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forum sidasante

**[SIDA] : le "VIH" ne cause pas le SIDA ** 2/3


Vitosi
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Invité Didier

Il est bon de prendre parfois des nouvelles de la recherche officielle.

Voici un mois, un article du Monde nous assurait que les deux dernières hypothèses en lice concernant l'apparition du virus du sida étaient : le singe mordeur (ou partenaire sexuel, c'est selon), et le vaccin contre la polio cultivé sur cellules de rein de singe qui aurait permis des mutations. La réponse de Pasteur et Cie n'a pas tardé : deux semaine plus tard une étude innocentait le vaccin. Reste le singe.

A signaler une étude sur la réduction de la contamination par papillomavirus grâce au port du préservatif. Résultat: baisse de 70% des contaminations. Les raisons des contaminations résiduelles ? "les contacts sexuels non pénétrants" et "la mauvaise utilisation des préservatifs". Rappelons que la protection que procure le préservatif vis-à-vis du virus du sida est, elle, absolue.

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Rappelons que la protection que procure le préservatif vis-à-vis du virus du sida est, elle, absolue.

Oui, hum!!

Que dire de les soit-disant étonnants réultats (à ses propres dires) de l'étude faite par le Dr. Anant Pant de l'université de Berlin :

http://www.fu-berlin.de/presse/fup/fup99/fup_99_226.html (au bas de la page)

Je cite :

However, while the trial led to a marked change in sexual behavioural patterns, with the proportion reporting causal sexual partners falling from around 35 per cent to 15 per cent, there was no noticeable fall in the number of new cases of HIV infection, although there was a significant reduction in sexually transmitted diseases such as syphilis and gonorrhoea. 

Je vous laisse apprécier.

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traduction :

L'étude des risques de transmission sexuelle est encore plus paradoxale. Cette métaanalyse a analysé 20 études qui concernent 12000 consommateurs de drogue. Les 3/4 de toutes ces études arrivent à la conclusion que les utilisateurs de préservatifs sexuellement actifs montrent manifestement un taux d'infection plus élevé que ceux qui n'utilisent pas de préservatifs.

Voilà un - gigantesque - pavé de plus dans la mare de l'abracadabrantesque hypothèse du sida rétroviral, Cheminot !

Je vais toutefois profiter de ce post pour rappeler certains faits qui ont été établis par de nombreuses études et qui contredisent totalement la bizarre croyance selon laquelle la séropositivité est sexuellement transmissible. Dès lors que l'on tient compte du facteur "stress oxydatif" des personnes "contaminées", on constate que la plupart des études orthodoxes qui auraient prouvé la transmission sexuelle du "VIH" n'ont justement pas tenu de ce facteur, tellement les auteurs de ces études sont convaincus que le sida est causé par un rétrovirus sexuellement transmissible. Dès lors, pourquoi devraient-ils s'interroger sur l'idée même que la "transmission" de la séropositivité puisse avoir d'autres causes, réelles celles-là ?

Et nous pouvons trouver l'un des meilleurs résumés de la relation de ces faits dans cet article-ci datant de 1999 et résumant d'ailleurs très bien l'hypothèse du stress oxydatif comme cause du sida.

* éviter les inflammations et les infections (hépatites chroniques, maladies vénériennes) par un traitement adéquat des blessures et en utilisant le préservatif dans les relations sexuelles
Modifié par wallypat
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Il faut penser émotion et non logique.

Je commence à comprendre pourquoi on parle d'homophobie ou de blackophobie :

" Par ailleurs, le phénomène du bouc émissaire est une tendance naturelle que l'on peut discrètement encourager.

Depuis l'Antiquité classique, on a rendu certains groupes minoritaires, méprisés ou considérés comme impurs, notamment les femmes, responsables de toutes les épidémies.

Les sociétés frappées par des fléaux peuvent aussi se croire frappés d'une punition divine sanctionnant les manquements spirituels de leurs dirigeants, ou encore victimes de complots fomentés par des étrangers puissants.

On doit-être préparé à exploiter ces sucpicions et ces divisions "

Extrait du livre qui me laisse mi-figue, mi-raisin :

Le rapport Lugano, de Susan George

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Pourquoi les tests de dépistage du VIH ne peuvent être fonctionnels.

Il est par conséquent totalement illogique de soutenir qu'un résultat positif au test est dû à une exposition antérieure au virus.(19) Du fait qu'il utilise diverses protéines mal identifiées, chaque fabricant des kits de test applique ses propres critères arbitrairement choisis, ainsi, il n'y a pas deux kits qui donnent le même résultat. Peu importe que tel ou tel comité académique établisse des standards en fonction desquels tel test est déclaré efficace et tel autre ne l'est pas. Ce n'est qu'une manière de contourner le problème crucial : à quoi réagissent les anticorps détectés par les tests de dépistage du SIDA ? L'existence de tests de "seconde" ou "troisième" génération n'apporte aucune solution au problème. Ces tests utilisent bien des protéines de synthèse qui permettent un taux de constance et de comparaison plus fiable, mais il faut faire un grand effort d'imagination, peu scientifique, pour y voir des protéines virales !

Dissimuler la véritable identité de ces protéines ou préconiser l'utilisation de deux genres de tests - baptisés abusivement "de recherche" et "de confirmation" pour donner une fausse impression de sécurité - ne résout en rien la difficulté.

On utilise le test ELISA pour échantillonner les anticorps puis on a recours au Western Blot plus spécifique à titre de "confirmation". Rien ne démontre plus tragiquement le dilemme dans lequel nous sommes enfermés que cet extrait de la notice qui accompagne le kit de test :

"Le test destiné à révéler l'existence d'anti-corps du virus associé au SIDA n'est pas un diagnostic de SIDA ou de maladies de type SIDA (AIDS-like). Un résultat négatif n'exclut pas la possibilité de contact ou d'infection par un virus associé au SIDA. Un résultat positif ne prouve pas que la personne testée ait contracté le SIDA ou soit sur le point de déclarer le SIDA ni qu'elle le contractera". (20) On ne leur fait pas dire !

Voir http://www.sidasante.com/science/scistef1.htm

Pour la non-spécificité, plusieurs maladies à mycobactéries en particulier provoque l'apparition des anticorps anti-"VIH" les fabricants des kit de tests le disent bien (qu'en gros si mycobactéries le test n'est pas spécificique VIH)

Merci pikpikandré, je n'avais plus du tout le souvenir de ce morceau de texte.

Donc, dans les tests, on a : 1) des antigènes a priori, naturels, fournis par le fabricant, mais sans qu'on sache d'où ils viennent et comment ils ont été obtenus ; 2) des antigènes de synthèse. Et là, j'avoue que je découvre. C'est quoi un antigène de synthèse ?

Mais en tout cas, on n'est pas du tout sûr qu'il s'agisse bien des protéines en question. Rien ne nous le garantit. Ca peut être des gp120 ou des p24 de n'importe quoi, on n'en sait rien. Rien ne nous permet de dire qu'il s'agit des mêmes protéines que celles identifiées avec les échantillons de Gallo (enfin, je ne sais plus trop s'il s'agissait des échantillons de Gallo, mais, je parle de celles obtenues lors du soi-disant "isolement"). Or, ce sont bien ces seules protéines, qui, selon la théorie officielle, pouvaient servir de base de comparaison. Si les protéines des tests ne sont pas obtenues par référence à ces protéines obtenues lors du supposé "isolement", ça peut-être n'importe quoi. Donc, en tout cas, même là, on ne sait pas ce qu'on a réellement.

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Puisqu'on peut avoir des doutes légitimes sur la spécificité des anticorps, et donc, sur tous les tests d'anticorps (que ce soit contre le VIH, l'herpès, l'hépatite, etc...), et qu'on a des biologistes sur le forum, je propose qu'un des biologistes fasse une étude du problème avec des échantillons sanguins de plusieurs personnes (de préférence réagissant fortement à un test en particulier, je pense que ça augmente les chance qu'une personne réagisse positive à d'autres tests), et qu'il teste ces échantillons avec plusieurs tests de plusieurs virus ou bactéries différents. On pourrait tester des échantillons sanguin d'animaux aussi.

Tester une quinzaine ou une vingtaine de germes avec des tests d'anticorps me semble bien. Bien sur, il faudrait tester aussi des germes qui n'ont aucun rapport avec la choucroute. Je veux dire par là qu'une personne occidentale lambda n'a que très peu de chance d'avoir rencontré (ebola, la dengue, le charbon, la peste, la rage, ce genre de truc, des germes propres aux animaux aussi).

A mon avis, le résultat sera intéressant.

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Puisqu'on peut avoir des doutes légitimes sur la spécificité des anticorps, et donc, sur tous les tests d'anticorps (que ce soit contre le VIH, l'herpès, l'hépatite, etc

Personnellement, j'ai quand même de sérieux doutes, en ce sens qu'en principe, le cas du pseudo "VIH" ne peut être extrapolé à (presque) tous les autres virus et bactéries.

J'ai fait une petite recherche (pas très longtemps, il est vrai) avec google, et d'après ce que j'ai pu constater, les réactions croisées ne sont visiblement pas un phénomène très très courant en médecine.

Généralement, un anticorps réagit avec un antigène en particulier (cela semble être la règle) mais il arrive parfois qu'il y ait des réactions croisées. Et encore, quand il y a des réactions croisées, ce ne sont qu'avec un, deux, trois (et très rarement un peu plus) antigène(s) d'une bactérie ou d'un virus fort proche et de la même famille (sauf très rares exceptions, semble-t-il) de la bactérie ou du virus que l'on recherche au départ. Et en cas de réel doute, on fera une détection directe pour vérifier s'il y a bien eu une réaction croisée ou non.

Et cela semble logique, car contrairement au pseudo "VIH", presque tous les autres virus et bactéries ont réellement été isolés : les scientifiques connaissent parfaitement ou presque la composition de chacun de ces virus ou bactéries et ont pu trouver par voie de conséquence les anticorps, généralement spécifiques.

Le "VIH" est en revanche un cas exceptionnel, car là, le "VIH" n'a jamais été isolé de façon raisonnablement acceptable : les scientifiques n'ont jamais pu séquencer les antigènes du "VIH". Ceux-ci (au nombre de 10)ont été choisis (car choisis parmi une trentaine obtenue lors des tentatives - ratées - d'isolation du "VIH"), non parce qu'ils ont prouvé qu'ils provenaient d'un "VIH" qu'ils avaient isolé, "découpé" et séquencé, mais bien parce qu'ils réagissaient le mieux et le plus souvent avec les anticorps trouvés chez les malades du sida ou à risque de sida. Mais les antigènes en question du "VIH" peuvent provenir de tas d'autres bactéries ou virus, faute d'isolation réussie. Et mieux encore, les repenseurs du sida ont prouvé que les antigènes en question ne proviennent pas nécessairement d'autres virus ou bactéries (que le pseudo "VIH") mais peuvent au contraire avoir tout simplement une origine cellulaire (protéines provenant donc de débris cellulaires) !

Par conséquent, les anticorps du "VIH" (et contrairement aux autres bactéries ou virus) peuvent être non seulement des anticorps à toutes sortes de bactéries ou de virus ... ou même être des anticorps auto-immuns (je suis pas sûr que c'est bien comme cela qu'on le dit), c'est-à-dire dirigés contre leurs propres antigènes ou protéines en excès (à cause du stress oxydatif) ! Dès lors, absolument aucune spécificité ne peut être attribuée aux anticorps du "VIH", ce que démontre d'ailleurs la circonstance que plus de 70 (voire même 80, car cela augmente d'années en années) infections (et autres circonstances) peuvent rendre un test dit "VIH" positif. Et à ma connaissance, cela est particulier (presque) uniquement au "VIH".

Donc, personnellement, je ne pense pas que l'on puisse avoir des doutes légitimes sur tous les autres tests d'anticorps car contrairement au "VIH", dans les autres cas (ou presque), les antigènes n'ont pas été choisis mais bien séquencés à partir d'un germe (généralement) très bien isolé, et car ceux-ci n'ont en outre pas spécialement une origine cellulaire. Alors, certes, il y aura parfois des réactions croisées, mais cela n'est vraiment pas si courant que cela. Et en cas de doute, les scientifiques chercheront à prouver l'infection ou non par d'autres méthodes dont ils savent qu'elles sont également spécifiques (quoique plus onéreuses) de l'infection soupçonnée (ce qui n'est cependant toujours pas le cas pour ce qui concerne le "VIH", que ce soit la recherche du "P24" ou la PCR par exemple).

C'était juste l'opinion d'un profane, et l'avis d'un biologiste serait évidemment le bienvenu.

PS : En passant, merci beaucoup pour la traduction que tu as faite de l'article sur la "charge dite virale" sur sidasante.com. Très intéressant ... et très utile !

Modifié par wallypat
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Concernant le virus de l'hépatite B, cela ne semble pas contesté (à moins de suivre les thèses de Lanka).

En revanche, concernant le virus de l'hépatite C, c'est très fortement contesté. On en parle entres autres dans ce topic-ci, notamment à la fin de la première page.

Modifié par wallypat
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Vu mon expérience de ce type de forum très "science conservatrice", je sens que ça va vite tourner court. La technique habituellement utilisée, c'est, au bout de 2 ou 3 pages, une fermeture du topic, avec comme justification : "bon, c'est bon, on a fait le tour du sujet" (alors que sur onnouscachetout, on n'a toujours pas fait le tour du sujet après 4 ans et des milliers de pages écrites, et que, sur futurascience ou autre forum du même style, il y a plein d'autres sujets beaucoup moins importants, sur lesquels ils n'ont toujours pas fait le tour après des mois et quelques dizaines de pages écrites).

Bon, ben voilà, comme je m'y attendais, à la deuxième page, le topic a été fermé, hélas.

Voici le message de fermeture : "Allez les héroïques rebelles qui savent que le VIH est sans danger et pas contagieux, on ferme en attendant de faire le ménage dans vos co####rie, comme dit Yoyo.". Les héroïques orthodoxes ont eu peur de discuter apparemment.

Futura-Sciences rejoint donc la liste des sites qui censurent la dissidence du SIDA (Doctissimo, Atoute, e-carabin.net, parmi les plus importants) et soutiennent donc activement le mensonge officiel.

Ils ne pourront pas dire qu'ils ne savaient pas. Faudra pas venir pleurer après.

http://forums.futura-sciences.com/thread83465-2.html

Modifié par aixur
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Salut à tous ! icon_biggrin.gif

Me revoilà avec un nouveau site sur lequel les modes d'emplois des tests de depistage (biorad et elisa)sont plus clairs et donc lisibles que sur l'ancien site !

Il est accessible ici et sous ma signature (TEST H.I.V) gueulecasse.gif

Bonne lecture et bons débats ! reflechi.gif

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Bonne lecture et bons débats !   reflechi.gif

Pour ce qui me concerne, le débat est mort-né avant même d'avoir commencé.

Lorthodoxie du sida pourra inventer tous les tests danticorps quil voudra (dits de deuxième ou troisième génération par exemple, avec des antigènes synthétiques, recombinants, etc... ou avec dautres noms aussi « pompeux » [lol] lun que lautre), le problème est toujours le même : quel est lorigine des antigènes utilisés dans les tests dits « VIH » ? Où est la preuve que les antigènes en question sont bien ceux dun rétrovirus appelé « VIH », en particulier lorsque les repenseurs du sida ont fait la démonstration que ces antigènes peuvent navoir quune origine simplement cellulaire (cest-à-dire provenant du séropo lui-même, et non dun germe exogène) ? Voyez par exemple ici.

Partant, le fait dêtre positif au test dit « VIH » ne sera jamais la preuve dune infection au « VIH », faute davoir pu prouver que le « VIH » existe en tant que rétrovirus et, partant, davoir pu prouver que les antigènes (quels quils soient) utilisés dans les tests danticorps (quels quils soient) sont bien ceux dun rétrovirus dénommé « VIH ».

La circonstance que la présence des nombreux anticorps (réagissant avec les antigènes présents dans les tests dits « VIH ») présents chez le sidéen ou chez la personne à risque de sida peut trouver plus de 80 explications différentes, dont un bon nombre sont justement systématiquement présent dans les groupes dits à risque de sida, achève de le prouver de façon surabondante.

Pour ne citer quune seule de ces 80 explications, dans ce brillant article, le Perth Group a clairement fait la preuve que les anticorps à de nombreux infections mycosiques (telles que les fameuses infections à candida albicans) réagissent avec les antigènes présents dans les tests dits « VIH ». Dans ces conditions, le « VIH » est tout simplement inutile pour expliquer la présence de ces anticorps, en particulier lorsque lon sait (comme précisé dans larticle) que 90% des séropos ont déjà de telles infections mycosiques. Et que ces anticorps soient présents en grand nombre (contrairement aux séronégatifs) sexpliquent tout simplement parce que les organismes des séropos en question sont bien plus « oxydés » que ceux des séronégatifs pour avoir été (et continuer à être) exposés à une foultitude de sources de fort stress oxydatif.

En dautres termes, le « VIH » ne sert à rien, sauf à faire peur !

Maintenant, il ne fait aucune doute quil existe une corrélation entre le fait dêtre positif au test appelé « VIH » et lévolution vers le sida déclaré. Mais si cette corrélation (qui na donc rien à voir avec une « contamination » par le mythique « VIH ») est certaine, elle est en revanche lâche. En prenant les mesures qui simposent (ne plus sexposer à de telles sources de stress oxydatif, etc...) et pour autant que lon ne sy prenne pas trop tard, il est possible de renverser la situation. Les survivants à long terme sont là pour le prouver. En revanche, en continuant à faire croire que la séropositivité est la « preuve » dune infection par un rétrovirus aussi sournois que délétère et que tôt ou tard, cela aboutira au sida, alors, oui, la prédiction aura toutes les chances de se réaliser, faute pour le séropo davoir pris les mesures qui simposent !

Viendrait-il idée à un médecin de dire à un patient qui a trop de cholestérol quil fera tôt ou tard une affection coronarienne ? Non, bien sûr, pour autant que le patient prenne les mesures qui simposent. Le sida, ce nest pas autre chose, mais sur un autre plan.

Mais continuer en revanche à faire croire au séropo quil a été contaminé par un rétrovirus capable de provoquer dinnombrables maladies (dont certaines nont au surplus aucun rapport avec une immunodépression [ce qui est un comble !], telles que le sarcome de Kaposi par exemple) est tout simplement criminel car cette affirmation, non prouvée, facilitera lavènement du stade du sida déclaré et, par conséquent, la réalisation du sombre prognostic de l »expert » « VIH ». De là à dire que les mots du médecin tuent le patient, il ny a quun pas ... que je franchis (très) aisément !

PS : Si lorthodoxie du sida veut essayer de mimpressionner (dans une toute relative mesure) au lieu de faire des « améliorations » de tests dits « VIH », elle ferait dabord mieux de prouver que le « VIH » existe bien en tant que rétrovirus. Mais ce miracle nen sera de toutes façons pas un car il lui appartiendra de prouver par la même occasion un autre point, sans lequel lhypothèse rétrovirale ne tient de toute façon pas, à savoir prouver que le « VIH » nest effectivement pas un rétrovirus endogène. Or vu la masse de connaissance amassée par les repenseurs, tout indique que si le « VIH » existe en tant que rétrovirus, celui-ci est forcément endogène, ne fût-ce quen raison de la circonstance que le « VIH » est incapable de provoquer lapoptose des lymphocytes T4 ... à moins dajouter au « VIH » des agents mitogènes ou dautres « produits » sources de stress oxydatif. Ceci constitue dailleurs une preuve que le « VIH » en lui-même, à supposer même quil existe en tant que rétrovirus, ne provoque pas de stress oxydatif (et dailleurs, Montagnier lui-même sest bien gardé daffirmer une telle ineptie, se contentant de préciser que le stress oxydatif [sans en préciser les sources, et pour cause] provoque lapoptose des lymphocytes T4) !

Modifié par wallypat
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je sais pas pour vous mais moi ça me fait un peur :

Un nouveau médicament pourrait arrêter la propagation du VIH

Par Stéphane Rangaya, sa biographie |Publié par Stéphane Rangaya http://wwww.stephanerangaya.com

Cet article a été rédigé par un reporter d'AgoraVox, le journal média citoyen qui vous donne la parole.

Lors de tests à petite échelle sur des humains, des scientifiques américains affirment avoir pu développer un nouveau médicament capable de stopper la progression du VIH et le "nettoyage rapide" du sang par le virus.

Keith Alcorn, du National Aids Manual, indique, tout comme les experts, qu'il "y a beaucoup de choses intéressantes dans ce produit", cependant il ne s'attend pas à une utilisation médicale avant plusieurs années, trois ans étant le minimum pour réaliser toutes les analyses.

Le nom du médicament est PA-457. Dérivé de l'acide betulinique, extrait de sous-produits bon marché de l'industrie du papier, le médicament a été conçu et produit par le Panacos Pharmaceuticals, dans le Maryland.

Le médicament est connu comme inhibiteur de maturation, une nouvelle catégorie de médicaments. Son fonctionnement est simple : son but est de décomposer la protection formée par les protéïnes autour du virus. Sans son cône protecteur, le VIH ne peut plus se répliquer, ni se transmettre à un autre individu.

Par ailleurs, des études ont montré que si le VIH ne se répliquait pas assez rapidement dans le sang, il avait tendance à disparaître.

"C'est vraiment une nouvelle classe de médicaments, et je supporte leur développement. Si PA-457 s'avère n'être pas toxique et être facile à utiliser, il trouvera bon usage", indique Charles Boucher, chercheur sur le VIH au Centre médical de l'Université d'Utrecht, aux Pays-Bas.

Les premiers tests ont montré que le PA-457 fonctionnait même sur des patients pour lesquels les médicaments actuels échouaient, laissant beaucoup d'espoirs aux personnes dans le même cas.

Sources:

- Trials for drug that leaves HIV defenceless New Scientist

- "New HIV drug could stop virus from spreading". Wikinews

- "New drug class adds to HIV treatment arsenal". DrugResearcher.com

- "Drug 'blocks the spread of HIV'". BBC News

- "New drug may block HIV spread". Daily News & Analysis

j'aurait peut-etre du placer mon message ailleurs mais comme je sais pas trop ou je vous laisse le soin de le faire a ma place 4-spamafote.gif

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Hello!

Infectés en 1998, 47 enfants des 400 initialement "infectés" par du "sang contaminé" sont au jour d'aujoud'hui

décédés!

http://www.rfi.fr/actufr/articles/063/article_35118.asp

Il semble qu'il y a bien qq chose dans le sang contaminé qui puisse tuer dans 2, 4, 6, 8 ans etc...

Auriez-vous une explication possible à cela?

Merci

Delwere

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Hello!

Infectés en 1998, 47 enfants des 400 initialement "infectés" par du "sang contaminé" sont au jour d'aujoud'hui

décédés!

http://www.rfi.fr/actufr/articles/063/article_35118.asp

Il semble qu'il y a bien qq chose dans le sang contaminé qui puisse tuer dans 2, 4, 6, 8 ans etc...

Auriez-vous une explication possible à cela?

Merci

Delwere

Dans l'article, il n'est dit nul part si les 47 enfants sont morts après qu'ils aient été testés séropositifs, ou avant.

Si c'est après, ils sont probablement mort des médicaments qu'on leur a donné contre le SIDA. Et ce serait encore des morts dûes à l'hystérie à propos du VIH.

En tout cas, pour les pauvres médecins et infirmières qui risquent de crever, c'est vraiment pas de bol. S'ils sont exécutés, ils pourront dire merci à Montagnier et aux autres spécialistes qui ont déclaré que le problème était un problème de VIH et qu'il venait de l'hopital en question.

Modifié par aixur
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Je rejoins tout à fait l'analyse d'Aixur.

J'ajouterais par ailleurs que l'un des gros problèmes avec ce genre de (dés)information, c'est qu'on ne sait quasiment jamais de quoi les gens meurent réellement, les journalistes usant de formules elliptiques pour (dés)informer les lecteurs.

En effet, que lit-on dans la presse ?

On lit presque toujours qu'untel est mort du sida, unetelle est morte du sida, et ici, 47 enfants sont morts du sida, morts "bien entendu" causés par le "virus du sida".

En d'autres termes, on ne sait tout simplement pas de quoi tous ces pauvres gens sont morts ! Ne perdons pas de vue que le vocable "sida" regroupe un ensemble très disparate de maladies (en particulier, dès qu'il s'agit du sida "non occidental"), en aucune façon nouvelles, qui existaient déjà bien avant que naissent l'hystérie et la psychose collectives du sida.

Bref, de quoi sont morts ces 47 enfants ? Etait-ce par exemple la tuberculose (ce qui ne serait pas étonnant vu que l'hôpital en question paraît être un véritable cloaque nauséabond) ? Etait-ce une forme grave d'hépatite A ou B, dont les anticorps sont tout à fait susceptibles de rendre positif le test appelé par erreur "VIH" ? Etc ... Etc...

En d'autres termes, on ne saura probablement jamais de quoi ces enfants sont réellement morts, faute de savoir de quelles maladies ils sont morts (le mot "sida" n'ayant en soi aucune signification). Et par conséquent, on ne pourra que se répandre en conjectures plus ou moins probables quant aux causes réelles de ces morts. La seule certitude absolue que l'on peut réellement avoir à 100%, c'est bien qu'ils ne sont pas morts à cause d'un rétrovirus dénommé "VIH" !

Par ailleurs et peut-être surtout, vu le tollé que cette affaire a causé dans le monde, on peut être quasiment certain que de "généreux donateurs", tels Bill Gates, Bono, et consorts se sont cotisé pour financer l'administration de drogues dites "antivirales" à ces pauvres enfants, "pour leur bien", n'est-ce pas. Evidemment, comme l'a dit Aixur, pas étonnant que ces enfants puissent mourir au bout de 2, 4, 6, 8 ... ans !

Modifié par wallypat
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Invité
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