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**[SIDA] : le "VIH" ne cause pas le SIDA ** 2/3


Vitosi
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Invité Kinipou

J'ai omis de stipuler qu'en plus de fortes doses de vitamine PP, le médecin avait prescrit à mon beau-père un antiépileptique assez puissant... pour apaiser une neuropathie qui n'a touché, jusqu'à présent, que les jambes.

De fortes doses de vitamine PP cumulées à un antiépileptique cumulés à des antirétroviraux... mon beau-père a pensé que c'en était ASSEZ! Il n'a pas bien (ou trop bien) compris la démarche du médecin en fait.

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desolé pour ce terrible parcours qui ne nous montre bien que les medecins ne font que des conneries !......que dire devant un tel gachis !! retenir l important : ton papa est toujours et c est le plus important......y a des seropos qui meurent acidose lactique sous tri therapie au bout de 18 mois !!

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Cheminot, ce message s'adresse à toi. (ou à toute personne désireuse de me répondre)

Je me suis aperçu que tu t'y connaissais plutôt bien, métier oblige, en molécule et autre substance médicamenteuse.

Je suis tombé sur l'un de tes précédents messages où tu écrivais que tu avais une théorie personnelle en ce qui concernait l'immunodéfience. Tu y faisais état du chloramphénicol.

Aussi, j'aimerais te poser une question.

D'après toi, comment réagit un système immunitaire quand un organisme ingère, sur 40 ans environ, les médicaments et substances suivantes:

- streptomycine

- isoniazide

- P.A.S.

- zérit

- épivir

- viracept

- rétrovir (AZT)

- viramune

- oncovin.

Très sincèrement, toutes ces substances ingérées en 40 ans n'ont-elles pas toutes les chances de foutre en l'air un système immunitaire?

Merci pour ta réponse.

Je connais quelques un de ces composés.

- isoniazide

- zérit

- épivir

- viracept

- rétrovir (AZT)

- viramune

l'oncovin est une grosse molécule:

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ses groupements fonctionnels ne sont pas spécialement anodins. Par exemple, il y a deux amines tertiaires (je pense quela fonction amine tertiaire est responsable en grande partie de la toxicité de la cocaïne ou de la morphine.

on trouve aussi une fonction formamide, c'est bizarre ça. La diméthylformamide est connue pour ses propriétés nécrosantes.

Le viracept a aussi une structure intéressante

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avec deux cycles bien réducteurs, mais comme toutes ces structures, les bienfaits au niveau rédox sont altérés fortement par une toxicité hépatique.

Le zérit me semble dangereux car pouvant provoquer la formation de radicaux libres...

de toutes manières, tout ceci est pour moi la preuve d'une recherche basée seulement sur l'effet clinique primaire, jamais sur l'effet à long terme.

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Le progrès est en marche ...

La FDA réfléchit à l'autorisation du premier test oral du sida à domicile

AP | 03.11.05 | 19:00

WASHINGTON (AP) -- Les autorités sanitaires américaines envisagent d'autoriser le premier test oral du virus du sida à domicile. Des questions demeurent cependant sur les conséquences psychologiques que pourraient avoir les résultats sur une personne se trouvant seule au moment du diagnostic.

Le test d'OraSure Technologies, Oraquick, est un kit de diagnostic rapide qui repose sur l'analyse d'un prélèvement de cellules dans la bouche. Une fois le prélèvement réalisé, le bâtonnet est placé dans un petit récipient test. Le résultat est connu une vingtaine de minutes plus tard. Le VIH ne sera cependant pas détecté si la personne a été récemment contaminée. Plusieurs semaines sont en effet nécessaires pour qu'apparaissent les anticorps.

Le test est déjà utilisé dans les cliniques et hôpitaux et la Food and Drug Administration (FDA) envisage d'autoriser la vente d'Oraquick en pharmacie. La FDA a examiné jeudi les éventuelles conséquences d'une telle autorisation. Un comité d'experts indépendants ne devrait toutefois pas être consulté dans l'immédiat.

Le test sanguin rapide, qui exige de prélever un peu de sang au bout du doigt, a été mis sur le marché en novembre 2002. En cas de test positif, les patient doivent dans les deux cas faire confirmer le diagnostic par un laboratoire. AP

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Y a bon banania

BRAZZAVILLE, 2 novembre (PLUSNEWS) - Afin que les populations congolaises comprennent et appliquent les messages de prévention, les autorités de lutte contre le sida au Congo initient des ‘conversations communautaires, très appréciées des villageois.

mercredi2 novembre 2005

Nous, en tant que communauté, nous avons maintenant la conviction que nous pouvons apporter une grande contribution dans la recherche des solutions contre le VIH/SIDA dans notre pays, a confié Fulbert Youlou à PlusNews.

Cet enseignant fait partie des 25 personnes qui ont participé, la semaine dernière, à latelier de formation des facilitateurs de conversations communautaires à Nsangamani, un grand quartier de la banlieue sud de Brazzaville, la capitale du Congo.

La grande ville et ses environs connaissent un taux de prévalence au VIH légèrement au-dessus de la moyenne nationale, à cinq pour cent contre 4,2 pour cent dans lensemble du pays — qui abrite 3,1 millions dhabitants.

Selon létude sentinelle de novembre 2003, la plupart des 80 000 à 110 000 personnes vivant avec le virus au Congo sont des femmes et des jeunes âgés de 15 à 29 ans.

Dorénavant nous allons tenir compte de nos normes sociales, de nos valeurs pour bâtir, ensemble, une bonne stratégie pour faire reculer la maladie dans nos communautés, a expliqué M. Youlou.

Le Conseil national de lutte contre le sida (CNLS) a lancé ces ‘conversations communautaires en septembre dernier, avec lappui du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD). Ces sessions concernent les communautés rurales des départements du Kouilou, du Niari, de la Lékoumou, de la Sangha et de Brazzaville.

A travers ces sessions, qui regroupent à chaque fois 25 participants, le CNLS vise à identifier les personnes qui auront loreille des membres de la collectivité et à les doter des compétences nécessaires au bon déroulement des conversations communautaires.

Jusquà présent, quatre sessions ont été organisées dans la Sangha, au nord du pays, dans la Lékoumou, au sud, et dans les communautés vivant dans la périphérie de Brazzaville, au bord du fleuve Congo.

Cest une approche novatrice que nous expérimentons. A en croire de nombreux participants aux sessions de formation, on peut sattendre à des résultats satisfaisants, a indiqué Alexis Boyoko, du CNLS.

Pour Fulbert Youlou, cette approche est pertinente puisque les normes sociales ont un impact sur le comportement de chacun face au VIH/SIDA.

Nous croyons quil peut y avoir, dans toutes les communautés, des normes qui peuvent faire que le VIH/SIDA gagne du terrain. Ensemble, nous en avons discuté. Nous en discuterons encore et nous prendrons des décisions qui simposent, a-t-il expliqué.

Une approche ‘par le bas privilégiée

Lapproche communautaire est de plus en plus privilégiée par les acteurs de la lutte contre le sida, qui, après vingt ans de combat, ont estimé devoir sintéresser aux représentations sociales de la pandémie et aux réactions individuelles et collectives quelle provoque.

Cette valorisation de la communauté dans les messages et les campagnes de sensibilisation na pas échappé à Patrice Milandou, le président du comité du village de Nsangamani, qui a veillé à la bonne tenue de latelier.

Cette façon de faire contraste avec celles que nous avons connues jusquici, qui consistaient à rassembler les gens pour des sessions de sensibilisation et dinformation au cours desquelles étaient distribués des préservatifs et des prospectus, a-t-il expliqué.

Nous étions considérés comme des gens qui ne pouvaient pas faire grand-chose pour faire bouger les choses dans la lutte contre cette maladie, a ajouté M. Milandou.

Or, a-t-il poursuivi, les membres des communautés sont aujourdhui conviés à réfléchir sur la manière dont leurs attitudes, leurs comportements et leurs valeurs peuvent les affecter et contribuer, directement ou pas, à la propagation de lépidémie.

Selon les données épidémiologiques du PNLS, le principal mode de transmission du VIH/SIDA au Congo est hétérosexuel (95 pour cent des cas de contamination), bien avant la transmission mère-enfant (trois pour cent) ou par voie sanguine (deux pour cent).

Du coup, le sida est une maladie de la honte dans notre pays, car elle est liée aux jugements moraux qui lui sont associés en raison de son principal mode de transmission : la voie sexuelle, a estimé le docteur Michel Sapoulou, qui dirige le Programme national de lutte contre le sida.

Néanmoins, Patrice Milandou a dit vouloir croire que des solutions existent, et particulièrement au niveau de la collectivité, qui, a-t-il expliqué, a déjà qualifié le VIH/SIDA de problème prioritaire auquel il faut durgence trouver des solutions.

Pour Alexis Boyoko, du CNLS, il serait bon que chaque famille commence déjà à réfléchir à ces questions, afin que la communauté puisse travailler efficacement avec les facilitateurs pour trouver des réponses appropriées - les questions de la vie et de la mort, les croyances, la vie sexuelle, le statut de la femme, la religion deviennent des notions à prendre en compte pour assurer la crédibilité des campagnes de sensibilisation.

Lappropriation de lapproche [communautaire par les collectivités] est un fait, la mise en uvre en est un autre. Mais nous osons espérer que, même sil y a des balbutiements au départ, les choses iront en saméliorant. Cest un défi pour nous, a conclu M. Boyoko.

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Je sais plus qui demandait ce que devenait Etienne de Harven... il écrit icon_smile.gif

"Les 10 plus gros mensonges sur le SIDA" de Etienne de Harven et Jean-Claude Roussez

Sil est un monde où les fables sont monnaie courante, cest bien celui de la santé, et ceci en raison de la multiplicité des motivations qui les génèrent : argent, carrières... À cet égard, le sida est un scandale médical totalement emblématique de notre époque, tant par le tapage médiatique dont ce syndrome est lobjet que par les conséquences dramatiques de la mauvaise interprétation des phénomènes de défi cience immunitaire.

Dès lapparition, en 1981, des prétendus premiers cas, les scientifi ques avaient tous les éléments en main puisque les causes daffaiblissement du système immunitaire étaient déjà bien connues et expliquaient lensemble des pathologies rencontrées. Pourtant, contre toute attente, on attribua ces phénomènes dimmunodépression à laction sournoise et délétère dun virus inconnu jusqualors ; un virus quà lheure actuelle personne, parmi les milliers de chercheurs qui travaillent sans relâche à son anéantissement, nest jamais parvenu à isoler directement dun malade du sida ! Et pendant ce temps, les autorités sanitaires et politiques continuent de matraquer lopinion publique avec des statistiques alarmistes.

Si vous croyez vraiment, entre autres, que :

- Le sida est contagieux.

- La séropositivité est un signe d'infection par le VIH,

- Le sida est une nouvelle maladie, apparue en 1981,

- Les scientifiques sont tous d'accord sur ce qu'est le sida.

Alors ce livre est fait pour vous : ne vous laissez pas désinformer plus longtemps !

Jean-Claude ROUSSEZ est journaliste et auteur scientifique et technique. Il a publié, entre autres, de nombreuses études relatives aux applications médicales des hautes technologies.

Étienne de HARVEN est docteur en médecine et professeur émérite d'anatomopathologie à l'Université de Toronto, au Canada. Il est également membre du Comité consultatif sur le SIDA du Président de la République Sud Africaine.

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http://www.editions-dangles.com/home2.asp

En vente libre... icon_smile.gif

Diamant

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Tintin au Congo ...

Les infirmiers à la session de formation sur les soins en milieu hospitalier et à domicile sur le Vih/Sida ont exprimé la nécessité d'accompagner les personnes vivant avec le Vih/Sida (Pvv ) dans la communauté et dans la famille, en les identifiant et en les préparant à vivre positivement.

Selon l'Acp, la session a été organisée du 25 au 28 octobre 2005 par le Réseau des infirmiers généralistes et infirmiers accoucheuses du Congo ( Rigiac ), en collaboration avec le Programme national multisectoriel de lutte contre le Sida ( Pnmls ) , en faveur des infirmiers venus de la province orientale, du Bas-Congo, du Katanga , du Kasaï Oriental , des villes de Bukavu et de Kinshasa. Elle avait pour objectif de définir le paquet minimum d'activités de prévention du Vih/Sida lors des soins et du traitement à l'hôpital ainsi qu'à domicile du malade. Les infirmiers se sont engagés également à pratiquer la continuité des soins tant à l'hôpital qu'à domicile de la Pvv pendant l'épisode de la maladie et à partager les études des cas et de les restituer.

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<<En vente libre...>>

<<<<

Diamant

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Certainement en vente par correspondance.... Mais, il est sûr que, récemment, Etienne de Harven disait qu'il n'était pas vendu dans certaines librairies....

Ce serait intéressant de connaître son tirage entre les éditions Marco Le pietteur et Dangles...

Modifié par sidarta
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A essayer entre une bonne bière et un plat de moules frites :

Sida: Oraquick, un nouveau test à domicile (05/11/2005)

Un prélèvement de cellules dans la bouche. Le VIH ne sera pas détecté si la personne a été récemment contaminée

NAMUR Au 31 décembre 2004, et depuis le début de l'épidémie, un total de 17.947 personnes ont été reconnues infectées par le VIH en Belgique. Depuis 1986, les plus hautes incidences ont été observées en 1992, 2002 et 2003 avec respectivement 977, 990 et 1.048 nouveaux cas diagnostiqués en cours d'année, et la plus basse en 1997 avec 698 infections notifiées.

Le Sida reste donc un problème majeur en Belgique. Dans ce contexte, on apprend que les autorités sanitaires américaines envisagent d'autoriser le premier test oral du virus du sida à domicile. Le test d'OraSure Technologies, Oraquick, est un kit de diagnostic rapide qui repose sur l'analyse d'un prélèvement de cellules dans la bouche. Une fois le prélèvement réalisé, le bâtonnet est placé dans un petit récipient test. Le résultat est connu une vingtaine de minutes plus tard. Le VIH ne sera cependant pas détecté si la personne a été récemment contaminée. Plusieurs semaines sont en effet nécessaires pour qu'apparaissent les anticorps.

Le Sida en Belgique

Le test est déjà utilisé dans les cliniques et hôpitaux et la Food and Drug Administration (FDA) envisage d'autoriser la vente d'Oraquick en pharmacie. Un comité d'experts indépendants ne devrait toutefois pas être consulté dans l'immédiat. Le test sanguin rapide, qui exige de prélever un peu de sang au bout du doigt, a été mis sur le marché en novembre 2002. En cas de test positif, les patients doivent dans les deux cas faire confirmer le diagnostic par un laboratoire.À noter qu'en Belgique, le sexe et la voie de transmission probable sont connus pour 10.468 patients (62,1%). Parmi les hommes belges pour lesquels un facteur de risque a été mentionné, 67,2% ont rapporté des contacts sexuels avec d'autres hommes, et 5,1% l'injection de drogue par voie intraveineuse. Une transmission par voie hétérosexuelle serait responsable de 25% des infections. Parmi les femmes de nationalité belge, la transmission hétérosexuelle est citée dans 77.8% des cas comme responsable de l'infection.

V. Li.

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Mais encore une fois, qui est dans le déni ?

SIDA ET DENI : reportage de Xavier PESTUGGIA

Toutes les associations qui luttent aujourd'hui contre le Sida l'affirment : on observe dans le monde un relâchement sensible dans les comportements, les personnes se protègent moins qu'auparavant, comme si les nouveaux traitements -comme la trithérapie - étaient devenus la panacée. Outre ce relâchement on observe aussi des phénomènes très inquiétants, comme le "bareback", un phéomène né aux Etats Unis - dont nous avions parlé dans Cosmoplitaine il y a quelques mois - où des personnes séropositives font l'amour sans préservatifs. En parallèle à cette tendance qui demeure fort heureusement marginale - une association de femmes séro positives s'est constituée en France pour demander à ce que leurs conjoints - qui leur ont transmis la maladie, soient pénalisés. Ce relâchement général de la prévention trahit le déni de la maladie. Ce déni, on le constate en Occident mais aussi en Afrique, où l'absence de médicaments rend encore plus cruelle la situation.

Xavier PESTUGGIA a intérrogé deux femmes sur ce sujet ; l'une est d'origine algérienne, la seconde est née au Mali. Toutes deux ont appris leur séropositivité en France.

http://www.radiofrance.fr/chaines/france-i...cosmopolitaine/

Modifié par sidarta
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Transposition :

une association de femmes grippées s'est constituée en France pour demander à ce que leurs conjoints - qui leur ont transmis la maladie, soient pénalisés. Ce relâchement général de la prévention trahit le déni de la maladie. Ce déni, on le constate en Occident mais aussi en Afrique, où l'absence de Tamiflu rend encore plus cruelle la situation.
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Invité Kinipou

Bonjour à tous,

Quelqu'un pourrait-il m'en apprendre sur le rétrovirus HTLV (a priori très proche de son fameux soi-disant cousin le HIV) et sur ses anticorps?

Merci pour vos réponses.

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Salut à tous ! icon_biggrin.gif

Kinipou,

Voiçi ce que j'ai trouvé sur ce site à propos du HTLV1 :

Extraits:

"-Le virus HTLV-I est le premier rétrovirus humain à avoir été découvert : il fut isolé en 1980 par l'équipe de Robert Gallo aux Etats-Unis.

-L'HTLV-I a d'abord été associé à une leucémie lymphoïde T de l'adulte, d'où son nom (Human T cell Leukemia/lymphoma Virus). Cette maladie, nommée ATLL est une forme de leucémie ou de lymphome, fréquente dans le sud-ouest du Japon, où l'on dénombre quelque 700 nouveaux cas chaque année pour environ un million de porteurs du virus.

-L'origine de ce virus est très probablement liée à une transmission inter-espèces à partir d'un rétrovirus très proche nommé STLV-I, endémique chez de très nombreuses espèces de singes de l'Ancien Monde, en particulier africains.

-Symptômes et traitements:

L'ATLL, dans sa forme leucémique ou lymphomateuse, est un cancer très agressif, d'évolution rapide, résistante à la chimiothérapie, qui emporte généralement le malade en quelques mois. Elle est observée chez des individus ayant entre 20 et 70 ans, et le plus fréquemment chez des personnes ayant la quarantaine ou la cinquantaine. Les symptômes sont variables, et souvent compliqués de lésions de la peau, d'une hypertrophie des ganglions lymphatiques, du foie ou de la rate. Les cellules leucémiques infiltrent divers organes. En plus des formes aiguës de la maladie, existent certaines formes où les patients ont peu de cellules T anormales dans le sang et n'ont pas de signes sévères de la maladie pendant une longue période. Certaines personnes souffrent aussi de formes chroniques dans lesquelles le taux de cellules leucémiques est élevé, la maladie pouvant malgré cela rester stable pendant quelques temps. Divers essais associant chimiothérapie, antiviraux et immunothérapie n'ont à l'heure actuelle pas été concluants.

De même, les essais d'association immunomodulateurs-corticothérapie-antiviraux dans les TSP/HAM - qui se caractérisent par une contracture des membres inférieurs entraînant la paralysie et par des troubles de la miction, sans troubles sensitifs associés - n'ont apporté qu'une amélioration clinique transitoire et à court terme.

Parmi les autres syndromes ayant été associés à l'HTLV-I, on peut citer un certain degré d'immunodépression, des uvéites de l'adulte jeune - surtout au Japon-, des dermatites infectieuses chez l'enfant - surtout en Jamaïque-, ou encore des myosites et polymyosites.

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Prudence après la disparition apparente du VIH chez un séropositif

LONDRES (AFP) - Les médecins demandaient dimanche des tests supplémentaires après l'annonce selon laquelle un Britannique atteint du virus du sida serait redevenu spontanément séronégatif, une révélation accueillie avec prudence.

L'hôpital londonien de Chelsea et Westminster, qui a traité le patient, a confirmé qu'un test pratiqué à l'été 2002 s'était avéré positif, puis qu'un autre, effectué en octobre 2003, avait été négatif.

"Les tests étaient tous les deux exacts", a affirmé une porte-parole, écartant a priori la possibilité d'une erreur de manipulation, d'un échange d'échantillons ou d'erreurs d'interprétation. Le VIH a disparu de l'organisme du patient, mais "je ne peux confirmer qu'il est guéri", a-t-elle ajouté.

L'histoire d'Andrew Stimpston, un Ecossais de 25 ans, a été publiée dimanche dans deux hebdomadaires populaires, le News of the World et le Mail on Sunday.

Le jeune homme n'avait pas pris de médicaments après le diagnostic de séropositivité, son état de santé ne rendant pas un traitement nécessaire.

"Je n'ai aucune idée de la façon dont je me suis débarrassé du virus", a-t-il déclaré au News of the World. "Je ne prenais que des compléments alimentaires pour rester en aussi bonne santé que possible et ne pas avoir de sida déclaré".

"Peut-être que ce sont les gènes de mon système immunitaire. Il est donc important pour moi d'aider la recherche", a-t-il ajouté, espérant "une grande avancée vers un traitement pour tout le monde".

Selon l'hôpital, M. Stimpston aurait en fait décliné, jusqu'à présent, les invitations à subir d'autres tests.

"Nous le pressons d'accepter de venir et d'être testé, pour son propre bien et pour celui de la communauté des patients atteints par le VIH", a insisté la porte-parole.

Le changement de sérologie du patient reste, en effet, un complet mystère pour les médecins britanniques.

Pour le Dr Patrick Dixon, de l'organisation spécialisée Acet, le cas est "très, très inhabituel".

"J'ai entendu bien des anecdotes de ce genre en Afrique, a-t-il commenté sur la BBC, "certaines récemment, mais il est difficile de les vérifier. Celui-ci est le premier cas bien étayé".

C'est aussi un cas potentiellement important, a-t-il espéré, car "il y a peut-être une clé dans son système immunitaire qui pourrait nous permettre de mettre au point un certain type de vaccin".

"Le virus est très complexe et il y a beaucoup d'inconnues sur la façon dont il opère et dont les organismes y réagissent. Si ce cas permettait d'éclairer un peu plus les choses, cela serait d'une grande valeur pour la recherche de traitements", a jugé pour sa part Deborah Jack, la présidente du National Aids Trust (NAT), l'organisation gouvernementale britannique contre le sida.

Le doute paraissait toutefois prévaloir sur l'espoir dimanche, dans l'attente de nouveaux examens.

"Il y a 40 millions de personnes vivant avec le VIH. C'est le premier cas étayé, et je pense qu'il faudrait plus de personnes pour identifier une tendance", a déclaré à l'AFP une porte-parole du NAT.

En France, Act Up a également accueilli avec circonspection la nouvelle, mettant en garde notamment contre les tests dits "faux positifs". On ne peut exclure, a rappelé l'organisation de lutte contre le sida, les rares cas où un test pratiqué sur une personne séronégative est positif.

"En général, les informations importantes sur le traitement de la maladie sont données dans des conférences scientifiques", s'est par ailleurs étonné Jérôme Martin, président d'Act Up en France.

"Il faut être prudent, a dit M. Martin à l'AFP, pour surtout ne pas donner de faux espoirs aux malades. C'est pourquoi on ne doit pas annoncer ce genre de choses sans avancer de facteurs d'explications".

LONDRES (AFP) - Un Britannique, qui avait été déclaré séropositif il y a trois ans, serait la première personne au monde à avoir vaincu naturellement le virus du Sida, a rapporté dimanche l'hebdomadaire News of the World.

En août 2002, Andrew Stimpson, 25 ans, à la suite de tests avait eu la mauvaise surprise de découvrir qu'il était séropositif, mais une nouvelle série d'examens, 14 mois plus tard, a montré que le virus VIH du Sida avait complètement disparu de son organisme bien qu'il n'ait pris aucun médicament, raconte l'hebdomadaire.

Ses médecins sont catégoriques. Il n'y a pas eu mélange de dossiers ou d'échantillons, comme dans deux cas précédents de "guérison spontanée", où il a été impossible de prouver que les tests positifs et négatifs provenaient bien de la même personne.

Maintenant, Andrew Stimpson, un vendeur de sandwichs, qui avait abandonné tout rapport sexuel avec son compagnon, lui aussi infecté, Juan Gomez, un homme de 44 ans, a accepté de devenir un sujet d'études pour aider les chercheurs à trouver un moyen de lutter contre le virus du Sida, a expliqué l'hebdomadaire.

"Je me souviens qu'après la deuxième série de tests, mon médecin est entré dans ma chambre en disant 'vous vous êtes guéri. C'est incroyable. Vous êtes fantastique'", a-t-il raconté.

"C'est vraiment renversant de penser qu'un jour j'étais là à regarder la mort en face et que maintenant je lui ai dit adieu", a ajouté Andrew Simpson, qui après les résultats de la seconde série d'examens avait d'abord pensé poursuivre l'hôpital, avant d'accepter de se mettre à la disposition des chercheurs.

Après enquête, les médecins ont acquis la certitude qu'il s'agissait bien d'un cas de guérison spontanée et le mois dernier Stimpson recevait une lettre de l'hôpital indiquant qu'après des tests ADN, les échantillons de sang étaient bien les siens dans les deux cas.

"Il n'y a eu aucune erreur dans l'étiquettage ou l'examen des échantillons", ajoutait l'hôpital, dont la lettre est publiée par le News of the World et le Mail on Sunday, qui se fait également l'écho de ce cas de guérison.

"Le fait que vous soyez passé d'un résultat positif à un résultat négatif est exceptionnel et remarquable d'un point de vue médical", soulignait le texte.

Stimpson, un Ecossais habitant près de Glasgow, avait subi une série de tests sur le Sida en mai 2002 parce qu'il se sentait faible et fiévreux. Les premiers se révélèrent négatifs. Mais trois mois plus tard, délai normal pour que le virus apparaissent dans le sang, les tests montraient que le vendeur de sandwichs était devenu séropositif.

Comme il n'en était qu'au tout premier stade, aucun médicament ne lui a été prescrit. Les médecins, qui se sont déclarés surpris par son apparente bonne santé, l'ont été encore plus quand des examens de contrôle en octobre 2003 ont révélé que le virus avait disparu.

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Voici le lien en question.

Evidemment, dans la perspective d'un trouble métabolique pouvant s'aggraver jusqu'à l'irreversibilité (Sida), mais demeurant fluctuant au début de l'augmentation des anticorps provoquée par divers facteurs favorisant le stress oxydatif, cette histoire n'est plus un mystère et devient claire comme de l'eau de roche.

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Le changement de sérologie du patient reste, en effet, un complet mystère pour les médecins britanniques.

Pour le Dr Patrick Dixon, de l'organisation spécialisée Acet, le cas est "très, très inhabituel".

"J'ai entendu bien des anecdotes de ce genre en Afrique, a-t-il commenté sur la BBC, "certaines récemment, mais il est difficile de les vérifier. Celui-ci est le premier cas bien étayé".

LONDRES (AFP) - Un Britannique, qui avait été déclaré séropositif il y a trois ans, serait la première personne au monde à avoir vaincu naturellement le virus du Sida, a rapporté dimanche l'hebdomadaire News of the World.

Je ne comprends plus rien !

Ils affirment dans cet article qu'il serait la première personne au monde à avoir "vaincu" le virus du sida.

Quid des milliers d'autres qui seraient déjà passés du stade séropositif à séronégatif ? Sur le site www.sidasante.com, il est affirmé à plusieurs reprises qu'il y a déjà eu de nombreux cas pareils auparavant. De même, dans des conférences internationales antérieures sur le sida, il a été affirmé que l'on a discuté de nombreux cas de passage à séropositif à séronégatif.

Alors pourquoi, diable, dit-on que c'est la premier cas au monde, semble-t-il ?

Qui essaie de nous berner ? Les orthodoxes du sida ... ou les dissidents ? Je doute ... très fort maintenant ! albator7k.gif

Merci de me remettre dans le droit chemin !

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