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**[SIDA] : le "VIH" ne cause pas le SIDA ** 2/3


Vitosi
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moi ? je pense que c est le laborantin qui comment une faute en oubliant de preciser ce qu il y a d ecrit sur la notice des tests elisa et western blot....

Simpliste cher Terry ...

... encore faudrait-il qu'il y ait un contact institutionnel direct entre le patient et le laborantin ... est-ce le cas ?

... moi, je vois davantage une mise en cause des praticiens qui ont "la chance" d'avoir des ordonnances pré-imprimées par les labos pharmaceutiques (et non les labos d'analyse) et qui, de façon "incitative" (au départ) et que, de façon récurente après (au vu du chiffre), se vient attribuer de "beaux voyages" déguisés en colloques exotiques à Marrakech, à la Barbade ou aux Seychelles ...

Certes, il y a aussi des laborantins dans ces sauteries ... certes, ces "manifestations scientifiques" ne concernent pas que le VIH ... loin s'en faut ... puisque les bénéfices engendrés font changer de dimension la politique commerciale des trusts pharmaceutiques ...

J'ai un ami médecin ... qui n'arrête pas ... c'est le club med (version 5 étoiles) cinq fois par an ! ... Lui même n'en revient pas ... mais s'habitue ...

" Même les filles sont prévues ! " me confie-t-il ... (bon Terry ... on peut prévoir des garçons si tu veux) ...

Tout ceci se paie ... et ce sont les patients (enfin l'ensemble de la population via la SS) qui casquent ...

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En revanche, dans des litiges entre particuliers, la cause me paraît moins désespérée.

Le problème est justement qu'il ne s'agit pas de litiges entre particuliers ou tout au moins pas au fond ... car l'une des parties a, de façon consciente ou non, un lobbying derrière elle ...

Maître Verges me paraît tout indiqué ... s'il parvient à distraire quelques instants de sa défence de Saddam ...

Je ne crois pas qu'il y a lieu d'être aussi fataliste. Je pense que tu as sans doute raison en partie, mais si on se dit à l'avance que la cause est perdue parce que tous les juges seraient carriéristes ou parce que Me Vergès serait trop occupé avec la défense de Saddam, évidemment, les choses ne sont pas prêts de bouger.

Comme je l'ai dit, l'important est d'en parler ... ailleurs qu'ici !

Le simple fait que l'avocat de la défense (pas besoin de Vergès pour cela; au contraire, même, je dirais, vu sa réputation sulfureuse) invoque comme argument (parmi d'autres) que son client n'a pu empoisonner la plaignante au motif que le HIV n'est nullement un poison est déjà une grande victoire en soit, et de nature à populariser les idées dissidentes, ... grâce justement aux lobbies dont tu mentionnes l'existence. Certes, ces mêmes lobbies affirmeront que les thèses des dissidents ne vaudraient rien, ... mais au moins le débat sera lancé ... sur la place publique. Et vu l'attention que la presse portera à ce genre de dossier, on en parlera justement ailleurs qu'ici, ce qui me paraît constituer un grand pas en avant.

Et quand bien même le juge est carriériste, il devra bien se prononcer sur la question, que ce soit négativement ou non, faute de quoi il se rendrait coupable de déni de justice. Et quand bien même il se prononcerait négativement (pour éviter que cela porte atteinte à sa carrière future), au moins, ... on en parlera, sans compter les possibilités de recours par la victime auprès des juridictions supérieures.

En réalité, cette nuit m'a porté conseil, et je pense avoir élaboré un début d'un plan d'action en faveur de la propagation des thèses et arguments des dissidents et d'en favoriser la publicité à moindres frais et de la façon la plus efficace possible. Cela demandera essentiellement "juste" un peu de temps de la part des partisans des dissidents.

J'espère que j'aurai le temps cette nuit de mettre sur papier cet avant-projet de plan d'action, tout en espérant que certains membres sur ce site s'y intéresseront et feront leurs commentaires (constructifs).

A +

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Le premier problème en matière de droit est de trouver un juriste intelligent, sincère et peut-être pas forcément acquis à " la cause " mais procédurier et tacticien.

De plus, les meilleurs, bien souvent, et cela peut vous faire bondir...se payent...

Les films Hollywoodiens d'Avocats engagés et bénévoles qui gagnent les causes perdues ne sont souvent que des films.

Dans la réalité, c'est tout autre chose ; cela n'enlève rien à ma vision optimiste de l'existence mais à ne pas confondre avec de l'angélisme béat.

Donc, quel est cet avocat ( Maître Collard ?.... ) efficace et vénal. Maître Vergès, ce serait mieux...

Et, il faut voir cela également au niveau international...

Aller, on va jouer au permier qui trouve !

Je suis la voie qu'ouvre Wallypat et attends avec impatience ( sincèrement ) ses idées... Mais, si elles sont diffusées sur ce site la " partie adverse " ne peut que se régaler.

D'ailleurs, la tactique de la " partie adverses " est de dire qu'il n'y a pas de partie adverse puisque la réalité est connue : le VIH existe et il donne le SIDA, tous les scientifiques sont d'accord à part quelques huluberlus - d'ailleurs regardez ce forum... sur onnouscachetout.com qui mélange UFO etc.... Théorie du complot.... hien.. pas très sérieux tout ça, non ?

Allons, allons, soyez sérieux...

Modifié par sidarta
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vu dans le monde dans le quel on vit cela ne m etonnerait pas que les avocats dit les plus brillants sont en fait tous des corrompus marchant à coup de fric.....toujours aux plus offrants....si ce n est pas pour servir les interets d un gouvernement.......donc moi et un avocat contre disons roche et ses milliers d avocats, y a pas photos !!

bref 6 ans que je sais que l on m'a pris pour un con et je suis toujours pas allé deposé plainte !!! et j attends toujours l addition de l azt car je pense qu elle va finir par tomber un jour ou l autre............ moi qui reve d un magot pour le prejudice subit !! je peux toujours me gratter......pas trop fort sinon mon toubib va dire que je fais une allergie, au poulet peut etre ?! icon_bravo.gif

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J'espère que j'aurai le temps cette nuit de mettre sur papier cet avant-projet de plan d'action, tout en espérant que certains membres sur ce site s'y intéresseront et feront leurs commentaires (constructifs).

STRATEGIE PROPOSEE POUR POPULARISER LES THESES DISSIDENTES A MOINDRES FRAIS 3 - jedi.gif

Voici ci-dessous ce que je proposerais (mais je ne fais que lancer des propositions, à vous d'en trouver d'autres ou de les améliorer ! icon_ange.gif ) de prime abord pour tenter de faire avancer les choses.

1) Création d'un comité d'action sur internet

Et pourquoi pas sous l'égide de www.onnouscachetout.com ? 1-question.gif

Il s'agirait d'un espace virtuel où ses membres discuteraient et coordonneraient les actions à exécuter, les résultats obtenus ... et se soutiendraient mutuellement !

Il faudrait déjà commencer à lui donner un nom. Pourquoi pas par exemple "Comité des citoyens pour le droit à une information objective sur les véritables causes du sida et ses traitements appropriés" ? Bon, j'avoue, c'est la première appellation qui m'est venue en tête (je suis un peu fatigué icon_sommeil.gif , là, il est 4 heures du mat !).

Il faudrait ensuite obtenir à tout le moins la caution morale de certains dissidents scientifiques autorisés établis en France et en Belgique (et il y en a quelques-uns), et disposés à donner des interviews à la radio, à la télé, dans la presse écrite générale (le cas échéant, par le biais d'un droit de réponse)... si enfin ces médias se mettaient à parler de ces thèses dissidentes.

2) Identifier et contacter les avocats qui assureront la défense les séropos "meurtriers" dans les prochains (et visiblement assez nombreux)procès d'empoisonnement les concernant

Tenter de faire un procès contre les entreprises pharmaceutiques me paraît très coûteux et aléatoire, du moins pour le moment. En revanche, une fois que les thèses dissidentes seront admises, les procès vont pleuvoir sans problèmes et il est à "craindre" que les cours de bourses de certaines entreprises pharmaceutiques connaîtront un krach brutal et que certaines devront se déclarer en faillite (il faudra s'attendre à des procès du même genre que ceux entamés aux USA contre les cigarettiers à l'heure actuelle).

Comme l'a dit Cheminot dans un prédécent post, tout ou presque est verrouillé. Ce n'est pas du côté des "grands et puissants" qu'il faudra s'attendre à un changement quelconque (car évidemment, c'est un suicide pour eux; ils sont allés tellement loin dans l'absurde qu'ils ne peuvent plus faire machine arrière).

Le seul but à rechercher est simplement de faire connaître au plus grande nombre possible l'existence de ces théories dissidentes, que malgré internet, beaucoup ignore. Une simple et unique lettre, signée par des membres de ce comité et contresignée par des dissidents scientifiques autorisés devrait suffir (ce n'est pas bien coûteux).

La balle sera ensuite dans le camp de l'avocat de la défense qui sera enfin mis au courant de l'existence de ces thèses dissidentes. S'il est soucieux de défendre son client, il devrait au moins avancer cet argument, outre les arguments classiques généralement invoqués dans ce genre de procès (la responsabilité partagée, la "prise de risque" par la personne "injustement" "contaminée", etc..).

Bref, notre rôle se limite à signaler l'existence de ces thèses dissidentes. Le coût et les aléas du procès, et bien, ce n'est pas vraiment notre problème. A la défense de jouer son rôle. Bien sûr, si la défense voulait faire témoigner des dissidents autorisés (en particulier ceux qui patronneraient ce comité ou à tout le moins donneraient leur caution morale), il serait assurément utile que ceux-ci témoignent justement. Et quelle que soit l'issue du procès (qui attirera de toute façon l'attention de la presse en général), le simple fait qu'on en ait parlé dans le procès est déjà une grande victoire en vue de faire connaître l'existence de ces théories dissidentes au plus grand nombre.

3) Rédiger le modèle de lettre qui serait adressée à chacun des avocats qui assureront la défense des séropos cités en justice (lettre qui sera plus courte que le tract dont question ci-après

Il faut bien entendu rédiger ensemble le modèle d'une telle lettre, laquelle aura surtout pour but d'attirer l'attention de l'avocat de la défense sur l'existence de thèses alternatives et plus convaincantes que celle du virus tueur, thèses qui bien sûr ont pour effet (même si ce n'était pas leurs but) de disculper la partie défenderesse, avec pourquoi pas un renvoi au site www.sidasante.com

Il faudra au moins quelques semaines, voire quelques mois, pour se mettre d'accord sur le contenu de cette lettre. Et bien sûr, ce modèle de lettre devra être approuvé dans son intégralité par les dissidents qui cautionneront notre comité.

4) Rédiger un modèle de tract ou petit prospectus à distribuer dans des endroits particulièrement bien ciblés pour être le plus efficace possible.

Je crois que l'on peut encore faire mieux que compter sur les prochains procès qui impliqueront des séropositifs, à savoir faire connaître les thèses dissidentes au sein même de la population.

Mais pas n'importe quelle population, sous peine de disperser nos efforts en vain !

Le changement n'est pas prêt de venir des politiques, des scientifiques, etc...

L'impulsion au changement ne pourra venir à mon sens que de la base, et d'ailleurs, pas de n'importe quelle base.

Si la base bouge et modifie son comportement, le reste de la société devra forcément bouger. C'est ce que j'appellerais l'effet contaminateur.

Et de qui le changement pourrait venir ? Essentiellement, ceux qui ont été déclarés séropos ou qui craignent de le devenir. Pour être efficace, c'est vers eux que l'information dissidente doit être dirigée en premier lieu et principalement.

Et que cela nous plaise ou non, dans nos pays occidentaux, ceux qui courent le plus un tel risque, ce sont les hommes gay et les toxicomanes. Non pas que je veux ignorer les hétéros non bisexuels et/ou non toxicomanes, mais ceux-ci courent bien moins de "risques" d'être déclarés séropos. Donc autant diriger nos efforts et dépenser notre temps sur "Pour une nouvelle politique de prévention du sida chez les gay" (cela pourrait éventuellement être le titre même du tract ou petit prospectus). Car, ne l'oublions pas, à ma connaissance, ce sont les gays qui été les plus prompts à suivre sans vergogne et servilement les recommendations en la matière (à savoir, utiliser la capote 48 heures sur 24 vous protégera du sida) et par leur exemple, cette politique de "prévention" (qui, à mon avis, n'a en réalité qu'augmenter les cas de sida dans les pays occidentaux, faute de se concentrer sur les réelles cause du sida) s'est étendue à toutes les couches de la population. Pour inverser efficacement ce cercle vicieux et le plus rapidement possible, il convient à mon sens de s'adresser en premier lieu aux gay, lesquels, en ayant en connaissance ces théories dissidents, vont modifier leurs comportements, inversant ainsi le cercle vicieux que nous connaissons actuellement ... en un cercle vertueux qui contaminera progressivement le restant de la population. remarque : à mon avis, il ne sert à rien de distribuer de tels tracts auprès des toxicomanes purs et durs car sans vouloir faire preuve de préjugés, ils sont bien plus intéressés par la recherche de leur dose journalière que par quelque théorie dissidente !.

En résumé, il serait de prime abord utile de s'atteler durant les prochains mois à rédiger un modèle de tract qui inciterait les gays à s'informer sur les thèses dissidentes (avec pourquoi pas un renvoi au site www.sidasante.com).

Une fois ce tract rédigé (et bien sûr approuvé préalablement par les dissidents autorisant cautionnant notre comité), il conviendrait de les distribuer dans les lieux appropriés, à savoir les entrées des lieux de rencontres gay, tels que les bars, les saunas, etc... (je dirais plutôt les "sorties" des lieux de rencontres gay; en effet, ils seront à mon avis plus ouverts d'esprit lorsqu'ils auront quitté de tels lieux que lorsqu'ils y entreront ! icon_biggrin.gif ).

Etant donné que c'est un fait que la moitié des gays séropos de France vivent à Paris, c'est à Paris même que la distribution de tels tracts devrait être effectuée en priorité pour toucher un maximum de gens concernés (en Belgique, ce serait donc plutôt Bruxelles, du moins pour la partie francophone du pays).

Et qui sait, peut-être pourra-t-on pousser l'enhardissement jusqu'à distribuer de tels tracts devant les différents sièges d'Act Up, Aides, Positifs, etc...

Par prudence, il écherrait de s'assurer préalablement que la distribution de tels tracts sur la voie publique (on ne pourra d'ailleurs pas faire autrement à mon sens) ne suscite pas des difficultés juridiques particulières, genre poursuite ? Je ne le pense pas quand je vois en rue des gens distribuer des tracts pour diverses causes. Et puis pensons également aux Témoins de Jéhovah qui font tous les jours du porte à porte pour populariser leur religion. Et la liberté d'expression, cela existe, non, même dans un état aussi fliqué que la France ?

N'empêche, il serait prudent de s'en assurer préalablement.

Evidemment, la distribution de tels tracts devrait se faire par petits groupes (au moins trois ou quatre personnes) pour se donner la force de procéder à de telles actions et surtout pour être en mesure de donner déjà des premières réponses aux questions qui seront posées par ceux à qui seront remis ces petits prospectus d'information (bien sûr, il faudra s'attendre aussi dans un premier temps à un certain nombre de réaction de rejet, d'où l'utilité également d'être en groupe).

Tous ces propositions me semblent peu coûteuses et parfaitement réalisables ... pour autant que nous nous en donnons le temps ... et surtout la volonté !

Il ne s'agit bien entendu que de propositions. Ne me lapidez pas. Mais je crois être le premier à suggérer ici des mesures concrètes. Donc forcément, elles seront imparfaites. A vous de les améliorer ou d'en suggérer d'autres.

PS : Comme je l'ai signalé dans mon premier post sur ce site, je n'aurai normalement plus accès à internet (pour cause de déménagement assez chaotique) de début novembre à mi-décembre. Mais il n'est bien entendu pas nécessaire de m'attendre pour que quelques-uns se proposent de commencer à rédiger l'un des deux modèles de lettre et de tract suggérés ci-dessus ! Cela prendra déjà quelques mois, à mon avis ! icon_razz.gif

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Le premier problème en matière de droit est de trouver un juriste intelligent, sincère et peut-être pas forcément acquis à " la cause " mais procédurier et tacticien.

De plus, les meilleurs, bien souvent, et cela peut vous faire bondir...se payent...

Les films Hollywoodiens d'Avocats engagés et bénévoles qui gagnent les causes perdues ne sont souvent que des films.

Non Sidarta ... il n'y a pas que dans les films hollywoodiens que ça se passe ainsi ... c'est institutionnel ... aux Etats Unis ... pas pour le bénévolat mais pour le reste ...

Comme tu le dis justement, les juristes (comme les autres) se paient. Les bons sont plus chers que les mauvais.

En France, on parle "d'honoraires" (pas d'obligation de résultats), aux Etats Unis on parle de "commissions" (intéressement aux résultats) ...

En France, les magistrats sont des fonctionnaires à statut dérogatoire mais des fonctionnaires quand même ... Aux Etats Unis, ce sont des élus ...

Il est évident que dans le premier cas les "nommés" (et même les avocats) ont tendance à s'intègrer dans l'establishment ...

Il est aussi évident que dans le second cas, les élus et surtout les avocats préféreront s'attaquer à un conflit impliquant des gros labos ...

De gros cabinets d'outre-atlantique sont déjà sur le coup ...

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Wallypat ...

(je dirais plutôt les "sorties" des lieux de rencontres gay; en effet, ils seront à mon avis plus ouverts d'esprit lorsqu'ils auront quitté de tels lieux que lorsqu'ils y entreront !  ).

Des sorties dans les bars à pédés ? ... bof ... sauf si Terry paie sa tournée ... malice.gif

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Viduité : j'ai pas bien saisi pourquoi tu entrais en réaction face à la proposition de Willypat 4-spamafote.gif

Je trouve son action réfléchie et je pense qu'elle mériterai d'être développée et soutenu.

Je ferai mon possible en tout cas pour aider ceux qui veulent participer à cette sensibilisation icon_smile.gif

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On serait bien tous partants, EcliptUX, mais si on est certainement armés scientifiquement, on l'est très peu financièrement, et contre cela, on ne fait pas le poids pour l'instant.

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Ecli,

Je n'entre pas en réaction contre Wallypat, je réagis simplement ... et pas négativement.

Je veux simplement dire que sensibiliser le grand public n'est pas chose aisée face au rouleau compresseur qui possède tous les leviers ... alors les tracts ...

Je crois davantage à l'attaque frontale via une affaire précise et équipée de cabinets d'avocats déterminés (à obtenir un pourcentage sur les réparations civiles, c'est un détail). En France, ce n'est pas possible en l'état de la législation (de mon point de vue) ... aux Etats Unis si ...

En fait des gens sont morts du Viox et leurs ayant-droit ont gagné ... après tout, la défense qui a consisté à plaider " sans le Viox, ça aurait été pire " n'a pas fonctionné ...

Nous sommes un peu dans le même cas de figure ! C'est encourageant !

Pour être pragmatique et efficace, il faudrait trouver quelques cas voulant bien ester sous cette forme. Ca ne doit rien coûter aux familles (leur rapporter le cas échéant) et ne pas ajouter à leur peine (ça, c'est très difficile).

Comme je l'ai dit, plaider dans une affaire genre celle d'Alsace est casse gueule : les conséquences, nous en avons la démonstration, sont catastrophiques. C'est du "petit Jésus en culottes de velours" pour les parties civiles en l'espèce ...

Nous allons nous retrouver (si ça tourne mal en Cass) avec une jurisprudence (dont c'est la finalité institutionnelle) qui comblera les "lacunes" de ce que le législateur répugne à faire ... Nous pouvons d'ailleurs craindre (comme c'est l'usage) que ce même législateur couvre lesdites "lacunes" ... dans le droit positif ... C'est l'engrenage !

Il faut bien faire attention car ce genre d'oiseaux n'est pas grippé et peut faire la démonstration de son immense rouerie ...

Si je peux être d'un secours quelconque à l'action ...

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Des experts du médicament pris dans des conflits d'intérêts Médecine Un tiers des experts interrogés par la revue Nature avouent avoir des liens avec l'industrie pharmaceutique.

Le Figaro

Jean-Michel Bader

[20 octobre 2005]

LA REVUE savante britannique Nature publie aujourd'hui une enquête révélant les liens étroits entre des chercheurs et des médecins experts du médicament d'une part, et les firmes pharmaceutiques, d'autre part. Plus d'un tiers des 685 auteurs étudiés ont déclaré un conflit d'intérêt potentiel avec un ou plusieurs laboratoires. Et dans 49% des cas étudiés, les recommandations qu'ils établissent, souvent au nom de sociétés savantes, pour les règles du bon usage des nouveaux médicaments, ne mentionnent jamais ces conflits d'intérêts.

Selon Jim Giles, auteur de l'enquête, 70% des groupes d'experts en question sont touchés par le phénomène.

Dans la vie d'un futur médicament, après des essais sur l'animal, des essais cliniques sur l'homme sont organisés. Depuis septembre 2004, les grandes revues médicales qui publient le résultat de ces essais ont décidé de réclamer que tout essai soit préalablement déclaré aux autorités sanitaires.

Une fois tous les essais terminés, le dossier complet est étudié par la commission d'autorisation de l'Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé) en France, ou par la Food and Drug Administration (FDA) aux Etats-Unis. Une fois le médicament autorisé, il faut donner des recommandations de bon usage (les doses, les durées, l'étendue des indications) du médicament. En France, c'est l'Afssaps qui produit ses recommandations. Mais aux Etats-Unis et au Royaume-Uni, il suffit d'avoir une qualification professionnelle, d'être affilié par exemple à l'Association américaine du diabète ou à la Société royale de médecine britannique, et de respecter une méthodologie de base. Or ces groupes autoproclamés sont infiltrés par l'industrie à un niveau inégalé : sur 200 groupes de recommandations mondiales, déclarés en 2004 aux Etats-Unis, seuls 90 contiennent des détails sur les conflits d'intérêts de leurs auteurs et seulement 31 de ces dernières sont libres de toute influence industrielle. Plus d'un tiers des groupes comprenait au moins un membre titulaire d'actions de la compagnie dont on étudiait le médicament. Or, pour Bruce Fye (Mayo Clinic, Rochester, Minnesota), les médecins sont influencés directement par ce type de recommandation qui a un effet direct sur les ventes et donc sur la cote boursière des firmes.

Un exemple de ces recommandations «orientées» : dans le traitement de l'anémie des sujets contaminés par le VIH, un groupe d'experts avait été sélectionné par Paul Volberding (université de Californie, San Francisco). Ce pionnier de la recherche sur le sida l'a fait à la demande de Ortho Biotech, une firme américaine qui a payé les six experts, dont M. Volberding. Le groupe a bien évidemment recommandé l'usage prioritaire du produit commercialisé par Ortho Biotech.

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Bonjour,

Un ami ma rapporté un fait concernant sa cousine séropositive. Elle a reçu son dignostique il y a 10 ans de cela et na pris aucun traitement.

Cet année les examens relevant le taux de CD4 et la charge virale se sont avéré « soudainement » bas, mais à priori rien nexpliquait cette chute. Le médecin quelle consultait alarmé lui dis quil faudrait immédiatemement commencé un traitement.

Doutant, elle a été consulter un autre médecin qui lui a refait les relevés et il cest avéré que cette fois-ci les taux étaient parfaitement normaux.

Ils se sont aperçu que lautre médecin envoyait les prélévement de sang au laboratoire seulement le lendemain et que cest cela qui expliquerait cette différence !

Je rapporte cela pensant que cela pourraiot intéresser certains dentre vous.

Amicalement

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Merci Psience, en effet, en ce qui concerne les examens Cd4 etc..., il semblerait que la fraîcheur du prélèvement soit promordiale pour avoir des résultats " cohérents 3.

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Je livre un extrait d'unarticle de Marie de Hennezel - "la vie menacée"- qui est sans doute une personne de bonne foi.

Pourtant, en lisant ce texte, je n'ai pu m'empêcher de rentrer dans une profonde colère.

Les personnes de bonnes volontés sont parfois les pires... Aller expliquer à Mairie de Hennezel ce que nous partageons, elle qui se centre sur la compassion...

Il faut parier qu'elle targuerait nos échanges d'étape de Déni - selon Annie Kûbler - Ross " les étapes du deuil - sans autres procès...

Pourtant, je ne me sens pas, ne nous sens pas dans quelque déni que ce soit mais dans la recherche de la vérité !

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Une vie menacée, MARIE DE HENNEZEL

En 1942, une jeune file juive hollandaise, pressentant sa déportation prochaine en camp de concentration, écrivait ceci :

Bon, on veut notre extermination complète... et en même temps, j'ai une certitude : je trouve la vie belle, digne d'être vécue, et pleine de sens... La vie et la mort, la souffrance et la joie, les ampoules des pieds meurtris, le jasmin derrière la maison, les persécutions, les atrocités sans nombre, tout, tout est en moi et forme un ensemble puissant, je l'accepte comme une totalité indivisible et je commence a comprendre de mieux en mieux —pour mon propre usage, sans pouvoir encore l'expliquer à d'autres — la logique de cette totalité. Je voudrais vivre longtemps pour être un jour en mesure de l'expliquer, mais si cela ne m'est pas donné, eh bien, un autre le fera a ma place, un autre reprendra le flux de ma vie là où il sera rompu. »

J'ai souvent pensé a Etty Hillesum, l'auteur de ces lignes dans Une vie bouleversée, chaque fois

qu'il m'a été donné d'écouter et d'accompagner des personnes séropositives, lucides quant à leur destin, évoquant sans détour ce que seraient sans doute un jour leur maladie et leur mort. Leur témoignage, recueilli en 1995 dans le cadre d'un film vidéo, Une vie menacée, une vie créative', me semble prolonger celui de cette jeune file morte deux ans après avoir écrit ces lignes. Bien sûr, aujourd'hui, les nouvelles thérapies ont éloigné la menace mortelle, et on peut s'en réjouir. Mais beaucoup sont morts. Et la façon dont ils ont vécu leurs dernières années reste pour nous un témoignage bouleversant de la manière dont l'être humain peut traverser les pires crises et se transformer à travers elles.

Côtoyant pendant plusieurs années des personnes porteuses du VIH, j'ai découvert, à côté de leur souffrance et de leur solitude, la force et les ressources souvent insoupçonnées qui se révèlent au fur et à mesure de leur difficile chemin. J'ai été témoin du travail psychique, du travail intérieur que la menace létale a progressivement ou brutalement, selon chacun, mis en route. Au-delà du choc initial et de la sidération qui suit parfois ce choc, chacun fait face à l'angoisse à sa manière, à travers l'expression de multiples stratégies défensives que nous connaissons bien (la dénégation, la révolte, la dépression). Malgré cela, cet ébranlement intérieur n'est que rarement recouvert. L'ébranlement intérieur révèle à chacun sa vulnérabilité et sa mortalité. Ainsi, la menace de mort est un révélateur de notre véritable intériorité, dans la mesure où elle nous renvoie à notre capacité de nous ressouvenir de ce que nous sommes réellement, un être humain voué à la mort, confronté à la question de son origine et de son devenir. Nous sommes alors renvoyés aux vraies questions concernant le sens de notre vie, concernant les valeurs sur lesquelles notre vie repose.

On cherche trop souvent la question du sens l'extérieur de soi, comme si elle pouvait nous être livrée toute prête. Or le sens est en nous. Mais s'élabore et se construit en grande partie grâce aux épreuves qui portent en quelque sorte le germe du sens de nos existences. L'épreuve — et la menace létale en est une — confronte donc à une vulnérabilité extrême et en même temps, au creux de cette impuissance, on assiste parfois au surgissement d'une force insoupçonnée. Michel de M'uzan, clans un texte intitulé « Le travail du trépas parle d'expansion libidinale, de « surprenant élan pulsionnel », le professeur Fisher de « ressort invisible ». Chacun désigne par là la force psychique qui semble se mettre au service d'une tâche essentielle : s'accomplir, oser être soi, vivre plus consciemment et peut étre, selon l'expression de M'uzan, " tenter de se mettre complètement au monde avant de disparaitre ».

Ce travail psychique, ce travail du trépas — travail du passage — commence " très tôt, car les processus morbides qui se déroulent dans le corps, l'appareil psychique ne manque jamais de les rep& rer à quelque niveau que ce soit ». II est possible, cependant, ajoute M'uzan, qu'il ne s'effectue vraiment qu'à partir du moment oh, ayant &passé la phase de dépression, le patient en vient à une sorte d'acceptation de son destin.

En concevant le film « Une vie menacée j'ai souhaité donner la parole à quelques-uns de ces exclus de la société que sont les personnes atteintes d'une maladie chronique potentiellement mortelle. Au-delà de la solitude, de l'épuisement, de la souffrance, le film se propose surtout de montrer les forces profondes qui se manifestent pour y faire face : la solidarité, la tendresse, l'humour, la foi clans une dimension qui transcende l'homme, quel que soft le nom qu'on lui donne.

Avoir contacté ces forces profondes en soi ne signifie pas pour autant que l'épreuve est définitivement dépassée. On peut connaitre d'autres brisures, d'autres désespoirs qui creuseront encore davantage la conscience de sa fragilité et de ses limites, mais ouvriront davantage aussi la capacité d'humour, de tendresse qui conduit à oser étre soi. Car la vie de chaque homme est un chemin qui doit le conduire à lui-même.

La force de ce témoignage tient à l'authenticité de ceux qui, sentant qu'ils n'ont plus de temps à perdre, veulent vivre, et vivre l'essentiel. Ainsi, ils deviennent ce que, peut-étre, ils n'auraient jamais imaginé devenir. Ils découvrent un sens à leur vie. Les expériences douloureuses qu'ils traversent semblent stimuler en eux des aptitudes nouvelles. Ils semblent mieux apprécier les choses et les gens, étre plus tolérants dans leurs rapports aux autres. Ils deviennent plus sages.

Voici quelques extraits de ce témoignage :

« Ca nous apprend beaucoup de choses, cette maladie. Maintenant, je dis que la vie est géniale, parce que maintenant, je l'écoute, la vie. Non seulement je la vois, mais je l'écoute. C'est venu progressivement. Par exemple, il n'y a pas une journée ou it ne se passe pas quelque chose de chouette dans la vie, un détail, un sourire... il n'y a pas une journée ou ca n'existe pas.

Survivre à tout prix, non ! C'est vivre bien ce que j'ai à faire : toutes ces choses formidables qui vous arrivent dans la vie, tous ces cadeaux qu'on reçoit, on doit les redonner, cela va de soi, on doit en faire profiter les autres. Donc, on va vivre, on aura le temps de faire ce qu'on a à faire » (Zazie, séropositive depuis cinq ans, décédée deux ans après ce témoignage).

« La maladie m'a fait comprendre que j'approchais de la mort et en même temps, c'était un éveil. C'était une naissance pour moi. Donc, j'avais une nouvelle chance de voir autrement la vie.

Je crois que je n'ai jamais été aussi heureux ! Je vais à l'essentiel. Je suis revenu aux petites choses simples, je commune plus facilement avec les éléments. Je crois que là, on tire le nectar de toutes choses. On pose les yeux sur les petites choses. On prend le temps de communiquer, d'échanger. On court, on court, on oublie tout ça ! Moi, pour me ressourcer, j'ai besoin d'un pare, la verdure, l'eau — tout ce qui est silencieux, en fin de compte, et qui apporte la paix, le calme. J'ai besoin de cette paix. Je crois que là, je suis en communion avec l'univers et je me sens aimé " (Jean Teddy, séropositif depuis onze ans).

« J'ai pensé à la mort, mais je n'ai pas peur de la mort. Ma maladie n'a jamais été un regard sur la mort. Je l'ai pris comme une reconnaissance. Je me suis trouvée, moi, à l'intérieur. J'ai réussi à aller au-dessus de ma maladie par l'amour. C'est l'amour qui me donne cette force. Je crois que c'est l'amour qui me sauve. Voilà... et plus j'ai été vers l'amour, plus j'ai donné aux autres, plus j'ai aidé les autres, et plus je me suis aidée moi-même, en fait » (Valérie, séropositive depuis neuf ans).

« C'est ça que j'oublie trop souvent : cet état d'urgence ! La mort n'est pas loin, elle risque même d'être proche. II y a quelque chose qui m'interpelle profondément, c'est ça, c'est une approche du coeur, arriver à aller au fond de soi, tranquillement, dans la difficulté les hésitations et les maladresses, mais éveiller cette présence à soi, l'autre » (Roland, séropositif depuis cinq ans).

« On prend conscience qu'on est mortel, et que la vie dure un certain temps, en tout cas sur cette terre, et ça donne encore plus envie de se battre et de vivre et d'apprécier un tas de choses qu'on n'apprécierait pas si on n'était pas conscient qu'un jour ou l'autre on peut partir. Il y a des moments où on se sent seul, on perd des amis, et puis tout le monde ne comprend pas. II y a la peur d'être contaminé, la peur de l'image de l'autre si un jour elle se dégrade. Mais les autres ne se rendent pas compte de tout ce qui se vit de positif, de toute la force intérieure qui se découvre en même temps. On se rend compte qu'on est capable de porter beaucoup. Je voudrais ne pas avoir vécu tout ça pour rien, que ca serve à quelque chose » (Thierry, séropositif depuis cinq ans).

1. Ce film video est diffuse par l'Association Bernard Dutant (Maison des Associations, 93, Canebière, 13001 Marseille).

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Ma réaction par rapport à ces témoignages :

A chaque fois qu'elle cite une personne, parfois elle dit --- tant d'années de séropositivité , puis mort il y a .... tant d'années.

Terribles témoignages car sentence irrémédiable : tout séropositif est en survie !

Eh bien, sachant ce que je sais, vous le comprendrez, cela me fait bondir : l'enfer est pavé de bonnes intentions !

« Le principal fléau de l'humanité n'est pas l'ignorance,

mais le refus de savoir. »

Simone de Beauvoir

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Hello Sidarta, et les autres...

Je pense pas que cela soit si grave, cette personne observe simplement la psychologie du deuil dans loptique dune mort annoncée, en ne remettant pas en cause les fondements de cette déclaration.

Létape de dénégation dont elle parle consiste en un refus naturel de mourir qui peut amener à nier lannonce elle-même, cest-à-dire refuser la valadité du diagnostique. Ainsi les questions amenées par le déni seront automatiquement « disqualifiées » du fait dêtre considérer comme émanant du « refus de la réalité ». Mais fondamentalement cela revient à confondre motivation et remise en question : un refus de mourir amenant une remise en question des faits établis interroge à nouveau la réalité.

Cest bien damener cela en lumière, car il ne faut pas que cette étape du deuil, devienne un argument contre la remise en question quelle suscite. Dailleurs lon pourrait très bien percevoir cette remise en question dans une optique plus complète du deuil, comme une ultime vérification de la réalité de sa propre mort, avant de commencer le travail de détachement proprement dit.

Le problème cest quau-delà du diagnostique biométrique , aucun séropositif ne semble mourir dans son corps. Alors meurt-il *aussi du processus de deuil quil accompli dans son esprit, comme si cela était déjà arrivé ? Meurt-il en partie de persuasion ?

*(traitement et autres causes environnementale, nutritive, ... )

Je penses que ce quil faut retenir cest quordinairement un processus de deuil senclanche par la perte dun proche ou lorsque le malade se sent condamné dans corps souffrant, cest-à-dire sur la base dun fait concret : - à nouveau le cas du séropositif est unique, il se base sur une « prédiction » alors que la personne se sent très bien.

Je suis daccord avec Sidarta, le déni étant le refus de reconnaître la réalité implique dabord quil faille connaître la réalité.

Je trouve toute cette histoire très ambivalente...

Amicalement

Modifié par Psyence
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Hum,

Chaque matin désormais, je regarde les petits oiseaux chanter et je me dis (après avoir écouté les infos) : " Ces petits oiseaux sont-ils conscients du fait qu'ils sont peut-être déjà contaminés par leurs gros homologues migrateurs ? "

J'ai conscience d'ailleurs d'être moi-même en sursis comme ces petits oiseaux qui ne manqueront pas de recombiner leur parasite avec ma voisine de dessous qui tousse déjà malgré sa vaccination récente ...

Je profite donc pleinement de la vie (qui me reste) pour me réjouir que tant d'énergie se déploie afin de me faire échapper - peut-être - au désastre annoncé et martelé à longueur de journée ...

Sans tout cela, ma vie serait bien fade et je ne regarderais sans doute même pas ces conneries d'oiseaux ...

L'avalanche de maladies annoncées m'a fait devenir poète ...

Que la vie est belle lorsqu'elle est vécue en ces magnifiques conditions ...

PS : le texte de nos amis est encore pire que les autres ... avec "générosité" il conforte l'idée générale que la vie d'un séropo est une vie de misère physique :

ET BIEN MOI, JE DIS : CE N'EST PAS VRAI !

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Voilà, la collection haute couture " automne/hiver" 2005 des professionnels du VIH se dessine ...

Dans un quotidien de RDC (République Démocratique du Congo ... je n'ai jamais bien compris pourquoi "démocratique" d'ailleurs ... car quand on connaît, il y a de quoi sourire ...), les "stylistes" lèvent le voile :

Campagne mondiale sur les enfants et le sida : paidoyer en faveur des enfants atteints du Vih/Sida

Le Potentiel (Kinshasa)24 Octobre 2005

La pandémie du Sida affecte de plus en plus les enfants dans le monde, et particulièrement la Rdc.

Plus de 6.000 enfants sont infectés par jour. De ce fait, le vih/sida constitue une crise mondiale. Ainsi, pour répondre à cette crise, le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (Unicef) procédera dès demain à New York au lancement de la campagne mondiale sur les enfants et le Sida. C'est ce qu'a annoncé le week-end dernier le représentant de cette agence onusienne en Rdc. C'était à l'occasion d'une interview qu'il a accordée à la presse.

Selon cette autorité de l'Unicef en Rdc, son organisation a décidé de mobiliser des fonds et faire un plaidoyer en faveur des enfants affectés par le Vih/Sida. Il s'agit d'une campagne qui attire l'attention de l'opinion mondiale « sur ce qui manque dans la vie des enfants et des adolescents atteints de cette maladie ».

L'implication de l'Unicef à cette campagne, qui s'intitule « Unis pour les enfants », est donc une occasion de mettre les enfants en première ligne dans la lutte contre le Sida en vue de mobiliser suffisamment de ressources pour réduire de manière significative l'impact du Vih/Sida sur cette cible.

Cette campagne concerne les enfants de moins de 18 ans infectés par le Sida. Elle est une stratégie visant à focaliser l'attention de la population sur la problématique des enfants et le Vih.

Modifié par Viduité
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Tenez à propos d'Afrique ... je viens de relire l'excellente intervention de l'excellent PIOT (ONUSIDA) ... (Le Monde) ...

Un premier problème est celui de laccès au dépistage. Sur les quelque vingt millions dAfricains infectés par le VIH, probablement pas plus de deux cent mille onnaissent effectivement leur séropositivité.

C'est rigolo comme intervention ! ... Selon lui, moins de 10 % des africains concernés ne connaissent pas leur "mal" ... mais lui si ... Il connaît tout lui ! ... quel homme ! ... à ce niveau de connaissance, il faut bien convenir qu'il tutoie les anges le bougre ! icon_ange.gif

Un premier problème est celui de laccès au dépistage. Sur les quelque vingt millions dAfricains infectés par le VIH, probablement pas plus de deux cent mille onnaissent effectivement leur séropositivité. Le développement du dépistage permettrait détendre les bénéfices de la prévention. Sur le plan de la transmission du virus de la mère à lenfant au cours de laccouchement, la prévention commence à se mettre en place dans une douzaine de pays, et le traitement par dose unique de névirapine semble offrir une nouvelle option efficace et peu onéreuse. Mais le plus compliqué est de parvenir à développer le dépistage et le conseil, et nous nous y employons à travers des projets pilotes. Pour ce qui est de laccès au traitement des personnes infectées, le bilan est mitigé : il a pu être prouvé que les malades suivaient bien leur traitement, mais il faut absolument que le prix de ces traitements diminue fortement, et lindustrie pharmaceutique doit amplifier les efforts quelle a déjà consentis.
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tu veux dire, Viduite, seuls 1% des africains connaitraient leur seropositivite. LOL!

NB : excusez-moi pour les accents, j´écris aujourd´hui de Berlin.

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"Ich bin eine berliner !"

... enfin " Du bist eine berliner" ...

Ja, Cheminot un pour cent ... ce qui veut dire que 99 % des autres vivent dans l'obscurantisme le plus total ... Ils ne savent même pas qu'ils sont très malades ! C'est horrible !

Le droit à savoir qu'on est très malade devrait être reconnu à tous et érigé en principe constitutionnel !

... à défaut de quoi et si ces "imbéciles" pensent être en bonne santé, à quoi ça sert de faire du lobbying (c'est ruineux) pour faire subventionner des tri thérapies ! ... pour soigner seulement 1 % de la population ? ... Ce n'est pas rentable en terme d'économie d'échelle !

En ma qualité de petit actionnaire de la Holding Sanofi-Aventis, je vais appeler l'attention de son actionnaire principal, l'excellente société Total ...

Comme je fourmille d'idées, je vais suggérer une opération audacieuse :

" Pourquoi ne pas proposer à chaque plein d'essence, un test de dépistage gratuit et après dix pleins d'essence une montre et un kit de tri thérapie ? ... La montre étant indispensable pour bien timer les prises des comprimés "

Allez bonnes amplettes sur le K-dam mein freund !

Mange une bonne saucisse à Alexander platz en pensant à moi ...

Schuss ...

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