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Oxyde nitrique


Liane
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Séropo à quoi ?

- au "vih" ?

- à la "peste" qui fait que mon séropo préféré m'évite de "peur de me contaminer" ?

- à l'angoisse pour moi de le voir commencer une tri-thérapie ?

- à la crainte de voir nos descendances conditionnées par des tests sans appels ?

- au génocide de ces 25 dernières années et des années qui viendront si ça ne se calme pas ?

....

Excuses-moi si je t'ai heurté par ma réaction de tout à l'heure. Je ne voulais pas te blesser.

4-bisou.gif

Modifié par Liane
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Il est quasiment impossible de te répondre, Lasimar, à défaut de connaître tes antécédents. Car l'arginine n'est pas forcément mauvais pour l'organisme. Il existe d'ailleurs de l'arginine en complément alimentaire.

L'oxyde nitrique tant décrié pour son lien de causalité avec le sida quand il est en excès reste indispensable pour l'organisme. Idem pour l'arginine. Ce dernier intervient d'ailleurs et par exemple dans les processus de cicatrisation et d'activation lymphocytaire, d'après ce que j'ai pu lire. Tout est question d'équilibre.

Ce que j'ai essayé de faire dans mon post précédent, c'est de tenter d'expliquer, je crois de façon plausible, pour quelle raison la canavanine pourrait effectivement aider des sidéens africains à aller mieux, c'est-à-dire en inhibant dans ces cas-là l'action de l'arginine. Maintenant, il ne s'agit pas d'en déduire que l'arginine est mauvais pour la santé dans tous les cas !

Pour pouvoir en dire plus, il faudrait nous en dire bien plus, c'est-à-dire connaître ton "historique".

Modifié par wallypat
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Voici donc mon historique...

-Déclaré officiellement séronégatif jusqu'en janvier 2005...

-Opération de l'appendicite en avril 2005...

-Rapprochement très hot avec un mâle en juillet 2005 dans un endroit chaud de l'Ile-de-France mais en étant actif (contact penis avec sperme d'autrui: le garçon qui l'accompagnait ressemblait à quelqu'un qui prend un traitement antirétroviral)

-Deux semaines après presque tous les symptômes de la primo-infection telle que décrite dans la littérature officielle: méningite lymphocytaire (paralysie des membres due à des douleurs insupportables, perte partielle de la compréhension de l'audition, de la vue et de la compréhension psychique), forte douleur à la déglutition, cinq jours de fièvre de cheval, éruption cutanée ressemblant au lupus (deux jours durant)...sueurs noctures...perte de 10 kilos en 10 jours, diarhées...puis amélioration spéctaculaire au bout d'une semaine mais épuisement physique et psychique complet dans les deux mois qui ont suivi...

-Depuis: les muscles et le poids sont revenus...mais plusieurs symptômes (qui existent toujours) m'ont conduit à passer un test de dépistage du virus vih en août 2006: douleurs type crampes musculaires très fortes dans les membres inférieurs, candidose buccale (peu développée), fatigue quotidienne, tension artérielle plus élevée qu'auparavant, fortes brulûres stomachales et reflux gastro-oersophagien,troubles du rythme cardiaque...

Résultats des tests: Elisa positif, Western Blot avec 3 bandes...CV de 1 220 à la première recherche...

Prise de sang: neutropénie et chute des plaquettes sanguines pendant trois semaines puis retour à la normale.

Néanmoins: je suis porteur du CMV...suis positif à une ancienne infection aux chlamydiae...je ne fume pas, bois par contre de l'alcool régulièrement...peu de sport...

Je me supplémente qutidiennement avec des antioxydants faiblement dosés.

Evolution des tests officiels depuis août 2005:

- CV 1220 T4: 980

- septembre 2005: CV=19 800 T4=913

- octobre 2005: CV = 3 600 T4= 1 368

- novembre 2005: CV= 615 T4 = 868

- février 2006: CV= 350 T4= 1 077

Je précise que je prend du Salvékol depuis plusieurs mois (mais pas de façon régulière).

Voilà j'espère que mes propos vont servir à certains et que je ne vais pas voir apparaître une réponse du style: " tu es accroc aux thèses officielles ou tu somatises avec un effet placébo..."

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Bonsoir,

Ce que je me demande dans ton histoire c'est si après le "comportement à risque" (selon les points de vue) tu ne t'es pas inquiété de ce qui c'était passé ?! Je veux dire tu as angoissé, stressé pendant les deux semaines qui séparent le "comportement à risque" et l'apparition des symptômes de la "prime infection" ou au contraire tu n'a pas du tout pensé au conséquence de ton comportement ?

Cela serait intéressant de le savoir.

(Cela m'étonnerais pas que la réponse soit oui)

Cordialement

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Bon, Lasimar, je fais aussi très vite.

Je me permets de te renvoyer à ce post que j'ai écrit en réponse à Psyence et qui est valable pour toi aussi.

Néanmoins: je suis porteur du CMV...suis positif à une ancienne infection aux chlamydiae...

70% (je crois) de la population française est porteuse d'anticorps contre le CMV. Ces 70% ne font pas de sida pour autant !

Outre les explications figurant dans le post auquel je t'ai renvoyé, tes anticorps anciens à une chlamydiae et la circonstance que tu as peut-être contracté le microbe causant le CMV lors de ce rapport "non protégé" et la mauvaise réaction qui a suivi (cf tes divers symptômes de la supposée "primo infection"), peuvent parfaitement expliquer que ton test dit "VIH" ait viré au rouge !

En tout cas, sur base de ce que tu as écrit (et ton style de vie apparemment "sain"), je considère que tu n'as aucun risque de faire un sida un jour. A moins de jouer l'effet nocebo (et quand je lis tes posts antérieurs, il est clair que tu es pleins dedans; je te proposerais donc de mieux "étudier" la dissidence du sida pour remédier à ce maudit effet nocebo).

Bref, j'arrêterais de voir ces "experts" VIH (effet nocebo) et je mènerai la vie en oubliant définitivement ce fichu test "VIH".

Franchement, s'il y en a bien un ici qui ne doit pas s'inquiéter, c'est bien toi ! En tout cas, c'est mon avis.

Modifié par wallypat
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Psyence,

Pour répondre à ta question sur mon inquiétude suite à un rapport intime non protégé, je te confirme que je n'ai pas le moins du monde stressé car j'utilise rarement une protection en latex...je n'ai même pas pensé "au risque" que j'aurai pu prendre...ce n'est que lorsque j'ai eu tous ces symptômes que j'ai pensé à passer un test...en fait le médecin que j'ai vu pour ces symptômes a cru que j'avais contracté un virus qui traîne dans l'Est de la France, proche des cours d'eau...appelé hantavirus, et je fréquente parfois les cours d'eau ou canaux pour pratiquer du footing, et ce virus provoque des symptômes proches de ceux du vih; j'ai passé le même jour le test du dit vih (le test hantavirus était négatif).

En réalité, je crois bien que le médecin biologiste que j'ai vu juste avant la prise de sang s'est étonné des symptômes que j'ai eus, sachant que les contaminations d'hantavirus sont exceptionnelles chez une personne jeune et en bonne santé (10 cas par an en France): son opinion était donc déjà faite avant de me tester au virus dit vih...

Je me demande bien d'ailleurs, si j'avais passé le seul test vih sans parler de ces symptômes, si celui-ci se serait révélé positif...car je pratique les plaisirs intimes avec autrui souvent sans protection...dans des endroits parfois chauds de l'Ile de France...(il est vrai en étant actif 9 fois sur 10).

Pour répondre à Wallypat, je précise que mes infections aux chlamydiae et au CMV datent de plus de 10 ans...et les anciens tests du dit vih furent tous négatifs...

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Invité venusien
...

Table 1.1 Revised Australian case definition for human immunodeficiency virus infection

A. Adults, adolescents and children aged 18 months or older at the time of blood sample collection

A.1 Confirmed case

Laboratory definitive evidence

HIV infection is diagnosed by any ONE of the following three combinations of evidence:

1. Repeatedly reactive result on a screening test for HIV antibody followed by a positive result on a

western blot. A positive result for a western blot is defined by the presence of a glycoprotein band

(gp41, gp120 or gp160) and at least three other HIV specific bands.

OR

2. Both of the following:

2(a). Repeatedly reactive result on a screening test for HIV antibody followed by a group IV

indeterminate western blot. A group IV indeterminate western blot is defined by the presence of a

glycoprotein band (gp41, gp120 or gp160) and one or two other HIV specific bands

AND

2(b). Detection of HIV by at least one of the following virological assays:

• nucleic acid testing for proviral DNA

• HIV p24 antigen, with neutralisation

• direct detection of HIV by virus isolation

OR

3. Detection of HIV by at least two of the above virological assays (nucleic acid testing for proviral

DNA, p24 antigen or virus isolation) in at least two separate blood samples.

http://web.med.unsw.edu.au/nchecr/Downloads/jul02survrpt.pdf

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J'attends le jour où l'on sera déclaré positif à une seule bande. Business is business icon_tresfache.gif

Lasimar, la primo-infection est orthodoxe.

Selon l'orthodoxie :

- la méningite lymphocitaire.

Le reflux gastro-oesophagien (RGO) correspond au passage d'une partie du contenu gastrique dans l'oesophage. En pratique clinique, il désigne une affection fréquente caractérisée par des symptômes et/ou des lésions oesophagiennes en rapport avec ce reflux.

Si le symptôme persiste, il vaut mieux explorer toutes les pistes afin de pouvoir y rémédier correctement.

Tous ces symptômes, selon l'orthodoxie, n'ont jamais été attribués au vih. Mais quand on est séropo, le médecin attribuera le moindre bouton à une "maladie opportuniste".

Le danger en est de passer à côté d'un réel problème de santé qui ne sera pas pris dans son contexte et qui risque de s'aggraver car non soigné dans ses causes réelles.

Pendant ce temps, le médecin se basera sur la charge virale pour établir un bilan de santé plus ou moins rassurant ou alarmiste, selon les résultats et dirigera, à terme, son patient vers l'entonnoir des tri-thérapies.

Lasimar, j'essaye de remettre les choses dans leurs contextes.

Quand on sait qu'une une simple grippe, une grossesse ou un herpex simplex peuvent faire réagir positivement un test, il y a de quoi se poser des questions.

Les causes réelles de ta méningite lymphocytaire pourraient être à l'origine de ton test positif.

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...

Les tests de VIH varient selon le pays dans lequel vous habitez. Aux États-Unis, au Canada et dans la plupart des pays d'Europe (mais pas en Angleterre ni au Pays de Galles), le Western Blot est utilisé pour confirmer le test ELISA. Le Dr Valendar Turner explique comment le test d'anticorps au VIH est interprété de manières extrêmement différentes en application de neuf standards internationaux différents. Par exemple, à la suite d'un test unique,une personne peut être : positive en Australie mais pas en France; positive en France mais pas en Australie (pour des raisons différentes); positive en Afrique et négative partout ailleurs dans le monde. On pardonnerait facilement à un Martien débarquant sur terre de se demander s'il est possible de faire plus subjectif (Turner, 1995).

Quant aux deux autres méthodes cités dans ton document, ils s'agit de méthodes de détection absolument non courantes et utilisées dans des cas exceptionnels. Elles allient détection d'anticorps (Western Blot) et détection de l'antigène P24 ou encore détection d'acides nucléiques du "VIH". Dans le cadre de ces deux autres méthodes, alors, "logiquement", il n'est pas requis en Australie que 4 bandes réagissent au Western Blot car ils ont déjà eu une "confirmation" avec l'antigène P24 et les acides nucléiques. Ces autres méthodes sont également utilisées dans d'autres pays, dont la France, mais pour ceux-là aussi, le protocole et les conditions de "confirmation" varient. Et donc, la confirmation de la séropositivité au "VIH" variera également en fonction des pays, et parfois même des laboratoires.

Mais pour en revenir à la détection du "VIH" par la seule méthode de détection des anticorps, soit la seule méthode couramment utilisée, tu auras pu constater qu'il faut bien quatre bandes "positives" au Western Blot et trois seulement en France. Donc, en France, Lasimar est un condamné à mort, en Australie, c'est un miraculé ayant frôlé la catastrophe de la "contamination".

Conclusion

Tu as tort, Venusien.

PS : Maintenant, tu me diras : "Que faut-il penser de ceux qui ont alors plus de 4 bandes postives, ou même les 10 ?" (d'ailleurs, ce fut mon cas : 10 bandes [très largement] positives, mais je sais très bien pourquoi).

La réponse est très simple : indépendamment du caractère ridicule des méthodes de diagnostic du "VIH", dont les crtières varient en fonction des pays et même de l'époque (!), il n'a tout simplement pas été prouvé que ces 10 protéines ont quelque spécificité que ce soit avec un rétrovirus dénommé "VIH". Maintenant, avoir 10 bandes positives au lieu de 4, c'est évidemment très mauvais signe car cela signifiera, en principe, que la personne en question souffre généralement d'un plus grand stress oxydatif que celui qui n'en a 4. En tout cas, cela devra être pris encore plus au sérieux (sans que cela n'ait bien sûr quoique ce soit à voir avec le "VIH").

Modifié par wallypat
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Bravo Liane pour cette étude des réelles causes potentielles des diverses maladies et symptômes endurés par Lasimar ! 4-bravo.gificon_bravo.gif

Voilà une petite étude mille fois plus intelligente et intéressante que le prétexte bien commode et passe-partout du "VIH", lequel permet aux "experts" de la médecine de ne pas s'interroger sur les causes réelles des ennuis de santé de Lasimar.

Ceci étant, je me permets de revenir brièvement sur la première phrase de ton post :

Jusquà 1990, un nombre inconnu des 4 954 homosexuels testés dans la MACS ont été diagnostiqués comme infectés par le VIH sur la base dun anticorps à la protéine p24 "spécifique du VIH", cest-à-dire sur la base dune seule bande WB. Pourquoi tous les autres tests semblables ne prouvent-ils pas linfection par le VIH? Pourquoi les homosexuels sont-ils déclarés infectés par un virus mortel avec la seule bande p24, alors que les patients atteints de maladies biliaires et hépatiques, avec la même bande, ne le sont pas ? Pourquoi les critères de linfection par le VIH ont-ils été fixés moins rigoureusement pour les homosexuels ?

Ecoeurant !

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Je réfléchis encore au cas de Lasimar, et complémentairement aux explications proposées par Liane, je me demande si Lasimar ne serait éventuellement pas contaminé (au moins le terme est exact ici) par l'une des deux très rares MST suivantes.

Il ne faut en effet pas perdre de vue que selon les "experts" ès sida, il aurait été "contaminé" par le "VIH" (lol), en sorte que les médecins ne s'interrogent même plus sur les vraies causes des divers symptômes anciens et actuels de Lasimar.

Ce ne sont bien sûr que deux hypothèses à (faire) vérifier par le principal concerné.

1) La Lymphogranulomatose vénérienne

Cette maladie vénérienne était inconnue en France, mais depuis peu elle commence à réapparaître (de plus en plus souvent) en France, et tout particulièrement dans les "coins chauds" de Paris.

Ceci étant, les médecins ne pensent que très rarement à examiner cette possibilité, et quand ils y pensent, ce n'est que quand cette MST se manifeste par des complications graves à l'anus. Or ces atteintes à l'anus ne concernent que les personnes ayant des pratiques anales réceptives. Mais Lasimar paraît plutôt être du genre "actif", donc, cette MST pourrait passer plus facilement inaperçue (comme bon nombre d'autres MST aux stades primaires et secondaires).

Examinons les symptômes de cette maladie, par exemple en lisant ce document-ci :

Quels sont les symptômes ?

Phase primaire : un chancre indolore appelé "chancre mou" (porte d'entrée pour les bactéries) apparait entre 3 jours et 3 semaines après la contamination : à la base du gland pour les hommes ; sur la vulve pour les femmes ; sur l'anus pour tous.

Phase secondaire : infections des ganglions provoquant de la fièvre, des douleurs, des maux de tête, des sensations de brûlures au niveau du gland ou du vagin, des difficultés pour aller à la selle, inflammation de la gorge.

Phase tertiaire : si la Maladie de Nicolas Favre n'est pas soignée, elle peut aboutir à de graves conséquences pour la santé (excroissances, méningite, atteinte cérébrale...).

Or parmi les symptômes décrits par Lasimar,nous trouvons entre autres : forte douleur à la déglutition, cinq jours de fièvre de cheval et la méningite bien sûr.

Dans cet autre document, il est également précisé que cette maladie peut se manifester par douleurs musculaires et articulaires, ce dont Lasimar semble encore souffrir justement.

Indépendamment de la lymphogranulomatose vénérienne, il existe également la lymphogranulomatose bénigne également appelée sarcoïdose, où le système immunitaire produit une réponse immunitaire très forte (pouvant être assimilée à la pseudo primo-infection par le VIH).

Cette maladie se caractérise entre autres par une méningite lymphocytaire parmi ces signes extra-respiratoires, et aussi fièvre, douleurs articulaires, ....

2) Le mycosplasma hominis

Je crois que cette seconde possibilité me semble également intéressante car elle permet d'établir clairement une corrélation avec sa consommation d'arginine, laquelle a "coïncidé" avec l'apparition des symptômes, et dont la cessation a "coïncidé" avec la disparition de la plupart des symptômes, du moins, si je l'ai bien compris.

Les mycoplasmes sont des microbes proches des bactéries dont il existe plusieurs familles et qu'on ne peut pas détecter avec une prise de sang (cela a donc peut-être échappé à l'attention du médecin traitant). J'ai eu l'occasion de lire que l'on peut en contracter sans que cela cause des symptômes quelconques.

Mais ce qui est intéressant de savoir, je crois, c'est que certains mycoplasmes utilisent l'arginine comme source d'énergie (!), ce que confirme également Wikipedia (bon, je sais, c'est loin d'être la meilleure référence, mais bon, on fait avec les moyens du bord ! lol).

Et Wikepedia précise également que parmi les mycoplasmes qui utilisent l'arginine (qu'a donc consommé Lasimar) comme source d'énergie, il y a entre autres la Mycoplasma hominis, qui est sexuellement transmissible. Et ce document (à la fin, sous le point "Etiologies rares") précise que les mycoplasmes peuvent entre autres causer des méningites.

En outre, il y a peut-être moyen de relier les deux hypothèses citées ci-dessus, à savoir lymphogranulomatose et mycoplasme.

En effet, dans le numéro 44 de Nexus (mai-juin 2006), il y a un volumineux dossier consacré à la grippe aviaire, où l'on précise en autres que le mycoplasme est un facteur dans la survenance de diverses maladies, dont le lupus (or Lasimar a noté entre autres comme symptômes : "éruption cutanée ressemblant au lupus (deux jours durant)") ..... et la sarcoïdose, déjà citée ci-dessus et connue également sous le nom de "lymphogranulomatose bénigne" !

Avec un petit raccourci, nous arrivons donc à : arginine (cela semble commencer avec cela, chez Lasimar, du moins si j'ai bien compris) ---> mycoplasme ---> lymphogranulomatose (vénérienne ou bénigne).

Je ne sais vraiment pas ce que tout cela vaut, mais outre les hypothèses retenues par Liane, je crois que ce serait prudent pour Lasimar de s'assurer qu'il n'a pas été contaminé par une forme quelconque de lymphogranulomatose ou de mycoplasme sexuellement transmissible, d'autant plus que je doute très fort que ces deux possibilités aient été un seul instant envisagées par les "experts" ès "VIH", tout heureux d'avoir trouvé du soi-disant "VIH" chez Lasimar.

En tout cas, il y a bien une chose dont je suis certain à 200%, c'est que le pseudo "VIH" n'y est absolument pour rien (outre le fait qu'il est en plus séronégatif en Australie, du moins sur base des informations communiquées par Lasimar et en fonction même des sottises délirantes de l'orthodoxie du sida) !

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Jusquà 1990, un nombre inconnu des 4 954 homosexuels testés dans la MACS ont été diagnostiqués comme infectés par le VIH sur la base dun anticorps à la protéine p24 "spécifique du VIH", cest-à-dire sur la base dune seule bande WB.

A GERBER icon_tresfache.gif

L'ampleur de cette mascarade dépasse complètement mon entendement !

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  • 2 weeks later...

Encore une publication très intéressante, qui montre très nettement que le monoxyde d'azote n'est dangereux que s'il peut réagir avec l'ion superoxyde, qui apparaît lors d'un stress oxydatif non compensé par les enzymes de protection telle la superoxyde dismutase. Et, que se passe-t-il lors que ce peroxynitrite formé est en excès ? Les cellules se suicident (ici les monocytes, mais on n'est pas vraiment loin des lymphocytes).

J'ai oublié d'indiquer qu'il semble de plus en plus certain que la glutathion peroxydase (qui est en déficit chez les personnes malades du sida) permet au glutathion (en déficit chez les mêmes personnes) d'éliminer ce peroxynitrite.

Modifié par Cheminot
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  • 2 weeks later...

...d'un stress oxydatif non compensé par les enzymes de protection telle la superoxyde dismutase.

1-marteau.gif

Je vais y arriver ! Cheminot, traduis-moi tes messages la prochaine fois... chui pas chimiste, moi !

Asthme et séropositivité :

ASTHME ET SUPEROXYDE DISMUTASE (SOD)

(début de l'histoire en 1ère page du post)

SOD, traitement symptomatique de lasthme ?

Bien que les causes exactes de lasthme ne soient pas précisément connues, un certain nombre de recherches suggèrent que des espèces réactives de loxygène incluant le superoxyde pourraient endommager les tissus pulmonaires et conduire à un état asthmatique.

Des études ont observé que les niveaux de SOD et dautres antioxydants de lorganisme chutent brutalement immédiatement après le début dune crise dasthme.

Dautres travaux ont indiqué que les niveaux de glutathion peroxydase étaient significativement réduits chez des adultes ou des enfants souffrant dasthme.

Enfin, des recherches suggèrent quune augmentation des niveaux de SOD dans les poumons pourrait aider à prévenir ou à traiter les crises et les symptômes de lasthme.

Un crise dasthme a été provoquée par un allergène. Immédiatement après la crise, les chercheurs ont constaté que les niveaux de SOD, chez les patients asthmatiques, étaient significativement plus bas que chez les sujets témoins.

De plus, quatre des patients ont vu leurs niveaux de SOD diminuer continuellement encore 48 heures après la crise.

La forte relation existant entre de faibles niveaux de SOD et lactivité de symptômes dasthme chez ces patients suggère que la SOD pourrait être la première ligne de défense contre les crises dasthme.

Restaurer les niveaux de SOD pourrait protéger les tissus pulmonaires de nouvelles lésions oxydatives.

Dans une autres étude, des chercheurs ont constaté que la SOD pouvait réduire la sévérité dune crise dasthme déclenchée par des allergènes et des produits chimiques.

Ils ont observé que des niveaux adaptés de SOD diminuait leffet constricteur des allergènes et rendaient la respiration plus aisée.

Les chercheurs en ont conclu que la SOD pourrait constituer un traitement symptomatique efficace de lasthme.

Nutranews, juin 2006

http://www.nutranews.org/fra/index.php?articleid=3605

Cheminot, si tu en as d'autres comme ça, n'hésites pas. Merci icon_biggrin.gif

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  • 4 weeks later...

ANTIOXYDANTS et ASTHME :

Plusieurs études montrent que les asthmatiques qui prennent des formulations antioxydantes puissantes souffrent de crises beaucoup moins nombreuses et sévères.

Il est également conseillé aux asthmatiques de prendre au moins 500 mg par jour de magnésium élémentaire (des niveaux élevés de magnésium sont inversement corrélés à la fréquence des crises dasthme) et 1.200 mg de N-Acetyl Cystéine pour éliminer le mucus qui peut aggraver les crises.

Nutranews (encore)

Antioxydants...aussi pour les candidas albicans, les allergies, l'arthrite, les problèmes cardiovasculaires, la cataracte, le cholestérol icon_eek.gif

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  • 2 weeks later...
Invité melloute

Bonsoir, dans ton post, tu écris...

L'oxyde nitrique est par ailleurs considéré comme un puissant bronchodilatateur.

Il est utilisé dans certains médicaments contre l'asthme.

De là à me dire que certains bronchodilatateurs utilisés à long terme donneraient une sérologie positive au vih, il n'y qu'un pas.

- Et bien, je dois t'avouer que j'ai été 'shooter' à la ventoline (presque depuis l'enfance) et ce, pendant de très longues années...

Ventoline à laquelle il faut rajouter les corticoides et les antibios...

Bon, je dois couper l'ordi car un gros orage arrive....

Bonne soirée

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A propos d'oxyde nitrique, j'ai trouvé une publication qui montre que, in vivo, l'azoture de sodium semble être un donneur indirect de monoxyde d'azote :

L'azoture de sodium étant moins oxydant que les azotures d'alkyle tels l'AZT, il y a de très fortes chances que l'on puisse montrer que l'AZT soit la source d'un excès de monoxyde d'azote.

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