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forum sidasante

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Prenez un terrain de 1 000 kilometres

1 000 personnes y vivent

Lachez une bacterie, genre celle responsable des gastro enterites........

sur les 1 000 personnes, 200 tombent malades.................POURQUOI eux et pas d autres ?

c est cela qu ont decouvert les scientifiques sida......avoir le sida indique bien que l on veuille ou non une tendance à l infection, seropo ou pas.......quand on ajoute a tout cela les effets secondaires des medicaments pour soigner cela on comprends bien ce qu est le sida!

quel est le point en commun des ces personnes ? un systeme immunitaire defaillant.......alors vous allez dire : et le vih alors ?

bien il se peut bien que toutes ces personnes malades en soient porteurs..........seulement on fais le test uniquement dans les groupes à risques....le melange drogues illegales (*) et legales " doit faire se positiver" un test tout simplement et pour des faire des etudes medicales avec des medicaments, les medecins ont besoin de deux groupes ayant la meme pathologie.....d un cote celui soigné à l ancienne ( donc les seronegs car non depisté car hors groupes à risques ) et de l autre celui soigné avec de nouveaux medicaments........à ce jour, apparement ils ne savent plus où ils sont.........remonter le systeme immunitaire pour qu il apprenne à se battre contre les infections tout seul est un pari enorme qui merite bien une experimentation pouvant s etaler sur des decenies avec des centaines de mollecules differentes...........pas evident mais cossu non ?...et si ca marchait ? quelle avancée scientifique pour les generations futures : plus d antibios car dangeureux, plus de vaccins etc etc ......

tri therapies = nouvelle methode de traitements anti infectieuse, voilà la verité......de tout temps il y a eu des gens qui meurent de chose alors que d autres dans le meme cas non !...........

dans certains cas, le test vih, pour certains ca ne change rien..........meme sans le test vih, certains seraient quand meme tomber malade.

seulement test positif ou pas, si une personne est malade d une infection generalisée, ou penche la balance benefice/risque ??

soit prendre un traitement à l ancienne ( mega dose d antibios pendant des années ) ou essayer un nouveau produit ( sachant que le but des labos n est peut etre pas forcement de tuer tout le monde mais surtout de faire du fric )........ou les deux ?

prenons le cas d une tuberculose chez un patient dont on a pas fais de test vih.......et dont le traitement classique ne fonctionne pas.......ne vaut il pas mieux lui donner une tri therapie ???..........bien perso je pense que beaucoup de medecins pro vih pensent comme cela..........tout recherche entraine des bonnes et mauvaises choses : donc !

il est evident que l on peut dire que des non-connus au vih meurent de la tuberculose alors des seropos tuberculeux tirent profit de la tri therapie.........mais helas cela est valable dans tous les sens ! alors lorsque l on est porteur d une telle infection grave, et dans un etat morbide, que faire ???

lire les discours des dissidents et se bourrer d huiles essentielles ? lol ! ou essayer de prendre une tri therapie ??.

j attends des reponses !

* je repete que je connais des seros toxicos ou ex, seronegatifs et des gays bourrés de poppers en pleine forme sans tendances à tomber souvent malade !..........comme quoi l hypothese dissidente des drogues pour un test positif est peut etre carrement fausse !.....

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(Terry @ Vendredi 30 Juin 2006 à 21h55)

* je repete que je connais des seros toxicos ou ex, seronegatifs et des gays bourrés de poppers en pleine forme sans tendances à tomber souvent malade !..........comme quoi l hypothese dissidente des drogues pour un test positif est peut etre carrement fausse !.....

Mais alors, modifions les messages de prévention, et disons à tout le monde que la meilleure façon de se protéger du sida, c'est encore de sniffer du poppers à tire-larigot et de s'injecter de l'héroïne. Cela ne cause évidemment pas le sida puisque nous avons sous la main un dissident du sida qui connaît des personnes ayant ce style de vie et qui se portent très bien !

Mais alors, les centaines d'études qui établissent depuis le début du 20ème siècle et de façon surabondante que la toxicomanie et l'usage de drogues provoquent à moyen ou long terme une immunodépression ne seraient donc que de fieffés mensonges ?! Nous aurions donc été trompés ? On nous cache tout, donc ? Les toxicomanes se portaient très bien, alors ? Y aurait-il un complot scientifique en vue de nous faire croire que la toxicomanie en générale est nocive, alors qu'en réalité, on s'en porterait que mieux avec ce style de vie ?

Tout va bien dans le meilleur des mondes, alors ?!

Plus sérieusement, moi aussi, je connais des gay consommateurs de litres de poppers par an et qui se portent très bien (apparemment), mais j'en connais infiniment plus qui se portent très mal et qui pour perpétuer les habitudes en question, sont "forcés" de consommer des tri"thérapies", lesquelles leur permettent de continuer en fait à mener ce style de vie, tout persuadés qu'ils sont en outre que tout cela, c'est la faute au (rétro)virus.

Je connais aussi des gens qui fument depuis 40 ans, deux paquets par jour, et qui ne font pas de cancer de poumon pour autant et qui ne font pas plus de maladies qu'un non-fumeur. Ceci étant, on connaît aussi des tas d'autres fumeurs qui en fumant bien moins de cigarettes et sans attendre 40 ans, se meurent de cancers de poumon ou d'autres maladies manifestement liées à la consommation de tabac.

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Je connais aussi des gens qui fument depuis 40 ans, deux paquets par jour, et qui ne font pas de cancer de poumon pour autant et qui ne font pas plus de maladies qu'un non-fumeur. Ceci étant, on connaît aussi des tas d'autres fumeurs qui en fumant bien moins de cigarettes et sans attendre 40 ans, se meurent de cancers de poumon ou d'autres maladies manifestement liées à la consommation de tabac.......

parfait nous sommes d accord ! donc si c est valable pour le tabac, c est valable aussi pour les drogues et les medicaments.........tri therapie inclus !

je ne dis pas que les drogues ne sont pas immunosupressives systematiquement ! mais je constate qu il y a des drogués non immuno deprimés........et des non drogués qui le sont ! IL N EST PAS NECESSAIRE D ETRE TOXICO POUR AVOIR LE SIDA!

et si ce que l on appele immunodepression etait inée......je veux dire par là que certaines personnes naissent avec une immunodepression ( iatrogene ou pas ).vih ou pas...et que celle ci peut se manifester 30 ou 40 ans aprés la naissance.....dans ces cas là, il est evident que rajouter la dessus des drogues legales ou illegales , ca n arrange pas les choses !!!

de tout temps il y a eu des gens qui meurent plus jeunes que d autres et je pense que c est là le truc dans le sida !

*Cela ne cause évidemment pas le sida puisque nous avons sous la main un dissident du sida qui connaît des personnes ayant ce style de vie et qui se portent très bien !*

relis bien ton message car on dirait que tu parles de toi.........tu oublies de signaler qu aprés une chimio pour un cancer des poumons on a systematiquement le sida !

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Hmmm moi pas comprendre ce que Terry dire... 4-spamafote.gif

Enfin bref...

Tu cherches à prouver quoi Terry exactement ? Qu'on peut enfoncer des portes ouvertes ? _biglol.gif

Tu devrais prendre du temps pour relire attentivement le Topic "Synthèse des sujets sur le sida".

Avant d'estampiller les propos des gens qui animent ce forum de "conneries" comme dans ton précédent post (très constructif par ailleurs), essaye de comprendre vraiment de quoi il s'agit et de quoi on parle...

Je n'ai personellement jamais vu un seul dissident dire : "Bourrez vous de vitamines en comprimés tout ira mieux vous guérirez du sida."

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(Terry @ Vendredi 30 Juin 2006 à 21h55)

* je repete que je connais des seros toxicos ou ex, seronegatifs et des gays bourrés de poppers en pleine forme sans tendances à tomber souvent malade !..........comme quoi l hypothese dissidente des drogues pour un test positif est peut etre carrement fausse !.....

Ouai, franchement, j'aimerais avoir des précisions sur ces cas étonnants. Parce que s'ils se bourrent tant que ça de poppers, c'est quand même étonnant qu'ils n'aient aucune réaction d'aucune sorte.

Se "bourrer" de poppers, ça signifie quoi exactement, en prendre 10 fois par jours, tous les jours ? Ou alors une ou deux fois par semaine ? Ce sont eux qui le disent ? Ou est-ce que tu as pu le vérifier par toi même sur une période assez longue ?

Ils ne font jamais de pose pendant quelques temps ? Et ces gars là, tu les vois souvent où est-ce que c'est une fois tous les 6 mois ?

Et ne pas tomber souvent malade, ça veut dire quoi ? Ils tombent quand même malades de temps à autres, ou pas du tout ? Et si oui, ils tombent malades de quoi ? Ils n'ont jamais de problèmes aux poumons ? Ils n'ont jamais d'irrition au niveau du nez, ou dans cette zone du visage ? Ils n'ont pas de petites tumeurs dans cette zone (genre gros grain de beauté mais de couleur chair) ? Tu les vois suffisament souvent pour être sur qu'ils n'ont jamais de problème ? Est-ce que tu sais s'ils prennent des antioxydants par hasard ?

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(Terry @ Samedi 01 Juillet 2006 à 09h02)

je ne dis pas que les drogues ne sont pas immunosupressives systematiquement ! mais je constate qu il y a des drogués non immuno deprimés........et des non drogués qui le sont ! IL N EST PAS NECESSAIRE D ETRE TOXICO POUR AVOIR LE SIDA!

Mais en fait, Terry, nous sommes tous les deux d'accord ! Effectivement, il n'est pas nécessaire d'être toxicomane pour avoir le sida.

Lorsqu'on examine ne fût-ce que les principaux groupes à risque de sida (qui correspondent à une réalité), soit les homosexuels masculins, les toxicomanes et les hémophiles (du moins, avant que le sang ne soit chauffé), que constatons-nous ? Et bien, que ces groupes à risques sont exposés à des stresseurs chimiques (le plus souvent azotés) qui sont de puissants oxydants cellulaires : drogues illicites pour les toxicomanes, nitrites (poppers), sperme et MST [d'où l'utilité des préservatifs, même pour les repenseurs du sida, et certains, tels le Perth Group, vont même bien plus loin encore que les orthodoxes du sida, puisqu'ils déclarent que l'usage du préservatif ne doit pas s'imposer uniquement pour les seuls séropositifs mais bien également pour tous les personnes dites "séronégatives" ayant des rapports sexuels, en particulier anaux, avec d'autres personnes dites "séronégatives"] pour les homosexuels masculins et facteurs VIII (protéine de coagulation sanguine dont les hémophiles sont dépourvus) pour les hémophiles.

Donc, oui, il n'est pas nécessaire d'être toxicomane pour avoir le sida.

Terry

et si ce que l on appele immunodepression etait inée......

Certaines personnes ont certainement et naturellement un système immunitaire plus performant que d'autres personnes (ce qui permet d'expliquer par exemple que certaines personnes puissent mieux supporter le poppers que d'autres), mais ce qu'on constate surtout, c'est qu'indépendamment de cela, toutes les personnes qui font un sida ont été et/ou sont exposés à de puissants stresseurs chimiques, le plus souvent azotés. Et parfois, ce stresseur chimique n'était rien d'autre que (par exemple) l'AZT en monothérapie alors que le sidéen en question avait au départ juste eu pour seul tort d'avoir réagi positivement à un test appelé "VIH", lequel, dans son principe même, devient positif par suite de facteurs n'ayant strictement aucun rapport avec une supposée contamination par le "VIH", facteurs au surplus innombrables. Et parfois, dans des cas extrêmes, le puissant stresseur chimique est tout simplement l'annonce de la séropositivité au "VIH" et les conséquences incalculables (entre autres au niveau chimique ----> augmentation du niveau de cortisol ---> baisse des lymphocytes T4 ---> sida, que le "traitement" à l'AZT n'a fait qu'aggraver) de cette annonce, très mal interprétée par l'orthodoxie du sida, amèneront "naturellement" (en ce sens que le "VIH" est inutile pour l'expliquer) au stade sida.

Terry

je veux dire par là que certaines personnes naissent avec une immunodepression ( iatrogene ou pas ).vih ou pas...et que celle ci peut se manifester 30 ou 40 ans aprés la naissance.....

Sans le vouloir, Terry, tu vas dans le sens de la théorie du rétrovirus "lent" de l'orthodoxie du sida, soit la théorie du "VIH" ! lol Or, comme le dit le professeur Duesberg, il n'y a pas de rétrovirus lents, il n'y a que des rétrovirologues lents (d'esprit).

Terry

de tout temps il y a eu des gens qui meurent plus jeunes que d autres et je pense que c est là le truc dans le sida !

Oui, évidemment, mais heureusement pour l'humanité, les plus jeunes ont généralement vocation à survivre aux plus vieux. Ceci étant, lorsqu'on constate à partir du début des années 80, que de jeunes gay dans la vingtaine et trentaine, pourtant de solides gaillards en bonne santé, meurent ensuite en quelques mois d'infections "exotiques", il est difficile et même impossible de justifier cela par la considération que "de tout temps il y a eu des gens qui meurent plus jeunes que d autres et je pense que c est là le truc dans le sida !". L'orthodoxie du sida y a au contraire vu la marque d'un mystérieux rétrovirus exogène qui aurait été transmis par un singe d'Afrique (bien commode comme explication !), tandis que le Perth Group (entre autres) y a vu la marque d'un style de vie particulier que menaient ces jeunes gay et qu'avaient ceux-ci en commun. Et ce style de vie qu'ils avaient en commun permet déjà d'expliquer l'apparition de ces maladies "exotiques", le "VIH" étant inutile pour l'expliquer (encore une fois d'ailleurs).

Terry

tu oublies de signaler qu aprés une chimio pour un cancer des poumons on a systematiquement le sida !

"Systématiquement", je ne le pense certainement pas (je n'ai pas lu d'études scientifiques confirmant cela), mais il est vrai qu'après une chimiothérapie, certains des patients en question peuvent faire des maladies englobées sous le signe "sida".

Mais il y a quand même une différence de taille entre les deux cas, à savoir que dans le cas de la chimio, les maladies en question résultent d'une détérioration moins profonde et plus ponctuelle de la personne que dans le cadre du sida. Certains font par exemple une tuberculose ou que sais-je encore, mais après le traitement "standard" (et pour autant qu'ils ne refassent plus de chimiothérapie), ils récupèrent et ne refont plus les maladies en question.

Au début des années 80, les mêmes traitements "standard" furent appliqués aux sidéens, et qu'a-t-on constaté ? Certains mourraient malgré tout, d'autres guérissaient certes, mais contrairement aux personnes qui avaient été sous chimiothérapie, nombre d'entre eux refaisaient quelques mois plus tard la même maladie, et en outre dans une forme bien plus grave encore, et finalement, en mourraient. Alors, certes, nombre d'entre eux succombaient aux mêmes vices de départ (drogues, etc...) mais pour certains, ce reproche ne paraissait pas pouvoir leur être fait. Ce qui fait justement dire à certains repenseurs du sida que dans certains cas, ce stress oxydatif a pu causer des conséquences irréversibles.

Il y a donc une très nette différence (en général, du moins) entre ceux qui font une maladie qualifiée de sida par suite d'une chimiothérapie, et ceux qui le font dans la forme "sida" "traditionnel" (lol). Dans le premier cas, les atteintes sont moins profondes et ont une causalité très bien définie et ponctuelle (chimiothérapie), dans le second cas, les atteintes (quoique se traduisant par la même maladie) sont bien plus profondes et résultent de causes bien plus large et sur une plus longue durée (style de vie).

Un exemple parmi tant d'autres est celui du sarcome de kaposi. On a pu constater en son temps que des personnes prenant certains médicaments immunodépressifs pouvaient faire un sarcome de kaposi. Mais aussitôt qu'elles arrêtaient les médicaments en question, le sarcome régressait pour finalement disparaître. Rien de tel pour ceux (le plus souvent des gay consommateurs de drogues récréationnelles) faisant un sarcome de kaposi qualifié de sida : le simple fait d'arrêter la consommation de ces drogues-là ne suffit pas à faire régresser et encore moins à faire disparaître les sarcomes en question.

Wallypat

Plus sérieusement, moi aussi, je connais des gay consommateurs de litres de poppers par an et qui se portent très bien (apparemment), mais j'en connais infiniment plus qui se portent très mal

Terry

relis bien ton message car on dirait que tu parles de toi.........

Aixur

Ouai, franchement, j'aimerais avoir des précisions sur ces cas étonnants.

Bon, maintenant que j'ai définitivement (enfin, je l'espère) arrêté de prendre du poppers depuis deux mois (et franchement, c'est dur, mais de moins en moins avec les semaines), oui, j'avoue (lol) : j'ai consommé régulièrement du poppers pendant 17 ans, et à fortes doses (je crois) au cours de ces dix dernières années.

Mais avant de parler de mon cas (brièvement, car je n'ai aucune intention de m'étendre sur ma vie privée), je vais d'abord préciser ce que moi, j'ai constaté personnellement constaté dans le milieu gay (belge, du moins, mais cela me semble applicable également en France et partout ailleurs dans le monde), que je prétends très bien connaître.

Alors, oui, effectivement, je connais quatre, cinq personnes que je revois un peu par hasard et assez régulièrement depuis 10 ans, qui consomment du poppers et qui ont l'air d'assez bien se porter (mais je parle pas souvent avec eux et donc, je ne peux pas certifier qu'ils se portent effectivement bien). Mais la plupart de ces personnes ont cependant ceci de commun (il peut y avoir des exceptions bien sûr, mais personnellement je n'en connais pas dans mon cercle d'amis) :

1) Ils sont essentiellement "actifs". Or, il y a une différence de taille entre un actif qui consomme du poppers et un passif qui le consomme : généralement, un actif consomme déjà beaucoup moins de poppers, il en prend un peu au début pour faciliter l'érection et ensuite un peu de temps en temps (et encore !); en revanche, un passif n'arrête pas (ou presque) d'en consommer, que ce soit au début, pendant ou à la fin. Je n'ai pas lu d'études sur le sujet (lol), c'est juste le résultat de 18 années d'observation sur le "terrain".

Par ailleurs et par définition, ils ne risquent pas d'être exposés au stress oxydatif causé par la réception rectale du sperme.

2) Ils utilisent systématiquement le préservatif , en sorte qu'ils ont bien moins de risques d'être exposés à des MST de toutes sortes, sources de stress oxydatif, et à leurs traitements, également sources de stress oxydatif.

Déjà, sur base de ces deux considérations-là, et en fonction en outre de la résistance de l'individu, on peut facilement comprendre qu'ils ne fassent (apparemment, car je ne leur pose la question bien sûr) pas de sida.

Et dans mon propre cas ?

Alors, certes, j'en ai consommé pendant 17 ans, sans sida quelconque (et je touche du bois).

J'ai évidemment analysé mon propre cas, et cela peut s'expliquer très facilement.

D'abord, de 1989 à mai 1996, je n'en consommais pas beaucoup (à mon sens), à savoir en moyenne 2 ou 3 petits flacons de 20cl par an. En revanche, et par suite de certaines circonstances sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai (très) fortement augmenté ma consommation de poppers pour atteindre dès 1997, la consommation moyenne d'un petit flacon de 20cl par week-end, soit finalement (et je trouve cela assez effrayant), un litre de poppers par an. En plus, il ne s'agissait pas du "mauvais" poppers de France, mais bien du "bon" et du "vrai" poppers, comme on en trouve aux USA.

Evidemment, lorsque je découvre la dissidence du sida mi-2005, je me pose des questions sur mon propre état, mais je me dis que je dois être bien plus résistant que les autres puisqu'après 16 ans, je n'ai toujours rien (quoique je fus diagnostiqué "VIH+", à mon insu [ce test a été fait sans mon accord], début 2000; mais à mon avis, cela devait déjà être bien auparavant, car je n'avais plus fait aucun test depuis 1994), je continue de plus belle, tout en prenant davantage d'antioxydants et en diminuant un peu "par prudence" la consommation en question (un flacon de 20 cl tous les deux week-ends au lieu d'un week-end), d'autant plus que je passe depuis lors de plus en plus de temps à lire ce qu'écrit la dissidence du sida (qui est tout simplement pour moi le sujet le plus passionnant que je n'ai jamais lu) et de moins en moins de temps à des activités susceptibles de faciliter la consommation de poppers. Toutefois, lorsque je fais un bilan nutritionnel en avril dernier, quoique pas mauvais, il est constaté certaines anomalies (sur lesquels je ne m'étendrai pas également) qui ne figuraient pas un an plus tôt. Bien malgré moi et comme je crois comprendre de mieux en mieux ce qu'écrivent les repenseurs du sida, j'en ai déduit que je n'avais pas le choix et que je devais définitivement arrêter le poppers. En plus, cela faisait quasiment 10 ans tout juste que j'en consommais à hautes doses. C'était sans doute une date symbolique. Certes, j'ai fait une (légère) rechute (lol) deux semaines plus tard, mais là depuis deux mois, "je tiens le coup" (lol), mais franchement, cela a été très très dur au début.

Bon, ceci étant, comment ai-je pu tenir 17 ans sans sida, tout en consommant autant de poppers ?

J'ai évidemment beaucoup réfléchi à la question, et je pense que certains facteurs qui me sont strictement personnels peuvent l'expliquer.

1) De 1989 à 1996, il s'agissait à l'évidence d'une consommation "homéopathique" lorsqu'on la compare à celle allant de mai 1996 à début avril 2006.

2) Je n'ai jamais touché à rien d'autre, sauf une fois pour plusieurs autres "choses", mais juste pour constater que cela ne faisait visiblement aucun effet sur moi.

3) Je n'ai plus touché à l'alcool (pas même un seul verre) depuis 16 ans. Idem, jamais de vin (j'ai immédiatement la nausée).

4) Je ne bois jamais de café ou de thé.

5) Les assez rares fois où je suis malade (rhume, angine, etc...), je ne m'inquiète jamais et je ne panique jamais. Cela fut d'ailleurs également le cas lorsque j'ai eu une encéphalite (à cause de deux vaccinations : grippe + hépatite B) : je ne m'en suis jamais inquiété (sauf quand des proches m'ont fait part de leurs inquiétudes; moi, cela "m'amusait" presque), n'ai pris aucun traitement et j'en ai guéri spontanément.

Ma confiance en la médecine orthodoxe a toujours été faible (même quand je fus déclaré "HIV+"), et évidemment, les choses ne sont pas améliorées depuis lors.

6) Jusqu'à ce que je tombe dans les griffes de l'orthodoxie du sida, je n'avais jamais pris d'antibiotiques de ma vie, sauf une seule fois, en 1994 (pour une grosse bronchite, me semble-t-il).

7) J'ai toujours tâché de manger chaque jour une quantité énorme de légumes et de fruits.

8] J'essaie dans toute la mesure du possible d'éviter la compagnie de gens stressants, car le stress est terriblement contagieux (or je le suis déjà assez moi-même).

9) J'essaie de toujours suffisamment dormir.

10) J'ai définitivement arrêté de fumer fin 1999.

11) Et c'est peut-être là l'un des éléments les plus importants, à partir de septembre 1996 (soit peu de temps après avoir commencé à consommer des grosses quantités de poppers), et jusqu'à ce jour d'ailleurs (quoique un peu moins depuis deux ans), je commence à faire du sport de façon intensive (5 à 10 heures par semaine).

Mais en plus, et sans le savoir en fait, je prends des tas d'antioxydants. En effet, pour favoriser la musculation, je prends des tas de compléments alimentaires depuis 1996. Or, quand j'ai analysé, il y a quelques mois, la composition de ces compléments alimentaires pour sportifs (pas de stéroïdes bien sûr ou autres produits apparentés, lesquels sont susceptible de causer une immunodépression), j'ai pu constater qu'ils comprenaient des tas d'éléments conseillés par les repenseurs du sida : la "Whey" protéine (soit du petit lait, ce qui favorise fortement la production de glutathion), glutamine (pour récupérer après le sport; or, la glutamine favorise également la formation de glutathion), presque toutes les sortes de vitamines B, la vitamine C, magnésium, zinc, vitamine E, vitamine A, coenzyme Q10, L-Carnitine, ...

Bref, sans le savoir, je prenais depuis 1996 la plupart des compléments alimentaires recommandés par les repenseurs du sida.

12) En 2001, je lis par hasard un article (forcément de l'orthodoxie du sida, à l'époque) précisant que les sidéens ont notamment pour caractéristique commune de souffrir d'une (très) forte carence en sélénium. Dès lors, depuis 2001, je prenais tous les jours du sélénium, du moins jusqu'à ce qu'il soit constaté en avril dernier, que j'en avais maintenant beaucoup trop au contraire !

Je crois que l'ensemble de ces éléments (et sans doute d'autres auxquels je ne pense pas) permettent d'expliquer pourquoi j'ai réussi à "survivre" (lol) au poppers pendant 17 ans.

Mais bon, maintenant, je ne recommande à personne de faire la même chose que moi, et j'ai d'ailleurs moi-même arrêté de consommer du poppers. Et après deux mois, je constate déjà un changement auquel je ne m'attendais absolument pas : lorsque j'entre dans un endroit enfumé, je me mets quasi systématiquement à tousser pendant deux minutes ou trois (ce qui ne m'arrivait jamais), soit visiblement le temps nécessaire pour que mon corps s'habitue à l'atmosphère nocive en question !

En tout cas, je suis sûr d'une chose : je suis passé de justesse au travers du chas de l'aiguille (et j'espère qu'il n'est pas trop tard). Et ce n'est certainement pas grâce à l'orthodoxie du sida !

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Si tu trouves cela vraiment intéressant, oui, j'ai certes une formation scientifique puisque j'ai une formation de juriste (d'ailleurs précisé dans l'un de mes tout premiers posts sur ONCT).

Alors, oui, cela n'a pas vraiment un rapport quelconque avec le sida, mais je crois pouvoir être en mesure d'affirmer que cette formation me permet d'appréciser à sa juste valeur une autre science, à savoir celle de la logique.

Or ce qui m'a immédiatement attiré et même fasciné dans l'explication du stress oxydatif comme cause du sida (explication avancée pour la première fois par le Perth Group dès 1988, et même des années auparavant, mais ils n'arrivèrent à publier l'article scientifique en question qu'en 1988 : voir ici), c'est justement la logique de cette explication et la circonstance que cette explication, dans nombre de ses applications, frise carrément la perfection mathématique, exactement tout le contraire de l'hypothèse rétrovirale du sida. Et je pense réellement ce que je dis !

Modifié par wallypat
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(wallypat @ Dimanche 02 Juillet 2006 à 02h12)

Bon, maintenant que j'ai définitivement (enfin, je l'espère) arrêté de prendre du poppers depuis deux mois (et franchement, c'est dur, mais de moins en moins avec les semaines), oui, j'avoue (lol) : j'ai consommé régulièrement du poppers pendant 17 ans, et à fortes doses (je crois) au cours de ces dix dernières années.

Etc...

Ouai, effectivement, avec ton exemple, force est de reconnaitre que comme le disait Terry, on peut consommer beaucoup de poppers pendant des années, sans tomber malade. Je doutais, mais là, ton exemple est vraiment frappant. Merci de ton témoignage.

Cela dit, ton cas est quand même très particulier. A coté de ta consommation de poppers, tu as une vie très saine, et tu consommes plein d'antioxydants. Donc, il faudrait quand même voir si le cas des tes diverses connaissances (ainsi que celles de Terry) est similaire ou pas. Toutefois, je ne suis pas sur, mais je crois me souvenir que tu nous avais dit que tu avais des rhumes assez souvent (je me trompe peut-être ; avec tous les cas qu'on a vu sur le forum, c'est possible que je confonde). Si c'est le cas, peut-être que ça pourrait être dû à l'effet des poppers sur les poumons.

Enfin bon, c'est intéressant. On peut penser, à moins que d'autres témoignages viennent contredire cette idée, que les poppers ont une action néfaste. Mais apparemment, elle peut être controlée par une consommation importante d'antioxydants (pour ceux qui ne peuvent pas s'en passer pour une raison ou une autre, c'est intéressant).

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(aixur @ Lundi 03 Juillet 2006 à 23h08)

Toutefois, je ne suis pas sur, mais je crois me souvenir que tu nous avais dit que tu avais des rhumes assez souvent (je me trompe peut-être ; avec tous les cas qu'on a vu sur le forum, c'est possible que je confonde). Si c'est le cas, peut-être que ça pourrait être dû à l'effet des poppers sur les poumons.

Oui, effectivement. Mais cela ne date cependant pas du début de ma consommation de poppers, mais bien depuis ma prime enfance. Mais le poppers n'a certainement pas amélioré la situation.

Ce n'est que depuis que je fais de temps en temps une cure d'extraits de pépins de pamplemousse (depuis l'été passé) que je n'en ai (quasiment) plus.

Mais je ne pense de toute façon pas que les antioxydants constituent un remède miracle contre les effets toxiques du poppers. Ils peuvent les retarder plus ou moins fortement à mon avis, mais certainement pas les empêcher à la longue, à moins sans doute de n'en prendre qu'à doses "homéopathiques", ce qui n'était certainement pas mon cas.

Mais bon, maintenant, je compte bien tirer un trait définitif sur cela. Et je suis d'ailleurs curieux de voir lors de mon prochain bilan nutritionnel, soit dans quelques mois, si la suppression totale et définitive de poppers est déjà suffisante pour entraîner une hausse du glutathion réduit (car je suis juste en dessous de la limite "normale", et c'est entre autres cela qui m'a décidé à définitivement arrêter) et "accessoirement" une hausse de mes lymphocytes T4. Car ceux-ci n'ont jamais été très élevés depuis 2000, à savoir toujours entre 290 et en dessous de 450.

On verra bien. J'applique enfin ce que je suis si prompt à conseiller aux autres. Personne n'est parfait ! lol

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En matière de prise d'antioxydants, quels doses faut-il en prendre, en général?

J'ai l'impression que les produits proposés en France sont faiblement dosés.

Faut-il absolument passer des tests de recherches sanguines avec l'aide d'un médecin nutritionniste ou peut-on avoir une idée des besoins de façon globale ou à adapter selon chaque individu?

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En cliquant ici par exemple, tu trouveras une "ordonnance" type pour une personne dite "séropositive" aymptomatique.

Mais il ne s'agit-là que d'une voie générale. Je recommanderais un bilan nutritionnel complet malgré tout, pour mieux affiner la "prescription" et pour éviter de prendre des compléments alimentaires un peu n'importe comment. Car comme l'a dit Terry plusieurs fois, mal utilisés ou en excès, ces compléments alimentaires peuvent parfois faire du tort.

Et quand je me rappelle de ton témoignage, encore plus que pour d'autres, je te conseillerais de faire un tel bilan. Car je pense que ta séropositivité (et je me permets de te rappeler qu'en Australie, tu serais considéré comme non "contaminé", vu que seules trois bandes sur les dix ont réagi dans ton cas; cela correspond à une réalité pourtant "scientifique") est chez toi un diagnostic de facilité, qui permet aux médecins de ne pas faire de recherches complémentaires.

N'étant pas médecin, je ne sais dire de quoi tu souffres exactement (j'avais émis l'hypothèse éventuelle de l'infection par un mycoplasme, qui peut être transmissible sexuellement), mais à défaut de le savoir, un bilan nutritionnel permettra sans doute de voir un peu plus clair (ou un peu moins sombre).

Il serait en fait intéressant de simplement demander au médecin ce qui suit : "Et si je n'avais pas été déclaré "séropo", quel serait le nom donné aux divers maux dont je souffre ? Quels en pourraient être les (autres [et seules vraies, en réalité]) causes ?"

Alors là, à mon avis, tu sauras vraiment de quoi tu souffres réellement, ou du moins, tu seras plus susceptible d'approcher de la vérité. Ce n'est du moins que mon opinion.

Modifié par wallypat
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Précisions: j'ai eu un dépistage d'anciennes infections au CMV, chlamydia et gonorrhée...mais négatif vih jusqu'en janvier 2005.

Positif peut-être parce que suite à demande du médecin du laboratoire j'ai précisé les symptômes que j'avais vécus et aussi que mon medécin traitant pensait que j'étais victime d'un hanta virus (présent surtout dans l'Est de la France): peut-être le test a-t'il été plus "affiné"?

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Je ne sais évidemment pas de quoi tu souffres précisément, Lasimar, mais au moins, au vu du post qui précède et de celui-ci ou encore celui-ci, il ne faut pas chercher midi à quatorze heures pour savoir pourquoi ton test dit "VIH" a finalement pu se positiver.

Etant donné que tu n'as pas utilisé régulièrement les préservatifs (et je ne vais certainement pas t'en faire le reproche, cela ne me paraît d'ailleurs pas être le but de ce forum), à la longue, tu as finalement développé des tas d'anticorps à des tas de choses (et entre autres CMV, chlamydia, gonorrhée, et certainement contre des tas d'autres choses [anticorps contre l'hépatite B par exemple ?] qui n'ont pas forcément été recherchées).

Comme dans un précédent post, tu te déclares bien plus souvent actif que passif, forcément, cela a mis bien plus de temps que pour d'autres avant que ton test devienne positif (du fait entre autres des nombreux anticorps que tu as accumulé au cours des années), et ce même à supposer que tu ne consommes pas de poppers. D'autant plus que seules trois bandes à peine (sur les 10) ont réagi positivement. Ce qui ne me paraît pas beaucoup (ni même assez en Australie).

Sinon, pour le reste, personnellement, je te conseillerais quand même de faire un bilan nutritionnel complet, malgré son coût. Peut-être constatera-t-il certaines carences (ou excès) et la correction ultérieure de celles-ci permettra peut-être de guérir les derniers symptômes dont tu souffres encore. Il me semble que tu n'as (presque) rien à perdre à essayer.

Modifié par wallypat
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Wallypatt,

dans le même sens que ton lien cité plus haut :

Prevention regimen (if you are "asymptomatic"):

NAC (2 x 600 mg TIME RELEASE taken 3 times a day on an empty stomach with fruit juice)

Alpha Lipoic acid (600 mg a day with food)

Vitamin B1 (300 mg a day)

RM-10 mushroom extract capsules (can be ordered from www.primaldefense.com) follow instructions on container.

Flaxseed oil as liquid not capsules (Take 2 dessert spoonfuls per day and keep in the fridge after opening, no good if it tastes bitter)

Selenium, 100 micrograms a day with food

Acetyl L Carnitine (1000 mg per day on an empty stomach)

Selon Nutranews :

LE PROTOCOLE NUTRITIONNEL ET BIOLOGIQUE

A. Supplémentation

• Zinc : 15 à 60 mg par jour.

• Sélénium : 600 mcg par jour.

• Vitamine B12 : 500 mcg par jour en sublingual.

• Bêta carotène : 100 UI par jour.

• Vitamine E : 400 à 800 mg par jour (600 à 1200 UI par jour).

• Vitamine : C 2 g, 3 fois par jour.

• N-acetyl-cystéine : 600 mg, 3 fois par jour.

• Coenzyme Q10 : 300 mg par jour.

• Arginine : 10 g par jour, au moment du coucher.

• Acétyl-L-carnitine 1,2 g, 2 fois par jour.

B. Analyses Biologiques

Le bilan biologique sera effectué avant la supplémentation, puis répété tous les trois mois ; il permettra d’adapter la supplémentation à l’évolution de la maladie. Il comprendra :

- le bilan biologique classique : LT4, LT8, Ag P24 et la charge virale représentant à l’heure actuelle un des meilleurs indices pronostics de l’évolution de l’infection)

- un bilan oligoélémentaire plasmatique et erytrocytaire voir urinaire.

- l’analyse du «stress oxydatif» comprenant: le dosage de l’enzyme glutathion-peroxydase plasmatique et érythrocytaire, de la super-oxyde-dismutase érythrocytaire et du malon dialdéhyde (témoin de la lipoperoxydation).

J'aimerai savoir ce que tu en penses car cet article date de 2000.

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(Liane @ Jeudi 06 Juillet 2006 à 22h30)

J'aimerai savoir ce que tu en penses car cet article date de 2000.

C'est bien sûr toujours mieux que le recours aux drogues dites "antivirales".

Mais il ne s'agit-là que d'"ordonnance" type, et plus que jamais, il faut les actualiser en fonction de ce que révéléra un bilan nutritionnel complet (lequel ne se limitera donc pas uniquement au statut du stress oxydatif).

Par exemple, j'ai bien lu en son temps qu'un excès d'arginine favorisera plutôt l'apparition du sida; de même, trop de zinc est dangereux pour la santé.

Donc, ces traitements alternatifs sont une (très) bonne solution (à mon avis), mais pour que cela soit réellement efficace, un bilan nutritionnel régulier me paraît devoir s'imposer (malgré son coût).

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le protocole magique anti sida/vih :

NAC THIAMINE ACIDE ALPHA LIPOIC CARNITINE sont connus pour causer des oesosphagites, ulceres en particuliers pris hors des repas !!!

je n ai pas trouvé de preuves concretes, valables , ni de temoignages prouvant l utilité des ces produits.........que des conneries qui coutent un max et soignent personne, au contraire meme ! je persiste et signe , desolé .

ON M A ECRIT POUR ME DIRE QUE PERSONNE ici NE CONSEILLAIT CE GENRE DE SALOPERIES EN FRANCE.....C EST CHOSE FAITE MAINTENANT .....RESTE PLUS QU A AVOIR UN ESTOMAC ET DES INTESTINS BIEN SOLIDES ( ce qui n est pas le cas apparament lorsque l on est seropositif) surtout apres une tri therapie !! bravo les dissidents francais !

POUR MA PART JE RESTE PERSUADE QUE LES DROGUES ILLEGALES SONT DANS BEAUCOUP DE CAS UN FACTEUR AGGRAVANT DE SIDA.............LA CAUSE PREMIERE DE SIDA POUR MOI EST L ANTIBIOTHERAPIE EN PARTICULIER CELLES CIRCULANT DANS LES ANNEES 70/80 LA PLUS PART RETIREES BIEN SUR DU MARCHE MAIS HELAS TROP TARD POUR CEUX QUI ON EN PRIS A L EPOQUE...LEURS EFFETS SECONDAIRES POUVANT SE MANIFESTER 30 OU 40 ANS PLUS TARD PAR DESCTRUCTION DE LA MOELLE et des intestins.....BIEN SUR D EN RAJOUTER EN PLUS PAR DESSUS CA N ARRANGE PAS LES CHOSES.

POURQUOI QU UNE CERTAINE PARTIE DE LA POPULATION EST TOUCHEE ? CAR C EST CELLE CI QUE L ON DETECTE SYSTEMATIQUEMENT ( GAYS TOXICOS NOIRS ET MAITENANT ARABES ) AFIN DE METTRE AU POINT DES MEDICAMENTS POUR LUTTER CONTRE LES EFFETS D ANTIBIOTIQUES AYANT ENTRAINE CARREMENT DES MUTATIONS GENETIQUES ET AUTRES SALOPERIES......pour tester des medicaments, il faut deux groupes ayant la meme pathologie, une traitée hi tech, l autre classiquement..........je sais je repete.........

c est bien pour cela que personne, qu AUCUN dissidents ne peut dire : j ai survecu ! il y a un remede !

ca ne veut pas dire pour autant que lorsque l on est seropo on en meurt........mais disons que lorsque l on est sero on aurait disons peu de chances de faire de vieux os..........à ce sujet on detecte de moins en moins de cas de vih+ chez des personnes agées, ce qui prouve bien que le mal a ete fait il y a longtemps....

alors faut arreter toutes ces conneries de toxicos ou de sodomisés etc etc...........on en a marre de ces discours debiles meme si dans certains cas ( surement infimes ) sont peut etre vrais....pas tous les toxicos ont le sida ( ma mere par exemple est bourrée depuis plus de 45 ans non stop d anxiolitiques, neuroleptiques.......dans les effets secondaires de ces substances, le sida est clairement present...bien elle va bien !!)...pas tous les pds chez qui on a trouvé du sida ( meme sans azt, ni poppers ) ont bu des tonnes de sperme où se sont fait enculer à la chaine dans des saunas.....je ne supporte plus ces discours debiles qui consistent à faire que les malades seraient coupables !

mon conseil :

si vous avez ete depisté seropositif, un conseil : oubliez tout et ne cherchez pas trop à comprendre ce qui nous depasse à tous ici ( sauf aux grosses tetes qui nous gouvernent ) et surtout :

MOINS VOUS EN PRENDREZ MIEUX VOUS VOUS EN PORTEREZ ! apres en cas de besoin c est vous qui voyez !

arretons de prendre le corps humain pour une connerie qui pourrait etre domptée avec des comprimés !! hahaha....les pharmacies sont bourrées de saloperies et de placebo ( diabete, hypertension, vaccins etant de l eau !) sur que les labos rigolent quand on les attaque pour effets secondaires !! je repense au patron de gloxxo wellcome en plus disant : 70% des patients ne digerent pas les medicaments ! : ce qui veut tout dire !

les seules saloperies vraiment dangeureuses pour la race vendues en pharmacie sont bel et bien sont les antibiotiques!

plusieurs milliards d années d existence pour le corps humain ( avec ou sans vitamine c, antibiotiques ou pas ) et toujours debout, on peut meme dire à ce jour, pratiquement qu elle est à ce jour indestructible non ???............comment ils faisaient en 1250 en cas d infection ?? hummm ???J lol !!.....les maladies de civilisations etc etc.........faudrait bien connaitre l histoire de la race humaine dans le temps pour apporter une reponse au sida ........faudrait fouiller les archives du vatican !

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(Terry @ Vendredi 07 Juillet 2006 à 21h32)

NAC THIAMINE ACIDE ALPHA LIPOIC CARNITINE sont connus pour causer des oesosphagites, ulceres en particuliers pris hors des repas !!!

Peut-être, encore ne faut-il pas faire croire qu'il s'agit-là d'une généralité. Et pour ma part, j'ai pris des tas de compléments alimentaires pendant 10 ans (ne fût-ce que les compléments alimentaires pour sportifs), et je n'ai jamais rien eu.

Par ailleurs, à supposer qu'ils puissent causer dans certains cas de tels désagréments, ce n'est qu'un "détail" par rapport à un "effet secondaire" de taille du sida, à savoir la mort !

je n ai pas trouvé de preuves concretes, valables , ni de temoignages prouvant l utilité des ces produits.........que des conneries qui coutent un max et soignent personne, au contraire meme ! je persiste et signe , desolé.

Moi aussi, je persiste et signe, désolé.

Si tu n'as rien trouvé, c'est parce que tu as décidé de ne rien trouver qui puisse malmener ta croyance.

Car il ne faut pas chercher bien loin pour prouver l'utilité de ces produits (mais je suis d'accord avec toi, c'est cher, et cela est scandaleux) :

- Par exemple, ici

- Ou tu vas - par exemple - sur ce site-ci et tu tapes les noms des compléments alimentaires que tu détestes autant ..... et tu trouveras des dizaines, si pas des centaines d'articles démontrant les bienfaits de ces compléments (avec en fin des articles, les références scientifiques);

- Ou mieux encore, tu vas sur pubmed, tu entres le nom des compléments alimentaires détestés (en anglais), et tu trouveras des articles scientifiques sur leurs bienfaits.

Il ne faut pas plus de 15 secondes pour constater que ces compléments alimentaires ont prouvé leur utilité en matière de sida.

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Salut a tous. J'ai une question bête: comment savoir si les dégats cellulaires causés par les antiviraux sont irréversibles? Exemple: les cellules détruites peuvent elles se refaire? J'en ai tellement marre de cette lipodystrophie et en plus je peux plus faire ma gym, ça fait trop mal. J'ai plus de chair au niveau des tempes, des fesses et des cuisses. Par contre sur le ventre il y en a trop. Et je ne me plains pas car c'était pire il y a quelque temps. Merci pour vos infos sur les compléments alimentaires, je suis d'accord avec vous, efficace mais pas donnés. (J'ai essayé le Commando 2000, le pepin de pamplemousse) et SURTOUT vie saine alimentation equilibrée. J'ai enfin réussi a arreter de fumer...Quant aux analyses genre bilan nutritionnel et stress oxidatif, où les faire? A +, Seva

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