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Tiens, par hasard, ce soir, j'ai lu deux articles (qui sont cités ci-dessous) en anglais d'où il ressortirait visiblement qu'il n'y aurait pas eu qu'une seule étude (comme je l'avais pensé dans un post précédent) sur les effets de la "Névirapine" quant à la transmission verticale du "VIH". Cela semble assez flou de savoir si c'était avec un groupe placebo ou non.

Mais là n'est pas le plus important. En effet, je constate que l'article de Celia Farber dans Harper's, en mars dernier, semble avoir - enfin - mis clairement le feu aux poudres aux USA et que les orthodoxes du sida s'énervent, gesticulent et paraissent nourrir de plus en plus de craintes au sujet de la survie de leur théorie.

La preuve en est par exemple cet article, paru au début de ce mois, où l'orthodoxie du sida accuse les repenseurs du sida d'être des "AIDS denialists", avec bien sûr les complaintes habituelles, mais non argumentées ou très peu scientifiquement (ils se basent en fait sur la "science" de la divination pour tenter de réfuter dans cet article les repenseurs [et je n'exagère pas quand j'utilise le terme "divination"]; et faisant flèche de tout bois, par un jeu d'esprit des plus méprisants, l'orthodoxie du sida, visiblement désespérée, va même jusqu'à laisser entendre que les repenseurs du sida nieraient la réalité du génocide rwandais [vraiment du n'importe quoi de leur part]). Et en outre, ils se plaignent de la parution de l'article de Celia Farber, tout en précisant qu'il a été réfuté par Gallo et consorts, mais en omettant "bizarrement" de préciser que cette réfutation a elle-même été contre-réfutée sur les points essentiels par la dissidence du sida (voir la synthèse collective).

Pourquoi un tel déferlement de haine et de fureur à l'encontre des repenseurs ?

Parce que Celia Farber avait rappelé les propos tenus par un membre du Perth Group, étant Valendar F. Turner, qui avait mis en son temps le doigt là où cela fait mal.

Il avait en effet rappelé l'une des conclusions qui figurent dans une étude scientifique datant de 1998 (raison pour laquelle j'en parle dans ce topic-ci) :

Presence of HIV-infection was assessed in 158 children [of HIV-positive mothers]... Overall, 19 children were diagnosed as HIV-infected [12%, even though there was no access to antiretroviral therapy or other interventions] (Ladner J et al. Chorioamnionitis and pregnancy outcome in HIV-infected African women. J Acquir Immune Defic Syndr. 1998 Jul 1; 18(3): 293-8].

En d'autres termes, dans une étude africaine (qui, certes, ne portait pas principalement sur le "VIH"), on avait pu constater que sur 158 femmes enceintes séropositives non "traitées" (par l'AZT ou Névirapine), seuls 19 nouveau-nés étaient séropositifs, soit un pourcentage de 12% seulement.

Evidemment, cela fait très mal pour l'orthodoxie du sida lorsqu'on constate que des études scientifiques ont abouti à la conclusion que 25% des femmes "traitées" avec de l'AZT et 13,1% de celles "traitées" avec de la Névirapine donnaient naissance à des bébés séropositifs. En d'autres termes, il y a de sérieuses raisons de penser qu'une femme enceinte séropositive "traitée" avec de l'AZT a deux fois plus de risque qu'une femme enceinte séropositive non "traitée" de donner naissance à un bébé séropositif, et que l'usage de la Névirapine est aussi efficace qu'un placebo (mais avec les effets secondaires, parfois mortels, en plus).

Bien entendu, quelques jours plus tard, le Perth Group a soumis à la revue "Nature" une réfutation courte mais cinglante ("La divination n'a pas de place dans un débat scientifique"), laquelle fut promptement rejetée par la revue sans motif d'explication (comme cela est presque toujours le cas, et on ne s'en étonnera pas).

On la trouvera toutefois en cliquant sur ce lien, le Perth Group ayant donc dû se résoudre à la publier sur son propre site.

Le présent post n'est qu'un résumé en français de cette petite réfutation en anglais.

Notons pour les personnes intéressées que le Perth Group a publié sur son site une monographie on ne peut plus détaillée de 214 pages sur l'étude de la transmission verticale du "VIH". On la trouvera en cliquant sur ce lien.

Enfin, pour finir sur une note de bonne augure pour les repenseurs du sida, j'ai pu constater dans cette dépêche du 7 juin dernier, que le président sud-africain Mbeki n'a jamais été aussi populaire dans son pays ! En effet, sa cote de popularité s'élève actuellement à 77%, soit une cote presque aussi élevée que la plus haute obtenue en son temps par le président Mandela (79%). Je constate également à la lecture de cette dépêche que sa cote de popularité n'était que de 51% en 2000, soit en pleine année de la fameuse conférence de Durban. Visiblement, les sud-africains ne paraissent pas du tout avoir de remontrances à formuler à l'encontre de leur président quant à sa façon de gérer l'hystérie psychotique du sida dans son pays !

Modifié par wallypat
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Hystérie, malheureusement, orchestrée par le lobby blanc sud-africain... A défaut du pouvoir politique, les anciens "maîtres" s'essayent au "pouvoir médical".

Mais lisez donc l'article de Janine Roberts, où elle relate son voyage en Afrique du Sud.

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Bonsoir,

Je suis allé voir une tante qui est malade à l'hôpital et là j'ai aperçu le rang des femmes enceintes déclarées séropositives qui venaient acheter les ARV.

Imaginez le nombre.

J'ai eu très mal en voyant tout cela. Je me demande combien de temps tout cela va durer.

Il presque impossible de s'opposer à ce système qui en train de se mettre sur pied. S'opposer à cela serait mettre sa vien en jeu. Tous le monde trouve son compte dans cette affaire. Quand vous faites votre test et que vous êtes séropositif, vous êtes très solliciter par les personnels de l'hôpital du jour. Au départ je pensais que c'est pas amour et besoin d'aide qu'ils vous approchent au fait c'est faut. Ils veulent tous simplement vous pomper du fric en invantant des histoires. Pour obtenir une ordonnance, vous devez payer ainsi que les frais des ARV

Le gouvernement est en train d'organiser ici une autre façon de faire la campagne contre le ''VIH'': Des personnes recrutées feront du porte à porte pour suivre de plus près ceux qu'ils appellent ici les personnes vivant avec le ''VIH''. Cette campagne a commencé à Yaoundé et va s'étendre sur les autres villes du pays.

Ils ont constaté d'après les explications d'un des médécins que, le nombre de personnes sous ARV avait diminué et l'opération vise à retrouver ces personnes et de les convaincre du bien fondé des ARV. Pour eux, le fait que ces personnes aient arrêté la prise de ces drogues, il est fort probable qu'ils meurent. C'est avec cet argument qu'ils comptent convaincre ceux qui ont arrêté les prises d'ARV.

Quelle honte.

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Invité napo

Je te comprends, Patrick, lorsqu'on découvre la vérité, on a envie de le crier pour que tout le monde le sache.

Non seulement, ce n'est pas possible mais en plus, ce n'est pas du tout certain que toutes ces femmes que tu as vues t'écouteraient...

Comme je te le disais l'autre jour, vous êtes déjà au moins deux à Douala à savoir et un autre à Yaoundé 4-piout.gif

Bon, ok, ce n'est pas beaucoup mais je suppose qu'il doit y en avoir d'autres. L'information fera son chemin et arrivera aux oreilles de ceux qui sont prêts à entendre. 4-bisou.gif

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Invité féebleue

C'est dommage à dire, mais c'est là qu'on voit que l'industrie pharmaceutique en a vraiment rien à faire de soigner ses ''clients''.....tout ce qui compte c'est de faire le plus d'argent possible au dépend des autres. icon_tresfache.gif

Ca me rappelle le film ''La constance du jardinier''.

Il est grand temps que les gens se réveillent! icon_rolleyes.gif

Bon courage à vous deux Patrick. 1-calin.gif

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Il presque impossible de s'opposer à ce système qui en train de se mettre sur pied.

Patrick, je connais un peu ton pays pour y être allé parfois.

Comme j'en connais d'autres sur ton continent, il m'est possible d'apprécier (à mon modeste niveau) les effets de la "bonne pensée" (car unique) sur la question qui te préoccupe.

J'en avais déjà parlé ici car je trouvais que le Cameroun avait un peu une place particulière dans l'édifice.

Je résume brièvement : un point de convergence de luttes d'influences ... où nos "amis" américains semblent (plus qu'ailleurs encore) avoir pris le pas sur nos "amis" français (qui ne décolèrent pas mais qui proposent la même approche ... donc point de querelles sur les objectifs) ... avec, en sus, quelques électrons (libres en apparence) dont votre ancien ministre de la santé.

Hystérie, malheureusement, orchestrée par le lobby blanc sud-africain... A défaut du pouvoir politique, les anciens "maîtres" s'essayent au "pouvoir médical".

Cheminot, je connais mieux l'AS que le Cameroun ... ton approche est intéressante ... car j'y ai lu souvent, au détour de journaux "blancs" (je ne lis pas les autres), que les courbes de la bébête étaient "en harmonie" avec celle du temps de la fin de l'apartheid ... Il faut dire que les blancs de l'AS qui me rappellent souvent les blancs du Bush australien (d'ailleurs, ce sont à peu près les mêmes) n'ont pas coutume de faire dans la dentelle ... une sorte de bon sens terrien et paysan ... surtout paysan d'ailleurs ...

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(Patrick @ Mercredi 14 Juin 2006 à 17h51)

En bref, je dirai qu'en ce qui concerne ma copine elle ne se plaint plus des multiples maux qu'elle avait et même physiquement elle a une bonne mine contrairement aux semaines passées. La forme physique est meilleure et elle me dit qu'elle sent de plus en plus le bébé bouger.

Patrick, contente de savoir que tout se passe pour le mieux pour vous.

Pour compléter ma liste d'anti-oxydants :

- La superoxyde dismutase (qui revient en boucle sur ce forum) : la papaye

La papaïne stimule d’autre part la production de SOD ou superoxyde dismutase, qui est l’enzyme qui élimine les radicaux hydroxyles et bloque ainsi le processus de formation des radicaux libres dès son début.

Extrait tiré d'un site commercial mais si on cherche sur Google, on devrait trouver d'autres références.

Source naturelle de la papaïne :

La papaïne est présente dans le latex (liquide laiteux) qui se retrouve entre l'écorce et la pulpe de la papaye et, à un moindre degré, dans les feuilles de l'arbre.

La chair de la papaye, qui n'en renferme pas des quantités significatives, ne peut constituer une source alimentaire de cette enzyme.

Portez-vous bien, ta copine, le futur bébé et toi icon_biggrin.gif

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Communiqué ONUSIDA juin 2006 ... ou l'expression du vieux fantasme de mister PIOT toujours en quête de clientèle pour faire tourner son business ...

L'ONUSIDA a qualifié le nombre des nouvelles infections au VIH/Sida au Malawi "d'inacceptablement élevé" et demandé au gouvernement et aux organismes donateurs de "faire quelque chose pour renverser la tendance", a appris mercredi la PANA, de source officielle.

"L'année dernière (2005), le Malawi avait près de 100.000 nouvelles infections au VIH, c'est un chiffre inacceptablement élevé", a déclaré Peter Piot, directeur exécutif de l'ONUSIDA, au cours d'une conférence de presse à Lilongwe, à l'issue d'une mission "d'information" de trois jours dans la capitale malawite.

M. Piot, dont l'organisation finance le programme du gouvernement sur le lancement des médicaments antirétroviraux (ARV), a constaté qu'il est nécessaire pour le Malawi de faire plus pour ralentir les taux de prévalence du VIH/Sida d'autant que dans ce pays, un million sur les douze millions d'habitants sont porteurs du virus du Sida.

Le directeur exécutif de l'ONUSIDA, a toutefois apprécié que le Sida ne soit plus un sujet tabou au Malawi où même au sein de la communauté des Nations unies, les gens avouent ouvertement leur statut sérologique.

"Aujourd'hui, nous inaugurons un groupe baptisé UN-Plus; il rassemble des collègues qui vivent avec le VIH/Sida qui se sont regroupés et ne se cachent pas sur le lieu de travail. C'est un des témoignages du changement de climat au Malawi", a-t-il souligné.

Pour sa part, M. Chakrabarti a reconnu que "beaucoup à été fait mais beaucoup est encore à faire" car, a-t-il dit, il est nécessaire que les autorités intègrent les questions liées au VIH/Sida dans les programmes économiques nationaux.

"Nous ne devons pas considérer le VIH/Sida comme une question à part mais comme une partie intégrante de la croissance économique du pays", a-t-il préconisé.

MM. Piot et Chakrabarti, qui sont arrivés lundi au Malawi, ont rendu visite mardi à une communauté de personnes vivant avec le VIH/Sida dans le district central montagneux de Dedza, et rencontré plus tard le président Binguwa Mutharika à Lilongwe, la capitale.

Quant au directeur exécutif de la Commission nationale de lutte contre le Sida (NAC), Bizwick Mwale, il a souligné que faute de ressources, le Malawi n'est pas en mesure de faire bénéficier à tous ceux qui vivent avec le VIH/Sida d'un traitement ARV car, sur le million de Malawites vivant avec le Sida, seuls 50.000 personnes sont placées sous ARV.

"Ce n'est pas que l'ensemble des porteurs du virus (1 million de personnes) ont besoin de traitement ARV mais en se basant sur les critères de l'Organisation mondiale de la santé, 10 à 15% de ces derniers auront besoin des ARV", a-t-il indiqué.

Depuis la découverte du premier cas de VIH/Sida au Malawi en 1985, l'espérance de vie dans le pays a sensiblement reculé à 36 ans, d'après le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) et au moins 85.000 personnes meurent du Sida chaque année dans le pays.

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  • 2 weeks later...
(wallypat @ Samedi 10 Juin 2006 à 19h58)

2) Quoi qu'il arrive et quoi que puissent dire les médecins, il est absolument nécessaire que ta copine allaite le bébé naturellement. C'est la meilleure façon pour renforcer l'immunité du bébé. Je t'invite à cet égard à lire le début de ce post-ci ainsi que l'article scientifique auquel il est référé.

Et il faut refuser tout autre forme d'allaitement du bébé, par exemple le lait industriel. Lis par exemple cet article-ci (sur ONCT justement).

A ce sujet :

" On peut augmenter la mortalité infantile par l'allaitement au biberon.

Dans le Tiers-Monde, les substituts de lait maternel garantissent qu'une forte proportion des bébés ainsi nourris n'aura pas une ration convenable (produit trop cher) et boira une eau impure à partir de biberons et tétines qui n'auront pas été stérilisés "

Extrait du "roman" Le rapport Lugano,

de Susan George, politologue, Présidente de l'Observatoire de la mondialisation et vice-Présidente de l'association Attac.

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