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Non Nowar ... quand il ne rôde pas autour de la tente de Khadafi, notre ami le Professeur Luc fait aussi sa promo l'hiver ...

Il paraît même qu'il s'est engueulé avec le grand démocrate nomade parce qu'il refusait de faire manger des papayes vertes aux infirmières bulgares ... alors que Luc en avait chargé une cargaison à dos de dromadaires ... entre deux caisses de TNT.

Il soigne quoi avec le TNT?

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Il faut sauver le soldat LUC !

Dans quel pétrin, il s'est mis encore ce bon vieux Luc ! ... Nous irons lui porter des papayes vertes derrière les barreaux ... C'est que ça ne rigole pas les faux témoignages chez le bédouin ... !

Le procès des infirmières bulgares toujours à l'étape des procédures

LIBYE - 20 juin 2006 - PANAPRESS

Le tribunal pénal de Benghazi siégeant à Tripoli en était mardi encore à l'étape de la vérification et des procédures au cours de sa troisième séance depuis la reprise du procès des cinq infirmières bulgares et du médecin palestinien.

Ces cinq praticiens étrangers qui exerçaient à l'hôpital pédiatrique de Benghazi ont été condamnés à la peine capitale en 2004 par la justice libyenne qui les a reconnus coupables d'avoir volontairement inoculé le virus du sida à quelque 400 jeunes enfants.

Dans son verdict du 25 décembre 2005, la cour suprême libyenne a jugé recevable l'appel interjeté par les avocats des condamnés et a décidé de rejuger l'affaire devant le tribunal pénal de première instance de Benghazi.

La première séance après la reprise du jugement avait eu lieu le 11 mai dernier à Tripoli. Elle a été suivie par une autre séance le 13 juin courant et l'affaire en était ce mardi à sa troisième audience.

Le président de la cour, Mahmoud Houeissa, a entamé cette séance en répondant aux doléances formulées lors de la précédente par la défense et relatives aux dommages moraux subis par les accusées au cours de l'instruction.

Le juge leur a demandé de prouver l'existence de tels dommages et de déterminer à quelle étape du processus de l'instruction ces dommages auraient été causés et par quelle partie.

De son côté, la défense a indiqué que faute de temps, elle n'a pu convoquer les douze témoins qu'elle a l'intention de présenter devant la cour et demandé de ne pas prendre en compte le rapport médical élaboré par la commission désignée par le tribunal lors du précédent procès et composée de médecins et experts libyens.

Elle estime que cette commission comporte un vice de forme dû à la présence, en son sein, d'un cadre technique de l'hôpital pédiatrique où furent contaminés les enfants et qui ne peut donc être, selon elle, juge et partie.

Pour sa part, l'avocat des plaignants dit rester attaché aux chefs d'accusation retenus contre les infirmières bulgares et le médecin palestinien. Il a demandé à la cour d'accélérer la procédure afin d'en finir avec cette affaire qui n'a que trop duré, à ses yeux, ce qui constitue un grand préjudice pour les enfants victimes et leurs familles.

Le président de la cour, après avoir écouté les deux parties, a fixé la prochaine séance à dans deux semaines, contrairement à ce qui a été décrété précédemment afin, a-t-il justifié, de donner à toutes les parties le temps de mieux se préparer.

Le président de l'Association pour l'assistance aux enfants victimes du sida, Idriss Lagha, a annoncé à la presse, à l'issue de la séance, son intention et celle des familles des enfants contaminés de porter plainte contre l'expert français Luc Montagnier et son collègue italien Vittorio Colizzi pour faux témoignage.

Ce témoignage est contenu dans leur rapport présenté au procès et qui est fondé, selon M. Lagha, sur de fausses données, de fausses dates de sortie et d'entrée des enfants dans l'établissement sanitaire ainsi que de fausses indications sur l'âge des victimes.

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La Grande ''Bonne'' et ''mauvaise'' nouvelle de cette semaine au Cameroun c'est la loi de notre très cher ministre de la santé qui annonce l'interdiction sur le territoire national des ARV génériques venant de l'Inde. L'abondance de ces médicaments sur le marché était justifié autre fois par son prix qui est bon marché. Pourquoi cette interdiction?

Une fois de plus notre cher ministre comme tout bon membre du gouvernement est accusé de faire le jeu avec les grandes firmes phamarceutiques pour se bourrer les poches au maximum tout ceci avec la bénédiction de notre chère maman Chantou tout ça sous le regard complice de Papa Popol.

Ha notre chère patrie le Cameroun.

Une chose est certaine: même les diamants ne sont pas éternels et la vérité finira par triompher mais au prix de combien de vies?

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Dans toutes les prévisions, le facteur humain restera toujours absolument imprévisible :

" Selon Le Patriote, le taux de prévalence du VIH en Côte dIvoire, pays le plus touché par le sida en Afrique de louest, est passé de 10% à 4,7% en cinq ans.

Ce sont les résultats dune enquête présentée jeudi 22 juin 2006 au conseil des ministres. "

Guerre civile = liquidation du "vih" ?

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Modifié par Liane
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  • 2 weeks later...

Pour ceux qui pensent encore que le "vih" vient du singe.

Autant le singe vert du Cameroun que les autres sortes de singes d'Afrique (réels ou virtuels )

Montagnier (encore lui !), interview du 3 juillet 2006 :

- Le fait qu'on ait trouvé un réservoir naturel du Vih chez les primates du Cameroun, a fait dire à certaines personnes que la maladie viendrait du pays...

- Montagnier :

Il faut être prudent avant d'annoncer ça. Ce d'autant plus que les pygmées du Cameroun qui sont en contact avec les singes ne sont pas infectés. Et même si le virus est dans les primates, ça ne veut pas dire qu'il est forcément à la source. S'il faut voir au niveau de l'épidémie, il faut bien distinguer entre le virus d'origine et le virus d'épidémie. L'épidémie n'a pas commencé au Cameroun, et elle n'a pas commencé non plus avec les colonisateurs des Camerounais, ni les Allemands, ni les Français, ni les Anglais. Si le Sida était déjà là en 1920-1930, il se serait déjà diffusé en Europe. Ça n'a pas été le cas.

allAfrica.com

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  • 3 months later...

Le CREBA (centre de recherche bio-moléculaire Annigoni), Ouagadougou, Burkina Faso :

Lutte contre le SIDA : Le président du Faso inaugure le CREBA

...

Le Pr Luc Montagner , co-découvreur du virus du Sida, a fait un speech dans lequel il a situé les enjeux de la recherche et la nécessité dinvestiguer dautres pistes, notamment la combinaison dantioxydants, entre autres, dans les traitements.

Il a marqué sa disponibilité à accompagner le nouveau centre.

lefaso.net

Article du 16 octobre 2006

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Montagnier dans cette interview:

Pour un vaccin, il faudra encore attendre. Il y a plusieurs candidats, mais ces vaccins ne marcheront pas, à mon avis, parce quils vont dans la stratégie du virus. Pour éradiquer la maladie, il faudrait un stimulant du système immunitaire pour lui permettre de réagir.

Réagir à quoi? et quand? au VIH ou aux infections opportunistes?

Si c'est au VIH, la réaction est toujours là si l'on crois aux anti-corps. Ou alors peut être on parle ici d'un stimulant qui tuera complètement la VIH au moment de l'infection et fera disparaitre et le virus et les anti-corps icon_smile.gif.

Si c'est réagir aux autres infections cela veut, peut être, dire que Montagnier crois qu'un système immunitaire affaibli (par le VIH) pourrait être rétabli même en présence du VIH. Là c'est plutôt une très bonne nouvelle! Parcontre il y à la-dedeans comme une odeur de dissidance. non?

Enfin, pourquoi les vaccins qui vont dans le sens du virus ne marcheront pas?

A mon avis il y a trois options:

1- Le virus n'existe pas et donc il faut plutôt s'occuper de rétablir le système immunitaire que d'attaquer un virus inexistant (Point de vue du Perth Group)

2- Le virus existe mais incapable d'affaiblir le système immunitaire auquel cas

il faut s'occuper de rétablir le système immunitaire (Point de vue de Duesberg).

3- Le virus est tellement malin qu'aucun vaccin ne pourrait l'anéantir, et donc il faut plutôt s'occuper de rétablir le système immunitaire. (Cette option suppose que le système immunitaire pourrait guérir même en présence du VIH, donc quelque part l'hypothèse virale monolithique n'est plus valide)

Peut être il ya d'autres options, mais sur ces trois on est plutôt dans la dissidance.

Ciao

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Pour un dissident, il serait intéressant de savoir si Montagnier l'a eu, son brevet sur les test "vih" :

1983 :

Septembre; le Pr. Montagnier dépose une demande brevet pour un test du dépistage du SIDA.

http://www.hiv-sida.com/historique2.shtml (orthodoxe)

La face du monde actuel tient peut-être "bêtement" dans cette histoire de brevets et de royalties.

S'il n'y avait pas de brevets sur tout ce qui touche le "vih" et le sida, aurions-nous le monde d'aujourd'hui ?

On pourrait répondre : "pas de brevets, pas de recherches !"

Mais quand on voit le résultat 25 ans après, il n'y a que de l'opacité plus que brumeuse (on y parle de virus sauvages et d'élevage, comme pour les saumons).

1-red_eyes.gif

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5-tss.gif Pardonne moi Liane mais pourrais tu ( ou quelqu'un d'autre) m'éclairer dans l'élevage du saumon lol. Sans blague, j'ai lu ton lien et je n'y comprends rien dans cette histoire de virus sauvage...

merci beaucoup

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5-tss.gif  Pardonne moi Liane mais pourrais tu ( ou quelqu'un d'autre) m'éclairer dans l'élevage du saumon lol. Sans blague, j'ai lu ton lien et je n'y comprends rien dans cette histoire de virus sauvage...

Moi non plus. D'ailleurs j'aimerai bien qu'un biologiste ou autre me dise s'il existe aussi des virus "sauvages" pour les autres maladies à virus.

J'imagine qu'un virus ou une bactérie "sauvage" vient d'une souche non résistante aux traitements, antibios, etc...

A contrario, "le virus d'élevage" serait résistant.

Logiquement, quand un virus/bactérie est devenu résistant/e, il/elle ne redevient plus "sauvage". D'où la difficulté à l'éradiquer et le problème des antibios.

Apparement, selon l'article plus haut, le "vih" a la faculté de se reconvertir de résistant (d'élevage) en "sauvage".

Une première chez les virus ?

Pour revenir au saumon ou autre poisson, quand tu en achètes, choisis le sauvage (de la mer). Celui d'élevage est nourri de m... (sauf s'il est garanti bio). Laisse tomber cette histoire de saumon, rien à voir avec la choucroute !

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Lol, amusant cette histoire du terme sauvage !

Un pathogène que l'on dit "sauvage" ç acorrespond à la souche que l'on isolé dans la nature, que ce soit chez les animaux, l'homme ou autres en l'absence de toute reculture, voire traitement etc...Bref c'est ce qui ets présent naturellement ou non dans la nature. Ensuite le pathogène peut se modifier génétiquement en fonction de comment on le cultive, si on applique des traitements ou qu'il se propage etc....Le fait qu'il soit résistant à tel ou tel traitement c'est différent et une souche sauvage peut très bien être directement résistante à certains traitement et inversement.

Un pathogène résistant peut redevenir non résistant si par exemple le traitement est arrêté car la modification génétique pour résister à ce traitement peut s'accompagner d'une perte de compétence pour par exemple se multiplier ou autre donc par la suite la pathogène peut revenir à une forme génétique plus adapté au milieu sans traitement.

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icon_confus.gif Ce qui revient à dire ...

Pardonnez moi mais je ne suis ni chimiste, biologiste et je ne possède aucune formation utile dans ces domaines.

J'essais seulement de comprendre dans quel genre de monde on vit et ce que je peux en déduire n'est pas très brillant 5-tss.gif

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Un pathogène résistant peut redevenir non résistant si par exemple le traitement est arrêté...

Nico, merci pour ton intervention.

Tu as des exemples de pathogène résistant qui devient non-résistant après arrêt du traitement (hormis le "vih") ?

Dans le cas de la tuberculose, ce sont bien les résistances qui font que la maladie est de plus en plus difficile à soigner avec les traitements conventionnels. Après arrêt du traitement, le pathogène (sauvage ou pas) ne perd pas sa résistance, au contraire. C'est ce qui se dit "officiellement". Pour le paludisme, pareil.

Comment fait-on pour éradiquer un pathogène qui résiste sous traitement, et comment sait-on qu'il n'est plus résistant après arrêt du traitement dès lors que sous traitement, il redevient résistant ?

On ne le touche pas et on laisse faire la nature et son travail de protection ?

Ca expliquerait pourquoi, pour certains virus, on ne recommande que du repos et une alimentation saine en attendant que ça passe. reflechi.gif

Pour aller à l'extrême, je me dis que si les pathogènes s'amusent à "muter" comme cela à tout va :

- ils pourraient se transformer en "autre chose" que celui d'origine (le sauvage ou le vrai d'appellation contôlée),

- les anticorps de la souche d'origine ne peuvent alors plus protéger contre le même pathogène "muté" (d'imitation),

- un pathogène "muté" créerait pourtant la même maladie que celui d'origine mais sa mutation trompe le système immunitaire,

- ça explique pourquoi la couverture des vaccins n'est pas assurée à 100% (y a qu'à voir le nouveau vaccin contre le papillomavirus vendu la peau des fesses),

- depuis la nuit des temps que les virus se propagent d'individu à individu, et passent de mutations en mutations, il ne devrait plus exister un seul virus d'origine (le vrai, le premier de son histoire),

- tous les virus répertoriés qui se balladent en ce moment sont donc complètement incontrôlables. Et ce qu'on croit savoir sur eux maintenant sera caduc demain,

- à partir de là, c'est le bordel tant au niveau traitements qu'au niveau vaccins car il y a toujours un train de retard sur le "nouveau" virus muté. Lequel virus a d'ailleurs muté sous l'action des vaccins (cultures) et des traitements.

Dès lors, ça vaudrait sûrement la peine d'étudier d'autres approches :

- parce que certains virus (comme ceux de l'hépatite B et C) ne font pas de résistance aux antioxydants,

- parce que le corps se protège bien contre d'autres pathogènes (comme pour la tuberculose) s'il n'y a pas de carence alimentaire spécifique,

- pour ne pas intoxiquer inutilement (la plupart des traitements ayant des effets sur le foie) les patients avec des molécules chimiques qui ne combattent qu'une partie du pathogène (ou pas du tout), l'autre partie ayant déjà muté ou ayant créé un nouveau pathogène... et ainsi de suite,

- pour stopper cette course infernale en roue libre justifiée par un mode de pensée dictatorial.

Ce concept de virus "sauvage" et "d'élevage" me fait vraiment penser à de la pub pour l'alimentaire.

Tout étant marketing, à quand un/e virus/bactérie "bio" (une sorte de prédateur naturel mais innofensif pour l'hôte) et qui assure 100% de couverture/guérison ?

Ca se fait déjà avec les plantes et ça marche (des coccinnelles contre les pucerons, etc...)

Utopie ?

Je ne prétends pas apporter des solutions sur un plateau en argent, mais il me semble que le cheval a pris le mors aux dents avec cette histoire de virus.

Vu la situation, les recherches sur les méthodes alternatives contre les maladies seraient à encourager vigoureusement, et cela d'autant plus que nos "savants fous" et leurs "sponsors" ne sont eux-mêmes pas à l'abri des embûches de la voie qu'ils ont choisie.

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Pour ma part je suis de plus en plus sceptique sur la capacité des virus de muter lors de la réplication, sous la "pression" de l'environnement. Tout ceci me semble une belle théorie montée de toutes pièces par des gens incapables de comprendre la chimie. Qu'il y ait une pression "aléatoire" me semble encore plus bidon, car l'environnement de chaque base de l'ADN ou de l'ARN est évidemment anisotrope, et chaque réaction chimique ne peut être que "régiosélective" : toutes les entités actives (anions, carbocations,...) n'ont pas la même cible et celle-ci dépendra hautement de l'environnement de la molécule : la proximité d'une thymidine modifiera certainement la vitesse d'une réaction semblable, avec une adénine à proximité.

Non, c'est plus probablement l'attaque directe de ces entités réactives qui va provoquer la perturbation de l'ADN et donc la mutation lors de la réplication. Ce ne peut être le virus qui provoque cela de lui-même, vu qu'il ne dispose pas des enzymes nécessaires (enzymes de restriction, kinases,...).

En fait, la résistance arrive lorsque l'hôte (la cellule) est suffisamment dégradée par le médicament pour devoir être détruite, et ce par des ADN (virus), qui sont plutôt des fossoyeurs qu'autre chose.

Modifié par Cheminot
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En fait, la résistance arrive lorsque l'hôte (la cellule) est suffisamment dégradée par le médicament pour devoir être détruite, et ce  par des ADN (virus), qui sont plutôt des fossoyeurs qu'autre chose.

Et voilà le beau résultat après une campagne de vaccination contre le H5N1 sur des volailles en Asie :

Identification d'une nouvelle souche résistante du H5N1

HONG KONG (AFP) - Des chercheurs ont identifié une nouvelle souche particulièrement résistante du virus H5N1 de la grippe aviaire ravivant les craintes d'un risque de pandémie, selon une étude américano-hongkongaise publiée mardi.

D'après les scientifiques, cette souche dite "du Fujian" (du nom de la province éponyme du sud de la Chine où elle a été isolée) a évolué en développant une résistance lors des campagnes de vaccinations lancées pour protéger les volailles.

"La propagation du virus hautement pathogène de la grippe aviaire parmi les volailles en Eurasie accompagnée d'une hausse des infections humaines en 2006, suggère que le virus n'a pas été contenu avec efficacité et que la menace d'une pandémie demeure", indique l'étude publiée dans la revue américaine "Proceedings of the National Academy of Sciences".

"Les études suggèrent que le taux de séroconversion (apparition dans le sang des anticorps en réponse à un agent infectieux dans l'organisme ou après une vaccination) observée parmi les volailles est faible et que la vaccination a pu faciliter l'émergence de la souche du Fujian", ajoutent les chercheurs.

Selon leur étude, la souche est apparue à la fin 2005 et s'est propagée en Chine, à Hong Kong, en Thaïlande, au Laos et en Malaisie.

"La prédominance de ce virus sur une large zone géographique en un court laps de temps constitue un défi aux mesures de contrôle en place", mettent-ils en garde.

L'étude a été co-écrite par Jong Guan Yi, chercheur attaché à l'Université de Hong Kong spécialiste de la grippe aviaire.

Yahoo Actualités (31 oct. 2006)

Bravo, on fait quoi maintenant ? Provoquer un résulat pareil, c'est "normal" ou irresponsable ?

Modifié par Liane
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Et le pire :

"La prédominance de ce virus de Fujian semble responsable de l'augmentation de H5N1 dans les élevages depuis octobre 2005 et des récents cas humains en Chine", disent-ils dans un article publié par les Actes de l'Académie nationale des Sciences (www.pnas.org).
Yahoo Actualités (30 oct. 2006)

Alors là, BRAVO !

Non seulement la planète est un immense labo en "live" mais ces "savants" prétendent trouver un jour un vaccin contre le "vih" qui n'a jamais été isolé.

Au fait, au point où on en est, ce H5N1 a été correctement isolé ou bien on a pris les mêmes "ingrédients" et on recommence à courir après un virus qui n'arrête pas de muter plus vite que son ombre ?

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De toute façon, quand on voit comment sont faits les tests d'ADN, on appréhende d'un regard nouveau cette histoire de mutations. Comme je l'ai écrit ici, apparemment, on ne voit pas grand chose sur une bande d'ADN. Il faut pousser fortement le contraste avec l'ordinateur pour identifier les bandes. Et là, problème, il y a en fait plein de bandes. Beaucoup plus que ce qui est montré à la fin. Et c'est le technicien qui élimine, repositionne et redimensionne les bandes au gré de son inspiration. Bref, ces tests d'ADN sont complètement bidons.

Donc, on peut penser que les soi-disantes mutations sont liées à ce qu'affirment les chercheurs et donc, à ce que le technicien capte en amont de son travail. Si on lui dit que le virus mute très peu, il va traficoter le résultat pour le faire correspondre à ce qu'on attend de lui (et qui là, est assez stricte). Et si on lui dit que le virus mute beaucoup, il va toujours suivre le sens du vent, mais comme là il n'a pas de contrainte de résultat, il va être beaucoup plus libre de trouver n'importe quoi. Donc, le résultat va varier.

Donc, je pense que ce ne sont pas les résultats des tests qui donne le là, mais la théorie qui donne le là pour les tests.

Et la théorie s'établit en fonction des besoins. Si, comme pour le SIDA, il faut faire peur aux gens, il vaut mieux dire que le virus mute. Idem, si les médicaments donnés au patient ne marchent pas (parce que ce sont eux qui tuent le patient en réalité), accuser les mutations rapides du virus permet de reporter la responsabilité de la mort sur le virus.

La mode doit aussi intervenir. Il faut se souvenir que les années 80 étaient une période de délire sur les soi-disantes mutations des virus. C'est sur que sur les virus trouvés il y a lontemps, et pour lesquels on a un vaccin par exemple, ou un traitement supposé efficace, et qui ne sont pas des virus tueurs, c'est difficile de balancer une histoire de mutation super rapide. On peut appliquer, par contre, aux virus qui reviennent régulièrement, comme la grippe.

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Ouch ! Je vais essayer de répondre un peu à ces questions à la lumière de ce que j'ai fait ou lu.

Donc, on peut penser que les soi-disantes mutations sont liées à ce qu'affirment les chercheurs et donc, à ce que le technicien capte en amont de son travail. Si on lui dit que le virus mute très peu, il va traficoter le résultat pour le faire correspondre à ce qu'on attend de lui (et qui là, est assez stricte). Et si on lui dit que le virus mute beaucoup, il va toujours suivre le sens du vent, mais comme là il n'a pas de contrainte de résultat, il va être beaucoup plus libre de trouver n'importe quoi. Donc, le résultat va varier.

Bon je ne vais pas m'attarder sur ça, vous savez surement pourquoi. Le séquençage n'a rien à voir avec cette analyse de RFLP par bandes ou autres. Avec le sequençage, on obtient une suite bases listées, c'est du concret et si on a A, c'est pas T etc.... Il est facile de dire qu'une technique ne vaut rien si ceux qui l'utilisent le font mal ou la truande !

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