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forum sidasante

**[SIDA] : le "VIH" ne cause pas le SIDA ** 2/3


Vitosi
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Dernière incongruité "orthodoxe", nécessaire pour garder le dogme:

une étude qui, enfin, permettrait de photographier le "virus" :

http://news.bbc.co.uk/1/hi/health/4642940.stm

On y lit, entre autres joyeusetés sur les promesses thérapeutiques (LOL) :

HIV is very variable. It varied in diameter by a factor of three

Ce qui signifie que notre virus peut avoir un diamètre qui varie de 1 à trois, donc un volume qui varie de 1 à 27, donc contient une masse de protéines pouvant varier de un à 27, et donc automatiquement, un génôme qui varie en conséquence.

Comme quoi tout est bon pour que rien ne vienne démolir la théorie, même l'incohérence la plus débile. De toutes manières, personne n'y fera attention.

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De deux choses l'une ou sur 10000 personnes qui vont aux urgences prendre un traitement il y en a 1 au lieu de 5 qui devient seropo, je vois pas comment ils ont eu un nombre de pesonnes suffisant pour faire une telle statistique et ça fait un nombre phénoménal qui prennent des antiviraux pour rien avec tous les effects secondaires et problèmes, ou ils ont un mode de calcul qui se base sur des modèles théoriques du genre calcul des seropositifs en Afrique (à mon avis c'est plutot ça) et donc cela repose sur beaucoup de vent.

Rosalie a raison : on nage en plein délire ! ...

La question du traitement "du lendemain" est un des aspects les plus comiques, ou enfin les plus navrants, de la question ... et pourtant ça passe ...

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Alors réfléchis un peu :

les 4 références que je donne indiquent que si 10000 personnes non "contaminées" ont des relations hétérosexuelles avec une personne "contaminée", seules 5 de ces personnes seront "contaminées". On ne précise pas si elles sont traitées, mais les études de Padian et de Gray précisent bien qu'elles ne le sont pas.

Par ailleurs, les données cliniques concernant les personnes traitées pour avoir pris un risque peuvent vouloir dire au pire que ces personnes savent qu'elles ont eu une relation sexuelle avec une personne séropositive. On est donc dans le cas traité par les 4 références précédentes. Et là, on sait qu'elles ont été traitées, avant qu'on sache si elles sont vraiment séropositives, car il s'agit de prophyllaxie. Et dans ce cas-là, si 10000 personnes non "contaminées" ont eu des relations hétérosexuelles avec une personne "contaminée" et ont subi ce traitement prophyllactique, on décomptera 2000 personnes qui seront "contaminées" au bout du compte.

Ben.....désolé je dois être un peu bouché en ce moment mais je ne suis toujours pas d'accord. Dans l'article cité de wallypat ils disent que le traitement préventif diminue les risques de contamination de 80% donc si une personne a un rapport avec un personne contaminée elle a :

- sans traitement 0,05% d'avoir été contaminée

- avec traitement 0,05%*0,2 risque d'avoir été contaminée.

Quant à la structure 3D du virus oui c'est délirant , je vais jeter un oeil par contre tu extrapoles un peu vite en disant que le génome est forcément plus grand. Ca n'a pas de rapport.

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Bien entendu, le génome n'est pas forcément plus grand, mais ce n'est pas ce que j'ai écrit, si tu lis bien. J'ai dit "qui varie en conséquence". Car, pour que l'enveloppe ait une certaine taille, il faut que le génome contienne l'info qui indique le nombre de protéines qui forment l'enveloppe. Mais cette info ne peut varier, pour une même espèce, et même dans d'une même famille, pour donner les structures aussi différentes, sinon, on serait tous complètement différents, les uns avec un nez en entonnoir et les autres avec une peau verte...

J'ai aussi réfléchi à ce que tu opposait au raisonnement de Wallypat.

Tu dis : en fait, les 80% qui en réchappent avec le traitement, ce sont ceux (0,05*0,8=0,04%) finalement qui sont séropositifs et que le traitement réussit à rendre séronégatifs.

Est-ce que tu t'imagines ce que ton interprétation signifie? Cela veut dire pourraient supprimer cette séropositivité chez 80% des gens. Cela va à l'encontre de tout ce qu'on nous raconte, et de l'expérience des cliniciens, qui savent qu'il n'y a pas négativation par les traitements.

Le biais que tu oppose à l'argumentation de Wally fait apparaître une autre "absurdité" .

Finalement, tout ceci n'est absurde que si l'on persiste à penser que la séropositivité est due à un virus sexuellement transmissible. S'il s'agit d'un trouble métabolique lié au stress oxydatif - qui est multifactoriel, il faut bien le préciser - tout s'éclaire et devient limpide.

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Heuuu tu veux me rendre dingue hein ? 1-marteau.gif . Je rigole.... Je ne suis encore un fois pas d'accord , vous prenez le raisonnement à l'envers il me semble. Je posterai mon point de vue un peu plus tard.

Juste pour dire vite fait :

J'ai dit "qui varie en conséquence". Car, pour que l'enveloppe ait une certaine taille, il faut que le génome contienne l'info qui indique le nombre de protéines qui forment l'enveloppe.
Là je te dis non, le génome code pour les protéines c'est tout, ensuite ce sont les propriétés des protéines et leurs interactions avec la cellules qui déterminent leur nombre dans le virion.
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Heuuu tu veux me rendre dingue hein ?

Mais il y de quoi devenir dingue, je te le concède, car si on ne trouve pas une réponse raisonnable à ce dilemne, on peut et on doit vraiment tout f... en l'air!!

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J'ai relu le document cité par Wallypat. Ils englobent dans les risques les piqûres de seringues, les échanges de seringues lors d'injection de drogue.

Voici les risques liés à ces situations donnés par le NIH :

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On constate qu'en aucun cas ce risque n'excède 1% si la seringue est "contaminée"

Donc on ne peut pas "sauver" la prophyllaxie post-risque par ces considérations. Il faut trouver un autre biais qui permettrait de réfuter ce que dit Wally, ou bien il faut l'accepter.. Et je sais que c'est dur pour tout le monde, même pour ceux qui se posent simplement des questions.

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Je vais passer pour un gars qui travaille un max à force de poster des mails toutes les 2 secondes !

QUOTE

Là je te dis non, le génome code pour les protéines c'est tout, ensuite ce sont les propriétés des protéines et leurs interactions avec la cellules qui déterminent leur nombre dans le virion.

pas à ce point-là tout-de-même?

Je comprends ton étonnement vu que dans l'article de la BBC la personne dit que la taille varie d'un rapport 1 à 4 !!!!!! Là c'est délirant je ne comprends pas d'où ça sort, maisj'ai lu rapidos l'article qu'ils ont publiés et je ne vois nul part ce rapport . La taillle des virus isolés (sur une moyenne de 70 environ) est de 108 à 183 avec une moyenne de 125 nm +- 14 donc rien d'anormal. Ce qui semble plus hétérogène c'est la morphologie de ce qu'on appele le core : la structure interne contenant le génome. Là une partie des virions n'a pas vraiment cette forme de cône mais bon je ne vois nul par ce rapport 1 à 4 en taille..... Faut que je lise plus précismément.

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Peux-tu éventuellement me fournir le pdf de l'article? Merci par avance.

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J'ai aussi réfléchi à ce que tu opposait au raisonnement de Wallypat.

Tu dis : en fait, les 80% qui en réchappent avec le traitement, ce sont ceux (0,05*0,8=0,04%) finalement qui sont séropositifs et que le traitement réussit à rendre séronégatifs.

Est-ce que tu t'imagines ce que ton interprétation signifie? Cela veut dire pourraient supprimer cette séropositivité chez 80% des gens. Cela va à l'encontre de tout ce qu'on nous raconte, et de l'expérience des cliniciens, qui savent qu'il n'y a pas négativation par les traitements.

Le biais que tu oppose à l'argumentation de Wally fait apparaître une autre "absurdité" .

Alors je me lance je vais essayer de mieux expliquer mon point de vue. J'interprête ce qu'ils disent "diminution de 80% du risque de transmission" par : un individu qui a eu un rapport avec une personne contaminée a 0,05% de rique d'avoir été contaminée et que sans traitement il va être infecté , le virus va se développe blablabla. Si après le rapport il prend le traitement (juste après), le risque de développement de la maladie est 0,05%*0,2. OK ? Donc oui le traitement va empe^cher le virus de se multiplier et il va être éradiqué car il n'a pas eu le emps en quelques jours de se multiplier suffisament donc la personne ne développera pas l'infection. Ceci n'a rien à voir avec l'instauration d'un traitement alors que la personne est déjà infectée depuis un moment et le virus est déjà installé et présent dans les sites non accessibles aux cellules immunitaires etc.......donc là les traitement ne font que bloquer sa réplication c'est tout, le virus n'est pas éradiqué comme dans le premier cas. Voilà la théorie "officielle" comme je le pensais.

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Nico,

je poste ici le début du document en question:

Risk per 10000 exposure to an infected source

Il s'agit bien de la même chose.

Mais je te comprends bien, accepter cela est révoltant, cela conduit à l'effondrement de tout ce que nous croyions savoir jusque là...

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On remarquera que le traitement en question est généralement une bithérapie, soit... combivir, ce qui est une association AZT-3TC. Si on considère que le stress oxydatif est responsable de la séropositivité, et connaissant le pouvoir oxydant des azotures, on peut alors tout-à-fait accepter que les 20% de séropositifs proviennent en fait de l'action de cette substance (tempérée il est vrai par le 3TC)

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Je crois qu'on arrivera pas à s'entendre sur ce point !

Mais je te comprends bien, accepter cela est révoltant,

Mais ce n'est pas parce que c'est révoltant que je ne vais pas l'accepter, je n'ai aucun a priori, si je trouve que les arguments sont valables j'adhère à la théorie, le tout est de pouvoir trancher et là c'est beaucoup plus dur. Les isolations du VIH comme celles de Bess etc... n'étaient pas convaincantes mais le dernière parue

Briggs JA, Grunewald K, Glass B, Forster F, Krausslich HG, Fuller SD. Related Articles, Links

Abstract The Mechanism of HIV-1 Core Assembly: Insights from Three-Dimensional Reconstructions of Authentic Virions.

Structure. 2006 Jan;14(1):15-20.

est nettement meilleure. Il ya aussi des trucs intéressants sur l'autre que tu as , notamment l'explication des quantités énormes de vésicules qu'on voyait avant. Bon par contre c'est produit sur cellules MT4 qui apparement sont des cellules HTLV I carrying cells ??? Je n'ai pas vu d'emploi de PHA ou autres pour la culture mais ils disent "co-culture " alors bon ....... à creuser.

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Je disais avant que pour moi on ne pouvait dire "diminution de 80% du risque " que si on partait d'une étude où on sait que les personnes ont eu des rapports qu'avec des personnes contaminées. Seulement là tu peux dire si le traitement est efficace ou non et donner une efficacité.

Eh bien, lis les études de Padian et de Gray, il s'agit bien de ce cas de figure : on sait que les personnes ont eu des rapports avec des personnes contaminées. Cela peut paraître manquer complètement à l'éthique, mais cela s'est fait. Actuellement, cela ne se fait qu'en Afrique...

Et les données du tableau des CDC, je le répète, partent d'études où l'on sait que les personnes ont eu des rapports avec des personnes contaminées.

Dans les deux cas (sans et avec traitement prophyllactique), on étudie les personnes qui ont eu des rapports avec des personnes contaminées.

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Pour l'isolement du virus, le virus a pu être isolé (pas purifié par contre)

Affirmer que le rétrovirus HIV a été isolé quoiqu'il n'ait pas été purifié (comme tu l'admets toi-même) est ..... une hérésie scientifique !

Voilà ce qu'en dit Papadopulos dans le commentaire 20 de cet article :

"Pour isoler un rétrovirus, le stade de la purification EST obligatoire. ON NE PEUT PAS ISOLER UN RÉTROVIRUS SANS PURIFIER. Par définition, isoler signifie "mettre à part ou seul" (Concise Oxford Dictionary) et purifier signifie "débarasser de tout élément étranger" (Concise Oxford Dictionary). Donc, on ne peut pas prétendre avoir isolé les particules "VIH" tant que tous les contaminants présents n'ont pas été éliminés, c'est-à-dire tant que le "VIH" n'a pas été purifié".

En d'autres termes, comme tu admets que le virus n'a pas été purifié, forcément, il n'a pas pu être isolé ! L'isolation implique une purification antérieure et l'isolation ne peut exister sans cette purification. Ces deux étapes sont indissociablement liées.

Modifié par wallypat
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Ou vois-tu indiqué que l'on sait que la personne est séropositive? Leur raisonnement part du principe que ces risques constituent une source certaine de contamination, soit un risque de 100% sans traitement. Or ce principe est invalidé par nos sources officielles. Comment les médecins savent-ils que ces personnes font partie des 0,05%?

Je crois qu'il te serait répondu : " simple principe de précaution " tu ne crois pas ?

Cela me rappelle une dicussion assez longue avec un responsable d'un service infectiologie qui a tenté, par tous les moyens, de me convaincre. Et, crois - moi .... des moyens, il en a utilisé... J'ai d'ailleurs une de mes amies, alors que elle ne courait aucun risque - rapports protégés - qui s'est laissé convaincre.... Que pouvais - je faire ? Alors, elle a pris leur saloperie... Bon, elle n'en est pas morte, elle va bien.

Mais...bon ?!......

Dans cette affaire, il y a différents niveaux de réalités, mais avan tout, il y en a deux : la peur associée à l'ignorance pour beaucoup ; le mensonge, froid, calculé, le plus veule qui soit pour une minorité active, efficace et déterminée car l' " humain " ne préoccupe pas ces êtres pervers au plus haut degré...

Je crois en effet que le mal existe sur cette Terre !

E, je te ne dirai pas là : " il n'y a pas d'hommes fondamentalement mauvais, il n'y a que de mauvais sytèmes ".

Modifié par sidarta
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si le SIDA est une maladie qui détruit le système immunitaire comment se fait il que les séropositifs ne meurent pas comme des mouches avec des virus et microbes très répandus comme la grippe, le rhume, la gastro entérite et autres maladies contagieuses ?

Si leur système immunitaire est aussi bas, ne devraient ils pas vivre dans des bulles comme ces enfants qui naissent sans système immunitaire ?

Pourquoi les séropositifs attrapent-t-il des maladies exotiques qui sont très rares et qui deviennent mortelles pour eux alors qu'ils evitent ou résistent à la grippe, au rhume, à la gastro etc. ?

Quand à la photo : il a déja été dit auparavant sur ce topic le pourquoi et le comment se fait scientifiquement une isolation de virus, particulièrement qu'il faut qu'il soit isolé dans le sang d'un malade et non pas dans une culture fabriquée de toute pièce (voir le principe de Koch sur la façon d'isoler un virus). Il suffit de relire ce topic pour trouver les réponses.

Pour la question de la charge virale : voir l'étude sur les souris qui démontrent que les tests qui mesurent la charge virale se basent sur un marqueur non spécifique.

Diamant

Je pense pouvoir fournir une explication, qui aura l'heur de détruire (encore une fois) un des aspects fondamentaux de la théorie orthodoxe du sida, ce qui n'est pas pour me déplaire bien sûr.

En réalité, le "sidéen" (pour faire court, pas par impolitesse) ne meurt JAMAIS d'une infection opportuniste ! C'est une erreur terrible de dire qu'un sidéen meurt d'une infection opportuniste. Et c'est justement parce qu'on part de ce présupposé que l'on mesure les T4, dont la chute progressive traduirait une chute de l'immunité (mais à tort en outre : les T4 pouvant être mesurés ne sont uniquement que ceux qui circulent dans la sang; or c'est perdre de vue que 97% des T4 se trouvent dans les tissus et que c'est justement là que les T4 font l'essentiel de leur travail de protection immunitaire; voilà qui expliquent pourquoi des séropos avec très peu de T4 ou pas du tout un moment donné vivent encore très bien, car ils ont encore leurs T4 dans les tissus, mais ceux-ci ne peuvent pas être mesurés avec les tests traditionnels de mesure des T4.).

Les sidéens ne meurent JAMAIS d'infections dites "opportunistes". En effet, une infection opportuniste est une infection bactérienne qui se développe lorsque le système immunitaire s'affaiblit terriblement. Comme le dit diamant bleue, si un sidéen avait réellement un système immunitaire réellement affaibli, ils devraient mourir de n'importe quelle infection (comme la grippe, rhume, gastroentérite, etc... comme le dit si bien diamant bleue) et en quelques jours (si pas heures). Bref, ils devraient vivre dans des bulles à l'abri de tout microbe et virus (à supposer que ces derniers existent, mais ce point est abordé dans d'autres topics). Mais ce n'est pas de ça qu'ils meurent.

Comme le dit diamant bleue, les sidéens meurent de maladies "exotiques" (la plupart tropicales), tout en continuant à affronter avec succès les infections opportunistes habituelles, et ce comme n'importe quel séronégatif.

En réalité et à ma connaissance, toutes les maladies exotiques (PCP, sarcome de kaposi, CMV, ...) dont ils meurent n'ont guère de rapport avec le système immunitaire ou un affaiblissement supposé de celui-ci.

Ces maladies exotiques (soit les 29 maladies dites caractéristiques du sida) ont la particularité d'être toutes (sauf erreur de ma part) causées par des organismes qui ne peuvent prospérer que dans un organisme en manque d'oxygène (raison pour laquelle ils peuvent se développer même chez des personnes dont les fonctions immunitaires sont parfaites, ce qui est justement le cas des sidéens puisqu'ils se défendent parfaitement ou presque contre n'importe quelle infection opportuniste). Bref, ces organismes se développant dans un organisme peu oxygéné ne sont pas des infections opportunistes ----> mesurer les T4 relève presque de l'aberration, encore plus pour justifier le début de quelque trithérapie que ce soit !

Ces organismes prospérant en l'absence d'oxygène sont entre autres les mycètes, des sortes de champignon (comme le PCP, et le candida) qui peuvent produire de l'énergie en dehors de l'oxygène grâce à des enzymes particulières.

Or que se passe-t-il chez un sidéen (ou même séropo) ? Ils souffrent de stress oxydatif (comme l'a maintes fois expliqué Cheminot), ce qui signifie que le sang est oxydé et donc que le sang ne peut plus du tout ou plus aussi efficacement transporter l'oxygène dans l'organisme. Et dès lors, ces maladies "exotiques" causées par ces organismes ne pouvant se développer que dans un organisme mal oxygéné apparaissent et se développent, le système immunitaire - toujours en bon état de fonctionnement - du sidéen continuant à se défendre efficacement contre les infections opportunistes "traditionnelles". Et ces mycètes ont la particularité de se développer sur les matières organiques mortes par défaut d'oxygénation.

Cela explique entre autres pourquoi le candida, dont nous sommes presque tous porteurs, ne devient pathogène qu'en cas de stress oxydatif et pourquoi les séropos en souffrent et les sidéens en meurent. Idem pour les autres infections dites typiques du sida.

CONCLUSION :

1) Je pense qu'il faut cesser définitivement de dire que les sidéens meurent de maladies opportunistes ! Non seulement, c'est faux (ils ne meurent que de maladies ne pouvant apparaître que dans un corps mal oxygéné) mais cela induit l'idée erronée qu'un séropo doit examiner régulièrement l'évolution de ces T4.

2) L'explication que je donne à diamant bleue (basée sur une "impression" obtenue à la lecture d'articles que je ne peux plus retrouver (car j'ai en ai bien lu au moins 150 sur les arguments de la dissidence) ne peut en aucune façon être expliquée par la théorie orthoxode d'un (pseudo) virus qui détruirait progressivement les T4 (car alors, le sidéen devrait mourir de n'importe quelle infection opportuniste), mais prouve bien au contraire que le sida est causé par le stress oxydatif !

Bref, répondre à la question de diamant bleu, c'est détruire une fois de plus la théorie orthodoxe du sida !

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Bonne et vieille question Wally, c'est sans doute parce que les tri thérapies "protègent" d'une certaine façon ... message facilement porteur dans le grand public puisque le message associé ne fait même pas imaginer au grand public qu'il peut y avoir des séropos (occidentaux) qui ne se "soignent" pas ... quelques fous peut-être ...

Bien sûr et consécutivement, ce beau raisonnement ne s'applique pas aux séropos "free de traitement et qui ne sont jamais malades" (il ne peut y en avoir dans le culte) ... et si il y en a ... il faut les faire taire ! ... ces gens là sont empoisonnants à ne pas se laisser ainsi empoisonner.

Remarque que dans le cas des gens sous traitement, il est difficile de distinguer la gastro-entérite classique des effets laxatifs avérés des médocs ... et comme on est naze sans arrêt, il devient difficile de distinguer la mauvaise grippe de la nazitude ...

Pour ceux-là (les free de traitement), on doit se référer à une période de latence plus longue que la moyenne pour des raisons mystérieuses et admettre le principe que tout doit s'effondrer d'un coup sans crier gare. Encore un effet de seuil ... mais nul doute que ça arrivera selon la doctrine ... et si ça dure quand même trop, on inventera une particularité génétique pour expliquer l'injustifiable. Il faut blinder le dogme.

En vérité, tout se passe comme si la progressivité n'existait pas : on est tout malade d'un coup ou pas malade du tout. Le système immunitaire ne répond pas à une logique bénoîte : quand il déconne un peu, il continue à faire face pleinement ... ce n'est pas comme un 6 cylindres qui marche sur 4 ...

... et quand il déconne plein pot, c'est la bérézina ...

Tout ce bel édifice repose sur l'unité de mesure dudit système ... essentiellement le CD4 circulant.

Mais est-on dans le vrai déjà exactement à ce niveau là ? Je crois avoir lu déjà des choses moins carrées que cela, non ?

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Sur les maladies "exotiques" la réponse est simple : donne de l'azt et autres bactrim a n'importe qui (pas besoin d'etre etiquetté SIDA) et tu auras l'apparition de ces maladies "exotiques".

Les "séropo" ne succombe pas à un rhume ou a une gastro (s'ils ne sont pas complètement intoxiqués par de l'AZT ou autres) parce que leur système immunitaire va bien... Tout simple. Il reagit normalement.

Tout à fait.

L'AZT et le bactrim causent un fort stress oxydatif. Cela explique pourquoi ils causent également ces maladies "exotiques", mais également des maladies liées à un affaiblissement du système immunitaire parce qu'en outre ils sont immunotoxiques ! Il en va de même des trithérapies, mais dans une moindre forte mesure puisque certaines de ces trithérapies ont un effet anti-oxydant également. En revanche, elles causent d'autres maladies non spécifiques à l'AZT.

Les "séropo" ne succombe pas à un rhume ou a une gastro (s'ils ne sont pas complètement intoxiqués par de l'AZT ou autres) parce que leur système immunitaire va bien... Tout simple. Il reagit normalement.

Tout à fait.

Mais les choses se compliquent donc un peu si ces séropos sont sous drogues antivirales, puisqu'ils peuvent alors également mourir accessoirement de maladies réellement opportunistes, ces drogues dites "antivirales" étant réellement immunotoxiques et affaiblissant réellement le système immunitaire contre les infections opportunistes. L'orthodoxie du sida en "profite" pour dire que cela est la preuve qu'ils meurent d'infections opportunistes traditionnelles causées par le (pseudo) VIH ..... alors qu'elles doivent clairement être mises sur le compte des drogues antivirales. Car avant l'AZT, les sidéens ne mourraient QUE de ces infections exotiques.

Bref, la théorie orthodoxe du sida est une suite incroyable d'erreurs d'interprétation et du désir absolu de trouver coûte que coûte un (rétro)virus comme agent responsable du sida !

Modifié par wallypat
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