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**[SIDA] : le "VIH" ne cause pas le SIDA ** 2/3


Vitosi
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Je remets en ligne la vision extérieure de la dissidence ; c'est intéressant, avec du recul, de voir à quel point il n'y a pas de vision " critique " objective !

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Les "dissidents" du sida

Le sida n'existe pas. Si les scientifiques ne dénoncent pas la supercherie qu'est cette pseudo-maladie, c'est pour préserver leurs intérêts dans l'industrie pharmaceutique. Voici la thèse de ceux qu'on nomme les "dissidents". Un mouvement proche des médecines alternatives et bio, très actif sur Internet.

En français, le plus important de leurs sites s'appelle Sidasanté. Son sigle affiche clairement la couleur : sida y est écrit avec un dollar ($). Il propose de faire découvrir ce que "les officiels du sida et les médias veulent vous cacher".

Selon lui, "le 'sida' est un concept sans aucune base scientifique réelle, (...) un syndrome défini artificiellement et non une maladie. Chacun des éléments qui participent à ce syndrome a une cause et une solution qui peuvent se comprendre et se soigner en dehors de toute psychose collective et surtout en dehors de toute origine prétendument virale de la maladie".

Les "dissidents" contestent l'authenticité de l'isolement du virus VIH - c'est-à-dire la preuve de son existence -, réalisé pour la première fois par l'équipe du professeur Montagnier en 1983. Ils offrent même un prix de 100 000 dollars à "la première personne qui pourra fournir la preuve photographique de l'existence du VIH".

La figure tutélaire du mouvement se nomme Peter Duesberg. Ce professeur de biologie moléculaire et cellulaire à l'université de Californie de Berkeley a été mis à l'écart de la communauté scientifique en 1987 pour sa théorie sur le sida. Selon lui, cette maladie est due à l'usage de drogues et au traitement à l'AZT (traitement contre le sida).

Le site de référence des "dissidents" s'appelle Virusmyth. Il a été créé, en 1996, par un militant hollandais dont le fait d'armes est d'avoir été chassé de la Conférence mondiale sur le sida qui s'est tenue à Berlin en 1993.

Les "dissidents" - ou rethinkers ("repenseurs" de la théorie du sida) - ont également un site pour se regrouper. Ils n'ont qu'à entrer le nom de leur pays puis de leur ville pour connaître la date de la prochaine réunion.

La remarquable organisation de ce réseau n'en rend ses thèses que plus dangereuses. L'immunodéficience qu'on attribue au sida est, pour eux, due à la pauvreté en ce qui concerne l'Afrique, aux drogues, au stress et aux traitements administrés par les médecins. Il ne sert donc à rien de se soigner, comme y invite Mark Griffiths, animateur du site Sidasanté, qui affirme, en 2004, ne s'être jamais aussi bien porté, alors qu'en 1986, on ne lui donnait plus que cinq ans à vivre.

Mais, chez les "dissidents", tout le monde n'a pas la même longévité que Mark Griffiths. Et sur les forums du site Onnouscachetout (sans ironie), où ils se réunissent pour discuter, leurs partisans s'inquiètent de la mort d'illustres "dissidents". Certains arguent que s'ils sont décédés, c'est parce qu'ils... ont pris des médicaments.

Cela suffira-t-il à discréditer définitivement les théories des "dissidents" ? La revue Combat contre le sida, proche du réseau Voltaire, déplorait, en mars 2001, un manque de mobilisation face au danger. "Relayés par la mouvance 'bio', des thèses abracadabrantes et des discours paranoïaques viennent détourner les interrogations légitimes des citoyens, sans que les acteurs de la lutte contre le sida, dont les pouvoirs publics, les contredisent efficacement."

Lorsque les thèses "dissidentes" ont séduit Thabo Mbeki, président de l'Afrique du Sud, pays le plus touché par la pandémie, les scientifiques ont tout de même décidé d'une mobilisation et publié, à l'été 2000, la "Déclaration de Durban" qui réaffirme que "le VIH provoque le sida" et qu'"il est malheureux que quelques personnes continuent bruyamment à nier l'évidence. Cette position entraînera le décès d'un nombre incalculable de personnes".

Pourtant, les "dissidents" continuent à espérer "une ouverture officielle pour l'expression des points de vue dissidents pendant le Congrès mondial sur le SIDA qui aura lieu à Bangkok, en Thaïlande, Juillet 2004".

Sites visités entre le 26 et le 28 avril 2004.

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L'article n'est pas signé si ce n'est qu'il est sur le site d'arrêt sur image - bonne émission au demeurant ! http://www.france5.fr/asi/006052/33/110926.cfm

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Invité Kinipou

Bonjour à tous.

Dans un précédent message, je vous avais écrit que lors de l'enterrement de mon père, j'avais rencontré un vieux médecin de 86 ans qui m'avait suivi tandis que j'étais enfant. Au cours de la discussion que j'aie eue avec lui, il m'a dit qu'il ne croyait pas au VIH mais à un terrain propice à une immunodéficience et qu'il me conseillait de me renseigner sur tous les antécédents médicaux de ma famille afin de pouvoir établir la relation de cause à effet.

Aussi, voici les antécédents médicaux de ma famille, dans l'espoir que certains d'entre vous, ayant des connaissances, pourront peut-être m'éclaircir sur cette sombre histoire de VIH/sida que je promène avec moi depuis 10 ans.

Je précise que je ne connais rien concernant la famille de ma mère et vous allez comprendre pourquoi.

Grand-père paternel: contracte une tuberculose pulmonaire lors de sa captivité dans un stalag allemand. Tuberculeux jusqu'à la fin de sa vie, il se suicide en 1982, à l'âge de 70 ans, fatigué de dépendre des médecins et des hôpitaux.

Grand-mère paternelle: souffre de rachitisme infantile mais d'aucun autre problème particulier. Néanmoins, elle se suicide en 1985, à l'âge de 65 ans, ne supportant pas la solitude due à son veuvage.

Mère: le peu que je sais d'elle, puisqu'elle est décédée tandis que je n'avais que 3 ans, est qu'elle souffrait de problèmes nerveux qu'elle traitait avec des tranquillisants et des barbituriques, notamment du Gardénal. Trop fragile, elle se suicide en 1970, à l'âge de 30 ans, tandis qu'elle est enceinte de son 3è enfant. La question que je me pose est: prenait-elle déjà des tranquillisants ou des barbituriques quand elle était enceinte de mon frère aîné et de moi?

Père: nait en 1940 avec des nodules pulmonaires, souffre de rachitisme infantile et développe une cyphose (déformation de la colonne vertébrale anormalement convexe en arrière) dorsale haute a priori due au rachitisme. 1941: pneumothorax. 1942: inflammation des ganglions lymphatiques. 1944: ablation des amygdales. 1945: nodules pulmonaires tuberculisés (il contracte le bacille de Koch au retour de son père). 1946: coqueluche + rougeole. 1948: hémoptysie (rupture d'un vaisseau sanguin au niveau de l'arbre respiratoire). 1949: ablation totale du poumon droit. 1955: oreillons + scarlatine. 1956: staphylocoque doré + rubéole. Fumeur, donneur de sang, souffre de problèmes respiratoires, de rhumatismes articulaires et de dépression épisodique jusqu'à la fin de sa vie. Décède le 28 juin 2005, à l'âge de 65 ans, d'une embolie pulmonaire foudroyante.

Mon frère aîné nait en 1964. Il ne souffre d'aucun problème particulier excepté un léger retard de croissance. Fumeur. Néanmoins, il décède en 1987, à l'âge de 23 ans, des suites d'un cancer des intestins cumulé à un ictère.

Je nais en 1967. Petit bébé, je souffre de rachitisme infantile, de troubles nerveux et comme mon père, je développe une cyphose dorsale haute. Très vite, les médecins conseillent à mes parents de me traiter par vitamines (déjà!) et l'on m'administre un traitement pour les nerfs (lequel?). Je me développe normalement, contracte très peu de maladie infantiles (oreillons) mais je demeure maigrelet. En 1985, je m'engage et pars pour la Martinique effectué mon service militaire. Je suis multivacciné. Là-bas, je contracte une tréponématose sans en connaître l'espèce (vénérienne ou non vénérienne), les tests sérologiques ne les différenciant pas. Je suis alors traité sommairement dans un service dermatologique. En 1987, de retour à la vie civile, je deviens donneur de sang tout comme mon père (je suis O -). En 1991, je m'engage à nouveau et participe au conflit yougoslave en tant que Casque Bleu jusqu'en 1993. Une fois encore, je suis multivacciné (Engérix B) et l'on m'injecte de fortes doses de gammaglobulines à en vomir. A noter que mon régiment était en poste à Vélika Kladusa, une ville yougoslave connue pour ses nombreux cas de leucémies. En 1993, de retour à la vie civile, j'effectue 2 tests VIH obligatoires pratiqués par l'armée. Ils se révèlent négatifs. De 1993 à 1994, je fréquente 3 filles avec lesquelles j'ai des relations non protégées. En 1994, je rencontre celle qui allait devenir ma compagne jusqu'en 2001. Nous avons des relations non protégées. Durant l'été 1995, je développe une inflammation des ganglions lymphatiques sans aucun autres symptômes. Je vais bien. En octobre 1995, mes ganglions étant toujours visiblement gonflés, à la demande insistante de ma compagne et de mon père, j'accepte d'aller consulter un médecin. Il me demande d'effectuer un test VIH. Le test se révèle positif mais douteux aux dires du médecin. Deux semaines plus tard, j'effectue un nouveau test VIH qui se révèle une fois de plus positif mais douteux. En effet, le taux de P24 révèle une primo infection alors que mon inflammation des ganglions remonte à plus de 3 mois. Qu'à cela ne tienne, je suis séropositif au VIH. Dans la foulée, on me trouve une nouvelle tréponématose (la même?!) que l'on considère comme étant syphilitique. Les tests sérologiques ne peuvent toujours pas identifier l'espèce de tréponème que j'aie contractée mais vu que je suis séropositif au VIH, je ne peux être atteint que du treponema palladium, soit le tréponème responsable de la syphilis. On me traite alors avec de fortes doses de pénicilline qui me clouent au lit. Par chance, ma compagne est séronégative au VIH et à la syphilis, ce qui relève du miracle dans la mesure où elle et moi avons toujours eu des relations non protégées depuis 1 an et 1/2 et que je ne l'ai pas trompée. Très sceptique, car connaissant les modes de contamination du soi-disant VIH, je mène ma petite enquête. Aussi, je contacte les 3 filles que j'aie fréquentées entre 1993 (dernier test VIH négatif) et 1994 (rencontre de ma compagne), leur annonce la couleur et leur demande d'effectuer un test VIH. Elles acceptent. Les tests se révèlent tous les 3 négatifs (j'ai demandé à lire moi-même le résultat afin qu'elles ne me mentent pas). Je n'ai jamais été transfusé, je n'ai jamais eu une sexualité débridée, je ne me drogue pas, les filles avec lesquelles j'ai eu des relations non protégées sont négatives... je ne comprends pas comment le VIH a pu subitement me tomber dessus. J'en parle aux médecins, ils s'en foutent éperdument. Pour eux, il y a obligatoirement des choses que je ne dis pas. C'est hallucinant! Au final, ma vie devient un enfer. Ma compagne est persuadée que je l'ai trompée et notre relation s'étiole. Fataliste, ne sachant plus quoi penser, et surtout pour faire plaisir à ma compagne et à mon père, sans cesse sur mon dos, j'accepte les traitement antirétroviraux, et je dis "les" c'est parce qu'en 10 ans, les médecins ont changé à 7 reprises mon traitement, me rendant résistant à quasi toutes les molécules. Alors je deviens malade des effets plus qu'indésirables des médicaments, immunodéficient (mes T4 s'écroulant jusqu'à 5), développant des infections telles que la candidose, le zona, la varicelle ou la leucoplasie (étrange quand on est sous antirétroviraux et antibactérien (Bactrim)); je suis fatigué, cachexique, déprimé et... largué, ma compagne ne supportant pas de vivre avec cette "épée de Damoclès" qu'est le VIH/sida. Elle me jette dehors. Je re tourne vivre avec mon père. La relation est conflictuelle. J'ai 34 ans. Je suis complètement paumé.

Et puis il y a cette année 2002, bénie, où je rencontre Isabelle (Babo), ma chérie, celle qui m'a sauvé de toutes les façons dont je pouvais être sauvé. J'étais un vrai zombi, j'avais quelques petits T4 qui se baladaient avec moi, je pesais 56 kg tout mouillé (pour 1,74 m, c'est pas terrible!), je travaillais comme un dingue pour ne pas penser, je picolais comme un trou et fumais comme un pompier. Elle m'a pris comme j'étais. Le père d'Isabelle est comme moi, soi-disant séropositif au VIH/sida. Aussi elle est dans la galère depuis longtemps. Elle connait. Alors elle me "couvre", m'écoute, me comprends, me protège, m'engueule, me secoue, me bichonne et surtout me donne l'espoir, me prouve que tout est possible. Elle est tout et encore plus depuis que mon père est mort. (je suis le seul restant de ma famille)

Durant l'été 2003, je quitte sans regret mon bercail, mon passé et un entourage néfaste et je m'installe avec Isabelle à la campagne, au calme, près d'un rû, de champs, de bois, entourés d'animaux et de gens que j'aime (mes beaux-parents sont formidables et le petit garçon qu'Isabelle a eu d'une première union est devenu légalement le mien). Je prends les 10 kg qui me manquaient, je ris, je pleure, je ne retiens plus mes sentiments. Ici, j'ai vraiment l'impression d'être libre.

Aujourd'hui j'ai 38 ans. Moi, qui ait failli mourir 10 fois, je suis toujours là, sans traitement depuis 9 mois, sans avoir été malade une seule fois. Je me fous du VIH, du sida. Je n'effectue plus d'examen sanguin et je me porte comme un charme. Je vais bien. Il parait que l'amour et le bien-être sont bénéfique pour la santé (le système immunitaire). Alors j'aime. C'est MON remède.

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Invité Kinipou

Oohl là!!! Je me suis quelque peu perdu...

Je compte sur vous pour m'éclairer sur ce que je vous aie demandé au début de mon (long) message précédent.

Merci à tous.

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vindiou !! icon_eek.gif

Au niveau physio, je ne peux rien te dire, mais au niveau psychobio, tu es un vrai cas d'école !!!

Juste pour toi : le sang, c'est le clan, la tribu, la famille au sens le plus profond... et tu es le dernier... icon_eek.gif

En résumé, cherche quelques bouquins sur la psychogénéalogie, le transgénérationnel et autres traitements de la maladie au niveau familial... je crois que cela pourra t'aider icon_smile.gif

Diamant

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Kinipou,

J'ai envie de te dire que tu es sur la bonne voie ;

nous avons tous une histoire.. Plus ou moins complexe, à différents niveaux... Les livres sont les livres et ne vivent pas à notre place... en psychogénéalogie; il ya celui d'Annce Ancelin S B 'Aïe mes ailieux !" Desclée Debrouwer réédité.

Mais, l'essentiel c'est toi, toi et ton histoire, l'instant présent, comment tu vis - tu cela ?etc...

Une question : comment te fais tu aider ?

Ta présence sur ce forum me fais dire que tu as envie de te faire aider ou en tout cas de t'enrichir du regard des autres voire des conseils.

Ce serait bien, à mon sens, que tu puisses trouver quelqu'un ou un système - si ce n'est déjà fait - qui puisse t'accompagner ?

Pourquoi ? Parceque tu as une histoire qui n'est pas simple - si ça te rassure tu n'es pas seul, et que, selon moi, une des grandes chances c'est que tu puisses vivre; vivre heureux... dans une vie pleine de sens !...

Trois étapes :

Survivre,

Vivre heureux,

Vivre dans une vie pleine de sens.

La majorité d'entre nous oscillent entre la première et deuxième étape, plus dans la première que dans la deuxième d'ailleurs. Enfin, c'est une manière de voire les choses.

Alors, c'est merveilleux il ya temps à décourvrir.

Mais, bien sûr, il ya ..." La peur de vivre " !

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J'ai envie de rajouter ....

Jouis de ton et de votre bonheur à tous les deux ; oui, l'amour est thérapeutique.

Il ne s'agit pas de fuir quoique ce soit mais de se protéger des " peines à jouir" ( les gens, et les évènements ).

Et puis,.... exercice physique, nourriture etc.... Enfin, l'amour est un tout en un.

Modifié par sidarta
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Invité Kinipou

Cheminot, ce message s'adresse à toi. (ou à toute personne désireuse de me répondre)

Je me suis aperçu que tu t'y connaissais plutôt bien, métier oblige, en molécule et autre substance médicamenteuse.

Je suis tombé sur l'un de tes précédents messages où tu écrivais que tu avais une théorie personnelle en ce qui concernait l'immunodéfience. Tu y faisais état du chloramphénicol.

Aussi, j'aimerais te poser une question.

D'après toi, comment réagit un système immunitaire quand un organisme ingère, sur 40 ans environ, les médicaments et substances suivantes:

- streptomycine

- isoniazide

- P.A.S.

- zérit

- épivir

- viracept

- rétrovir (AZT)

- viramune

- oncovin.

Très sincèrement, toutes ces substances ingérées en 40 ans n'ont-elles pas toutes les chances de foutre en l'air un système immunitaire?

Merci pour ta réponse.

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je vais étudier en détail ces substances (certaines d'entre elles me sont bien connues)

ma théorie personnelle est que ce sont les oxydants où un azote est lié, soit à un autre azote, soit à un oxygène, un chlore ou un fluor qui sont immunosuppresseurs.

l'isoniazide par exemple, est dans mon collimateur.

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Comment gagner 150000 dollars ?

à Abidjan ...

C'était à la Maison de la presse au Plateau à l'occasion d'une cérémonie organisée dans le cadre du projet CIMEX du RIP+. Ce projet, selon Mlle Aka Gisèle, coordonnatrice du CIMEX, vise à échanger avec les médias de Côte d'Ivoire afin de les impliquer dans la problématique du VIH/sida. Grâce à un appui financier de 150 000 dollars américains du PEPFRA (Plan d'urgence du président des États-Unis pour lutter contre le VIH/sida dans le monde), le CIMEX qui sera exécuté par le RIP+ a pour objectif de collaborer avec les médias en Côte d'Ivoire (atelier de formation des journalistes...), de prévenir l'extension du VIH en sensibilisant la population, surtout les jeunes, à travers les médias, améliorer les conditions de vie des personnes vivant avec le VIH/sida (PVVIH) à travers des stratégies de communication avec les médias (lutte contre la stigmatisation). Pour cela, des activités (campagne média avec les journaux, les radios, la télévision, mobilisation des médias par une solide appropriation du projet CIMEX et surtout le lancement de différents concours pour les journalistes dans les écoles de journalisme, pour le média le plus engagé, un gala pour récompenser les lauréats de ces concours aura lieu en mai prochain...) seront organisées. Et l'UNJCI doit aider le RIP+ à réaliser ces activités.
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Foire d'embrouilles ... un vrai succès ! ... voilà à quoi servent les milliards de dollars injectés ...

« Discutons sans tabou du Sida », tel a été le thème principal de la foire de sensibilisation sur le Sida, organisée le 20 octobre 2005 par la Monuc dans la ville de Beni, province du Nord-Kivu .

Cette activité foraine a connu la participation d'une délégation de représentants des Agences du système des Nations Unies accompagnée d'un représentant du Programme national de lutte contre le Sida (Pnls) ainsi que de la Chargée des Relations avec les medias du Bureau Vih/Sida de la Monuc. Tous, sont venus animer les stands de leurs institutions respectives.

Avec le soutien logistique du Bataillon Indien, une quinzaine d'Ong ainsi que les zones de santé de Beni et de Butembo, ont également participé à cette activité de sensibilisation de la population de la ville sur le Sida

UNE FOIRE INEDITE

Outre des discours protocolaires et au-delà du divertissement pour lesquels ils sont connus, des compétitions de : Questions-réponses pour les élèves de la tranche d'âge de 12 à 18 ans ; des pièces théâtrales, des chansons et surtout à travers des témoignages de PVV ont servi des canaux par le lesquels Bureau Vih/Sida a fait passer le message de sensibilisation. Les lauréats ont été les heureux récipiendaires qui ont reçu des livres et Tee-shirt, pagnes, somme d'argent

C'était aussi l'occasion de dépistage volontaire pour une quarantaine de personnes, ainsi que une séance de formation sur les notions de base du Sida et des Ist pour une vingtaine de militaires des Forces armées de la Rdc (Fardc).

La visite des stands par la population a été une folle ruée d'une marre humaine sur tout ce qui est supports éducatifs, posters, dépliants exposés pour l'occasion. Soulignons qu'à l'ouverture des activités, Julien Paluku, maire de la ville de Beni a déclaré que par cette sensibilisation sur le Vih/Sida à Beni ville type sortie de la guerre avec ces conséquences de violences et de viols de tout genre, la Monuc a donné l'occasion à ses 250 milles habitants de s'informer sur le Vih/Sida.

Pour lui, le thème : « Discutons sans tabou du Sida », doit attirer l'attention des parents de Beni sur le besoin de parler avec leurs enfants. Et ce, du fait que les coutumes de cette ville ne permettent pas de parler du sexe avec les enfants, mais je voudrai saisir cette opportunité pour demander que tout le monde, surtout les parents en parlent désormais dans les familles. Avant le maire de la ville, les Dr Mathieu Ndaliko, et Jean Lukusa, respectivement, médecin chef de l'Hôpital de Référence et Médecin chef du District de la ville, ont brossé la carte de santé, la carte de prévalence sérologique de la ville, ainsi qu'ils ont fait état de besoins multiples de leur zone de santé.

Beni, un carrefour propice au brassage , une ville où l'infrastructure hospitalière est en état de délabrement très avancé suite à la guerre et une ville où la population vit en dessous de 1 dollar US par jour, Dr. Ndaliko a estimé que «discuter sans tabou du Sida», c'est déjà offrir à ces nombreuses personnes vivant avec le Vih/Sida l'occasion de sortir de la clandestinité.

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La fête bat son plein ...

P-au-P., 26 oct. 05 [AlterPresse] --- Lorganisation des Nations Unies pour lEnfance (UNICEF), lONUSIDA et dautres partenaires ont inauguré ce 25 octobre 2005 au siège des Nations unies à New York une campagne mondiale qui consiste à attirer lattention de la communauté internationale sur les méfaits du VIH/SIDA sur les enfants.

Cette campagne est placée sous le thème : « Unissons-nous pour les enfants contre le SIDA ». Au cours de la cérémonie de lancement, qui sest déroulée en présence du secrétaire général des Nations unies Kofi Annan et de la directrice de lUNICEF Ann M Veneman, le directeur exécutif de lONUSIDA Peter Piot a rappelé que chaque minute un enfant meurt dune maladie liée au sida, quun autre contracte le Virus Immunodéficience Humaine (VIH), et que dans cette même fourchette 4 jeunes de 15 à 24 ans attrapent le germe du SIDA.

Lobjectif des organismes est datteindre, dici à 2010, 80 pour cent des enfants qui ont le plus besoin de laide et des services publics.

Ces organisations estiment que des millions denfants qui ont perdu leurs parents des suites de ce fléau ne sont pas pris en charge. 15 millions dentre eux sont orphelins dau moins un de leur parent à la suite de la contagion. LUNICEF et ses partenaires déplorent que moins de 10 pour cent de cette catégorie reçoivent une aide ou des services publics. « Lécole, les soins de santé, la protection la plus élémentaire leur sont refusés, de même que bien dautres éléments fondamentaux de lenfance, à cause des ravages de la maladie », ont regretté les deux institutions des Nations Unies.

Mme Veneman a fait savoir que dans certains des pays les plus touchés, en particulier en Afrique subsaharienne, lépidémie du SIDA « anéantit des années de progrès en faveur des enfants ». Elle a fait valoir que des mesures concrètes destinées à lutter contre limpact du SIDA sur cette frange sont indispensable à la réalisation des Objectifs du Millénaire de Développement (OMD).

La mobilisation mondiale espère obtenir des résultats mesurables pour les enfants, à savoir : prévenir la transmission du VIH de la mère à lenfant, procurer un traitement pédiatrique aux enfants, prévenir linfection chez les adolescents et les jeunes, protéger et soutenir les mineurs infectés.

« Depuis un quart de siècle, le VIH/SIDA a coûté la vie à plus de 20 millions de personnes et a fait chuter lespérance de vie de près de 30 ans dans les pays les plus durement touchés, a-t-elle ajouté. Une génération entière na jamais connu un monde sans VIH ni SIDA, et pourtant, nos efforts nont rien de commensurable avec limmensité du problème. »

« Près de 25 ans après le début de cette pandémie, moins de dix pour cent des enfants affectés par le VIH/SIDA bénéficient dune aide, a déploré le Secrétaire général Kofi Annan. Ces enfants sont abandonnés à eux-mêmes en bien trop grand nombre, ils grandissent seuls, ils grandissent trop vite ou ils meurent. En un mot, le SIDA ravage lenfance. »

En Haïti, les spécialistes croient que la pandémie du SIDA sest stabilisée. Selon une enquête réalisée sur près de 8.000 femmes enceintes et coordonnées par lOrganisation Mondiale de la Santé, 6,2% dentre elles étaient infectées en 1993, 6% en 1996 et 4,5% en 2000 alors que ce pourcentage, daprès les données préliminaires de 2003, est tombé à 3,5%", selon Jean Pape, professeur à lUniversité.

¨

Pour Haiti, c'est sans doute parce que la situation y est calme et sereine ... 4-ptdrasrpt.gif

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Super ... il n'y pas qu'en Alsace ...

On ne va plus s'encombrer longtemps de cette notion désuète de "secret médical" ...

Vendredi 28 octobre 2005 - REGINA (PC) -

Un vétéran de six saisons avec les Roughriders de la Saskatchewan a été appréhendé à son domicile de Regina, vendredi, et inculpé d'agression sexuelle grave sur une femme de la Colombie-Britannique.

La Gendarmerie royale du Canada a aussi posé un geste inhabituel en révélant que Trevis Smith est porteur du VIH, ajoutant qu'une mise en garde publique sur son état de santé était nécessaire.

Dans un communiqué, la police a averti que toute personne qui aurait eu des relations sexuelles avec Smith et qui craint avoir été exposée au VIH devrait contacter immédiatement son médecin ou se rendre dans une clinique pour se soumettre à un test de dépistage.

Elles sont également invitées à contacter la police pour les fins de l'enquête.

Smith est présentement en détention préventive et des dispositions ont été prises pour le conduire à Surrey, en Colombie-Britannique.

Il n'a pas opposé de résistance à son arrestation. Smith, âgé de 29 ans, un secondeur intérieur avec les Roughriders, s'est joint à l'équipe en 1999.

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Ma cabane au Canada ...

LE PRIX LINE RENAUD

un nouveau venu dans le palmarès

A lheure où le sida est identifié comme une priorité de santé publique, Madame Line Renaud, qui parraina les premières recherches françaises sur le virus, fait lhonneur à la Fondation Recherche Médicale dinaugurer un nouveau Prix portant son nom. Ce Prix récompense un chercheur dans le domaine de limmunologie, de la virologie, et plus particulièrement du SIDA. Remis par la comédienne en personne, le Prix Line Renaud est décerné pour sa première édition au Docteur Jean-Luc Battini, de lInstitut de Génétique Moléculaire de Montpellier, en récompense de ses travaux sur les interactions entre rétrovirus et cellules hôtes : applications diagnostiques et thérapeutiques.

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Une avalanche de bonnes nouvelles :

Bristol-Myers Squibb a lui reculé de 2,45% à 21,14 dollars. Le groupe pharmaceutique américain a publié un BPA à 31 cents hors éléments exceptionnels, à comparer avec 44 cents réalisés au troisième trimestre 2004. Les analystes s'attendaient à un BPA de 33 cents.
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Ah j'oubliais, la très prometteuse Roche Holding, localisée à Bâle, a pour principal actionnaire l'excellente société Novartis ...

Gros bénéfices entre "amis" ...

... Pour cela bien sûr il faut avoir de puissants relais dans les médias "amis" ... mais qu'à cela ne tienne, c'est le cas aussi ... par le truchement des prises de participations croisées ...

Nous verrons cela ultérieurement ...

... En plus, avoir quelques relais dans la classe politique et dans les organismes internationaux (OG, ONG, ...) ne peut pas nuire non plus ... alors achetons aussi ... (moins cher en principe mais moins efficace aussi hélas) ... rien ne vaut un bon spot astucieusement glissé à l'intérieur d'une bonne émission du genre Star Academy ... La ménagère de 0 à 85 ans peut ainsi imprimer discrétement le message sans y penser, tout en envoyant un SMS pour soutenir un jeune talent en herbe ... à 0.55 euro par appel.

le lendemain, les lampions de la fête académicienne éteints, il lui sera possible de poser une pertinente question sur Doctossimo : " Voilà, j'ai bouffé du steak haché venant de chez Intermarché ... et après je me suis goinfrée avec du canard laqué venant directement de Taiwan ... est-ce que le virus du steak haché peut se recombiner avec celui du poulet surtout après m'être fait enfilée par mon voisin de palier que je soupçonne de bisexualité ? "

et Doctossimo de répondre d'une manière rassurante : " Chère Madame, vous ne risquez pas grand chose dans la mesure où la littérature scientifique n'a jamais démontré encore que se faire enfiler par un poulet de Taiwan en compagnie d'un voisin bisexuel ayant consommé un steak haché de chez Auchan est susceptible de vous nuire mais faites vous dépister quand même ..."

... et la Dame d'ajouter rassurée : " Merci Docteur mais je tiens à préciser que ce n'est pas le poulet qui m'a enfilé mais mon voisin ... et que, de plus, le steak haché ne venait pas de chez Auchan mais d'Intermarché" ...

... et Doctossimo de conclure : " Ca ne change rien, faites vous dépister ! "

Une bonne stratégie ne laisse rien au hasard ... icon_smile.gif

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Eh bien ...

Le quotidien du médecin ...

Le refus de soin opposé par le médecin peut apparaître comme discriminatoire, en particulier dans le cas des malades infectés par le VIH/sida. Deux enquêtes, lune française, lautre américaine, démontrent que de telles situations qui engagent leur responsabilité ne sont pas rares. Pourtant, même si les deux types de refus ne sont pas en miroir, le médecin a, tout comme le patient, la possibilité de refuser les soins. Le code de déontologie en pose les limites.

SELON LA DERNIÈRE enquête de Sida Info Service, le milieu médical constitue le premier domaine de discrimination à lencontre des personnes vivant avec le VIH : près dune personne interrogée sur deux déclare avoir été discriminée (« le Quotidien » du 4 octobre). Les malades décrivent plusieurs types de discrimination, des attitudes ou des propos désobligeants au non-respect du secret médical et au refus de soins. La fréquence des refus, surtout de la part des dentistes, a conduit les associations à interpeller le Conseil national de lOrdre des chirurgiens-dentistes qui, dans une circulaire datée du 22 mars 2005, a dû rappeler que les refus de soins ne peuvent être justifiés, pas plus par létat de santé du patient que par sa couverture sociale.

Les dentistes ne sont pas les seuls concernés. Dautres soignants sont évoqués, soit pour un refus de soin ou une autre attitude discriminante : dermatologue, phlébologue, ophtalmologiste, gynécologue ou kinésithérapeute. Vingt ans après le début de lépidémie, le constat est inquiétant. « Je vais dans deux ou trois hôpitaux en même temps et il y a des médecins qui refusent de me toucher. Comment est-ce possible en 2005 ? On ne peut passer son temps à intenter des procès », dit un des participants de lenquête.

Une récente étude publiée dans le « Journal of Internal Medicine » rapporte le même problème aux Etats-Unis. Parmi 2 500 patients infectés par le VIH, 26 % ont déclaré avoir ressenti des attitudes discriminantes de la part des soignants, allant jusquau refus de soins dans 8 % des cas. Les patients citent en priorité les médecins (54 %), les infirmières et autres personnels soignants (39 %), les dentistes (32 %), les autres membres du personnel hospitalier (31 %) et les travailleurs sociaux (8 %). Mark A. Schuster, un des auteurs de létude, rappelle que « la discrimination du fait dune séropositivité est illégale ». Selon lui, il convient de sinterroger car, réelles ou simplement ressenties par le patient, elle conduit à un défaut de soin réel. Lenquête française a dailleurs montré que près dun quart des personnes interrogées ont renoncé à une consultation, un examen médical ou un soin, et que plus dun tiers ont tu leur statut sérologique à lune de ces occasions.

Risque de poursuite

Le médecin qui refuse ses soins en fondant son refus sur létat de santé du patient sexpose à une poursuite pénale ou déontologique. Larticle 7 du code de déontologie stipule bien que « le médecin doit, non seulement soigner, mais aussi écouter, examiner, conseiller avec la même conscience tous ses malades, quels que soient leur origine, leurs murs, leur situation de famille, leur appartenance ou leur non-appartenance à une ethnie, une nation ou une religion déterminée, leur handicap ou leur état de santé, leur réputation ou les sentiments quil peut éprouver à leur égard. Il doit leur apporter son concours en toutes circonstances. Il ne doit jamais se départir dune attitude correcte et attentive envers la personne examinée ». Sa responsabilité est donc engagée, et, pénalement, il sexpose, en cas de discrimination, à deux ans demprisonnement et à 30 000 euros damende (article 225-2 du code pénal). Le code pénal définit par ailleurs (article 225-1) la discrimination comme « toute distinction opérée entre les personnes physiques à raison de leur origine, de leur sexe, de leur situation de famille, de leur état de santé, de leur handicap, de leurs murs, de leurs opinions politiques, de leurs activités syndicales, de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ».

Une fois posé le cadre de la pratique qui précise les devoirs du médecin, celui-ci garde la possibilité de ne pas donner ses soins. Selon le code de déontologie (article 47), « hors les cas durgence et celui où il manquerait à ses devoirs dhumanité, un médecin a le droit de refuser ses soins pour des raisons professionnelles ou personnelles. Sil se dégage de sa mission, il doit alors en avertir le patient et transmettre au médecin désigné par celui-ci les informations utiles à la poursuite des soins ». En effet, précise larticle, « quelles que soient les circonstances, la continuité des soins aux malades doit être assurée ».

Situations de refus

Dans son avis relatif au refus de traitement et à lautonomie des personnes, le comité consultatif national déthique pour les sciences de la vie donne une série dexemples où le médecin peut être en position de refus. Lorsquil juge « inutiles ou coûteuses » des investigations demandées par le patient alors quexistent des « examens plus simples, aussi efficaces et beaucoup moins coûteux ». Car « il ne faut pas oublier que le médecin reste aussi un acteur de santé publique ». De même, les situations dacharnement thérapeutique : « Sobstiner à maintenir la vie et non pas la qualité de vie au prix de traitements excessivement lourds, sans lespoir, même minime, dun bénéfice à court ou moyen terme, ne constitue pas une obligation. » Dans le cas dune assistance médicale à la procréation, le gynécologue ou léquipe chargée de la pratiquer peut refuser en raison de lâge ou de létat des personnes : « La responsabilité de la médecine nest pas de permettre la réalisation dun désir à tout prix. Elle est aussi dexpliquer avec respect le caractère irréaliste, voire nocif, de certains projets. » Le refus de mettre en route une réanimation néonatale du fait dun jugement pessimiste sur lavenir du foetus relève également de considérations médicales. Cependant, tout comme le patient, le médecin peut exprimer ses propres valeurs culturelles et refuser, par exemple, une interruption volontaire de grossesse.

Mais, conclut le Cne, les deux refus ne « sont pas en miroir ». Le refus de la part du patient « est un droit ; le refus de la part du médecin, qui peut apparaître comme une clause de sauvegarde, ne se fonde que sur une expérience ou une conviction exprimée à laune de son devoir de soin ».

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Invité Kinipou

Cheminot,

Merci pour ta réponse, j'attends de savoir ce que tu en penses avec impatience.

Terry,

A la lecture de ton message, je me suis aperçu que je m'étais mal exprimé ou que tu avais mal compris, je ne sais pas.

Aussi, j'explique en détails.

Mon beau-père, en 40 ans de sa vie, a ingéré les substances suivantes:

De 1958 à 1961 environ en assez grande quantité:

- Isoniazide

- Steptomycine

- P.A.S. (para-amino salicylique)

pour une tuberculose non bacillaire. (les médecins de l'époque lui ont administré des médocs agissant sur le bacille de Koch alors qu'il n'en était pas porteur...)

Nous savons que l'isoniazide a été responsable d'un déficit en vitamine B6 d'où une neuropathie importante et d'une hépato-toxicité qui a donné lieu a une hépatomégalie.

La steptomycine, quant à elle, a été responsable d'une perte auditive de 30%.

En 1999, mon beau-père a suivi un traitement chimiothérapique à base d'Oncovin pour un lymphome à l'amygdale. Dans le même temps, séropositivité au VIH aidant, il a ingéré son premier traitement antirétroviral qui était composé de Epivir + Zérit + Viracept.

Ce qui est dingue, c'est qu'en nous rencardant pas mal sur les traitements, notamment par le biais du net, nous avons appris qu'il était formellement interdit de prescrire du Zérit à un patient en attente de subir ou subissant une chimiothérapie, et à un patient souffrant déjà d'une neuropathie, le Zérit était l'antirétroviral le plus néfaste au système neuro-musculaire. Or, les médecins s'en sont complètement foutus.

Par la suite, mon beau-père ayant développé des effets plus qu'indésirables au Viracept, deux substances ont été changées (Zérit et Viracept) au profit de Rétrovir (AZT) et de Viramune. Et là encore, nous avons trouvé ça incroyable! En effet, mon beau-père, suite à la prise d'isoniazide, a souffert d'une toxicité du foie et les médecins n'ont rien trouvé de mieux que de lui administrer du Viramune, c'est à dire l'un des antirétroviraux les plus néfastes, voire mortels pour le foie. Allez comprendre?! En plus le médecin "spécialiste" du VIH/sida qui lui prescrit ces deux traitements consécutifs est à la base pneumologue du fait qu'il connait fort bien les effets à long terme de l'isoniazide, de la streptomycine et du P.A.S..

Quand mon beau-père a demandé des explications à tous ces toubibs, il n'a obtenu aucune réponse de leur part, tout au plus une colère, ces derniers se sentant agressés. La grande question est pourquoi?

En février dernier, lorsque mon beau-père a décidé d'abondonner son traitement antirétroviral c'était à cause d'une discussion qui s'est finie en "eau de boudin". En effet, quatre mois auparavant, le médecin avait dit à mon beau-père qu'il envisageait de le mettre en "vacances de traitement", ces résultats étant stables et bons. Aussi, en février, ses résultats étant idems, mon beau-père a réclamé les fameuses "vacances" et lé médecin a refusé sans fournir la moindre explication. Il avait changé d'avis, voilà tout. Mon beau-père, à qui il en faut peu pour démarrer au quart de tour, lui a alors demandé de lui changer son traitement, sa neuropathie s'aggravant et son foie "s'enflammant" (il avait atteint les 120 gammas GT, sans compter les transaminases qui n'avaient de cesse d'augmenter). Le toubib lui répondit alors qu'il en était hors de question, ce traitement était "très bien et efficace". Mon beau-père lui a alors demandé s'il ne valait pas mieux lui administrer un traitement immunologique et le médecin lui a répondu qu'il n'y avait pas meilleur que les antirétroviraux pour booster le système immunitaire. Mon beau-père lui a alors demandé d'effecuer un dosage sanguin (afin de constater la concentration des antirétroviraux dans son sang et ainsi, mieux adapter la posologie) et le toubib lui a répondu que les dosages étaient totalement inutiles! Je précise qu'en 7 années d'antirétroviraux, mon beau-père n'a jamais bénéficié d'un seul dosage sanguin!!! Mon beau-père lui a alors réclamé un traitement en vue d'apaiser sa neuropathie, et le médecin n'a rien trouvé de mieux que de lui prescrire de la vitamine PP a très haute dose, laquelle est composée d'acide nocotinique, tandis que c'est très justement l'acide nicotinique (composant de l'isoniazide) qui est en partie responsable de l'état de mon beau-père. Consterné, mon beau-père a alors accusé le médecin de "vouloir le tuer". Ce dernier a alors perdu tous ses moyens et a du recommencer l'ordonnance de mon beau-père a 3 reprises, ne sachant plus ce qu'il écrivait. Au final, mon beau-père a dit au médecin "vous êtes d'une mauvaise foi incroyable" et le médecin a répondu "je suis peut-être de mauvaise foi mais c'est comme ça et je n'en changerai pas". Que voulez-vous répondre à cela?!

Depuis le mois de février, mon beau-père a abandonné son traitement et n'a plus repris rendez-vous avec son fameux toubib qui quant à lui, ne s'est jamais manifesté.

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Invité
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