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Oxyde nitrique


Liane
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- Et bien, je dois t'avouer que j'ai été 'shooter' à la ventoline (presque depuis l'enfance) et ce, pendant de très longues années...

Ventoline à laquelle il faut rajouter les corticoides et les antibios...

Miam, miam...

Tu crois qu'il y a combien de personnes sur cette terre qui sont dans le même cas ?

Et un jour, ils vont (pour bien faire) passer un test vih.

Ceux qui ne seront pas condamnés sont ceux qui vont nier farouchement avoir eu des relations à "risques" (+ pas de drogues, pas de transfusion etc...)

Le toubib sera bien obligé de chercher une autre explication à la baisse des T4 et à la " charge virale ".

Je me demande comment un toubib gère ce genre de cas dans son protocole " magique " qui décide de nos vies.

Si qelqu'un sait... -> " case report " ?

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L'azoture de sodium étant moins oxydant que les azotures d'alkyle tels l'AZT, il y a de très fortes chances que l'on puisse montrer que l'AZT soit la source d'un excès de monoxyde d'azote.

Ce qui expliquerait pourquoi tous ceux qui ont pris de l'AZT sont morts en 2 - 3 ans.

Ces personnes avaient sûrement un stress oxydatif à la base (peut-être léger), et je te dis pas comme l'AZT a "arrangé" les choses !

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- Et bien, je dois t'avouer que j'ai été 'shooter' à la ventoline (presque depuis l'enfance) et ce, pendant de très longues années...

Ventoline à laquelle il faut rajouter les corticoides et les antibios...

Dans ce post, j'avais émis l'hypothèse plus que vraisemblable que des facteurs immunodépressifs, non identifiés (car tu ne fais visiblement pas partie d'un groupe à risque de sida), t'avaient très progressivement amenée vers le stade du sida.

Evidemment, là, tu nous as donnés la très vraisemblable explication sur un plateau. Tu sais maintenant pourquoi ton test "VIH" a viré au rouge il y a 14 ans, et pourquoi cela a pris "autant de temps" pour que tu fasses les gros ennuis de santé dont tu as parlé.

Ce serait bien si tu pouvais nous préciser si après l'annonce de ta séropositivité, bien malgré toi bien sûr, tu as continué à prendre de la ventoline, des corticoïdes (diablement immunodépresseurs également) et des antibiotiques.

Si c'est le cas, tu sais maintenant ce que tu dois faire pour éviter avec un maximum de chances que tu aies à nouveau de tels ennuis de santé. Evidemment, si la dissidence du sida avait pignon sur rue, tu aurais certainement pu éviter de tels problèmes de santé.

Cordialement.

Modifié par wallypat
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Encore une autre étude intéressante qui montre que l'absorption de méthamphétamine augmente la production de monoxyde d'azote, et crée par la même la neurotoxicité du produit... et ceci explique très bien la forte corrélation entre sa consommation et l'apparition du sida.

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Invité david13

Bonjour suis nouveau sur le site et 1 question entre autre suite à la lecture des differents echanges : declare s+ en octobre 2003 avec 1 western blot qui dit ceci : p24 positif , p55 positif, gp120 à l etat de trace, gp160 positif faible le reste etant negatif à ce moment là dois je demander à mon medecin de refaire 1 western blot pour autant .... compte tenu de ce que j ai lu et "compris" . Votre avis sur la question ?

Merci icon_biggrin.gif

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Bonjour David13, et sois le bienvenu.

La question n'est pas tant de savoir si tu pourrais espérer être redevenu séronégatif presque trois ans plus tard, mais bien pour quelle raison ton test s'est révélé positif il y a trois ans.

Par exemple, supposons que tu sois gay, as-tu été confronté (et as-tu continué à l'être depuis ce test) aux facteurs immunodépressifs suivants très courants chez les gay, à savoir et par exemple : inhalation de nitrite (en particulier poppers), autres drogues (Viagra compris), sperme, MST et autres infections (et donc thérapies anti-infectieuses également immunodépressives, quoique indispensables), malnutrition, etc...

Si c'est le cas, il convient tout d'abord pour toi de cesser de t'exposer à de telles sources de stress oxydatif, faute de quoi la situation ne pourra que s'aggraver (dans des délais variables, en fonction de la résistance de chaque individu).

Es-tu (poli)toxicomane ou l'as tu été ?

En résumé, tu dois examiner à quels facteurs immunodépressifs tu as été et continues éventuellement à être confronté. Et parfois, tout particulièrement lorsqu'on n'est pas dans un groupe à risque (je ne sais pas si c'est ton cas justement), il n'est pas toujours évident de les trouver. Qu'on se souvienne du cas récent de Melloute, où les facteurs immunodépressifs en question ... se sont révélé en définitive être plus que vraisemblablement ses traitements contre l'asthme ! (ventoline, corticoïdes, antibiotiques, ...) Or les traitements en question, sur le long terme, sont de nature à causer la séropositivité et plus tard un épisode de sida déclaré (comme expliqué dans ce topic-ci). Nul besoin de "VIH" pour l'expliquer d'ailleurs.

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Encore une autre étude intéressante qui montre que l'absorption de méthamphétamine augmente la production de monoxyde d'azote, et crée par la même la neurotoxicité du produit... et ceci explique très bien la forte corrélation entre sa consommation et l'apparition du sida.

Or il s'avère que :

- la Ventolin - ventoline (principe actif : Salbutamol)

- les Ecstasy ((XTC - extasy)

- la Ritaline/Ritalin (prescrit aux enfants hyperactifs)

... sont de la famille des métamphétamines (amphétamines, etc...)

Une liste de producteurs d'oxyde nitrique (NO) qui n'en finit plus de s'allonger.

Tous les produits source d'oxyde nitrique ont pour effet de réduire le taux de glutathion (antioxydant universel et protecteur du foie contre les produits chimiques tels les antibios, corticoïdes etc...et même l'alcool)

Les consommateurs de ces substances sont des candidats potentiels à voir leur test de dépistage " vih - hiv " virer au positif, surtout s'ils n'ont pas l'habitude d'inclure dans leur alimentation des éléments antioxydants (journalièrement des légumes et des fruits) qui vont contrecarrer un minimum l'action de l'oxyde nitrique.

Des études "orthodoxes" ont établi l'intérêt des antioxydants contre le " vih ". C'est ce que s'acharnent à dire les partisans du stress oxydatif comme cause du sida.

Etudes rendues publiques depuis 1988, mais qui sont loin d'être vulgarisées auprès du personnel médical et du grand plublic.

Modifié par Liane
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Les médicaments ou substances / source d'oxyde nitrique (aussi dit monoxyde d'azote ou NO) /suite :

- Le Crystal (aussi dit Crystal Meth, Ice, Tina, Yaa Baa, Pilule Thai, Desoxyn)

Loxyde nitrique lie à lencéphalite à VIH

Lencéphalite à VIH, qui affecte entre 20 et 30 % des patients au stade SIDA avancé, pourrait être lié à une surproduction doxyde nitrique. Valina Dawson et ses collègues de la Johns Hopkins University (Baltimore) ont découvert que les tissus du cerveau de patients au stade SIDA et souffrant dune encéphalite ont une activité de synthèse doxyde nitrique huit fois plus élevée que ceux de personnes dun groupe de contrôle séronégatifs. Léquipe de Dawson a aussi trouvé des taux élevés de la protéine VIH gp41 dans les patients souffrant dune encéphalite à VIH. Des recherches sur modèle animalier ont montrées que la GP41 peut causer une activité de synthèse doxyde nitrique. Valina Dawson conclue que ces découvertes pourraient être utilisées pour réduire lincidence dencéphalites à VIH en trouvant un moyen pour bloquer la production doxyde nitrique.

Actions Traitements

"Valina Dawson conclue que ces découvertes pourraient être utilisées pour réduire lincidence dencéphalites à VIH en trouvant un moyen pour bloquer la production doxyde nitrique."

Vous croyez qu' "ils" ont trouvé ?

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Quelques sources sur pubmed concernant cette info :

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.f...l=pubmed_docsum

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.f...l=pubmed_docsum

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.f...l=pubmed_docsum

cette dernière est intéressante car elle montre bien l'importance de la formation de peroxynitrites dans la mort cellulaire. (et ce déjà en 1992)

Modifié par Cheminot
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Baisse des CD4 et amphétamines / oxyde nitrique :

Le Dr Klausner du département de santé publique de San Francisco pense que les amphétamines pourraient diminuer le nombre de CD4...
TheWarning.info

Y a-t-il des études rendues publiques sur le sujet ?

Et relire :

- Les causes chimiques des diverses épidémies de SIDA :Drogues récréationnelles, chimiothérapies antivirales, malnutrition.

- SIDA, ses causes et son traitement

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Cheminot,

Là, j'aimerais bien ton avis éclairé :

Oxyde nitrique/ monoxyde d'azote :

Dès lors, des médicaments inhibiteurs de sa synthèse ou susceptibles de le neutraliser, comme les chélates de fer ou de cobalt, pourraient avoir des applications thérapeutiques.

Pharmacorama

1- Il se trouve que les chélates de fer sont surtout destinées aux personnes ayant trop de fer dans le sang ( -> diminuent la concentration du fer dans le sang)

Le fer peut-être pro-oxydant, mais de là à prescrire les chélates de fer pour inhiber la production d'oxyde nitrique...

...je n'ai franchement rien compris !

2- Quant aux chélates de cobalt, encore moins !

Tu pourrais me dire en quoi ces chélates seraient utiles pour lutter contre l'oxyde nitrique (et peut-être indirectement contre le stress oxydatif) ? 5-humhum.gif

Merci !

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1- Il se trouve que les chélates de fer sont surtout destinées aux personnes ayant trop de fer dans le sang ( -> diminuent la concentration du fer dans le sang)

Oops !

J'espère que tu te trompes car mon bilan nutrionnel avait révélé une assez forte carence en fer et je dois maintenant faire une cure de fer chelaté, justement (conseil de mon médecin nutritionniste). Et il me semble avoir lu qu'il ne fallait jamais prendre de fer en complément alimentaire sauf en cas de carence avérée. Et dans ce dernier cas, le seul fer à consommer en complément devrait être justement du fer chelaté car dans ces circonstances-là (carence donc), il n'est pas prooxydant.

Si tu ne te trompes pas, je suis en train de m'empoisonner là ! lol

Cela ne répond pas à la question que tu poses bien sûr, mais là, je m'interroge sur ma propre santé. Je vais quand même faire des recherches complémentaires à ce sujet, à moins que tu trouves autre chose.

Modifié par wallypat
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Wally,

Si j'ai bien compris les sources que j'ai lues :

Les chélates de fer ne peuvent être pro-oxydantes car elles servent à éliminer l'exces de fer oxydant du corps.

Ce que je ne comprends pas dans ton cas, c'est pourquoi on te l'a conseillé alors que tu n'as déjà pas assez de fer.

Allô, il y a un chimiste sur la ligne ????

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Pour répondre un peu rapidement, ensuite j'irai me plonger dans ce que sont ces chélates de fer :

les enzymes permettant la synthèse de NO (NOsynthases) sont en fait des enzymes à "hème", c'est-à-dire qu'elle comportent la même structure active que l'hémoglobine.

Dans le cas du transport d'oxygène, le fer reste au degré +II, et devient inopérant lorsqu'il est oxydé.

Par contre, les NOsynthases voient leur fer passer alternativement du degré +II au degré +III pour permettre la synthèse de NO.

C'est pourquoi on pense que le fait de chélater le fer puisse inhiber la formation de ces NOsynthases hèmiques et donc inhiber la synthèse de NO.

Cette idée d'inhibition n'est apparemment qu'une hypothèse de travail.

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Wally,

Si j'ai bien compris les sources que j'ai lues :

Les chélates de fer ne peuvent être pro-oxydantes car elles servent à éliminer l'exces de fer oxydant du corps.

Ce que je ne comprends pas dans ton cas, c'est pourquoi on te l'a conseillé alors que tu n'as déjà pas assez de fer.

Concernant cette "affaire" du fer, et du fer chelaté en particulier, voilà ce que j'ai pu trouver, tour particulièrement dans cet article-ci, datant de novembre 2000.

Les flavonoïdes sont de puissants antioxydants et inhibent labsorption du fer alimentaire. Pour lutter contre lexcès de fer, il est conseillé de boire du thé au cours du repas, jusquà 10 tasses par jour, et de consommer des suppléments à base de flavonoïdes comme lextrait de thé vert (500 à 1000 mg à chaque repas) et la quercétine (500 à 1000 mg à chaque repas).

Or, j'en prends justement des flavonoïdes (cela fait partie des remèdes de choix pour prévenir le sida), entre autres des extraits de pépins de pamplemousse (en cure) et du Padma 28 (tous les jours).

Donc, de prime abord, vu que j'ai une carence en fer, il semble bien que je fais très bien de prendre du fer chelaté (et non des sels de fer). Et si, en plus, le fer chelaté inhiberait la synthèse de l'oxyde nitrique (comme hypothétisé dans les posts de Liane et de Cheminot qui précèdent), cela ne pourrait être que du tout bon pour moi vu tout l'oxyde nitrique que j'ai accumulé pendant 10 ans (poppers).

Tout cela prouve combien il est absolument nécessaire de faire un bilan nutritionnel régulièrement, en particulier lorsqu'on prend divers compléments alimentaires. Et je suis bien curieux de connaître les prochains résultats du mien, du moins en novembre prochain.

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Je me supplémente qutidiennement avec des antioxydants faiblement dosés.

Bonjour Lasimar.

Je me rappelle très bien qu'il y a quelques mois, dans le topic "Le VIH ne causerait pas le sida" (deuxième partie), tu nous avais précisé que tu prenais entre autres du fer comme complément alimentaire.

N'as-tu pas envisagé que tes problèmes de santé, ou une partie de ceux-ci, puissent être la conséquence de cette consommation de fer ?

Par ailleurs, quel fer consommes-tu ? Est-ce du fer chelaté ou non ?

Peut-être devrais-tu envisager d'abandonner (si ce n'est déjà fait) cette consommation de fer (en particullier s'il n'est pas chelaté) et voir si cela va mieux ou non.

Enfin, ce n'est qu'une suggestion car seul un bilan nutritionnel approfondi permettra de voir un peu plus clair.

Modifié par wallypat
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Merci Wally, pour ces précisions.

Ca voudrait dire que les chélates de fer ne servent pas à éliminer l'exces de fer (intox ?)

Au contraire elles serviraient à combler les carences en fer (sans l'oxydation nocive du sel de fer)

Bon.

En gros, si j'ai bien compris Cheminot :

les enzymes permettant la synthèse de NO (NOsynthases) sont en fait des enzymes à "hème", c'est-à-dire qu'elle comportent la même structure active que l'hémoglobine.

Dans le cas du transport d'oxygène, le fer reste au degré +II, et devient inopérant lorsqu'il est oxydé.

Par contre, les NOsynthases voient leur fer passer alternativement du degré +II au degré +III pour permettre la synthèse de NO.

C'est pourquoi on pense que le fait de chélater le fer puisse inhiber la formation de ces NOsynthases hèmiques et donc inhiber la synthèse de NO.

Cette idée d'inhibition n'est apparemment qu'une hypothèse de travail.

Les chélates de fer donc, absorbés en cas de carences en fer, présentent le petit plus :

lutter un tout petit peu contre le stress oxydatif dû au NO.

Merci d'améliorer cette réflexion si je n'ai pas tout compris.

Et puis, j'aimerais bien en savoir un peu plus, si possible, sur les chélates de cobalt contre le stress oxydatif, comme je l'avais mentionné plus haut.

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Tout cela prouve combien il est absolument nécessaire de faire un bilan nutritionnel régulièrement, en particulier lorsqu'on prend divers compléments alimentaires.
YES !

Ce qui devrait être bon pour le corps se transforme en bombe si tous ces compléments alimentaires sont consommés en désordre.

On n'improvise pas avec les compléments et les plantes.

QUOTE 

Les flavonoïdes sont de puissants antioxydants et inhibent labsorption du fer alimentaire. Pour lutter contre lexcès de fer, il est conseillé de boire du thé au cours du repas, jusquà 10 tasses par jour, et de consommer des suppléments à base de flavonoïdes comme lextrait de thé vert (500 à 1000 mg à chaque repas) et la quercétine (500 à 1000 mg à chaque repas).

Précision : uniquement en cas d'excès en fer.

Les flavanoïdes (thé vert, etc...), n'inhibent pas que l'absorption du fer mais aussi les autres nutriments (protéines, acides gras essentiels, vitamines, etc...) nécessaires au bon fonctionnement du corps.

Normalement, les flavanoïdes doivent se consommer hors des repas (environ 2 heures après la digestion) pour ne pas entraver, justement, l'assimilation des micronutriments.

->Prendre des vitamines et des flavanoides en même temps ne sert pas à grand-chose : on ne bénéficiera que des antioxydants des flavanoïdes. Les vitamines ne seront pas assimilées.

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Et puis, j'aimerais bien en savoir un peu plus, si possible, sur les chélates de cobalt contre le stress oxydatif, comme je l'avais mentionné plus haut.

Et aussi sur l'acétate de tilarginine contre le stress oxydatif :

L'injection d'acétate de tilarginine

La tilarginine est un médicament novateur, qui inhibe la production d'oxyde nitrique, une substance chimique normalement présente dans de nombreuses cellules de l'organisme.

Selon les données expérimentales toujours plus nombreuses, la surproduction d'oxyde nitrique dans le coeur et dans les cellules des vaisseaux sanguins suivant une crise cardiaque jouerait un rôle crucial dans la survenue du choc cardiogénique. En limitant la surproduction d'oxyde nitrique, la tilarginine peut améliorer la fonction cardiaque, stabiliser la circulation et réduire la mortalité.

En fait, si je comprends bien, un cardiaque se verra proposer un vasodilatateur (producteur d'oxyde nitrique) / en sachant qu'une crise cardiaque, par définition, provoque une surproduction d'oxyde nitrique / dont l'effet sera ensuite annulé par l'acétate de tilarginine (inhibiteur de la production d'oxyde nitrique)

Lequel de ces 2 produits (vasodilatateur et acétate de tilarginine) est de la m... ?

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Les médicaments ou substances / source d'oxyde nitrique (aussi dit monoxyde d'azote ou NO) /suite :

- Le Crystal (aussi dit Crystal Meth, Ice, Tina, Yaa Baa, Pilule Thai, Desoxyn)

Une enquête européenne a montré que le NO (oxyde nitrique) inhalé est utilisé régulièrement dans plus de 70% des unités de soins intensifs adultes et plus de 85% des unités de soins intensifs pédiatriques.
http://www.anesth.umontreal.ca/6_ressource....5_jan2000.html

Quelques liens à creuser :

- Monoxyde d'azote 1

- monoxyde d'azote 2

Modifié par Liane
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