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**[SIDA] : le "VIH" ne cause pas le SIDA ** 2/3


Vitosi
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Tel Michael Jackson, je sens que je vais dormir dans un caisson à oxygène ...

... mais au fait, n'est-ce pas l'oxygène qui cause l'oxydation ?

Dis-je ainsi une connerie : plus un sang est oxygéné et plus il s'oxyde ... non ? Ce serait logique ... non ?

J'attends le coup de règle de Cheminot !

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Bonjour ,

Suite à cette série de posts , au demeurant fort interessants , il m'est venu l'idée d'aller consulter la liste des symptômes associciés aux maladies dites opportunistes.

Conclusion:

Je pense avoir eu le privilége de cumuler , tout , ou partie des symptômes associés à chacunes des maladies faisant partie de la liste .

N'ayant , à l'époque eu recours à aucuns médecins , qu'une saine intuition renforcée par le souvenir d'expériences désastreuses m'avait incité à fuir comme la peste , je ne peux bien sur rien affirmer au niveau du diagnostic des maladies elles-mêmes.....mais les symptômes eux étaient bien là.

Les tests de séropositivité n'ont été fait quand 2000 , mais j'avais à cette époque déjà remonté la pente ... avec la fibromyalgie j'étais déjà en forme .

Je précise que je ne n'ai pas fait ces tests pour savoir si j'étais séropositif (ce dont je me fous complétement) mais parce qu'il m'était exigé pour faire des chélations sous perfusion.

Amicalement ,

Modifié par sicnarfa
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Tel Michael Jackson, je sens que je vais dormir dans un caisson à oxygène ...

... mais au fait, n'est-ce pas l'oxygène qui cause l'oxydation ?

Dis-je ainsi une connerie : plus un sang est oxygéné et plus il s'oxyde ... non ? Ce serait logique ... non ?

J'attends le coup de règle de Cheminot !

Très bonne question, Viduité.

On peut y répondre par des considérations de chimie très simples.

Le transport de l'oxygène dans les cellules se fait grâce à l'hémoglobine des hématies, tout le monde sait cela.

Ce qu'on sait moins, c'est que l'atome qui permet ce transport est un ion fer réduit au degré +2, stabilisé par les azotes de 4 cycles pyrroles.

Or, tous les composés à azote oxydé (nitrites, dérivés nitrés, voire azotures (AZT), oxydent ce fer +2 en fer +3 (ce que la molécule d'oxygène, lors du transport, ne fait pas). Il se forme de la méthémoglobine, incapble de transporter l'oxygène.

C'est un paradoxe apparent, tout simplement à cause des propriétés électroniques très particulières de la molécule d'O2 (dioxygène, ce qu'on respire), qui est le seul gaz dans toute la galaxie et même l'univers à posséder ces propriétés (paramagnétisme pour les initiés).

C'est vraiment fascinant pour un chimiste de considérer cela, parce que l'oxygène n'est absolument pas interchangeable.

L'utilisation inconsidérée de tous ces composés oxydants azotés (ou même des initiateurs de ces composés tels la cocaïne ou la méthamphétamine) conduit pour une part à la formation de cette méthémoglobine (respiration cellulaire fortement diminuée), mais aussi à la formation importante de peroxynitrites qui sont en dernier ressot les véritables responsables de la mort cellulaire. A ce propos j'ai d'ailleurs lu dans plusieurs publications que ce sont tous les leucocytes qui sont affectés dans le sida, et pas uniquement les lymphocytes T Helper.

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pour faire des chélations sous perfusion.

Que sont des "chélations" Sic ?

Mais peu importe pourvu qu'elles soient faites par du personnel compétent ... par des fées même ... 4-piout.gif

Une chélation consiste en l'utilisation d'un chélateur à des fins thérapeutiques.

Un chélateur est une substance qui crée une liaison forte avec produit toxique , et qui est éliminée par l'organisme , généralement via les urines ou les selles.

Pour le mercure on utilise souvent le DMSA ou le DMPS , par voie orale dans ce cas .

Les perfusions dont je parle utilisent l'EDTA , un chélateur plus spécifique du plomb.

Mais la détoxication est quelquechose de trés complexe , et elle n'implique pas systématiquement la récupération de toutes les fonctions lésées.

Si des résultats spectaculaires peuvent être obtenus trés rapidemment , ils ne signifient pas pour autant guérison....cela peut prendre 10 ou 20 ans.

Dans mon cas , l'infirmiére était effectivement une petite fée....toujours à quelquechose malheurs est bon.

Amitiés ,

Modifié par sicnarfa
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Bon alors ... je n'ai pas dit vraiment une connerie si je comprends bien ?

non, pas du tout... tu as simplement confondu oxygène et composés oxydants... ce qui n'est pas tout-à-fait la même chose. L'oxygène est l'oxydant avec lequel la nature a su composer, et qu'elle a su utiliser.

icon_biggrin.gif

NB : il existe quelques bactéries qui savent utiliser d'autres oxydants, mais bien entendu, elles n'utilisent pas l'hémoglobine. Les bactéries dénitrifiantes par exemple utilisent les nitrates à la place du dioxygène. Mais cela fait partie des nettoyeurs de la nature, qui sinon utilise exclusivement le dioxygène chez les eucaryotes (plantes et animaux).

Modifié par Cheminot
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Aller... Je l'avais envoyé à Cheminot, mais je ne peux pas m'empêcher d'en faire profiter tout le monde... ( On peut le faire sauter après )....

LE DROIT A LA CONNERIE

(...) En attendant, faut continuer à avoir l'air intelligent, ce qu'on s'emmerde ! (...)

Roger Gentis

Pour que les gens parlent, faut aussi qu'ils osent parler. Ça aussi ça a l'air de rien et pourtant c'est quelque chose le nombre de gens qu'osent pas l'ouvrir, y a même pas besoin de les empêcher, ils se la coupent très bien tout seuls et ils trouvent toutes sortes de bonnes raisons pour pas se faire entendre, que de toute façon on les écoutera pas, et que ça servira à rien, - et le jour où ils sont un peu sincères ils finissent par avouer qu'ils ont peur qu'on se foute d'eux, qu'ils ont peur de dire des conneries. En voilà une affaire, cette peur de dire des conneries. Comme Si tout le monde en disait pas, des conneries, comme si dans tout ce qu'on débite y avait pas quatre-vingt-dix pour cent de conneries en moyenne, j'évalue ça en gros et vous m'en voudrez pas Si je tombe un peu en dessous de la vérité. Et puis qui c'est qu'en juge, que vous dites des conneries, qui c'est qu'en décide que c'est des conneries? C'est toujours la même histoire: au lieu de constater tout bêtement que les valeurs, c'est ni plus ni moins des mirontons comme vous et moi qui les font, aussi plats, aussi cons, aussi limités que vous et moi et sûrement pas infaillibles, les gens ils ont toujours derrière la tête, ce qui fait qu'ils peuvent même jamais le voir en face, ce modèle idiot de comment le monde est fait qu'y a quelque part dans les hauteurs une espèce de dépôt des poids et mesures ousqu'on trouve les étalons de tout ce qu'il faut dire et de ce qu'il faut pas dire, de ce qu'il faut penser et de ce qu'il faut pas penser, et toutes les fois qu'ils voudraient en sortir une ils se demandent ce que l'étalon va en dire, Si elle sera à la bonne longueur ou si elle va pas avoir l'air trop minable, alors neuf fois sur dix après avoir bien réfléchi ils préfèrent la rentrer ut en douce, ils ont trop peur d'avoir l'air con. Moi si je refaisais les Droits de l'homme, qui commencent à en avoir bien besoin, celui que je mettrais avant tous les autres, parce que c'est le plus fondamental et c'est peut-être le seul qui pourrait vraiment changer la vie, c'est le DROIT A LA CONNERIE. Le jour où chacun en sera pénétré, le jour où chacun sera décidé à l'exercer, vous pouvez pas imaginer ce que le monde sera plus heureux, et plus détendu, et plus aimable aussi. En attendant, faut continuer à avoir l'air intelligent, ce qu'on s'emmerde !

Roger Gentis, 1971, Guérir La Vie

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Suite aux remarques de sicnarfa, j'en reviens à mes deux derniers posts par lesquels j'émets une hypothèse (peut-être loufoque, n'étant pas virologue ou chimiste) pour expliquer pour quelle raison un sidéen meurt de maladies exotiques, et pas d'infections bactériennes habituelles qui devraient achever en quelques jours ou heures une personne dont le système immunitaire est réellement affaibli (ce qui n'est visiblement et justement pas le cas des sidéens puisqu'ils résistent - globalement - aux infections bactériennes traditionnelles).

Pour y revenir, je prends pour commencer le cas de la syphilis qui était traitée il y a quelques décennies par le mercure et l'arsenic. Comme expliqué dans le topic y consacré ("Peut-on être un porteur sain d'une MST ?" "Le terrain est tout, là aussi ?"), le mercure et l'arsenic ont provoqué des symptômes qui ont été associés à la syphilis. Mais en réalité, ces symptômes sont peut-être propres et uniquement causés par ce traitement au mercure et à l'arsenic, et non propres à la syphilis. N'empêche, à l'heure actuelle, les différents symptômes de la syphilis dont la survenance peut être expliquée par le seul usage de l'arsenic et du mercure sont maintenant irrémédiablement considérés - mais peut-être largement à tort - comme des symptômes spécifiques de la syphilis.

Je me propose de faire maintenant le parallèle avec le sida.

En 1981, au tout début de l'"épidémie" du sida, quels étaient les maladies dites caractéristiques du sida ? Il y en avait trois à ma connaissance, à savoir le sarcome de Kaposi, le PCP et l'infection à candida.

Pour que mon hypothèse tienne (à savoir celle selon laquelle ces maladies sont causées par un "parasite" quelconque [bactérie, ...] ne pouvant vivre et se multiplier que dans un environnement pauvre en oxygène, même quand le système immunitaire se porte bien), il faudrait vérifier si l'agent responsable de ces trois maladies n'est justement pas un tel "parasite".

N'empêche, le sida est définie arbitrairement par l'existence d'une de ces 29 maladies dites caractéristiques, et non ces trois seules maladies que je qualifierais "de départ". Il conviendrait dès lors de vérifier si une partie des 26 autres maladies ne serait pas due à l'un de ces fameux organismes pullulant en absence d'oxygène.

Je suis bien entendu sûr qu'il en subsistera certaines qui ne sont pas causées par ce genre d'organisme. MAIS :

- il faut bien entendu exclure les dernières maladies que l'on dit caractéristiques du sida et qui ont été ajoutées plusieurs années plus tard après le début de l'épidémie (je pense entre autres à la tuberculose qui a été ajoutée à la liste des maladies caractéristiques du sida ..... en 1993, me semble-t-il);

- des "maladies" dites "caractéristiques" du sida, telles que l'amaigrissement, les diarrhées, la démence même, qui peuvent très bien être expliquées (je crois) par le sarcome de Kaposi, le PCP, le candida ..... et aussi les traitements donnés aux patients (Bactrim au début, AZT, et maintenant trithérapies);

- les autres maladies dites caractéristiques du sida qui ne peuvent être expliquées par un organisme se développant dans un environnement raréfié en oxygène ...... mais qui peuvent très bien être causées par a) le sarcome de Kaposi, le PCP et le candida, et/ou b) les traitements données aux patients et/ou c) un affaiblissement général immunitaire causé les points a) et b) qui précèdent.

En d'autres termes, je me pose la question suivante :

Les maladies de départ (j'insiste bien sur l'expression "de départ") du sida (soit les maladies "exotiques" comme le dit si bien diamant bleu) ne sont pas dues à un affaiblissement du système immunitaire (certes préalablement causé par le stress oxydatif) mais plutôt directement causées par un stress oxydatif exceptionnel lui-même, lequel a permis à des maladies causées par les germes ne pouvant vivre que dans des organismes en manque d'oxygène de se développer ?

Ces maladies exotiques ne peuvent-elles pas ensuite expliquer l'affaiblissement immunitaire lui-même, auquel se conjugue bien entendu le stress oxydatif (qui contribue - ensuite et davantage - à l'affaiblissement immunitaire lui-même) et les traitements eux-mêmes (Bactrim, AZT et drogues dites antivirales, qui elles-mêmes causent et/ou contribuent à l'affaiblissement immunitaire) ?

En sorte que certaines maladies dites caractéristiques du sida ne sont finalement que la conséquence des facteurs qui précèdent (maladies causées par les germes pullulant quand l'oxygène présent dans l'organime se raréfie, et par les traitements, ceux-ci induisant seulement alors un affaiblissement immunitaire général, lequel peut alors causer des infections opportunistes moins "exotiques" et plus traditionnelles) ?

Cela pourrait ainsi expliquer pourquoi les sidéens ne meurent pas d'infections opportunistes traditionnelles et pourquoi des séropos avec très peu de T4 ne meurent pas forcément du sida (car justement le système immunitaire se porte très bien).

Tout cela me fait penser à encore autre chose.

Des centaines d'études ont clairement démontré que le stress oxydatif finit par détruire les T4. Mais lesquels ? Tous les T4 ou uniquement les 3% de T4 se trouvant dans le sang (et non les 97% se trouvant dans les tissus) ? Mais de par les nombreux témoignages que nous avons, nous savons que la dimunition des T4 (mesurables, soit ceux dans le sang) ne signifie pas forcément SIDA déclaré. Ne pourrait-on pas au contraire considérer que la diminution de ces fameux T4 mesurable (soit ceux dans le sang, mais pas les 97 autres % dans les tissus et qui semblent encore très bien fonctionner) n'est que l'expression, non d'une destruction immunitaire, mais bien uniquement l'expression d'un stress oxydatif, mais par certains mécanismes (à définir), ce stress oxydatif ne mène pas nécessairement au stade du sida déclaré parce que certains séropos avec très peu de T4 mesurables ont développé des mécanismes qui ne raréfient pas l'oxygène présent dans l'organisme (par exemple, la prise de certains antioxydants, une pratique sportive très régulière [mais non intensive, car cela produirait l'effet inverse] qui stimule l'oxygénation cellulaire, ...).

Il s'agit peut-être de pistes à creuser ...... mais par d'autres (n'étant pas virologue ou chimistes).

En tout cas, si cette hypothèse se travail n'est pas trop loufoque mais au contraire fondée, du moins en partie, cela signifierait en fait

- que le sida n'a AU DEPART (du moins) strictement rien n'a avoir avec une immuno-déficience acquise (ce qui expliquerait pourquoi les sidéens ne meurent pas de n'importe quelle infection opportuniste),

- que les sidéens ne meurent pas d'infections opportunistes (du moins au départ), puisqu'ils ne tombent pas comme des mouche à la moindre bactérie passant sur eux,

- qu'il n'y a pas lieu de se focaliser sur l'évolution des T4 (ce qu'atteste de nombreux témoignages; au surplus, la baisse des T4 est un phénomène bien plus fréquent qu'on le croit, en ce compris chez les séronégatifs : voyez par exemple ici),

- et qu'en réalité, les sidéens meurent ("au départ", c'est-à-dire après intervention des maladies "exotiques" elles-mêmes et avant intervention des traitements, lesquels induisent alors un affaiblissement immunitaire général, source de multiples autres maladies réellement opportunistes) de maladies "exotiques" qui apparaissent à la suite d'un stress oxydatif intensif (au départ causé par les drogues récréationnelles et la toxicomanie, soit les cas de sida de 1981 à 1984, avant que les tests HIV et l'AZT aient permis d'inventer le sida hétérosexuel, soit à partir respectivement de 1984 et 1987), qui fait en sorte que le séropo est en manque d'oxygène et permet la survenue de ces maladies exotiques (et ensuite seulement, l'affaiblissement immunitaire).

Peut-être que l'orthodoxie du sida a considéré - à tort - que le sida est un syndrome d'immuno-déficience acquise en se basant sur le chute des T4, alors que cette chute, d'une part, n'est nullement synonyme de sida déclaré, et, d'autre part, est elle-même causée par ces maladies "exotiques", les traitements donnés et bien sûr le stress oxydatif en tant que facteur aggravant (le stress oxydatif causant tout d'abord un manque d'oxygène dans l'organisme et la survenue de ces maladies "exotiques") ?

Bref, le sida n'aurait peut-être pas dû s'appeler SIDA (Syndrome d'Immuno-Déficience Acquise) mais peut-être bien SIOA (Syndrome d'Inoxygénation et d'Oxydation Acquise) ?

Qu'en pensez-vous ?

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Pour l'isolement du virus, le virus a pu être isolé (pas purifié par contre) on a même pu montrer en imagerie microscopique une particule virale bourgeonner à la surface d'un T4...

Concernant l'isolation, dans un post datant d'hier ou d'avant-hier, j'avais déjà précisé qu'il n'était pas possible de prétendre que le virus HIV avait pu être isolé alors qu'il n'avait même pas été purifié.

A partir de ce moment, parler de bourgeonnement de la particule virale ne constitue pas une preuve de plus d'une quelconque isolation du VIH.

A supposer même que les fameuses photos du VIH montrent effectivement un bourgeonnement quelconque (on dirait plutôt et "simplement" le pseudo virus contre la cellule), quand bien même ces photos montreraient vraiment un bourgeonnement de la soi-disant particule virale (quod non), cette circonstance ne suffirait pas à prouver que c'est bien un rétrovirus.

Car le bourgeonnement n'est justement pas l'apanage des seuls rétrovirus. Voici ce qu'en dit Papadopulos dans le commentaire 4 de cet article :

"Bien que le bourgeonnement sur la membrane cellulaire soit effectivement la façon par laquelle apparaissent les particules rétrovirales, ce processus n'est pas l'apanage des rétrovirus. En d'autres termes, ce n'est pas parce qu'une particule bourgeonne et a les caractéristiques morphologiques de particules rétrovirales que c'est un rétrovirus. Ceci est bien illustré par deux faits, et il suffira de citer deux des rétrovirologues les plus connus. "On a trouvé des particules virus-like (ressemblant à des virus) en cours de bourgeonnement dans des lignées de cellules T non infectées (lignées CEM, H9 et C8166); on en a trouvé également dans deux lignées de cellules B transformées par l'EBV (le virus Epstein-Barr) ainsi que dans des cultures de cellules lymphoïdes humaines primitives provenant de sang ombilical qu'elles soient ou non stimulées par la PHA, cultivées avec ou sans sérum, et aussi dans des lymphocytes d'origine ombilicale aussitôt après la séparation de Ficol"(46) (italiques d'Eleni Papadopulos-Eleopulos et al). Au cours d'une très importante étude in vivo menée par O'Hara et ses collègues à Harvard, des "particules VIH" ont été trouvées chez 18 patients sur 20 (soit 90%) souffrant d'un gonflement des ganglions lymphatiques attribué au SIDA. Cependant, des particules identiques ont également été trouvées chez 13 patients sur 15 (soit 87%) souffrant d'un gonflement des ganglions lymphatiques non attribué au SIDA puisque ces patients ne présentaient aucun risque de l'avoir contracté. Ces données conduisirent les auteurs de l'étude à conclure : "La présence de ces particule n'indique pas en soi qu'il y ait infection par le VIH".(47)"

Et à supposer même qu'il s'agissait bien d'un rétrovirus en raison de ce - supposé - bourgeonnement, ces photos peuvent très bien montrer des rétrovirus endogènes.

Voici ce qu'en dit Papadopulos dans le commentaire 7 de cet article :

"Nous sommes d'accord sur l'affirmation qu'il existe des rétrovirus endogènes (mais il n'est pas sans intérêt de noter que jusqu'en 1994 il n'existait pas de rétrovirus endogène humain connu (51)). On ne peut pas distinguer un rétrovirus endogène d'un rétrovirus exogène, que ce soit morphologiquement ou chimiquement. De plus, on a la preuve que 70 % des patients atteints du SIDA ou considérés comme "à risque" possèdent des anticorps de leurs propres rétrovirus endogènes (le pourcentage n'est que de 3% chez les personnes non "à risque").(33) Compte tenu de cela et des conditions de culture que Montagnier et ses collègues, tout comme tous les autres chercheurs de "VIH", ont utilisées pour détecter leur "VIH", compte tenu aussi de ce que l'on sait aujourd'hui du "VIH" et du SIDA, le plus probable est que si le "VIH" existe (mais cela reste à prouver) il s'agisse d'un rétrovirus endogène et non pas exogène.

On peut résumer d'une phrase un principe fondamental du comportement de toute culture de cellules : tôt ou tard les cellules mises en culture libèrent, c'est-à-dire produisent, des virus endogènes. L'apparition des virus endogènes peut être accélérée et la quantité de virus produits peut être multipliée jusqu'à un million de fois si la culture est stimulée par des mitogènes, ou bien est mise en coculture, ou encore si l'on y ajoute du surnageant d'une culture de cellules normales non stimulées."

En d'autres termes, nous sommes toujours à des années-lumières d'une quelconque isolation de ce pseudo VIH !

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Merci Wallypat d'avoir répondu à mes questions 4-bisou.gif

J'avoue que j'aimerais beaucoup qu'un orthodoxe du sida y répondent aussi, avec autant de précision... comme tu peux voir, j'attend depuis un moment que cela arrive... je ne désespère pas icon_biggrin.gif

Je ne suis pour le moment qu'à la page 86 de ce topic, mais il me semble que l'on a demandé et obtenu des réponses de l'orthodoxie du sida (aux environs des pages 30 et suivants, me semble-t-il, entre autres pour ce qui concerne le sarcome de Kaposi).

Et si je me rappelle bien, les réponses données étaient très alambiquées et bien peu convaincantes.

Je me rappelle même très bien de la réponse de Cheminot à ces explications de l'orthodoxie du sida : "Quelle naïveté !".

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Bonjour,

A propos des maladies dites "opportunistes" , je viens de lire un article de la revue "pour la science" qui explique que lors de l'épidémie de grippe espagnole de 1918 , les malades ne mourraient pas à proprement parler de la grippe , mais d'infections opportunistes .

Autre point commun me semble t'il , cette maladie affectait des individus relativement jeune (15 à 35 ans)

Bizarerie aussi au niveau de la diffusion ....la maladie serait apparue dans des camps militaire aux Etats unis , en mars 1918 , puis aurait explosée dans le monde entier en septembre à novembre 1918...jusque dans des coins trés reculé de l'Alaska .

Les symptômes de la grippe sont le deuxieme groupe de symptômes importants apparus suite à mon intoxication au mercure .

Cela ne s'est pas produit dans les jours suivant l'exposition , mais 3 ans aprés , et s'est prolongé pendant des mois .

Quel pourrait être le rapport entre le mercure et l'oxygéne ???

Amicalement ,

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bonjour,

Sicnarfa, par quel chemin nous conduis-tu vers un rapport entre le mercure et l'oxygène?

Ce qui est sûr, c'est que le mercure réduit drastiquement les capacités réductrices des cellules, lorsqu'il est sous forme ion mercurique, voire mercureux : il forme des lisiaons très stables avec le soufre du glutathion, en libérant des protons, donc:

- il empêche le glutathion d'éliminer les radicaux libres oxygénés

- il acidifie le milieu.

sous forme métallique vaporisée, il est facilement oxydé en ion mercurique, alors que le liquide est évidemment moins réactif.

Lorsque le mercure forme un amalgame, il devient plus stable, et sa concentration à l'extérieur de l'amalgame est très faible. Encore faut-il savoir quel est la concentration limite supportable.

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Quel pourrait être le rapport entre le mercure et l'oxygéne ???

Amicalement ,

Il n'y a absolument aucun rapport.

Je voulais simplement tenter de démontrer que tout comme pour la syphilis en son temps, on a attribué au concept du "SIDA" des maladies qui ne lui sont peut-être pas directement spécifiques mais qui pourraient être la conséquence des traitements (en parallèle avec le mercure et l'arsenic à l'égard de la syphilis) qui sont données aux séropos ou la conséquence d'un affaiblissement immunitaire induit au départ par ces maladies "exotiques", et auquel s'ajoute les effets des différents traitements (bactrim, AZT, ...) et le stress oxydatif lui-même.

Comme il semble résulter d'anciennes lectures dissidentes (et de mémoire), ces maladies "exotiques" caractéristiques du sida n'ont en soi pas grand chose à voir avec un affaiblissement immunitaire préalable car ils peuvent surgir même en présence d'un système immunitaire en bon état de fonctionnement, et seraient causées par des "germes" pouvant se développer dans des corps en manque d'oxygène ou, de manière générale, surviendraient (quelle soit le germe ou la cause responsable) en raison du manque d'oxygène dans l'organisme, ce manque de circulation d'oxygène dans le sang étant causé par le stress oxydatif (lui-même induit par les drogues récréationnelles consommées par les gays et la toxicomanie ... des toxicomanes, soit à peu près tous les cas de sida de 1981 à 1984, et même jusqu'en 1987, c'est-à-dire jusqu'à l'administration de l'AZT [j'ai d'ailleurs lu qu'aux USA, les cas de sida jusqu'en 1987 concernaient à 95% des hommes, dont 2/3 étaient gay et 1/3 était toxicomane; l'AZT a ensuite permis de donner réellement naissance au sida hétérosexuel non toxicomane]).

En fin de compte, je commence à me demander si la diminution des T4 dans le seul sang (pas dans les tissus où se trouvent les 97 autres % de T4), qui peut avoir de multiples causes (maladies, stress oxydatif), dans la mesure où cette diminution serait causée par le stress oxydatif, ne signifierait pas forcément un affaiblissement immunitaire (ce que semble démontrer les séropos vivant très bien depuis nombre d'années avec un nombre de T4 mesurables ridiculement bas), mais empêcherait en revanche (par des mécanismes qui dépassent de loin mes connaissances sur le sujet) le sang de transporter efficacement l'oxygène (or les T4 détruits sont justement ceux circulant dans le sang), et faciliterait ainsi l'apparition de ces fameuses maladies "exotiques", quoique pour le surplus le système immunitaire du sidéen se porte en réalité très bien puisqu'il se défend généralement très bien contre les réelles infections opportunistes.

Et en ce sens, le SIDA n'aurait finalement plus grand chose à voir avec une immuno-déficience acquise (mais l'affaiblissement immunitaire causé ENSUITE par ces maladies exotiques et les différents traitements administrés + le stress oxydatif lui-même ont donné - peut-être à tort - l'impression à l'orthodoxie du sida que ce syndrome était dû à un affaiblissement immunitaire; or, si cela était le cas, cela ne permettrait pas d'expliquer justement pourquoi les sidéens meurent principalement desdites maladies "exotiques", et non des infections opportunistes traditionnelles; en revanche, le stress oxydatif pourrait très bien l'expliquer, me semble-t-il).

Modifié par wallypat
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Comme il semble résulter d'anciennes lectures dissidentes (et de mémoire), ces maladies "exotiques" caractéristiques du sida n'ont en soi pas grand chose à voir avec un affaiblissement immunitaire préalable car ils peuvent surgir même en présence d'un système immunitaire en bon état de fonctionnement, et seraient causées par des "germes" pouvant se développer dans des corps en manque d'oxygène ou, de manière générale, surviendraient (quelle soit le germe ou la cause responsable) en raison du manque d'oxygène dans l'organisme, ce manque de circulation d'oxygène dans le sang étant causé par le stress oxydatif (lui-même induit par les drogues récréationnelles consommées par les gays et la toxicomanie ...

Oui , mais ....ces maladies dites opportunistes existaient avant ....elles existaient avant l'invention des drogues récréatives , et avant l'invention des drogues chimiques , produites dans les éprouvettes et les cornues .

Alors qu'est ce qui pouvait faire qu'elles apparaissaient deci delà , et parfois de façon épidémique.

Le mercure quant à lui est présent dans l'environnement humain depuis des millénaires ...il est présent dans la nature , et le phénoméne de bioaccumulation est un phénoméne naturel ....qui concerne l'homme depuis qu'il est carnivore ....mais les végétaux peuvent aussi contenir du mercure....dans ce cas ils sont toxiques par ingestion ...mais que dire si on les brule et que l'on respire la fumée.

(Les centrales thermiques au charbon et la déforestation par brûlis participent , on le sait grandement à la pollution atmosphérique au mercure)

Mais de toute façon l'homme utilise le mercure depuis des millénaires ...Schliemann , le découvreur du site de la ville de Troie , en a trouvé dans des tombes égyptiennes.

Mais le phénoméne le plus intéressant est celui du relarguage du mercure fixé .

Il semblerait qu'une partie du mercure fixé dans l'organisme au fil des années puisse se libérer et se remettre à circuler librement dans l'organisme.

L'individu serait alors soumis à une charge de mercure qu'il ne pourrait pas gérer ...il serait intoxiqué par le mercure endogéne (sans événement toxique extérieur)....intéressant n'est il pas ?

Certaines plantes comme la chlorella , ou la coriandre semblent pouvoir faire cela .

Il n'est pas impossible que certaines dilutions homéopathiques de mercurius provoquent ce phénoméne...qu'en penses tu Cheminot ?

En tout cas c'est que qu'affirme le dr Klinghardt ....mes observations empiriques vont aussi dans ce sens.

Ce qu'il a aussi d'interessant , c'est le délai que peuvent mettre certains composés mercuriels , cependant hyper-toxique à produire des symptômes.

Le diméthylmercure va par exemple mettre 3 semaines pour produire des symptômes , en prélude à une issue qui est quasiment fatale.

Dans mon cas il va falloir plus de trois ans pour atteindre le paroxysme.

Le mercure ordinaire peut à l'intérieur même de l'organisme se transformer en composés toxiques .

La candida albican entre autre semblent friand de mercure , et certaines bactéries sont aussi capable de le transformer....cela est tellement connu que certaines entreprises ont développées des techniques de dépollutions du mercure qui utilisent des bactéries , dont certaines espéces peuvent être des hotes quasi naturels du corps humain.

Si tout cela était vrai....alors peut être que son principal inconvénient , c'est que se serait trop simple.

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Pour ceux qui lisent l'anglais, un article intéressant d'une journaliste indépendante, Janine Roberts :

http://www.sparks-of-light.org/HIVGATE%20-...view%20copy.pdf

voir son site par ailleurs :

http://www.sparks-of-light.org

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Comme il semble résulter d'anciennes lectures dissidentes (et de mémoire), ces maladies "exotiques" caractéristiques du sida n'ont en soi pas grand chose à voir avec un affaiblissement immunitaire préalable car ils peuvent surgir même en présence d'un système immunitaire en bon état de fonctionnement, et seraient causées par des "germes" pouvant se développer dans des corps en manque d'oxygène ou, de manière générale, surviendraient (quelle soit le germe ou la cause responsable) en raison du manque d'oxygène dans l'organisme, ce manque de circulation d'oxygène dans le sang étant causé par le stress oxydatif (lui-même induit par les drogues récréationnelles consommées par les gays et la toxicomanie ...

Oui , mais ....ces maladies dites opportunistes existaient avant ....elles existaient avant l'invention des drogues récréatives , et avant l'invention des drogues chimiques , produites dans les éprouvettes et les cornues .

Alors qu'est ce qui pouvait faire qu'elles apparaissaient deci delà , et parfois de façon épidémique.

J'avoue que je ne sais pas trop à quoi tu veux en venir, en particulier quand tu utilises l'expression "maladies opportunistes". Cela va toutefois me permettre de peut-être mieux affiner "ma" théorie (ainsi, j'ai entre-temps effectué des recherches sur google au sujet de la pneumocystose, et cela a, semble-t-il, confirmé mes dires; j'y reviendrai ci-dessous).

Ce que je disais dans les posts qui précèdent est que les maladies "exotiques" du sida, qualifiées de maladies opportunistes par l'orthodoxie du sida (et aussi la dissidence, après tout), ne sont sans doute justement pas des maladies opportunistes car elles peuvent survenir même chez les personnes dont le système immunitaire fonctionne bien. Ces maladies "exotiques" ont pour point commun (contrairement à nombre de maladies réellement opportunistes) de survenir chez une personne en manque d'oxygène, par exemple, me semble-t-il parce que le sang ne peut plus transporter l'oxygène (ce qui peut être causé par le stress oxydatif lorsque ce dernier résulte d'une hyperstimulation des cellules immunitaires productrices de monoxyde d'azote, laquelle hyperstimulation peut être causée par le poppers [à base de nitrite d'amyle], absorption de trop de protéines étrangères [par exemple : pénétration anale non protégée], abus d'antibiotiques à base de monoxyde d'azote ou de nitrosamine [je crois], la toxicomanie en général, etc... etc...). Ces maladies exotiques peuvent survenir même quand le système immunitaire fonctionne très bien (a fortiori, ils peuvent bien entendu survenir aussi quand le système immunitaire ne fonctionne plus, bien sûr).

Or que se passe-t-il chez un sidéen ? Il se défend généralement très bien contre les infections réellement opportunistes (j'entends par là qu'il résiste généralement très bien contre la plupart des maladies bactériennes et virales, ce qu'a souligné justement en son temps diamant bleue). Ce qui sous-entend en fait que son système immunitaire n'est pas si affaibli que cela. Et peut-même pas du tout lorsqu'on constate que le sidéen succombe presque toujours à ces fameuses maladies "exotiques", lesquelles ont justement la particularité de pouvoir survenir même en présence d'un système immunitaire pas forcément affaibli. Il "suffit" qu'il y ait un (grave) défaut d'oxygénation dans l'organisme (pouvant, je crois, être causé par un stress oxydatif résultant d'une hyperstimulation des cellules productrices de monoxyte d'azote) pour que ces maladies "exotiques" soient susceptibles de survenir, même si le système immunitaire fonctionne très bien.

Sur base de ce qui précède, je me demande maintenant si les scientifiques n'ont pas fait une erreur d'interprétation (parmi bien d'autres, bien entendu) au début de l'épidémie du sida.

Qu'ont-ils constaté ? Ils voient arriver chez eux de jeunes gay (ce n'est pas pour rien qu'on appelé au départ ce syndrome comme étant "le cancer gay") souffrant d'une maladie alors très rare, le PCP (pneumocystose pulmonaire). A cette même époque, on commençait seulement à être capable de mesurer les T4. Ils constatent que les gay (et toxicomanes) souffrant du sida ont un taux de T4 très bas. Ils en déduisent que leur système immunitaire est affaibli (pour l'orthodoxie, en raison de ce - si introuvable - HIV) et que c'est pour cela, qu'ils développent des infections opportunistes. Mais à réfléchir, cette explication ne tient pas, me semble-t-il. En effet, si le système immunitaire est affaibli, les séropos devraient souffrir de n'importe quelle maladie opportuniste. Or ce n'est pas le cas. Ils ne souffrent et meurent que de maladies "exotiques", qui ont été mis sur le compte de l'affaiblissement immunitaire préalable.

Mais alors, pourquoi uniquement ces maladies exotiques ? A ma connaissance, l'orthodoxie du sida est strictement incapable de l'expliquer. Ils peuvent certes expliquer par exemple comment le sarcome de Kaposi peut survenir de je ne sais quelle variante du virus de l'herpès (explication - peu convaincante - qui fut donnée dans les pages 30 et suivants de ce topic), mais ils sont strictement INCAPABLES d'expliquer pourquoi seules ces maladies "exotiques" surviennent. C'est bien l'une des innombrables incohérences de la théorie orthodoxe du sida.

Supposons que nous examinions le début de l'épidémie du sida autrement (mais cela reste toujours valable aujourd'hui, sauf que l'administration du bactrim, de l'AZT et autres drogues antivirales ont permis de réellement affaiblir le système immunitaire car étant immunotoxiques, ce qui fausse complètement la situation; pour y voir plus clair, il faut donc revenir au début de l'épidémie, c'est-à-dire avant qu'on administre tous ces traitements). A savoir que l'on considère qu'en raison du mode de vie des gay et toxicomanes de l'époque et qui induit le stress oxydatif expliqué ci-dessus, ceux-ci sont en manque d'oxygène dans leur organisme. C'est alors que se manifestent justement ces fameuses maladies exotiques (et qui s'expliquent justement par cette carence en oxygène), alors même que leur système immunitaire est en assez bon état puisqu'ils résistent aux infections opportunistes. Ce n'est qu'ENSUITE que leurs T4 diminuent. Donc, dans ma proposition, l'affaiblissement immunitaire n'est pas préalable aux maladies exotiques (qualifiées peut-être par erreur de maladies opportunistes), car alors cela n'explique pas pourquoi le sidéen ne meurt que de quelques maladies erronément appelées "opportunistes", c'est-à-dire des maladies exotiques. Au contraire, dans ma proposition, survient d'abord les maladies exotiques (qui s'expliquent par une carence en oxygène dans l'organisme suite aux habitudes de vie des sidéens de l'époque), et PUIS SEULEMENT la chute des 3% de T4 mesurables dans le sang (mais pas forcément des 97% des T4 dans les tissus), chute dont on sait maintenant très bien qu'elle peut être causée par les maladies en général (mais ici, il s'agit des maladies exotiques; et nul besoin de faire intervenir un rétrovirus dans l'affaire), mais à laquelle a certainement beaucoup contribué le bactrim (administré comme premier traitement) et bien sûr le stress oxydatif lui-même (en d'autres termes, le stress oxydatif tel que défini ci-dessus aurait deux effets majeurs : faciliter d'une part la survenance de ces fameuses maladies exotiques en empêchant le sang de transporter l'oxygène, peu importe l'état immunitaire de la personne, et bien sûr détruire les T4 mesurables dans le sang, mais sans que cette chute des T4 du sang soit réellement le signe d'une immunodéficience puisque les sidéens résistent justement aux infections opportunistes).

Bref, il y a peut-être eu une monumentale erreur d'interprétation au départ (qui subsiste toujours à ce jour d'ailleurs !) : l'affaiblissement immunitaire n'est pas préalable à la survenance des maladies exotiques typiques du sida, mais bien postérieur ou au pire concomitant à la survenance des maladies exotiques. La circonstance que l'affaiblissement immunitaire du sidéen n'est justement pas préalable à la survenance des maladies (exotiques) dont souffre généralement le sidéen permet justement d'expliquer pourquoi le sidéen ne souffre que de ces maladies exotiques. C'est du moins ce que je commence très sérieusement à penser.

Et pour m'en convaincre encore davantage, je prends l'exemple du PCP, qui est LA MALADIE CARACTERISTIQUE ET EMBLEMATIQUE du sida (les deux/tiers des cas de sida aux USA, semble-t-il). D'après ce que j'ai pu trouver sur le net, le PCP est causé justement par un mycète (sorte de champignon). Or les mycètes ne peuvent se développer justement que dans un organisme raréfié en oxygène. Et ce manque en oxygène peut justement résulter du stress oxydatif tel que défini ci-dessus. Bref, les sidéens ont d'abord souffert de cette maladie exotique (mais pas forcément opportuniste puisque pouvant survenir même quand le système immunitaire est en bon état, ce que paraît attester la résistance des sidéens aux maladies opportunistes "traditionnelles"), et puis seulement ou au mieux en même temps, les T4 mesurables dans le sang ont commencé à diminuer sous l'effet de ces maladies exotiques (et des traitements administrés au début, et du stress oxydatif lui-même bien sûr), mais sans que cette chute des T4 signifie pour autant une réelle baisse de l'immunité du sidéen puisque justement, il résiste aux infections opportunistes. En revanche, ils meurent des maladies exotiques qui se manifestent même sans affaiblissement de l'immunité.

Voilà ce qui me fait dire (et ce grâce à la question posé par diamant bleue il y a plus d'un an) que le sida n'a peut-être finalement pas grand chose à voir avec un affaiblissement immunitaire. Car si c'était le cas, le sidéen devrait mourir de n'importe quelle infection opportuniste.

Pour en finir, je sais très bien que ces maladies exotiques existaient déjà avant l'apparition du "sida". Mais elles étaient rares. L'orthodoxie du sida en tire argument pour dire que l'épidémie qui a suivi à partir de 1981 ne peut s'expliquer que par un (rétro)virus. Mais c'est perdre complètement de vue l'épidémiologie. Par exemple, aux USA, jusqu'en 1987 (soit jusqu'à l'apparition de l'AZT qui a permis de fausser toutes les interprétations épidémiologiques), 95% (les 5 autres % étant donc des femmes, pour la plupart toxicomanes) des cas de sida concernaient des hommes, dont 2/3 étaient gay consommateurs de poppers et autres drogues récréationnelles et 1/3 des hétéros toxicomanes (il y a sans doute quelques cas qui ne s'y retrouvent pas, mais c'est statistiquement pas significatifs et en cherchant bien, on trouverait sans problèmes d'autres explications sans rapport avec quelque virus que ce soit; notons que ces faits épidémiologiques sont parfaitement incompatibles avec un virus : l'orthodoxie du sida explique que cela est quand même dû à un virus car les premières années, le virus se cantonnait chez les gays, et puis, "à cause" des bisexuels, le virus s'est propagé des gays vers la population hétérosexuelle; mais à supposer que cette version ait un semblant de vraisemblance, comment alors expliquer que le virus préférait se transmettre sexuellement à des femmes toxicomanes en priorité ? A ma connaissance, un virus ne fait pas de telles discriminations ! ).

Or les gays n'ont commencé à faire un énorme usage du poppers et des autres drogues récréationnelles qu'à partir de la fin des années 70. Quant aux toxicomanes, ils souffraient surtout de tuberculose et de multitudes formes de pneumonies assez traditionnelles (et non exceptionnelles), lesquelles maladies étaient courantes depuis des décennies chez les toxicomanes (mais de plus en plus courantes à partir de la fin des années 60 et de la libération sexuelle qui a suivi), et ont abusivement été regroupées sous le vocable "sida" alors que ces tuberculoses et ces pneumonies n'avaient pas grand chose d'exceptionnel chez les toxicomanes.

Le mercure quant à lui est présent dans l'environnement humain depuis des millénaires
.

Tu y tiens à ton mercure ! lol Il est clair que tu t'y connais en mercure !

Je suppose que maintenant tu l'auras compris, je n'ai jamais essayé de prétendre ni même pensé que le sida serait causé par je ne sais quoi lié au mercure. Je me suis juste inspiré des (brillantes) considérations développées (entre autres par toi et Aixur) sur un autre topic pour me dire que le syndrome du sida a été (et est) peut-être mal interprété depuis le départ.

Voilà.

PS : Durant les prochains jours, je n'aurai plus guère le temps de poster des messages sur ce site.

Modifié par wallypat
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Dans le bon sens ?

Pour la première fois en France, la Cour de cassation vient, cette semaine, de donner satisfaction à une requérante face aux laboratoires SERVIER dans une affaire où les effets secondaires dévastateurs d'un médoc lui ont flingué la vie.

Il s'agit d'une grande jurisprudence en rupture avec les précédentes.

Le lobby des labos vient de perdre une bataille malgré les moyens disproportionnés qui etayent leurs actions.

Ce genre de procédure est courant ailleurs, notamment aux Etats Unis.

Il reste d'autres batailles à gagner : notamment celle qui permettrait d'introduire en droit français, la possibilité pour un groupe d'individus ayant intérêt pour agir d'ester de manière collective ... comme souvent ailleurs.

Nul doute que les labos ne vont pas l'entendre de cette oreille ... et mettront tout leur poids et tout leur fric pour contrer ce genre d'initiative ...

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ce qui est d'ailleurs un peu fou, c'est que ce "médoc" est une sorte d'amphétamine...

Une association regroupant les victimes s'est d'ailleurs créée.

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