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**[SIDA] : le "VIH" ne cause pas le SIDA ** 2/3


Vitosi
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Wallypat, peut être peut-on recommander la lectures des liens qu'Ecliptux a mis en entête de ce topic :

http://www.onnouscachetout.com/forum/viewtopic.php?p=13105

Il y a d'ailleurs mis le lien sur cet essai de résumé de la position de certains dissidents tels le Groupe de Perth

Modifié par Cheminot
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en ce qui concerne le seuil des tests, il suffit de lire les documents joints aux appareillages, et cet index apparaît sans aucune explication.

Voici ce que l'on lit :

Il est clair qu'une valeur seuil existe.

Ce qui est plus curieux encore quand on lit ce texte en détail, et qui pourrait présumer de la mauvaise foi ou de l'incompétence des fabricants de tests, c'est que les agents oxydants semblent faire apparaître une fausse positivité (avant dernier point)

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remise en place d'un lien correct.

Noter aussi que les agents oxydants induisent une fausse positivité (c'est écrit dans le texte)

Modifié par Cheminot
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http://www.professeur-joyeux.com/actualites.htm

Actualités

Le programme du Congrès International à Baveno (1-2 octobre 2005) - document à télécharger (format pdf)

Le Professeur Luc Montagnier et le Professeur Henri Joyeux sont en complet accord pour tous les aspects prévention des maladies de civilisation : cancer, obésité, diabète, maladies auto-immunes et du vieillissement. Au congrès international qui a eu lieu les 1 et 2 octobre 2005 en Italie (Baveno).

CONFÉRENCE DU PROFESSEUR JOYEUX (12.03.2005)

Comment parler aux enfants de santé, d'amour et de sexualité.

ça vaudrait la peine d'avoir la position du Pr Joyeux sur le VIH, non ?

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Je parlais du problème de l'identification des protéines il y a deux semaines je crois. Et en lisant le livre de Etienne de Harven, je suis tombé sur ça

par exemple, la protéine p24 correspond au poids moléculaire de la myosine et la p41 à celui de l'actine

Donc, en fait, la protéine p24 serait purement et simplement inventée, de même que la p41. Il n'y a pas de p24 ni de p41. La p24 c'est de la myosine et la p41, c'est de l'actine.

Ce n'est pas nouveau bien sur. C'est déjà sur Internet depuis longtemps. Mais, n'ayant pas conscience de ce problème de l'identification des protéines, je n'avais pas vraiment tilté jusqu'à maintenant. Et je ne pense pas que les gens qui tombent sur ce genre de chose tiltent complètement non plus. Ce qui empêche, comme moi, les gens de percuter, c'est qu'ils se disent que le système d'identification des protéines est complètement au point et qu'on sait identifier telle protéine sans problème. Donc, quand on dit que telle protéine est la protéine p24, on ne peut pas se tromper et la confondre avec la protéine de la myosine. C'est seulement quand on prend conscience qu'il peut y avoir un problème à ce niveau-là qu'on commence à mieux tilter.

Donc, se pose de façon plus large le problème de l'identification des protéines. Comment sait-on que telle particule trouvée dans le corps est la protéine X ? Apparemment, on se base sur 1) une méthode anticorps-antigène ; 2) l'identification du poids moléculaire de la protéine en question. Peut-être qu'il y a d'autres méthodes. Mais comme j'en suis au début de l'analyse de ce problème, je ne les connais pas.

Problème, si les anticorps sont non spécifiques d'un antigène, voir, qu'il n'y a pas de système clef-serrure, la méthode anticorps-antigène est invalide. Il ne reste donc que le système du poids moléculaire.

Déjà, ce qu'on peut se dire sur ce système du poids moléculaire, c'est que ça ne donne pas beaucoup de renseignements sur la protéine. Sans l'aide du système anticorps-antigène, ça limite quand même beaucoup l'information qu'on peut avoir sur une protéine. Qu'est-ce qui empêche de prendre une protéine pour une autre ? Pas grand chose peut-être bien.

Modifié par aixur
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En ce qui concerne le diagnostic ELISA et le problème de la valeur seuil avec la mesure de l'absorbance il me semble qu'on ne peut pas obtenir une valeur nulle pour une personne "négative". En effet, la valuer de 0 est attribuée au réactif sans echantillon de patient. Quand on met en plus le sérum d'un patient, il y a forcément une augmentation de l'absorbance de part le matériel contenu dedans. Après le problème c'est le seuil négatif/positif. Un de nos technicien a développé des tests ELISA pour de nombreux virus depuis plus de 20 ans, je vais lui demander ce type de renseignements.

Aixur, avec un WB tu identifes la protéine et en même temps tu obtiens son poids moléculaire car on fait migrer en même temps des protéines de poids moléculaires connus. Quant au fait que p24 c'est de la myosine, je ne pense pas que cette protéine soit exprimées dans les cellules sanguines ni présente dans le sérum.

Ce qui est frustrant c'est que des manips de contrôle comme vous les voudriez seraient très faciles à faire.

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Aixur, avec un WB tu identifes la protéine et en même temps tu obtiens son poids moléculaire car on fait migrer en même temps des protéines de poids moléculaires connus. Quant au fait que p24 c'est de la myosine, je ne pense pas que cette protéine soit exprimées  dans les cellules sanguines ni présente dans le sérum.

Ok. Merci de l'info, je ne savais pas que le WB donnait aussi le poids moléculaire.

Cela dit, le problème que j'évoque n'est pas en aval, mais en amont. Que le WB blot donne le poids moléculaire ok, mais ce qui pose problème, c'est la première fois où on détermine le poids moléculaire de la protéine, lors de l'isolement du virus ou de la découverte de la protéine en question. Le problème, c'est, est-ce qu'il n'y a pas beaucoup de protéines qui partagent le même poids moléculaire ? Ce qui ferait que le poids moléculaire de la protéine ne serait pas discriminant. Et, avec l'hypothèse qu'il n'y a pas de système clef-serrure anticorps-antigène, on se demande alors comment on détermine que telle protéine est bien la protéine X ou Y.

Et pour le WB, si, comme je le suppose, il n'y a pas de système clef-serrure, alors, le WB ne donne plus que le poids moléculaire. Et encore faut-il qu'il le fasse de manière précise. Parce que si c'est imprécis, on peut très bien prendre une protéine pour une autre. Parce que je suppose que le WB doit être quand même moins précis pour déterminer le poids moléculaire de la protéine que la spectrométrie de masse.

Du coup, sans système clef-serrure, il pourrait très bien y avoir, dans les cellules sanguines ou dans le sérum, des protéines de poids moléculaire à peu près identique à celui de la p24 et de la p41 (sans être de la myosine ou de l'actine) qui réagiraient avec des anticorps supposément spécifiques des protéines p24 et p41.

Modifié par aixur
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Voici un lien intéressant:

http://fr.allafrica.com/stories/200512050699.html

où l'on lit deux choses :

- une femme africaine séropositive en bonne santé sans antirétroviraux au bout de 18 ans, ce qui montre bien que la séropositivité n'entraîne pas vraiment le sida en Afrique (alors, si elle l'entraîne en Europe, où est l'erreur?)

- la confusion encore et toujours entretenue entre séropositivité et maladie sida.

bref... il y a du pain sur la planche.

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Tiens, pour soulever un problème interne à la théorie officielle, à propos de la "mort" du "virus" dans l'air, est-ce qu'il y a des documents prouvant ça ?

Parce que, dans la mesure ou le "virus" n'est qu'un petit amas de protéines, la seule façon d'être détruit dans l'air, c'est d'être oxydé à priori, ou d'être transformé par la chaleur. Mais si c'est pris dans l'eau d'un postillon par exemple, pourquoi ça ne survivrait pas pendant quelques dizaines de minutes et pourquoi ça ne serait pas transmissible comme la grippe ? Donc, on peut se demander s'il y a eu des études de faites là-dessus ou si c'est un truc balancé comme ça comme une simple explication ad hoc.

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Le retour sur scène de Stefan Lanka, à propos de la grippe aviaire, des vaccinations et du sida :

http://www.faktuell.de/Hintergrund/Background367.shtml

Vogelgrippe und H5N1, Impfen und AIDS.

Herr Dr. Lanka, sind wir in Deutschland durch die Vogelgrippe bedroht?

Nur indirekt.

Im nächsten Jahr wird es in Deutschland viel weniger Babys geben.

Folgt man den Medien, werden alle Störche durch die Vogelgrippe dahingerafft werden. Darauf sollten wir uns jetzt einstellen.

Dr. Lanka, sommes-nous menacés parla grippe aviaire en Allemagne?

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SL : Seulement indirectement

L'an prochain il y aura moins de naissances en Allemagne. Si l'on en croit les médias, toutes les cigognes vont être emportées par la grippe aviaire. Nous devons dès aujourd'hui prendre des mesures à ce sujet.

Suit bien entendu un interview bien plus sérieux!

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Invité Kinipou

Bonjour à tous,

Ci-dessous les e-mail que ma chérie (Babo) et Sida Info Service se sont échangés il y a quelques jours.

Comme vous pourrez le constater, ma chérie était quelque peu... "colère".

Cheminot j'ai bien reçu ton message, j'en prends bonne note et je t'en remercie.

Bonjour,

En 1998, à l'occasion d'un lymphome amygdalien non hodgkinien, mon père, qui était alors âgé de 60 ans, a été décelé séropositif au VIH. (!)

Je précise que mon père souffrait depuis plusieurs années déjà d'une neuropathie périphérique invalidante, d'une hépatomégalie importante et de diverticules intestinaux; résultante d'un lourd traitement pris des années auparavant

composé d'isionazide, de streptomycine et de para-amino salicylique contre la tuberculose.

Aussi, à la vue de ses antécédents médicaux, pouvez-vous m'expliquer pourquoi ses médecins soi-disant spécialistes du VIH (dont un pneumologue qui connaissait fort bien les effets à long terme d'un lourd traitement anti-tuberculeux) n'ont rien trouvé de mieux de lui prescrire, en première intention, une

trithérapie composée de ZERIT (à proscrire pour un patient souffrant déjà d'une neuropathie), d'EPIVIR et de VIRACEPT (à proscrire pour un patient ayant des diverticules intestinaux)?

Par ailleurs, ces mêmes médecins ont prescrit du ZERIT à mon père tandis qu'il suivait dans le même temps un lourd traitement chimiothérapique (lymphome) à base d'ONCOVIN (lui-même néfaste en cas de neuropathie) tandis qu'il est INTERDIT de prescrire du ZERIT à un patient en chimiothérapie ou s'apprétant à suivre une chimiothérapie.

Enfin, ne pouvant plus supporter les effets du ZERIT et du VIRACEPT (diarrhée chronique incompatible avec des diverticules intestinaux!) ses médecins ont remplacé ces derniers par du RETROVIR (AZT), l'un des pires antirétroviraux existants, et du VIRAMUNE que j'imagine très approprié à un patient souffrant

d'une hépatomégalie!

DU TOUT ET DU N'IMPORTE QUOI EN SOMME!!!

Au final, mon père a été contraint de cesser tout antirétroviral, n'en supportant plus aucun. Mieux, à cause des antirétroviraux et de l'inconscience de ses médecins, ces derniers n'ayant pas tenu compte de ses antécédents médicaux, la neuropathie de mon père a progressé et le VIRAMUNE a aggravé ses

problèmes hépatiques (il a frolé l'hépatite!).

Je suis scandalisée par tant de légerté et d'inconscience (incompétence?)! A la vue de l'état actuel de mon père, j'en arrive à penser que ses médecins sont des criminels et que mon père leur a servi de cobaye!

Isabelle

Bonjour,

Dans votre témoignage, il semble que certains éléments relatifs à la réalité médicale de l'époque ne sont pas pris en compte. De même, il conviendrait de mesurer les difficultés que pose la situation médicale complexe de votre père.

L'arsenal d'antirétrovraux dont la médecine disposait en 1998 n'est pas celui que nous connaissons aujourd'hui. Les effets indésirables du Zérit (neuropathies) n'étaient à cette époque connus qu'en utilisation combinée avec Videx.

La trithérapie qu'a reçue votre père correspond à ce qui pouvait être proposé de mieux en 1998, et il semble bien que la prise en charge médicale de votre père a été couronnée de succès : il est en vie. Cela s'est fait aux prix d'effets indésirables certes, mais à notre connaissance il n'existe aucun médicament sur terre dépourvu d'effets indésirables.

Il n'est nulle part mentionné qu'il est interdit de prescrire Zérit à un patient en chimiothérapie, ou s'apprêtant à suivre une chimiothérapie, surtout pour un cancer associé au sida.

Nous nevoyons pas en quoi le Rétrovir peut constituer "le pire antirétroviral existant", il s'agit d'une des molécules les plus largement prescrites, qui comme toutes les autres, ne saurait être dépourvue d'effets indésirables.

Nous ne voyons rien de scandaleux dans la prise en charge médicale de votre père, il nous semble au contraire que son médecin a fait au mieux avec les outils dont il disposait, obtenant le succès souhaité (la vie) pour un patient présentant plusieurs pathologies très lourdes.

Il nous paraît utile de rappeler que l'espérance de vie d'un patient atteint d'un lymphome non hodgkinien n'excédait pas deux ans en 1998, votre père est en rémission depuis suffisamment longtemps pour que la guérison complète du lymphome puisse être évoquée, à juste titre.

Nous entendons votre colère et savons qu'il est difficile de voir un proche souffrir, mais dans la situation précise que vous avez portée à notre connaissance, nous ne voyons aucune trace de légéreté, d'inconscience ou d'incompétence médicale. Nou voyons plutôt le courage d'un médecin qui a décidé de se battre envers et contre tout pour son patient.

Nos observations se veulent neutres malgré l'apparence qu'elles peuvent revêtir à vos yeux. Notre objectif est simplement de rétablir un lien de confiance avec la médecine.

Merci pour votre confiance.

N'hésitez pas à nous recontacter par internet ou par téléphone en appelant Sida Info Service au 0 800 840 800.

L'appel est anonyme et gratuit et accessible 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.

Depuis l'étranger, il est possible de contacter Sida Info Service au 33 1 55 25 13 53 (au coût d'une communication internationale)

----------------------------------------------------

www.sida-info-service.org

Le contenu de votre e-mail me scandalise au plus haut point dans la mesure où il dégage une espèce de défense intéressée du corps médical dans le même temps quune espèce de mépris du malade. Qui accompagnez-vous donc ? Les médecins ou les malades du sida ? Jai grand mal à savoir. Plutôt que de vous exprimer de façon aussi diffuse, vous auriez du mécrire « votre père devrait sestimer heureux dêtre encore en vie » ou encore « cest le prix à payer pour être en vie », jaurais tout aussi bien compris ! Mon père est en vie, certes, mais dans quel état !!!

Un malade na-t-il pas droit à linformation sur son état de santé ? Un malade na-t-il pas le droit de recevoir les soins les plus appropriés ; les actes de soins ne devant pas lui faire courir de risques disproportionnés ? Le médecin ne se doit-il pas de fournir au malade des informations sur les différents traitements qui lui sont proposés et sur leurs conséquences ? Le médecin ne doit-il pas obtenir le consentement du malade avant dinstaurer une thérapeutique sauf cas durgence ? Concernant le VIH/sida, il est évident que si les médecins fournissaient aux malades de vraies informations sur les traitements antirétroviraux et sur leurs conséquences réelles, sans nul doute quils nobtiendraient aucun consentement.

A aucun moment mon père na bénéficié de lensemble de ces droits. Lorsquil posait des questions, soit quil de venait trop curieux, le médecin répondait « faites-moi confiance, cest moi le médecin... » ou encore « japplique les directives, voilà tout ! ». Comme si mon père avait passé une espèce daccord de pseudo confiance patient-médecin basé sur la dissimulation et la falsification de certains faits ; de la vérité. Pire, tandis quil était hospitalisé, sous morphine, soit dans un état de semi-conscience, une aide-soignante a eu le culot de lui faire signer des documents. Mon père na jamais su ce quil avait signé.

Aussi, jaffirme que mon père est victime, comme beaucoup dautres, de dommages liés aux traitements ; soit quil souffre désormais daffections iatrogènes. Je vais même plus loin en affirmant que mon père a été victime de dommages imputables à une erreur de diagnostic mais ce serait entrer dans la polémique qui est faite autour de la thèse officielle qui stipule que lhypothétique VIH serait responsable du sida ; thèse officielle à laquelle mon père, ma mère, mon conjoint, lui aussi soi-disant infecté par le VIH, et moi-même nadhérons plus.

Enfin, pour reprendre les propos de votre e-mail, il est faux de dire que la neurotoxicité du Zérit navait pas encore été bien établie en 1998. En effet, jai conservé la notice (et de nombreuses autres) de la toute première boite de Zérit que mon père ingéra en 1998. Aussi il y est écrit, en contre-indications : « ... neuropathie périphérique... association à un traitement neurotoxique... » ; en effets secondaires : « ... neuropathie périphérique pouvant nécessiter larrêt du traitement... » ; enfin, en interaction médicamenteuses: « ... augmentation du risque de neuropathie périphérique en cas dassociation avec : amphotéricine B, isoniazide, flucytosine, métronidazole, sulfamides, ddI, ddC, phénytoïne, vincristine (Oncovin), dérivés du platine... ». Voilà qui est sans équivoque.

Concernant le Zérit en interaction avec lOncovin, je suis entrée en possession de deux protocoles hospitaliers stipulant quil est vivement déconseillé (pardon si jai utilisé le mot « interdit » dans mon premier e-mail) de prescrire de la stavudine (Zérit) à un patient subissant ou devant subir une chimiothérapie à base de vincristine (Oncovin), lassociation des deux pouvant révéler ou aggraver une neuropathie... Le Pr Delfraissy lui-même a écrit, dans lun de ses rapports, je cite : « ... le contrôle de la réplication virale VIH par les antirétroviraux est associé à une nette amélioration de la survie des patients traités pour un lymphome. Ceci justifie le maintien de linstauration dun traitement antirétroviral efficace parallèlement à lintroduction de la chimiothérapie. Ce traitement doit toutefois prendre en compte les problèmes de toxicité cumulée (hématotoxicité de la zidovudine (AZT), neurotoxicité de la stavudine (Zérit) associée à la vincristine (Oncovin) ou à la vinblastine... » Là aussi, cest sans équivoque.

Quant à lAZT, molécule dont vous ne voyez a priori pas la dangerosité, je ne pense pas quil soit utile dépiloguer. Vous connaissez fort bien les effets plus que néfastes de cette substance mais vous feignez de ne pas la connaître. En somme, vous ne voulez pas (et ça se comprend) décrier des médicaments fabriqués par des établissements qui vous aident à vivre (vous et dautres associations censées informer, défendre et accompagner les malades du sida telles que Aids ou encore Act-Up pour ne citer quelles) à laide de dons. Mon avis est que vous utilisez des techniques de linformation de masse pou induire en erreur, cacher ou travestir les faits ; la réalité. Vous désinformez.

Non seulement, et je le répète, les médecins ont fait preuve de négligence et dinconscience en ne tenant pas compte des antécédents médicaux de mon père, pourtant importants (dans ses derniers comptes-rendus médicaux pré-VIH, il était écrit « neuropathie périphérique très évoluée » et « hépatomégalie importante : foie gros de 150 mm en plus de la norme »), mais en plus, ils nont jamais été à son écoute, se moquant de son mal-être, des effets indésirables et invivables quil ressentait chaque jour, de ses résultats sanguins bien souvent alarmants. Cétait toujours « bon ». Tout allait toujours « bien ». En 7 années de trithérapie acharnée (mon père na jamais omis dingérer une prise), naïf, confiant et discipliné, sempoisonnant lentement mais sûrement tandis quil croyait se soigner, mon père na jamais pu bénéficier dune pause thérapeutique malgré des T4 tournant toujours autour de 400/500 et une charge virale constamment indétectable ; na jamais effectué de dosage sanguin ; passé dexamen du cur ou du foie, ayant un taux de gamma GT, dALAT et dASAT en constante progression (Viramune !!!). Scandaleux !!! Honteux !!! Du moment que le taux de T4 est à peu près correct et que la charge virale est au plus bas, le reste du corps peut partir en vrille, ce nest pas grave ! Honteux !!! Scandaleux !!! Comme je men veux davoir cru en tout ça !

A la vue du nombre dantirétroviraux qui existait déjà en 1998 (fin 1998), les médecins avaient le choix. Or, ils ont préféré, avec une bienveillance dont on ne saurait douter, lui prescrire lantirétroviral (Zérit) le plus incompatible avec une neuropathie déjà présente et lantirétroviral (Viramune) le plus incompatible avec une toxicité hépatique déjà présente. Je ne parlerai même pas de lAZT ou du Bactrim ; de toutes ces substances qui ont le quasi même mode daction : empêcher toutes les cellules vitales de lorganisme (globules rouges, globules blancs, plaquettes) de se renouveler. Aussi, que faut-il en déduire ? Que ces médecins appliquent aveuglément les fameuses directives ou trouvent-ils intéressant de prescrire des médicaments contre-indiqués dans le but dobserver les dégâts quils occasionnent ? Vous savez, comme ces petits cobayes de laboratoires, sujets dexpériences.

Enfin, en février dernier, ayant perdu toute confiance dans le médical, ne croyant plus à cette sordide histoire de VIH/sida, fatigué de nêtre pas écouté, fatigué par les trop nombreux effets indésirables et fatigué tout court, contre toute attente, contre lavis de son pseudo médecin hospitalier mais avec lassentiment de son médecin généraliste, le seul à avoir été lucide, mon père a arrêté de prendre son traitement antirétroviral et ne la pas repris depuis. Par chance, tous les résultats inhérents à létat de son foie sont redevenus normaux mais ses cellules peinenet à se renouveler et sa neuropathie ne cesse de progresser par crise extrêmement douloureuses, invalidantes.

Mon père ne veut plus reprendre dantirétroviral et ne le peut plus car chaque antirétroviral existant aggravera chacune de ses affections (neuropathie, foie, intestins) et en révélera sûrement dautres. Aussi, au final, que vont dire les médecins ? Que mon père est en « échappement thérapeutique » ? plutôt que davouer que les antirétroviraux, les substances chimiothérapiques et les forts antibiotiques lont intoxiqué jusquà los ?! Et si le gros pépin arrive, ils diront quil a été rattrapé par le sida !!! Qui va réparer les dégâts désormais? Vous êtes tous coupables !

Isabelle

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Oui j'aimerais vraiment lire cet article de Lanka. Au fait il fait quoi exactement parce qu'à part 3 publis, plus rien après 95. Désolé mais je vais peut être être un peu méchant mais bon on va dire à prendre au second degré !

En gros sur le site http://www.neue-medizin.com/lanka2.htm il nous dit que la grippe, ébola et tout n'ont pas été isolés (oups ça ma fait penser que je ne t'ai pas donné de référence pour la grippe Aixur, désolé en ce moment je suis plutôt occupé). Soit pour HIV et rétro à voir mais pour la grippe je rigole. En gros à part ses 3 pauvres publi sur Ectocarpus siliculosus virus (vous connaissez ? pas moi !!!!!!!!!!!) y'a rien depuis 10 ans. Il s'est mis comme expert auprès des autorités icon_lol.gif ? Bon effectivement s'il dit maitenant que les virus n'existent pas ça va être dur de publier. Comment alors peut il donner un avis objectif sur la grippe alors ? Ahhhhhh comme vous le dites les chercheurs sont vraiment à la rue !

Je vais essayer de vous répondre pour le WB, ELISA Aixur et Cheminot mais je n'aurai du temps que ce WE. Au fait on a perdu celui qui bossait sur HIV, dommage.

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Que doivent donc penser les dissidents du sida de l'affirmation suivante ?

Les séropositifs qui sont testés tardivement ont 16 fois plus de (mal)chances à l'heure actuelle d'atteindre le stade du sida déclaré et de mourir car ils n'ont pas eu la "chance" de bénéficier des drogues antivirales à un stade plus précoce de la "maladie"!

Je pense qu'en six mois, j'ai déjà lu pas mal d'écrits émanant des dissidents du sida (mais pas sur ce site, car je ne suis pour le moment qu'à la page 21 de ce sujet qui en comporte à l'heure actuelle 130; donc, si jamais le sujet a déjà été abordé auparavant, je prie les lecteurs de m'excuser), mais en tout cas, je n'ai pas encore lu quelque commentaire sur cette affirmation.

L'assertion qui précède est régulièrement répétée de façon péremptoire et depuis nombre d'années par les association de défense du sida (genre Act Up, Aides, Sneg, etc.) pour inciter - par la peur - les gens à se faire "dépister" le plus rapidement possible.

Il m'est venu quelques (très brèves) réflexions sur le sujet mais je serais ravi si d'autres dissidents sur ce site pouvaient également me faire part de leurs réflexions (ou me renvoyer à un autre endroit sur ce forum ?).

1) A supposer que cette affirmation soit ne fût-ce que partiellement exacte (ce dont je ne doute pas, de prime abord), n'est-elle pas de nature à démontrer que passer un test HIV le plus tôt possible reste malgré tout utile, entre autres à l'effet de constater l'état de dégradation de l'immunité de la personne en question ? Comme le semblent affirmer malgré tout pas mal de dissidents.

2) Sur quoi se basent-ils pour faire de telles affirmations ? Sur quelles statistiques ? N'est-ce pas plutôt les agissements du corps médical dans ce cas de figure qui font artificiellement monter les risques de sida déclaré ?

3) Ceux qui ont atteint ce stade ont-ils négligé à ce point leur santé ? Car je suppose que s'ils ont 16 fois plus de "chances" de faire un sida déclaré, c'est qu'ils ont souffert ou souffrent déjà de maladies "typiques" du sida déclaré, dont ils se sont volontairement cachés la véritable origine (le "virus" pour ceux qui croient encore en cette ineptie; le stress oxydatif pour les autres) ? Ou alors qu'ils n'en souffrent pas encore mais qu'ils ont un taux de T4 tellement bas (quoiqu'ils soient encore très bien portants) que les médecins croient nécessaire de leur donner des mégadoses de drogues antivirales, ce qui ne ferait en réalité qu'aggraver leur immunodépression et favoriser le passage au sida ?

4) Cette affirmation n'est-elle pas au contraire un argument de plus pour que les thèses dissidentes soient connues de tous le plus tôt possible afin d'éviter justement d'atteindre le sida déclaré ?

5) Ou, au contraire, cette affirmation serait-elle de nature à énerver quelque peu les thèses dissidentes ?

J'avoue que cette affirmation me trouble dans une certaine mesure (je l'ai encore lu pas plus tard qu'une semaine) et je ne sais comment l'appréhender. J'essaie juste de mieux comprendre les thèses dissidentes dans leur globalité.

Merci d'avance pour vos avis !

Modifié par wallypat
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Voici un avis qui vaut ce qu'il vaut.

Quelles ont été les sources qui ont permis de faire cette comparaison?

En gros, il faut penser que les cas à partir desquels elle a été construite sont des personnes qui sont passées par le système médical.

Elles ont donc subi des traitements à partir du moment où elles ont été vues, surtout au début.

Comme le mythe a été créé dans les années 80, on considère que ce qui arrivait à cette époque était la course normale de la maladie, et cela le demeure aujourd'hui.

A cette époque, les gens étaient surbombardés avec toutes sortes d'antibiotiques pour les maladies opportunistes, et mourraient en un an.

Puis on a remplacé ces antibios par l'AZT. Les gens mourraient en deux ans.

Et depuis 96, les gens meurent en 10, 15 ans ou ne meurent plus, "grâce" aux trithérapies.

C'est ainsi que l'on pense que les personnes non traitées correspondent à celles des années 80-85, et les personnes traitées celles qui vivent aujourd'hui en ayant utilisé les trithérapies. On arrive bien à des rapports d'espérance de vie de cet ordre.

Ils ne tiennent pas compte dans leurs calculs des "séropositifs" non traités, qui ne voient jamais de virologue.

Or, des études "stupéfiantes" ont montré qu'en Uganda, sans remède, l'espérance de vie d'un séropositif diagnostiqué au temps t=0, était en moyenne de 10 ans.

Morgan D et al. HIV-1 infection in rural Africa: Is there a difference in median time to AIDS and survival compared with that in industrialized countries? AIDS. 2002; 16:597-603.

Morgan D et al. Progression to symptomatic disease in people infected with HIV-1 in rural Uganda: prospective cohort study. BMJ. 2002 Jan 26; 324:193-6.

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Invité Kinipou

Merci pour elle (Babo) Diamant Bleu.

Il est évident que ce dernier e-mail ne va resté sans réponse de la part de Sida Info Service, mais qu'à cela ne tienne, elle répondra une fois encore. Elle n'est pas à bout d'arguments et elle est très remontée en ce moment. Je pense même qu'elle compte même aller plus loin en demandant une explication à chaque professeur et médecin ayant "suivi" son père. Elle les a tous recensés, pris leurs adresses, écrit des brouillons... je sais qu'elle va le faire. Je la connais.

Sinon son père va beaucoup mieux sur le plan neuro-musculaire (la crise est passée) mais une candidose buccale est subitement réapparue avec forte douleur de déglutition. Ca n'arrête pas. Les toubibs se bornant à vouloir le traiter avec des antifongiques locaux et des antibiotiques, il ne veut plus les consulter. Babo fait ce qu'elle peut pour l'amener à consulter un homéopathe (il n'a jamais touché à l'homéopathie) mais pour l'instant, il demeure inerte à toute proposition. Il s'en tient à son fameux bicarbonate de soude.

Par ailleurs, il continue à être fatigué, à ne quasiment pas se nourrir (dès qu'il avale quelque chose, que ce soit solide ou liquide, il se sent immédiatement "rempli") du fait qu'il n'a pas d'appétit. Au final, il maigrit. Logique.

Il fait aussi une pause de vitamines et d'anti-oxydants, voulant laisser son organisme "respirer".

Cumulé à cela une assez mauvaise humeur (compréhensible) limite agressive (excepté avec Babo avec laquelle il ne fait jamais preuve de la plus petite agressivité) et un je-m'en-foutisme total (tout aussi compréhensible).

Mauvaise passe... qui dure... qui dure... dans l'espoir que les choses s'arrangeront.

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ce n est pas une candidose ( definition de la mafia medicale ) mais un dereglement intestinal dont les medecins vih peuvent etre remerciés ( elle devrait leur demander d ailleurs des explications sur la candidose : iatrogene ou pas ? ).......le bicarbonate de sodium peut marcher mais à ses limites......le charbon peut marché....pensez aux medocs anti ballonements en contenant : notgaz..carbosylane....carbosymag..meteospamyl....debridat...des tas de specialités sont dispos sont ordonnances....et surtout pas de lait ou produits laitiers!

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Bonjour,

nouveau sur ce forum, je viens de découvrir l'existence de la dissidence et suis un peu sous le choc. Séro+ depuis 3 ans, les médecins me conseillent de commencer un traitement et je suis perplexe. J'aimerais rencontrer qqn qui accepte de partager son expérience, j'habite paris.

Merci de votre aide,

eric

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Bonsoir, Eric,

Toutes les personnes qui interviennent ici ont des expériences très différentes.

Les uns ont été décrétés séropositifs, certains parmi eux ont été traités par la trithérapie, d'autres non (très peu d'ailleurs), les autres ne sont pas séropositifs et se posent des questions quant à la signification de cette séropositivité, à la suite du Président Mbeki d'Afrique du Sud qui a remis en cause les chiffres donnés par l'ONUSIDA ainsi que les thérapeutiques proposées.

Renseigne-toi bien au préalable, en lisant les articles scientifiques et les témoignages sur http://www.sidasante.com .

Ne tombe pas dans le conspirationnisme, car il s'agit vraisemblablement d'un enchaînement de circonstances qui a conduit à la situation abracadabrantesque que nous vivons.

Ecoute à ce sujet le fichier audio d'Etienne de Harven.

Si tu lis l'anglais, le meilleur site actuel est celui du Groupe de Perth, malheureusement très lent.

Un mot cependant, la trithérapie actuelle est sûrement meilleure que les antibios du début du sida (bactrim...), ou que l'AZT des années 90. Je ne suis pas sûr qu'elle soit meilleure que le placébo lorsque on est asymptomatique.

C'est d'ailleurs ce que montre cette étude :

In the 7/14/04 JAMA article titled "Treatment for Adult HIV Infection:

2004 Recommendations of the International AIDS Society-USA Panel,"

Yeni et al. state:

"Randomized clinical trials have demonstrated a survival benefit with the use of antiretroviral therapy by patients with severe immunodeficiency. For less severely compromised individuals (ie, asymptomatic individuals with CD4 cell counts > 200/microL),

there are no definitive data from prospective, randomized controlled studies to determine when antiretroviral therapy is associated with a survival benefit. In the absence of such data, the decision to initiate therapy should be made based on survival and disease progression information obtained from observational studies, the consequences of moderate degrees of immune deficiency, and the long-term safety of antiretroviral drugs."

---------------------------------

JAMA.2004 Jul 14;292:251-265.

Treatment for Adult HIV Infection

2004 Recommendations of the International AIDS Society-USA Panel

Patrick G. Yeni, MD; Scott M. Hammer, MD; Martin S. Hirsch,

MD; Michael S. Saag, MD; Mauro Schechter, MD, PhD; Charles

C. J. Carpenter, MD; Margaret A. Fischl, MD; Jose M. Gatell,

MD, PhD; Brian G. Gazzard, MA, MD; Donna M. Jacobsen, BS;

David A. Katzenstein, MD; Julio S. G. Montaner, MD; Douglas

D. Richman, MD; Robert T. Schooley, MD; Melanie A. Thompson,

MD; Stefano Vella, MD; Paul A. Volberding, MD

Abstract: Context  Substantial changes in the field of human immunodeficiency virus (HIV) treatment have occurred in the last 2

years, prompting revision of the guidelines for antiretroviral management of adults with established HIV infection.

Objective  To update recommendations for physicians who provide HIV care regarding when to start antiretroviral therapy, what drugs to start with, when to change drug regimens, and what drug regimens to switch to after therapy fails.

Data Sources  Evidence was identified and reviewed by a 16-member noncompensated panel of physicians with expertise in HIV-related basic science and clinical research, antiretroviral therapy, and HIV patient care. The panel was designed to have broad US and international representation for areas with adequate access to antiretroviral management.

Study Selection  Evidence considered included published basic science, clinical research, and epidemiological data (identified by experts in the field or extracted through MEDLINE searches using terms relevant to  antiretroviral therapy) and abstracts from HIV-oriented scientific conferences between July 2002 and May 2004.

Data Extraction  Data were reviewed to identify any information that might change previous guidelines. Based on panel discussion, guidelines were drafted by a writing committee and discussed by the panel until consensus was reached.

Data Synthesis  Four antiretroviral drugs recently have been made available and have broadened the options for initial and subsequent regimens. New data allow more definitive recommendations for specific drugs or regimens to include or avoid, particularly with regard to initial therapy. Recommendations are rated according to 7 evidence categories, ranging from I (data from prospective randomized clinical trials) to VII (expert opinion of the panel).

Conclusion  Further insights into the roles of drug toxic effects, drug resistance, and pharmacological interactions have resulted in

additional guidance for strategic approaches to antiretroviral management.

Author Affiliations: Department of Infectious Diseases, Hospital Bichat-Claude Bernard, X. Bichat Medical School, Paris, France (Dr Yeni); Department of Medicine, Columbia University College of Physicians and Surgeons, New York, NY (Dr Hammer); Department of Immunology and Infectious Diseases, Harvard Medical School, Boston, Mass (Dr Hirsch); Department of Medicine, University of Alabama, Birmingham (Dr Saag); Department of Preventive Medicine, Universidade Federal do Rio de Janeiro, Rio de Janeiro, Brasil (Dr Schechter); Department of Biomedicine, Brown University School of Medicine, Providence, RI (Dr Carpenter); Department of Medicine, University of Miami School of Medicine, Miami, Fla (Dr Fischl); Department of Medicine, University of Barcelona, Barcelona, Spain (Dr Gatell); Department of HIV Medicine, Chelsea and Westminster Hospital, London, England (Dr Gazzard); International AIDS Society-USA, San Francisco, Calif (Ms Jacobsen); Department of Medicine, Stanford University Medical Center, Stanford, Calif (Dr Katzenstein); Department of Medicine, University of British Columbia, Vancouver (Dr Montaner); Departments of Pathology and Medicine, University of California and San Diego VA Healthcare System, San Diego (Dr Richman); Department of Medicine, University of Colorado School of Medicine, Denver (Dr Schooley); AIDS Research Consortium of Atlanta, Ga (Dr Thompson); Istituto Superiore di Sanità, Rome, Italy (Dr Vella); Department of Medicine, University of California and San Francisco Veterans Affairs Medical

Center, San Francisco (Dr Volberding).

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