Ceriums Posté(e) le 11 décembre 2005 Partager Posté(e) le 11 décembre 2005 (modifié) Bonjour à tous! Pourrait on me dire si aujourd'hui, on est capable de prendre un "malade" ayant une "charge virale" élevée, prélever une goutte de son sang et d'en extraire un virus? Si le "VIH" est transmissible par le sang ça devrait supposer qu'il est présent dans ce sang, et "en entier", car un fragment de virus et autant un virus qu'une cuisse de poulet un poulet. Et qu'en est il du sperme ou autres sécretions dites à risques? Voila il s'agit d'une question toute simple à laquelle j'attends si possible une réponse tout aussi simple Merci. Modifié le 11 décembre 2005 par EcliptuX Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 11 décembre 2005 Partager Posté(e) le 11 décembre 2005 Tout d'abord, "l'isolation" de ce soit disant virus consiste à centrifuger le plasma qui a été préalablement traité par des oxydants et à rechercher - des protéines - de l'ARN qui code pour ces protéines. - une image de ce virus au microscope électronique. or, ceci n'a été fait par Gallo que dans 30% des cas de personnes atteintes du sida. Il s'est alors contenté de détecter des protéines qu'il a considérées comme spécifiques du vih... et qui ne le sont pas, car on peut les retrouver (ou du moins leurs épitopes) d'autres occasions, plus généralement connues comme étant liées au "stress oxydatif" Quant au virus "entier" il n'existe pas, puisque les ARN trouvés ne sont que des morceaux d'ARN, qu'ils ont comparés aux ARN donnant de sprotéines naturelles ayantles mêmes fonctions théoriques, parce qu'on y retrouve des séquences voisines. Enfin, les photos du "virus" "purifié" n'ont été faites qu'en 1997, et, sur ces photos, on ne voit presque rien qui ressemble à un rétrovirus tel qu'il est défini dans la "société" des virologues. Par contre, il y a très certainement une dégradation de la santé liée à la présence de ces protéines et de ces ARNs, et, lors de contacts où il y a apport massif de ces protéines par le sang (transfusion et grossesse), il y a certainement une réaction négative de la part du système immunitaire du receveur, et c'est sans doute dans le cadre des maladies autoimmunes et alloimmunes que l'on devrait faire des recherches, avec en arrière plan la cause la plus probable, à savoir le stress oxydatif, que les êtres humains subissent de plus en plus, à cause justement de toutes les technologies (chimie en particulier) qu'il croit maîtriser alors qu'en fait il a joué à l'apprenti sorcier. Le fait que le sang qui comporte ces protéines alloimmunes puisse être rendu non alloimmun par chauffage est connu depuis 20 ans, et indique que les virus ne sont pas les seuls à être désactivés par le chauffage. J'ai surtout l'impression que ceux qui se sont décidés pour la théorie de Peter Duesberg (les tests n'ont rien à voir avec le sida) ont fait fausse route et on voit actuellement qu'ils se sont partiellement plantés (suivre l'actualité). Par contre, il est aussi clair que ces tests ne sont pas calibrés et n'indiquent pas la présence ou non d'un virus qui va se multiplier, mais simplement la présence d'un déséquilibre de la santé, pouvant s'aggraver car il s'agit d'une maladie alloimmune, qui ne conduit pas à la mort lorsque on n'aggrave pas cet état par toutes sortes de substances oxydantes. C'est ce qui se passe en Afrique, où, malgré des séropositivités excessives (d'ailleurs fortement biaisées), on ne constate pas de baisse de la population, au contraire. Le modèle proposé par le Groupe de Perth est bien plus proche de la vérité, à mon avis : le chaînon manquant réside entre le "virus" et la séropositivité. Laseconde existe bel et bien, le premier, qui infecterait et se multiplierait, n'existe pas. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Aminata Posté(e) le 11 décembre 2005 Partager Posté(e) le 11 décembre 2005 Bonjour et en aparte Par contre, il y a très certainement une dégradation de la santé liée à la présence de ces protéines et de ces ARNs, et, lors de contacts où il y a apport massif de ces protéines par le sang (transfusion et grossesse), il y a certainement une réaction négative de la part du système immunitaire du receveur, Tout transfusion sanguine cree un etat de choc dans l'organisme qui le lit "comme un corps etranger" avec tous les phenomenes de refus que cela suppose au niveau immunitaire... En outre, toutes les transfusions deplacent le terrain du transfuse sur un terrain alcalino oxyde... ce que tu appelles toi, le stress oxydatif... Amities Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wallypat Posté(e) le 12 décembre 2005 Partager Posté(e) le 12 décembre 2005 (modifié) Pourrait on me dire si aujourd'hui, on est capable de prendre un "malade" ayant une "charge virale" élevée, prélever une goutte de son sang et d'en extraire un virus? Une réponse toute simple, là voici. Même chez un malade du sida en phase terminale et ayant une "charge virale" dite élevée, soit on ne trouve pas directement le "virus" dans la plupart de ces malades, soit on en trouve dans une cellule sur mille ou dix mille, ce qui est naturellement absolument insignifiant et surtout incapable de provoquer un effondrement immunitaire quelqu'il soit (alors que dans n'importe quelle autre maladie virale en phase terminale, c'est par millions [!] qu'on en trouve). C'est justement pour surmonter cette difficulté de taille dans la théorie du virus tueur qu'a été inventé le concept de "charge virale", dont l'inanité en matière de sida n'est plus à démontrer. Mais c'est bien avec cette technique de charge virale que l'on fait peur aux séropos et qu'on les incite à prendre leurs drogues antivirales ! Modifié le 12 décembre 2005 par wallypat Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ceriums Posté(e) le 12 décembre 2005 Auteur Partager Posté(e) le 12 décembre 2005 C'est justement pour surmonter cette difficulté de taille dans la théorie du virus tueur qu'a été inventé le concept de "charge virale", dont l'inanité en matière de sida n'est plus à démontrer. Excusez moi mais quelque chose m'interpelle. (Je pose peut etre des questions betes mais je ne suis pas dans le milieu et je m'interroge.) que mesure t on avec cette technique de mesure de la charge virale? Le chiffre qu'on annonce, est ce le nombre de virus en présence dans le sang ou de simples protéines supposées spécifiques au virus? Et dans la mesure ou ce serait une mesure de protéines spécifiques au virus, comment serait il possible que le virus se retransmette. Je m'explique, un virus infecte une cellule hote et detourne son activite pour fabriquer de nouveaux virus si je ne m'abuse, dans le cas des retro-virus, les nouveaux virus s'extraient par bourgeonnement et sont libérés dans l'organisme pouvant ainsi contaminer de nouvelles cellules. Mais alors pourquoi une fois de plus est on incapables de trouver ce virus dans le sang? Vous me direz tout simplement parce qu'il n'existe pas. Si vous me confirmez ce que je viens de dire alors selon moi il n'y aurait plus de place pour le moindre doute a ce sujet. Comment pourrait on encore y croire Merci pour votre patience et votre gentillesse. Quelqu'un qui commence à s'insurger. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wallypat Posté(e) le 13 décembre 2005 Partager Posté(e) le 13 décembre 2005 (Je pose peut etre des questions betes mais je ne suis pas dans le milieu et je m'interroge.) que mesure t on avec cette technique de mesure de la charge virale? Le chiffre qu'on annonce, est ce le nombre de virus en présence dans le sang ou de simples protéines supposées spécifiques au virus? Rassure toi, en cette matière, les questions apparemment "idiotes" sont souvent bien plus "intelligentes" que les réponses fournies par la nomenklatura orthodoxe du sida. Et je ne suis pas un spécialiste. J'ai juste lu (et continue à lire) beaucoup d'articles sur le sujet et j'essaie d'expliquer - parfois très maladroitement - avec mes propres mots. Mais comme pour le moment tout le monde ou presque semble surchargé, je me dévoue. L'expression "charge virale" est particulièrement trompeuse et fait croire aux séropos qu'on l'on prétend mesurer le nombre de "virus VIH" par millilitre de sang. Et bien sûr, quand on annonce à un séropo qu'il a par exemple une charge virale de 100.000, il croit sa dernière venue ..... à moins qu'il prenne sans tarder ses si "bénéfiques" "cocktails" "thérapeutiques". Et cela marche ! La peur, la peur, toujours la peur. En réalité, quand on annonce un chiffre de 100.000 comme charge virale, cela signifie au mieux .... qu'il a 10 "virus VIH" par millitre de sang, et encore ! L'orthodoxie du sida a de tout temps été confronté à un problème insurmontable (parmi des dizaines d'autres), à savoir que même chez les"sidéens" en phase terminale, l'activité "virale" du VIH est faible, voire nulle (cf mon post précédent). Voulant surmonter cet écueil, depuis 1995, l'orthodoxie du sida prétent mesurer la "charge" de "virus VIH" à l'aide de la technique du PCR (Polymerase Chain Reaction), une sorte de "photocopieuse biologique" révolutionnaire qui permet, à partir d'un échantillon de sang contenant de très petites quantités de ADN ou de ARN, de créer des millions de copies. Cette invention permet en quelque sorte l'identification d'une aiguille (= le si insaisissable "VIH") dans une botte de foin (= le sang) en multipliant les aiguilles jusqu'à ce qu'elles soient plus nombreuses que le foin ! Et on peut dire qu'en matière de VIH, cela est bien "nécessaire"..... L'application de l'invention du PCR en matière de détection du si introuvable et insaisissable "VIH" pose - au moins (mais il y en a d'autres) - deux problèmes ..... de taille. PREMIEREMENT, et contrairement à ce que tu pourrais croire, la technique du PCR en matière de sida ne prétend pas mesurer le nombre de "virus VIH" ou de protéines supposées spécifiques au VIH, mais consiste à multiplier en grand nombre et selon des calculs mathématiques très complexes de courts composants d'ARN supposés attribués au fameux "virus HIV". Mais rien ne prouve que ces fragments d'ARN vient du fameux "virus HIV" (que l'on n'est toujours pas parvenu à isoler et dont, au surplus, on n'a toujours pas réussi à décoder le génome). Ces fragments d'ARN peuvent parfaitement provenir d'innombrables déchets cellulaires variés ayant ces mêmes fragments d'ARN. Ces fragments d'ARN peuvent également provenir de diverses particules virales ou rétrovirales, mais rien ne prouve que ces fragments d'ARN proviennent du fameux "virus HIV". En d'autres termes, n'hésitons pas à le dire, on prétend mesurer la charge de "virus HIV" dans le sang d'un séropo ..... en prenant n'importe quoi (fragments d'ARN non spécifiques) qu'on multiplie par plusieurs millions ..... pour obtenir un résultat .... qui n'est n'importe quoi ! La seule utilité de ce concept de charge virale est en réalité d'effrayer les séropos et de les pousser à prendre leurs drogues antivirales ...... pour le plus grand bénéfice des entreprises pharmaceutiques ! DEUXIEMEMENT, et comme si ce qui précède ne suffisait pas, il est quand même évident pour n'importe qui qu'il n'est en aucune façon censé de multiplier dans un premier temps de nombreux fragments de structure génétique, et puis de postuler ensuite leur présence en grand nombre, .... et donner ainsi l'impression que le séropositif est investé par le "virus VIH" ! En réalité, si le séropo mourrait d'une multiplication anarchique du "virus HIV" et qu'il y en avait assez, les scientifiques devraient être en mesure de le rendre visible par des techniques largement éprouvées par le passé, telles que le microscope électronique traditionnel (or ici, avec les multiplications que l'on doit faire dans cette "application" de la technique du PCR, nous sommes au niveau de ..... la sensibilité de la physique atomique !). Et n'oublions pas que même chez la plupart des "sidéens" en phase terminale, l'activité virale est nulle ou proche de nulle. Or zéro (ou presque : 0,1 par exemple) multiplié par un exposant "millions" (0,1 x 0,1 x 0,1 .....), cela fait toujours ........... zéro ou presque ! Mais on fait peur aux séropos avec les "millions" précités : c'est quand même plus effrayant que zéro ou presque ! Pour conclure (s'il en est encore besoin) sur l'inutilité du concept de charge virale en matière de sida, encore quatre réflexions. a) On n'a en réalité pas pu démontrer une quelconque relation fiable entre le taux de la "charge virale" et le risque de développer un sida déclaré. b) L'inventeur du PCR, étant le docteur Kary Mullis, qui a d'ailleurs reçu le prix Nobel en 1993 pour cette invention (qui d'autre que lui connaît mieux son invention ?), dénie tout utilité de cette invention pour mesurer une prétendue "charge virale de VIH". Cette invention a en revanche été révolutionnaire en d'autres matières, telles que le décodage du génome humain. c) La FDA (Food and Drug Administration), qu'on ne peut certainement pas suspecter de sympathie pour la dissidence du sida, n'a à ce jour encore JAMAIS validé et approuvé le test PCR en matière de diagnostic de sida, jugeant la technique du PCR non fiable et non spécifique pour mesurer une prétendue charge virale. Bref, la FDA considère les tests Elisa et consorts plus fiables (et pourtant, nous savons ce qu'il faut déjà penser de ces derniers tests !) que la mesure de la charge virale. Cependant, la technique de PCR est utilisée tous les jours pour prétendre mesurer la pseudo efficacité des drogues antivirales, efficacité tirée du fait que la charge virale diminue, voire même devient indétectable. d) Et comme s'il cela ne suffisait pas, des charges virales peuvent également être détectées chez des personnes ..... séronégatives aux tests HIV ! Comprenne qui pourra ! PS 1: Si quelqu'un veut corriger ou compléter le présent post, qu'il n'hésite pas ! PS 2 : Il ne faut pas me croire sur parole. Sur www.sidasante.com (entre autres), tu trouveras différents articles qui traitent à titre principal ou accessoire de ce point ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
lasimar Posté(e) le 13 décembre 2005 Partager Posté(e) le 13 décembre 2005 Cheminot, Quelle est, pour toi, la définition de la "séropositivité"? A quoi est-on séropositif si ce n'est au vih? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 13 décembre 2005 Partager Posté(e) le 13 décembre 2005 Je t'invite, Lasimar, à lire la conclusion provisoire que j'ai apporté à ma présentation sur cette problématique. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ceriums Posté(e) le 15 décembre 2005 Auteur Partager Posté(e) le 15 décembre 2005 Bonjour. Cela fait quelques mois maintenant que je parcoure les différents sites traitant du sujet et je pense maintenant avoir ouvert les yeux, même si de temps en temps, quand je vois un spot télé sur le sida, pendant quelques millisecondes j'ai encore une petite réminiscence Pour être plus sérieux, je sais qu'il s'agit d'un sujet relativement technique et tous ici n'avons pas les connaissances pour réellement appréhender tous les aspects et se forger une bonne idée de la chose. Pourquoi ne pas rédiger une sorte d'article de vulgarisation synthétisant les idées principales, qui pourrait être accessible à tout le monde? Je parle à tout le monde autour de moi de ce que je découvre sur vos pages et à chaque fois je passe pour un illuminé ou un inconscient. Lorsque je propose aux gens de lire les articles, ils disent ne pas être à même de juger de leur validité. Je suis surpris de constater que ces idées soient étouffées, je ne peux pas imaginer que personne ne veuille en parler... Les dissidents ont ils une politique de communication? Pas dans la presse scientifique qui semble les ignorer mais auprés du grand public. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité rosalie Posté(e) le 15 décembre 2005 Partager Posté(e) le 15 décembre 2005 (modifié) Lorsque je propose aux gens de lire les articles, ils disent ne pas être à même de juger de leur validité. Par contre ils jugent de la validité de la thèse officielle sur la confiance qu'ils ont dans "les élites" car pour ces articles là aussi il ne sont pas à même de juger. Donc c'est ce que je disais plus haut, c'est la confiance dans la communauté scientifique, politique et social qui compte. donc c'est mal barré. Modifié le 15 décembre 2005 par rosalie Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wallypat Posté(e) le 15 décembre 2005 Partager Posté(e) le 15 décembre 2005 Je parle à tout le monde autour de moi de ce que je découvre sur vos pages et à chaque fois je passe pour un illuminé ou un inconscient. Lorsque je propose aux gens de lire les articles, ils disent ne pas être à même de juger de leur validité. Je suis surpris de constater que ces idées soient étouffées, je ne peux pas imaginer que personne ne veuille en parler... Je ne puis que marquer mon accord sur le post de Rosalie qui précède. Ceriums, sache que c'est l'omerta sur le sujet, et ce dans toute la presse. Parler de la dissidence du sida, c'est trop dangereux, paraît-il ! La recherche de la vérité scientifique, tout le monde ou presque s'en fiche ! Trop d'intérêts sont en jeu en outre : financiers, médicaux, politiques, sociaux, ... Ceci étant, je suis loin d'être pessimiste, et ce grâce à internet. D'ailleurs, Ceriums lui-même est la preuve vivante que l'information finit par passer, et cela passe beaucoup plus facilement grâce à internet justement. Et ce serait intéressant d'ailleurs que Cériums nous précise comment il a eu vent de la dissidence du sida. Et il est de même de tout nouvel intervenant sur ce topic. La première question que l'on devrait poser systématiquement à ton nouvel intervenant sur ce sujet serait justement : "Comment as-tu eu connaissance de l'existence de la dissidence du sida ?". Ainsi, cela permettra de mieux savoir dans quel sens nous pourrions agir pour davantage faire connaître ces autres explications au sida. Ceriums, surtout ne te décourage pas, que du contraire ! Depuis que j'ai découvert la dissidence du sida il y a six mois, j'en ai déjà parlé grosso modo à une cinquantaine de personnes. Tous (à l'exception d'un seul qui s'est tout de suite dit intéressé au sujet) m'ont dit au début que j'étais devenu un fou dangereux. Toutefois, un deuxième a rejoint mon opinion lorsqu'une autre personne (que je ne connais pas) lui en a également parlé. Cela l'a titillé et il a commencé à faire l'effort de s'intéresser au sujet. Et deux autres personnes qui m'avaient au départ considéré comme irresponsable commencent enfin à se poser de sérieuses questions, parce que j'ai eu l'opportunité de relancer le sujet dans d'autres circonstances. Internet et le bouche à oreille fonctionnent, encore assez lentement mais sûrement. Aie le courage de tes opinions ! La folie de millions de gens ne peut faire le poids face à la raison d'un seul. PATIENCE ET PERSEVERITE permettront de vaincre les obstacles. Je n'en doute pas un seul instant. Le mouvement est lancé et grossit davantage chaque mois ! Bref, continue à en parler autour de toi, du moins si tu en es parfaitement convaincu. Cela se révélera payant tôt ou tard ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ceriums Posté(e) le 16 décembre 2005 Auteur Partager Posté(e) le 16 décembre 2005 Pour répondre à Wallypat, je suis tombé sur les sites dissidents aprés avoir fait une mononucléose. Quel est le rapport me direz vous? Et bien je suis du genre à me poser beaucoup de questions (trop peut etre ^^) et en voulant en apprendre d'avantage j'ai commencé mes recherches sur internet. Je suis trés souvent tombé sur des sites qui parlaient de syndrome mononucléosique et de sida, si bien que, de par ma nature un peu hypocondriaque, je me suis presque convaincu que j'etais seropositif, et ce sans avoir jamais pris de "risque". J'en conviens aujourd'hui, c'est totalement absurde, mon médecin m'a fait passer un test, le résultat était sans équivoque, j'avais la mononucléose. Mais je pense pouvoir dire que je ne suis pas un cas isolé, quand on regarde de plus prêt sur internet, en fin de compte tous les symptomes ou presque peuvent être catalogués dans des symptomes d'une primo-infection au "VIH". D'ailleurs le docteur Dupagne parle de ce phénomène sur atoute.org, où il explique que 99% des internautes qui font des recherches lorsqu'ils ont un "pet de travers" s'autodiagnostiquent séropositifs. Je sais que le docteur Dupagne n'est pas dissident mais ironie du sort, c'est par son site que j'ai appris votre existence ^^ Je vais passer hors sujet et je m'en excuse. On a entendu parler dans les années 90 de personnes qui avaient été inculpées pour avoir sciemment contaminer d'autres personnes. Il pourrait être amusant un jour de voir un de ces inculpés demander réouverture de son dossier car si il était prouvé que le VIH n'existait pas alors il serait victime du système Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wallypat Posté(e) le 16 décembre 2005 Partager Posté(e) le 16 décembre 2005 (modifié) On a entendu parler dans les années 90 de personnes qui avaient été inculpées pour avoir sciemment contaminer d'autres personnes. Il pourrait être amusant un jour de voir un de ces inculpés demander réouverture de son dossier car si il était prouvé que le VIH n'existait pas alors il serait victime du système "Amusant", je n'utiliserais pas vraiment ce terme pour ces pauvres malheureux injustement condamnés. Mais il est vrai que leur situation est une raison de plus pour laquelle la dissidence du sida a encore bien du mal à se faire entendre et surtout à se faire accepter. Il ne fait cependant pas de doute qu'ils auront droit à de bien substantiels dommages-intérêts lorsqu'il sera enfin devenu évident que le sida n'est pas une maladie sexuellement transmissible. Mais peut-être que la plupart de ces condamnés auraient pu être acquittés sous le bénéfice du doute s'ils avaient au moins basé leur stratégie de défense sur la dissidence du sida ? Cela suppose, il est vrai, qu'ils en aient été préalablement informés. Donc, à nous d'en parler ..... à toutes les occasions possibles ! Pour le reste, merci de nous avoir dit comment tu as été informé de la dissidence du sida. Grâce à internet, visiblement. Modifié le 16 décembre 2005 par wallypat Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Viduité Posté(e) le 17 décembre 2005 Partager Posté(e) le 17 décembre 2005 Rosalie ... Mais bon qui vivra verra, qui auraient pensé que le bloc communiste allait s'écrouler un an avant que cela arrive ? Mais beaucoup de monde Rosalie ... même plus d'un an avant ... dix sans doute ... J'y travaillais à l'époque (en 1984) ... le système était déjà en état de décomposition avancée ... Je me souviens des jeunes soldats russes (qui sont allés se faire massacrer juste après en afghanistan) errant dans les rues de DDR et les allemands de l'est esquissant déjà les premiers mouvements de répulsion explicites à leur endroit ... et les bras d'honneur ... La nomenkaltura avisée flirtait déjà avec le monde libre et Helmut Köhl venait dîner sans problème chaque semaine de l'autre côté du rideau de fer ... avec ses homologues dont sans doute la nouvelle chancelière de l'Allemagne réunifiée. Ne nous inquiétons pas trop pour le devenir des "savants" d'aujourd'hui qui diabolisent la dissidence ... Comme les politiques de l'ancien régime (soviétisant), ils sauront se replacer astucieusement ... quelques têtes seront sacrifiées pour la forme ... celles qui ne seront pas descendues du train suffisamment tôt ... un déficit en opportunisme. Mieux encore et comme d'habitude, ils seront les héros du nouvel ordre mondial à l'instar des résistants de la dernière heure des belles années 45 en France ... des anti-franquistes d'opérette espagnols des années 75 ... des khmers blancs de 79 ... ... J'aime bien ta comparaison avec l'histoire du Père Noël ... c'est tout-à-fait ça ... Alors bon noël à tous ... n'ayons pas trop les boules quand même ... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Viduité Posté(e) le 18 décembre 2005 Partager Posté(e) le 18 décembre 2005 Dak, La phase terminale se situe juste avant la fin (à ce niveau de généralités ...) ... lorsque tu commenceras à apercevoir les pissenlits de l'éternité se rapprocher de toi et qu'il sera temps de te mettre à table afin de les consommer en toute quiétude. A ce moment là, critique s'il en est, tu apercevras aussi de savantes blouses blanches t'expliquer scientifiquement pourquoi tu en es arrivé là ... Deux cas de figure peuvent se présenter : 1. tu as suivi à la lettre les conseils des tri thérapeuthes et tu es en train de crever de leurs effets ... puisque tu as fait exploser tes scores de cholestérol et de glycémie (pour ne parler que de cela) pendant de trop longues années ... Ce n'est pas moi qui le dis mais bien eux (un soupçon d'humilité) ... 2. tu n'as pas suivi les conseils de ces tri thérapeuthes ... et tu continues à vivre (sans survivre) loin de leurs conseils "avisés" ... Dans le premier cas et en déclinatoire de responsabilité, ils t'expliqueront : " Nous avons fait le maximum avec les connaissances de la Science (la science, c'est eux, faut-il le rappeler) à un instant T " ... tu auras ainsi la bonne conscience du mourrant "responsable" ... et "bien élevé" ... ça soulage ... avant le verdict du Très Haut ... quant à ta destination finale ... Dans le second cas, tu auras droit à un propos du genre : " héhé mon garçon, nous vous avions prévenu ! " ... Là, tu prendras conscience que les enfers te sont amplement mérités (car les thérapeuthes ont déjà prévenu le Très Haut de ton obstination) pour avoir ainsi défié le "sacré" ... (sacrés connards ... penseras-tu même en étant contraint de les voir encore). Cela étant ... et si par extraordinaire (mais pas si extraordinaire que cela finalement), tu résistes et tu n'entres dans aucune de ces deux possibilités promises (voire appelées de leurs voeux par les statisticiens de la bonne pensée, eux mêmes valets des formateurs de cette pensée rectiligne) ... Nous t'autorisons à déboucher une bouteille de champ la semaine prochaine et à formuler le voeu que tu passeras encore 2006 ... voire les suivantes ... Un jour, ça s'arrêtera (voilà au moins une certitude absolue et donc incontestable) mais peut-être après même l'existence des donneurs de leçons eux-mêmes ... Bonnes fêtes à toi ! PS : à propos de statisticiens ... quelqu'un est-il déjà allé regarder l'excellent site de l'INSEE (insee.fr) ... ... à la rubrique des causes de mortalité ... chiffres de 99 (pourquoi si anciens ?) montrant quelques dizaines de cas ... et encore ... ils se plaisent à regrouper sur une même ligne : SIDA + autres maladies infectieuses ... en sous-ventilation, ça donne quoi ? ... on ne sait pas ou on ne veut pas savoir ... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wallypat Posté(e) le 23 décembre 2005 Partager Posté(e) le 23 décembre 2005 L'expression "charge virale" est particulièrement trompeuse et fait croire aux séropos qu'on l'on prétend mesurer le nombre de "virus VIH" par millilitre de sang. ... PREMIEREMENT, et contrairement à ce que tu pourrais croire, la technique du PCR en matière de sida ne prétend pas mesurer le nombre de "virus VIH" ou de protéines supposées spécifiques au VIH, mais consiste à multiplier en grand nombre et selon des calculs mathématiques très complexes de courts composants d'ARN supposés attribués au fameux "virus HIV". Mais rien ne prouve que ces fragments d'ARN vient du fameux "virus HIV" (que l'on n'est toujours pas parvenu à isoler et dont, au surplus, on n'a toujours pas réussi à décoder le génome). Ces fragments d'ARN peuvent parfaitement provenir d'innombrables déchets cellulaires variés ayant ces mêmes fragments d'ARN. Ces fragments d'ARN peuvent également provenir de diverses particules virales ou rétrovirales, mais rien ne prouve que ces fragments d'ARN proviennent du fameux "virus HIV". En d'autres termes, n'hésitons pas à le dire, on prétend mesurer la charge de "virus HIV" dans le sang d'un séropo ..... en prenant n'importe quoi (fragments d'ARN non spécifiques) qu'on multiplie par plusieurs millions ..... pour obtenir un résultat .... qui n'est n'importe quoi ! La seule utilité de ce concept de charge virale est en réalité d'effrayer les séropos et de les pousser à prendre leurs drogues antivirales ...... pour le plus grand bénéfice des entreprises pharmaceutiques ! ... a) On n'a en réalité pas pu démontrer une quelconque relation fiable entre le taux de la "charge virale" et le risque de développer un sida déclaré. ... PS 2 : Il ne faut pas me croire sur parole. Sur www.sidasante.com (entre autres), tu trouveras différents articles qui traitent à titre principal ou accessoire de ce point ! Pour ceux que ce sujet précis intéresse tout particulièrement et qui ont les compétences scientifiques pointues adéquates (ce dont je ne dispose malheureusement pas), Etienne De Harven cite entre autres l'article suivant : Collectif (2000) : "Human immune deficiency virus type 1 RNA level and CD4 count as prognostic markers and surrogate end points : a meta-analysis" - AIDS Research and Human Retroviruses , volume 16, n°12, pages 1123 à 1133. Cette analyse de 96 études montre le manque de spécificité et de sensibilité de la technique PCR dans le diagnostic du sida ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Bipol Posté(e) le 23 décembre 2005 Partager Posté(e) le 23 décembre 2005 Je regarde de loin le debat des dissidents SIDA, mais je dois dire j' ai du mal a m'y retrouver dans ce debat. Il a ete dit que il n' a pas ete possible de le sequencer. Alors je me demande ce que sont en train de sequencer les equipes qui ont cree ces bases de donnees? avez vous une idee? base de donnees de sequencage du HIV Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité fionabarber Posté(e) le 23 décembre 2005 Partager Posté(e) le 23 décembre 2005 Je regarde de loin le debat des dissidents SIDA, mais je dois dire j' ai du mal a m'y retrouver dans ce debat. Il a ete dit que il n' a pas ete possible de le sequencer. Alors je me demande ce que sont en train de sequencer les equipes qui ont cree ces bases de donnees? avez vous une idee? base de donnees de sequencage du HIV Je pense qu'etant donne que ce virus est un virus mutant, cela change completement les procedures et rend la tache plus difficile...mais si le sida etait comme tous les autres virus, il se soignerait tres bien...je pense aussi que la fameuse charge virale depend de la personne contaminee qui a contamine l'autre, de la duree pendant laquelle elle etait porteuse du virus...quant a la personne qui s'est faite contaminee, on determine sa charge virale par le fait qu'au moment de la transmission elle se trouve dans une periode ou elle a moins d'anticorps a cause du stress ou d'autres maladies ou infections...Le terrain joue une role important dans la transmission. Pour extraire ce virus, il faudrait deja le connaitre, et je doute de cela, car les chercheurs ont les moyens mais peut-etre n'ont pas toutes les infos concernant ce virus. Ou peut-etre que ce virus a ete cree pour encore nous diviser come on le fait souvent...il parait qu'on est trop nombreux sur Terre...je ne sais pas... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Viduité Posté(e) le 23 décembre 2005 Partager Posté(e) le 23 décembre 2005 Je pense qu'etant donne que ce virus est un virus mutant, cela change completement les procedures et rend la tache plus difficile...mais si le sida etait comme tous les autres virus, il se soignerait tres bien... C'est bien gentil tout cela mais peux-tu donner quelques exemples où les maladies virales sont guéries par la "science" ? Lesdites maladies virales passent en général d'elles-mêmes non et quand elles ne passent, on se les garde ou on y passe. Ne confonderais-tu pas avec d'autres pathologies ? Les "scientifiques" ont-ils mis au point un traitement curatif pour la dengue, l'herpes, ... la grippe ? ... Un traitement curatif n'est pas à confondre avec un éventuel et hypothétique traitement des effets ... me semble-t-il ... Quant aux vaccins, c'est un peu comme les contrats d'assurance ... On paie avant et lorsque les emmerdements n'arrivent pas on peut toujours se consoler en disant que si on n'avait pas payé on aurait eu des emmerdements ... Les limites de la "science" sont immenses ... à défaut de ses perfomances ... nous progressons ? ... hum, pas si sûr que cela ... nous bavardons surtout, nous colloquons, ... notemment en matière virale ... mais il est vrai que ça fait vivre beaucoup de monde ... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 26 décembre 2005 Partager Posté(e) le 26 décembre 2005 Je veux rapidement répondre à Bipol. En effet, on a séquencé et cloné ce qui ressemblait au code trouvé chez des rétrovirus précédemment déterminés. C'est pour cela qu'on a des protéines gag, pol, nef,... La "pol" est la rétrotranscriptase. Cependant, la seule chose qu'on a pu constater avec cet ARN, c'est qu'il permettait une activité de rétrotranscription, et surtout n'était pas capable de tuer des cellules. Il n'y a pas eu d'infection mortelle chez des animaux... Par contre, lorsqu'il s'est agi de faire mourir des cellules, cela n'a pu être opéré qu'en présence d'une protéine oxydante, la phytohémagglutinine. A partir de là, on peut penser que l'ARN en question est simplement un morceau d'ARN humain muté, qui encode pour des protéines oxydantes, dont l'action s'adjoint à celle de la phytohémagglutinine. Cet ARN humain muté apparaîtrait d'ailleurs sous l'action de substances chimiques oxydantes, qui, elles, sont les vrais responsables du sida. Quant aux fameux anticorps à ces protéines oxydantes, il est normal d'en trouver. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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