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**[SIDA] : le "VIH" ne cause pas le SIDA ** 2/3


Vitosi
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Du fait que de nombreux habitants de Chine centrale vendaient leur sang en dehors de tout contrôle, l'essentiel des cas était attribué, depuis des années, à une contamination sanguine. Or il apparaît que la majorité des nouvelles infections (80%) serait due à l'injection de drogues par voie intraveineuse et à la prostitution.

En résumé, la Chine étant en train de s'"occidentaliser", les causes principales de sida et d'une partie importante de séropositivité dans ce pays sont identiques qu'en Occident, c'est-à-dire l'usage de drogues (et on peut clairement supposer que les prostituées en question en font usage).

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Wallypat,

Vraiment bravo pour tous ces éclaircissements! Et ne sois pas modeste avec tes fautes de frappe car tu as des qualités rédactionnelles qui allient simplicité, clarté et aussi technicité: tu nous présentes des informations à la fois claires et concises, que tout un chacun peut comprendre, pour l'essentiel.

Je fréquente ce site depuis plusieurs mois, à la suite de recherches liées à ma "séropositivité officielle" au virus hiv et en cherchant des informations sur le sujet, je suis tombé sur la dissidence.

Je ne prends aucun traitement antirétroviral et au vu des effets secondaires, je pense tenter de retarder au maximum toute prise de ces substances.

Je prends simplement quelques compléments vitaminiques, notamment de la vitamine E naturelle, mais surtout des antioxydants ainsi que du salvékol, chaque jour, à doses telles qu'elles sont recommandées pour ces compléments disponibles en France, c'est-à-dire à doses modérées.

Les résultats de mes analyses (mais je ne crois pas être trop stressé par un effet nocébo pour le moment, du moins consciemment) indiquent une baisse constante de ma charge virale hiv et une stabilité de la numération de mes cd4 dans la norme.

J'ai une question qui concerne le salvékol: il s'agit d'un mélange d'oméga3 et de policosanol, en principe destiné à faire baisser le taux de mauvais cholestérol; je me pose la question de savoir si les oméga3 peuvent avoir un impact sur le système immunitaire; je me demande aussi si le policosanol, agissant tel un statine naturel, ne pourrait pas agir sur la transmission des particules de virus hiv en bloquant leur entrée dans les cellules cd4, tel un inhibiteur de fusion?

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Invité crepator4

heu omega 3 favorable... oui ...,si tu n'est pas trop mauvais en anglais tu peut faire un tour sur Pubmed.com..tu y as quelques articles...(bon des fois tu trouve tout et son contraire...)

(lien en doublons qq part)

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.f...l=pubmed_docsum

je crois me rappeler qu'il ya une branche des OM3 qui peut par contre faire baisser ***(edit memoire de M..) ..en gros tu pourrais faire joujou avec ton immunité

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.f...l=pubmed_docsum

Je suis tombé sur cela recemment...

>>>

Ces résultats mettent en lumière des relations complexes entre les paramètres directement liés à l'infection (charge virale et CD4) et les liporpotéines plasmatiques. Les résultats préliminaires montrent que l'augmentation des LDL et la diminution des HDL semble être une constante quand un traitement effeicace est mis en route, qu'il comporte ou non des inhibiteurs des protéases.

Ces résultats expliquent la diversité des résultats publiés dans la littérature, en fonction du nombre de patients "répondants et non répondants", paramètre jusqu'à présent non pris en compte dans les études des lipoprotéines dans cette population. Cette hypothèse est en accord avec les travaux récents qui mettent l'accent sur les rôle des lipoprotéines dans l'immunomodulation.

<<<

issue de http://www.invivo.net/rmn/lipo/lipoaids/lipoaids.htm

>>>...Dautre part, les HDL augmentent les défences antioxydantes de la cellule, en bloquant le stress oxydant intracellulaire induite par les oxLDL ou par H2O2 (via un mécanisme dépendant de SR-BI), et lactivation consécutive de lEGFR....<<<

(perdu l'adresse )

la ya un petit machin...vis a vis de l'oxydation (mais assez éloigné du sujet,pour ceux qui ont de l'imagination..) http://www.biomedicale.univ-paris5.fr/umr8...StressLipo1.htm

Et la noyé dans la masse un passage sur les lipos http://pharm.pharma.univ-montp1.fr/toxico/stressox2.pdf

Modifié par crepator4
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Wallypat,

Vraiment bravo pour tous ces éclaircissements!

Merci Lasimar pour ses compliments !

Mais bon, il ne faut certainement pas prendre pour argent comptant tout ce que j'écris, surtout que je ne suis pas un scientifique, et en particulier quand, enthousiasmé par le sujet, je m'avance par exemple sur des tentatives d'explication sur les incohérences constatées avec les T4 (cf l'un de mes tout derniers posts sur ce topic).

En revanche, je ne crois pas que tu vas trop apprécier ce qui suit. Et pourtant, c'est vraiment pour ton bien que je te dis cela. En tout cas, c'est que je pense en mon for intérieur.

ne pourrait pas agir sur la transmission des particules de virus hiv en bloquant leur entrée dans les cellules cd4, tel un inhibiteur de fusion?

J'avais bien sûr déjà lu quelques-uns de tes posts.

Quand on les lit, j'ai l'impression en fait que tout ce que tu as retenu de la dissidence du sida, c'est qu'il y aurait des traitements "miracles". D'où tes questions récurrentes pour savoir s'il n'y aurait pas des thérapies alternatives, la prise d'antioxydants, etc....

Et quand je prends le passage repris ci-dessus et d'où il ressort très clairement que tu crois encore que le VIH existe (ce qui est encore concevable pour une minorité de dissidents) et - sacrilège (lol) - qu'il est pathogène, je suis d'avis que tu suis plutôt les thèses du professeur Montagnier, coïnventeur du virus HIV, et certainement pas un dissident du sida. Finalement, tu veux jouer sur les deux tableaux. Le stress oxydatif est bien la cause du sida mais ce stress oxydatif n'est possible qu'en raison de l'existence de ce virus (je crois que c'est en gros la thèse de Montagnier; et il me semble d'ailleurs qu'il lui est d'ailleurs "financièrement" impossible d'aller plus loin en tant que coïnventeur du virus). Bref, mes posts ne paraissent finalement pas aussi clairs que çà ! lol

En tout cas, c'est l'impression que tu me donnes. Je la respecte, quoique je n'y crois pas une seule seconde.

Effet nocebo ? Tu es en plein dedans en fait, mais tu ne t'en rends pas compte ou tu refuses de t'en rendre compte. Tu contrôles des T4, ta (pseudo) charge virale, tu t'inquiètes de comment bloquer l'entrée du pseudo virus dans les T4, etc....

Bon, venons-en à ta question essentielle. En gros, quelles seraient les "recettes miracles" de la dissidence pour combattre le sida ?

Et bien, pour moi, c'est extrêmement clair, le remède miracle, à supposer qu'il y en ait un, consiste en premier lieu, non à voir l'évolution des T4 et de la pseudo charge virale, mais bien A ANALYSER TON STYLE DE VIE ET A VOIR CE QUI A BIEN PU CAUSER DANS TON ORGANISME UN STRESS OXYDATIF AUSSI FORT QU'IL A PU RENDRE TON TEST HIV POSITIF ! Stress oxydatif qui, rappelons le, est réversible .... tant qu'il n'est pas devenu irréversible (La Palice n'aurait pas dit mieux ! lol).

A mon humble avis, c'est en priorité là-dessus que tu dois agir, non sur tes T4 et ta pseudo charge virale. Evidemment, si tu crois encore que le HIV est la cause du sida et qu'à supposer même qu'il existât, que celui-ci soit pathogène, tu n'es pas prêt d'y arriver !

En faisant abstraction du sida nutritionnel (Afrique, etc...; c'est un tout autre problème, ou presque), quand je lis la dissidence du sida, cela me semble très clair (et sans doute de ce point de vue-là, je suis peut-être plus proche de la position du professeur Duesberg que du Groupe de Perth [mais je ne mets nullement en doute l'explication du stress oxydatif, ceci étant]) : le sida que je qualifierais "de base" est causé par l'usage et/ou l'abus de drogues récréationnelles (poppers, coke, XTC, GHB, amphétamines, etc...). Et pourquoi pas par l'abus de certains antibiotiques bien particulier, qui produisent à la longue les mêmes effets chimiques que les drogues récréationnelles. Et bien entendu, par les drogues dites "antivirales", mais par définition, on n'espère pas devoir arriver à cette extrémité (cependant parfois nécessaire, il faut l'admettre).

Et je vais profiter du présent post pour faire part de mon opinion personnelle sur la façon d'"apprivoiser" le sida. N'étant justement pas un scientifique mais ayant lu énormément d'articles sur le sujet (+/- 150, et un grand merci à www.sidasante.com), je crois pouvoir justement ne pas devoir (ni pouvoir d'ailleurs) m'attacher aux détails, mais être en revanche en mesure de me distancier un peu du sujet et d'avoir une vue d'ensemble. En résumé, être en mesure de prendre du recul.

Mais pour comprendre mon point de vue, il faut revenir au début de l'épidémie. Et à quatre de ses travers les plus tragiques (les deuxième et troisième constituant d'ailleurs des erreurs patentes, nous le savons maintenant).

Le premier travers : l'"épidémie" a coïncidé avec la possibilité scientifique de mesurer les T4, et ce dès le début des années 80. Les conséquences de cette faisabilité scientifique (quoique constituant une véritable avancée scientifique) me semblent absolument incalculables sur le plan du sida. J'y reviendrai.

Le deuxième travers : la possibilité envisagée dès 1982 que le "sida" soit causé par un rétrovirus, possibilité devenue dogme infaillible dès 1984.

Le troisième travers, conséquence du deuxième travers : on l'a deviné, l'invention des test HIV en 1984, laquelle a véritablement créé l'effet nocebo que l'on connaît bien, alimenté bien sûr par l'"obligation" de mesurer les T4 (et plus tard, à partir des années 90, l'"obligation" de mesurer sa pseudo charge virale).

Le quatrième travers : l'élargissement - jusqu'en 1993 - de la définition des maladies qualifiées de sida, avec le pire élargissement à ce jour (et le terrible effet nocebo que cela a entraîné) : les séropos avec moins de 200 T4 ont le sida, alors que pourtant 70% d'entre eux se portent comme un charme !. Ces différents élargissements de la définition de sida ont contribué à donner l'impression que le sida est une épidémie dévastatrice à travers le monde (sans compter cet autre pire élargissement de la définition de sida qu'est la définition de Bangui de 1985 qui a permis de qualifier artificiellement de sida des maladies courantes et endémiques existant en Afrique et liés tout simplement à la pauvreté et à la manultrition : lèpre, malaria, tuberculose, etc...).

Que se passe-t-il de 1981 (début de l'épidémie) à 1984 (invention du VIH) ?

Ce qui a été remarquable, c'est que les seules personnes qui ont souffert et sont morts du "sida" de 1981 à 1984, étaient des gay et des toxicomanes (gay ou hétéros). A de rares exceptions près (peut-être justement expliqués par l'abus d'antibiotiques, genre Bactrim, produisant le même genre de stress oxydatif que les drogues récréationnelles), il n'y avait qu'eux. Et cela fut ainsi certainement jusqu'en 1984 (invention du test HIV qui a permis de créer le sida hétérosexuel [mais virtuel à ce moment-là pour cause de non-"découverte" de l'AZT; il n'est devenu quelques fois réels qu'en raison essentiellement de l'effet nocebo] pour non toxicomanes par la croyance erronée que la séropositivité est le signe d'une infection par le VIH supposé dogmatiquement être la cause du sida) et même aussi jusqu'en 1987 (quoique un tout petit peu plus d'hétéros non toxicomanes se mettent à mourir du "sida" entre 1984 et 1987, mais il faut clairement mettre cette très légère augmentation sur l'effet nocebo lié à la révélation de la séropositivité). Pourquoi 1987 ? Car c'est cette année-là que l'orthodoxie du sida enjoint aux séropos de prendre ce fabuleux "médicament" qu'est l'AZT et qui a vraiment permis à des hétéros non toxicomanes de mourir du sida tout comme les gay et les toxico (= sida sur ordonnance). Et permis de persister dans l'idée que le sida est décidément une terrible maladie dévastatrice pour le genre humain (alors qu'à l'exception des maladies réellement rares endurées par les gays les premières années, les autres maladies n'ont strictement rien d'exceptionnel).

En réalité, le sida est réellement une maladie virtuelle et s'il existe, c'est uniquement pour les gays. Pourquoi dis-je cela ? Parce que visiblement, l'orthodoxie du sida a "oublié" que les toxicomanes souffraient depuis des décennies de déficiences immunitaires terribles et mortelles. Ce n'était pas nouveau. Mais comme certaines des maladies des toxicomanes étaient aussi communes aux gay consommateurs de drogues récréationnelles, on a abusivement créé l'illusion que les toxicomanes souffraient de sida. Mais c'est faux ! Ils en crevaient déjà depuis des décennies de ces maladies (qualifiées de sida) mais elles n'ont pu être qualifiées de sida que parce que certaines de ces maladies étaient communes aux gay (+ il est vrai que certaines maladies "nouvelles" sont apparues chez ces mêmes toxicomanes, mais celles-ci peuvent clairement être mis en relation avec l'arrivée de nouvelles drogues au début des années 80 (le crack par exemple).

N'en déplaise à certains, il faut le dire haut et fort : le sida, en tant que réelle nouveauté, n'était réservé qu'aux gay (ce n'est pas pour rien qu'on a appelé cela jusqu'en 1984, le cancer gay), et cela aurait d'ailleurs dû le rester. Mais c'était sans compter avec les associations de défense des gay (entre-temps devenus associations de défense du sida) qui faisaient - peut-être plus ou moins incconsciemment - pression pour que ce syndrome soit élargi le plus possible.

Or que se passe-t-il dès 1983 ? L'épidémie de sida, dans les faits, diminue ! Corrélativement à une diminution de la consommation de poppers et autres drogues chez les gay. Et pourquoi dit-on alors que l'épidémie continue à augmenter en 1983 malgré tout ? A cause des premiers, deuxièmes et quatrièmes travers. L'orthodoxie du sida constate que de plus en plus de gay (quoique non encore au stade du sida déclaré, du moins en fonction des premières maladies apparues en 1981) ont des T4 en baisse, ont dans le sang ce qui s'apparenterait à ce pseudo virus, et, partant, élargissent de plus en plus et artificiellement la définition de sida en y incluant des maladies qui existaient déjà bien avant 1981 chez les gay et couramment. Car les sidéens de départ, ce qu'ils avaient de réellement particulier, c'étaient uniquement quelques maladies alors très rares, mais nullement inconnues, mais devenues extrêmement communes chez les gay: le sarcome de Kaposi, la pneumocystose, les très graves infections à candida (et peut-être aussi, faudrait mieux réétudier l'histoire du début de l'épidémie, d'autres maladies bien moins récurrentes ceci étant : le cytomégalovirus qui rend aveugle; la toxoplasmose). Or toutes ces maladies trouvent leur cause dans l'usage des drogues récréationnelles par les gay de l'époque (et aussi de nos jours, ceci étant), en particulier le poppers.

Ce que je veux essayer de démontrer (et tant pis si cela en vexe quelques-uns), c'est que le sida était et aurait dû rester une "maladie" confinée aux seuls gays consommateurs de drogues récréationnelles, et rien d'autres (et je n'y inclus donc pas les toxicomanes [gay ou hétéros] pourtant désignés comme mourrant du sida car cela n'avait en réalité rien de bien exceptionnel chez les toxicomanes; ce qui était exceptionnel, c'était l'émergence de maladies très particulières dans une population bien particulière, à savoir le milieu gay).

L'extension par la suite du syndrome du sida à davantage de gay et ensuite aux hétéros non toxicomanes est ensuite devenue purement artificielle car en raison de la mode de la mesure des T4, la découverte de ce qui serait qualifié de HIV dans d'autres maladies, a permis d'étendre la définition du sida à des maladies qui n'avaient absolument rien d'exceptionnel et tout à fait communes, avec ensuite une extension aux hétéros non toxicomanes "grâce" aux tests HIV et à l'AZT.

En d'autres termes, ce que j'essaie de démontrer, c'est que le sida n'aurait jamais dû devenir hétérosexuel (pour non toxicomanes bien sûr, mais même si toxicomanes, cela n'a toujours rien à voir avec le sida de départ propre aux gay), il ne l'est devenu qu'à cause de l'invention de la séropositivité et ensuite l'AZT.

Bref, le sida était et aurait dû rester un syndrome propre aux seuls gay consommateurs de drogues récréationnelles. Et dans ma vision, ce n'est pas "était" ou "aurait dû rester" mais bien "est toujours" un syndrome réservé aux gay consommateurs de drogues récréationnelles, car dans ma vision, je fais l'effort d'apprivoiser le sida sans les quatre travers qui précèdent.

Quelles sont les implications du raisonnement qui précède (mais j'apporterai un bémol rectificatif à la fin de ce post sur base justement de la théorie du stress oxydatif auquel je crois bien sûr, car les implications qui suivent peuvent paraître choquantes de prime abord) ?

Il est "strictement" (mais un bémol suivra, comme je viens de le dire) inutile de passer un test HIV [troisième travers] (un tel test, tel qu'envisagé à l'heure actuelle ne saurait se justifier que si la séropositivité était réellement sexuellement transmissible, mais nous le savons déjà tous, ce n'est justement pas le cas) et de mesurer ses T4 [premier travers].

Pourquoi "ose"-je dire cela ? Parce qu'aussi bizarre que cela puisse sembler, cela me semble la meilleure façon de responsabiliser les victimes du sida et aussi d'échapper à l'effet nocebo (sans pour autant vouloir entrer dans le contexte de la moralisation).

1) Si vous êtes toxicomanes, à quoi sert-il de faire un test HIV et de mesurer les T4 (je ne parle évidemment même pas de la charge virale, car là et contrairement aux test HIV et aux T4, on frôle vraiment le n'importe quoi) ? Vous savez quand même très bien (et on le sait depuis des décennies) qu'en raison de votre toxicomanie, vous risquez de souffrir de diverses maladies liées à votre immunodépression progressive. Si vous contractez malgré tout de même de telles maladies, vous en connaissez déjà la cause .... et le remède le plus efficace (sans qu'il faille passer formellement par un test HIV ou une mesure des T4) : faites une cure de désintoxication ou ne toucher plus à la drogue, et ne vous ferez pas ou plus les maladies (abusivement qualifiées de sida, car elles n'ont rien d'exceptionnel aux toxicomanes). Bref, inutile de parler d'épidémie de sida.

2) Si vous êtes gay, à quoi sert-il de faire un test HIV et de mesurer les T4 puisque vous savez très bien que pour ne pas attraper les maladies caractéristiques premières du sida (et qui sont effectivement uniquement propres à certains gay, et peuvent effectivement être qualifiées de sida dans ce cas-là car réellement particulières), vous n'avez qu'à ne pas toucher aux drogues récréationnelles. Et si jamais vous contractez malgré tout de telles maladies, vous en connaissez déjà la cause ..... et le remède le plus efficace (sans qu'il faille passer formellement par un test HIV ou une mesure des T4) : cessez de consommer les drogues récréationnelles avant que le stress oxydatif causé par la consommation de ces drogues ne devienne irréversible et vous oblige réellement à recourir aux drogues appelées erronément "antivirales". Passez un test HIV et mesurer les T4 n'est pas la solution.

3) Si vous êtes en dehors des deux catégories précitées, et bien, il n'y a en principe rien à craindre et il y a en principe pas lieu de passer un test HIV (tel qu'interprété à ce jour) ou de mesurer les T4, parce que par définition, vous ne ferez pas les maladies si caractéristiques du sida (à moins éventuellement d'abuser de certains antibiotiques particuliers de nature à causer ce fameux stress oxydatif bien particulier). Vous en ferez peut-être qui sont également qualifiées de sida, mais celles-là n'ont rien à voir avec les maladies typiques du sida "de départ" car elles existaient déjà depuis des temps immémoriaux et doivent être traitées comme elles ont toujours (et en tenant bien entendu compte des avancées scientifiques intervenues dans le traitement de ces maladies) été traitées avant l'invention de l'"épidémie" du sida.

Ce que je veux essayer de démontrer, c'est que formellement, passer un test HIV et mesurer les T4 est "formellement" inutile. Soit vous faites les maladies réellement rares du sida du départ (sarcome de Kaposi, PCP, formes graves de candida) et vous en connaissez déjà la cause (en dehors de toute hystérie de sida) ..... et le traitement. Soit dans votre vie, vous faites n'importe quelle autre maladie, qu'elle soit non typique du sida de départ, ou non reprise dans la liste des 29 ou 30 maladies qualifiées de sida, et au motif que ces maladies sont communes et ont leur explication en dehors de toute psychose collective de sida, elles doivent être traitées en tant que tel comme elles ont toujours été traitées avant l'invention de l'épidémie du sida.

En d'autres termes, le sida "n'existe pas", hormis les maladies très typiques (ou "exotiques") du sida de départ. On en connaît les causes en dehors de toute psychose collective de sida, et peuvent être traitées sans qu'il faille l'aggraver par l'effet nocebo résultant des test HIV et de la mesure des T4.

Maintenant, pour les catégories 1) et 2) précitées, si malgré tout, elles persistent dans leurs "vices" (je ne veux pas être méchant, mais réaliste), elles en connaissent réellement la cause et le traitement (que la prise d'antioxydants naturels peut assurément aider). Mais si les vices en question sont plus fort que tout (ce qui est humain), et bien, il y a les drogues antivirales (mais espérons bien sûr que la science fasse bien sûr de plus grands progrès prochainement).

J'espère avoir passé l'idée que formellement, ce qui est erronément qualifié de sida peut être traité sans devoir passer par l'effet aggravant qu'est l'effet nocebo des test HIV et de la mesure des T4. Ceux qui ont des "pratiques à risque" (j'entends donc la toxicomanie et la consommation de drogues récréationnelles) n'ont pas besoin de ces tests et mesures pour savoir qu'ils ont un style de vie qui les prédispose au sida (que je définis donc comme étant les premières maladies très caractéristiques du sida "de départ", tous les autres maladies et leur extension à une population autre que toxicomane et gay consommateurs de drogues récréationnelles n'étant que le fantasme et le désir de l'orthodoxie de sida de donner naissance à une nouvelle épidémie ..... de nature à assurer leur survie professionnelle [car sans le pseudo HIV et en raison de la défaite éclatante de leurs recherches antérieures durant les années 70 de rétrovirus causes de cancers, la rétrovirologie serait assurément devenue depuis le début des années 80 une science bien mineure, ce qu'elle n'est justement pas aujourd'hui grâce à l'"épidémie" du sida qu'ils ont réussi à créer et propager - certes, involontairement - au-delà de toutes leurs espérances professionnelles à tout le moins]). Quant aux autres, soit ceux sans "pratiques à risques", recourir aux tests HIV et à la mesure des T4 est parfaitement inutile, du moins dans "l'optique sida".

Pourquoi dis-je "optique sida" ?

Pour justement en arriver au fameux bémol annoncé auparavant.

Le stress oxydatif est une réalité incontestable et explique bien sûr le sida. Mais si j'ai bien compris, le stress oxydatif est de nature à expliquer la survenance de tas de maladies en dehors de l'optique sida, et ce en raison des mécanismes chimiques mis en oeuvre par ce phénomène qu'est le stress oxydatif. Si j'ai bien compris, le stress oxydatif est un phénomène tout à fait naturel, que l'organisme humain combat naturellement. En cas de dérèglement des mécanismes de défense de l'organisme humain contre le stress oxydatif, cela est de nature à causer des maladies assez sévères et mêmes extrêmement sévères puisqu'il peut aboutir au sida déclaré. Dans cette optique seulement (et pas celle de la psychose collective du sida), les test HIV ont une utilité inconstestables mais ils doivent être complètement remaniés. J'entends par là que ces test dits HIV devraient déjà être appelés tests de stress oxydatif et être retravaillés de façon à mesurer le degré de stress oxydatif subi par l'organisme humain. Ce retravail doit se faire sur des mécanismes et une appréciation beaucoup plus large que le fameux seuil au delà duquel vous êtes qualifié de séropositif. En d'autres termes, les test de stress oxydatif (anciennement appelés et à tort test HIV) doivent être réétudiés pour devenir des instruments de mesure de la bonne ou mauvaise santé de l'organisme humain (en dehors de toute référence à la notion de séropositivité et encore moins à la notion de sida), exactement comme les tests de mesure du cholestérol (mais bien sûr sur un autre plan). Il n'y aurait plus aucun effet nocebo dans cette mesure.

Dans cette optique bien plus large que l'optique sida, les test erronément appelés test de "charge virale" pourraient même mériter une seconde chance, et être retravaillés de façon à mesurer également une autre forme de dégradation du système immunitaire, exactement comme un test de cholestérol, et toujours forcément sans effet nocebo.

Et quant à la mesure des T4 ? C'est assurément un instrument très utile à la gestion du système immunitaire. Mais assurément, il y a encore vraiment beaucoup à faire pour connaître la valeur prédictive de la baisse des T4 sur la survenance d'un sida déclaré. Certes, les sidéens ont des T4 très bas ou même absents, mais nous savons que de nombreux séropos vivent très bien avec peu de T4, et c'est justement ceux qui ont repris une vie "saine et équilibrée" en renonçant aux drogues récréatives. Raison pour laquelle, et du moins et uniquement dans l'"optique sida", ces tests de mesure devraient être évités (à l'heure actuelle du moins) car nous l'avons vu, ce qu'il faut faire, la solution est de renoncer aux drogues récréatives, pas mesurer ces T4.

J'espère que j'ai réussi à me faire comprendre sur l'essentiel et pourquoi j'estime que pour combattre le sida, les tests HIV et de mesure des T4 sont en réalité superfétatoires. Le problème du sida peut être réglé en dehors de ces tests. En revanche, ils redeviennent utiles et même nécessaires dans une "optique plus large d'aide à la gestion du système de défense immunitaire", mais dans cette optique-là, ces deux tests (et même celui de la charge virale) doivent être complètement retravaillés pour éviter toute comparaison ou analogie avec le sida et toute l'hystérie qui y est liée actuellement.

J'ai parfois été dur, mais si on relit ce post, finalement, même sans relire entre les lignes, c'est une vision très optimiste (et je crois, tout à fait réaliste et réalisable car en aucune façon suicidaire ou irresponsable, me semble-t-il) d'approcher le syndrome du sida que je propose, enfin, je crois du moins ! Et en dehors de l'effet nocebo, particulièrement nuisible.

Wallypat

PS : Lasimar, tu l'auras compris. Il n'a absolument et réellement aucune méchanceté envers toi dans ce post !

Modifié par wallypat
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Invité tryonisos

Bonjour,

Pour résumer selon vous, j'ai cru comprendre qu'il y avait deux voies dans l'apparition orthodoxiste de cette maladie.

_Des facteurs toxiques provoquent un stress oxydatif important qui provoque une baisse de l'immunité ce qui correspond au SIDA

_Des facteurs psychologiques qui font baisser l'immunité.

Dites moi si je me trompe (et pourquoi) car je m'intéresse à votre théorie depuis peu mais j'avoue ne pas comprendre certains raisonnements :

1) Il me semble que la chaine respiratoire est présente dans toutes les cellules d'un organisme. Alors pourquoi un stress oxydatif endommagerait seulement des cellules immunitaires ?

2) Vous semblez faire une nuance entre les toxicomanes et les gays qui se droguent. Pourquoi ? Les gays ont-ils le monopole de ce que vous appelez les drogues récréationnelles ? Et d'ailleurs qu'appelez vous drogues récréationnelles ?

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2) Vous semblez faire une nuance entre les toxicomanes et les gays qui se droguent. Pourquoi ? Les gays ont-ils le monopole de ce que vous appelez les drogues récréationnelles ? Et d'ailleurs qu'appelez vous drogues récréationnelles ?

En tant que tel, il n'y a pas de différence entre les toxicomanes et les gay consommateurs de drogues récréationnelles souffrant du sida ("récréationnelles" : je définirais cela comme représentant une personne consommant des drogues non parce qu'elle en a impérativement besoin tous les jours comme un toxicomane qui cherche sa dose de drogue chaque jour, mais bien dans le cadre de circonstances bien précises : relations sexuelles, faire la "fête", etc....) car tous deux souffrent d'immunodéficience.

Ce que je voulais dire, c'est que c'est à tort (selon moi) que l'on a englobé les toxicomanes dans les cas de sida. L'orthodoxie du sida a fait mine de s'en étonner alors que l'on savait depuis plusieurs décennies (si pas même avant) que les toxicomanes avaient de graves déficiences immunitaires. Donc, parler de sida pour les toxicomanes était complètement abusif et constitue déjà un premier pas vers la psychose et l'hystérie collectives du sida que nous connaissons maintenant.

En revanche, ce qui était vraiment incroyable, c'est que de jeunes gay (20-35 ans), dans la force de l'âge, se mettaient à développer également de graves maladies dues à un affaiblissement immunitaire, tout comme les toxicomanes. Là, réside la nouveauté. Et ces premières maladies, alors rares à l'époque, devenaient courantes chez eux : sarcome de kaposi, pneumocystose, graves infections à candida alibicans, toxoplasmose, cryptococcose (forme de méningite causé par un champignon), rétinite à cytomégalovirus, etc.... Bref, des maladies "exotiques" alors très rares.

Le sida, en tant que réelle nouveauté (c'est-à-dire affectant uniquement des gay plutôt jeunes; bon, il y a aussi les hémophiles et les polytransfusés, mais c'est vraiment deux tout petits groupes à risque comparés aux deux autres, et tout comme la toxicomanie, elles trouvent leurs explications [cf le début de l'article que j'ai reproduit ci-dessus] en dehors de toute psychose de sida), c'était ça uniquement et cela aurait dû le rester, et aurait dû rester confiné chez les gays consommateurs de drogues récréationnelles (en particulier le fameux poppers, dont les propriétés chimiques expliquent ces différentes maladies "exotiques" du sida; c'est bien simple, presque tous les gays sidéens étaient consommateurs de diverses drogues, et 96% d'entre eux consommaient régulièrement du poppers [maintenant, le poppers et les autres drogues récréationnelles, c'est un peu comme la cigarette : tous ceux qui en consomment ne vont pas nécessairement faire un sida; cela dépend de chaque personne, mais aussi de son mode de vie, de son alimentation, etc...]).

Pourquoi dis-je cela ? Parce que si l'épidémie dite de "sida" (tel que défini de façon restrictive ci-dessus) est apparue en 1981, elle était en réalité déjà contrôlée dès 1983 ! Dès 1983, les cas de sida définis restrictivement diminuaient, corrélativement à une diminution de l'usage de poppers et autres drogues chez les gay. En d'autres termes, l'épidémie du sida était déjà jugulée dès 1983, à une époque où il n'y avait pas de test HIV et pas de test de charge virale. Cela signifie que l'on peut très bien approcher le sida sans se référer à ces deux tests, même à l'heure actuelle.

Mais le grand malheur, c'est que cette baisse de cas de sida a été tranformé artificiellement en augmentation parce que l'orthodoxie du sida n'a cessé d'augmenter la définition du sida en y incluant des maladies qui n'avaient plus rien d'exceptionnelles mais étaient au contraire banales : par exemple démence, diarrhées, herpès, tuberculose, pertes de poids, fièvres chroniques, qui affectaient également les gay non encore atteints par les maladies exotiques (car encore aux premiers stades préalables) et qui pourraient également être traitées sans référence psychotique au sida (en commençant d'ailleurs par arrêter la consommation de drogues récréationnelles).

Ensuite, les tests dit "HIV" en 1984 et ensuite la définition de Bangui du sida en 1985 ont permis d'étendre artificiellement cette pseudo épidémie respectivement à l'ensemble de la population hétérosexuelle non toxicomane, et à des maladies purement endémiques comme en Afrique (ex : la malaria; tant que vous êtes aux premiers stades de cette maladie, vous êtes atteint de malaria, mais quand vous arrivez à un stade plus avancée avec perte de poids de plus de 10%, une toux persistante pendant 1 mois, on ne dira plus que vous êtes atteint de malaria mais bien de sida [c'est bien plus impressionnant en effet !). Mais en pratique, vous êtes simplement à un stade avancé de la malaria !). Et l'effet nocebo aidant, on a ainsi perdu de vue que le sida, en réalité, n'était exceptionnel que parce qu'il touchait de jeunes gay, consommateurs de drogues récréationnelles, et atteints par des maladies alors très exotiques, épidémie qui fut en réalité jugulée dès 1983 par la diminution de la consommation de drogues récréationnelles par les gay.

J'ai voulu essayer de démontrer que l'épidémie dite de sida est purement artificielle et a rapidement fini par englober des maladies qui n'ont rien de si exceptionnel, déjà existantes avant l'épidémie de sida et qui était déjà traitées en tant que tel. Certes, le phénomène de stress oxydatif, découvert en 1987 comme expliqué dans l'article reproduit ci-dessus, permet d'expliquer non seulement la survenance ces maladies "exotiques" de départ mais également l'ensemble des maladies non exotiques reprises dans la définition de sida élargi, de même que d'autres maladies non reprises dans cette définition. Mais en tant que tel, les tests de stress oxydatif, tant qu'ils sont interprétés comme des tests HIV, sont inutiles pour guérir du "véritable" sida de départ car dès 1983, l'épidémie diminuait en réalité. Les autres maladies existaient déjà avant l'épidémie et étaient déjà traités auparavant, sans qu'il faille faire référence à une pseudo épidémie ou ces tests dits "HIV".

Et en conclusion, j'ai essayé de démontrer que si le stress oxydatif explique presque tout, il ne faudrait pas qu'après la psychose du pseudo virus tueur, on tombe sous la psychose du stress oxydatif. Ce stress oxydatif devrait à mon sens être considéré comme une mesure de l'état immunitaire, tout comme les tests cardiovasculaires servent à prédire de futures éventuelles maladies cardiovasculaires. Et à cette fin, les tests HIV et les tests dits de charge virale (qui ne mesure certainement pas la présence de virus, mais indique en revanche certainement une dégradation du système immunitaire) pourraient être utilisés mais après avoir été remaniés, d'une part pour éviter toute référence nocebo à la séropositivité et au sida, d'autre part, pour s'en servir comme on se sert actuellement des tests de cholestérol pour prédire (et prévenir bien sûr) diverses maladies cardiovasculaires. Ces tests pourraient dès lors servir pour prédire et prévenir diverses maladies dues à un affaiblissement du système immunitaire, en dehors de toute psychose du sida et à l'effet nocebo qui y est lié.

Mais il est vrai que là, je me place déjà dans la future époque où la théorie du virus tueur HIV sera considérée comme la pire catastrophe médicale de tous les temps et l'orthododie du sida comme la risée des scientifiques.

Certes, on n'y est pas encore (mais on y arrive lentement mais sûrement). Mais en attendant, j'espère avoir démontré que pour "guérir" du sida, on peut le faire sans recours psychotique et hystérique aux tests HIV (d'autant plus que la séropositivité n'est pas sexuellement transmissible, évidemment) et aux mesures des T4. Car ne l'oublions pas, dès 1983 (soit à une époque où ces tests n'étaient pas pratiqués), l'épidémie régressait déjà et auraît dû rester un épiphénomène limité aux gay consommateurs de drogues récréationnelles. Sauf, que le dogme du virus tueur virus s'est entre-temps imposé à tort, contribuant définitivement à la naissance de la psychose dans laquelle nous vivons actuellement. Et puis, n'oublions pas aussi que même avant 1983, des sidéens étaient remis entièrement sur pied avec les moyens de l'époque mais rechutaient à nouveau et plus gravement car ils se remettaient à consommer des drogues récréationnelles.

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(d'autant plus que la séropositivité n'est pas sexuellement transmissible, évidemment)

Je crois qu'il vaut la peine d'y apporter une précision, laquelle résulte de mon expérience tendant à faire connaître la dissidence à qui veut l'entendre.

En effet, on peut expliquer comme on veut aux curieux qu'il résulte de l'étude Padian que la séropositivité n'est pas sexuellement transmissible ou que de nombreuses études ont démontré que les prostituées qui font uniquement un sida sont celles qui se droguent, rien n'y fait ..... tant que l'on ne leur a pas apporté la réfutation à la "preuve" suivante que la séropositivité est sexuellement transmissible.

Il est vrai que la presse en fait grand cas.

Alors, pour les curieux qui nous lisent, on va tout de suite réfuter cette preuve.

Et quelle est cette preuve ?

Il y a de nombreux exemples où un gay séronégatif devient séropositif après un rapport sexuel "à risque", c'est-à-dire sans préservatif, avec un gay qui, lui, avait été diagnostiqué séropositif avant ce rapport "à risque". Une étude du génotype et autre phénotype du "virus HIV" prouve que la victime a le même type de virus que le "contaminateur". C'est donc la "preuve" que c'est bien le gay séropo qui a "contaminé" la victime gay alors séronégative, et donc la preuve que la séropositivité est sexuellement transmissible. CQFD

Vu comme ça, cela a l'air très convaincant. Mais quand on gratte un peu cette apparence de preuve, il n'en est strictement rien !

Il faut d'abord savoir que lors d'un rapport sexuel, il y a un échange de millions de protéines entre les deux partenaires. Cela est particulièrement le cas lors d'un rapport sexuel sans préservatif, et encore plus lors d'un rapport sexuel sans préservatif avec un séropositif, puisque par définition, celui-ci "souffre" de stress oxydatif et a donc augmenté à un niveau suffisamment élevé le nombre de protéines dites spécifiques du HIV pour atteindre le seuil au delà duquel il est déclaré séropositif.

Il s'ensuit très clairement que lors d'un rapport sexuel sans préservatif, vous avez naturellement toutes les chances du monde de recevoir dans votre organisme des protéines du partenaire, et, partant, d'être porteur de protéines ayant forcément le génotype ou phénotype du "contaminateur". Cela sera en outre plus le cas si cette recherche de génotype ou phénotype a lieu quelques semaines ou quelques mois après le rapport dit "à risque".

Mais qu'est ce que cela démontre-t-il en fait ? Uniquement que vous avez eu un rapport sexuel (vraisemblablement sans préservatif) avec le "contaminateur".

Mais vous n'êtes pas pour autant séropositif ! Car pour devenir séropositif, la victime doit lui-même souffrir de stress oxydatif, c'est-à-dire que son organisme doit de lui-même augmenter à un nombre incroyablement élevé le nombre de protéines dites spécifiques au HIV (et parmi lesquelles on aura évidemment toutes les chances de retrouver - mais entre autres - des protéines du pseudo contaminateur) pour rendre son propre test HIV positif ! Mais ce test est rendu positif uniquement en raison du stress oxydatif dont souffre personnellement la pseudo victime du pseudo contaminateur, la circonstance que la pseudo victime de la pseudo contamination est - entre autres - porteuse de protéines ayant le même génotype ou phénotype que le pseudo contaminateur n'ayant forcément aucun rapport avec la survenance de la séropositivité !

Il est clair qu'après un rapport dit "à risque", car sans préservatif, avec un séropositif, le partenaire resté séronégatif après ce rapport dit à risque est lui-même porteur de protéines de même génotype que de ceux provenant du séropositif. Mais il reste séronégatif indépendamment de ce rapport qualifié à tort de risqué car il ne souffre pas lui-même de stress oxydatif. Il n'y a strictement aucun rapport (entre le stress oxydatif qui cause la séropositivité et la transmission de protéines d'un certain génotype) !

La croyance erronée de la pseudo transmission sexuelle provient du fait qu'en cas de séropositivité et dans l'optique de la théorie virale du sida, on fait une recherche de génotype. Et forcément, si le rapport dit à risque a eu lieu plusieurs semaines ou mois auparavant, on a de grandes chances de trouver encore des protéines ayant les mêmes caractéristiques génotypiques que ceux du pseudo contaminateur. Mais nous la savons, ce n'est pas cette transmission de protéines qui cause la séropositivité (à moins éventuellement qu'il s'agisse de transmission sanguine, mais là, ce n'est donc plus une transmission sexuelle), mais bien le stress oxydatif personnellement enduré par le pseudo contaminé ! CQFD

Donc, messieurs les orthodoxes du sida, arrêtez de venir avec cet argument de la transmission sexuelle de la séropositivité. Je viens clairement de le réfuter.

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Dans le bon sens ?

Pour la première fois en France, la Cour de cassation vient, cette semaine, de donner satisfaction à une requérante face aux laboratoires SERVIER dans une affaire où les effets secondaires dévastateurs d'un médoc lui ont flingué la vie.

Il s'agit d'une grande jurisprudence en rupture avec les précédentes.

Le lobby des labos vient de perdre une bataille malgré les moyens disproportionnés qui etayent leurs actions.

Ce genre de procédure est courant ailleurs, notamment aux Etats Unis.

Il reste d'autres batailles à gagner : notamment celle qui permettrait d'introduire en droit français, la possibilité pour un groupe d'individus ayant intérêt pour agir d'ester de manière collective ... comme souvent ailleurs.

Nul doute que les labos ne vont pas l'entendre de cette oreille ... et mettront tout leur poids et tout leur fric pour contrer ce genre d'initiative ...

Salut Viduite. J'aimerai bien avoir quelque précisions sur cette affaire. Quel est ce medoc?

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En effet, c'est ce médicament là ... être handicapé à vie pour avoir pris un coupe-faim ... c'est con ... d'autant qu'il ne s'agirait pas d'un cas isolé ...

Ce qui démontre, à l'évidence, que les médias n'accordent que peu de résonnance à ce genre d'événements ... alors qu'ils sont si prompts à s'épancher sur d'autres ...

L'information est triée puis diffusée : c'est pour la raison, sans doute, pour laquelle elle n'est que rarement vérifiée ... faute de temps ...

Quand on additionne les erreurs médicales poursuivies (faibles en nombre), les erreurs médicales passées aux oubliettes (sans doute infiniment plus importantes en nombre), les maladies nosocomiales et les effets dévastateurs de certains médocs, il y a lieu d'être perplexe sur le rapport qualité/prix de ce magnifique système de santé qui est le nôtre ...

... La consultation portée à 21 euros (en lieu des 23 exigées) me paraît suffisante ... jusqu'à une meilleure lisibilité du dispositif ...

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Salut et merci de m'avoir répondu. En ce qui me concerne je n'ai pas vu de "charlatans" (je peux même plus dire médecin), depuis 11 mois et je ne suis pas prête de leur faire gagner 20 euros. Curieusement en mars dernier la juge pour enfant m'a enlevé la totalité de l'autorité parentale concernant mon fils de 10 ans que je ne peux voir qu'1h30 par mois dans un point rencontre, avec des "travailleurs sociaux" qui surveillent mes moindres faits et gestes. Pourtant j'ai un travail (agent d'entretien), un appartement de 75m2 et une vie tout à fait normale. Je suis tellement dégoutée que je n'ai même plus envie d'aller aux visites... A quand une association pour défendre les victimes comme moi de la médecine corromp ue?

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4-bisou.gif Merci Viduite de m'encourager, moi je veux bien la faire cette asso puisque je ne suis pas crédible pour élever mon enfant, mais pour payer des PV,950 euros en un an, mes sous n'ont pas le sida! Deux fois Delarue m'a contactée pour son emission mais ils ont pris une beurette, une prostituée et une femme battue. Exit la sidatique! Des fois que j'ouvrirai ma grande gueule... Surtout avec le fameux procès d'Outreau: preuve que la "justice" est bien corrompue. Que dire du reste... Je ferai bien la grève de la faim, ou aller squatter devant chez Chirac, comme la mère du soldat mort en Irak?
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Ce Delarue est incorrigible d'autant qu'il aurait pu, en économie de moyens, inviter une beurette qui se prostitue (il y en a beaucoup) et qui se fait cogner par son julot en rentrant après une maigre journée de labeur et de sueur !

Il y aurait eu donc deux places disponibles dont une pour toi ...

Au fait, comment fais-tu pour prendre 950 euros de contravention ? ... sur la route ? ... tu vas top vite ? ... tu brûles les stops ?

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Dans le Marianne de cette semaine, N° 460, p 51 :

Sida, le Test de la discorde. ( résumé )

... Progrès ou scandale ? Telle est la question que pose Elisa anti - RV7.

[......]

Il s'agit de savoir si le patient atteint par le VIH est " progresseur" ou non", vulgarise le Pr Jean-Claude Chermann Laboratoire privé Urrma R&D.

[....]

Elisa anti-R7V n'est donc pas un test de dépistage, mais un test de pronostic. En cela, " il s'agit d'une première mondiale, avance le scientifique".

Objectif : alléger le traitement des malades qui développent cette défense naturelle ( Elisa anti - 7RV permet d'en repérer la présence ).

D'après d'autres spécialistes il sont entre 1% et 2%, d'après le Pr Chermann 25 % des porteurs du VIH développeraient cette protéine.

--------------------

J'arrête : vous lirez bientôt l'article en entier. Enfin en quelques mots, nous qui nous nous escrimons à démontrer - avec talent - que le VIH n'a pas été isolé... Je trouve l'affaire assez cocasse et significative des enjeux purement mercantiles.

Là plus fort que fort... Tu meurs !

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ça c'est pour Cheminot :

Recherche Google : cheminot sida :

LISTE DES EXPERTS DES GROUPES

Alain SOBEL, Division Sida - Direction Générale de la Santé. Mission Sida -

Direction des ... Nathalie CHEMINOT. Jean-Michel DARIOSECQ. Roland LANDMAN ...

www.sante.gouv.fr/htm/actu/36_vih1.htm - 23k - En cache - Pages similaires

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Je connais, je connais... Sidarta, d'autant que cette dame a beaucoup étudié et étudie toujours la lamivudine.

Mais franchement, je revendique mon pseudo, qui, vous l'aurez compris, est lié à mon attrait pour les voies ferrées et autres voyages en chemin de fer.

Modifié par Cheminot
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Salut Viduité. Non je vais pas trop vite et je brule pas les stops j'ai juste doublé un gendarme à65KM h et je crois que j'ai tout simplement pas de pot, (je l'avais pas vu...) Pour en revenir au fameux problème dela corruption généralisée, comment se battre contre ça? J'ai peur pour mes fils surtout celui de 13ans qui vit à San Francisco dans une famille d'accueil. Les charlatans de labas( et ce sont pas les moindres) me l'ont volés car je refusais de m'empoisonner avec les antiviraux. J'ai habité 6 ans aux States et déja en 90 une consultation gynéco coutait 1300 francs, alors maintenant... J'espère juste qu'il va bien et qu'ils ne l'ont pas gavé de leurs merdes vachement chères... En tous cas il n'est pas mort puisque le consulat français de Californie vient de l'inscrire sur mon livret de famille. Concernant Delarue tu m'as fais bien rigolé, moi j'ai perdu le sens de l'humour...

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Je continue mes recherches et voilà que je tombe sur un article publié dans "Nature", où ils indiquent, je cite :

Azides are therefore susceptible to reduction by free thiols, including the ubiquitous cellular reductant, glutathione. However, reactions between monothiols and alkyl azides typically require vigorous heating (100 °C for several hours) or auxiliary catalysts

ceci en contradiction complète avec les expériences de Reardon et d'Oppenheimer opérées avec l'AZT sur les thiols. Qui ment, et dans quel but? Cet article date de 2005, et l'on peut penser que la révélation du caractère oxydant de l'AZT est absolument à contrecarrer. Nos amis font ainsi feu de tout bois, allant jusqu'à dénaturer la réalité.

Autre bizarrerie : pour des chercheurs canadiens, la réduction de l'AZT dans le foie est due à une enzyme : l'AZT réductase (c'est vraiment hilarant), et jamais ils n'évoquent dans leur article la consommation de glutathion, qui est pourtant vérifiée et vérifiable. On évite absolument de dire la vérité en l'emberlificotant par l'invention d'une enzyme : c'est fantastique comme les mitochondries hépatiques sont capables de créer de nouvelles enzymes. LOL!

L'interprétation, comme toujours, pèche. Et pourtant, leurs expérimentations sont en accord avec l'hypothèse du stress oxydatif:

les cofacteurs qui "aident" "l'azidoreductase" sont bien des réducteurs chimiques :

http://aac.asm.org/cgi/content-nw/full/42/7/1654/T1

et ceux qui "l'inhibent" sont bien des consommateurs de glutathion :

http://aac.asm.org/cgi/content-nw/full/42/7/1654/T2

en particulier l'acetaminophen, appelé paracétamol ici en france, bien connu pour consommer le glutathion et donc empêcher la réduction (bénéfique d'une certaine façon) de l'AZT.

Ils donnent aussi une des raisons pour laquelle même l'association AZT-3TC n'est pas bonne : il y a toujours formation d'aminothymidine, et on devrait essayer de vérifier si cet aminothymidine n'est pas responsable en partie des problèmes hépatiques apparaissant chez les personnes utilisant la trithérapie.

Modifié par Cheminot
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