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forum sidasante

**[SIDA] : le "VIH" ne cause pas le SIDA ** 2/3


Vitosi
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C'est du moins ce qu'implique pour moi cette assertion.
Qu'elle que soit ta méthode de raisonnement, le fait est que les tests " hiv - vih " ne sont que du bullshitt parce que :

1- si tu fais partie d'un groupe à risque (prostitué(e)s, homos, blacks, arabes - c'est assez récent - drogués sous piquouzes, transfusés des années 80) et que ton test est positif, tu néchapperas pas à la condamnation à vie.

Tu vas direct en comptage des CD4, "charge virale" et tout le touin-touin.

2- si tu ne fais pas partie d'un groupe à risque, tu as 50 % de chances que ton médecin décide de t'épargner, au bénéfice du doute :

- " Mais non, madame, votre mari ne vous a pas trompée "

Solidarité masculine si le toubib est un homme.

- " Mais non madame, votre petite escapade n'a pas de conséquences. On n'attrape pas le sida comme ça. Vous savez, les groupes à risques, bla bla bla..."

Solidarité féminine si le toubib est une femme.

On s'arrête à Elisa.

" Ca va aller comme ça. Vous avez eu des symptômes du style grippe, fièvre, etc...? Non. Bon, on ne va pas s'affoler "

Si le toubib est le médecin de famille -> encore mieux ! Il connait Papa, Maman, les enfants. Il ne va pas perturber l'équilibre de la gentiille famille.

Et voilà comme on s'en sort, épargnés par la sentence finale.

Vous croyez qu'il y a un problème quelque part ?

Et le problème, c'est le " vih " ou le diagnostic ? Ou les deux ?

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DU GRAND N'IMPORTE QUOI !

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Je viens de lire dans l'article de Wikipédia consacré au virus du SIDA que "les tests de dépistage du VIH ne sont fiables qu'à 50% chez les personnes non à risque"!

Je ne peux m'empêcher d'y voir un relent d'homophobie, de racisme et de xénophobie.

En effet, comment l'orthodoxie du sida peut-elle considérer que les 50% d'"erreurs" qui pourraient se retrouver dans les groupes non à risque ne pourront en tout état de cause pas être retrouvés dans les groupes à risque (homosexuels, africains, etc...) ?

Notons qu'en application de l'explication du stress oxydatif comme cause du sida, il n'y a en réalité pas de pourcentage d'erreur en matière de fiabilité des tests dits "VIH", ni de discrimination entre groupes à risque et non à risque (en ce sens, l'explication du stress oxydatif n'a pas de relent d'homophobie ou de racisme) : que l'on soit ou non dans un groupe à risque, la fiabilité est égale à 0% pour ce qui concerne une présumée contamination par le "VIH" mais est au contraire égale à 100% pour ce qui concerne le fait que la personne testée est actuellement confrontée (donc, lors du test) à différents facteurs immunodépressifs la prédisposant à faire un sida ultérieurement . Ce qui explique la corrélation certaine, mais très lâche, qui peut exister entre la séropositivité et le sida.

J'ai (très) rapidement survolé cet article de Wikipédia et dans l'intérêt du lecteur, il me semble utile de pointer du doigt l'une de ses phrases, vraiment révélatrice de la mauvaise foi de l'orthodoxie du sida, à savoir celle-ci :

Ce test lorsqu'il est positif doit être confirmé par un test dit de confirmation (en pratique western blot) et par un nouveau test de dépistage sur un nouvel échantillon sanguin. Ce n'est que lorsque l'ensemble des tests est positif que l'on peut affirmer que le patient est infecté par le VIH.

Il est quand même hallucinant que Wikipédia écrive cela sans se poser de question. En effet, à ma connaissance, et sauf erreur de ma part (si quelqu'un peut donner un autre exemple, qu'il n'hésite pas, car je me trompe peut-être), à supposer que le sida soit effectivement une maladie infectieuse, il s'agit alors là de la toute première maladie infectieuse au monde où il est requis que le même test d'anticorps (Elisa et Western Blot, c'est kif-kif bourricot, avec la précision que le test d'anticorps "Western Blot" serait plus précis [sauf en Grande-Bretagne, "bizarrement"] lol) soit répété trois fois afin de savoir si les anticorps (dits "spécifiques" du "VIH") sont bien présents chez la personne testée ! Et on écrit cela sans coup férir ! Si ces tests dits "VIH" sont aussi spécifiques du "VIH", pourquoi est-il alors nécessaire de répéter ces tests à trois reprises (aux USA, c'est même à quatre reprises) sur le même échantillon de sang avant de pouvoir déclarer que quelqu'un a été contaminé par le "VIH" ? A ma connaissance, une telle répétition ne se produit pas avec d'autres maladies infectieuses bien connues.

Et pour continuer à ridiculiser davantage ces tests dits "VIH" (à supposer que cela soit encore nécessaire), on rappellera que le test dit "VIH" est le premier test de l'histoire de la médecine où le résultat a une signification dans un pays ou même un laboratoire et une signification tout à fait opposée dans un autre pays ou même un autre laboratoire (il a été contaminé selon tel pays, mais il ne l'a pas été selon tel autre pays), un peu comme si dans un pays, il était affirmé sur base du même test et du même échantillon testé que tel patient a bien été contaminé par la syphilis, mais que dans un autre pays, ce même patient n'a pas été contaminé par la syphilis.

Et ce qui est encore plus ahurissant et extraordinaire, c'est bien que ce fait ne paraît pas déranger les "experts" "VIH" !

PS : On rappellera à toutes fins utiles au lecteur que pour prouver que le test d'anticorps dit "VIH" est vraiment fiable et prouve par le seul fait de la détection des anticorps que la personne a bien été contaminée par un rétrovirus appelé "VIH" (et je suppose donc que les antigènes figurant dans ces tests sont bien ceux du "VIH", ce qui n'est pourtant déjà pas le cas) :

- Il DOIT y avoir au moins une étude et quelques études confirmatives où la réaction antigène-anticorps a bien été comparée avec la présence ou l'absence du "VIH", c'est-à-dire avec l'isolation/purification du "VIH";

- Ces études doivent en outre inclure un nombre statistiquement significatif de patients ayant le sida et de patients qui n'ont pas le sida mais qui sont malades (c'est-à-dire de patients dont on sait, preuves à l'appui [soit l'isolation/purification du "VIH"], qu'ils ont été contaminés par le "VIH", mais les autres, quoique ayant les mêmes maladies [puisque les maladies du sida ne sont nullement spécifiques au sida, elles ne sont pas nouvelles], ne sont pas contaminés par le "VIH");

- Enfin, ces études doivent avoir été faites en double aveugle.

Le lecteur s'en doute déjà, mais de telles études n'existent tout simplement pas, et il est dès lors ahurissant qu'il soit prétendu qu'un test dit "VIH" positif est le signe d'une infection par le "VIH" (et tout cela, sans même avoir abordé la question de l'origine des antigènes utilisés dans ces tests !).

Ce n'est que si on fait abstraction de l'ensemble des éléments pour le moins basiques qui précèdent, c'est-à-dire uniquement si on ferme les yeux sur ces éléments basiques, qu'il redevient alors possible d'accorder quelque crédibilité à l'hypothèse rétrovirale du sida, ou plus spécifiquement ici, d'accorder quelque crédibilité à la fiabilité de ces tests appelés "VIH". Or il n'y a aucune raison de fermer les yeux sur ces points-là !

Modifié par wallypat
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Une interview de Rebecca Culshaw pour Zenger magazine, où elle exprime ses doutes quant à la "compassion" de l'orthodoxie et montre limpidement que le "vih" est un moyen caché, pour la société américaine, d'exprimer son racisme et son homophobie.

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Bonjour

2- si tu ne fais pas partie d'un groupe à risque, tu as 50 % de chances que ton médecin décide de t'épargner, au bénéfice du doute :

- " Mais non, madame, votre mari ne vous a pas trompée "

Solidarité masculine si le toubib est un homme.

- " Mais non madame, votre petite escapade n'a pas de conséquences. On n'attrape pas le sida comme ça. Vous savez, les groupes à risques, bla bla bla..."

Solidarité féminine si le toubib est une femme.

On s'arrête à Elisa.

" Ca va aller comme ça. Vous avez eu des symptômes du style grippe, fièvre, etc...? Non. Bon, on ne va pas s'affoler "

Si le toubib est le médecin de famille -> encore mieux ! Il connait Papa, Maman, les enfants. Il ne va pas perturber l'équilibre de la gentiille famille.

Et voilà comme on s'en sort, épargnés par la sentence finale.

Vous croyez qu'il y a un problème quelque part ?

Et le problème, c'est le " vih " ou le diagnostic ? Ou les deux ?

Sur ce point je suis d'accord ! Dire qu'un test est fiable à 50% (pour une personne non à risque ) c'est décider arbitrairement de la polarité du test. Mais ceci devrait utilisé pour les retirés du marché comme ont le fait avec les médicaments dont on ne peut affirmer la supériorité sur un placebo qu'avec un marge d'au moins 5%. (Aussi décidée arbitrairement). Mais je pense que dans ce cas indécidable c'est le "principe de précaution" qui s'applique....mais comment ? Donné un traitement à quelqu'un alors que le test n'est pas fiable (non-spécifique) c'est "criminel", ne pas en donner alors qu'il est fiable ça l'est aussi.

Juste pour éclairer finalement mon propos précédant:

La discrimination provient de la méthode statistique elle-même qui lie un fait aux différentes caractérisitiques d'un objet ou d'une personne qu'il ou elle partage avec d'autres. L'erreur majeure c'est de croire qu'une affection mise en évidence dans une catégorie précise soit simplement lié à cette caractéristique apparente plutôt qu'a une autre cachée.

Exemple: "Il y a plus de cas de Sida chez les homosexuels " -> mais les homosexuels consomme beaucoup de substances toxiques" -> "Tiens, alors il n'y a plus de différence entre les drogués et homosexuels qui se droguent aussi; donc on enlève la catégorie "homosexuel" et la caratéristique cachée devient les "substances toxiques." etc.... voilà en quoi le "groupe à risque" est basé sur une catgéorie apparente départ afin de se répérer.

Cordialement.

Modifié par Psyence
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La discrimination provient de la méthode statistique elle-même qui lie un fait aux différentes caractérisitiques d'un objet ou d'une personne qu'il ou elle partage avec d'autres. L'erreur majeure c'est de croire qu'une affection mise en évidence dans une catégorie précise soit simplement lié à cette caractéristique apparente plutôt qu'a une autre cachée.

Je ne suis pas très philo, mais c'est propre à moi.

Et quand on me brandit des stat's quand il s'agit de ma vie, j'en ai rien à cirer (excuses-moi l'expression).

Je ne suis pas un numéro à stat', et je n'ai qu'une vie que je ne laisserai pas exploser par des "stat's".

Libre aux autres de gonfler les stat's si ça leur chante, pour " le progrès de la science " 4-ptdrasrpt.gif

On est déjà tellement "statistiquisés" de partout que là, c'est pour moi la goutte de trop !

Et avec ces p... de stat's, on fait chier toute la planète avec le soi-disant " vih " qui a déjà muté 100'000 fois mais dont les antigènes, comme par hasard, ne mutent pas.

On reste bloqué sur les années 1980 ? OK

Mais les trithérapies, c'est fou comme ça évolue !

Et c'est fou comme les négationnistes du stress oxadatif préconisent en douce des antioxydants en compléments.

A part ça, depuis les années 1980, rien de nouveau :

" Le sida est causé par le vih, point barre. Pas de vaccins (et pour cause) mais on va vous balancer des trithérapies en prévention dans la gueule (spécialement aux homos) pour qu'on puisse vivre tranquille et heureux "

Et moi, je peux en avoir aussi, de la prévention ? Et tous les ados ( et aussi les plus vieux) qui baisent sans capotes ?

On en finirait enfin avec ce " vih" grâce à la prévention des trithérapies !

Pourquoi ce magnifique privilège réservé seulement aux homos ?

Alors, tu vois, moi les stat's des années 1980 ! Ces années-là...(Clo-clo)

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Bonsoir Liane,

Désolé si j'ai été un peu trop philo...

Ce que je pensais simplement c'est qu'en fait les homos ne sont pas victimes d'homophobie dans cette affaire des "catégories à risques". Un virus quelqu'il soit ne sait pas faire la différence entre un homo et un hétéro... et c'est pour cette raison que certains pensent justement qu'il ne peut s'agir que de xénophobie puisqu'il ne peut pas s'agir d'un virus. C'est une erreur de penser cela.

Ils sont à risques non pas parce qu'ils sont homos mais parce que l'on a simplement compter plus de sida déclaré dans ce "groupe de personne." Le problème c'est le fait d'avoir créer des "groupes" sur une base d'appartenance sociale pour en faire un comptage.

Une statistique se résume simplement à la présence de cela chez qui ! Cela sert à cerner une cause, mais le "chez qui" est peut heuristique.

Si l'on avait supposés que le point commun entre les cas de sida déclaré était par exemple les substances toxiques (je fais exprès), nous aurions créer de multiples catégories de personnes qui sont plus prédisposée à prendre des substances que d'autres et ce pour une infinité de raisons différentes.

C'est tout ce que je voulais dire...je comprends toutefois ta colère envers ce que l'on fait des chiffres !

Modifié par Psyence
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Juste une question à vous poser : comment appel-t-on dans le cadre de la théorie virale les cas de sida sans vih ?

Lymphocytopénie CD4 idiopathique

Une expression bien compliquée qui constitue l'un des innombrables artifices (souvent magiques) utilisés par les négationnistes du stress oxydatif pour faire tenir cahin-caha l'hypothèse rétrovirale du sida.

Plus particulièrement ici, cette expression a pour effet magique d'écarter les cas de sida sans "VIH", sans quoi ces cas, pourtant réels, porteraient un coup fatal supplémentaire à l'hypothèse rétrovirale du sida (puisque tout le monde sait bien qu'il n'y a pas de sida sans "VIH" ! lol C'est l'un des dogmes fondateurs de cette hypothèse pour le moins farfelue).

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Je suis plus ou moins d'accord avec l'ensemble des considérations de Psyence sur l'homophobie et le racisme (ou plutôt, selon Psyence : leur absence d'homophobie et de racisme) des orthodoxes du sida.

N'empêche (et sans vouloir discréditer les propos de Psyence qui me paraissent fondés, du moins dans une certaine mesure), quand bien même un bien plus grand nombre de cas dits de "sida" a été constaté dans les groupes à risque de sida, comment peut-on (on = orthodoxie du sida) justifier le fait que les causes d'erreurs soi-disant fréquentes dans les groupes non à risque de sida (soit 50%, ce qui est tout simplement gigantesque et justifie déjà à lui seul qu'aucune fiabilité ne puisse être accordée aux tests dits "VIH") seraient systématiquement absentes dans les groupes à risque de sida ?

Car cela plaise ou non, et comme l'a déjà si bien dit Aixur antérieurement, il y a bien une "note de gueule" avant de passer un test dit "VIH". Si le médecin sait ou a des raisons de penser que la personne testée est dans un groupe à risque et que le test dit "VIH" se révèle positif, son sort est fait et il est déclaré "contaminé" par le "VIH" sans autre forme de procès. Le médecin ne va même pas se fatiguer et encore moins se poser la question de savoir si des causes d'"erreurs" ne pourraient pas se rencontrer dans son cas. Pourtant, ce n'est quand même pas parce qu'une personne est dans un groupe à risque et que les cas dits de "sida" sont bien plus importants dans lesdits groupes à risque que forcément et systématiquement, ces causes d'erreurs ne pourraient pas se retrouver également, quoique dans une proportion moindre, chez la personne faisant partie du groupe dit "à risque". Et à ma connaissance, je n'ai encore jamais lu (jusqu'à ce jour, du moins) le témoignage d'un gay, d'un toxicomane, d'un hémophile, etc... déclaré séropositif et dans lequel il serait précisé que le médecin "traitant" se serait inquiété du point de savoir si malgré tout (et malgré sa très mauvaise note de gueule), le résultat obtenu ne pourrait pas être le résultat d'une erreur.

Bref, si la personne testée a une note de gueule négative (déjà le fait d'être un homme joue en sa défaveur), il y a déjà un préjugé négatif chez le médecin. Et il est d'ailleurs incroyable qu'un tel test qui se veut médical, scientifique et objectif puisse laisser la place à autant de subjectivité.

Dès lors, il me paraît difficile de ne pas y voir malgré tout un relent homophobe ou raciste par exemple.

Ceci étant, cette discussion reste assez théorique puisqu'elle présuppose que les tests dits "VIH" présenteraient déjà ne fût-ce qu'un soupçon de fiabilité quant à leur prétention à détecter, ne fût-ce que dans quelques cas, une contamination par le "VIH". Or nous savons qu'il n'en est strictement rien.

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comment peut-on (on = orthodoxie du sida) justifier le fait que les causes d'erreurs soi-disant fréquentes dans les groupes non à risque de sida (soit 50%, ce qui est tout simplement gigantesque et justifie déjà à lui seul qu'aucune fiabilité ne puisse être accordée aux tests dits "VIH") seraient systématiquement absentes dans les groupes à risque de sida ?

Ce qui le justifie (sans forcément être légitime) c'est que le test se déroule sur un plan biologique et la catégorie à risque sur un plan clinique. L'on peut dire que la catégorie à risque le prédispose au sida puisqu'elle est issue d'un échantillon représentatif du sida : - ce qui amène à l'équation suivante:

prédisposition + soupçon de VIH = positif.

Bien entendu cela ne reflète pas la réalité sur la fiabilité car même si nous avons une prédisposition nous ne la dévellopons pas forcément, ce n'est qu'un "facteur de risque" c'est-à-dire une chose soumis à une certaines contingence.

L'équation juste est :

prédisposition + soupçon VIH = doute, ignorance.

Mais oui fondamentalement encore faut-il que les tests détectent bien des anticorps spécifiques à un virus. (C'est un autre aspect)

Discussion théorique certes mais à mon avis c'est important de pouvoir comprendre comment nous en sommes arrivé à des idées fausses ;

- xénophobie.

- prendre une prédisposition pour un déterminisme

- etc,

Se sont des "fautes" grave de compréhension !

Cordialement

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Si l'on avait supposés que le point commun entre les cas de sida déclaré était par exemple les substances toxiques (je fais exprès), nous aurions créer de multiples catégories de personnes...

Psyence, ne le prends pas personnel mais : nous qui ?

Ce que je trouve grave, c'est qu'apparement les médecins en qui je suis censée faire confiance ne reflechi.gif plus du tout !

Et pourtant, 2 grammes de jugeotte, ce ne serait quand-même pas trop demandé.

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Liane,

Ce "nous" est le groupe humain en règle générale, soumis aux catégories de son propre esprit ceci est : vert, grand, rugueux, difforme, normal, etc etc..Avec un seul être nous pouvons créer de multiples ensembles différents ... des ensembles où nous pouvons être séparé ou réunis...Il n'y avait aucune intention totalitaire derrière ce mot !

Les médecins ne réfléchissent plus ? C'est extrêment dure comme jugement mais je comprends que vu ce que tu vis cela se justifie.

Je crois qu'il y a en encore quelqu'uns qui s'interrogent sur leur pratique. Pour le reste, eh bien, ils sont pris dans un système de pratique sociale sur lequel la survie de chacun repose ; comme nous tous.

Sur un plan éthique cela ne les excuses pas de s'arrêter de réfléchir, mais cela a au moins le mérite d'expliquer pourquoi la remise en cause est une optique qui menace leur pratique : - surtout pour les spécialistes du VIH. C'est une raison majeur, mais il en existe certainement d'autres propres à chaque médecins !

Une autre chose a ne pas oublier c'est que le "médecin" d'aujourd'hui n'est plus "chercheur" sauf quelque passionnés. Il fait partie d'un système qui fonctionne à la chaîne ; il est soumis à de multiples pressions et dépendences. Il doit faire confiance aux autres maillons de la chaîne pour exercer sa pratique: les tâches sont réparties et il n'a plus de regard critique sur celles-ci. A titre de provocation je ne suis pas loin de nommer ce phénomène ; "double aveugle sociale".

Je crois comprendre que ta colère est lié à une injustice morale ; "Pourquoi ne revient-on sur nos pas si nous nous sommes trompés ?"

..mais tous ne croit pas s'être trompés et le problème c'est que ceux qui pensent avoir raison croit que les autres ont torts et vice versa...

("Nous" étant encore ici le genre humain.)

Je sais pas quoi te dire pour ce que tu ressens... comment peux-tu rétablir cette injustice en toi-même ?

Amicalement

Modifié par Psyence
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Psyence

Mais cest vrai que les médecins sont les plus ignares sur la santé, par mon expérience cest ma santé qui a payé le frais de lirresponsabilité de ces médecins qui seulement savent prescrire des médicaments à laveuglette.

En 2001 un mois de bactrim sans traitement antifongique, pour une infection de toxoplasmoses( pour la première fois inefecté), le bactrim ne fait rien au parasite de la toxoplasmose (selon le spécialiste). Suite à ce traitement un empoissonnement cellulaire produit par le bactrim et une candidose aussi produit par le bactrim, en plus de dommages que cause la candida sur le système immunitaire déjà affaibli par le bactrim.

2006 traitement de la candidose chronique avec triflucan, 14 jours, dosé faiblement à 50mg, sans procédure de diète. Le patient est laissé à son sort et il pense que si le médecin na rien dit par rapport à son alimentation, cela voulait dire manger tout et nimporte quoi

Est-ce que un médecin, peut donner des médicaments antifongiques sans une suggestion alimentaire ?.

A chaque fois que jai eu à faire à un médecin, ma santé a pris des coups.

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le triflucan à moi ca me fait rien du tout ! parait que c est efficace à 400 mgrs mais dangeureux et c est pour cela qu il n est pas prescrit dans la population en generale !! au pire ca soulage quelque temps mais la candidose c est a vie et dans la plus part des cas tant qu il n y a pas de chirurgie de faite sur le patient, on en peut vivre avec............combien de temps je ne sais pas encore ! lol mais moi j en ai depuis...........ouf 30 ans ?

enfin bienvenu au club des sidéens car la candidose est classée maladie sida alors que IATROGENE!

avant dans les années 70/80 ce n etait pas marqué sur la notice du bactrim, mais aujourd hui oui ! effet secondaire : candidose!

il n y a pas d inscrit : effet secondaire valable uniquement, ni de preference pour les seropos !

je me rappele qu un medecin vih m en avait prescrit et en lisant la notice j etais retourné le voir illico presto en lui demandant de me parler de la candidose et des antibios, il me dit ca aide pas ! alors je lui dit : oui mais ca cause le sida........le bactrim peut me coller une candidose à vie qui va me detruire l estomac et qui risque de m ecourter ma vie non ?... non non vous exagerez ! un effet secondaire ca arrive pas tout le temps ( ca c est leur reponse toute faite cle en main !! mais ils en donneraient pas à leur enfant ).....le bactrim est un bon medicament.............ha ! ok bien quant votre fille fera des cystites à cause de la pillule, vous lui en prescrirez n est ce pas ?

et la je lui mets la notice sous les yeux et il me dit avec un sourire mechant : c est nouveau que cet effet secondaire soit marqué sur la notice ( confirmation de la pharmacie ).

alors pensons à tous les seros qui ont ete bourrés de bactrim dans les années 80 à fortes doses qui une fois candidosé les toubibs leur disait : c est le vih ? on a peut etre trouvé un medicament à l essai en ce moment, voulez vous faire parti de l etude ? etc etc etc !

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comment peux-tu rétablir cette injustice en toi-même ?

Psyence,

J'ai répondu à ta question quand j'ai déboulé sur ce forum :

" Pourquoi le médecin te met alors directement sous Ventolin ????

Par paresse ? par incompétence ? pour gagner du temps (le temps, c'est de l'argent) ? parce que tu le gonfles ? parce que c'est le protocole ? Je suis dégoutée. J'ai compris une chose avec toute cette histoire et les vôtres : la responsabilité de mes actes. "

Et j'avais fini avec un peu de...philo icon_wink.gif

" Et de même qu'une seule feuille ne jaunit qu'avec le silencieux assentiment de l'arbre entier,

ainsi le malfaiteur ne peut agir sans le secret acquiescement de vous tous "

Khalil Gibran, le prophète

Modifié par Liane
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