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Oxyde nitrique


Liane
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J'avoue ne pas comprendre l'apparent étonnement des chercheurs.

Les traitements "antirétroviraux" ne permettent en principe pas de remédier aux carences nutritionnelles qui caractérisent généralement les séropositifs. Dès lors que les traitements antirétroviraux prolongent malgré tout la vie des séropositifs, entre autres grâce à leurs effets antibiotiques à large spectre contre les différents infections opportunistes, il me paraît évident que les carences nutritionnelles (entre autres en antioxydants, lesquels auraient la propriété de protéger dans une certaine mesure contre diverses formes de cancer) qui affectent les séropositifs vont continuer à s'aggraver puisqu'il n'y est généralement pas remédié, et tôt ou tard, la note devra être payée.

Si en plus on y ajoute le style de vie immunodépressif de bon nombre de séropositifs ainsi que la toxicité des traitements "antirétroviraux", nous disposons là d'un cocktail, non pas thérapeutique, mais bien cancérigène à moyen/long terme !

Et je ne peux m'empêcher de craindre d'assister dans les prochaines années à un boom des cancers chez les séropositifs et donc à une hausse du taux de mortalité, entre autres pour les raisons qui précèdent.

Nul besoin de "VIH" pour expliquer la fréquence de plus en plus élevée de cancers chez les séropositifs, comme commencent à le laisser entendre les "experts" en "VIH".

Modifié par wallypat
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Belle explication Wally! En suivant ta pensée, les séropos sont plus "sensible" à cause de leur carences (comme le reste de la population) mais en plus à cause de tout les médocs qui sont extrêmement toxiques...

Ce que je crains, c'est qu'à l'avenir, on colle l'étiquette vih sur tout ce qui développe un cancer...et on retombe dans le panneau du virus du cancer.... puni.gifreflechi.gif

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  • 10 months later...

Je me permets de renvoyer dans ce topic phare à ce post fondamental de Cheminot et tout particulièrement à ce très récent article scientifique cité par Cheminot soulignant le rôle causal capital des agents oxydants, et tout particulièrement des peroxynitrites, dans la survenance des marqueurs interprétés par l'orthodoxie du "sida" comme étant la "preuve" de la "contamination" par le "VIH" et, ultérieurement du "sida".

Tout cela ne fait que confirmer encore davantage, et s'il en était encore besoin, les dires des repenseurs défendant la thèse des agents oxydants, en particulier azotés, dans la survenance du "sida".

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  • 3 weeks later...

A la suite de cette publication, j'ai essayé de rassembler mes idées pour comprendre un peu mieux les tenants et aboutissants de cette découverte.

L'info principale tient en quelques mots : l'élimination des peroxynitrites d'une cellule infectée par le (clone) du "VIH" empêche sa réplication.

Cela signifie donc que les peroxynitrites sont nécéssaires à la réplication du dit "VIH", et donc, si on s'en tient à la version officielle, nécessaires pour que le sida apparaisse.

Cela implique au départ deux types de questionnements :

1) qu'est-ce qui, dans le clone du VIH (ou l'environnement du VIH dans la culture opérée sur les macrophages) permet à ces peroxynitrites d'apparaître.

2) qu'est-ce qui, dans le comportement (de manière générale) des groupes à risques, est source de peroxynitrites.

Mais lorsqu'on sait que les peroxynitrites sont reconnus maintenant comme étant la source de l'apoptose cellulaire, on comprend qu'une troisième question se pose :

3) le sida n'est-il pas tout simplement provoqué par l'excès de peroxynitrites, excès qui permet parallèlement la prolifération du VIH?

Vous aurez tous compris que cela pourrait-être la position de la dissidence, qui pour l'instant est beaucoup plus radicale, avec d'un côté Duesberg pour qui le VIH n'aurait rien à voir avec le sida, et donc considère les tests comme nuls et non avenus, et d'autre part le groupe de Perth qui considèrent que le VIH n'a pas été isolé. Mais peut-être s'agit-il là d'une question de mots. Si par VIH on entend le virus responsable de l'immunodéficience humaine, le groupe de Perth a raison. Mais en fait il faudrait l'appeler : "rétrovirus associé à l'immunodéficience humaine.

La réponse à la question 2) est simple : les personnes appartenant aux groupes dits "à risque" ont eu maille à partir avec des précurseurs des peroxynitrites, et ceux-ci sont des composés qui libèrent de façon massive le monoxyde d'azote, qui, lorsque les réducteurs cellulaires (glutathion, vitamine C) sont détruits (par ces mêmes sources de NO), se transforment inévitablement en quantités massives de peroxynitrites. D'où la fameuse latence du sida, pour laquelle il serait bon de vérifier qu'elle correspond à la persistence de l'utilisation de ces précurseurs de NO.

J'ai déjà indiqué quels sont ces précurseurs, parmi lesquels il ne faut pas oublier l'isoniazide, antituberculeux bon marché utilisé universellement en Afrique.

Ce qui est intéressant, c'est que tant que la quantité de réducteurs est correcte, les donneurs de NO protègent de la mort cellulaire. On peut alors comprendre qu'au début du traitement par l'AZT, il y ait eu augmentation du taux de CD4+, et que Fischl et al. s'y soit laissés prendre (l'AZT est un azoture.

Pour répondre à la question 1), il y a deux possibilités : Soit le VIH contient de quoi faire, en présence de la machinerie cellulaire, des peroxynitrites, soit ce sont les adjuvants utilisés lors de la culture qui les font apparaître. Et la phytohémagglutinine utilisée me paraît bien suspecte. Il faut aussi que je vérifie l'utilisation d'azoture de sodium dans cette coculture.

Voilà où j'en suis de ma réflexion.

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  • 3 years later...

attention aussi à l'alimentation, le jambon industrielle (bio ou pas) contient environ 150mg de nitrite de sodium (E250) par kg! et on en retrouve un peu partout dans nos chers aliments...

http://fr.wikipedia.org/wiki/Nitrite_de_sodium

En milieu acide, comme c'est le cas dans l'estomac, les nitrites, souvent présents dans la charcuterie comme additifs, forment avec les amines secondaires des nitrosamines toxiques, très vraisemblablement cancérigènes.

Modifié par glutathion
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  • 4 months later...

Que plus personne ne vienne donc encore dire que le sarcome de kaposi serait causé par le "HHV8" ! Il n'y a tout simplement aucune preuve scientifiquement et raisonnablement acceptable à ce jour. En revanche, il y a pléthore de preuves en faveur des nitrites !

Puisqu'on parlait des poppers : une énième étude en Ouganda fait état de l'inestimable difficulté à mesurer une transmission sexuelle du HHV8, le virus qui serait selon l'orthodoxie indispensable au développement du sarcome de Kaposi.

Le HHV8 est très fréquent en Afrique subsaharienne (56% selon l'étude), il l'est presque autant chez les enfants que chez les adultes, n'est pas corrélé avec la séropositivité au virus de l’herpès (HSV-2) et au supposé VIH, et bien faiblement avec d'autres facteurs conjugaux ou environnementaux. L'étude conclut sur un prudent : "Nous interprétons nos résultats comme indiquant que la transmission sexuelle du HHV8, si elle s'effectue, est faible."

We interpret our results as indicating that sexual transmission of HHV8 in Uganda, if it occurs, is weak

Le sarcome de Kaposi semble toujours fréquent en Afrique (il constituerait 13% des cancers chez les hommes et 5% chez les femmes selon cette étude) et pas antinomique avec une forte prévalence du HHV8; idem dans les pays méditerranéens (Sicile ou Égypte) où la prévalence est aussi relativement élevée.

Mais là où ça devient compliqué, c'est qu'aux États-Unis, la prévalence du HHV8 est 15 à 40 fois plus grande chez les gays que dans le reste de la population, alors en l'absence de transmission sexuelle... Alors ou bien les tests d'anticorps au HHV8 mesurent autre chose chez les homosexuels que le HHV8, ou bien le HHV8 a des préférences selon la sexualité des individus... Dans les deux cas il va falloir que l'orthodoxie trouve une nouvelle cause infectieuse au Kaposi pour retomber sur ses pieds !

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