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**[SIDA] : le "VIH" ne cause pas le SIDA ** 2/3


Vitosi
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Sic,

il ne s'agit pas d'oligiéléments ici, mais d'une abréviation utilisée en biochimie pour parler d'oligonucléotides, c'est-à-dire de fragments d'ADN ou d'ARN. icon_biggrin.gif

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Si j epeux apporter quelques précisions/correction (désolé Cheminot !). La PCR utilisée pour la charge virale va détecter les ARN du vih et non pas l'ADN du vih intégré dans les cellules (=ADN proviral présent en très faible nombre). Pour détecter ces ARN viraux normalement correspondant à l'activité de multiplication du virus il faut bien sur les amplifier car sinon c'est très difficilement détectable. Don cpour cela on va utiliser la PCR (dans ce cas il faut d'abord transformer ces ARN en ADN par rétrotranscription car la PCR n'amplifie qu'à partir d'ADN). Ensuite cette masse amplifiée est révélée par différentes techniques.

La PCR telle que faite en routine dans les labos n'est pas faite pour être quantitative, elle mettra en évidence si on a pas , un peu ou beaucoup des molécules que l'on recherche. On aura un ordre d'idée mais grossier. Il se développe maintenant de la PCR dite quantitative ou "temps réel" qui elle est sensée être quantitative. En fait pour savoir si la technique est au point on vérifie la proportionalité du signal onbtenu avec la quantité d'ARN mis dans l'echantillon. En général ça marche plutot bien sur les virus qui se répliquent fortement. Sur le HIV, je n'ai pas lu beaucoup de truc don cje ne peux pas dire. Une chose qui est sure c'est que l'amplification n'est pas aléatoire, elle dépend de la quantité de matériel présent dans l'echantillon et des oligonucléotides utilisés pour reconnaitre ce matériel et l'amplifier. Les problèmes peuvent donc venir de ça, qu'est ce qu'on déctecte ? est-ce spécifique ? Normalement il y a les contrôles négatifs lors des phases de mise au point ........

Sinon, à la base les études médicales (médecine, pharma, véto etc....) ne forment pas vraiment à la recherche alors.......

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Merci pour ces précisions, Nico, et effectivement, la question est : que détecte-t-on? Et comment a-t-on décidé d'utiiser tel ou tel primer?

Si les contrôles négatifs ont été faits de la même manière que les contrôles Elisa, cad vs la clinique, ou vs un Elisa (donc vs la clinique), on ne peut toujours rien dire sur ce que l'on détecte et sur sa spécificité.

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Quen penses - tu Cheminot ?

http://perso.wanadoo.fr/vincent.masson/bioch/western.htm

Pour ma part, cela ne m'éclaire en rien ; ça ne fait que me décrire une technique mais ça ne me dit en rien en quoi elle est signifivative par rapport au problème du HIV ; j'appelle cela de la vulgarisation pétrolette.

Modifié par sidarta
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Je n'en pense que du bien, parce qu'il s'agit ici de la description d'une technique bien connue en chimie et en biochimie.

Ce n'est pas la détermination de protéines spéciales par cette réaction d'immunoluminescence qui est en cause, c'est l'attribution de ces protéines à un virus contagieux. Les protéines, elles existent. Cependant leurs concentrations sont sans aucun rapport avec le nombre réel de "virus" que l'on pourrait extrapoler à partir des très faibles quantités d'oligonucléotides dont nous avons parlé plus haut. Cette quantité de virus est incapable d'être à la source d'une aussi grande quantité de protéines..."virales" que sont les antigènes soit disant "viraux".

Modifié par Cheminot
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..."On aurait pu l'appeler le Stavudine Building. Le nouveau bâtiment s'élève près de la Medical School, non loin des « collèges » néogothiques et des bibliothèques d'allure médiévale de l'université Yale, à New Haven (Connecticut). Ce ne sont ni les subventions ni les droits d'inscription qui ont permis de régler, rubis sur ongle, la moitié des 176 millions de dollards qu'a coùté ce nouveau temple dédié à la recherche, mais les royalties d'un médicament antisida, découvert et breveté par l'université.

Depuis sa mise sur le marché, en 1994, la stavudine ( 1) a rapporté à Yale au moins 261 millions de dollars (292 millions d'euros) (2). représentant 90 % des royalties engrangées par l'université, le médicament a permis à celle-ci de caracoler dans le peloton de tête des

universités américaines les plus gâtées par la propriété intellectuelle.

(1) appelée aussi d4t, la stavudine est un inhibiteur nucléosidique de la transcriptase inverse du VIH, famille de l'AZT

(2) entre les années 1994 et 2000"

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Invité Bardamu

Figaro du 30/05/05

Le virus du sida actuel est moins actif

Jean-Michel Bader

[30 septembre 2005]

Eric Arts, de l'Institut de médecine tropicale d'Anvers, compare depuis plus de quinze ans le pouvoir pathogène des virus du sida (VIH). Il publie dans la revue AIDS datée du 14 octobre 2005 une comparaison de l'efficacité virale d'échantillons historiques de 12 patients non traités diagnostiqués entre 1986 et 1989 et 12 virus isolés récemment (2002 à 2003). 750 «compétitions» ont été organisées en culture, dans des cellules (des globules blancs) entre chaque paire de virus (un historique, un récent). Les virus anciens ont battu à plate couture les plus récents : ils se sont multipliés plus vite dans 176 cas sur les 238 analysés. Les chercheurs ont également mis en culture ensemble les deux types de virus dans des cellules CD4, les cellules du système immunitaire que cible plus particulièrement le virus. Trois fois sur quatre, les vieux virus ont plus et plus vite proliféré que les nouveaux.

Si la résistance acquise aux antiviraux modernes ne peut a priori pas jouer chez ces virus «vierges» (prélevés chez des malades au départ non traités), l'explication est sans doute plus évolutive : l'atténuation de ces virus VIH au cours du temps, se serait faite par adaptation moléculaire et sélection continue. Pour mieux se transmettre d'un individu à l'autre, le virus aura dû payer le prix d'une moins grande virulence.

Alors que l'épidémie fait rage en Afrique, en Asie du Sud-Est et en Russie, et que l'accès aux soins reste très limité, on espère que cette découverte ne sera pas utilisée politiquement par les partisans des rapports non protégés. «Même si les virus s'avéraient moins virulents au cours du temps, le risque de s'infecter aujourd'hui est plus grand que jamais», estime Guido Vanham, un des auteurs de cette étude.

le cas limite, c'est que le vih perde toute virulence, pour pouvoir continuer à se transmettre ... ?!

plus sérieusement, comment interpréter la différence de comportement des différentes souches ?

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De toute évidence, ce Bader risque de se voir débarquer de la Communauté scientifique car il semble aller à l'encontre des intérêts du dogme ...

... C'est du terrorisme ... encore qu'avec un nom comme cela, on devait être méfiant ...

Modifié par Viduité
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Le virus du sida actuel est moins actif ( 30.09.2005 )

Alors là, pour le coup, oui, je le dis, Vulgarisation pétrolette !

Je voudrais bien qu'on me dise comment on compare la virulence de virus dont on ne parvient pas à démontrer l'existence ? Comment fait-il ce brave homme ? J'aimerais bien avoir des informations plus techniques sur les protocoles utilisés !

Modifié par sidarta
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Visiblement ce Bader et sa bande (la bande à Bader) appartiennent au clan des "clercs" qui ne contestent en rien l'existence du VIH et son lien de causalité avec le SIDA ... Ils peuvent donc ainsi espérer rester dans la Communauté scientifique autorisée ... encore que ...

Peut-être sont-ilsl également aussi mandatés, en sous-main, par cette communauté pour se prémunir des "exceptions" dont le nombre peut devenir "gênant" pour confirmer la règle communément admise (par elle). La CU ne peut ignorer éternellement des réactions intempestives du grand public.

Je ne m'inquiète pas pour eux ... ils vont vite fait avoir l'idée de dire un truc du genre : " C'est grace à nos superbes tri thérapies que le virus est en train de perdre en effets de nuisance ... il faut donc continuer ... car, sans elles, l'animal peut reprendre du poil de la bête ... "

Pourquoi donc s'inquiéter de la rigueur des protocoles ? Tous les "machins institutionnels" se sont-ils déjà souciés à un quelconque moment de vérifier (voire de mettre en place) de tels protocoles (en afrique par exemple) ... ? bien sûr que non ! ... êtes-vous allés voir ce qui se passe en réalité sur le terrain en afrique (pour ne citer que cet exemple) ... Non ? Moi si ! ... alors méfiez-vous donc de l'imagerie d'Epinal qu'on vous ramène dans les valises !

Il y a un message à destination des populations à faire passer afin de garantir sa rente de situation ... point barre.

Le petit nègre, le petit bridé ou le petit blanc qui en prennent plein la gueule du fait de leurs agissements, ils s'en tapent ... C'est cruel ? ... eh bien oui, c'est très cruel ! ... c'est même dégueulasse ...

Vous vous dites : " Oh non, ce n'est pas possible ... on ne peut pas tomber si bas ! " ... eh bien si, on peut tomber très bas ... d'ailleurs, l'Histoire de l'Humanité regorge de chutes encore plus basses ...

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« Quand des médecins refusent de soigner des séropositifs »

Le Parisien

Le Parisien indique sur une page que selon une étude dévoilée par Sida Info Service, « 8 séropositifs sur 10 se disent victimes de discrimination. Pire : dans près de 44 % des cas, cest dans le cabinet dun docteur que les portes se ferment ».

Le quotidien précise ainsi que selon cette enquête, « 43,7 % des séropositifs ont déjà été confrontés au refus dêtre soigné par un dentiste, un gynécologue ou un médecin généraliste ».

Le journal cite un patient séropositif, qui remarque : « Si on ne se renseigne pas avant sur le médecin, il y a de grands risques dêtre mal reçu ».

Le Parisien estime que cette « discrimination [est] malvenue de la part de professionnels parfaitement renseignés sur le virus et qui va à lencontre même du serment dHippocrate ».

Le quotidien ajoute que « le monde du travail arrive en seconde position avec 37,7 % de discrimination envers les personnes atteintes par le virus ».

Le Parisien note qu« il est aujourdhui plus difficile davouer sa séropositivité quil y a 20 ans ». Le journal cite Hélène Roger, coordinatrice du collectif Sida, qui déclare : « Nous avons du mal à concilier les messages destinés à faire accepter les séropositifs et où la maladie est relativisée, avec ceux destinés à la prévention où lon rappelle que le sida est une maladie grave et mortelle ».

.... Le chaud et le froid : Comment sortir de ces incessants " triangles dramatiques " ( persécuteur, sauveteur, victime ).

Finalement lorque l'on est " dissident séropositif " ( ?! est -ce possible ? ), on est "emmerdé au carré ". Il y a des jours...on a envie de rester sous la couette !

Mais, enfin ! Le vie est belle !

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Finalement lorque l'on est " dissident séropositif " ( ?! est -ce possible ? ), on est "emmerdé au carré ". Il y a des jours...on a envie de rester sous la couette !

Non Sidarta ! ... Nous n'allons pas nous laisser emmerder par tous ces cons !

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Sidarta,

La relativation des discours "terrifiants" faits par les dogmatiques est sans doute la formule la moins mauvaise pour les contrer dans un premier temps ... et, à titre conservatoire, donner un peu d'espoir à ceux (les "nouveaux" notamment) qui se retrouvent sous le rouleau compresseur de la pensée unique.

Dans un second temps, j'estime qu'il sera indispensable, à terme, d'en passer par le judiciaire. D'ailleurs (voir le dernier topic de Cheminot), les "officiels" ont bien compris que eux aussi devaient prendre la main sur ce segment. A ce sujet et même si on n'en parle plus, l'affaire alsacienne où un type se morfond dans une prison me paraît très préoccupante pour la cause générale. Sur ce coup là et manifestement, ils ont marqué un point surtout si la Cour de cassation venait à confirmer la décision en appel mais la jurisprudence est faite pour évoluer ... donc même si l'inflexion se révélait défavorable, il n'y aurait rien de figer dans le temps.

Bon et pour atterrir un peu, dans une couette ou ailleurs, je le confirme et le reconfirme à titre personnel (et au vu d'expériences de "voisinage") : on peut vivre tout-à-fait normalement en étant séropo sans médoc ! En revanche, je le confirme aussi, il n'y a que peu de chances de vivre "normalement" en étant séropo avec médocs ...

Combien de temps, je l'ignore ... mais jusqu'à démonstration de l'inverse, nul n'est en mesure de dire péremptoirement s'il sera encore là le mois prochain ... c'est le principe de la vie.

Bon Sidarta, bonne sieste à toi.

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Juste pour enfoncer le clou

LAVIS DU SEXOLOGUE :

Le sexe renforcerait nos défenses immunitaires

Pour la sexologue Noëlla Jarrousse (1), les vertus immunologiques dune vie sexuelle épanouie sont évidentes, bien que non encore démontrées biologiquement. " Sexualité et santé sont étroitement liées, explique-t-elle. La frustration sexuelle provoque un syndrome pathogène, en particulier par contraction du petit bassin, blocage de la circulation et congestion du bas de labdomen.

A linverse, une personne qui a bien fait lamour voit ses sécrétions dadrénaline baisser, son stress satténuer, ses reins moins se fatiguer et son système cardio-vasculaire mieux fonctionner. Parallèlement, se produit en elle une décharge dendorphine qui induit un état de calme, permettant à lorganisme de se régénérer. Lorgasme, on le sait, stimule le réseau lymphatique : les déchets séliminent mieux, on a faim, on sendort facilement, etc.

On peut donc logiquement sattendre à ce que les défenses immunitaires soient également renforcées. Pourtant, je ne connais pas de recherches scientifiques sur ce sujet, ni à lInserm ni ailleurs. Si une institution en prenait linitiative, je serais la première à participer à un tel travail. "

1 - Auteur de nombreux ouvrages, elle travaille notamment à comprendre les liens entre sexualité et cancer avec le Pr David Khayat, de lhôpital de La Pitié-Salpêtrière.

Mais curieusement, ce serait ce qui rend malade icon_confus.gif

source: Lamour est notre meilleur médecin, affirme le Dr Dean Ornish dans Love and Survival

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Compte rendu d'une conversation sur le SIDA en Afrique------------------------------------

Il m'arrive fréquemment de rencontrer des missionnaires ou autres personnes qui reviennent d'Afrique après plus de10 à 20 ou trente ans et plus d'expériences là - bas.

Hier, je parlais avec une personne ( de sexe masculin ) qui a vécu 25 ans en Centre Afrique et qui a collaboré avec plusieurs ONG et autres organisations caritatives. Je n'ai pas manqué de lui demandé de me parler de sa vision de la réalité sur le " SIDA ".

J'ai eu droit à tout un vocabulaire...taux de prévalence etc.. Plus important en centre Afrique qu'au Congo etc....

Mais, lui dis - je, est - ce que vous avez constaté qu'il y avait plus de morts qu'avant le " SIDA " ?

Bien sûr, me dit - il. Mais, comment, lui demandais - je. Eh bien, me dit-il : le cimetière a été multiplié par dix.

Ah bon lui, dis-je.

Et les naissances ? Aucune réponse bien précise de sa part... De quoi meurent - ils lui demandais-je ... Eh bien, du Sida, me répondit-il.

Oui, mais on ne meurt pas du Sida, lui - dis -je, c'est un syndrôme, on meurt - même dans la théorie officielle - d'une maladie opportuniste ( tuberculose etc... ).

Là, je vis son regard s'assombrir et devenir perplexe.

Je ne l'attaquais en rien pourtant, me semble-t-il, si ce n'est que j'essayais, avec lui, de tenir des propos cohérents.

Il n' a pas été possible d'avancer plus loin dans la conversation au risque de se fâcher...

Mais, j'ai retenu une perle :

De toute façon, me dit-il, quand ils voient ( les autochtones ) qu'il ( le malade présumé ) a les symptômes ..... ils arrêtent de le nourrir !!!!!!!!!!

Modifié par sidarta
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Invité Pulsion007

De toute façon, me dit-il, quand ils voient ( les autochtones ) qu'il ( le malade présumé ) a les symptômes ..... ils arrêtent de le nourrir !!!!!!!!!!

Je croyais que la seule façon de savoir si on a le vih c'etait passer un test.... reflechi.gif

C'est bien ça qu'on nous rabache ici avec les campagne de prevention de cette été...

En fait les gens du continenet africain meure pas du sida mais simplement de faim...

elle est belle leur conception humanitaire... icon_rolleyes.gif

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De toute façon, me dit-il, quand ils voient ( les autochtones ) qu'il ( le malade présumé ) a les symptômes ..... ils arrêtent de le nourrir !!!!!!!!!!

Je croyais que la seule façon de savoir si on a le vih c'etait passer un test.... reflechi.gif

C'est bien ça qu'on nous rabache ici avec les campagne de prevention de cette été...

En fait les gens du continenet africain meure pas du sida mais simplement de faim...

elle est belle leur conception humanitaire... icon_rolleyes.gif

Dans ce cas là c'est une évolution technique qui est utilisée: le test visuel

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Invité
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