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forum sidasante

**[SIDA] : le "VIH" ne cause pas le SIDA ** 2/3


Vitosi

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Je vais en conclure, peut-être un peu rapidement, qu'après un rapport anal, le"receveur" risque temporairement une sérologie positive. Et je vais en conclure, toujours un peu rapidement, qu'il vaut mieux éviter de faire un test de dépistage juste après un rapport anal.

C'est une question de gestion du temps.

On doit conseiller au patient en passe de séduire la jolie infirmière chargée des prélèvements de ne pas se précipiter et de respecter scvrupuleusement le timing suivant :

1. effectuer le prélèvement ;

2. n'avoir un rapport anal avec la jolie infirmière qu'APRES ce prélèvement.

Tout cela semble très logique.

Il ne faut pas confondre rapidité (dans l'action) et précipitation (dans le geste technique) ...

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A propos de ruban, voici le dessin utilisé par le site dissident néerlandais

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Et le site d'où provient ce schéma, et où intervient Wilhelm Godschalk, docteur en biologie.

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  • 2 semaines après...

Une nouvelle "idée" délirante de l'orthodoxie du sida (en anglais, hélas) : mettre tous les gay sexuellement actifs sous drogues dites "antivirales" !

Visiblement, BIG PHARMA ne fait pas encore assez de bénéfices avec ses tri"thérapies" !

Dans un premier temps, celles-ci étaient destinées aux séropositifs ayant un sida déclaré.

Dans un second temps, aux séropositifs asymptomatiques.

Dans un troisième temps, à titre de "traitement" dit de "post-exposition", pour ceux qui auraient eu un rapport dit "à risque".

Mais l'orthodoxie du sida fait toujours plus fort : maintenant, même les gay dits "séronégatifs" devraient consommer tous les jours des drogues dites "antivirales" à titre "prophylactique" (lol) !

Mais pourquoi les gay uniquement ?

Il faut faire preuve d'un certain stoïcisme pour ne pas y voir une forme patente d'homophobie. Voilà qui va malheureusement conforter la thèse de ceux affirmant que le sida a été inventé pour éradiquer toutes les marginaux et autres personnes vivant en dehors des "normes".

Désolé, c'était un coup de gueule mais cela permet également d'illustrer que les folies sans fin de l'orthodoxie du sida ne sont pas prêtes de se terminer ..... hélas !

Quand cette hystérie collective du "VIH" cessera-t-elle donc ? icon_cry.gif

Modifié par wallypat
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Invité amedeo

oui , bien sur c'est très curieux cet article , mais comme la plupart des "gays" se sont embarqués dans la thèse officielle avec "leurs associations" et leurs idées folles , on ne doit plus s'étonner de rien.....

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Une nouvelle "idée" délirante de l'orthodoxie du sida (en anglais, hélas) : mettre tous les gay sexuellement actifs sous drogues dites "antivirales" !

reflechi.gif Mouais ! Avec le paludisme, à force de donner des traitements en prévention, "le vecteur de la maladie a muté en souches de plus en plus résistantes" Je crois qu'il n'y a plus un seul traitement efficace à 100% contre le palu.

Logiquement, ça va être la même chose avec le vih. Avec l'apparition des "souches résistantes", on en est aux quadri-thérapies.

Si le viread est donné en prévention, il ne sera bientôt plus "efficace". Les candidats se verront proposer des tri en prévention !

Mmmh, c'est bon ça !

Il faut faire preuve d'un certain stoïcisme pour ne pas y voir une forme patente d'homophobie.
ou de blackophobie. Après Thabo Mbeki, Mathieu Kérékou, président du Bénin.
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Avec l'apparition des "souches résistantes", on en est aux quadri-thérapies.

Si le viread est donné en prévention, il ne sera bientôt plus "efficace". Les candidats se verront proposer des tri en prévention !

Pour éviter qu'un nouveau lecteur n'y comprenne peut-être plus rien, je tiens donc à préciser que ce que tu voulais dire (je présume, du moins), ce n'est pas que le VIH "mute" et deviendrait ainsi résistant aux tri"thérapies", mais bien qu'à la longue :

- le consommateur de drogues dites "antivirales" ne résiste plus à la toxicité de certaines de celles-ci, en sorte qu'elles deviennent "inefficaces" et qu'il deviendrait ainsi "nécessaire" d'augmenter et de multiplier la variété des drogues dites "antivirales",

- et que les différentes bactéries et autres infections opportunistes (pas le pseudo "VIH" bien sûr), qui peuvent effectivement être combattues par certaines drogues dites "antivirales", s'adaptent et deviennent résistantes. En d'autres termes, ce n'est pas le pseudo "VIH" qui mute et qui devient résistant, mais bien les différents sources bactériennes, virales et autres d'infections opportunistes qui mutent et qui deviennent résistantes. Et quand on sait que certaines drogues dites "antivirales" ont en outre des effets mutagènes, on ne s'en étonnera guère.

Modifié par wallypat
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Je me surprends même à rêver que sur d'autres sites, il soit également prochainement fait référence à cette synthèse collective.

Il suffit de le dire !

C'est trop compliqué de vouloir amener des "spécialistes" à changer de point de vue. Ils sont "monochrome". Hors la vie est arc-en-ciel icon_biggrin.gif

Les sites d'Indymedia, par exemple, acceptent relativement facilement les infos postées par les lecteurs. C'est le principe de l'info indépendante.

Sur certains blogs perso, on peut aussi envoyer des commentaires en rapport avec les sujets cités.

Si ce n'est pas censuré, l'info sera lue. Et tant mieux si ça apporte des questionnements et que ça contribue à élargir le débat.

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La SAGA du SIDA.... Ou....on ne trouve que ce que l'on cherche...

"....De l'autre côté de l'Atlantique, un jeune praticien versé dans l'épidémiologie, le Dr Willy Rozenbaum, travaille dans le service des maladies infectieuses d'un hôpital parisien. Le 7 juin au matin, il reçoit la revue en question. L'après-midi même, il voit un patient, accompagné de son ami, qui présente justement des signes cliniques évoquant cette pathologie. "J'ai fait immédiatement le lien, mais il fallait alors une quinzaine de jours pour valider le diagnostic, se rappelle-t-il. J'ai effectué le prélèvement et, effectivement, on a eu la confirmation qu'il s'agissait bien d'une pneumocystose." Intrigué, il fonde quelques mois plus tard le premier groupe de travail français sur la question."

Après 25 ans de recul, les dissidents peuvent dire à quel point il y a eu confusion devant une réalité désarmante. S'agissait - t - il d'une épidémie ? Nous avons la preuve aujourd'hui que non.

Alors que s'est - il passé ? quelle explication cohérente peut donner le mouvement dissident pour expliquer ce qui s'est passé ?

Vraisemblablement, il y a eu une convergence de co - facteurs comprenant notamment une convergence de comportements à risque liés à une évolution de la société. Parmi ces comportements à risque, la prise de drogues récréatives conjuguée à des modes de vie destructeurs ont fait le reste.

La capacité à avoir une vision en temps réels des phénomènes épidémiologiques mondiaux a permis à notre épidémiologiste d'étayer, à l'époque, l' hypothèse du VIH = SIDA. Un peu de persuasion : Un chercheur à Pasteur en manque de reconnaissance, une "bonne" vision économique de l'intérêt financier du scénario ont fait ancrer l'hypothèse comme vérité...

Une Saga.... à la Da Vinci Code...

L'EXPRESS

vendredi 2 Juin 2006

SIDA

25 ans déjà!

Vincent Olivier

En 1981 apparaissaient les premiers symptômes du VIH. Depuis, le virus a tué 25 millions de personnes

A cette époque, les quinquas sont encore jeunes. Les trentenaires avalaient leur soupe. Les ados d'aujourd'hui ne sont même pas nés. C'est il y a vingt-cinq ans. Autant dire une éternité. Le 5 juin 1981, une publication scientifique américaine fait état d'une infection inconnue qui touche "cinq jeunes hommes traités pour une pneumocystose dans trois hôpitaux différents de Los Angeles". Et les auteurs de cet article soulignent: "Le fait que ces patients étaient tous homosexuels suggère une association entre certains aspects du style de vie homosexuel ou d'une maladie qui se transmet par voie sexuelle et la pneumocystose."

Pour la première fois, des médecins évoquent une pathologie qui ne s'appelle pas encore le "cancer gay" ni "la maladie des quatre H" - homosexuels, héroïnomanes, hémophiles, Haïtiens. Le mot "sida" n'existe pas, ce n'est pas l'acronyme de syndrome d'immunodéficience acquise, et encore moins un nom commun.

Un premier groupe de travail français

De l'autre côté de l'Atlantique, un jeune praticien versé dans l'épidémiologie, le Dr Willy Rozenbaum, travaille dans le service des maladies infectieuses d'un hôpital parisien. Le 7 juin au matin, il reçoit la revue en question. L'après-midi même, il voit un patient, accompagné de son ami, qui présente justement des signes cliniques évoquant cette pathologie. "J'ai fait immédiatement le lien, mais il fallait alors une quinzaine de jours pour valider le diagnostic, se rappelle-t-il. J'ai effectué le prélèvement et, effectivement, on a eu la confirmation qu'il s'agissait bien d'une pneumocystose." Intrigué, il fonde quelques mois plus tard le premier groupe de travail français sur la question. En février 1982, il alerte une ancienne étudiante en médecine devenue journaliste à l'Agence France-Presse (AFP), qui publie la première dépêche. Depuis, le sida a provoqué la mort de plus de 25 millions de personnes dans le monde.

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Après 25 ans de recul, les dissidents peuvent dire à quel point il y a eu confusion devant une réalité désarmante. S'agissait - t - il d'une épidémie ? Nous avons la preuve aujourd'hui que non.

Alors que s'est - il passé ? quelle explication cohérente peut donner le mouvement dissident pour expliquer ce qui s'est passé ?

Il est unanimement déclaré par l'orthodoxie du sida que cette "épidémie" a surgi quasiment spontanément le 5 juin 1981.

Evidemment, c'est faux.

L'orthodoxie du sida elle-même admet qu'un cas de sida aurait été retrouvé (rétroactivement) chez un zaïrois mort de "sida" en 1959.

Mais il y a bien mieux. Juin 1981 est considéré comme la date de départ de l'épidémie aux USA, depuis les viles de New York et de San Francisco. Or, c'est faux également. Des cas de sarcomes de kaposi furent déjà diagnostiqués chez des gay américains consommateurs de drogues récréationnelles trois années auparavant.

C'est ce que rappelle Duesberg :

1980

"L'épidémie" prit naissance en 1980 lorsque Michael Gottlieb, un immunologiste nouvellement promu au centre médical de l'UCLA à Los Angeles, eut l'idée de se servir de la toute nouvelle technologie de comptage des cellules T. Il fit circuler auprès de ses collègues une demande informelle afin qu'on lui signale tous les cas de déficit immunitaire. Dans les quatre mois qui suivirent, il reçut quatre rapports concernant de tels cas : il s'agissait d'homosexuels de sexe masculin frappés de pneumonie à Pneumocystis Carinii. Il y avait un cinquième rapport du même type, concernant également un homosexuel. En reliant tous ces cas différents, il compila un rapport pour le CDC. (MMWR, no. 21, vol 30, 5 juin 1981). Normalement, chacun de ces cinq cas particulier aurait dû être traité par un médecin particulier, sans que jamais l'idée d'épidémie n'éffleure personne. Mais la présence sur place d'un agent de l'EIS a certainement aidé le CDC à rassembler ces cas disparates pour les faire apparaître comme un foyer d'épidémie.

En d'autres termes, cette épidémie soi-disant due à un virus est purement articificielle et résulte d'une centralisation administrative de certaines données. Il y avait en revanche une épidémie de consommation de nitrites dès la fin des années 70, comme précisé dans le premier passage reproduit ci-dessus.

Par la suite, les multiples et extrêmement larges élargissements de la définition de sida (avec l'épidémie des tests appelés par erreur "VIH") ont pu donner l'impression que le sida était devenu une épidémie incontrôlable.

N'oublions par ailleurs pas qu'il n'a jamais pu être démontré par l'orthodoxie du sida que les premiers 100 gays sidéens (de New-York et San Francisco) avaient eu des relations sexuelles entre eux. En revanche, ils avaient tous pour point commun d'avoir consommé de larges quantités de poppers (et des tas d'autres drogues) dès la fin des années 70.

Enfin et peut-être surtout, l'orthodoxie du sida estime que la période de latence du sida est de 10 ans environ. Il faut donc en déduire que globalement, les premières "contaminations" chez les gay auraient daté du début des années 70. Etant donné que les premières campagne de safe sex n'ont débuté qu'en 1985, il est par conséquent strictement inconcevable de penser qu'à supposer même que le "VIH" existe, celui-ci ait pu rester cantonné pendant 10 années environ dans les seuls groupes dits à risque jusqu'au début des années 80 !

En d'autres termes, si le sida était effectivement une maladie contagieuse, sexuellement transmissible par le biais d'un rétrovirus, nous aurions dû assister au début des années 80 à une épidémie hétérosexuelle de sida, et non à une (toute petite) épidémie homosexuelle de sida, ne touchant au surplus en tant que gay que les seuls gay toxicomanes !

Modifié par wallypat
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Un compte-rendu tès intéressant de Liam Scheff (en anglais malheureusement) où l'on constate l'énorme difficulté rencontrée dans le dialogue avec des personnes "mainstream" :

http://liamscheff.com/content/view/34/9/

Je confesse tout de même que je suis agacé par les dissidents américains qui n'arrivent pas à concevoir l'action de l'AZT autrement que comme un bloqueur de la croissance de la chaîne d'ADN.

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Comment le SIDA altère le système immunitaire?

Institut Pasteur

http://www.pasteur.fr/

le mercredi 07 juin 2006

Des chercheurs de l'Institut Pasteur et du CNRS viennent de dévoiler un nouveau mécanisme par lequel le virus du sida (VIH) altère la réponse immunitaire. Leur recherche est publiée dans la revue Immunity.

Sida : découverte dun nouveau mécanisme impliqué dans laltération du système immunitaire par le VIH

Des chercheurs de lInstitut Pasteur et du CNRS viennent de dévoiler un mécanisme par lequel le virus du sida (VIH) altère la réponse immunitaire. Ils ont montré que le virus réduisait considérablement le contact entre les lymphocytes T quil infecte et dautres cellules de notre système immunitaire contact indispensable au déclenchement des réponses immunitaires. Leur travail est publié dans Immunity.

Les lymphocytes T, cellules-clés du système immunitaire, doivent entrer en contact avec des "cellules présentatrices d'antigènes" pour déclencher des réponses immunitaires. Ce point de contact est appelé "synapse immunologique" (voir photo page suivante).

Des équipes de lInstitut Pasteur, menées par Andrés Alcover, chef de lUnité de Biologie cellulaire des lymphocytes, et par Olivier Schwartz, responsable du Groupe virus et immunité associé au CNRS (URA 1930), viennent de démontrer que cette synapse immunologique est une cible pour le VIH.

Leur travail montre en effet que le VIH, dans le lymphocyte T, bloque le transport intracellulaire de molécules importantes pour la création de la synapse. Conclusion : le contact entre lymphocytes T et cellules présentatrices dantigènes est altéré, ce qui modifie la réponse immunitaire favorisant probablement ainsi la persistance du virus.

Les chercheurs ont identifié un composant du VIH, la protéine appelée Nef, dont le rôle est encore mal compris, comme étant responsable de ce phénomène.

Peut-on attendre des applications dune telle avancée ? Il est encore tôt pour le dire, mais les chercheurs continuent de décrypter le mécanisme en jeu, ce qui pourrait à terme offrir des pistes thérapeutiques à explorer.

Ce travail a été soutenu par lAgence Nationale de Recherche sur le SIDA, Sidaction, La Ligue Contre le Cancer-Comité de Paris, le CNRS, la Communauté Européenne et lInstitut Pasteur.

Source :

« Human Immunodeficiency Virus Type-1 Infection Impairs the Formation of the Immunological Synapse : Immunity. 24 mai 2006

Maria Isabel Thoulouze1,2,3,4, Nathalie Sol-Foulon3,5, Fabien Blanchet3, Alice Dautry-Varsat2, Olivier Schwartz3,6* et Andrés Alcover1,2,6*

1 Unité de Biologie Cellulaire des Lymphocytes, Institut Pasteur

2 Unité de Biologie des Interactions Cellulaires, unité de recherche associée au CNRS-2582, Institut Pasteur

3 Groupe Virus et Immunité, unité associée au CNRS-1930, Institut Pasteur

4 Unité de Virologie et Immunologie Moléculaires, INRA, Jouy-en-Josas

source : http://www.science.gouv.fr/index.php?qcms=...iew,159,2318,,,,

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Je ne sais pas trop pourquoi on a publié la "découverte" de l'orthodoxie du sida relatée dans le post précédent, mais ne peut-on pas considérer que cette "découverte" avait déjà été faite depuis plus de 10 ans par la dissidence du sida ?

Il est en effet dit (si j'ai bien compris, n'étant pas rétrovirologue) que le "VIH" empêcherait les lymphocytes T "infectées" de reconnaître les antigènes des germes opportunistes et donc de les détruire.

Or, la dissidence du sida n'a-t-elle déjà pas précisé depuis bien des années déjà qu'à cause d'un stress oxydatif démesuré, les TH1 sont épuisés par une trop forte hyperstimulation de monoxyde d'azote, et que dès lors ils ne sont plus en mesure de combattre les germes intracellulaires (sources des maladies "exotiques" du sida) et de les détruire ?

En d'autres termes, cette "découverte" de l'orthodoxie du sida me paraît être une confirmation de plus (à supposer que cela était encore nécessaire) et bien tardive du bien-fondé des théories dissidentes du sida, et tout particulièrement de la théorie du stress oxydatif comme cause du sida.

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Ce qui est intéressant dans cette publication, c'est qu'en réalité ce qui empêche les lymphocytes de faire leur travail, c'est une des protéines (Nef) pour laquelle on trouve des anticorps en quantité importante chez les séropositifs.

Or le problème me semble être que cette protéine peut aussi bien être la réponse à un stress oxydatif que faire partie d'un virus... que l'on n'a jamais purifié, ainsi que le précise Luc Montagnier.

Ce qui n'est pas résolu ici, c'est la cause de l'apoptose des lymphocytes, qui semble bien être, en première intention, le stress oxydatif.

Je précise ici, qu'il faut NO et une quantité importante d'ion superoxyde pour que les peroxynitrites - cause fort probable de l'apoptose - puissent se former. Les oxydants azotés permettent bien sûr la formation excessive du premier, et le stress lié aux diverses inflammations celle du second.

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Je ne sais pas trop pourquoi on a publié la "découverte" de l'orthodoxie du sida relatée dans le post précédent

Si la question s'adresse à moi, et bien c'est pour avoir les réponses très pertinentes que vous m'avez données icon_ange.gif

Modifié par Pikpikandré
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Je ne sais pas trop pourquoi on a publié la "découverte" de l'orthodoxie du sida relatée dans le post précédent

Si la question s'adresse à moi, et bien c'est pour avoir les réponses très pertinentes que vous m'avez données icon_ange.gif

D'ailleurs c'est marrant, je suis aussi tombé sur cet article et regardez donc les commentaires : http://forums.futura-sciences.com/showthre...3262#post653262

S'il faut, le lien censuré était un lien vers ONCT icon_biggrin.gif

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Ah !!! J'ai l'impression que les temps changent...

il y a peu ce type de discussion tournait vite court sur futura science... Très très bon tout ça _biglol.gif Le doute est le courage de la conscience (Jean Bédard), il serait temps que les scientifiques l'intègrent !!

Modifié par Pikpikandré
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Vu mon expérience de ce type de forum très "science conservatrice", je sens que ça va vite tourner court. La technique habituellement utilisée, c'est, au bout de 2 ou 3 pages, une fermeture du topic, avec comme justification : "bon, c'est bon, on a fait le tour du sujet" (alors que sur onnouscachetout, on n'a toujours pas fait le tour du sujet après 4 ans et des milliers de pages écrites, et que, sur futurascience ou autre forum du même style, il y a plein d'autres sujets beaucoup moins importants, sur lesquels ils n'ont toujours pas fait le tour après des mois et quelques dizaines de pages écrites).

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