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**[SIDA] : le "VIH" ne cause pas le SIDA ** 2/3


Vitosi
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que les anticorps détectés au dessus du cutoff sont ceux du vih, et ceux détectés au-dessous ne le sont pas?

Que si tu es sure que le pathogène qui provoquerait cette maladie est bien responsable et qu'il est bien caractérisé. Mais de toute façon tu auras toujours une incertitude sur un faible % de gens , il faut donc combiner les tests et les symptomes. Et c'est pareil pour tous les diagnostics viraux, pas seulement pour le vih.

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Invité ian82

Bonjour,

Vous-serez t-il possible de bien vouloir expliquer le chiffre du sida en afrique?

Pouvez-vous aussi expliquer les cas de sida chez les hémophiles transfusés?

J'ai la certitude d'une manipulation et d'une escroquerie sur le sujet HIV/SIDA mais, pour les deux questions ci-dessus, j'ai besoin de comprendre.

Merci

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Que si tu es sure que le pathogène qui provoquerait cette maladie est bien responsable et qu'il est bien caractérisé. Mais de toute façon tu auras toujours une incertitude sur un faible % de gens , il faut donc combiner les tests et les symptomes. Et c'est pareil pour tous les diagnostics viraux, pas seulement pour le vih.

Justement, Nico, c'est-là où le bât blesse. Rien ne prouve que le vih soit responsable du sida. La seule chose qu'on sache, d'après les documents de Gallo et de Montagnier, c'est que du matériel provenant de gens malades contient

- des particules non observées généralement (sauf dans le placenta ainsi que l'a montré Panem en 1979 - Panem S. C Type Virus Expression in the Placenta. Current Topics in Pathology 1979;66:175-189. ), nommées également C - Virus par Gallo et Montagnier. (A l'époque de Gallo, ces virions contenaient un "core" circulaire, maintenant il est conique, bizarre, bizarre)

- des protéines capables de provoquer la rétrotransciption d'un primer ARN

- des protéines qui donnent des anticorps chez des lapins, anticorps retrouvés chez les malades. Cependant, ces protéines (antigènes) sont retrouvées chez des personnes ne pouvant être infectées (dans le placenta par exemple).

- bien évidemment un ARN encodant pour ces protéines.

- et puis plein de matériel appelé "Mock Virus" par Gelderblom, qui représente des résidus cellulaires, mais qui pourrait tout aussi bien être la source des fameux antigènes, puisque Gallo ni Montagnier ne l'a séparé des fameux C-virus.

Il y a donc clairement corrélation... mais personne n'a encore véritablement montré que c'est la véritable cause du sida (voir les remarques de Luc Montagnier à Bruxelles en 2003).

Sinon, si on dit qu'il y a vih parce qu'il y a ces protéines, puis que le vih les produit, il y a là un argument circulaire dont la logique m'échappe.

Modifié par Cheminot
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Bonjour,

Vous-serez t-il possible de bien vouloir expliquer le chiffre du sida en afrique?

Pouvez-vous aussi expliquer les cas de sida chez les hémophiles transfusés?

J'ai la certitude d'une manipulation et d'une escroquerie sur le sujet HIV/SIDA mais, pour les deux questions ci-dessus, j'ai besoin de comprendre.

Merci

Ian82 j'ai bien peur que personne ne te réponde parce que le sujet a déja été abordé dans ce topic.

Tu peux aller sur le premier post de la premier page de ce topic, il y a un sommaire récapitulatif des 142 pages avec un lien vers les discussions sur les questoins que tu poses icon_smile.gif

Bonne lecture.

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Sinon, si on dit qu'il y a vih parce qu'il y a ces protéines, puis que le vih les produit, il y a là un argument circulaire dont la logique m'échappe

"puis que le vih les produit " , je ne vois pas trop ce que tu veux dire mais idem qu'avant, si ce pathogène n'existe pas ce test n'a aucune valeur, à la rigueur un des anticorps ciblant une de ses protéines peut croiser avec une protéine cellulaire ou d'un autre pathogène mais pas toutes !!!!!

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Voilà en tout cas un pavé énorme dans la mare du sida viral et une confirmation des hypothèses du groupe de perth et de Heinrich Kremer, qui, vous vous en souvenez, avait prévu que le viagra (qui empêche la destruction du NO) allait faire s'envoler la séropositivité:

Unsafe Sexual Behavior and Correlates of Risk in a Probability Sample of Men Who Have Sex With Men in the Era of Highly Active Antiretroviral Therapy.

Brewer DD, Golden MR, Handsfield HH.

From the Department of Medicine and the Center for AIDS and STD, University of Washington, and Public Health-Seattle & King County, Seattle, Washington. (pas vraiment des ânes)

Sex Transm Dis. 2006 Feb 7;Publish Ahead of Print (tout récent)

OBJECTIVE:: To assess the levels and correlates of potential exposure to and transmission of HIV in a contemporary, community-based probability sample of men who have sex with men (MSM). METHODS:: In 2003, 311 sexually active MSM participated in a random-digit dial telephone survey in Seattle neighborhoods with a high prevalence of MSM. The primary outcomes were potential exposure to and transmission of HIV, defined as unprotected anal intercourse with a man of opposite or unknown HIV status in the preceding 12 months. RESULTS:: Fourteen percent of respondents reported being HIV-positive, 77% reported being HIV-negative, and 8% had not been tested. Of 241 HIV-negative MSM, 25 (10%; 95% confidence interval [CI], 7-15%) were potentially exposed to HIV; among 45 HIV-positive MSM, 14 (31%; 95% CI, 20-46%) were potential HIV-transmitters. Among HIV-negative men, the strongest bivariate correlates of potential exposure to HIV were recent bacterial sexually transmitted disease (odds ratio [OR], 5.icon_cool.gif, number of recent male sexual partners (OR, 1.01 per partner), recent sex at a bathhouse (OR, 9.1), and recent use of sildenafil (OR, 4.4), amyl nitrite (OR, 6.2), and methamphetamine (OR, 8.0). Among HIV-infected men, the strongest correlates of potential HIV transmission were recent use of amyl nitrite (OR, 3.1), number of recent male sex partners (OR, 1.07 per partner), and having a male spouse or domestic partner (OR, 0.3). CONCLUSIONS:: Most MSM knew their HIV status and adopted safer sexual behaviors to reduce their risk of HIV acquisition or transmission. However, 10% of HIV-negative MSM and 31% of HIV-positive MSM recently engaged in behaviors that placed them at high risk for acquiring or transmitting HIV.

on voit que le crystal-meth, les poppers et maintenant le viagra (sildénafil), sont ceux qui correlent le mieux avec la séroconversion. cqfd.

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Une biologiste américaine, spécialiste du traitement mathématique de l'évolution de la maladie sida, vient de déclarer qu'elle en avait assez de l'inanité de l'hypothèse virale du sida, et a tourné sa veste :

Why I Quit HIV

--Resize_Images_Alt_Text--

http://www.lewrockwell.com/orig7/culshaw1.html

Modifié par Cheminot
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dans son article , elle précise que la mortalité chez les séropositifs asymptômatique(comme moi) serait due surtout à une toxicité des antiprotéases au niveau du foie, intéressant et inquiétant.

Est-ce qu'on a une confirmation de celà?

je connais une personne qui s'est retrouvée à l'hôpital pour hépatite dûe aux médoc.

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dans son article , elle précise que la mortalité chez les séropositifs asymptômatique(comme moi) serait due surtout à une toxicité des antiprotéases au niveau du foie, intéressant et inquiétant.

Est-ce qu'on a une confirmation de celà?

Oui, tout à fait. Les drogues dites "antivirales" sont connues pour causer de graves dommages au foie, qui peuvent être mortels.

Et cela arrive encore plus souvent lorsque le séropo souffre en plus d'une hépatite B et/ou C.

Tu trouveras les différentes preuves en cliquant ici.

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Une biologiste américaine, spécialiste du traitement mathématique de l'évolution de la maladie sida, vient de déclarer qu'elle en avait assez de l'inanité de l'hypothèse virale du sida, et a tourné sa veste :

Why I Quit HIV

--Resize_Images_Alt_Text--

http://www.lewrockwell.com/orig7/culshaw1.html

Excellent. Avoir une spécialiste des modélisations mathématiques introduite dans le domaine de la recherche sur le SIDA dans nos rangs pourrait nous donner des informations très intéressantes.

Déjà, il y a le fait que la mortalité actuelle serait majoritairement due à une défaillance du foie à cause des médicaments. Venant de quelqu'un connaissant si bien les données statistiques du SIDA, c'est une information importante.

En plus, elle m'a l'air canon. icon_bravo.gif

Modifié par aixur
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GUERIR DU SIDA GRÂCE A UN CHEWING-GUM?!

Aussi bien l'orthodoxie que la dissidence du sida sont d'accord (et c'est bien l'un de leurs rarissimes points communs d'accord !; donc, on ne peut certainement pas douter de cette affirmation) sur le fait que tous les sidéens et la quasi totalité des séropos ont pour caractéristique de souffrir d'un déficit en glutathion et en sélénium. Ce déficit (en particulier, celui en glutathion), provoqué justement par le stress oxydatif, va tôt ou tard amener au sida déclaré.

Par conséquent, la dissidence du sida (mais également l'orthodoxie du sida personnifiée en la ligne du Professeur Montagnier, mais uniquement à titre de remèdes aux "cofacteurs") recommande - entre autres - que les séropos prennent des compléments alimentaires, tels que justement du sélénium (avec par exemple les vitamines A, C et E qui permettront, entre autres également, de mieux faire circuler le sélénium et d'en accroître l'efficacité [dans toutes les bonnes pharmacie, on peut trouver des compléments déjà tout prêts "sélénium-ACE") pour prévenir les risques d'un sida déclaré (pour rappel, le meilleur moyen d'éviter le sida ..... est bien sûr de supprimer les sources de stress oxydatif !).

Quant au glutathion, le problème est beaucoup plus compliqué car il a été constaté que la prise de glutathion par voie orale n'est pas vraiment efficace car pas très absorbable par cette voie-là. La meilleur façon serait de s'injecter directement dans le sang du glutathion. Mais comme ce n'est pas un procédé bien commode, il est recommandé de prendre à titre de compléments alimentaires de la "N-acétyl cystéine"(le lecteur intéressé peut en commander par exemple sur ce site-ci) conjointement avec de la vitamine C (qui est par ailleurs un très bon antioxydant), la conjonction de ces deux compléments devant favoriser la formation de glutathion chez le séropo.

Quelle n'a pas été ma surprise lorsque ce soir, j'ai lu entre autres ceci (le lecteur intéressé trouvera l'intégralité des explications en cliquant ici) :

Cest donc un supplément particulièrement important et innovant (et une première mondiale !) que Smart City® met à votre disposition ce mois-ci puisque pour la première fois, il devient possible de rétablir à son niveau optimal le constituant central du système de défense antioxydant de lorganisme, dune manière sûre et pour un coût abordable !

Chaque chewing-gum (sans sucre) contient 100 mg de glutathion réduit (GSH) de qualité pharmaceutique.

D'où le titre de mon post : "Guérir du sida grâce à un chewing-gum ?!" (pour être honnête, ce titre est empreint d'emphase, et on devrait plutôt dire que le chewing-gum en question amoindrirait le risque d'un sida déclaré).

Et je pose dès lors la question suivante aux scientifiques de ce forum : Est-il réellement possible d'absorber efficacement du glutathion dans son organisme grâce à un chewing-gum de glutathion ? Est-ce de l'info ou de l'intox ?

Merci pour les réponses.

NB : Je réfute d'ores et déjà et à l'avance les quelques personnes de ce forum qui ne pourront s'empêcher d'affirmer à nouveau que la prise de tels compléments alimentaires est dangereux pour l'organisme humain et doit être proscrit. Avant de réaffirmer à nouveau cela, je les invite d'abord à examiner par exemple le tableau figurant aux pages 11 et 12 de ce document-ci et où le lecteur constatera qu'il faut réellement des doses "astronomiques" de ces compléments alimentaires avant qu'ils causent de graves dommages à l'organisme, tels que des cancers (ce dont je ne doute pas pour le surplus). Je n'ai plus guère envie de lire des considérations comme quoi des absorptions quotidiennes de 500mg de vitamines C provoquent le cancer. A moins bien sûr qu'on me communique les études scientifiques qui démentiraient ce qui est précisé dans le tableau susvanté. Et quand bien même les données figurant dans ce tableau seraient mensongères (ce dont je doute), je crois qu'il vaut encore mieux qu'un séropo prenne de tels compléments alimentaires, à défaut bien sûr de supprimer à tout le moins les sources de stress oxydatif, plutôt que d'adopter la politique de l'autruche et d'évoluer vers un sida déclaré, dont le risque très élevé de survenance est, lui, sans comparaison possible avec les risques éventuels et hypothétiques liés à une prise quotidienne et pas trop élevée de compléments alimentaires.

Modifié par wallypat
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QU'EST-CE QUE LE VIH FINALEMENT ?

ou encore : Le SIDA cause le VIH, et non l'inverse !

ou encore : Sur quoi travaille l'orthodoxie du sida ?

En attendant que je termine mon long post par lequel je réfuterai les deux (bien seuls) arguments essentiels - visiblement restés irréfutés à ce jour - qui ont été invoqués sur ce forum à l'encontre de la dissidence du sida (du moins jusqu'à la page 112 où je suis actuellement arrivé, soit presque au même moment où je suis arrivé sur ce forum) et au cours duquel j'aurai l'occasion de dénoncer l'infamie sans équivalent à ce jour que constituent les tests dits "HIV", j'ai estimé utile d'en extraire un passage, de le développer et de le retravailler de façon à ce qu'il puisse avoir les "honneurs" d'un post à lui tout seul (lol).

Je vais tâcher dans ce post d'expliquer aux nouveaux lecteurs et avec mes propres mots ce qu'est réellement le VIH (il y aura certainement des imprécisions et même quelques petites erreurs, mais je crois que pour un nouveau lecteur, cela l'aidera quand même énormément), en faisant la relation avec des notions et des termes couramment utilisés par l'orthodoxie du sida pour faire croire que le VIH est un rétrovirus exogène causant le sida, tels que mutation du virus, génotype, souche virulente, etc... Ce sont d'ailleurs ces notions-là de l'orthodoxie du sida qui m'ont réellement empêché au départ d'accorder le moindre crédit à tout ce qu'affirmait la dissidence du sida. Je crois donc que le présent exercice ne sera certainement pas inutile !

Ce sera également l'occasion de comprendre ce sur quoi travaille réellement l'orthodoxie du sida depuis plus de 20 ans, et d'aboutir en outre à la conclusion que le VIH ne cause pas le sida, mais bien que le sida cause le VIH !

Je vais tâcher de l'expliquer de deux façons. Premièrement, d'une façon "scientifique", bien qu'avec mes propres termes (n'étant pas scientifique moi-même), deuxièmement et ensuite d'une façon extrêmement simple et imagée en faisant la comparaison avec la banque qui est victime d'un hold-up commis par un voleur et à la suite duquel la police se dépêche très prestement sur les lieux. De façon humoristique (enfin, je crois), cette deuxième façon a été appelée "Dissidence du sida pour les Nuls" (lol).

Après la lecture de ce post, normalement plus aucune personne ne pourra décemment affirmer qu'il ne sait pas ce qu'est réellement le VIH.

Commençons par la version "scientifique".

A) La version "scientifique" du VIH (avec mes propres termes donc)

1) Le stress oxydatif, qui est la réelle cause du sida (pour que le nouveau lecteur puisse comprendre ce qu'est le stress oxydatif, je l'invite d'abord à lire le début de ce post-ci, et les considérations relatives au monoxyde d'azote) provoque dans l'organisme la production de multiples débris cellulaires, voire éventuellement de rétrovirus endogènes (mais cela reste encore à prouver; et quand bien même cela serait prouvé un jour, cela ne prouverait toujours pas que le VIH causerait le sida puisque le VIH en question est justement produit par l'organisme humain lui-même et est donc endogène et inoffensif). Ces multiples débris cellulaires sont appelés VIH, et c'est bien là-dessus que travaille l'orthodoxie du sida.

2) Ces innombrables débris cellulaires ont donc pour point commun d'être le produit et la conséquence spécifique du stress oxydatif. C'est entre autres pour cette raison qu'il n'a à ce jour toujours pas été possible de faire la photographie au microscope électronique du VIH "isolé". L'excuse invoquée par l'orthodoxie du sida consiste à dire que le "virus" est très fragile et se décante très rapidement. Et bien, je crois en cette excuse. Et pour cause ! Comme ce matériel endogène (qualifié donc de VIH par l'orthodoxie du sida) n'est produit et ne vit que par l'effet du stress oxydatif, une fois séparé de ce qui l'a fait naître, soit le stress oxydatif, le "VIH" ne peut susbister par lui-même (à moins de reproduire en laboratoire des techniques de culture produisant les mêmes effets que le stress oxydatif), se décante forcément très rapidement et disparaît (et constitue l'une des raisons pour lesquelles il n'a jamais été possible à ce jour d'isoler le "VIH"). La preuve même que ce matériel endogène n'est pas la cause du sida mais bien le sympôme du stress oxydatif ou sida !

3) La circonstance que ce matériel endogène est le produit spécifique du stress oxydatif explique que certaines protéines (les fameuses 10 protéines du VIH dont l'existence éventuelle est révélée par le test dit de "confirmation" Western Blot) soient grossièrement spécifiques à ce qui est appelé VIH par l'orthodoxie du sida.

4) Le point commun à tous ces débris cellulaires est qu'ils ont été produits par le stress oxydatif. Ce point commun a été analysé par l'orthodoxie du sida et a été traduit par celle-ci comme consistant en le génome du VIH.

Le stress oxydatif ayant des sources et des intensités extrêmement variables en fonction du style de vie des séropos, il relève de la logique absolument stupéfiante que la combinaison de ces deux variables aboutisse respectivement aux notions devenues légendaires de "extrême mutabilité du VIH" et de "souche virulente du VIH".

1°) En réalité, le lecteur l'aura déjà compris à ce stade-ci de la lecture, le VIH n'étant que le miroir et la conséquence du stress oxydatif ou sida, l'orthodoxie du sida travaille en fait depuis plus de 20 ans sur les symptômes ou conséquences de la maladie, soit le matériel endogène que le stress oxydatif produit ou VIH, et non sur sa cause, le stress oxydatif. Le "génie" ou plutôt l'erreur dramatique de l'orthodoxie du sida est d'avoir voulu nous faire croire et de continuer à nous faire croire que le VIH cause le sida. Alors qu'elle a confondu et confond toujours à ce jour l'action, à savoir le stress oxydatif, et la réaction, à savoir le VIH.

On comprend dès lors mieux pour quelle raison l'orthodoxie du sida n'a jamais pu guérir le sida à ce jour. On comprend également pour quelle raison, le modèle viral du sida a pu quand même aboutir à quelques drogues qualifiées d'"antivirales" qui ont pu montrer une certaine efficacité, quoique cette efficacité est en réalité expliquée scientifiquement par le modèle dissident du sida. En étudiant les symptômes du maladie (donc, le VIH), l'orthodoxie du sida peut quand même arriver à inventer des médicaments qui suppriment momentanément les symptômes (les fameuses tri"thérapies"), sans pour autant soigner sa cause ! Mais l'idéal est bien sûr d'étudier directement sa cause, comme le demande désespérément et depuis 20 ans la dissidence du sida.

Etant donné que les sources et l'intensité du stress oxydatif sont quasiment infinies, ceux-ci expliquent, comme l'affirme l'orthodoxie du sida, que les variations du génome du VIH puisse porter jusqu'à 40% de celui-ci ! Ce qui ne serait évidemment pas possible d'affirmer sans honte si le VIH était la cause du sida. Mais n'étant au contraire que son produit, cela reste scientifiquement admissible. De même, étant donné que le VIH n'est que la conséquence du sida ou stress oxydatif, il est logique d'arriver à la conclusion que cette extrême variabilité du VIH est sans incidence sur la fonctionnalité de ces protéines puisque le VIH, n'étant que le produit du stress oxydatif, aucune fonction pathogène n'est assigné aux protéines du VIH.

De même, le lecteur comprendra ainsi pour quelles raisons les "chercheurs" de l'Institut Pasteurs n'ont pas peur de se ridiculiser en annonçant des chiffres défiant toute logique, à savoir qu'un séropo asymptomatique pourrait héberger jusqu'à un million (!) de variantes génétiquement distinctes du VIH tandis qu'un patient à sida déclaré pourrait quant à lui être porteur jusqu'à cent millions (!!!) de variantes génétiquement différentes du VIH. Si ce VIH était un rétrovirus exogène et pathogène, et bien, ce serait l'organisme vivant le plus intelligent de l'évolution. En revanche, en tant que matériel endogène produit par le stress oxydatif du séropo et variant à chaque instant, cette affirmation de prime abord ridicule de l'orthodoxie du sida tombe sous le sens, du moins dans une mesure relative.

2°) a) Lorsque l'orthodoxie du sida déclare avoir identifié des souches virulentes du VIH, le VIH en question n'est que la représentation génomique d'un stress oxydatif démesuré. Ainsi, il y a de cela un peu plus d'un an, une souche extrêmement virulente du VIH avait été détectée aux USA chez un séropo, lequel a fait un sida déclaré extrême. Il ne répondait plus à aucune drogue "antivirale", à l'exception d'une seule. Lorsqu'on a examiné le style de vie du séropo en question, on a pu relever que depuis plusieurs années, il consommait avec force de multitudes drogues récréationnelles et qu'il était un partouzeur hors norme. D'ailleurs, il avait passé le week-end précédant l'apparition de son sida déclaré à consommer toutes les drogues possibles et inimaginables afin de pouvoir réaliser un gang bang de premier ordre ! Compte tenu de son style de vie, il n'était vraiment pas étonnant qu'après un tel week-end, il ait subi un stress oxydatif absolument démesuré qui se soit traduit par un sida déclaré accélé et une souche extrêmement virulente de VIH.

b) Une des preuves que le VIH ne saurait causer le sida est la circonstance qu'il existe légion de séropos supposés porteurs de souches virulentes (à la suite de rapports sexuels dit "non protégés") et qui ne font quand même pas de sida déclaré. Si le VIH était la cause du sida, cela serait pour le moins incompréhensible. En revanche, à partir du moment où le VIH est considéré comme étant un produit du stress oxydatif, en quelque sorte la carte d'identité de celui-ci, il est logique que le nouveau porteur de cette souche supposée virulente ne fasse pas de sida déclaré si ce nouveau porteur ne souffre pas lui-même d'un fort stress oxydatif. En revanche, si le nouveau porteur souffre lui-même d'un fort stress oxydatif, il fera naturellement lui-même un sida déclaré, mis erronément sur le compte de la pseudo souche virulente du sida par l'orthodoxie du sida.

c) L'orthodoxie du sida ne cesse de se plaindre de la circonstance qu'il y aurait de plus en plus de souches virulentes du VIH, et cela est mis sur le compte de la multiplication des rapports sexuels dits "non protégés", lesquels favoriseraient la variation génomique du VIH. Evidemment, l'explication réelle est tout autre. Les drogues dites "antivirales" sont connues pour causer elles-mêmes du stress oxydatif, et donc causer à moyen ou long terme un sida déclaré. Comme évidemment de plus en plus de séropos sont sous drogues dites "antivirales", il n'y a plus aucune raison de s'étonner que les "souches virulentes" du VIH continuent à se multiplier.

5) Lorsque l'orthodoxie du sida parle du phénomène de "résistance", il y a tout simplement lieu d'entendre par là que le séropo en question souffre d'un stress oxydatif (qui peut donc lui-même être causé par les drogues dites "antivirales" !) de plus en plus fort, voire parfois devenu irréversible, à tel point que les drogues dites "antivirales" ne réagissent plus et ne peuvent plus contrecarrer les effets délétères et mortifères du stress oxydatif.

6) Enfin, après avoir lu ce qui précède, le lecteur pourra de lui-même corriger la tristement célèbre équation de la mort de l'orthodoxie du sida, à savoir : VIH = SIDA = MORT, à savoir que le VIH cause le SIDA et ensuite la MORT. La dissidence du sida a déjà précisé que cette équation est manifestement erronée et est plutôt celle-ci : VIH >< SIDA><MORT, à savoir que le VIH ne cause pas le SIDA et encore moins la MORT. Mais maintenant, nous pouvons affiner davantage cette équation, laquelle devient : (SIDA = VIH) >< MORT, à savoir que le SIDA cause le VIH, mais que le SIDA n'est en aucune façon synonyme de MORT.

Arrivé à la fin de la version "scientifique" des explications sur le VIH, le lecteur peut maintenant aisément comprendre comment l'orthodoxie du sida a été et est toujours capable depuis plus de 20 ans de pondre des milliers d'ouvrages et d'articles et d'organiser des dizaines de conférences internationales sur le sida, sans avancer d'un iota dans une guérison véritable de la maladie. En effet, la médecine orthodoxe du sida n'est qu'une médecine de symptomalogie et leurs différents traités et autres écrits ne sont que des études sans fin des symptômes (soit le VIH) du sida. Seule la dissidence du sida ne s'attache qu'à l'étude des causes du sida, et ce malgré l'absence de moyens financiers mis à leur disposition, la totalité de ceux-ci étant mis à la disposition de l'orthodoxie du sida non afin de guérir le sida ..... mais bien d'étudier les symptômes du sida. Des remèdes efficaces contre le sida existent déjà, mais imaginez les avancées spectaculaires que la dissidence scientifique du sida pourrait encore davantage faire si on lui mettait à sa disposition ne fût-ce qu'une infime partie du gigantesque budget alloué à l'étude des symptômes du sida !

En tout cas, le lecteur n'aura maintenant plus aucune raison d'être impressionné par n'importe quel discours de je ne sais quel ponte de l'orthodoxie du sida, ce dernier n'ayant pour seule connaissance, certes extrêmement approndie (c'est le moins qu'on puisse dire !), que des symptômes superficiels du sida, à savoir le matériel endogène produit par le stress oxydatif et appelé "VIH" !

Maintenant, pour ceux qui n'auraient pas encore tout compris, je vais passer à la version imagée de ces explications.

B) La version "Dissidence du sida pour les Nuls" (lol)

Imaginons une banque victime d'un hold-up commis par un voleur. Dans les minutes qui suivent, quelques agents de police se dépêchent prestement sur les lieux du "crime".

Dans notre exemple, la banque est le séropo, le hold-up n'est rien d'autre que le sida déclaré, le voleur est le stress oxydatif et les agents de police le "VIH". Nous constatons qu'à la suite de l'action du voleur (le stress oxydatif), une réaction se produit, à savoir la venue des agents de police (le VIH).

En l'occurrence, tout le "génie" de l'orthodoxie du sida a consisté à nous faire croire jusqu'à ce jour que la police (le VIH) est l'auteur du hold-up (sida déclaré) ! Alors que la dissidence du sida ne cesse de crier à cor et à cri que c'est le voleur (le stress oxydatif) qui est l'auteur du hold-up (sida déclaré) et que la police (le VIH) n'est là que pour constater les faits et enquêter. La police (VIH) n'est que le miroir et la conséquence de l'agression commise par le voleur (stress oxydatif) à l'encontre de la banque (le séropo).

Pour comprendre le modus operandi ayant conduit au hold-up (sida déclaré), l'orthodoxie du sida étudie depuis plus de 20 ans le mode opératoire des agents de police (le VIH), alors qu'elle devrait étudier le mode opératoire du voleur (stress oxydatif). L'étude de la façon de procéder des agents de police (le VIH) a abouti à une littérature absolument déchaînée sur le sujet. En revanche, la dissidence du sida, elle, essaie avec la pauvreté de ces moyens, d'étudier le mode opératoire .... du voleur (stress oxydatif) !

Il arrive parfois que des hold-up (sida déclaré) soit commis sans que des agents de police (VIH) se manifestent, par exemple parce que la banque connaît les voleurs et qu'elle a des raisons de cacher ce hold-up (sida déclaré). Il s'agit de l'exemple des cas de sida déclaré (hold-up) sans VIH (agents de police). Il existe au moins quelques milliers de cas clairement et scientifiquement documentés et intitulés "CD4 idiopathiques avec lymphocytopenie des cellules T" (pour éviter de prononcer le mot "sida", puisque cela va à l'encontre du dogme selon lequel il y a toujours VIH (agents de police) quand il y a sida déclaré (hold-up).

Les agents de police (VIH) ont pour points communs d'être munis de revolvers, d'être à l'affût du moindre indice, d'avoir un chef qui les commande, etc... Ceux-ci sont les protéines grossièrement spécifiques du VIH. Toutefois, parfois ils sont quatre, parfois dix, parfois ils ont des cheveux noirs, d'autres bruns, etc.... Il s'agit de la légendaire mutabilité de ce qui est considéré comme le VIH.

Lorsqu'il s'agit d'un hold-up audacieux et de grande envergure (grave cas de sida déclaré), ce ne sont plus quelques agents de police (le VIH) qui se rendent sur les lieux, mais carrément tout le commissariat de police. Le commissariat en question n'est rien d'autre qu'une souche virulente du VIH. L'action du voleur (stress oxydatif) a été en effet à ce point impressionnante que la réaction s'est traduite par la venue, non de quelques agents de police, mais bien de tous les agents de police du commissariat (la souche virulente).

Leur enquête aboutit à la conclusion qu'un hold up (sida déclaré) d'une aussi grande envergure devrait prochainement être commis dans une autre banque (un autre séropo) et tout le commissariat de police se rend en cette autre banque (transmission de la souche virulente chez un autre séropo). Mais en réalité, il ne se passe rien, ils se sont trompé. Aucun hold-up (sida déclaré) n'est commis. La circonstance que le commissariat de police (souche virulente) se soit déplacé dans cette autre banque (transmise à un autre séropo) n'a évidemment pas eu pour conséquence qu'un autre hold-up (sida déclaré) ait été commis ..... faute de voleur (stress oxydatif) dans cette autre banque (autre séropo porteur de la souche virulente) !

Nous pouvons pousser l'analogie encore plus loin.

Que fait le voleur (stress oxydatif) avant de commettre le hold-up (sida déclaré) ? Il éteint toutes les caméras de surveillance (baisse prononcée des T4). Cependant, le voleur (stress oxydatif) arrive parfois à commettre le hold-up (sida déclaré) juste en éteignant quelques caméras de surveillance (baisse légère des T4). Il s'agit-là des cas de sida déclaré sans baisse prononcée des T4.

L'une des autres idées de "génie" de l'orthodoxie du sida est d'avoir voulu nous faire croire que chaque fois que les caméras de surveillance sont éteintes (baisse prononcée des T4), ce serait la preuve qu'un hold-up (sida déclaré) est sur le point d'être commis. C'est perdre de vue qu'il peut arriver que la totalité ou presque toutes les caméras de surveillance (baisse prononcée des T4) peuvent être éteintes sans pour autant qu'un hold-up (sida déclaré) soit commis et sans que cette extinction des caméras de surveillance (baisse des T4) n'ait été causée par le voleur (stress oxydatif), par exemple en cas de panne d'électricité dans la ville ou en raison d'un erreur d'un employé de la banque (par exemple stress psychologique répété de cet employé de banque..... ou du séropo). Mais nous nous avançons trop loin, et je n'ai justement pas parlé des T4 dans la version "scientifique" car il fera ultérieurement l'objet d'un post plus détaillé.

En conclusion, le lecteur aura pu constater que le trait fondamental de l'orthodoxie du sida est d'avoir fait et de toujours faire preuve à ce jour d'une monstrueuse ignorance et arrogance en matière de monopole de la connaissance du VIH !

Modifié par wallypat
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Le stress oxydatif ayant des sources et des intensités extrêmement variables en fonction du style de vie des séropos, il relève de la logique absolument stupéfiante que la combinaison de ces deux variables aboutisse respectivement aux notions devenues légendaires de "extrême mutabilité du VIH" et de "souche virulente du VIH".

On ajoutera que cette variation du "génome" du VIH se traduit dans les autres notions devenues également légendaires de "génotype" et "phénotype" du VIH, certains de ceux-ci étant représentatifs de "souches dites virulentes" du VIH.

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Invité Thony

Je ne sais pas si ce liens existe dejà. Mais bon onnouscachetout semble obervé...

Le SIDA reste bien tabou en france....

Le site que je vous propose dénonce les Hoax.... A vous de voirLIENS

Courage a tous que l'amour resonne en vous...

Je suis de tous coeur avec vous....

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Je signale aux lecteurs intéressés que j'ai rédigé un long post

- par lequel je crois avoir clairement démontré que les tests dit "HIV" ne détectent JAMAIS une infection virale dénommée "HIV",

- et à l'occasion duquel je réfute les deux (bien seuls) arguments essentiels apparemment très pertinents invoqués à la page 97 de ce topic à l'encontre de la dissidence du sida, par l'orthodoxie du sida, en la personne de Candide, arguments qui semblent avoir été jusqu'ici irréfutés.

Pour lire ledit post, le lecteur est invité à cliquer ici.

Merci

Modifié par EcliptuX
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Je crois qu'arrivé à ce stade du débat, il serait judicieux de cesser de poster ce genre d'analyse très complète à la suite de ce topic.

Même si ça synthèse est mise à jour régulièrement, je pense qu'il vaut mieux, dorénavant, ouvrir des topics spécifiques aux différentes questions que pose le SIDA, quite à faire des liens inter-topics. Si nous parvenons à bien rester dans le sujet de chaque topic, je pense que nous gagnerons en clarté et en lisibilité pour les autres lecteurs.

Ce topic peut bien sûr continuer à recevoir vos interventions, dans la mesures où elles répondent à des messages postés juste avant.

Merci à tous pour votre compréhension

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A la page 114 de ce topic, en date du 1er octobre 2005, Bardamu a reproduit un article quasiment hilarant (scientifiquement parlant, je veux dire) publié dans le Figaro du 30 mai 2005 et intitulé "Le virus du sida actuel est moins actif".

Le passage le plus intéressant qui posait "problème" était le suivant :

l'atténuation de ces virus VIH au cours du temps, se serait faite par adaptation moléculaire et sélection continue. Pour mieux se transmettre d'un individu à l'autre, le virus aura dû payer le prix d'une moins grande virulence.

Bref, encore une explication digne du légendaire mythe de la mutabilité du VIH.

En réalité, il existe une toute autre explication qui tombe sous le sens et que n'importe quel lecteur trouvera de lui-même s'il lit préalablement ce post-ci : Qu'est ce que le VIH finalement ?

Après avoir lu ce dernier post, le lecteur aura compris que la différence de soi-disant "virulence" du VIH entre ceux de 1986-1989 et ceux de 2002-2003 doit s'expliquer en se demandant si les causes de stress oxydatif n'auraient pas évolué de façon à devenir un peu moins "virulentes" ou moins élevées.

Cela demande bien entendu un travail de recherche bien plus compliqué que celui consistant à dire que comme par hasard, le VIH est devenu moins virulent afin de mieux se transmettre entre humains.

Mais déjà, sans même faire de recherches approndies, on peut constater, je crois, que certaines causes de stress oxydatif (et donc de séropositivité et ensuite de sida si rien n'est fait pour y remédier) ont fortement diminué pour devenir moins courantes.

Je pense entre autres au poppers, accusé - à juste titre - de tous les maux en la matière.

Je me rappelle très bien par exemple quand j'ai commencé à fréquenter le milieu gay à 17 ans (c'était donc en 1988), sur les pistes de danse, on voyait des tas de types en train de danser en sniffant quasiment sans arrêt du poppers. Aujourd'hui, en tout cas en Belgique, vous ne voyez quasiment plus la chose (c'est même bien simple, je ne me rappelle plus avoir vu cela depuis 10 ans au moins, en Belgique en tout cas). En d'autres termes, ce que je veux dire, c'est que par rapport à la période 1986-1989, la consommation de poppers a assez fortement baissé. En témoigne le fait que dans de nombreux pays, comme en France, le poppers est tout simplement - officiellement - interdit et on ne peut certainement plus le trouver dans l'"épicerie" du coin (lol). D'ailleurs, en France, il est interdit depuis 1990 et a été remplacé par une substance moins nocive (voyez par exemple les posts suivant : axelwebb, wallypat et cheminot).

A partir du moment où une telle source de stress oxydatif survient moins souvent comme cela semble être justement le cas, il va de soi que ce que l'orthodoxie du sida appelle "les souches virulentes" soient ..... moins souvent virulentes !

Il s'agissait bien entendu d'un élément d'explication, mais en cherchant davantage, on pourrait certainement trouver d'autres explications complémentaires résultant d'une modification à travers les années des sources de stress oxydatif très élevé ..... sans devoir faire appel à la légendaire mutabilité du VIH !

Notons que cet article paru dans Le Figaro semble contredire l'impression générale selon laquelle on ne cesse d'entendre l'orthodoxie du sida affirmer que les souches virulentes ne s'arrêtent pas de se multiplier depuis ces dernières années ..... corrélativement bien sûr à la multiplication des séropos mis sous drogues dites "antivirales" !

Encore une fois, les dires et explications de la nébuleuse orthodoxe du sida pèchent par leur manque de clarté, tout le contraire des explications scientifiques fournies par la dissidence du sida !

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Encore une fois, les dires et explications de la nébuleuse orthodoxe du sida pèchent par leur manque de clarté, tout le contraire des explications scientifiques fournies par la dissidence du sida !

C'est effet toujours sur cet aspect de la réalité que je parviens à faire s'interroger les sceptiques chroniques. Mais, encore, faut - il que les gens lisent, ce qui est loin d'être le cas.

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Invité kanada

Bonsoir,

Je n'ai aucune preuve de ce que j'écris ce soir mais je reste persuadée que ma mère est morte de honte et des traitements qu'elle a subi. Elle avait trop honte pour se substituer au harcellement des médecins ! Elle croyait avoir attrapé le SIDA par des coups de canifs au contrat. Evidemment, sa honte fut d'autant plus grande que tout le monde a su pour les coups de canif. Pas de bol non plus pour elle : ces coups de canifs n'étaient pas atteints ! Ni mon père d'ailleurs !!!

Hiv ou pas je pense depuis longtemps que le SIDA n'est pas une maladie mais comme le disent plusieurs sur le forum : un abaissement des défences immunitaires qui fait mourir d'une maladie opportiuniste. Par contre, il n'y a pas photo : le harcellement psychologique dont sont victimes les malades est accablant. Et pour ceux qui ne veulent pas voir les choses en face, sachez qu'en Afrique les accusations para-religieuses sont les pires du Monde. Là bas, les enfants sidéens sont balancés dans la rue, les adultes jetés au fumier vivants... Ils sont persuadés que les mauvaix esprits sont responsables de toutes les maladies.

Quant à notre chère France, fille aînée de l'Eglise, elle continue d'apprendre à ses gentils petits scouts que le SIDA est un chatiment céleste annoncé dans la Bible.

Pour ma part, je n'avais pas la même source d'info concernant la création du virus vih, mais peu importe, ce qui est formidable c'est de voir comment la pensée unique trouve toujours des façons de se débarasser des gêneurs ! Et, toutes les pratiques thérapeutiques alternatives, sans exception, s'accordent à dire que la culpabilité joue un rôle énorme dans l'installation des maladies, quelle qu'elle soient !!! Et ça je suis d'accord à 125 %.

Kanada

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Merci Kanada pour ton témoignage.

J'ai vu ici http://www.onnouscachetout.com/forum/viewtopic.php?p=189454 que tu as parlé de ton expérience perso. Visiblement, il y a eu une fausse manoeuvre et le post a été coupé.

Peut etre que tu nous refaire un témoignage complet sur ton expérience avec les tests ? il pourrait etre ajouté au sommaire de ce topic avec les autres témoignages (voir le premier post de la première page icon_smile.gif )

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Invité
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