douceur, et éviter les procès du genre Thalidomide ou Distilbène.

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La responsabilité de notre santé, à qui la confier, au médecin ?

Confier sa santé au médecin ? Uniquement en dernier recours, sinon on va encore plus mal !

Une anecdote à ce sujet.

Un membre assez proche de ma famille, une femme de 62 ans, qui passe ces soirées et ces week-ends à travailler d'arrache-pied, des heures durant, dans son (très) grand jardin.

Après des années à se consacrer autant à un tel hobby, les conséquences se font quand même progressivement sentir. Elle n'a plus 20 ans tout de même.

L'une de ces conséquences, c'est un début de (très) fort arthrose aux mains. En octobre dernier, elle n'arrivait plus à fermer ces deux mains ou à soulever des objets un peu lourds, cela lui fait très mal.

Elle va chez son médecin généraliste, qui a pourtant fait 10 ans d'études, et qui lui dit que l'on ne peut plus faire grand chose. "C'est l'âge, Madame". Mais elle lui propose toutefois des anti-inflammatoires, ce serait la seule solution. Heureusement pour elle, elle refuse momentanément cette "solution" et dit qu'elle continuera comme cela.

Je la rencontre quelques jours plus tard (c'était donc en octobre dernier) et me raconte ses problèmes de main. Moi je lui dis que j'ai justement lu récemment que l'association de deux substances naturelles, à savoir la chondroïtine et la glucosamine, favorise la lubrification naturelle du cartilage, et que cela pourrait peut-être (fort) la soulager, voire même la guérir dans une assez forte mesure (malgré son âge), et naturellement en plus. Et je lui suggère d'aller à la pharmacie pour acheter cette association de substances et d'en faire une cure de trois mois (à répéter au moins une fois par an).

Et que se passe-t-il ?

Deux semaines plus tard, elle est à nouveau capable de refermer complètement ses deux mains, et deux mois plus tard, elle n'éprouve plus la moindre douleur aux mains ! Et maintenant, neuf mois plus tard, et alors qu'elle n'a fait qu'une cure de trois mois, elle n'a toujours pas mal aux mains (quoiqu'elles restent légèrement déformées), et ce malgré ses heures et heures de travail dans son jardin.

Et dire que la solution "idéale" qui lui fut proposée par la médecine était les "anti-inflammatoires" ! Dix ans de médecine pour proposer cela !

Mais ce n'est pas tout.

En mars dernier, elle a de plus en plus mal à l'un de ses talons. Elle va chez son médecin généraliste (toujours le même, d'ailleurs), qui lui prescrit pommades et autres "médicaments" chimiques. Pendant quelques jours, la douleur s'atténue, mais ensuite, cela s'empire. Elle ne peut plus marcher que sur une seule jambe, et quand elle se lève le matin, me disait-elle, elle ne pouvait la première heure que sauter sur une jambe, tellement cela lui fait mal.

Elle va à nouveau chez son médecin généraliste (gaspiller son argent, en fait) qui lui dit que ce sont les muscles, certains doivent être fort froissés du fait de ses longues heures de travail quotidiennes dans son jardin, et il lui conseille d'aller chez un ostéopathe (moi je me dis que ce médecin aurait déjà fait mieux de lui conseiller cela dès le premier rendez-vous, mais bon). Elle prend un rendez-vous chez un ostéopathe, mais visiblement impressionnée par mon conseil d'il y a quelques mois sur la glucosamine et la chondroïtine (où l'on voit par ailleurs tout l'intérêt de la médecine nutritionniste orthomoléculaire, comme je le propose en matière de sida), elle me contacte pour me raconter ses nouveaux déboires.

Moi, je lui dis que je ne suis pas médecin, mais que j'ai un très gros ouvrage sur l'aromathérapie (lol). Peut-être vais-je y trouver quelque chose.

Je lui conseille dès lors d'appliquer sur son talon, trois fois par jour, quelques gouttes d'une espèce particulière de l'huile essentielle "Gaulthérie" , mélangée avec de l'huile végétale de "macadamia", mais de prendre conseil de toute façon chez son pharmacien.

Elle suit mon conseil et que se passe-t-il ?

Une heure après avoir appliqué ces deux huiles essentielles, la douleur s'atténue déjà très fortement. Le lendemain, elle remarche à nouveau, quoiqu'elle ait encore un peu mal. Deux jours plus tard, la douleur a définitivement disparu et elle remarche comme auparavant (et annule son rendez-vous chez l'ostéopathe). Et pourtant, durant les deux semaines qui ont précédé, c'était un calvaire pour elle de marcher, la médecine traditionnelle ayant été incapable de la soigner.

Je lui ai toutefois conseillé de moins se fatiguer dans son jardin, elle n'en fait rien, mais trois mois plus tard, elle n'éprouve toujours aucune douleur dans son talon, alors qu'elle n'avait utilisé ces deux huiles essentielles que pendant quatre jours.

Alors, confier sa santé au médecin ? Non, certainement pas, hormis sans doute dans les cas extrêmement graves et urgents !

Modifié par wallypat
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Outre ce que Cheminot a déjà précisé, j'ajouterais les quelques considérations suivantes.

1) La "réussite" présumée de l'administration de l'AZT et/ou de la Névirapine aux femmes enceintes se mesure, non pas par les symptômes cliniques de maladies que les enfants à naître pourront avoir après leur naissance, mais bien par un seul marqueur, lors de la naissance, à savoir si le bébé naît ou non "séropositivement". S'il naît séronégatif, ce serait un succès, s'il naît séropositif, ce serait un échec.

C'est perdre de vue que la plupart des bébés ne font que recevoir les anticorps de la mère (non pas des anticorps contre le mythique "VIH" bien sûr, mais bien contre des tas d'autres d'infections), et que la majorité des bébés perdront les anticorps en question reçus de la mère et redeviendront séronégatifs. Dans un nombre non négligeable de cas, cette séroréversion aura lieu bien des mois après la naissance : dans 10,2% des cas, la séroréversion intervient entre le 15ème et le 18ème mois, et dans 2,5% des cas, la séroréversion intervient même après 18 mois. Tout cela a encore été confirmé très récemment.

En réalité, et sauf erreur de ma part, et je crois que c'est très intéressant à noter, quand un bébé redevient séronégatif après 15 mois ou même bien après 18 mois, il y a tout lieu de penser qu'après un tel laps de temps, ce n'est pas des anticorps de sa mère dont le bébé s'est débarrassé mais bien de ses propres anticorps (car il me semble qu'il est affirmé par les négationnistes du stress oxydatif que le bébé perd généralement les anticorps de la mère au bout de trois à six mois, et au grand plus tard après 10 mois)! Ce qui est logique puisque la séropositivité est réversible, du moins si l'on s'y prend à temps.

Quid du bébé resté apparemment définitivement séropositif ? Cela n'est bien entendu pas le résultat d'une infection par le "VIH" mais bien le résultat de la (très) mauvaise santé de la mère, laquelle s'est finalement répercutée sur le bébé pendant la gestation. Evidemment, cette mauvaise santé de la mère (parfois acquise par le bébé définitivement et qui peut donc se traduire par un test dit "VIH" positif) peut également tout simplement résulter de l'usage par la mère de l'AZT et/ou de la Névirapine, dont l'extrême toxicité n'est plus à démontrer.

C'est vraiment à se demander comment les négationnistes du stress oxydatif peuvent faire la promotion de tels "médicaments" !

NB : Les négationnistes du stress oxydatif diront qu'ils peuvent faire la différence entre la séropositivité résultant des anticorps de la mère et celle résultant des anticorps du bébé, et ce grâce à la mesure de la charge dite "virale". Evidemment, cette affirmation est fausse, ne fût-ce que déjà au regard des deux considérations suivantes (sans compter de multiples autres, mais tel n'est pas l'objet de ce post) :

- On attend toujours la preuve que "charge virale" = "ARN d'un rétrovirus appelé "VIH".

- On se demande comment il est possible de diagnostiquer une "infection" par le "VIH" chez le bébé grâce à la charge dite "virale" et sa méthode PCR alors que les officiels de l'hypothèse rétrovirale déclarent unanimement que la PCR est totalement insuffisante pour diagnostiquer à elle seule une "contamination" par le "VIH" (la preuve ultime serait apportée grâce au test dit "VIH", dont on sait pourtant qu'il n'est JAMAIS la preuve d'une infection par le "VIH"). Il est dès lors absolument ahurissant que d'un autre côté, les négationnistes du stress oxydatif prétendent pouvoir diagnostiquer une telle "contamination" chez le bébé grâce à cette seule méthode !

2) Ces différentes études ne suivent pas l'état de santé dans les années qui suivent des bébés nés séronégatifs et il n'y a que d'extrêmement rares études approfondies qui dévoilent les conséquences à long terme de l'exposition des bébés à l'AZT et/ou la Névirapine pendant la gestation. Encore une fois, c'est à très court terme (résultat peu après la naissance du test dit "VIH") que la pseudo efficacité de ces drogues antivirales sur la soi-disant transmission "VIH" mère-enfant est mesurée, et en plus au regard d'un seul marqueur (le test dit "VIH") dont on sait qu'il n'est jamais le signe d'une infection par le "VIH" (mais bien le signe d'une mauvaise santé), tellement les négationnistes du stress oxydatif sont obsédés par le "VIH" ! Quand à la santé proprement dite du bébé, et bien, les négationnistes du stress oxydatif paraissent s'en ficher éperdument !

Et pourtant, il y a quand même de très rares (et pour cause !) études qui prouvent que des bébés qui naissent séronégatifs "grâce" aux drogues dites "antivirales" peuvent faire diverses maladies, dont certaines auraient été qualifiées de sida si ces bébés avaient été testés positifs au test dit "VIH" (et ce, sans même compter les effets à moyen ou long terme de l'exposition de ces bébés à ces drogues dites "antivirales", dont on n'en saura probablement jamais rien mais dont on ne peut douter).

C'est ce que précise entre autres cet article scientifique :

(ii) Maladies et mort chez les animaux et les humains non contaminés par le VIH mais traités par des drogues anti-VIH - Le tableau 7 énumère les rares études faisant état de maladies définissant le SIDA et d'autres maladies qui surviennent chez les humains et les animaux traités par des drogues anti-VIH. Il faut savoir que puisque toutes les femmes enceintes séropositives sont maintenant soumises à un traitement par l'AZT durant leurs 6 derniers mois de grossesse en vue de limiter la transmission du VIH  des bébés dans une proportion de 25 à 50%, il y a maintenant plus de 50% de ces bébés sans VIH dont la mère a reçu un traitement par l'AZT (Connor et al 1994; Déclaration de Durban 2000). Le tableau 7 mentionne les deux rares publications décrivant les maladies qui frappent ces bébés sans VIH mais traités par l'AZT : fièvres, pneumonie, anémie, dysfonctionnement des mitochondries. Le tableau 7 mentionne également les études constatant les nombreuses maladies et morts survenues chez les animaux sans VIH traités par les drogues anti-VIH. Toutes ces études sur l'animal furent publiées après seulement que ces drogues eurent été autorisées pour l'homme (peut-être parce qu'une fois qu'une autorisation a été délivrée, il est presque impossible qu'elle soit retirée) et uniquement dans des journaux consacrés à cette spécialité. Il en résulte que ces résultats ne sont pas connus ni discutés dans la littérature médicale sur le SIDA ni dans la presse de vulgarisation.

Les décès et les maladies spécifiques dus aux traitements anti-VIH résumés dans les tableaux 6 et 7 confortent l'hypothèse selon laquelle les drogues anti-VIH sont au moins nécessaires en présence du VIH, et suffisantes en son absence, pour provoquer la plupart des maladies définissant le SIDA, les autres maladies spécifiques des drogues et la mort. Puisqu' environ 450 000 citoyens américains sont actuellement sous traitement par inhibiteurs de protéase et terminateurs de chaîne d'ADN à titre prophylactique ou pour traiter le SIDA (voir plus haut), il est tout à fait possible que ces drogues aient suffi à elles seules  à générer la totalité des 43 158 nouveaux cas de SIDA recensés en 2001 aux États-Unis (Centers for Disease Control and Prevention 2001).

3) Il convient de signaler au lecteur qu'il y a des moyens beaucoup moins toxiques pour réduire très fortement ce que les négationnistes du stress oxydatif appellent "la transmission verticale du VIH".

Il s'agit entre autres de la vitamine A et des antioxydants. C'est ce qu'a confirmé le Perth Group dans cette monographie (pages 100 et suivants), et cela a d'ailleurs encore été confirmé très récemment par le RethinkingAids Group. L'usage de ces compléments alimentaires présente bien sûr des avantages supplémentaires incomparables par rapport à l'AZT et la Névirapine : non seulement ils ne sont pas aussi toxiques (ou même peut-être pas toxiques du tout) que ces drogues dites "antivirales", mais en plus elles apportent des bienfaits bien plus larges pour la santé en général de la mère et du bébé à naître, qui ne se limitent pas uniquement à la supposée transmission verticale du "VIH".

Alors, peut-être que dans certaines études (mais je n'en suis même pas sûr, car les études sur les "bienfaits" supposés de l'AZT et de la Névirapine sont vraiment du grand n'importe quoi), il pourrait apparaître qu'avec l'AZT et/ou la Névirapine, la supposée transmission verticale serait encore moindre, mais

a) Il faut déjà voir si cette différence est statistiquement significative et confirmée par des études ultérieures (et de cela, j'en doute très fort), mais de toutes façons,

b) C'est toujours perdre de vue que la majorité des bébés redeviennent ultérieurement séronégatifs, même (ou plutôt : surtout) en l'absence d'AZT et/ou de Névirapine,

c) Et c'est toujours perdre de vue également que les bébés nés séronégatifs "grâce" à l'AZT et/ou la Névirapine peuvent être en mauvaise santé et mourir rapidement, malgré leur séronégativité !

En résumé, le lecteur aura compris que la dernière chose que la mère enceinte doit faire, tant pour elle que pour son futur bébé, c'est bien de consommer ces drogues dites "antivirales" ! Son bébé lui en sera plus tard très reconnaissant !

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Les termes choisis par Wallypat sont effectivement très intéressants, car, ainsi que j'ai pu le constater, si d'aucuns refusent jusqu'à l'hypothèse cofactorielle de Luc montagnier en ce qui concerne le stress oxydatif, c'est tout simplement pour éviter que l'on impute aux comportements de chacun une des causes du sida.

Il s'agit bien de déresponsabiliser les personnes. Et Wallypat nous a bien montré que cette responsabilité existe et n'est pas des moindres.

Car si l'on jette un coup d'oeil sur cette étude, on constate bien que les comportements jouent un grand rôle dans l'apparition de la séropositivité, et en particulier les composés qui favorisent la formation excessive de NO : sildénafil (viagra), amyl nitrite (poppers) et méthamphétamine.

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En réalité, et sauf erreur de ma part, et je crois que c'est très intéressant à noter, quand un bébé redevient séronégatif après 15 mois ou même bien après 18 mois, il y a tout lieu de penser qu'après un tel laps de temps, ce n'est pas des anticorps de sa mère dont le bébé s'est débarrassé mais bien de ses propres anticorps

DES MILLIERS DE CAS - SCIENTIFIQUEMENT PROUVES - DE SEROREVERSION CHAQUE ANNEE !

Je ne pensais pas si bien dire (et dailleurs, jadapterai très rapidement la synthèse collective pour le signaler, tellement ce point est pour le moins fondamental et porte un nouveau coup fatal à lhypothèse rétrovirale du sida [à supposer quà ce stade-ci, il était encore nécessaire de démontrer linanité de cette chimérique hypothèse.]) !

En effet, hier soir, réfléchissant à cette question de la transmission verticale du « VIH », javais - très logiquement - pressenti (mais sans en être encore parfaitement certain, comme je le suis maintenant) que ces bébés qui devenaient séronégatifs bien des mois après leur naissance ne se débarrassaient en fait plus des anticorps reçus de leur mère pendant la gestation mais bien en réalité de leurs propres anticorps ! En dautres termes, quil sagissait en réalité dauthentiques cas de séroréversion.

Maintenant, jen ai la confirmation définitive de ce que javais pressenti.

En effet, continuant aujourdhui ma lecture du BMJ Debate, qui a opposé pendant deux ans repenseurs du sida et négationnistes du stress oxydatif, et le hasard faisant vraiment bien les choses, je suis tombé sur ceci (et on sen doute déjà, cest de la plume du Perth Group):

In regard to "HIV" seropositive mothers, their infants and antibody specificity, we would be grateful for Peter Flegg's view on the following:

In 1987 the CDC advised:  "Most of the [CDC] consultants believed that passively transferred maternal HIV antibody could sometimes persist for up to 15 months". 18   In 1991 the CDC extended the time to 18 months 13 and by 1995 "...the range of WB seroconversions might eventually extend beyond 30 months", 14 that is, at double the age "believed" eight years earlier.  Before the AIDS era the evidence was that transplacental maternal antibody in offspring did not persist beyond nine months.15  In 1993, Parekh from the CDC developed "a human immunodeficiency virus type 1 (HIV-1)-specific 1gG-Fc capture enzyme immunoassay (1gG-CEIA) to elucidate the dynamics of HIV-1 maternal antibody decay and de novo synthesis of HIV-1 antibodies in infants".  He and his colleagues demonstrated a rapid decay of maternal "HIV" antibody "with decline to background levels by 6 months".16  In other words, if the "HIV" antibody test is specific, any child who has a positive "HIV" antibody test beyond 9 months should remain positive for the remainder of his or her life.  In the only study providing a detailed analysis of post partum loss of infant HIV seropositivity, the European Collaborative Study, 17 approximately 23% of the children became seronegative between birth and 9 months.  However, 59% became seronegative between 9 and 22 months.  Since the latter cannot be due to loss of maternal antibodies, the only explanation is that either:  (i) the antibody test is non-specific or; (ii) the children managed to clear "HIV" infection without treatment.  If 23% of children test positive because of maternal antibodies and in 59% the test is non-specific, how certain can Peter Flegg be that in the remaining 18% of children the test will not also serorevert after 22 months?  Or if the test remains positive, is it a true positive?  May we ask, what does Peter Flegg tell the mother of a child who tests positive between 9 and 30 months and what is his approach to the clinical management of this child?

May we also ask, does Peter Flegg inform his patients that the "HIV" antibody tests have not been verified against "HIV" itself, that is, against "HIV" isolation?

Quapprenons-nous du passage cité ci-dessus ?

Et bien, des choses absolument stupéfiantes, dont toutes les mères séropositives devraient être informées, ainsi que toutes les personnes séropositives en général !

A peine une seule étude scientifique détaillée (du moins, lorsque le passage ci-dessus fut écrit en mars 2004 ; peut-être y en a-t-il eu dautres depuis lors, mais jen doute, car ce genre détudes va à lencontre de lhypothèse rétrovirale du sida [encore une fois, dailleurs !]) fut consacrée à létude sur le long terme de la perte des anticorps « VIH » par les bébés nés séropositifs.

On y apprend quenviron 23% des bébés nés séropositifs redeviennent séronégatifs entre la naissance et le neuvième mois, et quenviron 59% des bébés nés séropositifs (soit un nombre autrement bien plus important) ne redeviennent séronégatifs quentre le 9ème et le 22ème mois (on peut forcément supposer quun certain nombre de bébés, quoique forcément bien moindre [18%], redeviennent également séronégatifs après 22 mois, mais létude nallait pas au-delà visiblement).

Or, avant linvention du « VIH », il était admis par la communauté scientifique que les anticorps maternels (quels quils soient) ne subsistaient plus chez le bébé au-delà de neuf mois grand maximum. Evidemment, cela fait désordre dans lhypothèse rétrovirale du sida puisque quand on est déclaré séropositif, cela serait pour la vie (il sagit de lun des dogmes fondateurs de cette bien curieuse hypothèse). Par conséquent, pour (tenter de) faire tenir coûte que coûte leur hypothèse, les négationnistes du stress oxydatif ont prétendu que les anticorps du « VIH », eux, pouvaient persister pendant des années encore ! Evidemment, il sagit dune assertion pour le moins délirante. Pourquoi les anticorps du « VIH », et uniquement ceux du « VIH », reçus par le bébé durant la gestation persisteraient encore au-delà de neuf mois, et pas tous les autres anticorps reçus de la mère ?

Bien entendu, on peut déjà remettre en soi cette affirmation des négationnistes du stress oxydatif car cela va à lencontre de ce que la communauté scientifique savait depuis des décennies sur le sujet et car cette affirmation na été émise que parce que ces négationnistes partent de lhypothèse, non prouvée, que la séropositivité serait acquise à vie. Evidemment, comme cette hypothèse déternité de la séropositivité a été considérée, à tort, comme un fait, forcément, les négationnistes ont dû prétendre que les anticorps maternels contre le « VIH » pouvaient subsister bien au-delà de neuf mois.

Ceci étant, depuis lexpérience scientifique de 1993 relatée dans le passage reproduit ci-dessus, à supposer même que lon pouvait accorder quelque crédit à cette péremptoire assertion des négationnistes du stress oxydatif, il ne peut maintenant plus avoir le moindre doute quant au fait que les anticorps maternels contre le « VIH », tout comme les autres anticorps maternels en réalité, sont déjà quasiment inexistants au bout de six mois.

UNE SEULE CONCLUSION SIMPOSE DEMBLEE : LES BEBES NES SEROPOSITIFS QUI DEVIENNENT SERONEGATIFS APRES PLUS DE NEUF MOIS NE LE DEVIENNENT QUE PARCE QUILS PERDENT LEURS PROPRES ANTICORPS CONTRE LHYPOTHETIQUE « VIH » (et non parce qu'ils perdraient encore les anticorps maternels) ! PAR CONSEQUENT, IL SAGIT MANIFESTEMENT DUNE MULTITUDE DE CAS DE SEROREVERSION SCIENTIFIQUEMENT DEMONTRES ET DE LA PREUVE PAR EXCELLENCE QUE LA SEROPOSITIVITE EST REVERSIBLE !

Et évidemment, si des personnes séropositives sont capables de devenir séronégatives entre le 9ème et le 22ème mois de leur existence en perdant leurs propres anticorps contre lhypothétique « VIH », il ny aucune raison de ne pas considérer que les 18% restants de bébés (100% - 23% - 59%) ne pourraient pas le devenir également après 22 mois. Et évidemment, il ny également aucune raison de ne pas penser que les personnes devenues séropositives durant leur vie ne pourraient à nouveau pas redevenir séronégatives ultérieurement. Cette affaire de bébés nés séropositifs prouve définitivement que la séropositivité est réversible par essence, et de façon surabondante, que les tests dits « VIH » nont aucune spécificité et ne sont effectivement jamais la preuve dune « contamination » par le « VIH » (puisque la séropositivité est réversible, ce qui va justement à lencontre de labracadabrante hypothèse rétrovirale du sida !).

Dorénavant, lorsque des négationnistes du stress oxydatif demanderont que vous leur apportiez des preuves que la séropositivité est effectivement réversible, outre les témoignages que lon peut retrouver ci et là, vous pourrez ajouter les cas scientifiquement prouvés et ne pouvant souffrir de la moindre contestation des bébés qui deviennent séronégatifs après plus de neuf mois ! Et ces cas sont extrêmement nombreux : le titre du présent post parle de milliers de bébés par an mais je ne crois pas que lon mentirait en disant que cela sapplique en réalité à des dizaines de milliers de bébés par an !

Modifié par wallypat
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Bonjour,

Mais peut-être faudrait-il aussi expliquer pourquoi cette "séroconversion" est (disons) pratiquement systématique chez les bébés et ne concerne que quelques cas isolés chez les adultes ?

Expliquerais-tu cela

- avec une prise de traitement continue ?

- avec les tests HIV qui n'on jamais été refaits ?

- et quoi d'autres ?

Amicalement

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Je pense quil y a de bien nombreuses explications.

1) Quand je relis le passage en question, je constate que cette étude a été publiée (et non faite) en 1988 (soit : Epidemiology, clinical features, and prognostic factors of paediatric HIV infection. Italian Multicentre Study. Lancet 1988;ii:1043-6).

Comme cette étude a été faite sur une période dau moins 22 mois avant son analyse et finalement sa publication en 1988, et que lAZT na commencé à être commercialisé que dans le courant de lannée 1987, et dans un premier temps, uniquement pour ceux qui étaient malades, on en déduit logiquement que ces bébés nont jamais « bénéficié » de traitements toxiques, comme lAZT.

Or, à lheure actuelle, tous les sidéens (depuis 1987) et tous les séropositifs (bébés compris, bien sûr), même non malades, mais ne satisfaisant pas aux soi-disant marqueurs des lymphocytes T4 et de la charge virale (depuis la fin des années 80), sont sous drogues dites antivirales (sauf les séropositifs dissidents ou non dissidents mais soi-disant « inconscients »). Il va alors de soi que ceux-là, cest-à-dire presque tous les séropositifs, nont plus aucune chance de redevenir séronégatifs comme cela pouvait être plus facilement possible au début de l « épidémie », lorsque les séropositifs navaient pas la « chance » de bénéficier de tels traitements.

Cela est bien sûr valable non seulement pour les pays occidentaux ou sous-développées où lon a la « chance » de bénéficier de ces traitements mais également pour les pays sous-développés où les habitants nont pas cette « chance ». En effet, dans ce dernier cas, si on ne remédie pas le problème de malnutrition, les maladies endémiques, etc..., les séropositifs en question ont bien peu de chance de redevenir séronégatifs. En revanche, sils ont à nouveau loccasion de se nourrir correctement et si on les soigne pour leurs maladies, ils redeviennent séronégatifs. Sur www.sidasante.com, tu peux trouver des témoignages de ce genre (et de mémoire, entre autres du médecin belge Deru qui a fait plusieurs longs séjours dans des pays africains "ravagés" par le sida).

Bref, les bébés en question sont devenus naturellement séronégatifs, entre autres parce quils ont été soignés (du moins, quand ils étaient malades) par des médicaments non ou peu toxiques et parce quils ont été nourris correctement (voir également immédiatement ci-dessous concernant la correcte alimentation du bébé).

2) Contrairement aux adultes, les bébés se nourrissent grâce au lait maternel, soit ce quil y a de mieux pour améliorer leur santé (voir la synthèse collective sur la transmission verticale et le point concernant lallaitement). On peut raisonnablement penser quà époque, les mères en question navaient pas encore été influencées par les campagnes de propagande visant à interdire lallaitement maternel au profit du lait industriel (alors que lorthodoxie du sida vient justement dadmettre tout récemment que cela était une erreur [dénoncée depuis plus de 15 ans par les repenseurs du sida, comme quoi les faits leur donnent finalement toujours raison] : voir la synthèse collective, même point que celui cité ci-dessus).

3) Les bébés ne sont guère sujets à leffet nocebo, contrairement aux adultes. Si lon dit à un bébé quil est séropositif, je doute quil comprenne et quil sen inquiète, comme le ferait au contraire un adulte.

4) A lheure actuelle (et depuis bien longtemps déjà), même les séropos survivants à long terme, non consommateurs de drogues dites « antivirales » et ayant repris une vie « saine et équilibrée », nont généralement plus loccasion de refaire objectivement un nouveau test dit « VIH » puisque pour les « experts » « VIH », ils seraient « contaminés » à vie. Si malgré tout ce test est refait et que le premier résultat savère négatif, les « experts » en question « déduisent » que cest une erreur « technique ». Alors ils referont le test, même sil faut attendre la troisième ou la quatrième fois pour que le test devienne positif. Alors, le résultat est considéré comme « normal » et "bon" (je suis d'ailleurs certain davoir lu un témoignage de ce genre dans un post dil y a deux ans dans le topic « première partie » « Le « VIH » ne causerait pas le sida, de « Kinipou », je crois bien, mais je ne suis plus sûr si cest bien de lui). Si par aventure, malgré plusieurs « essais », le test reste obstinément négatif (ou douteux), il sera affirmé par lorthodoxie du sida que le « VIH » a migré (lune des quatre fameuses propriétés magiques du « VIH ») dans les ganglions où il est indétectable par les tests dits « VIH », et que de toute façon, la charge dite « virale » confirme quil est toujours « contaminé » ; cest pourtant complètement perdre de vue que la charge dite « virale » ne prouve également jamais que lon a été contaminé par un rétrovirus dénommé « VIH » et qu'on peut détecter une charge dite "virale" chez une personne séronégative.

En réalité, pour sen sortir, le survivant à long terme doit généralement faire un test anonyme. Mais sil savère négatif (et on peut trouver plusieurs témoignages de ce genre sur le net), il sera affirmé que ce nest pas une preuve de la séroréversion parce que le test est anonyme !

En outre, nombre de survivants à long terme ont compris quils devaient séchapper de ce milieu médical mortifère et, partant, ne jugent pas utiles ou nécessaires de refaire un test dit « VIH ». Il est dès lors loin dêtre certain quils soient en réalité encore séropositifs.

Nonobstant ces premières explications, une chose reste certaine et fondamentale, et est en soi suffisante pour complètement ridiculiser lhypothèse rétrovirale du sida : les bébés en question redeviennent séronégatifs pour avoir perdu leurs propres anticorps, ce qui est tout simplement incompatible avec lhypothèse rétrovirale du sida. Quant à savoir pourquoi il y a maintenant (du moins apparemment) peu de cas de séroréversion, je viens de donner ci-dessus quelques éléments dexplication. Et on peut dailleurs ajouter une autre explication, à savoir la croyance du monde entier que le séropositif a été « contaminé » par un rétrovirus et que lon ne pourrait plus rien y faire, si ce nest consommer des drogues qui empêcheraient la soi-disant réplication virale. Evidemment, là, cela devient (presque complètement) fichu pour redevenir séronégatif (quoique Viduité a prouvé que le contraire reste possible, du moins après bien des années de cessation de ces « traitements »).

PS : Je ne crois pas quà lheure actuelle, la séroréversion (et jentends donc par là, la perte des propres anticorps du bébé contre le « VIH », et non la perte des anticorps contre le « VIH » hérités de la mère durant la gestation) des bébés nés séropositifs est quasi systématique. Létude mentionnée ci-dessus date manifestement de (juste) avant lépoque où lon a commencé à administrer des drogues dites « antivirales » aux bébés. Or ladministration de ces drogues aux bébés fausse complètement les résultats. La meilleur façon pour tenter d'y voir plus clair est justement de se référer aux études (et ici, il ny en a quune seule de réelle ampleur, et heureusement, elle a été faite avant la période des drogues dites "antivirales") qui ont été faites avant ladministration de ces drogues aux bébés séropositifs.

Mais comme je lai dit, le point le plus fondamental est bien que les bébés deviennent séronégatifs en perdant leurs propres anticorps contre le « VIH », ce qui est incompatible avec lhypothèse rétrovirale du sida, mais en revanche très logique en appliquant lexplication du stress oxydatif comme cause du sida (laquelle explication implique que la séropositivité puisse effectivement être réversible).

Modifié par wallypat
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Merci pour cet article. 4-bravo.gif

Et je constate en plus que le site (http://hivnotaids.homestead.com/) d'où provient cet article comporte également d'autres articles tout aussi intéressants et très récents en plus.

Je viens d'ailleurs d'ajouter une référence à ce site dans la synthèse collective.

Modifié par wallypat
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Une dernière:

"Dr. Hare's group indicates that these findings have implications for the safety of blood and tissue donation, since a patient with an undetectable viral load and negative antibody test results while receiving ART could be misidentified as being HIV negative"

et

"This possibility does emphasize the importance of using the most sensitive donor-screening techniques, such as third-generation HIV-1/HIV-2 EIAs, as well as sensitive testing for HIV-1 RNA with nucleic acid amplification technology"

En effet, cet article (http://www.medscape.com/viewarticle/524132) prétend qu'une séroreverison est possible si le traitement conventionel commence très tôt. Mais que même si les tests conventionel vont donner un résultat négatif après séroreversion, cela ne veut pas dire que la personne n'est plus contaminée. On propose alors des tests de 3ème génération (j'imagine encore plus cher) pour dépister ces personnes et surtout pour dépister les donneurs de sang.

!!! Le comble de l'entêtement !!! le mainstream affirme clairement que les tests de deuxième génération peuvent tester négatif qq'un qui ne l'est pas!!!

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*Pendant 3 ans je tombe malade tout les 6 mois de maladies non identifiées et je me soigne par la médecine parallèle sans trop de résultats sauf pour vider son compte en banque*.

voilà ce que l on appele etre suivi par de bons medecins !! refus de diagnostique car le patient est vih+ et sans tri therapie donc il est malade de quelque chose de non identifiable, on laisse la main au spe vih !!! lol moi g bien compris le systeme !!!helas c est pas donné à tout le monde ( par manque de temps surement et pas d intelligence ) greuu ca fait froid dans le dos !!................le fait de gober des pillules ( et son compte en banque ) azt ou vitamine c huile essentielle sur le long terme entraine une destruction du systeme immunitaire par auto defense du corps !!! c est quand meme tous ces gens qui pensent que les intestins peuvent broyer des medicaments pour les eliminer à longueur de temps ............imaginez un regime d un dizaine de noyau d olives par jour pendant 5 ans !!! qui veut essayer?

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En effet, cet article (http://www.medscape.com/viewarticle/524132) prétend qu'une séroreverison est possible si le traitement conventionel commence très tôt. Mais que même si les tests conventionel vont donner un résultat négatif après séroreversion, cela ne veut pas dire que la personne n'est plus contaminée. On propose alors des tests de 3ème génération (j'imagine encore plus cher) pour dépister ces personnes et surtout pour dépister les donneurs de sang.

!!! Le comble de l'entêtement !!! le mainstream affirme clairement que les tests de deuxième génération peuvent tester négatif qq'un qui ne l'est pas!!!

Ce qui est le plus incompréhensible c'est qu'à partir d'un même test ils osent en affirmer la fiabilité lorsqu'il est positif pour la première fois* et douter de sa fiabilité lorsqu'ultérieurement il est (devient) négatif.

Comment peut-on avoir deux attitudes aussi contradictoires à l'égard d'un même et unique procédé ? ....

Si le premier test dicte sa loi, les suivants n'ont alors plus aucune valeur de tests. Ils lui simplement subordonnés.

Il n'y a pas que les maladies qui soient opportunistes à priori.

Amicalement

*avec vérification.

Modifié par Psyence
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greuu ca fait froid dans le dos !!................le fait de gober des pillules ( et son compte en banque ) azt ou vitamine c huile essentielle sur le long terme entraine une destruction du systeme immunitaire par auto defense du corps !!! c est quand meme tous ces gens qui pensent que les intestins peuvent broyer des medicaments pour les eliminer à longueur de temps

Ce n'est pas nouveau : on sait déjà que tout cela peut entraîner des effets secondaires, les pires et les plus mortels de tous étant, et de très très loin, ceux liés à la consommation de drogues dites "antirétrovirales".

Mais allons à lessentiel, Terry, car tu ne me parais pas répondre à la question fondamentale suivante et que tout le monde se pose certainement.

Quaurais-tu alors conseillé à Anarista de faire au moment (soit en juin dernier) où il était en train de se mourir dune pneumocystose, avec des lymphocytes T4 en chute libre (au nombre de 22) ?

* Etant entendu que selon toi, les drogues dites « antirétrovirales » (et même divers compléments alimentaires, plantes médicinales et autres huiles essentielles) doivent en tout état de cause toujours être exclues, même à (très) court terme,

* Et étant entendu que ton conseil ne doit pas être considéré comme dangereux (faute de quoi les reproches faits par Anarista dans le premier post de ce topic-ci pourraient effectivement être fondés ... mais tout particulièrement à ton égard), cest-à-dire que ton ou tes conseils impliquent tout autant de chance de survie quen recourant aux drogues dites « antivirales » et autres compléments alimentaires ?

Je te remercie davance pour ta réponse.

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  • 5 semaines après...

En effet, hier soir, réfléchissant à cette question de la transmission verticale du « VIH », javais - très logiquement - pressenti (mais sans en être encore parfaitement certain, comme je le suis maintenant) que ces bébés qui devenaient séronégatifs bien des mois après leur naissance ne se débarrassaient en fait plus des anticorps reçus de leur mère pendant la gestation mais bien en réalité de leurs propres anticorps ! En dautres termes, quil sagissait en réalité dauthentiques cas de séroréversion.

En cliquant sur ce premier lien ainsi que sur ce second lien, le lecteur trouvera 13 autres cas de bébés devenus séronégatifs plus de neuf mois après leur naissance, c'est-à-dire en perdant leurs propres anticorps au "VIH" (et non en perdant les anticorps transmis antérieurement par leur mère respective). Il s'agit donc d'autres cas authentiques de passage à la séronégativité !

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