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forum sidasante

**[SIDA] : le "VIH" ne cause pas le SIDA ** 2/3


Vitosi
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Merci pour vos réponses. Je crois que ce sujet a besoin de beaucoup pls d'input pour être traité.

Sinon j'ai une autre question:

Après avoir consulté quelques résultats scientifiques sur le sujet de la transmission par voie sexuelle,

Voilà la question me laisse extrêmenet confus et j'espère en trouver une réponse sur ce forum:

Etant donné les faits/réalités scientifiques/resultats de recherches suivants:

1- (Fait) on nous passe à la télé ces derniers jours des spots qui encouragent à

vivre en couple avec une personne VIH+, mais biensur on nous demande de nous proteger.

(Télé Fançaises)

2- (Résultats de recherches)

Rapport sexuel anal réceptif (se faire sodomiser par un VIH+), probabilité par acte : 50 à 300 "chances" sur 10000 d'être contaminé.

(Pas besoin de référence)

3- (Résultats de recherches)

La filabilité de protection avec utilisation convenable d'un preservatif est de 80% en ce qui conserne la transmission du VIH.

(référence récente: http://www.update-software.com/ABSTRACTS/AB003255.htm)

4- (Rélaité scientifique)

Le VIH est sexuellement transmissible et cause le SIDA pour les personnes qui y sont infectées. Le SIDA cause la mort prématurée.

(Pas besoin de référence)

Si je fais un petit calcul stupide et optimiste je conclu:

1- Il faut 200 (10000/50) acts sexuels (avec une personne VIH+) non protégés du type anal récéptif pour être contaminé par le VIH.

2- En ultilsant continuellement (dans 100% des acts) un préseravatif le risque est réduit de 80% (4/5) .Il faut donc 1000 acts sexuels (avec une personne VIH+) protégés du type anal récéptif pour être contaminé avec le VIH.

Donc avec ce calcul très optimiste une personne VIH- qui vie avec une personne VIH+ et qui pratique l'anal récéptif attrapera le VIH au bout de 1000 acts!!!!!

A raison de trois acts par semaine c'est le VIH+ au bout de 7 ans!!!!

Si l'on fait le calcul moins optimiste (300 pour 10000) c'est en moins de 2 ans que cela se produise!!

Si l'on ajoute à cela l'éventualité qu'une contamination pourrait se produire dès le premier

contact et si on suppose qu'il y aientt 10000 personnes qui sont dans le cas que je viens de décrire, il y aura bien

des contaminations même avant 2 ans de vie commune protégée.

Enfin, Si ce qu'on appelle protection c'est l'usage convenable du préservatif, il y a certainement dans les 4 faits/réalités qui j'ai présenté au début, au moins un qui ne tient pas une secone!!!

Dans ce cadre le préservatif n'est rien qu'une roulette russe!!! sauf qu'il est nettement plus utilsé!!!

Il y a un truc qui me dépasse dans cette histoire!!! Avez-vous la moindre idée lequel ou lesquelles de ces

4 propositions n'aurait aucun sense? ou peut être mon calcul est vraiment stupide !!

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Je te propose de lire avant tout la synthèse collective sur le sujet, il me semble quil y a déjà un chapitre assez étoffé sur le sujet (voir le Chapitre IV : Le sida est un syndrome toxique, puis le point D) Conséquences, et enfin le point 3) « La séropositivité nest pas sexuellement transmissible »).

Alors, en très court résumé, pour prouver la transmission dune MST (ici, le supposé « VIH »), quels sont les deux conditions minimales, mais non suffisantes, à remplir ?

1) Prouver que les sécrétions sexuelles comportent déjà du « VIH ». A cet égard, même chez des personnes qui auraient ce quon appelle une charge dite virale élevée, on nen trouve pas systématiquement (loin de là, dailleurs). Et quand on en trouve, cest uniquement en petite quantité (et lorthodoxie du sida saccorde à dire que ce nest pas suffisant pour infecter qui que ce soit). Et encore, que trouve-t-on en petite quantité ? Pas du soi-disant ARN du « VIH » mais bien de lADN du soi-disant « VIH ». Or lorthodoxie du sida admet que lADN du VIH nest pas infectieux. Cest lARN du VIH qui est (ou plutôt : serait) infectieux.

Bref, cette première condition est loin dêtre remplie et on peut de se demander déjà comment on peut même envisager que le « VIH », à supposer même quil existe, puisse être sexuellement transmissible.

Pourtant, lorthodoxie prétend que la séropositivité est sexuellement transmissible, mais que « le mécanisme reste à élucider » (lol), car les études épidémiologiques le « prouvent ».

2) Effectivement, la deuxième condition à remplir concerne les études épidémiologiques. Celles-ci doivent prouver (mais cest très mal parti vu quon ne trouve pas de « VIH » infectieux dans les sécrétions sexuelles, du moins quand on trouve quelque chose) la transmission de la séropositivité.

Mais bien sûr, ces études ne doivent pas être faites nimporte comment (ce qui est justement le cas de la plupart de ces études), sinon, tu pourrais aussi arriver à prouver quun cancer du poumon, par exemple, est aussi sexuellement transmissible.

En effet, pour que des études puissent prouver que la séropositivité est sexuellement transmissible, il faut à tout le moins que les conditions suivantes soient simultanément remplies, faute de quoi la preuve de cette transmission sexuelle ne peut être apportée :

- létude doit être prospective, cest-à-dire suivie à travers le temps ;

- les tests utilisés pour prouver la séropositivité doivent avoir été prouvés spécifiques (or, cette condition nest déjà jamais remplie puisquon a déjà vu que les tests dits « VIH » ne sont JAMAIS le signe dune infection par le « VIH ») ;

- ces études doivent porter sur un nombre statistiquement important de personnes ;

- les résultats doivent être statistiquement significatifs (ce nest jamais le cas, mais pour la relation anale réceptive que tu cites dans tes chiffres ; les chiffres restent insignifiants) et doivent exclure toute autre possibilité de mode de « contamination ».

A ce jour, une seule étude sest approchée le plus près possible de ces conditions (et encore !), il sagit de létude Padian, sur la transmission hétérosexuelle de la séropositivité (voir la synthèse collective).

Le volet prospectif de cette étude na prouvé quune seule chose : la séropositivité nest pas sexuellement transmissible, personne nayant été « contaminé ».

En réalité, il ressort des études faites sur le sujet que la seule possibilité de « transmission » sexuelle est la réception anale réceptive (être passif), quoique cela ne fasse pas plaisir à lire pour certains sur ce forum. En revanche, la réception anale insertive (être actif) ne provoque pas la transmission de la séropositivité. En dautres termes, le « VIH », à supposer même quil existe, est la première MST humaine au monde qui serait, non transmise, mais bien uniquement acquise (par le passif), et encore, uniquement par la voie anale ! Cest une incohérence totale car par définition, une MST est transmissible dans les deux sens. Donc, au mieux, la séropositivité au "VIH" est sexuellement acquise (comme le fait d'être enceinte), mais non transmise; et encore, uniquement au niveau des rapports sexuels anaux.

Et les études démontrent que cela na rien à voir avec un rétrovirus quelconque, mais avec le simple fait de la pratique anale réceptive non protégée (ce dont parle la plupart de tes chiffres), qui par ce seul fait (outre la réception anale du sperme), cela peut suffire à rendre - momentanément (il suffit de passer le test au mauvais moment) - le test dit « VIH » positif, sans bien sûr que cela ait quelque rapport que ce soit avec une contamination par le "VIH".

Cela explique pourquoi les chiffres de transmission les plus « élevés » (mais en soi, cela reste encore statistiquement insignifiant) concernent la réception anale réceptive. Quand aux chiffres encore plus bas pour les autres modes de relations sexuelles, elles représentent un bruit de fond encore plus statistiquement insignifiant pour prouver quoique ce soit, en particulier lorsque lon sait que les tests dits « VIH » nont déjà en eux-mêmes AUCUNE spécificité. Des tas dautres explications (réception anale réceptive par la femme, usage de drogues, MST, etc...) permettent dexpliquer ces chiffres (insignifiants, rappelons le).

Mais en aucune façon, la sexualié anale réceptive ne peut, à mon sens, causer le sida. Lhistoire de lhomosexualité le prouve, me semble-t-il. Mais avec lusage de drogues et de MST, évidemment, là, les choses vont devenir bien plus graves.

Pour le reste, je tinvite à lire tous les points de la synthèse collective sur le sujet.

Et tu peux oublier tous les chiffres que tu cites : ils sont basés sur la présomption, pourtant non prouvée, que la séropositivité serait sexuellement transmissible. Je pourrais te faire le même genre de chiffres en partant par exemple de lhypothèse que le cancer du sein est sexuellement transmissible (avec par exemple, la « preuve » que le cancer du sein est plus facilement transmissible dans les relations saphiques, encore plus quand les femmes sont ménopausées). Or, avant daccorder quelque crédit que ce soit à ces chiffres, il faudrait déjà avoir fait la preuve que la séropositivité est effectivement sexuellement transmissible. A ce jour, cette preuve na jamais été apportée, et même des orthodoxes du sida commencent ouvertement à se poser la question (lire la synthèse collective).

Modifié par wallypat
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Mais en aucune façon, la sexualié anale réceptive ne peut, à mon sens, causer le sida. Lhistoire de lhomosexualité le prouve, me semble-t-il. Mais avec lusage de drogues et de MST, évidemment, là, les choses vont devenir bien plus graves.

Je ne suis pas tout a fait d'accord! Il y a des recherches qui montrent que le sperme contient des agents très toxiques et que les tissus vaginaux sont conçu pour résister à la toxisité du sperme mais pas les tissues anaux.

Le reste est très intéressant (la synthèse).

S'il y a une chose de très sure c'est que les résultats des 24 ans ou plus de recherches sur le sujet n'ont aboutit qu'a des chiffres non exploitables sur tous les plans. Je comprendrais peut être le fait qu'on n'a pas pu trouver des solutions pour SIDA (ni thérapie ni vaccin), mais je comprendrais beaucoup moins la médicorité des chiffres donnés par les meilleurs recherches en la matière. A titre d'exemple, je ne sais pas à quoi pourrait service un chiffre comme (1 à 7 pour 10000) ou (10% à 40% des personnes peuvent ...). D'après ce que j'ai appris à l'école, une valeur de probabilité est exprimée par un seul nombre et non par une fouchette du genre vous avez entre 30% et 60% de chance pour gagner ou attraper ou faire quoi que se soit!!!

Plus grave encore, ces statistiques sont non seulement inexploitables mais genèrent des angoissés, des personnes qui vivent dans un stress énorme en flippant au moindre mal à la gorge entre 3 et 90 jours après une "prise de risque" sachant que les symptomes de la primo peuvent s'exprimer pour 10% à 50% des cas. Il y a qu'a voir les centaines des personnes qui expriment leurs angoisses extrèmes!!!

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Mais en aucune façon, la sexualié anale réceptive ne peut, à mon sens, causer le sida. Lhistoire de lhomosexualité le prouve, me semble-t-il. Mais avec lusage de drogues et de MST, évidemment, là, les choses vont devenir bien plus graves.

Je ne suis pas tout a fait d'accord! Il y a des recherches qui montrent que le sperme contient des agents très toxiques et que les tissus vaginaux sont conçu pour résister à la toxisité du sperme mais pas les tissues anaux.

Le reste est très intéressant (la synthèse).

Mais en fait, Delwere, je pense que nous sommes tous les deux daccord. Le sperme est suffisamment toxique pour lanus (mais pas pour le vagin) que pour engendrer un stress oxydatif suffisamment élevé que pour créer lapparition, même chez des individus tous les deux séronégatifs, de ce que lorthodoxie du sida appelle le « VIH » et, partant, rendre le test dit « VIH » positif, sans que cela ait bien sûr quelque rapport que ce soit avec une contamination par le « VIH ».

Mais si je me rappelle bien, Cheminot avait également montré (et je pense que le post en question figure dans la synthèse collective) que cet effet immunodépressif était transitoire.

Tout ceci fait dire au Perth Group (mais cest bien lun des rarissimes points sur lesquels je ne suis absolument pas daccord avec eux) que lusage du préservatif serait impératif pour les rapports anaux même entre personnes séronégatives. En dautres termes, le Perth Group fait une apologie du safe sex bien au-delà même de ce qui est « recommandé » par lorthodoxie du sida, cette dernière préconisant lusage du préservatif uniquement en cas de relations sexuelles avec les personnes séropositives.

Mais pour ma part, je ne suis pas daccord. Certes, cela contribue sans doute à créer un stress oxydatif (transitoire) mais je ne pense pas un seul instant que ce seul fait est suffisant pour causer le sida. En autres, parce que :

- lhomosexualité a toujours existé mais les premiers cas de sida ne sont apparus chez les gay quen 1978 (pas en 1981 comme le prétend lorthodoxie du sida, car on peut trouver des premiers cas de sarcome de kaposi chez des gay, consommateurs de poppers, dès 1978 [lu, avec références, dans larticle de Duesberg sur les causes chimiques du sida]), qui avaient la particularité dêtre consommateurs de drogues récréationnelles, davoir une vie sexuelle assez « hard » et dêtre exposés à des MST à répétition;

- chez des couples gay « fidèles » (je n'ai pourtant pas envie de faire de la morale), séronégatifs (ou ignorant en fait quils sont de temps en temps séropositifs), je ne pense pas quil y ait des cas de sida (à moins bien sûr quils soient exposés à dautres causes de sida).

Personnellement, je ne pense pas quil y ait lieu de saventurer davantage sur ce terrain, très glissant, car cela me paraît relever davantage de la « morale » que de la science. Par ailleurs, jai déjà eu des échanges de posts très durs sur ce sujet avec Terry.

Je ne changerai davis que si lon me démontre, preuves scientifiques à lappui, que ce seul facteur est suffisant pour causer le sida. Et je ne crois pas quune telle preuve scientifique existe à ce jour.

Modifié par wallypat
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Cette fois-ci, un pas est franchi.

Deux interviews (en allemand) ont été donnés par le Dr Klaus Köhnlein à des radios ou télés régionales allemandes :

La Nord Deutsche Rundfunk (Kiel, dans le Schleswig-Holstein)

et plus près de nous, la Saarländische Rundfunk (Tout simplement Sarrebruck, à 10 km de la France)

Le Dr Köhnlein écrit aussi dans Rethinking Aids

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Encore du nouveau suite à l'article paru dans Harper's Magazine !

En effet, deux dissidents célèbres, étant Roberto Giraldo et Etienne de Harven, ont rédigé une réfutation complémentaire aux deux précédentes déjà parues (à savoir celle émanant du "Rethinking AIDS" et celle provenant du "Perth Group"), intitulée "HIV tests cannot diagnose HIV infection".

A la lecture de ces trois documents (certes en anglais), on constatera que la dissidence du sida a manifestement triomphé de l'orthodoxie du sida !

Et ce triomphe, à tout le moins sur le plan scientifique (mais quand diable cela sera-t-il enfin révélé au grand jour ?), des repenseurs du sida sur les négationnistes du stress oxydatif comme cause du sida, est maintenant définitif !

En effet, que lit-on sur le site de ces négationnistes du stress oxydatif (www.aidstruth.org), anciennement appelés "orthodoxes du sida" ?

The AIDStruth website's creators are aware that the AIDS denialist group, Rethinking AIDS, has finally prepared what they deem to be a rebuttal of our exposure of the errors perpetrated by Celia Farber in her Harper's Magazine article. We have looked over the AIDS denialists' response. It is characteristically superficial and silly, further exposing the Rethinking AIDS group's misunderstanding of the science of HIV/AIDS. We will not be responding further to it. The AIDStruth website will continue to post, at periodic intervals, information that is relevant to understanding how HIV infection causes AIDS and how AIDS can be treated with anti-retroviral drugs.

On peut retrouver la réfutation en question de la "réfutation" des négationnistes du stress oxydatif en cliquant ici. Il s'agit donc d'un document scientifique de 95 pages, qui est assurément appelé à servir de référence à l'avenir, et qui réfute les 56 erreurs prétendument relevées dans l'article journalistique de Celia Farber.

Les négationnistes du stress oxydatif ont donc déclaré avoir pris connaissance de la réfutation précitée des repenseurs du sida et prétendent la réfuter à leur tour avec cet "argument", à savoir que la réfutation des repenseurs du sida serait superficielle et stupide, et qu'ils ne se donneront même pas la peine de la réfuter à leur tour ! On peut les comprendre ceci étant : ils sont tout juste capables de s'en prendre à une journaliste (Celia Farber) qui fait son travail avec une très haute conscience professionnelle, mais dès lors qu'il s'agit de s'en prendre à des scientifiques compétents, tels que ceux du Rethinkingaids, alors là, ces négationnistes battent immédiatement en retraite !

En d'autres termes et en réalité, n'importe quel lecteur objectif l'aura immédiatement compris, "LES NEGATIONNISTES DU STRESS OXYDATIF COMME CAUSE DU SIDA SONT BIEN INCAPABLES DE REFUTER LES ARGUMENTS DES REPENSEURS DU SIDA !", même les arguments (un peu moins solides) qui ne relèvent pas strictement de l'explication du stress oxydatif.

Vu la victoire scientifique des repenseurs du sida sur les négationnistes du stress oxydatif, il est tout simplement ahurissant que certains, comme à la fin de ce post-ci, nous enjoignent de nous taire !

Modifié par wallypat
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Deux interviews (en allemand) ont été donnés par le Dr Klaus Köhnlein à des radios ou télés régionales allemandes...

Cheminot, si ça ne te dérange pas, tu pourrais nous dire en gros les propos du Dr Klaus Köhnlein ?

Je ne parle pas allemand, et franchement, j'ai envie de savoir ce qui commence à passer sur les ondes à ce sujet.

Merci !

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En Fait, Klaus Köhnlein reprend ce que nous savons tous déjà ici, il n'y a pas de nouveautés particulières. Ce qui est nouveau, c'est que cela passe sur les chaînes officielles des Länder allemands (Schleswig-Holstein et Saarland). L'émission de la SR2 est intéressante car les auditeurs ont interrogé Klaus Köhnlein et j'ai pu remarquer que ces auditeurs connaissaient bien leur byzance : le nombre de personnes connaissant les problèmes liés à la mise en avant des virus comme cause de presque tout est impressionnant en allemagne.

Je rappelle que le titre de son bouquin est "Virus-Wahn", c'est à dire "la Folie des virus"

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Invité Maximus

il y a des caractères en trop au début du lien...

http://[url=http//www.torstenengelbrecht.com/mov/NDR_Koehnlein_150606.wmv

Modifié par Maximus
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Bonne lecture et bons débats !   reflechi.gif

Pour ce qui me concerne, le débat est mort-né avant même d'avoir commencé.

Lorthodoxie du sida pourra inventer tous les tests danticorps quil voudra (dits de deuxième ou troisième génération par exemple, avec des antigènes synthétiques, recombinants, etc... ou avec dautres noms aussi « pompeux » [lol] lun que lautre), le problème est toujours le même : quel est lorigine des antigènes utilisés dans les tests dits « VIH » ? Où est la preuve que les antigènes en question sont bien ceux dun rétrovirus appelé « VIH », en particulier lorsque les repenseurs du sida ont fait la démonstration que ces antigènes peuvent navoir quune origine simplement cellulaire (cest-à-dire provenant du séropo lui-même, et non dun germe exogène) ? Voyez par exemple ici.

Salut à tous ! icon_biggrin.gif

Wallypat , je vais dans ton sens ; mais il me semble important que les gens que ça interesse puissent constater par eux même les contradictions qu'il y a dans ces documents et aussi les phrases orientées et/ ou à double sens qui peuvent induire (inconsciemment) dans l'esprit des gens ( notamment les techniciens de labo, qui d'apres moi n'ont pas dû tous les lire ) à des conclusions érronées !

Exemple 1 :

test biorad

[ CONSIGNE D'HYGIENE ET DE SECURITE ] p19 ch 6

"Du fait qu'aucune methode ne peut garantir de façon absolue l'absence de virus h.i.v, hepatites b ou c ..."

Envisageraient ils d'emblé de façon absolue la presence de ces virus en ayant connaissance de votre origine ethnique et des réponses apportées au questionnaire accompagnant la prise de sang ?

Je pense que oui surtout si les resultats sont négatifs .

Celà ne cadre pas avec leurs systéme de référence, de valeurs; ou plutot leurs préjugés pour

être objectif !

Exemple 2 :

test biorad

[ LIMITES DE LA METHODE ] p25 ch 16

"De faible taux d'antigene ou d'anticorps peuvent ne pas être détectés lors d'infection recente en consequence un resultat négatif ..."

"Un tel resultat n'exclut pas la possibilité d'une infection VIH 1 / VIH 2."

"Aucune methode connue ne peut offrir l'assurance que le virus VIH est absent"

Même réponse que plus haut !

Et le test elisa est du même tonneau.

Exemple 3 :

[uSAGE PREVU ] p1

"Le test elisa est maintenant bien etabli pour la detection des anticorps anti-H.I.V ..."

"Cependant , un test elisa n'assure pas 100% de securité dans le diagnostique du H.I.V. Par conséquent un test elisa positif pour un anticorps doit être confirmé en utilisant une methode plus specifique (transfert du type western, pcr ). Un resultat elisa negatif, n'exclut pas TOTALEMENT , PAR AILLEURS , la possibilité de la presence de HIV 1/2. "

Même reponse que plus haut .

Et pour l'utilisation d'une autre methode PLUS SPECIFIQUE pour confirmer le resultat positif , c'est aussi RECOMMANDE par le test biorad !

Vachement bien , aucun test n'est fiable à 100% !

C'est comme demander son chemin à une personne qui, apres vous avoir decrit un itineraire, vous dit que "peut etre que les indications qu'il vous à donné vous meneront ou ne vous meneront pas à votre destination" ! gueulecasse.gif

Et que pour éviter de vous égarer, vous demandiez à une autre personne qui va vous répondre la même chose ! reflechi.gif

J'essaierai de mettre en ligne le questionnaire type des ETS qui est nommé pompeusement : "DOCUMENT DE PREPARATION A L'ENTRETIENT MEDICAL PREALABLE AU DON DE SANG".

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Wallypat , je vais dans ton sens ; mais il me semble important que les gens que ça interesse puissent constater par eux même les contradictions qu'il y a dans ces documents et aussi les phrases orientées et/ ou à double sens qui peuvent induire (inconsciemment) dans l'esprit des gens ( notamment les techniciens de labo, qui d'apres moi n'ont pas dû tous les lire ) à des  conclusions érronées !

Je suis aussi d'accord avec toi en fait, mais moi, personnellement, je suis plutôt du genre à sortir immédiatement, et dès que c'est possible, l'artillerie lourde pour en finir tout aussitôt. Par "artillerie lourde", j'entends par là des arguments massues de nature à mettre directement K.-O. un orthodoxe du sida, du moins quand cela s'avère possible.

Cela présente le net avantage de couper court à tout débat, qui, s'il se prolongeait, aurait pu éventuellement et plus facilement donner l'impression à un lecteur que finalement, les arguments de l'orthodoxie du sida ne sont peut-être pas si idiots que cela. Cela permet également de donner au lecteur la sensation que décidément, les repenseurs du sida ont bien raison (ce qui est sûr pour moi, mais pas pour le lecteur lambda) puisqu'ils sont capables de réfuter aussi rapidement et aussi facilement des arguments de l'orthodoxie du sida.

Ce n'est que mon avis, bien sûr.

Mais prenons justement l'exemple des tests dits "VIH". On pourrait effectivement commencer par souligner les contradictions, les phrases orientées et/ou à double sens, etc... comme tu le fais très bien à mon sens, mais je crois qu'en procédant ainsi, un lecteur lambda pourrait avoir plutôt tendance à penser que les tests ne sont effectivement pas spécifiques à 100% mais qu'ils le sont bien à 99,5% (chiffre qui semble actuellement avancé par l'orthodoxie du sida pour ce qui concerne la fiabilité des tests dits "VIH"). Or tel n'est justement pas le but recherché.

En revanche, si on commence d'abord à sortir l'artillerie lourde, comme par exemple :

- il n'a jamais été prouvé que les antigènes utilisés dans ces tests proviennent d'un rétrovirus isolé et appelé "VIH" et, par conséquent, même si les anticorps de la personne testée réagissent, cela ne sera forcément jamais la preuve d'une infection par le "VIH",

- la présence d'un tel nombre d'anticorps chez la personne qui a été déclarée séropositive peut toujours être expliquée par autre chose que le "VIH",

- la spécificité de 99,5% ne signifie pas que vous avez 99,5% de "chance" d'avoir été contaminé par le "VIH", mais bien 99,5% de chance d'être dans un groupe à risque de sida si vous continuez à vivre de cette façon (au motif que la spécificité de ces tests n'a jamais été vérifiée par rapport à l'étalon-or qu'est le "VIH" lui-même, mais bien par rapport un autre étalon-or que seraient les sidéens ou les personnes ayant un fort risque de sida; or ces étalons-or ne le sont que parce qu'il a été supposé [et non "prouvé"] qu'ils ont été contaminés par le "VIH"),

je pense que cela donnera ainsi au lecteur la nette sensation, non pas que les tests dits "VIH" sont quand même spécifiques à 99,5% mais bien qu'ils n'ont effectivement aucune spécificité du tout. Au pire, on poursuivra sur la question de l'isolation, ratée, du "VIH". Et ensuite seulement, et comme tu viens de le faire dans ton post, on pourra poursuivre, mais à titre "folklorique" (façon de parler, bien sûr) sur les incohérences, les contradictions, etc..., ce qui permettra de mieux convaincre encore le lecteur qu'effectivement, ces tests "VIH" n'ont vraiment aucune spécificité du tout.

Et si moi, personnellement, je préfère agir de la sorte, ce n'est pas de gaieté de coeur, mais bien par nécessité. En effet, quand je constate que des journaux américains à très large diffusion nationale débattent ouvertement et très sérieusement de la "nécessité" de forcer tout le monde de 13 à 84 ans à passer le test dit "VIH" et de forcer tous les séropos à consommer des drogues dites "antivirales" et d'enfermer (comme dans un camp de concentration) ceux qui ne le veulent pas et de les forcer, par la force, à prendre ces drogues dites "antivirales" (c'est extrêmement sérieux ce que je dis là, je ne blague pas du tout), pour moi, cela signifie que l'on est déjà en quasi état de guerre. Alors, l'Europe a peut-être quelques années de retard sur les USA, mais je crains que l'hystérie du "VIH" atteigne actuellement de tels sommets que cette nouvelle "tendance" de l'orthodoxie du sida américaine arrive très rapidement en Europe.

Bref, pour moi, il y a maintenant une véritable urgence à ce que la dissidence du sida se fasse connaître le plus rapidement possible et si pour cela, il est possible de sortir l'artillerie lourde (intellectuellement parlant bien sûr, quoique l'orthodoxie du sida paraît maintenant s'engager sur la voie de la coercition ou, en tout cas, l'envisage très sérieusement), je ne vais pas me priver.

Modifié par wallypat
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Wallypat , je vais dans ton sens ; mais il me semble important que les gens que ça interesse puissent constater par eux même les contradictions qu'il y a dans ces documents et aussi les phrases orientées et/ ou à double sens qui peuvent induire (inconsciemment) dans l'esprit des gens ( notamment les techniciens de labo, qui d'apres moi n'ont pas dû tous les lire ) à des  conclusions érronées !

Je suis aussi d'accord avec toi en fait, mais moi, personnellement, je suis plutôt du genre à sortir immédiatement, et dès que c'est possible, l'artillerie lourde pour en finir tout aussitôt. Par "artillerie lourde", j'entends par là des arguments massues de nature à mettre directement K.-O. un orthodoxe du sida, du moins quand cela s'avère possible.

Cela présente le net avantage de couper court à tout débat, qui, s'il se prolongeait, aurait pu éventuellement et plus facilement donner l'impression à un lecteur que finalement, les arguments de l'orthodoxie du sida ne sont peut-être pas si idiots que cela. Cela permet également de donner au lecteur la sensation que ....

Bref, pour moi, il y a maintenant une véritable urgence à ce que la dissidence du sida se fasse connaître le plus rapidement possible et si pour cela, il est possible de sortir l'artillerie lourde (intellectuellement parlant bien sûr, quoique l'orthodoxie du sida paraît maintenant s'engager sur la voie de la coercition ou, en tout cas, l'envisage très sérieusement), je ne vais pas me priver.

Salut à tous ! icon_biggrin.gif

Je suis aussi pour l'artillerie lourde , mais apres une preparation pour l'acceptation de conceptes boulversifiant . Un peu comme à la peche : le poisson rôde autour de l'appat, le hûme , le goute ,le chope dans sa gueule et dés qu'il l'a avalé il faut tirer VIVEMENT pour que l'hameçon se fixe. reflechi.gificon_cool.gif

En d'autres mots, il vaut mieux y aller doucement au début; car dans le cas contraire il y aurait une resistance naturelle au changement de concepte et finalement un braquage mental et une attitude hermetique , ce qui ne ferait pas avancer notre affaire, c'est à dire la prise de conscience de faits érronés !

Mais un bon p'tit coup de massue peu faire aussi du bien et faire avancer d'un grand pas la connaissance de la dissidence ! gueulecasse.gif

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Je relis le dernier post que jai écris dans ce topic-ci et je constate quil y a au moins une imprécision et surtout une erreur, à corriger en faveur des repenseurs du sida en plus.

Il sagit du passage suivant :

- la spécificité de 99,5% ne signifie pas que vous avez 99,5% de "chance" d'avoir été contaminé par le "VIH", mais bien 99,5% de chance d'être dans un groupe à risque de sida si vous continuez à vivre de cette façon (au motif que la spécificité de ces tests n'a jamais été vérifiée par rapport à l'étalon-or qu'est le "VIH" lui-même, mais bien par rapport un autre étalon-or que seraient les sidéens ou les personnes ayant un fort risque de sida; or ces étalons-or ne le sont que parce qu'il a été supposé [et non "prouvé"] qu'ils ont été contaminés par le "VIH"),

Ce qui me paraît certainement exact, cest de dire que la spécificité du Western Blot na jamais été établie jusquà ce jour en utilisant le seul étalon-or possible, à savoir le « VIH », cest-à-dire en comparant les résultats obtenus avec des personnes, dont on sait, preuve à lappui, quils ont été contaminés ou non par le « VIH ». Pour y remédier, jai précisé que lorthodoxie du sida établit la spécificité du Western Blot en comparant les résultats obtenus avec les sidéens (dont lorthodoxie du sida a présumé (mais non prouvé) quils avaient été contaminés par le « VIH »), mais jai oublié de préciser (doù limprécision) que cest également en comparant les résultats obtenus avec les donneurs de sang sains (ou plutôt : présumés non contaminés car présumés ne faisant pas de maladies qualifiées de sida [cela en fait des présomptions pour une science qui se veut pourtant clairement établie depuis plus de 20 ans !]).

Bien entendu, utiliser les sidéens comme étalon-or ne prouve toujours pas quils ont été contaminés par le « VIH » et fait en outre fi de la circonstance (pourtant bien constatée, contrairement à la présomption que les sidéens auraient été contaminés par le « VIH ») que les sidéens ont ceci de commun davoir été exposés à une multitude dagents oxydants (drogues, sperme, MST, facteur VIII, malnutrition, etc...) qui permettent déjà dexpliquer à eux seuls quils fassent des maladies qualifiées de sida.

En dautres termes, la spécificité de 99,5% tant vantée par les négationnistes du stress oxydatif ne peut pas signifier quil y a 99,5% de « chance » que le séropositif a été « contaminé » par le « VIH » mais bien uniquement quil y a 99,5% de chance quil fasse un jour un sida (dont il nest pas prouvé quil est causé par le « VIH », mais dont il est en revanche prouvé que les malades faisant ce syndrome ont ceci de commun davoir été et dêtre encore exposés à de forts agents oxydants, soit le stress oxydatif) sil continue à être exposé à des facteurs toxiques et de malnutrition (en se basant donc sur lexplication du stress oxydatif comme cause du sida). En dautres termes, cette spécificité du Western Blot est appréciée, non au regard du « VIH », mais bien au regard du sida, ce qui ne prouve toujours pas que le sida est causé par le « VIH » et donc que la séropositivité est effectivement le signe dune infection par le « VIH ».

Mais même là, jai encore été un peu trop « sympa » à légard de lorthodoxie du sida puisque jai prétendu que cette spécificité sappréciait par rapport au sida (mais de toute façon pas par rapport à une contamination par le « VIH »). Et là, je pense avoir commis une erreur. En effet, les maladies indicatives du sida (et dont souffrent ceux qualifiés de « sidéens ») ne sont elles-même pas spécifiques du sida puisquelles existaient déjà avant lapparition du « sida ». Donc, la spécifité de 99,5% du Western Blot ne peut même pas être retenue pour prédire un sida, mais tout au plus une maladie qui pourrait - éventuellement - être artificiellement qualifiée de sida.

En réalité, tout cela démontre labsurde tautologie de la « science » du sida, par exemple

- Tuberculose + Western Blot négatif = tuberculose

- Tuberculose + Western Blot positif = sida (et non plus tuberculose, quoiquil sagisse pourtant de la même maladie sur le plan clinique).

Or on vient juste de voir que la spécificité du Western Blot ne peut même pas sapprécier au regard du sida puisque les maladies indicatives du sida (ici : la tuberculose) ne sont pas spécifiques du sida !

En dautres termes, on tourne en rond !

Mais en conclusion, on pourrait quand même dire que la séropositivité ne peut être que le signe dune propension à développer éventuellement et ultérieurement certaines maladies non nouvelles et qualifiées artificiellement de « sida » grâce à la tautologie susdite, ici spécifiquement favorisées par le déséquilibre oxydo-réducteur existant chez le séropositif lorsquil a passé le test. Doù lutilité certaine de passer le test actuellement appelé « VIH » dans cette optique de test prédictif, mais non dans une optique de détection dune hypothétique contamination par le « VIH ». Lévolution de cette propension sera évaluée grâce à un bilan nutritionnel régulier, lequel bilan pourra inclure bien sûr et entre autres la mesure des lymphocytes T4. Cette propension disparaîtra à partir du moment où le test dit "VIH" redevient à nouveau négatif (et, éventuellement, pour autant que la propension intervenue entre-temps n'ait pas causé des dommages susceptibles d'être irréversibles et de ne se manifester qu'ultérieurement).

Modifié par wallypat
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Grande nouvelle !

Une sientifique de grand talent et de réputation internationale (et pas moins que cela !), à savoir Lynn Margulis (première épouse de Carl Sagan), auteur de la célèbre théorie "Théories Gaïa", membre de l'Académie américaine des Arts et des Sciences (soit un privilège extrêmement rare accordé aux plus grands scientifiques américains [même Gallo n'a pas eu droit à ce privilège, malgré sa "découverte" du "VIH]), s'est donnée la peine d'analyser les preuves de la soi-disant causalité du "VIH" avec le "SIDA" et a finalement et courageusement retourné sa veste ... pour rejoindre le camp des bien mésestimés repenseurs du sida.

Voici ce qu'elle a récemment déclaré (ou écrit ? [pas clair car en anglais]) le 15 juillet dernier :

In a book review on Amazon.com, Margulis has expressed deep skepticism regarding whether HIV causes AIDS: "We find the paucity of evidence published in standard peer-reviewed primary scientific journals that leads to the conclusion that "HIV causes AIDS" appalling. No amount of moralizing censorship, rhetorical tricks, consensus of opinion, pulling rank, obfuscation, ad hominem attacks or blustering newspaper editorials changes this fact. The conflation "HIV-AIDS" may be good marketing but is it science? No."

Ce que je résume approximativement par :

"Nous estimons que les preuves publiées dans les revues scientifiques peer-review selon lesquelles le "VIH" causerait le "SIDA" sont d'une effroyable et d'une déconcertante pauvreté. La censure moralisatrice, les astuces rhétoriques, les vexations offusquées, le prétendu consensus scientifique, les attaques ad hominem ou les éditoriaux journalistiques fanfaronnes ne changent strictement rien à ce fait. Le duo "VIH-SIDA" relève certainement du très bon marketing mais est-ce de la science pour autant ? NON."

Dès lors, pourquoi devons-nous encore croire que le sida est causé par le "VIH" ?

Modifié par wallypat
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Ce n'est peut-être pas récent, mais je viens de découvrir (mieux vaut tard que jamais) que Wikipedia aborde la controverse " vih - hiv " - sida - stress oxydatif - stress oxydant - cofacteurs de Montagnier :

Polémique sur la responsabilité du VIH dans le sida

Certains scientifiques sceptiques (parmi lesquels on note Kary Mullis et Peter Duesberg) affirment qu'il n'existe pas de preuve formelle du lien entre le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) et le Sida [7].

La quasi totalité des scientifiques [8] soutiennent la thèse reliant le VIH au SIDA, remise en cause par environ mille autres scientifiques [9] de même qualification, qui ont signé une pétition demandant la réévaluation de l'hypothèse courante.

Si tous les arguments scientifiques sont en faveur d'une corellation étroite entre la présence d'anticorps mesurés par les tests et l'apparition d'une infection chronique chez l'homme conduisant à une immunodépression sévère (Sida), les sceptiques tels le Groupe de Perth [10] s'appuyent sur une spécificité moyenne de ces anticorps par rapport au virus de l'immunodéficience humaine pour affirmer qu'il ne serait pas en cause dans le developpement du Sida.

Le professeur Luc Montagnier le 8 décembre 2003 au cours du colloque [11] sur le Sida en Afrique au Parlement Européen de Bruxelles, précise que le virus se trouve bien dans les cellules malades, mais il indique que la mort massive des lymphocytes T4 non infectés par le virus est due à un signal chimique provenant des cellules infectées dans un processus que ce même Professeur relie au stress oxydant. Cette mort massive et indirecte des cellules T4 non infectées est bien connue, et plusieurs travaux ont été réalisés et publiés sur ce thème par plusieurs équipes indépendantes. Ainsi, l'Institut Pasteur [3] indique que le virus a la capacité in vitro d'induire l'apoptose des lymphocytes T CD4+ en l'absence de toute réplication virale et activation lymphocytaire. Il semble donc que les sceptiques en arrivent à la conclusion qu'il y a confusion entre les effets cytopathogènes d'un virus et signaux chimiques d'un organisme dont le système immunitaire est activé. Cette activation, selon les sceptiques, au lieu d'être le fait de ce virus - ce qui d'ailleurs n'a toujours pas été démontré, ainsi qu'il l'est indiqué dans la publication de Silvestri et Feinberg [12], où le terme "HIV-infected" représente en fait une personne séropositive - serait le fait de nombreux facteurs environnementaux parfois liés à l'activité sexuelle, que le Groupe de Perth décrit sous le vocable stress oxydatif

Par ailleurs, le mathématicien Rebecca Culshaw [13] [14] , spécialisée dans la modélisation de la cinétique de l'infection des cellules, porte des réserves sur l'hypothèse actuelle de la pathogénie du Sida.

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Je viens de lire dans l'article de Wikipédia consacré au virus du SIDA que "les tests de dépistage du VIH ne sont fiables qu'à 50% chez les personnes non à risque"! (avec référence à des chercheurs scientifiques de l'Institut Max Planck).

C'est absolument parlant et assez troublant!

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Bonsoir,

D'un point de vue cohérence c'est assez troublant effectivement.

Lorsqu'on affirme 50 % de fiabilité en un test HIV sur les groupes qui ne sont pas à risque, l'on prétend que pour les groupes à risques le même test est plus fiable.

Imaginer ce que cela veut dire dans l'optique de l'histoire de la théorie virale;

- Ce test est considérer aujourd'hui comme étant plus fiable lorsqu'il est pratiquer sur des populations à risques.

- Les populations à risques ont été instaurées sur la base de cas de sida déclaré avant que l'hypothèse virale ne soit émise.

En conclusion l'hypothèse virale a donner lieu à des tests dont l'interprétation actuelle repose sur des "catégories à risques" qui ont été établies avant qu'elle ne soit émise comme cause du SIDA.

C'est très important parce que cela veudrait dire que la signification du test ne dépend pas de son seule contenu bilogique mais qu'au contraire l'interprétation de son contenu biologique dépend de la population à laquelle appartient la personne. (C'est une autre confirmation de ce qui a déjà été dis par Viduité je crois.) Mais c'est normal !

La compréhension se situe dans la relation de sens entre le plan biologique et clinique :

En quoi le fait que l'appartenance à un groupe à risque rend le test biologique plus fiable ? En rien, parce que quelque soit la cause réelle du SIDA (hiv ou stress oxydant) le fait est qu'il apparaît plus particulièrement dans les "groupes à risques" fondé initialement sur des cas cliniques de sida déclarés ; ainsi l'on pourrait détectés des éléments biologiques absolument non-spécifiques au sida que l'on pourrait quand-même arriver à renforcé notre conviciton en leur fiabilité lorsqu'ils sont pratiqué sur des groupes à risques. En réalité n'importe quel test pourrait être rendu plus fiable dès que l'instant où on le met en relation causale avec le plan clinique qu'on croit lui correspondre. Il y a une véritable rupture entre ces deux plans.

C'est du moins ce qu'implique pour moi cette assertion.

Amicalement

Modifié par Psyence
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