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**[SIDA] : le "VIH" ne cause pas le SIDA ** 2/3


Vitosi
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Top Posters In This Topic

Encore du nouveau suite à l'article paru dans Harper's Magazine !

En effet, deux dissidents célèbres, étant Roberto Giraldo et Etienne de Harven, ont rédigé une réfutation complémentaire aux deux précédentes déjà parues (à savoir celle émanant du "Rethinking AIDS" et celle provenant du "Perth Group"), intitulée "HIV tests cannot diagnose HIV infection".

A la lecture de ces trois documents (certes en anglais), on constatera que la dissidence du sida a manifestement triomphé de l'orthodoxie du sida !

Modifié par wallypat
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Coup de colère !

Ce matin, j'écoutais, tranquillement, un émission sur France Culture :

09:05 >La nouvelle Fabrique de l'histoire

Les amitiés intellectuelles - semaine documentaire - 2/5

Production : Emmanuel Laurentin, Production : Aurélie Luneau

Documentaire de Emmanuelle Loyer et Christine

Robert

Le sanatorium des étudiants de Saint-Hilaire du

Touvet, " l'Université des neiges "

Jusqu'à présent, rien que de plus banal.

Puis, au cours de l'émission, j'entends cela, à quelque chose près :

" A l'époque, par rapport à la tuberculose (...), on ne savait pas de quoi on mourrait ( ... ) si ce n'est que les gens qui l'attrapaient étaient souvent mal nutris. (... ) Ce n''est pas comme le SIDA aujourd'hui ( ... ), on sait très bien comment on l'attrape. "

Mon sang n'a fait qu'un tour et cela m'a fait pensé immédiatement à la signature de Wallypat :

"Répétez un mensonge mille fois, il restera un mensonge; répétez-le dix mille fois, il deviendra une vérité", Joseph Goebbels, ministre de la propagande nazie.

Mais, dans quelle époque sommes nous me dis - je ? Comble de l'aberration et de la violence indiviualisée collective.

Qui sont ces pontifiants ( France cu ) qui se permettent de répéter avec autant de morgue, ce que nous savons être pour le moins un mensonge.

Alors, au delà de ma colère, pour une nième fois, je me dis : mais n'es-tu pas dans le déni ? - ma formation psy qui ressort.

...Me réveiller... me calmer.

Non... Mais, tout de même, quelle souffrance !Qui d'ailleurs va à l'encontre de ce que je sais être bon pour moi ( fuire tout effet nocébo ).

Facile à dire, pas à faire, pour moi, qui aime partager et apprendre.

Colère, encore une fois. Colère envers mon entourage, même proche, qui en dehors de la compassion et la gène, ne s'implique pas plus.

Je les trouve nocébo à mon égard. Leurs bons sentiments.... tueurs.

Leur peur est donc à ce niveau ? ...De ne pas s'informer, de ne pas lire, de ne pas se faire un jugement propre ; pourtant, je ne rêve pas ? Ce qui est écrit sur ce site ou celui de sidasante est lisible, compréhensible, étayé...

Et, bien non !... Cela ne suffit pas ; l'effet Goebbels semble plus fort, et cela alimente de la tristesse en moi : effet nocébo...

Ils vont finir par avoir ma peau !

Alors ? se couper de tout, faire comme Sicnarfa, quitter ce forum, ne plus écouter la radio, casser mon portable ( mes ) ...

Le monde est donc le même depuis toujours, les hommes aussi.... ne pas compter sur eux pour changer... Moutonnage.

Eh bien, non ! Le cynisme tue ; il est l'antichambre du désespoir.

Mais, mes amis, je vous le dis, il va falloir que nous fassions preuve d'encore plus de détermination, d'intelligence et ... de compassion ( la vraie ) !

Voilà pour ce matin, je vais aller marcher...

Modifié par sidarta
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Pas de quoi s'énerver ... on connaît la rengaine !

Par rapport aux temps anciens, les systèmes ont un gros atout : les médias ... pour parvenir à une fin qui traversent les siècles ... formater le peuple ... afin que le plus grand nombre n'ait pas trop l'impression de se faire avoir par le plus petit nombre (qui est aux manettes bien sûr).

Force est de déplorer que ça marche : le politiquement correct et le prêt à penser sont partout.

Je me souviens aussi d'une autre émission de radio où de Villepin racontait son enfance ... à Caracas ... rien ne fut fait pour qu'on ne l'imagine pas dans des favelas ... alors qu'il était fils de diplomate (déjà) sans doute dans un quartier chic avec des domestiques ...

Il "souffrait" déjà ce Dominique ... !

Ce sont des gens comme ça qui "décident" ... qui écrivetn et disent le "droit" (à penser) ...

Alors il n'est pas cynique de répondre à une question du genre : " êtes-vous pour l'un ou pour l'autre ? " ... " je m'en tape ... ce n'est pas ma vie "

Ca, c'est sur le plan général et sur le plan particulier du VIH, je pense qu'il faut réagir à l'identique et effectivement aller se promener ... sans bougonner !

Qu'ils causent dans le poste en caricaturant la question ... que veux-tu faire d'autre : ils ont la main !

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La Loi de Murphy

Lasciate ogni speranza, voi ch'entrate !

Vous qui entrez, perdez tout espoir.

(Dante, La Divine Comédie)

Aussi connue comme Loi de l'Emmerdement Maximum, ou Loi de la tartine beurrée, la Loi de Murphy est, avec le chaos, la relativité, et la mécanique quantique, une des plus grandes découvertes du siècle (rien que ça).

Modifié par sidarta
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Invité joseck

Bond de 67% du bénéfice trimestriel de Gilead, tiré par les ventes de Truvada* et les royalties perçues sur Tamiflu*

FOSTER CITY (Californie), 19 avril (APM) - Le groupe américain Gilead a annoncé mercredi un bond de 67% de son résultat net pour le premier trimestre 2006 à 262,7 millions de dollars, marqué par une forte progression des ventes de sa combinaison d'antirétroviraux Truvada* (emtricitabine + ténofovir disoproxil) et des royalties versées par Roche pour l'antiviral Tamiflu* (oseltamivir).

Le chiffre d'affaires de la société a progressé de 61% à 693 millions de dollars au premier trimestre.

Les ventes de produits ont gagné 40% à 559 millions de dollars, principalement grâce à la gamme de traitements du VIH-sida qui a progressé de 50% à 450,7 millions.

Gilead vise désormais pour l'ensemble de 2006 un chiffre d'affaires de 1,8 milliard de dollars pour le portefeuille de traitements anti-VIH, contre 1,7 milliard annoncé précédemment.

Au premier trimestre, les ventes de Truvada* ont été multipliées par 2,6, à 249 millions de dollars. Truvada* représente désormais plus de la moitié du chiffre d'affaires des produits anti-VIH du groupe et environ 45% du chiffre d'affaires total issu des ventes de produits, a souligné Gilead.

Les ventes des anti-VIH plus anciens du groupe, Viread* (ténofovir) et Emtriva* (emtricitabine), ont reculé respectivement de 3% à 192 millions de dollars et de 20% à 10 millions de dollars, en raison d'un transfert des prescriptions vers Truvada* dans les pays où celui-ci est disponible.

L'antifongique AmBisome* (amphotéricine B liposomale) a reculé de 1% à 53,8 millions de dollars, principalement en raison d'une baisse des ventes en Europe, un marché très concurrentiel en ce qui concerne les anti-fongiques, explique Gilead.

Le traitement de l'hépatite B Hepsera* (adéfovir) a enregistré un chiffre d'affaires en hausse de 23% à 42,7 millions de dollars.

Le premier trimestre a également été marqué par un bond des royalties versées par Roche pour l'antiviral Tamiflu*, qui ont été presque décuplées à 115,3 millions de dollars.

Les revenus tirés de royalties et de collaborations ont atteint au total 133,5 millions de dollars.

Les dépenses trimestrielles de R&D ont progressé de 25% à 88,4 millions de dollars.

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PROBABILITES D'INFECTION D'UNE GONORRHEE ET DU "VIH"

Dans un document bigrement intéressant, j'ai entre autres trouvé un tableau des statistiques de contamination d'une femme par un homme, lors d'un rapport hétérosexuel, d'une vraie MST, à savoir ici la gonorrhée (ou blennoragie ou encore chaude pisse) par rapport à une bien fausse MST, à savoir le "VIH".

C'est absolument édifiant comme vous le constaterez.

Ne sachant pas (encore) comment reproduire ici ce tableau tel quel, j'ai reproduit les chiffres de façon manuscrite (mais le lecteur pourra le vérifier par lui-même à la page 13 du document susvanté).

Le premier nombre de chaque ligne indique le nombre de rapports sexuels nécessaires, le deuxième nombre concerne la gonorrhée et le troisième nombre, le (bien hypothétique) "VIH" (et uniquement le "VIH" pour les deux dernières lignes).

0 ----> 0% ---> 0%

1 ----> 50% ---> 0,09%

2 ----> 75% ----> 0,18%

3 ----> 88% ----> 0,27%

4 ----> 94% ----> 0,36%

5 ----> 98% ----> 0,45%

777 -----------> 50%

3333 ----------> 99%

Le lecteur constatera qu'une vraie MST est diablement contagieuse. En revanche, les statistiques de "contamination" du "VIH" correspondent clairement à un bruit de fond (comme l'a déjà dit à plusieurs reprises antérieurement Cheminot sur ce site), en d'autres termes qu'il est scientifiquement impossible d'affirmer, sur base de ce genre de chiffres et sans peur du ridicule, que le "VIH" est sexuellement transmissible. Si l'on devait se baser sur ce genre de chiffres pour prétendre que oui, il faudrait alors également affirmer que le cancer par exemple est aussi sexuellement transmissible.

Quand on examine ce tableau et qu'on tient compte de tout ce qui a déjà été dit antérieurement sur ce sujet sur ce forum, il ne fait aucun doute que la séropositivité n'est en aucune façon sexuellement transmissible et que le SIDA n'est en aucune façon une MST. Il s'agit encore là de l'un des pires préjugés encore en vigueur.

Ceci étant, ne faites pas les "imbéciles", l'usage du préservatif est bien sûr toujours indispensable pour se protéger des VRAIES MST. Mais le sida ne "s'attrape" pas en ayant une relation dite "non protégée" avec une personne dite "séropositive" (ou pire encore : dite "contaminée"). Ce n'est là qu'un mythe de plus, qui ne fait aucun doute lorsqu'on examine tout ce qui a déjà été dit antérieurement sur ce sujet bien précis, non seulement sur ce forum mais également ailleurs.

Modifié par wallypat
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J'adhère complètement à ton analyse Wallypat.

Après un mariage fidèle de 25 ans sans MST et pour cause, j'ai connu, après un divorce réussi, une période plutôt riche de 3 rencontres (tout est relatif, car c'est bien sûr la qualité qui compte), au cours de laquelle j'ai flirté une fois avec une MST ( chlamydia), alors que la femme que j'aime actuellement est séropo, sans que je le sois.

Résultat :

- 25 ans de fidélité

- 3 rencontres dont une avec MST

- Vie commune depuis 4 ans avec ma femme séropo sans capote, puisqu'il faut bien faire tomber les tabous !

Moralité : mettre le préservatif lorsque l'on est instable pour éviter les MST, puisque la transmission est imparable.

Mais sur le vih, mon sentiment, c'est qu'il nous manque des connaissances sérieuses dans le domaine énergétique donc vibratoire. C'est la clé de la compréhension. Comprendre ce qui sous-tend la matière, l'energie éthérique, c'est comprendre les causes et nous n'en sommes qu'aux balbutiements de l'exploration de ce champ expérimental oh combien prometteur.

Sincèrement

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  • 3 weeks later...

Un nouvel article de Neville Hodgkinson dans "the business" daté d'aujourd'hui.

On y découvre en particulier que les Indiens sont de plus en plus réticents à se mettre au garde à vous devant l'Onusida. Ils ont d'ailleurs déchiré le fameux "ruban rouge" lors d'un meeting récent.

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- le sperme lui-même est un oxydant, car le taux de thiols de ses protéines est pratiquement nul à la sortie du canal déférent. Par contre les disulfures pullulent. Là encore, les pratiques dites à risque augmentent le passage de ces protéines dans le sang.

- le taux de CD4 baissent lors de l'introduction de sperme d'une souris dans le rectum d'une autre souris :

http://www.biolreprod.org/cgi/reprint/52/6/1209.pdf

Je sais que ce sujet est TRES sensible pour certains, mais j'aimerais bien en avoir le coeur net sur un point ou deux, du moins d'un point de vue scientifique (pas moral).

Tu as donc déjà prouvé à plusieurs reprises et sur base de plusieurs études que le sperme agit comme oxydant lorsqu'il se trouve dans un rectum.

J'en déduis à tout le moins que lorsqu'un séropositif souffre déjà d'un très fort stress oxydatif à la suite d'autres facteurs (poppers par exemple), le caractère oxydant du sperme ne va rien arranger, en particulier si cela résulte de "donneurs" différents.

Mes questions sont les suivantes.

1) Le sperme agit-il comme oxydant azoté ou non ? Car ce qui cause principalement le sida, ce sont bien les oxydants azotés, me semble-t-il. Donc, si ce n'est pas un oxydant azoté, mais une autre espèce d'oxydants, c'est déjà beaucoup moins "grave". Il me semble d'ailleurs que tu avais déjà précisé à plusieurs reprises que contre les espèces activées de l'oxygène, l'organisme était bien mieux en mesure de se défendre que contre les espèces activées de l'azote. Donc, en l'espèce, le sperme ne pourrait-il pas être une espèce activée de l'oxygène, plutôt qu'une espèce activée de l'azote ?

A moins que les choses soient plus compliquées que cela, du genre que cela facilitera l'émergence d'oxydants azotés dans l'organisme ?

En tout cas, le sperme, dans les circonstances précisées ci-dessus, ne me semble quand même pas être une source de monoxyde d'azote ... ou je me trompe ?

Questions peut-être idiotes mais n'étant pas chimiste ...

2) A supposer que d'une façon ou l'autre le sperme puisse contribuer à favoriser l'apparition ou peut-être plutôt la multiplication d'oxydants azotés dans l'organisme du séropositif, ne peut-on pas considérer que le sperme dans le rectum constitue un facteur accessoire de survenance d'oxydants azotés dans l'organisme quand on le compare à d'autres sources d'oxydants azotés, telles que les drogues récréationnelles comme le poppers ?

En d'autres termes, le poppers, même utilisé de temps en temps (que dire alors quand il est utilisé régulièrement), ne reste-t-il pas une source d'oxydants azotés éminemment plus importante que l'administration rectale du sperme ? Ou encore, l'usage du poppers ne reste-t-il pas de loin la pire source d'oxyde nitrique dans l'organisme humain et donc de pire cause de sida, et de loin (avec d'autres drogues récréationnelles, outre des drogues chimiques) ?

Désolé d'être un peu cru dans ces questions mais j'aimerais en avoir le coeur net définitivement.

Merci.

Modifié par wallypat
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Wallypatt,

C'est peut-être faux, mais ce que j'ai cru comprendre, c'est qu'une partie du sperme dans le rectum passe à travers la muqueuse du rectum "sans être digérée", directement dans le sang du "reçeveur". D'où réaction du corps aux cellules étrangères et production d'anti-gènes. Je ne retrouve plus la source de tout cela. icon_cry.gif

Maintenant, vu le nombre d'anti-gènes que l'on produit tous les jours (pollen, poussière etc...), je pense (mais c'est personnel) que seul un corps au système immunitaire très faible ne saura plus se défendre face à diverses invasions. Mais là, il s'agit de TOUTES les invasions, que ce soit les cellules du sperme ou celles des poussières.

On pourrait se poser la même question sur l'action du sperme dans le vagin. Ok, on n'est pas dans le système digestif, mais le vagin est une zone particulièrement vascularisée. Quand on sait qu'un patch sur la peau diffuse directement un produit actif dans le sang...

Explications plus claires bienvenues !

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Un nouvel article de Neville Hodgkinson dans "the business" daté d'aujourd'hui.

Je me permets de reproduire un petit passage (que j'ai traduit de façon approximative) de cet article que j'ai trouvé très intéressant car ce passage explique de quelle façon (scandaleuse) les protéines dites spécifiques du "VIH" ont été choisies et permet en outre de constater que l'argument de l'orthodoxie du sida selon lequel le sida est causé par le "VIH" car le "VIH" cause le sida n'est pas un argument car relevant de la pure tautologie.

Après que les cellules ont été activées de cette façon, les pionniers du "VIH" trouvèrent quelques 30 protéines dans le matériel filtré se rassemblant à la densité caractéristique des rétrovirus. Ils attribuèrent quelques-unes de ces protéines à différentes parties du virus. Mais ils ne prouvèrent jamais que ces soi-disant "antigènes du VIH" appartenaient à un nouveau rétrovirus.

Donc, de ces 30 protéines, comment choisirent-ils celles devant être définies comme provenant du VIH ? La réponse est choquante et remonte à l'origine même de ce qui est probablement le plus grand scandale de l'histoire médicale. Ils choisirent celles qui réagissaient le plus aux anticorps présents dans les échantillons de sang de patients souffrant du sida et de ceux à risque de sida.

Cela signifie que les antigènes du "VIH" sont définis comme tels, non pour avoir été prouvé qu'ils appartenaient au "VIH", mais bien pour avoir réagi aux anticorps des patients souffrant du sida. Par conséquent, les patients souffrant du sida sont diagnostiqués comme étant infectés par le "VIH" en vertu du fait qu'ils ont des anticorps qui réagissent avec ces mêmes antigènes. Le raisonnement est circulaire.

Modifié par wallypat
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On pourrait se poser la même question sur l'action du sperme dans le vagin. Ok, on n'est pas dans le système digestif, mais le vagin est une zone particulièrement vascularisée. Quand on sait qu'un patch sur la peau diffuse directement un produit actif dans le sang...

Explications plus claires bienvenues !

En fait, si je me rappelle bien les explications antérieurement données à ce sujet par Cheminot, si le sperme est un oxydant, ce n'est pas par hasard mais est le résultat de l'évolution naturelle. En effet, cela (entre autres) permettra à la femme de ne pas rejeter les spermatozoïdes (qui sont en pratique des corps étrangers pour la femme) qui se faufilent dans son organisme, faute de quoi la conception d'un enfant deviendrait bien plus difficile. Donc, le caractère oxydant du sperme est "normal" chez la femme.

En revanche, ce que différentes études paraissent avoir démontré, c'est que le caractère oxydant du sperme dans l'anus est bien plus élevé que la "normale" chez la femme (via le vagin donc) à tel point que cela peut causer une immunodépression transitoire, en ce compris la survenance transitoire de ce que l'orthodoxie du sida appelle "VIH", même si le donneur n'est pas "séropositif" au "VIH".

En réalité, ce que je voudrais savoir, c'est si dans un tel cas de figure, le sperme agit comme un oxydant azoté (le plus dangereux de tous et contre lequel l'organisme a le plus de mal à réagir) ou non. J'ai relu d'anciens posts de Cheminot mais je n'ai visiblement pas trouvé de réponse claire à cette question, très probablement parce que cette question n'avait pas encore été posée jusqu'à maintenant, je crois du moins.

Modifié par wallypat
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En fait, Wallypat, il est tout d'abord clair que le caractère oxydant du sperme se traduit surtout par la présence naturelle de ponts disulfures, mais aussi, apparemment par celle de radicaux oxygénés, de monoxyde d'azote, de peroxylipides... Ceci semble normal puisque le statut redox habituel du sperme (plutôt oxydant) permet très certainement à ces autres substances d'apparaître.

J'ai trouvé cet article très étonnant datant de 2001 :

Relative impact of oxidative stress on male reproductive function.

Sikka SC.

Department of Urology, Tulane University School of Medicine, New Orleans, Louisiana 70112-2699, USA. ssikka@tulane.edu

Impairment of normal spermatogenesis and sperm function are the most common causes of male factor infertility. Abnormal sperm function is difficult to evaluate and treat. There is a lack of understanding of the factors contributing to normal and abnormal sperm function leading to infertility. Many recent studies indicate that oxygen-derived free radicals induce damage to spermatozoa. The excessive generation of these reactive oxygen species (superoxide, hydroxyl, nitric oxide, peroxide, peroxynitrile) by immature and abnormal spermatozoa and by contaminating leukocytes associated with genitourinary tract inflammation have been identified with idiopathic male infertility. Mammalian spermatozoa membranes are rich in polyunsaturated fatty acids. This makes them very susceptible to oxygen-induced damage, which is mediated by lipid peroxidation. In a normal situation, the antioxidant mechanisms present in the reproductive tissues and their secretions are likely to quench these reactive oxygen species (ROS) and protect against oxidative damage to gonadal cells and mature spermatozoa. During chronic disease states, aging, toxin exposure, or genitourinary infection/inflammation, these cellular antioxidant mechanisms downplay and create a situation called oxidative stress. Thus, a balance between ROS generation and antioxidant capacity plays a critical role in the pathophysiology of disease state. Recent efforts towards the development of new reliable assays to evaluate this oxidative stress status have resulted in the establishment of ROS-TAC score. Such assessment of oxidative stress status (OSS) may help in designing newer modes of male factor infertility treatment by suitable antioxidants.

Ils étudient cela dans le sens d'un impact possible du stress oxydatif excessif sur l'infertilité masculine.

Mais, ils indiquent très clairement que le sperme d'une personne présentant par exemple une maladie urogénitale est plus riche qu'un autre sperme en oxydants, et donc aussi en oxydants azotés.

On peut y comprendre aussi le mécanisme d'une acquisition du Sida : Une personne souffrant de stress oxydatif voit les membranes de ses spermatozoïdes être beaucoup plus oxydées, car le système antioxydant (glutathion) ne fonctionne pas, le taux de NO augmenté. Et donc, son sperme pourra faire apparaître les dommages dus à ces oxydants chez son partenaire, de manière bien plus importante que ne le fait un sperme normal : diminution faible et transitoire des CD4 lors d'une relation anale, et rien lors d'une relation vaginale.

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Je vais en conclure, peut-être un peu rapidement, qu'après un rapport anal, le"receveur" risque temporairement une sérologie positive. Et je vais en conclure, toujours un peu rapidement, qu'il vaut mieux éviter de faire un test de dépistage juste après un rapport anal.

J'imagine ceci :

X se fait opérer (un ou 2 jours après un rapport anal) de l'appendicite par exemple. Pendant l'opération, l'infirmière se pique et craint une contamination au vih. Avant de se jetter sur une thérapie préventive, que ce soit légal ou pas, elle va prélever le sang de son patient pour une sérologie. X devrait logiquement s'avérer positif.

Il va se réveiller guéri de l'appendicite, mais positif au vih. Et l'infirmière va subir pendant 6 mois une thérapie de prévention, angoisses et effets secondaires inclus.

Il y a quelque chose que je n'arrive pas à suivre icon_confused.gif

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Il y a quelque chose que je n'arrive pas à suivre  icon_confused.gif

Tu as très bien suivi, au contraire.

L'exemple que tu as cité ne relève pas de la science-fiction mais a au contraire déjà pu réellement se passer à plusieurs reprises dans la réalité !

Modifié par wallypat
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J'ai quand-même de la peine à y croire !

Et qu'en est-il des femmes qui ont des rapports anaux ? Ca existe, que je sache. Et toutes ces prostituées qui font sans préservatif, en vaginal ou anal ? Les seules qui sont déclarées positives, il me semble, sont celles qui se droguent.

Je n'y comprends plus rien !

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J'ai quand-même de la peine à y croire !

Et qu'en est-il des femmes qui ont des rapports anaux ? Ca existe, que je sache.

Mais justement, l'étude Padian de 1997 qui a analysé sur 10 ans les risques de la supposée transmission hétérosexuelle de la séropositivité a pu constater que les facteurs les plus importants (= causes) de "transmission" hétérosexuelle de la séropositivité était l'usage de drogues et les rapports anaux réceptifs "subis" par la femme (et également la contamination par de vraies MST).

Et toutes ces prostituées qui font sans préservatif, en vaginal ou anal ? Les seules qui sont déclarées positives, il me semble, sont celles qui se droguent.

Je n'y comprends plus rien !

Même chose. Ce sont effectivement surtout celles qui se droguent, mais pas uniquement (car les drogues ne sont pas les seules sources de stress oxydatif). Certaines prostituées, même non droguées, deviennent malgré tout séropositives. Il s'agira notamment des prostituées qui acceptent les rapports anaux réceptifs.

Modifié par wallypat
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