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forum sidasante

Que penser de cela ?


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Pour la toux, je ne sais pas. C'est peut-être les antibiotiques qui l'ont causé. Faudrait voir si ça s'est déclenché avant la prise des antibiotiques ou après.

Au fait, c'était quoi son régime ?

Régime amaigrissant (ben vouiii, c'est le printemps) auto-géré : hypocalorique, du genre " comment perdre 3 kilos en 3 semaines " La toux, c'était avant les antibios. Ca persiste avec les antibios.

Merci pour tes explications. J'y perds un peu mon latin mais, pour revenir au sujet du topic, je suis persuadée que tout séropo MERITE, comme tout le monde, un diagnostic fait dans les règles de l'art.

Sinon, c'est de la ségrégation.

A +

Modifié par Liane
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Régime amaigrissant (ben vouiii, c'est le printemps) auto-géré : hypocalorique, du genre " comment perdre 3 kilos en 3 semaines " La toux, c'était avant les antibios. Ca persiste avec les antibios.

C'était un truc du genre régime protéiné (les pots de poudre avec divers gouts) ?

Modifié par aixur
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voilà,voilà, Pierrot le retour...d'abords, je n'ai pris aucun médicament depuis 1995, antibio pour une pneumonie, donc ce n'est pas un truc que j'ai pris qui a provoqué la pneumo.

Je ne toussais que le soir et la fièvre montait toute la nuit pour arriver parfois à 40 le matin, beaucoup de transpiration, et en plus plus d'appétit.,essoufflement qui s'aggravait à l'effort.

Je ne pense pas que çA serait passé comme ça, mon cas s'aggravait, je n'avais plus d'énergie.

la radio des poumons était comme Medmen a dit, opaque, infiltrat, etc.

le diagnostic a été fait avec un lavage bronchique(bronchoscopie), on a fait aussi plusieurs hémocultures différentes.Ce qui a donné, seulement, la pneumocystose carinii.pour le lavage bronchique

un mois de fièvre comme ça, perte de l'appétit, amigrissement, c'est pas de l'effet nocebo.ça me plairait d'y croire, mais non.

Dès que j'ai commencé le traitement, plus de fièvre et j'oxygénais normalement, parcequ'au début j'avais l'assistance respiratoire, mes poumon ne ventilaient plus comme il faut.

en tout cas pour le moment, je prends ce qu'on me dit de prendre, puisque je m'améliore, on verra pour la suite.

voilà pour les précisions.

je suis sorti de l'hopital hier, vendredi, c'est long une semaine, mais j'en sors vivant, parceque certains qui sont rentré en même temps que moi étaient toujours au soins intensif, sous assistance respiratoire.

je m'en sors bien et je n'ai pas l'intention d'abandonner, la vie est belle, il va juste falloir pas mal me reposer et me poser des limites raisonnables.

merci vous intéresser à mon cas,à bientôt

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je ne fume plus depuis environ 10 ans et plus d'alcool depuis 3 ans, et je répète, pas de médic depuis 95.

et tu vas pas me dire qu'une cure de temps en temps d'une vitamine au autre comme le chlorure de magnésium ou huile de foie de flétan m'aurait fait du mal à ce point, il faut chercher ailleurs.

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bon ben salut à tous, je trouve pas mon cas si intéressant pour ouvrir un topic sur ma personne mais le titre tombe bien.

Vous savez qui je suis et que je n'adhérais pas aux théories officielles, jusqu'à vendredi, après un mois de fièvre qui venait sutout le soir et s'en allait dans la journée, je suis hospitalisé pour une pneumocystose, j'ai droit à 8 fois Bactrim forte pendant 21 jours et si je remonte pas mon immunité, je risque d'autres maladies opportunistes grave.

je veux vivre, j'ai commencé la tri avec la certitude que ça me fera du bien et remontera mes t4, qui sont à 10 pour rappel.

je suis désolé de tomber malade, mais c'est pas faute d'avoir tout essayé.

je vous souhaite bonne chance à tous

Pierrot

LE CAS DE PIERROT : ESSAI DE SYNTHESE

Avertissement

Pour ceux qui en douteraient encore, ce qui est arrivé à Pierrot n'a évidemment strictement rien à voir avec le "VIH".

Tout s'explique par le stress oxydatif, encore une fois.

1)Rappel des faits

Pierrot a été politoxicomane (désolé de la rappeler, mais c'est absolument indispensable pour comprendre ce qui s'est passé) pendant plusieurs années. Le stress oxydatif engendré par cette politoxicomanie a naturellement rendu le test dit "HIV" positif.

Heureusement pour lui et peut-être sans le savoir au départ, il a suivi les conseils de la dissidence du sida : arrêt définitif de la toxicomanie, reprise d'une vie saine, pas de médicaments quelconques pendant plusieurs années, il ne fume plus depuis 10 ans, plus d'alcool depuis 3 ans, beaucoup de sport, etc...

Un style de vie qu'il a donc mené pendant plusieurs longues années, sans souffrir de quelconques graves maladies.

Et il a très bien fait. Rappelons en effet qu'il est bien connu que les survivants à long terme (appelons les plutôt : "résistants" à long terme) ont pour caractéristique commune d'avoir arrêté les pratiques sources de fort stress oxydatif (telles que justement la toxicomanie), n'ont jamais pris d'AZT, de drogues dites "antivirales" et d'autres antibiotiques. C'est bien là le point commun de presque tous les "survivants" à long terme vivant très bien. Et quand ils sont forcés de prendre des antibiotiques, c'est uniquement en cas de réelle nécessité (comme c'est justement le cas à l'heure actuelle de Pierrot) et uniquement le temps de surmonter un grave problème de santé. On ne connaît pas de "survivants" à long terme et en bonne santé (et j'entends par là : ne souffrant pas d'effets secondaires liés à la prise de médicaments quelconques, tels que justement les drogues dites "antivirales") parmi ceux qui prennent les drogues dites "antivirales". Certes, il y en a beaucoup parmi ceux qui prennent les tri"thérapies", mais ce n'est évidemment pas sans effets secondaires. Et ne venez pas me dire que cela est dû à je ne sais quelque modification de je ne sais quel gène. Chaque fois que des "explications" pareilles ont été avancées par l'orthodoxie du sida, quelques années plus tard, différentes études ont clairement démontré qu'il n'en était rien et qu'on ne trouvait pas ces modifications génétiques chez la plupart des "survivants" à long terme.

Après ces longues années sans problème de santé, assez "subitement", en quelques semaines, il développe ce que l'orthodoxie du sida appelle une "pneumocystose". Quoique ce soit, c'est assurément très grave et Pierrot est hospitalisé, mis sous bactrim et sous trithérapie. Il se sent mieux et c'est normal.

Mais est-il vraiment nécessaire qu'il continue encore après son complet rétablissement ? Là, j'en doute. Il existe d'autres moyens de remédier à la situation, plus naturels et bien moins chers. Ce n'est que si cela répète encore assez fréquemment (à apprécier au cas par cas, mais j'admets que déjà la première fois, c'est déjà une fois de trop; ce n'est toutefois pas une raison à mon sens de se précipiter sur les drogues dites "antivirales", on peut obtenir les mêmes résultats par d'autres moyens) que le recours aux drogues dites "antivirales" doit vraiment sérieusement être envisagé.

2)Tout d'abord, comment expliquer ce qui est arrivé à Pierrot ?

Encore une fois, le stress oxydatif.

Mais avant d'y venir, rappelons, comme l'ont souligné antérieurement Terry et Aixur, qu'il n'est pas sûr que Pierrot ait réellement eu une pneumocystose. Lisez les posts qui précèdent.

Indépendamment de cela, la nature même de la pneumocystose reste plutôt inconnue. J'invite en effet le lecteur intéressé à lire l'article suivant (en anglais) : ACQUIRED IATROGENIC DEATH SYNDROME (AIDS) : Pneumonias & Lung Diseases.

L'orthodoxie du sida n'est en effet pas à une contradiction près :

les acides gras oméga 3 (huile de poisson, 3 cuillères à soupe par jour), qui peuvent être utilisés pour traiter les infections opportunistes (mycoses, pneumocystis carinii et dautres) ; dans les cas difficiles, les gammaglobulines, les inhibiteurs sélectifs de la cyclo-oxygénase-2 et la difluorométhylornithine (inhibiteur de polyamine) peuvent être administrés. On peut aussi soutenir lactivité des cellules tueuses et des neutrophiles par ladministration de glutamine (40gr par jour) et de L-arginine (20-30gr par jour)

Concernant les acides gras oméga 3, je présume que c'est surtout en cas de début de pneumocystose.

Mais indépendamment de cela, mais il faudrait une confirmation d'un aromathérapeute, je me demande si des huiles essentielles, bien utilisées, ne permettraient pas de guérir une pneumocystose, étant entendu que dans un tel cas, le recours à un aromathérapeute est absolument indispensable. On sait en effet que bon nombre d'huiles essentielles ont des effets antibiotiques et bactéricides bien supérieurs à ceux de bon nombre d'antibiotiques, et cela a pu être scientifiquement prouvé et vérifié par l'aromatogramme, dont la technique est identique à celle utilisée pour mesurer l'activité bactéricide des antibiotiques.

Dès lors, je pose la question : des huiles essentielles ne peuvent-elles pas guérir une pneumocystose, du moins tant qu'on n'est pas arrivé au stade où l'on a besoin d'un appareil respiratoire ?

Par exemple : les huiles essentielles ravensare, Eucalyptus globulus, sarriette des montagnes, etc... Je n'en sais rien, mais je crois qu'il serait utile de le vérifier et d'avoir l'avis d'un aromathérapeute.

En tout cas, sur le net, j'ai trouvé un traitement proposé en aromathérapie pour soigner une pneumonie atypique, ce qui ne me semble pas moins dangereux qu'une pneumocystose.

Certes, l'aromathérapeute en question dit que cela doit être utilisé comme adjuvant à un traitement allopathique. Mais je pense qu'il dit cela pour couvrir sa responsabilité car d'un autre côté, il dit à la fin que quand sa solution est utilisée comme adjuvant, les doses doivent être adaptées. Cela ne signifie-t-il pas en réalité que les huiles essentielles pourraient guérir une pneumonie (atypique, dans le cas en question) à elles seules, sauf que la quantité à utiliser devrait être plus élevée ?

Ailleurs, j'ai trouvé d'autres huiles essentielles de nature à soigner des pneumonies, telles que l'origan à inflorescences compactes (attention : je crois qu'il faut d'abord s'inscrire sur ce site pour lire la fiche en question).

Bref, l'aromathérapie, à fortes doses, pourrait peut-être soigner une pneumocystose pas encore arrivé à un stade trop gravissime. Il faudrait creuser la question, me semble-t-il.

4) Et pour l'avenir maintenant?

Effectivement, il ne fait aucun doute que les drogues dites "antivirales" vont très certainement améliorer la situation de Pierrot. Certaines de celles-ci vont agir comme antibiotiques à large spectre et supprimer les germes susceptibles de causer des infections, tels que la pneumocystose, et d'autres, comme la lamivudine, vont faire remonter, un peu artificiellement, le taux de glutathion et accessoirement ces T4.

Mais est-ce la seule solution ?

Je ne le crois pas. Certes, je les prendrais encore quelques semaines, le temps d'être complètement d'aplomb, sans avoir trop à souffrir des effets secondaires à moyen ou long terme, mais je profiterais surtout de ce laps de temps pour faire un bilan nutritionnel très détaillé chez un médecin nutritionniste et qui porterait entre autres sur :

- le stress oxydatif bien sûr, dont le glutathion peroxydase et le sélénium(attention : les trithérapies pourraient déjà avoir amélioré la situation), mais d'autres éléments également,

- le bilan antiradicalaire,

- le profil protéique,

- le statut des acides gras (peu d'oméga 3 par exemple favorisera également le sida),

- etc...

Un médecin nutritionniste saura bien mieux que moi.

En fonction de ce futur bilan, je proposerais qu'il corrige les carences constatées par la voie de compléments adaptés, et ensuite par une alimentation adaptée. Car il faut le rappeler, le sida est causé par le stress oxydatif. Ce stress oxydatif cause, entre autres, une chute de la concentration en glutathion, et ensuite par exemple la pneumocystose.

Pour y remédier, on peut très bien y arriver avec des compléments alimentaires adaptés, qui permettront généralement d'arriver aux mêmes résultats ..... mais de façon moins chère et sans les effets secondaires des drogues dites "antivirales". Ce n'est que si on n'arrive pas à corriger cela (ce qui peut arriver) ou que si malgré tout, des épisodes de sida se reproduisent à nouveau et de plus en plus graves, que le recours aux drogues dites "antivirales" peut s'avérer réellement nécessaire.

On rappellera enfin que Pierrot n'a visiblement JAMAIS fait de bilan nutritionnel (et donc par exemple jamais contrôlé sa concentration en glutathion et sélénium), ce qui est en principe assez justifié car ce qui lui est arrivé, quoique tout à fait justifiable par la théorie du stress oxydatif, reste rare. Mais s'il l'avait fait, il aurait certainement pu constater les carences nutritionnelles dont il souffrait (et souffre encore certainement ce jour), y remédier et éviter, très vraisemblablement, ce malheureux épisode de la pneumocystose.

En d'autres termes, et sauf exceptions, le recours aux drogues dites "antivirales" ne me semble pas forcément nécessaire, même à moyen terme, et encore moins à long terme.

A Pierrot d'en décider bien sûr. Et d'ailleurs, je reconnais que j'ai le "bon" rôle, n'étant pas le coup pyschologique de ce qui lui est arrivé.

Mais même s'il doute, il pourrait déjà commencer à faire un tel bilan nutritionnel détaillé. Cela ne coûtera presque rien et c'est de toute façon la première étape à faire.

PS : Ayant passé beaucoup de temps à l'analyse de ce qui est arrivé à Pierrot, le lecteur m'excusera si je n'ai pas eu le temps d'avancer dans le nouveau projet de sommaire. Mais j'espère bien le terminer dans les prochaines semaines. Et le plus gros, à savoir la démolition des "arguments" de l'orthodoxie du sida et l'exposé des arguments de la dissidence du sida, y figure déjà. Le lecteur pourra le retrouver en cliquant ici.

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Je ne sais pas si c'est le bon endroit, et désolée si ça a déjà été mentionné :

- Le chardon-marie accroit de accroît de 35 % le contenu en glutathion du foie.

Cette plante est surtout utilisée pour les cas de troubles du foie (alcoolisme, hépatites...). Quand le serpent se mord la queue.

- La noix du Brésil : très riche en sélénium, une seule noix fournit l'apport quotidien recommandé. C'est aussi une importante source de vitamine E, anti-oxydante.

Wallypat, merci pour tout le temps que tu consacres sur ce forum.

icon_biggrin.gif Pierrot, contente que tu ailles mieux. Prends soin de toi et remets-toi bien.

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j ai demandé à mon médecin une mesure de mon taux de gluthathion et sélenium, il m'a répondu que l'on ne savait pas interpréter les résultats .... donc tout cela est bien compliqué ,  "il faudrait voir un médecin nutrinioniste...." oui mais lequel???  et lui redonner une nouvelle fois toute l'histoire , cela est un parcours fastidieux.....

Oui, effectivement, ce n'est pas un médecin généraliste ni un "expert" VIH qui fera des analyses approfondies de ce genre, et encore moins qui pourra les interpréter.

Il faut plutôt aller chez un médecin nutritionniste, et s'il est bon, il ne se contentera pas de la mesure du glutathion et du sélénium mais fera un bilan global car beaucoup d'éléments sont liés : stress oxydatif bien sûr, mais aussi le profil protéique, le bilan nutritionnel et antiradicalaire, le statut des acides gras.

Celui que j'ai "trouvé" est "tellement" zélé qu'il a aussi analysé, sans mon accord, le typage lymphocytaire. Quand je l'ai su, je lui ai dit qu'il peut analyser tout ce qu'il veut, sauf justement mes lymphocytes, faute de quoi je change à nouveau de médecin. Il m'a fait de grands yeux, et il a semblé ne rien comprendre à l'effet nocebo lié à l'annonce de la baisse (apparente) des lymphocytes T4.

Bien qu'il croit comme presque tout le monde au mythe du rétrovirus tueur, je continue quand même aller chez lui (à moins qu'il analyse à nouveau derrière mon dos mes T4) car il me semble très calé sur le sujet.

Pour ce qui me concerne, finalement, ce qui était le moins mauvais chez moi, c'est le bilan de mon stress oxydatif ainsi que mon bilan antiradicalaire (finalement, les points les plus importants en matière de sida). Malgré les assez fortes doses de N-Acétyl cystéine que je prends (+/-1800mg par jour), mon taux de glutathion est juste en bas de la fourchette "normale". En revanche, j'ai beaucoup trop de sélénium. Je dois diminuer. Il faut dire que j'en prenais 300mg par jour depuis 5 ans (avant même que je découvre la dissidence du sida). Bref, pas de déficit dans n'importe quelle forme de glutathion et trop de sélénium. Quant aux autres postes du stress oxydatif, c'est bon aussi. Le bilan n'est donc pas mauvais et comparé à bon nombre de séronégatifs, c'est même assez bon.

En revanche, j'ai une forte carence en fer et en vitamines D. Je vais devoir prendre des compléments pour y remédier pour le moment.

Trop de protéines également. Cela résulte manifestement des nombreux compléments alimentaires que je prenais quand je faisais beaucoup de musculation, et certainement des fortes doses de spiruline que je prenais chaque jour.

Mais ce qui est vraiment assez grave, ce sont mes oméga 3 qui sont bien en-dessous de la "norme". Et si cela continue, cela causera des dommages aux mitochondries, avec risque de sida. Je dois donc y remédier : manger plus de poissons, et entre-temps, je dois consommer beaucoup d'huile de poisson : huile de cameline et de capelan.

Tout cela pour dire qu'un médecin "HIV" ne fera pas ce genre d'analyse, il ne s'intéresse qu'aux T4 et à la charge dite "virale". Et bien sûr, en cas de survenance d'un sida déclaré, il dira que c'est le "virus" alors que les carences nutritionnelles entre autres provoquées par le stress oxydatif permettent de l'expliquer !

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tant que je serai en mesure de courir 11km, pendant une demi-heure, trois fois par semaine, 

Oops ! Je ne suis quand même pas Steve Austin, l'homme qui valait trois milliards ! 4-ptdrasrpt.gif

En fait, c'est 5,5km en une demi-heure, donc, à une vitesse de 11km/heure.

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Bonjour,

Je minterroge sur certains points de la théorie du stress oxydant suite aux réponses données à Pierrot. Il me semble y avoir quelques points « discordants » ou manque de connaissance de ma part.

Je résume brièvement lessentielle des deux théories.

Théorie du « Virus »

Un virus, nommé HIV pour ses effets supposés sur limmunité, provoquerait à terme un effondrement du système immunitaire. Cet effondrement engendre à son tour un ensemble daffections définies. La présence du virus est établie à laide de test sérologique qui détermine la présence danticorps (protéine) spécifiquement rattaché au virus. Plusieurs types de traitement sont utilisés contre la réplication du virus à différent endroit du mécanisme infectieux.

Théorie du « Stress Oxydant »

Laction de substances toxiques sur les cellules, par un mécanisme nommé « stress oxydant », provoquerait à terme un effondrement du système immunitaire. Cet effondrement engendre à son tour un ensemble daffections définies. La présence de leffet du « stress oxydant » repose sur les mêmes tests qui établissent la séropositivité dans la théorie virale. Le traitement est définit par la suppression des substances dont laction est oxydante et par la prise de substances anti-oxydantes.

La théorie virale est remise en question par la dissidence sur plusieurs points théoriques et techniques. La question qui me vient porte sur la valeur du statut de séropositif dans le contexte de la théorie du stress oxydant.

Ce qui semble faire la différence chez Pierrot entre une pneumonie ordinaire et une pneumocystose cest son statut de séropositif associé à un faible taux de CD4.

Il me semble que la « séropositivité » est considérée dans les deux théories comme un indicateur dun système immunitaire déjà immunodéprimé. Ceci semble se refléter dans la réponse de Wallypatt, qui renforce le diagnostique de « séropositif » par les antécédents de toxicomanie de Pierrot. Dans cette réponse, la théorie du stress oxydant dessine aussi une période de latence et un début dirréversibilité qui semble identique en tout points (sauf sur lorigine) à ce qui est déjà admis dans la théorie virale. Cest pourquoi je me questionne sur la pertinence des tests sérologiques.

La dissidence remet en cause la spécificité des tests. Les protéines détectées ne seraient pas spécifiquement liées au virus. Hors la question qui se pose aussi dans la théorie du stress oxydant cest :

Les mêmes tests réagissent-ils forcément de façon spécifiques à leffet dun stress oxydant ?

Le but de cette question est de savoir si la « séropositivité » qui est établie par les tests est véritablement lindicateur dun système immunitaire potentiellement immunodéprimé.

Si lon ramène cette réflexion au cas de Pierrot, le fait davoir tout arrêté et suivit un mode de vie « sain », il est tout à fait possible de considérer que son statut de séropositif, son passé de toxicomane nait aucun lien avec la pneumonie quil a attrapée, mais par son mode de vie actuel. Par ailleurs il serait étonnant quune pneumonie ordinaire ne soit pas aussi associée à un faible taux de CD4. Son statut de séropositif à très certainement été établi à une époque de sa vie très différente de celle où il y a effectivement attrapé une pneumonie. Cela suffit-il à établir une causalité entre séropositivité et pneumonie ? Causalité qui établit le diagnostique différentiel de pneumocystoses, si je ne me trompe pas.

La théorie du stress oxydant semble établir le même lien de causalité que la théorie virale, sauf en ce qui concerne la cause de la « séropositivité ».

VIH - > Séropositivité - > Sida

Stress Oxydant - > Séropositivité - > Sida

Cette "séropositivité" est-elle bien un statut fiable ?

Cordialement.

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Oui, Psyence, c'est exactement à cette conclusion que la plupart des "repenseurs" ici présents sont parvenus, suivant d'ailleurs dans cette démarche le Groupe de Perth.

Il y a cependant une différence fondamentale entre les deux visions : l'hypothèse du stress oxydatif ne présuppose pas une irréversibilité en ce qui concerne la notion de séropositivité : il suffit de passer d'une densité optique valant 120% du "cut'off" (ou index), à une valeur de 80% pour redevenir séronégatif. Ce que vit Viduité en est un exemple.

Mais attention, ne nous trompons pas, le simple fait que ces anticorps soient en quantité supérieure à la normale (environ 50% de l'index) indique déjà que le statut rédox de nos cellules immunitaires est perturbé.

Dans cette hypothèse, il n'existe plus non plus de faux positifs (parce que n'appartenant pas à un groupe à risque et n'ayant jamais "fauté"). Ces gens-là sont vraiment dans la zone orange, et doivent être soignés... comment, c'est encore à discuter? (et cela ne peut évoluer dans le bon sens que si la Recherche se tourne vers cette hypothèse). Par exemple, quelqu'un qui a fait des excès de flagyl peut très certainement passer à l'orange.

L'autre différence fondamentale est légale et sociale : on ne mettra plus au ban de la société, voire en prison, ces personnes. Actuellement, l'imputation à un virus venant d'Afrique noire fait beaucoup plus pour la promotion du racisme que n'importe quel "Mein Kampf".

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L'autre différence fondamentale est légale et sociale : on ne mettra plus au ban de la société, voire en prison, ces personnes. Actuellement, l'imputation à un virus venant d'Afrique noire fait beaucoup plus pour la promotion du racisme que n'importe quel "Mein Kampf".

Les conséquences éthiques découlent de la théorie, c'est évident.

J'ai bien saisi l'idée:

Une quantité-limite (cutt off) d'anti-corps détermine la polarité positive ou négative dans l'interprétation du test.

La conséquence directe de cette lecture est que l'effondrement du système immunitaire corresponderait à l'impossibilité de se défendre contre de nouvelles agressions à cause d'une surcharge de réaction défensive déjà engagée. C'est pourquoi le taux d'anticorps serait un indicateur de zone dangereuse.

Mais ma question portait sur la pertinence de ce qui est détecté par les tests.

Ce que je me demande c'est comment l'on peut utiliser des tests conçu à la base pour détecter des anti-corps spécifiques à un virus pour ensuite interpréter leurs résultats comme étant spécifique au stress oxydant. N'y aurait-il pas de spécificité nécessaire dans cette théorie ?

Je m'expliques brièvement.

Dans la théorie virale un certain nombre de protéines définies sont sensées représenter le virus. N'est-ce pas arbitraire de considérer que ce même assemblage de protéines serait également valable pour le stress oxydant ? C'est-à-dire représentatives, donc spécifiques.

Si la fabrication d'autres protéines est aussi représentatif d'un stress oxydant que celles qui sont utilisées, le taux augmentrait. Inversément si certaines conditions sont permanentes chez une partie des individus mais non-significatives, pourquoi prendre en compte ces protéines ?

Voilà la question que je me poses, que je vous poses.

Cordialement

PS: Désolé ne pouvoir visiter le site du Groupe de Perth, je parle uniquement le français.

Modifié par Psyence
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Ce que je me demande c'est comment l'on peut utiliser des tests conçu à la base pour détecter des anti-corps spécifiques à un virus pour ensuite interpréter leurs résultats comme étant spécifique au stress oxydant. N'y aurait-il pas de spécificité nécessaire dans cette théorie ?

La réponse est simple : ces protéines ont été retrouvées dans la bande d'ultracentrifugation où sont sensés se retrouver les rétrovirus, à partir du plasma (ou de ganglions, à préciser ultérieurement) d'un malade français du Dr Rozenbaum. On a donc pensé que ces protéines, dont la masse molaire et le séquençage ressemblaient à ceux des rétrovirus communs (et inoffensifs, il faut le préciser) étaient spécifiques d'un virus. Mais il aurait d'abord fallu retrouver ce virus en grande quantité au microscope électronique dans cette bande... et c'est ce qui n'a pas été fait, par même en 1997 par Bess ou Gluschankoff.

En fait ces protéines (et la présence de l'ARN correspondant), dès le départ, dans les expériences de Montagnier et de Gallo, sont caractéristiques du Sida, et non d'un virus responsable du sida. Il n'y a donc pas de difficulté à concevoir que ce soit le stress oxydatif qui soit la cause primaire de tout cela : protéines, et sida en fin de course.

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Ce qui semble faire la différence chez Pierrot entre une pneumonie ordinaire et une pneumocystose c’est son statut de séropositif associé à un faible taux de CD4.

Il me semble que la « séropositivité » est considérée dans les deux théories comme un indicateur d’un système immunitaire déjà immunodéprimé. Ceci semble se refléter dans la réponse de Wallypatt, qui renforce le diagnostique de « séropositif » par les antécédents de toxicomanie de Pierrot. Dans cette réponse, la théorie du stress oxydant dessine aussi une période de latence et un début d’irréversibilité qui semble identique en tout points (sauf sur l’origine) à ce qui est déjà admis dans la théorie virale. C’est pourquoi je me questionne sur la pertinence des tests sérologiques.

La dissidence remet en cause la spécificité des tests. Les protéines détectées ne seraient pas spécifiquement liées au virus. Hors la question qui se pose aussi dans la théorie du stress oxydant c’est :

Les mêmes tests réagissent-ils forcément de façon spécifiques à l’effet d’un stress oxydant ?

Le but de cette question est de savoir si la « séropositivité » qui est établie par les tests est véritablement l’indicateur d’un système immunitaire potentiellement immunodéprimé.

Si l’on ramène cette réflexion au cas de Pierrot, le fait d’avoir tout arrêté et suivit un mode de vie « sain », il est tout à fait possible de considérer que son statut de séropositif, son passé de toxicomane n’ait aucun lien avec la pneumonie qu’il a attrapée, mais par son mode de vie actuel. Par ailleurs il serait étonnant qu’une pneumonie ordinaire ne soit pas aussi associée à un faible taux de CD4. Son statut de séropositif à très certainement été établi à une époque de sa vie très différente de celle où il y a effectivement attrapé une pneumonie. Cela suffit-il à établir une causalité entre séropositivité et pneumonie ? Causalité qui établit le diagnostique différentiel de pneumocystoses, si je ne me trompe pas.

La théorie du stress oxydant semble établir le même lien de causalité que la théorie virale, sauf en ce qui concerne la cause de la « séropositivité ».

VIH - > Séropositivité - > Sida

Stress Oxydant - > Séropositivité - > Sida

Cette "séropositivité" est-elle bien un statut fiable ?

Cordialement.

Effectivement, ça pose question.

Personnellement, je ne crois pas du tout à l'irreversibilité du stress oxydatif à partir d'un certain seuil, ni à la capacité prédictive du test de séropositivité associée à un taux de cd4 bas concernant les maladies à venir, ni leur capacité à définir un état de stress oxydatif.

Pour moi, les causes de maladies agissent relativement rapidement. C'est vrai qu'il y a bien les maladies causées par un mode de vie dangereux (cigarette, surconsommation de nourriture, etc...) qui agissent sur le long terme, mais l'action néfaste est faite en continue. Donc, un truc qui agirait sur 10 ans, alors qu'on a stoppé la cause du truc, ça ne me parait pas crédible. Un gars ayant stoppé la cigarette aurait des poumons et une forme de non fumeur après 10 ans, et un type qui aurait eu du stress oxydatif une fois il y a 10 ans aurait au contraire une lente dégradation de son état ; allons donc.

A mon avis, le problème de Pierrot n'a rien à voir avec un stress oxydatif qui aurait lentement dégradé son état. Pierrot a du absorber ou faire un truc il ya peu de temps qui l'a rendu malade.

Il faut faire attention à ne pas faire de la théorie du stress oxydatif la cause unique de tous les maux, ni d'en faire la cause première à chaque fois, alors que parfois, ce n'est qu'une cause seconde. C'est vrai que c'est une théorie très intéressante. Mais il y a de nombreuses autres sources de maladies : équilibre acido-basique, problème de manque de certaines vitamines et oligo éléments, problèmes de surcharge en protéines, problèmes liés à l'eau, problèmes de trop grande fluidification sanguine, problèmes mécaniques, etc... Il faut élargir nos horizons de recherche si on veut comprendre les différents problèmes de santé qui peuvent se poser aux séropositifs (et aux gens en général).

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A mon avis, le problème de Pierrot n'a rien à voir avec un stress oxydatif qui aurait lentement dégradé son état. Pierrot a du absorber ou faire un truc il ya peu de temps qui l'a rendu malade.

Il faut faire attention à ne pas faire de la théorie du stress oxydatif la cause unique de tous les maux, ni d'en faire la cause première à chaque fois, alors que parfois, ce n'est qu'une cause seconde. C'est vrai que c'est une théorie très intéressante. Mais il y a de nombreuses autres sources de maladies : équilibre acido-basique, problème de manque de certaines vitamines et oligo éléments, problèmes de surcharge en protéines, problèmes liés à l'eau, problèmes de trop grande fluidification sanguine, problèmes mécaniques, etc... Il faut élargir nos horizons de recherche si on veut comprendre les différents problèmes de santé qui peuvent se poser aux séropositifs (et aux gens en général).

Mais je ne le pense pas non plus, et dans mon post concernant Pierrot, je ne pense pas avoir écrit que le stress oxydatif aurait lentement dégradé la santé de Pierrot.

Ce que j'ai voulu dire, c'est que (c'est du moins mon avis) plusieurs années de toxicomanie ont de toute façon causé des dégâts irréversibles (déjà au bout de quelques mois, pas au bout de plusieurs années; enfin, tout dépend de la résistance de l'individu), entre autres aux mitochondries, qui sont, si j'ai bien compris, à la base même de la "respiration" cellulaire et de l'équilibre des phénomènes d'action et de réduction (et donc de stress oxydatif). J'ai bien lu à plusieurs reprises (entre autres les docteurs Kremer et Lanka) que plusieurs semaines de tri"thérapie" sont déjà capables de causer à elles seules des dégâts irréversibles à la machinerie cellulaire en général. Je ne peux pas croire que plusieurs années de politoxicomanie ne puissent pas également causer les mêmes effets.

Maintenant ces dégâts irréversibles ne signifient pas à mon sens que l'on va automatiquement évoluer vers le sida. En revanche, cela a certainement causé des séquelles irréversibles, qui, de manière générale, ont définitivement affaibli l'organisme, mais auxquelles il a pu être remédié d'une très forte façon par un retour à une vie "saine et équilibrée".

Maintenant, en raison de ces séquelles, je pense que contrairement à bon nombre de personnes qui n'ont jamais été séropositives ou disons plus simplement toxicomanes, malgré un retour à une vie "saine et équilibrée", les anciens toxicomanes sont plus susceptibles de "rechuter" en absorbant quelque chose susceptible de le rendre malade. Cela pourrait peut-être effectivement l'hypothèse de l'eau que tu as retenue, mais si on ajoute les deux autres facteurs certains chez Pierrot que sont l'exercice sportif très intensif (body building, me semble-t-il) et le stress psychologique intense dû à l'annonce de lymphocytes T4 plus bas, outre un éventuel facteur incertain, l'emploi de (cortico)stéroïdes (ou d'autres produits permettant de les faire augmenter "naturellement" dans le corps humain), je pense que l'ensemble de ces facteurs conjugués (et peut-être que ton hypothèse de l'eau a été l'élément de trop) a rapidement entraîné une forte consommation de glutathion dans son corps, et, partant, l'apparition d'une pneumocystose (à supposer que cela soit vraiment cela).

Mais je pense que cette consommation de glutathion (due entre autres aux facteurs précités) a été bien plus forte et plus rapide chez lui que chez la plupart d'autres personnes car en raison de sa politoxicomanie antérieure, celle-ci avait déjà causé des dégâts irréversibles dans les mécanismes d'oxydo-réduction de Pierrot. Et en raison de ses dégâts antérieurs, des facteurs ultérieurs de forte consommation de glutathion risquent de se manifester plus fortement.

A supposer qu'il ait réellement eu une pneumocystose, je ne peux pas croire que cela soit dû au hasard, et ce que j'ai expliqué ci-dessus et dans mon post antérieur sur Pierrot pourrait l'expliquer à mon sens. Pour ma part, j'ai quand même assez de mal à croire que la simple consommation d'une certaine eau puisse justifier à elle seule que Pierrot ait pu souffrir d'une aussi grave "pneumonie", d'autant plus s'il s'agit d'une pneumocystose. A mon avis, seul son passé et les dégâts irréversibles que celui-ci a pu causer pourrait justifier que la consommation de cette eau ait pu avoir de tels effets dans son organisme.

Maintenant, effectivement, je ne pense pas que tout cela soit irréversible, en tout cas chez Pierrot, mais je pense qu'il devra prêter plus d'attention aux activités stressantes en général (physique et psychique) susceptibles d'entraîner un fort stress oxydatif, lequel risque de se manifester plus rapidement et plus fortement chez Pierrot en raison de son passé et des dégâts irréversibles que sa politoxicomanie antérieure a déjà pu causer.

Bref, rien d'irréversible très probablement, mais à contrôler régulièrement, et l'épisode de la "pneumocystose" de Pierrot paraît à mon sens le justifier.

En tout cas, rien à mon sens qui justifie le recours aux drogues dites "antivirales" une fois Pierrot complètement rétabli.

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A propos de l'idée qu'une eau trop peu minéralisée pouvait être la cause des problèmes de Pierrot, ça n'expliquait que le problème des fièvres et pas celui de la toux. Mais en lisant ce très intéressant ouvrage du Dr F. Batmanghelidj, peut-être qu'il y a une explication aussi pour la toux.

Voilà ce que dit le Dr F. Batmanghelidj : http://www.ffjr.com/batman.htm

L'asthme et les allergies

L'asthme et les allergies signalent que le corps recourt à un accroissement de la production d'histamine qui, dans son rôle de neurotransmetteur, est aussi en charge de la régulation du métabolisme de l'eau et de sa distribution dans le corps.

Il est bien connu que les asthmatiques présentent un accroissement de l'histamine dans leurs tissus pulmonaires et qu'elle entraîne la contraction des bronches. Comme les poumons sont l'un des sites favorables à la perte d'eau par évaporation, la constriction bronchique produite par l'histamine réduit la perte d'eau pendant la respiration. C'est donc une manœuvre facile pour garder de l'eau dans le corps.

L'histamine est un agent qui, outre son rôle de régulateur de l'eau, intervient activement dans les systèmes de défense antibactériens, antiviraux et anti-agents étrangers (chimiques et protéines). Lorsque le niveau d'eau dans le corps est normal, ces actions se maintiennent à un niveau imperceptible et modeste. Quand l'organisme est déshydraté au point que l'activité de l'histamine chargée de la régulation de l'eau devient trop forte, une partie du système immunitaire activant les cellules productrices d'histamine libérera une quantité exagérée du transmetteur gardé en réserve pour ses autres fonctions.

On a démontré chez les animaux que la production d'histamine dans les cellules qui en génèrent diminue avec une augmentation de la ration quotidienne d'eau. L'asthme et les allergies peuvent être traités grâce à une quantité déterminée d'eau supplémentaire. En moyenne, ces états s'améliorent au bout de trois ou quatre semaines de traitement par l'eau.

Mr Peck était asthmatique depuis l'enfance et sensible à toutes sortes d'allergènes. Aujourd'hui, il ne connaît plus l'angoisse qu'engendrent ces problèmes. Mr Paturis témoigne également de l'état allergique de son épouse qui s'est amenuisé. Je ne mentionne que ces cas parce que leurs lettres certifient que l'ingestion accrue d'eau les a débarrassé des allergies et de l'asthme dont ils souffraient depuis de nombreuses années. Par le passé, j'ai conseillé ce traitement à un certain nombre de gens qui ont été soulagés de leurs problèmes.

N'oublions pas que si les poumons reçoivent du sang concentré, la production locale d'histamine est un processus naturel et automatique. Sa libération provoque la constriction bronchique. Si vous souffrez d'asthme ou d'allergies, augmentez votre ingestion quotidienne d'eau. Ne vous mettez pas à en boire trop en espérant rattraper par un excès d'eau et en quelques jours les dégâts causés pendant de nombreux mois ou années de déshydratation. Vous avez besoin de boire une quantité d'eau normale chaque jour, jusqu 'à ce que le corps soit hydraté correctement au terme d'une longue période.

Evitez de boire plus d'un verre de jus d'orange, ou tout au plus deux par jour. Le contenu en potassium de l'orange est élevé, et son excès favorise une production d'histamine au-dessus de la normale. Les asthmatiques devraient garder cette donnée à l'esprit.

Mary B. est administratrice d'un service gouvernemental responsable de la santé publique d'une grande ville. Depuis de nombreuses années, elle souffrait d'asthme. Elle ne prenait plus aucun plaisir à se promener dans les jardins. Une peine à respirer la privait des joies du plein air. C'est à un de mes collègues de la Fondation qu'elle se confia. Encouragée à boire de l'eau, elle indiqua qu'elle en consommait de grandes quantités. Quand on lui demanda de préciser ses dires, il apparut qu'elle buvait de nombreux jus d'orange qu'elle comptabilisait comme de l'ingestion à'eau. Mon collègue lui expliqua alors que le jus d'orange a beau contenir de l'eau, mais qu'il ne peut remplacer les besoins en eau pure et simple. Elle accepta de diminuer la consommation de jus et d'accroître celle d'eau. Au bout de quelques jours, son essoufflement diminua. Depuis près d'un an maintenant, elle est apparemment débarrassée de son asthme.

Ne sous-estimons pas les vertus médicinales cachées dans un verre d'eau. Le corps sachant reconnaître sa présence arrêtera ses demandes et réactions face à la déshydratation. L'eau agira tel un simple code qui ouvrira les plus grandes et lourdes portes. La seule chose requise est que l'ingrédient corresponde à la conception du système. Il s'agit alors de compenser le manque d'eau et de contourner les mécanismes de préservation installés dans les poumons.

Donc, il est possible qu'on ait la séquence suivante : Pierrot absorbe de l'eau manquant de minéraux, l'organisme transpire pour rétablir un taux de minéraux correct dans le sang, mais ce faisant, l'organisme perd de l'eau. L'organisme étant sous alimenté en eau, selon le mécanisme décrit par le Dr F. Batmanghelidj, une toux se déclenche pour finir par des sortes de crises d'asthme. Sortes de crises d'asthmes qui seront diagnostiquées comme pneumonie par les médecins.

Modifié par aixur
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(les pots de poudre avec divers gouts) ?

Aixur, je n'en sais pas plus pour l'instant. Mais je vais me renseigner et te donner tous les détails.

Pour Aixur : Dans son régime, mon amie ne prennait pas de suppléments chimiques, mais plutôt des jus de fruits naturels (orange, etc... une piste ?? ). Les symptômes ne disparaissant pas, son généraliste, qui est aussi homéopathe accessoirement, lui a fait stopper tous les antibios et l'a mise sous homéopathie depuis environ une semaine. Pour l'instant, pas de changements. Elle va commencer une cure de vitamines, minéraux et oligo-éléments. Parallèlement, elle continue à faire toutes sortes d'analyses. Ses médecins se tirent les cheveux (déjà 5 radios des poumons : rien)

...essoufflement qui s'aggravait à l'effort.

Mon amie aussi. Et en plus, fièvre qui s'aggrave avec l'effort. C'est complètement dingue, cette histoire !

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Et si c'était simplement une coqueluche?

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