Cheminot Posté(e) le 12 juin 2006 Partager Posté(e) le 12 juin 2006 Pour répondre un petit peu aux personnes qui prétendent que nous nions toute transmission de la séropositivité par la voie sexuelle, je voudrais dire tout d'abord que le sperme est un oxydant naturel, comportnat une quantité importante de peroxynitrites et très peu de thiols réducteurs. Un sperme peu oxydant est inefficace et donc la personne qui en souffre est infertile. Par contre, il a été montré qu'il arrive fréquemment, qu cours de maladies vénériennes, que le taux d'oxydant (et de peroxynitrites) augmente fortement, dommageant certainement la personne elle-même, mais sans doute aussi la personne qui a des relations intimes avec elle. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.f...9&dopt=Citation http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.f...8&dopt=Abstract http://molehr.oxfordjournals.org/cgi/conte...stract/7/10/913 On a même montré la coexistence de dommages à l'ADN dans ce contexte de stress oxidan : http://www.clevelandclinic.org/reproductiv.../agradoc129.pdf Nous parlons donc de risque de "transmission" du stressoxydatif, par cet excès de peroxynitrites et non de risque d'infection. D'ailleurs les taux officiels de transmission parlent beaucoup plus an faveur d'une transmission purement chimique que d'une infection qui, normalement, devrait s'étendre beaucoup plus. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Magnus Posté(e) le 12 juin 2006 Partager Posté(e) le 12 juin 2006 Je me decide à intervenir sur ce topic à priori très controversé... A propos du VIH : Quelle est cette "particularité physique" que possèdent certains hommes, et qui fait qu'ils sont immunisés contre le virus. Je ne trouve plus d'article y faisant référence, j'en avais entendu parler 2 ou 3 fois. Pourquoi ne peut on pas "reproduire" cette particularité par une opération, empechant ainsi toute nouvelle contamination ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 12 juin 2006 Partager Posté(e) le 12 juin 2006 Il ne sont pas "immunisés" contre un virus, qui serait d'ailleurs un rétrovirus, simple marqueur du stress oxydatif, défini par une déficience en glutathion, en CD4 et un excès de peroxynitrites. Simplement, il faut savoir que le taux de transmission de la séropositivité est de 1 pour mille actes hétérosexuels au plus, et donc, il est normal que des personnes en contact sexuel avec des séropositifs ne le deviennent pas. S'il le deviennent, c'est très certainement par abus de drogues oxydantes qui, elles, en plus de rendre séropositif (ce que peut faire le sperme, transitoirement), font apparaître le sida en rendant irréversible ces déficits. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pikpikandré Posté(e) le 12 juin 2006 Partager Posté(e) le 12 juin 2006 (modifié) Magnus, ce n'est pas de la circoncision dont tu parles (particularité physique)? On en a parlé il y a peu dans les actualités Cinq pays d'Afrique australe durement frappés par la pandémie du sida veulent encourager la circoncision. Cette initiative fait suite à la publication d'une étude menée pendant trois ans dans un town-ship sud-africain et qui semble démontrer que la circoncision peut réduire sensiblement les risques de transmission du virus. Le débat n'est pas neuf. Au milieu des années 1980 déjà, on émettait l'hypothèse que la circoncision offrait une protection contre le virus du sida. Depuis, plusieurs études ont été menées. Des études qui montrent donc que la prévalence du HIV est inférieure dans les populations où l'on pratique traditionnellement la circoncision. Jusqu'à 60% de risque en moins de contracter le virus. Le responsable de l'étude menée en Afrique du sud affirme qu'en enlevant totalement ou partiellement le prépuce, on enlève des zones où le virus peut se loger ou se propager. D'où la réaction de cinq pays d'Afrique australe, le Botswana, le Lesotho, le Swaziland, la Tanzanie et la Zambie qui ont entamé des discussions avec ONUSIDA pour rendre l'accès à la circoncision plus facile. Les responsables de l'agence des Nations Unies pour le sida restent prudents. Ils attendent les résultats de deux études similaires menées en Ouganda ou au Kenya. Cela pourrait être révolutionnaire en termes de prévention mais ce ne serait pas une arme absolue, affirme l'un d'eux qui souligne que les préservatifs restent la meilleure protection qui soit contre le HIV. http://old.rtbf.be/rtbf_2000/bin/view_some..._taille.SP.SOCI Modifié le 12 juin 2006 par Pikpikandré Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wallypat Posté(e) le 13 juin 2006 Partager Posté(e) le 13 juin 2006 Des études qui montrent donc que la prévalence du HIV est inférieure dans les populations où l'on pratique traditionnellement la circoncision. Jusqu'à 60% de risque en moins de contracter le virus. Le responsable de l'étude menée en Afrique du sud affirme qu'en enlevant totalement ou partiellement le prépuce, on enlève des zones où le virus peut se loger ou se propager. Je crois qu'il est intéressant à cet égard de lire les explications fournies par l'orthodoxie du sida au sujet de cette transmission moindre du (pseudo) "VIH" en cas de circoncision. On constatera tout de suite que si l'explication est rattachée à l'hypothèse du rétrovirus, nous tombons tout de suite dans le domaine de la pure hypothèse et de la simple spéculation. En revanche, lorsque l'explication est reliée au stress oxydatif comme cause du sida (et du VIH), cela tombe sous le sens (me semble-t-il). Lisez en effet la fin de ce document qui émane manifestement de l'orthodoxie du sida. Voici leur principale explication : Autre facteur : l'hygiène intime masculine, mais son lien avec une possible infection par le VIH est mal connu. Pourtant, en l'absence d'une bonne hygiène, des pathogènes transmis sexuellement, bactéries et virus notamment, s'accumulent sous le prépuce. Ce qui pourrait expliquer pourquoi les hommes non circoncis sont plus susceptibles de contracter une infection sexuellement transmissible (IST) s'accompagnant de lésions. Et on sait que le risque d'une contamination par le VIH est plus élevé chez les porteurs d'une IST. Des travaux menés en Afrique ont montré que les antécédents d'ulcérations génitales sont plus fréquents chez les hommes infectés par le VIH que chez ceux non infectés. Une étude a établi que le taux d'infection par le VIH était cinq fois plus élevé chez les sujets atteints d'un chancre mou que chez les autres sujets.3 Dans le cadre d'une autre étude conduite au sein d'un échantillon de 293 sujets, 24 hommes (8 %) ont contracté le VIH. Les chercheurs ont observé que la plupart des ces infections se présentaient soit chez les sujets non circoncis, soit chez les porteurs d'une maladie causant des ulcérations génitales.4 Et des experts estiment que, dans certaines populations, ce serait le groupe des hommes non circoncis et atteints de telles ulcérations qui répandrait avant tout l'épidémie.5 On constate tout de suite à la lecture de ce passage, considéré comme simple "facteur" par l'orthodoxie du sida, qu'en revanche, la théorie du stress oxydatif permet parfaitement d'expliquer ce phénomène, et ce sans entrer dans le domaine de la pure spéculation comme l'est l'"explication" fournie ci-dessus par l'orthodoxie du sida. En effet, l'orthodoxie du sida précise elle-même que le prépuce est un véritable nid à bactéries et de virus sexuellement transmissible. Elle utilise également le mot "chancre". Or chancre, cela signifie "syphilis" (une MST donc), et l'on sait que le chancre chez l'homme se localise entre autres au niveau du prépuce. Et il n'est nullement contesté que les maladies sexuellement transmissibles sont justement des sources de fort stress oxydatif (lisez justement le deuxième post qui précède de Cheminot consacré au rapport entre maladies vénériennes et sperme fortement oxydant), à tel point qu'elles peuvent rendre le test dit "VIH" positif (ce n'est donc évidemment pas un hasard qu'à l'occasion d'un test dit "VIH", d'"autres" vraies maladies vénériennes sont découvertes). Le lecteur arrivera maintenant de lui-même à la conclusion ..... pour le moins limpide : en faisant une circoncision, vous supprimez une source très importante de stress oxydatif, à savoir les maladies vénériennes (si pas d'autres maladies sources de stress oxydatif), et donc vous contribuerez à diminuer les cas de séropositivité (par la voie "sexuelle", soi-disant). Contrairement à l'explication orthodoxe (des cellules "spécialisées"), l'explication dissidente du stress oxydatif ne rentre visiblement pas dans le champ des spéculations hasardeuses. Aucun scientifique sérieux ne pourrait à mon sens nier le fait que les MST sont des sources très importantes de stress oxydatif. Mais il y a encore bien mieux. En effet, non seulement l'hypothèse du stress oxydatif n'a pas à s'encombrer d'artifices et de spéculations pour expliquer la diminution des cas de séropositivité en cas de circoncision, elle est en outre - et contrairement encore et toujours à l'hasardeuse et bien osée théorie rétrovirale du sida - en mesure d'expliquer des études contradictoires qui ont été faites quant aux effets de la circoncision sur la supposée transmission sexuelle de la séropositivité. Rappelez-vous en effet de ce post de Cheminot dans lequel il avait relevé que dans les nations industrialisées, la circoncision paraissait bien être sans incidence sur la supposée transmission sexuelle de la séropositivité, ainsi que cela ressort de diverses études scientifiques; au contraire même, elle paraissait même plus élevée chez les circoncis. Des études des orthodoxes du sida, nous déduisons donc : - En occident : circoncision ---> pas de diminution de la supposée transmission sexuelle du "VIH". - Dans les pays en voie de développement : circoncision ---> diminution de la supposée transmission sexuelle du "VIH". Si on l'on se réfère à l'explication orthodoxe, laquelle relève déjà en soi de la spéculation la plus boiteuse, soit les cellules dites "spécialisées", ces résultats complètement opposés dans ces différentes études sont inconcevables et sont de nature à porter un nouveau coup fatal à la bien chimérique hypothèse du "VIH". Il est en effet inadmissible de penser que dans les pays sous-développés, les habitants auraient plus de cellules "spécialisées" que les habitants des pays occidentaux. En revanche, si l'on retient l'hypothèse du stress oxydatif comme cause du sida, les explications tombent encore une fois sous le sens. En effet, sans vouloir faire preuve d'une quelconque forme de racisme ou xénophobie, on peut considérer que dans les nations industrialisées, la population a une bien meilleure hygiène que dans les pays en voie de développement. Par conséquent, les habitants des pays en voie de développement sont plus susceptibles d'être exposés entre autres à des maladies vénériennes, en particulier s'ils ne sont pas circoncis. Ce problème ne se pose guère en Occident, prépuce ou non, car les habitants ont plus facilement accès à une meilleure hygiène, entre autres, au niveau du prépuce. Voilà qui peut expliquer pourquoi la circoncision est sans influence quelconque sur la supposée transmission sexuelle du "VIH" dans les pays occidentaux. Le cas de la circoncision permet encore une fois de démontrer l'incroyable supériorité de la théorie du stress oxydatif comme cause du sida sur celle du soi-disant rétrovirus "VIH" ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wallypat Posté(e) le 13 juin 2006 Partager Posté(e) le 13 juin 2006 en faisant une circoncision, vous supprimez une source très importante de stress oxydatif, à savoir les maladies vénériennes Disons plutôt : vous diminuez (et non "supprimez") les risques de contracter une maladie vénérienne (ou une autre maladie source de fort stress oxydatif). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Magnus Posté(e) le 13 juin 2006 Partager Posté(e) le 13 juin 2006 Je suis tombé sur ce site, je l'ai lu attentivement, et je ne peux pas m'empecher de me dire "comment expliquer cela à quelqu'un atteint du VIH ou du SIDA ?" C'es "lisible" pour un seronégatif, mais expliquer que les médecines alternatives sont meilleures...tout le monde ne peut pas aller dans une clinique ayurvédique comme la clinique du docteur Chopra ! Je pense aux malades, peut etre vaut ils mieux qu'ils croient savoir ce qu'ils ont, car rien de pire que le doute sur une maladie (qui dit doute dit manque de rcherches, de crédits). Insinuer come ce site que tout vaccin est inutile...bref ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pikpikandré Posté(e) le 13 juin 2006 Partager Posté(e) le 13 juin 2006 (modifié) Ce "site" est plutôt "une page" du site sidasanté commencé par l'un des plus actifs de ce forum et continué par un autre tout aussi actif (aixur) aidé par d'autres d'ici. EN gros ce site http://www.sidasante.com/ c'est LE site de ce forum ou presque La page que tu as mis est un article parmi d'autre de ce site. Les différentes thérapies proposées sont là http://www.sidasante.com/therapi/theindex.htm et là http://www.sidasante.com/suggesti/sugindex.htm je ne comprends pas bien ta phrase Je pense aux malades, peut etre vaut ils mieux qu'ils croient savoir ce qu'ils ont, car rien de pire que le doute sur une maladie (qui dit doute dit manque de rcherches, de crédits). Car pour moi ta parenthèse n'est pas liée à ta phrase. Par ailleurs quand on sait que le fait de croire que l'on est atteint du Sida après un test VIH+ peut amener par effet nocébo à effectivement développer la maladie je ne suis pas sûre que les faire douter en leur redonnant espoir soit un mal ? Pour ce qui est des vaccins c'est un autre débat mais sache que de nombreux médecins et scientifiques dénoncent la vaccination. Modifié le 13 juin 2006 par Pikpikandré Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wallypat Posté(e) le 13 juin 2006 Partager Posté(e) le 13 juin 2006 (modifié) Je suis tombé sur ce site, je l'ai lu attentivement, et je ne peux pas m'empecher de me dire "comment expliquer cela à quelqu'un atteint du VIH ou du SIDA ?" C'es "lisible" pour un seronégatif, mais expliquer que les médecines alternatives sont meilleures...tout le monde ne peut pas aller dans une clinique ayurvédique comme la clinique du docteur Chopra ! Magnus, Comme la signalé Pikpikandré, www.sidasante.com est LE site français des repenseurs du sida, et on remerciera jamais le rôle inestimable qua joué en la matière le créateur de ce site, à savoir Mark Griffiths. Ceci étant, tous les articles que tu liras sur ce site ne doivent pas être pris pour argent comptant (il faudrait plutôt considérer ce site comme une sorte de grande bibliothèque en langue française de la dissidence du sida) ! Et cest justement le cas de larticle que tu cites dans ton post. Certes, cet article comprend des informations utiles mais tu remarqueras quil a été rédigé en 1992, dans la période par excellence où les séropos tombaient comme des mouches, le plus souvent à cause de lAZT. Il a en plus été redigé par le célèbre docteur Willner (depuis lors décédé), qui nétait pas loin (si ce nétait même pas effectivement le cas) de partager les idées de complot et de conspiration à légard du sida. Doù dailleurs le titre de larticle que tu cites. Et vu le contexte de lépoque, on peut parfaitement comprendre leurs positions dalors. En réalité, si tu veux aborder la question de la dissidence du sida sur une base solide, ce nest certainement pas en commençant par cet article. Je te recommande de lire plutôt cet article qui vulgarise en synthèse la théorie du stress oxydatif comme cause du sida, théorie élaborée dès 1984 par le Perth Group, mais qui a mis un temps fou à se faire connaître et à gagner en crédibilité en raison de la soi-disant « découverte » concomitante du « VIH ». Et je te recommande ensuite de lire les deux articles (Réfutation de la Déclaration de Durban + Réponses au Président Mbeki) mentionnés en préambule de la synthèse sur le sujet, outre la « synthèse » elle-même. Insinuer come ce site que tout vaccin est inutile...bref ! Concernant le question du vaccin, sache que celui-ci représente en réalité le Saint-Graal de lorthodoxie du sida Tu dois savoir quen 1984, il fut tranquillement annoncé quun tel vaccin serait disponible dans les deux ans, chose qui aurait pu être concevable si le sida était vraiment causé par un rétrovirus. Pourtant, 22 ans plus tard, nulle trace dun moindre vaccin. Et pour lexpliquer, lorthodoxie invoque entre autres comme excuse les quatres propriétés magiques susvantées du pseudo « VIH ». En réalité, le plus simple serait de considérer que le sida nest effectivement pas causé par un rétrovirus pour expliquer léchec de la découverte dun vaccin. Noublie dailleurs pas que le « VIH » est le (rétro)virus le plus traqué de toute lhistoire de la médecine, si ce nest de lhumanité. Et pour cause, puisquil nexiste pas en tant que rétrovirus (exogène à tout le moins). Noublie pas également que sauf exceptions (comme dans le cas de la syphilis par exemple), les anticorps à un microbe quelconque signifient en principe que lon est immunisé contre les effets pathogènes de ce microbe ; cest le principe même de la vaccination. Or, en matière de sida, il est dit que posséder de tels anticorps est devenu la marque de la maladie, et non plus de son immunisation. Doù problème : comment va-t-on trouver un vaccin qui protège du sida alors que les anticorps signifient morts en matière de sida (et survie suivant les principes mêmes de la vaccination) ? Et les 22 années qui se sont écoulées sans invention de quelque vaccin que ce soit en la matière le démontrent amplement. Quand on voit les « progrès » en matière de développement de vaccin, on constate que les orthodoxes du sida nessaient pas tellement de mettre au point des vaccins préventifs, mais bien des vaccins curatifs à prendre à répétition. Ce genre de vaccin est davantage apparenté à un « médicament » quelconque quà un vaccin en réalité. Et on pourra très certainement constater que ces (éventuels) futurs « vaccins » sont davantage des antioxydants quautre chose. Bref, ne met pas trop despoir dans quelque vaccin que ce soit en la matière. Les solutions existent déjà (mais pourraient davantage être améliorées si l'on abandonnait l'idée saugrenue du "VIH" et que la communauté scientifique se dirigeait résolumént dans la voie du stress oxydatif), sans quil ne soit en principe nécessaire de recourir aux drogues dites « antivirales ». Et dailleurs, quand on voit ce quil y a déjà lieu de penser des vaccins en général, franchement ... ! Modifié le 13 juin 2006 par wallypat Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité did23 Posté(e) le 13 juin 2006 Partager Posté(e) le 13 juin 2006 En effet, sans vouloir faire preuve d'une quelconque forme de racisme ou xénophobie, on peut considérer que dans les nations industrialisées, la population a une bien meilleure hygiène que dans les pays en voie de développement. Par conséquent, les habitants des pays en voie de développement sont plus susceptibles d'être exposés entre autres à des maladies vénériennes, en particulier s'ils ne sont pas circoncis. Ce problème ne se pose guère en Occident, prépuce ou non, car les habitants ont plus facilement accès à une meilleure hygiène, entre autres, au niveau du prépuce. Voilà qui peut expliquer pourquoi la circoncision est sans influence quelconque sur la supposée transmission sexuelle du "VIH" dans les pays occidentaux. Le cas de la circoncision permet encore une fois de démontrer l'incroyable supériorité de la théorie du stress oxydatif comme cause du sida sur celle du soi-disant rétrovirus "VIH" ! J'aime bien cette explication sur le mystère "circoncision"; bizarement la circoncision fait partie de pratiques usuelles voire obligatoires dans certaines religions; peut-être est-ce le résultat d'une constatation sur l'amélioration de la santé de la part des religieux de l'époque. Tout comme l'interdiction de manger du porc, qui est ordonnée dans les textes de ces dites religions, s'explique uniquement par le fait que le porc se conserve très difficilement dans les pays chauds et est à l'origine de pas mal de maladies bactériennes. De nos jours, dans les pays industrialisés, manger du porc ne provoque plus de maladies graves et être circonci ne protège pas plus du sida que de ne pas l'être. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nico111 Posté(e) le 14 juin 2006 Partager Posté(e) le 14 juin 2006 Noublie pas également que sauf exceptions (comme dans le cas de la syphilis par exemple), les anticorps à un microbe quelconque signifient en principe que lon est immunisé contre les effets pathogènes de ce microbe ; cest le principe même de la vaccination Absolument pas d'accord, les anticorps sont la marque du contact avec un agent infectieux et ce n'est pas parce qu'ils sont là qu'on est immunisé. S'ils sont efficaces on parle d'anticoprs neutralisants mais en fonction des pathogènes ils sont importants ou secondaires pour la défense de l'organisme Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Liane Posté(e) le 14 juin 2006 Partager Posté(e) le 14 juin 2006 ...les anticorps sont la marque du contact avec un agent infectieux et ce n'est pas parce qu'ils sont là qu'on est immunisé. Nico, tu tombes très bien. J'ai toujours pensé qu'avoir des anti-corps est bon signe car cela prouve qu'on a été contact avec une maladie et que le corps a su y répondre de manière défensive. Je n'ai sûrement pas les mêmes connaissances que toi. Mais il me semble que le fait d'être exposé à la rougeole, la rubéole, les oreillons ou autres, rend malade. Puis le corps développe ces fameux anti-corps qui vont nous immuniser contre une nouvelle attaque. Dans certains cas, c'est à vie. Dans d'autres cas, les anti-corps disparaissent avec le temps. D'où risques de recontracter la maladie si on se retrouve en présence de ses agents infectieux (et c'est là que le médececin intervient avec les vaccins ou ses rappels) C'est que j'ai appris, comme monsieur ou madame tout le monde. ... mais en fonction des pathogènes ils sont importants ou secondaires pour la défense de l'organisme A part le "vih", tu pourrais me donner des exemples de maladies dont les anti-corps n'immunisent pas (ou pas suffisamment) le corps ? Désolée si ma question relève d'un niveau élémentaire, mais voilà ! Anti-corps, parlons-en, il serait temps que j'en sache un peu plus Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Eilyne Posté(e) le 14 juin 2006 Partager Posté(e) le 14 juin 2006 certaines maladies peuvent être contractées deux fois, comme la coqueluche ou même la varicelle... la grippe peut être attrappée chaque année, mais bon c'est vrai que la souche change chaque fois Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Liane Posté(e) le 14 juin 2006 Partager Posté(e) le 14 juin 2006 certaines maladies peuvent être contractées deux fois, comme la coqueluche ou même la varicelle... la grippe peut être attrappée chaque année, mais bon c'est vrai que la souche change chaque fois Merci Eilyne. C'est bien ce que je dis : Dans d'autres cas, les anti-corps disparaissent avec le temps. D'où risques de recontracter la maladie si on se retrouve en présence de ses agents infectieux (et c'est là que le médececin intervient avec les vaccins ou ses rappels) Je réitère ma question. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité La loutre Posté(e) le 14 juin 2006 Partager Posté(e) le 14 juin 2006 Il n'y a pas de vaccins contre le VIH car les souches changent continuellement dans l'organisme. Le virus en se répliquant commet de grosses erreurs dans la réplication de son génome ce qui aboutit la plupart du temps a des mutants non viables mais aussi a des souches viables très diffrérentes de la souche originelle. Cela a, à long terme, pour conséquence "d'épuiser" le systeme immunitaire qui est déja affaibli car il doit remettre en route une réponse contre des antigènes différents. Le VIH infecte entre autre les cellules à rôle immunitaire qui commence à "s'autodéruire" pour éliminer le virus. C'est un cercle vicieux. Voila pourquoi il n'y aura peut être pas de vaccin avant un bon bout de temps. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Liane Posté(e) le 14 juin 2006 Partager Posté(e) le 14 juin 2006 Merci la loutre, mais ma question est : A part le "vih", tu pourrais me donner des exemples de maladies dont les anti-corps n'immunisent pas (ou pas suffisamment) le corps ? Pas d'urgence ! J'ai toute la vie pour apprendre Si Dieu me prête vie ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pikpikandré Posté(e) le 14 juin 2006 Partager Posté(e) le 14 juin 2006 (modifié) Noublie pas également que sauf exceptions (comme dans le cas de la syphilis par exemple), les anticorps à un microbe quelconque signifient en principe que lon est immunisé contre les effets pathogènes de ce microbe ; cest le principe même de la vaccination Absolument pas d'accord, les anticorps sont la marque du contact avec un agent infectieux et ce n'est pas parce qu'ils sont là qu'on est immunisé. Tout à fait d'accord ! La présence d'anticorps est juste un signe de contact avec l'antigène. C'est d'ailleurs pour cela qu'avec la vaccination il faudrait faire des rappels régulier pour "réactiver" l'immunité mémoire. Attention que l'immunité mémoire à long terme ne concerne pas les lymphocyte producteurs d'anticorps mais les lymphocytes T et B justement appelé "mémoire" qui permettent de lancer une réponse très efficace et très ciblée en moins d'une semaine. Sinon sans rappel la plupart des vaccins sont efficaces au moins 10 ans il me semble voire même ad-vitam (avec l'exemple de cas de personnes âgées vaccinés enfant contre le tétanos n'yant jamais fait de rappel et étant tjs immunisé). Par ailleurs les virus peuvent muter et donc ne plus être reconnu par les anticorps (cas d'Influenza par ex qui provoque la grippe). Selon la maladie, sans aide exterieur avec bcp de repos et peu d'alimentation l'organisme sera donc capable de guérir seul en 1 à 2 semaines. Ce qui dans notre société est impensable puisqu'il faut guérir en 3 jours max. Ceci concerne la plupart des maladies infectieuses de l'enfance (soit que l'on ai été vacciné soit que l'on ai rencontré la maladie) et d'autres chez l'adulte (hépatibe B en particulier) chez un sujet sain dont le système immunitaire est ok ce qui n'est pas le cas dans de très nombreux cas (dont le sida, mais aussi le cancer, toutes les maladies auto-immunes, malnutrition ou malbouffe, toxicomanie, stress intense etc etc). Ce qui explique que ces personnes sont suceptibles de développer tout un tas de maladies (dont certaines mortelles) qui pour un sujet sain provoque à un léger développement des ganglions de qqs heures à peine perceptible. Par ailleurs un organisme qui se défend fortement contre un virus baisse sa garde contre d'autres pathogène (surinfection) et dans ce cas il peut être utile aussi de lui filer un coup de pouce. Pour répondre à Liane ce n'est donc pas tant le virus que l'état de la personne qui détermine s'il sera suffisemment immunisé... ou alors c'est que le virus n'en est pas un (ou pas tout à fait le même) Par ailleurs La loutre exprime ici l'explication dogmatique du pourquoi on a pas réussi à identifier un virus en plus de 20 ans et encore moisn un vaccin. Il y en a une autre qui est de dire qu'on ne peut développer un vaccin contre un virus qui n'a jamais été identifié formellement et encore une autre qui est de dire qu'il est inutile de développer un vaccin contre un cirus qui n'existe pas. Modifié le 14 juin 2006 par Pikpikandré Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nico111 Posté(e) le 14 juin 2006 Partager Posté(e) le 14 juin 2006 Pas d'urgence ! J'ai toute la vie pour apprendre icon_wink.gif Si Dieu me prête vie ! Je te répond dans la journée, faut que je m'occupe de mon bout de choux ! Juste exemple contraire, je te cite le cas de la dengue (4 sérotypes différents donc une infection par un des 4 ne protège pas ou très mal contre les trois. De plus si tu te fais réinfecter par un autre sérotype et bien tu as des risques de faire un syndrome hémorragique grave car les anticorps produits lors de la première infection exacerbent tellement la réaction immunitaire que cela devient néfaste et amplifient la maladie pour attendre la réaction immuniatire donc anticorps pas forcément bons. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité La loutre Posté(e) le 14 juin 2006 Partager Posté(e) le 14 juin 2006 Une infection à Nesseria Gonnorhae entraine une production d'anticorps qui ne seront pas protecteurs car il y a peu de chance d'être réinfecté par la même souche. Pareil pour le Pneumocoque qui possède plus de 47 sérotypes. Une vaccination contre cette bactérie est un "coctail" qui protège contre les souches les plus fréquentes. Pour ce qui est de l'identification des virus... Libre à toi de ne pas y croire, pourvu qu'il y ait un minimun de connaissances derrière ce raisonnement et non pas quelques clics sur des sites "dissidents." Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Liane Posté(e) le 14 juin 2006 Partager Posté(e) le 14 juin 2006 (modifié) Pour ce qui est de l'identification des virus... Libre à toi de ne pas y croire, pourvu qu'il y ait un minimun de connaissances derrière ce raisonnement et non pas quelques clics sur des sites "dissidents."Il y a des topics ouverts là-dessus. Si tu peux faire avancer le schlimblick de manière concrète à ce sujet, vas-y ma biche ! Merci quand-même pour la Nesseria Gonnorhae et le pneumocoque : un début de réponse à ma question Modifié le 14 juin 2006 par Liane Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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