Aller au contenu
forum sidasante

**[SIDA] : le "VIH" ne cause pas le SIDA ** 2/3


Vitosi

Messages recommandés

merci Cheminot pour cette info qui semble te faire sauter de joie icon_biggrin.gif mais ça serait sympa si ça pouvait devenir compréhensible ... désolé j'ai vraiment l'impression que tu donnes une super info mais j'espere pouvoir la comprendre ..

paske la en anglais j'viens d'acheter le CD débutant et intermédiaire mais bon.. a mon avis j'en ai pris pour six mois (si tout va bien!) avant d'entraver une phrase en anglais.. 4-ptdrasrpt.gif

Et te moques pas Viduité! 5-nonnonnon.gif

merci d'avance pour le traducteur volontaire 4-piout.gif

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Réponses 1,1 k
  • Créé
  • Dernière réponse

Meilleurs contributeurs dans ce sujet

Meilleurs contributeurs dans ce sujet

Si j'ai bien compris Cheminot, je crois qu'il a voulu dire en gros (et dans mon langage de profane) que l'orthodoxie du sida est prêt à inventer tout et n'importe quoi :

1) pour "prouver" que l'AZT ne cause pas ou si peu de stress oxydatif dans l'organisme (quitte à déformer les faits et à ne pas tenir compte de multiples expériences scientifiques antérieures), et donc que l'AZT ne cause pas le sida sur ordonnance, et

2) et pour "prouver" que les dégâts causés au foie ne sont pas dus à l'AZT mais bien à une nouvelle enzyme tout récemment "découverte".

Pour ma part, je me demandais s'il n'était pas possible pour des scientifiques dissidents de proposer à la Revue "Nature" de publier un article qui réfuterait les différents mensonges et grossières erreurs dénoncés par Cheminot dans cet article. Comme cela ne heurterait pas de front le dogme du virus tueur, est-ce que cela ne serait pas possible ?

Modifié par wallypat
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Oui, c'est tellement gros que cela mérite bien une intervention auprès de Nature.

Il faut que je voie avec mes collègues chimistes comment le faire. Et j'aimerais aussi avoir l'avis de Nico.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je n'ai suivi ces problèmes de molécules oxydantes type AZT que de loin mais je vais y jeter un coup d'oeil ce week end avec les liens que tu as mis. Par contre mettre une note dans Nature, c'est plutôt très chaud. Quelle expérience as tu de la publication dans ces types de journaux ? Au labo on a pu sortir un Cell : le boulôt le valait mais on a galéré comme des fous pendant des mois pour le faire accepter car les referees dans ces journaux élitistes n'envisagent souvent le sujet proposé que d'un seul point de vue et pour les faire envisager l'autre c'est pas gagné. En plus sans appui avec une personne influente qui a déjà publié dedans c'est encore plus dur sinon il faut avoir un truc vraiment exellent. Là comme c'est pour s'opposer à ce qui a pu être publié ou discuté ça me parait vraiment très délicat mais pourquoi ne pas tenter, ça ne coute pas grand chose.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

je te donne les divers liens, Nico :

Handlon & Oppenheimer

Reardon

Cretton

comme ce sont des biologistes, pas un seul instant ils ne font le lien avec le travail de Reardon, et ce sont eux qui ont supposé l'existence d'une enzyme, baptisée 10 ans plus tard "AZT-reductase". LOL!

Celui-ci est également intéressant, car repris par une des publications que j'ai citée :

Eagling

J'ai relu le lien de Nature et les références données. Elles datent de 1970 (61) et de 1994 (60), date du travail de Reardon. En réalité, ils utilisent les études qui les arrangent et passent sous silence les dérangeantes.

En ce qui concerne l'autre lien, j'ai lu un peu rapidement le tableau qui donnait le taux d'inhibition de la formation d'AMT à partir de l'AZT.

En réalité, on constate que l'inhibition est trè forte avec la plupart des oxydants nitrés (nitroimidazole : flagyl et chloramphénicol)

La métyrapone est une cétone, donc normalement difficilement réduite, mais rendue bien plus fortement oxydante par la présence du cycle pyridine qui lui est conjugué. De plus la pyridine peut être oxydée en N-oxyde par le métabolisme, ce qui augmente encore le caractère oxydant de la métyrapone.

Les oxydants inhibent la réduction de l'AZT, ce qui semble tout-à-fait normal, non.

Etonnante tout de même l'action du paracétamol, et qui est, je m'en excuse, l'opposée de ce que j'avais initialement lu. On décrit en chimie son action en tant que consommateur de glutathion, mais apparemment, comme c'est aussi un phénol, il est capable de jouer le rôle de réducteur vis-à-vis de l'AZT, et donc d'augmenter la formation d'AMT.

Je vais essayer de voir s'il est possible de contrer Nature avec nos confrères de langue anglaise.

Modifié par Cheminot
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

merci Cheminot pour cette info qui semble te faire sauter de joie

Axelweb, cela ne me fait pas particulièrement sauter de jois, parce que cela veut dire que les labos pharmaceutiques sont au courant de toutes les critiques faites par les dissidents, et ils commencent à mentir dans un domaine, qui, apparemment, n'est pas "chaud", pour pouvoir contrecarrer les dires de Duesberg, de Papadopoulos, de de Harven...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pour conclure mon avant-dernier post, je voudrais indiquer ici que les antifongiques triazoliques (fluconazole,...) ont des propriétés inhibitrices vis-à-vis des enzymes réductrices telles la catalase, ainsi qu'indiqué ici. Ils agissent donc en diminuant le pool réducteur cellulaire, ce qui conduit à une réduction moins importante de l'AZT.

Je précise que les biologistes pensent bizarrement que l'AZT n'est pas toxique en lui-même. Seul est toxique son métabolite réduit. Evidemment, il n'est pas possible de reconnaître une chose pareille, cela serait le début de la fin pour la lucrative industrie du Sida.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ainsi qu'aux Etats-Unis, dans les sphères écologistes, jusque-là réfractaires :

http://blogs.salon.com/0002007/2006/02/17.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je lis en ce moment une discussion passionnée qui a lieu sur le Blog d'un Docteur en Médecine, actuellement assistant en épidémiologie, le Dr Tara Smith(excusez la langue française qui ne permet pas la féminisation de ces titres).

Cette discussion concerne la publication de Padian & al. sur lequel est fondée la probabilité de 1 pour mille pour la transmission hétérosexuelle que l'on retrouve un peu partout. Merci d'ailleurs à ce médecin - au demeurant charmante - de nous permettre de télécharger cette publication complète.

En étudiant attentivement toutes les interventions - où nous retrouvons les acteurs habituels du débat : Hank Barnes, Dean Esmay, et le Dr. Harvey Bialy, compagnon d'armes de Peter Duesberg, d'une part, Chris Noble et Dale d'autre part, ainsi que d'autres personnes intéressantes (Darin Brown, un méthématicien) et moins intéressantes (Orac, qui ne sait faire que des attaques ad hominem) - je suis tombé sur une des dernières contributions de notre jeune docteur Tara, qui, me semble-t-il, éclaire d'un jour cru la véritable cause qui empêche la remise en question de l'hypothèse vih -> sida :

http://scienceblogs.com/aetiology/2006/02/...p#comment-18709

Si la manière dont les sceptiques du vih le considèrent s'appliquait universellement, cela invaliderait la théorie microbienne.

On voit donc tout l'enjeu du débat, et on comprend que personne n'est pressé de faire une réévaluation de l'hypothèse en question.

Modifié par Cheminot
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

oui mais des gens sont déclarés séropos apres avoir eu un seul rapport avec une capote explosée même sans ejaculation...

certains même sans pénetration profonde voir juste attouchement en contact avec du sperme sans même etre certain que ça s'est produit

mais avec un abces mal placé on conclus à une ifection HIV alors que les tests sont totalements inéfficaces à cause de cet abcès!

une piqure contaminée ça vaut bien une pénetration fugace voir imaginaire avec un virus qui supporte pas la moindre variation de température !

ce virus est tellement fragile qu'on ne peut pas l'identifier (l'isoler) même sur un patient qui en est confit jusqu'à l'os!

montrez nous la photo de ce rétrovirus!

merde ya 40 millions de porteurs on est sur un site dissident je suis séropositif mais on m'a jamais montré mon ennemi!

a vrai dire j'ai jamais osé demander (à mon médecin) à le voir mais je me souviens que quand je me suis fait operer de l'appendicite les médecins étaient d'accord pour me le refiler dans un bocal!

en plus dans les examens ça change tous les mois!

pourquoi on me montre pas mon virus!!?? 3 - parano.gif

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Axelwebb,

d'abord, quel est le pourcentage de gens devenus séropos à la suite d'une capote explosée? Certainement très peu, vu les chiffres indiqués par les CDC ou le gouvernement français. Sans doute même un sur un million si on ne connaît pas le "statut" de son partenaire, ou un sur mille si on connaît ce statut.

Mais on montera leur cas en épingle. Et puis on assumera que c'est à cette occasion que cette personne est devenue séropositive, sans preuve. C'est un peu comme si on disait que tout ce qui arrive à la suite d'une vaccination est dû à cette vaccination (LOL). Sauf que dans le cas du vaccin, on sait ce qu'il y a dans le vaccin, alors qu'on ne sait pas vraiment ce qu'est le "vih".

Mais de nombreuses autres causes peuvent être responsables de cett augmentation de la séropositivité qu'on appelle séroconversion : et en particulier tout ce qui augmente le stress oxydatif (drogues azotées, médicaments oxydants,...)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

oui mais des gens sont déclarés séropos apres avoir eu un seul rapport avec une capote explosée même sans ejaculation...

certains même sans pénetration profonde voir juste attouchement en contact avec du sperme sans même etre certain que ça s'est produit

C'est justement parce que le monde entier est persuadé que la séropositivité serait sexuellement transmissible et que le sida serait causé par un rétrovirus que l'imaginaire populaire met ces cas de "contamination" par exemple sur le compte de capotes qui "explosent".

En réalité, on pose chaque fois LA mauvaise question, à savoir "Avez-vous eu un rapport sexuel dit non protégé ?".

Alors que la question à poser serait plutôt la suivante : "Qu'est ce qui dans votre mode de vie est susceptible d'avoir induit récemment un stress oxydatif assez élevé que pour rendre le test dit "HIV" positif ?"

Et les réponses sont multiples : drogues, réception anale de sperme (qui cause un effet immunodépressif momentané, et donc une hausse du stress oxydatif), prise d'un vaccin, etc....

On constatera alors aisément que les cas que tu cites ne sont que pure coïncidence, et non des preuves quelconques.

Modifié par wallypat
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

le cas que je cite c'est suite a un abces (qui arrive a beaucoup de de gens) anal peut etre suite à attouchement anal avec du sperme sur les doigts...

bon.. vu comment le virus est fragil ça me semble tres peu probable...

le problème c'est que le virus est particulierement vicieux (d'apres son médecin ce virus est un sadique!)et qu'il a muté pendant et après l'abces..!

ça m'étonne beaucoup parce que c'est une personne tres stricte (c'est un garde républicain) et connaissant ses pratiques je suis sur qu'il ne pouvait pas se faire infecter... il ne comprend pas lui-même comment ça a pu lui arriver... Ce qui m'étonne encore plus c'est la docilité dont il fait preuve pour prendre son traitement...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

La seule question qu'il doit se poser est :

quel traitement (noms précis) a-t-il été prescrit pour cet abcès? Et après on pourra très certaineent mieux compendre ce qui s'est passé.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

En ce qui concerne la spécificité des tests, je vous laisse un peu méditer sur ce document des CDC dont j'ai extrait la "substantifique moëlle" :

--Resize_Images_Alt_Text--

où il est écrit, noir sur blanc :

Establishing the cutoff value to define a positive test result from a negative one is somewhat arbitrary

Comme s'il était arbitraire de décider si oui ou non quelqu'un va avoir sa vie gâchée.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Les tests de diagnostics ne sont jamais fiables à 100% , que ce soit pour HIV ou non et le mot arbitrary ne concerne "que" l'endroit où les courbes se chevauchent. Là forcément on est aux limites de la technique c'est comme ça. Le tout est d'obtenir un test dont le chevauchement faux positif/positif ou faux négatif/négatif soit le plus faible possible. Ca parait peut être fou de se dire qu'on a 5% de faux postif par exemple mais un seul test ne suffit pas et on doit aussi prendre en compte les symptomes etc......

PS: désolé Cheminot mais je ne fais que survoler le forum en ce moment et je n'ai pas le temps de me plonger dans les articles que tu m'as cité sur AZT mais bientôt ça ira mieux !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pas de problème, Nico.

Par contre, ce que j'ai relevé n'est pas d'abord le graphe donné, mais la petite phrase qui indique que le cut'off est quelque chose d'arbitraire. Pour un chimiste, ce discours est inadmissible. Et il devrait l'être encore plus pour quelqu'un qui s'occupe de la santé des gens.

Pour en revenir au graphe, il illustre très bien ce que je m'échigne à dire depuis 3 ans : comment sait-on, en dehors de la clinique, depuis 1984, que les anticorps détectés au dessus du cutoff sont ceux du vih, et ceux détectés au-dessous ne le sont pas?

Actuellement on commence à répondre : oui mais la majorité des gens est immunisée vis-à-vis du vih... mais ceci va totalement à l'encontre de la politique de prévention. Cela devient kafkaïen.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×
×
  • Créer...