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**[SIDA] : le "VIH" ne cause pas le SIDA ** 2/3


Vitosi
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Si la vérité éclatait sur le SIDA, je pense qu'une grosse partie des gens basculerait dans le conspirationnisme (qui a déjà bien progressé depuis quelques années). C'est comme un chateau de carte, si une partie tombe, tout le reste s'effondre aussi. Si on nous a menti sur le SIDA, on peut nous mentir sur les vaccins, sur la physique, sur le big bang, sur le 11 septembre, etc... D'ailleurs, les autorités le savent, et font tout pour qu'aucune thèse conspirationniste n'arrive à percer. Ils sentent bien qu'une seule brèche dans la muraille pourrait entrainer la prise de la forteresse.

Et puis, la confiance en l'infaillibilité de la science, qui dure depuis plus d'un siècle, serait totalement brisée. Ca fait longtemps que les gens doutent des bienfaits de la science, mais par contre, son infaillibilité n'a jamais été mise en cause. La confiance en la science de ce point de vue là est quasi absolue. Là, ça changerait tout.

Bien sur, ils feront tout pour empêcher ça. Mais, au moins dans le domaine scientifique, l'autorité officielle a quand même un gros problème : ils sont arrivés à une telle montagne de mensonges et d'erreurs qu'ils ne progressent plus. Si on observe la science actuellement, il n'y a quasiment plus que l'informatique et les télécommunications qui progressent (et encore, la progression ralentit). Presque tous les autres domaines ne produisent plus grand chose de nouveau. Et ça, ça va finir par se voir. Les gens qui pensent ne pourront pas se satisfaire éternellement de réponses bateaux genre : "la science progresse toujours. Mais les choses ne se font pas en un jour" et autres "une étude prometteuse a été faite qui pourrait entrainer des progrès dans tel domaine dans 15 ans". Et comme ce sont les mensonges qui causent cet arrêt du progrès, alors il faudra forcément remettre en cause ces mensonges pour progresser. Les mensonges en question étant des dogmes vieux de plusieurs dizaines d'années, la confiance en la science sera complètement ébranlée. Et je ne crois pas qu'on puisse faire évoluer les dogmes par petite touche. Les mensonges ont été énoncés pendant trop longtemps et de façon trop appuyée.

En ce qui concerne la confiance en l'autorité d'une façon plus large (pas seulement dans le domaine scientifique), ça serait pareil. Elle serait brisée. Les autorités ont vécu une quinzaine d'année (disons de 1985 à 2000) de rève, où, après les années 70 contestataire, les gens étaient devenus complètement anestésiés. Ils pourraient appeler ça les "fabulous fiftines". Les gens ont commencé à se réveiller un peu. Si la vérité éclatait sur le SIDA ou un autre sujet conspirationniste, là, les années fastes des mensonges officiels seraient bien terminées. Je ne pense pas que les gens se mettraient à courir dans tous les sens en hurlant, ni ne feraient la révolution. Mais, il y aurait une sacré évolution des mentalités.

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Et puis, la confiance en l'infaillibilité de la science, qui dure depuis plus d'un siècle, serait totalement brisée. Ca fait longtemps que les gens doutent des bienfaits de la science, mais par contre, son infaillibilité n'a jamais été mise en cause. La confiance en la science de ce point de vue là est quasi absolue. Là, ça changerait tout

On appelle cela le déterminisme ...

En fait, ce phénomène dépasse la "science" ... il s'applique au respect et à la confiance en la "norme" ... une sorte de ciment social ... ou plutôt de confiance en la norme sociale ...

Dès lors que cette norme ne produit plus d'effets appréciés subjectivement positifs par le plus grand nombre, le système vacille ... d'où l'intérêt de détenir tous les moyens de communications pour ceux qui tirent le plus d'avantages du système dont ils bénéficient le plus. Le "malaise" s'installe ... la crise de confiance s'installe durablement ... l'indifférence fait place à la contestation ...

Ce qui tue les élites, c'est l'indifférence de leurs "subordonnés" ...

Dès lors, on peut passer à autre chose ...

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Oui , le determinisme , je dirais même plus "le determinisme historique",

notion chère à de nombreux philosophes qu'ils soient existentialistes, idéalistes ou pragmatiques. Au nom de ce fameux determinisme les pires édifices politiques se

sont élevés à l'horizon de notre humanité, c'est inscrit, vous êtes enchainés quoiqu'il advienne il ne pourra en être autrement alors restez bien sagement dans votre quotidien ouaté et prenez pour agent comptant ce que vous rapporte nos médias corrompues et laissons nous lénifier par les discours captieux de nos élites bouffies de fatuité et empreint de faux altruisme

liez ma signature et un bon petit bouquin l'éloge de la fuite de laborit

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Invité Eilyne

cela fait des années que je vis des phénomènes qui ne sont pas "scientifiquement prouvés" mais que pourtant je ressens parfaitement...

l'infaillibilité de la science, ça fait longtemps que j'en doute

je crois surtout en la puissance du psychisme

et du spirituel

et puis aussi en la force de l'amour et de la paix intérieure...

mais bon, c'est trop dans la tête des gens que tout ce qui n'est pas scientifiquement prouvé est sans doute faux...

que dire alors quand on sait que jusque dans les années 50, on croyait que l'homme avait 48 chromosomes (alors qu'il en a 46)...

que dire alors de toutes les erreurs du passé, qu'on a souvent corrigé, mais pas toujours

des petites phrases de certains scientifiques sur leur lit de mort dont on n'a jamais tenu compte

des découvertes faites au travers d'un rêve...

des personnes qui ont guéri par la puissance de la foi et de l'amour...

trop facile alors de dire que ces derniers "n'étaient en fait pas malades"...

la science n'est jamais que ce qu'en ont fait les humains, avec leur esprit et leur égo limité

bien sûr, il ne faut pas tout rejetter, mais comme toute chose, il faut se dire que rien d'humain n'est parfait...

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vous êtes enchainés quoiqu'il advienne il ne pourra en être autrement alors restez bien sagement dans votre quotidien ouaté

Peu importe de savoir si le quotidien est objectivement ou subjectivement ouaté ... l'astuce est de faire comprendre que "si c'était autrement, ce serait pire" ...

Dans les systèmes les plus extrêmes, on ferme les frontières pour éviter au quidam d'aller jeter un coup d'oeil ailleurs ... d'où la tentation permanente de légiférer sur l'internet ... (par exemple) ...

Ainsi, la tarte à la crème qui consiste à énoncer sans sourciller qu'en France on aurait le plus beau système de santé du monde que tout le monde nous envierait me fait doucement marrer ... qui nous l'envie donc ... ? ...

D'autant plus que tout cela est en faillite ...

Les protections seraient presque "absolues" ... et des matins, on se réveille avec des annonces surprenantes : des centaines de cadavres de gosses dans des morgues d'un hosto parisien (c'était cette semaine) ... Le pouvoir "s'ingurge" ... se drape dans un discours vertueux ...

Un autre jour, ce magnifique système se révèle plus incapable que d'autres à maîtriser 35° C à l'ombre pendant 15 jours ... en étant contraint de louer des frigos à Rungis ...

Que ferait donc ce magnifique système en cas d'épidémie majeure ? ... Quelle débandade sûrement !

... et la confiance se fissure ...

En définitive, on résoud (et encore) beaucoup mieux des problèmes qu'on invente ... en criant au loup ... telle est, très certainement, la question de la grippe aviaire ... qui sera évitée "grace" à la très bonne gestion préventive du problème ... bravo ...

Si d'aventure les prédictions les plus funestes se réalisent, je demande à voir ... le résultat des courses ...

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attention, ce qu'on appelle généralement la "science" représente deux choses très différentes :

- la connaissance pure, qui permet de comprendre les phénomènes, qui se construit en utilisant des modèles plus ou moins fiables, qui doivent toujours être validés peu ou prou par l'expérience.

- les applications technologiques qui sont l'application de ces modèles à la transformation de notre planète et des êtres qui l'habitent. Lorsque les modèles sont extrêmement fiables, les applications posent peu de problèmes éthiques directs.

Je m'explique : la connaissance très appronfondie que l'on a de l'electromagnétisme a permis toutes les avancées liées à l'électricité : radio, télé, informatique, imagerie médicale,...

Mais même ces avancées présentent des points faibles : modification des comportement des gens par l'addiction à la télé et l'ordinateur.

Par contre, comme nous le savons ici, les modèles ayant trait à la vie sont beaucoup moins fiables, et souvent sont devenus des dogmes. Ils sont aussi beaucoup plus dépendants des fluctuations des connaissances (par exemple, la clinique évolue, elle aussi).

Malheureusement, ces modèles ont bénéficié dans l'inconscient collectif de la puissance des modèles de la physique, et la croyance que l'homme va être capable de tout dominer vient directement de l'émerveillement apporté par les applications de l'électricité et de la thermodynamique (moteurs à explosion, réfrigérateurs, etc...).

Il nous faut donc encore et encore aider nos contemporains à bien discerner ce qui est progrès véritable et ce qui est mythe.

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Invité Pulsion007

Je rejoins ce topic que je trouve vraiment tres interessant, ca fait deja un moment que je voulais lis, cé vrai qu'il faut se taper 104 pages icon_eek.gif mais quand on recherche on est pret a tous, cé vrai que j'ai trouvé hallucinant ce topic...

Si la vérité eclatait sur le SIDA, je suis d'accord avec sicnarfa ce sera vite remplacé par un autre sujet d'actualité, les medias nous submergeront sur sujet comme ils l'ont fait pour le tsunami, la mort du pape....En plus les chercheurs bien pensant 5-aureole.gif n'avoueront pas qu'ils se sont tromper , ils feront passer ca comme un changement de direction sur la recherche du sida icon_biggrin.gif ca passera comme une lettre a la poste et ca evitera les procés de ts ces gens qui ont avaler des pilules pour mourir.... y'aura plus de regard moralisateur si on fait un derapage, plus de chanson proteger vous....

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Bonjour à tous

Je vient de tomber sur ce site depuis peu et j'ai lu (un peu car c'est extrèmement long! ) ce débat sur l'existence du HIV ou de la grippe aviaire ou du SRAS. En dehors du fait de savoir si le vih est responsable du SIDA, je trouve que vous accorder des pouvoirs fantastiques aux scientifiques. En effet, créer de toute pièce un virus de la grippe aviaire infectant de façon importante les humains est une entreprise plus que délicate alors créer le vih, il faut être vraiment fort ! je pense que la nature le fait très bien elle même.

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Quelqu'un a-t-il lu ce livre ?

Jacques Lebeau L'affaire Beljanski : l'argent du cancer et du sida.

Ed : du Rocher (1998)

Le cancer et le sida sont les pestes noires du monde moderne. Mais, le cancer et le sida constituent, aussi, un marché considérable où circulent d'énormes sommes. Et devant de tels enjeux, tous les coups sont permis. Souvenons-nous de l'affaire Gallo-Montagnier. Rappelons les déclarations de Bernard Kouchner à France Soir : "Alors que je travaillais dans l'Agence du médicament, on a voulu me tuer, on a voulu m'assassiner.".

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Nico,

Je ne crois pas avoir lu ici de développements sur des thèses du genre : " Le VIH est du fait des américains, des russes ou du roi de Prusse ... " ... pas plus que pour la grippe aviaire ou le SRAS.

Certes, certains évoquent parfois cette hypothèse mais n'occupent pas les lignes de ces topics.

En revanche, sont développés des thèmes d'une autre nature par exemple :

- de la validité des tests de dépistages ;

- du bien fondé de la prise de tri thérapies ;

... et de l'exploitation médiatique du phénomène, réel ou supposé, par une "hydre" faite de gens de pouvoir et de fonctionnaires zélés (ou assimilés) se rétribuant directement ou indirectement sur la bête ... en l'occurence les bêtes ...

Personnellement, je n'accorde pas plus de crédits aux scientifiques pour bâtir des virus "intelligents" que pour en trouver l'anti-dote encore plus intelligente ...

D'ailleurs, cette image que l'on veut bien faire passer d'un virus jouant à cache-cache avec le "génie humain" me semble particulièrement puérile ... Elle fut développée (c'est un peu passé de mode) avec le "concept" de résistance ...

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Note de lecture

Sida, supercherie médicale et arnaque humanitaire

J-C. Roussez - Marco Pietteur - 2005 - 158 pg

Que voilà un livre qui va enchanter la Pr. Yvette Parès qui, dans son livre aux éd. Yves Michel (voir Ndl), a commencé à dénoncer tout le barnum pharmaco-médical fait autour de ce fléau endémique. Suivant depuis passablement de temps (12è Conférence mondiale sur le Sida à Genève en 1998 et récemment l'année dernière un colloque à Lausanne sous la houlette d'un certain Pantaléone...) tout ce qui a trait à cette maladie, même par les soirées musicale Sid'Action et par les différents soubresauts qui agitent les rapports entre Big Pharma et pays affligés, nombre de procès pour refus de générique ou de fabrications locales; j'ai donc été interpellé par ce titre-choc qui confirme un peu ce que je commençais à penser de l'Institut Pasteur et d'un certain Pr.Gallo, pape du rétrovirus, associé à Montagnier (je préfère son homophone Guy Montagné qui a nettement plus d'humour sans r!!). Ayant lu avec une attention toute particulière ce qui s'avère être un vigoureux pamphlet, allant de découvertes en stupéfactions, j'ai compris entre autres pourquoi Pignarre avait écrit " le grand secret de l'industrie pharmaceutique ", car on crée de toutes pièces des virus et maladies virtuelles pour faire marcher le commerce que trop florissant des me®dicaments aux effets secondaires sournois p. 58/59, (la thalidomide par ex.), ce en sous-estimant des fléaux pandémiques comme la sous-nutrition, la toxicomanie (drogues, poppers p. 75 et non pampers !!, psychotropes...) rendant les défenses auto-immunitaires du corps beaucoup plus fragiles, car silence on tue p.53, AZT à l'appui (à défaut d'AZF...) en bâclant les essais et les tests cliniques, pour cause d'urgence... Ce qui fit qu'on a crié haro sur le baudet d'une façon totalement irresponsablement inadéquate sur le Sida qu'on a décrété contagieux p. 10, suite à la fumeuse épopée d'un rétrovirus qui n'était pas dans la salle, ce en déclenchant une catastrophe planétaire p. 23. Il n'y a pas photo d'un pot-pourri monstrueusement truqué p. 27, que l'on a affublé du qualificatif en vogue de mutant. p. 33. en procédant à des faux positifs à la pelle (comme les feuilles mortes ..!), imputant au sida plus de 70 maladies et tous les maux de la planète, dont l'homosexualité. Saviez vous que l'EPO a toutefois des bons côtés p. 66, que la mère ne transmet pas le sida à son nouveau-né, même en l'allaitant p. 107, que les prostituées sont beaucoup moins contaminantes qu'on le laisse entendre, qu'on bidouille à souhait les statistiques en changeant les mots et pas les maux p. 94. Si la recherche est en délire, on fait soigneusement taire les rebelles p. 109 - avec interdiction formelle d'enquêter p. 134. - qui la priveraient de la manne des soutiens financiers et de la compassion publique (la charité qui se fout de l'hôpital, n'est-il pas !!) en se posant en contre d'une hépatite hépatante, de la maladie de Kreutzfeld-Jacob avec son Prion (cher au Vatican voir coup de gueule No 35), des huiles ibériques dites toxiques, etc. pour finir l'ouvrage avec le parcours d'un enfant gâché à coup de vaccinations !! Un petit moment d'humour dans ce sinistre tableau : l'anagramme du sarcome de Kaposi, les fameuses taches brunes donne le pacôme de Sarkosi (tout un programme théâtro-électoral !!). Livre que toutes les associations anti-ou pro-sidéennes, tous les consortiums pharmaceutiques, tous les médecins, l'OMS, l'AMM, les CDC... en premier chef se doivent de lire pour ne pas faire mourir par envoûtement p. 81/2 (par suggestivité de l'inconscient) des personnes, la plupart du temps déjà très vulnérables, pour ne pas dire exclues par une médico-santé à plusieurs vitesses et bourrées d'ignobles supercheries fallacieusement salvatrices en fonction du principe de Peter (sans Pan !!). Après lecture et audition des interviews du CD corroborant le contenu du livre, les mots me manquent pour exprimer mon indignation vitupérative qu'exprimait en des termes plus modérés la Pr. Y. Parès, ci-dessus nommée. Indispensables-Contestation/Santé allons même jusqu'au Top-Ten du millénaire tant ces apprentis-sorciers ont fait des ravages mortifères à l'insu de leur plein gré.

Ndl : 2985

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Si si j'ai quand même vu quelques lignes sur le fait que ces virus étaient construits de toute pièce, d'ailleurs le post de sidarta qui vient d'être posté en fait mention. Juste pour revenir sur le fait d'un virus jouant "à cache cache", je ne vois pas ce qu'il y a de puéril ou de naif à accepter que le virus essaye de résister (avec plus ou moins de succès) aux défenses de l'hôte, comme les humains font avec leur environnement par exemple.

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Non, Nico111, on ne sait pas fabriquer un ARN comportant 9000 nucléotides comme celui du supposé vih. Notre maîtrise des réactions chimiques ne va pas jusque là. Et par génie "génétique", c'est impossible.

Par contre, on peut faire croire que quelques bribes d'ARN humain détérioré et muté corresponde à un ARN viral, tout simplement parce qu'on avait besoin d'un agent pathogène permettant de faire disparaître les responsabilités multiples de l'homme dans l'apparition de ces maladies.

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Si on peut reconstituer un virus de 9000 nucléotides uniquement par synthèse chimique en assemblant les nucléotides nécessaires, cela a été fait pour le poliovirus. Quant à le faire par génie génétique c'est techniquement assez facile, le tout est de savoir pour quoi doit coder les séquences que l'on assemble et si cet ensemble va être cohérent.

En ce qui concerne le fait de faire croire si le VIH est responsable du SIDA ou non, c'est une autre histoire.

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Cello J, Paul AV, Wimmer E. Related Articles, Links

Abstract Chemical synthesis of poliovirus cDNA: generation of infectious virus in the absence of natural template.

Science. 2002 Aug 9;297(5583):1016-8. Epub 2002 Jul 11.

PMID: 12114528 [PubMed - indexed for MEDLINE]

Voilà.

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Voilà le texte originel :

Copyright © 2002 by the American Association for the Advancement of Science

Volume 297(5583)             9 August 2002             pp 1016-1018

Chemical Synthesis of Poliovirus cDNA: Generation of Infectious Virus in the Absence of Natural Template

[Research: Reports]

Cello, Jeronimo; Paul, Aniko V.; Wimmer, Eckard*

Department of Molecular Genetics and Microbiology, School of Medicine, State University of New York at Stony Brook, Stony Brook, NY 11794-5222, USA.

*To whom correspondence should be addressed. E-mail: ewimmer@ms.cc.sunysb.edu

Supporting Online Material: www.sciencemag.org/cgi/content/full/1072266/DC1 ; Materials and Methods; Fig. S1; References and Notes

26 March 2002; accepted 25 June 2002

Published online 11 July 2002; 10.1126/science.1072266

Include this information when citing this paper.

Abstract

Full-length poliovirus complementary DNA (cDNA) was synthesized by assembling oligonucleotides of plus and minus strand polarity. The synthetic poliovirus cDNA was transcribed by RNA polymerase into viral RNA, which translated and replicated in a cell-free extract, resulting in the de novo synthesis of infectious poliovirus. Experiments in tissue culture using neutralizing antibodies and CD155 receptor-specific antibodies and neurovirulence tests in CD155 transgenic mice confirmed that the synthetic virus had biochemical and pathogenic characteristics of poliovirus. Our results show that it is possible to synthesize an infectious agent by in vitro chemical-biochemical means solely by following instructions from a written sequence.

 

Research on viruses is driven not only by an urgent need to understand, prevent, and cure viral disease. It is also fueled by a strong curiosity about the minute particles that we can view both as chemicals and as "living" entities. Poliovirus can be crystallized (1) and its empirical formula can be calculated (2), yet this "chemical" replicates naturally in humans with high efficiency, occasionally causing the paralyzing and lethal poliomyelitis.

Poliovirus, an enterovirus of the Picornaviridae, is a small, nonenveloped, icosahedral virus consisting of five different macromolecules: 60 copies each of capsid polypeptides VP1, -2, -3, and -4 and one copy of the positive-sense, single-stranded RNA genome (~7.5 kilobases in length) (Fig. 1A) (3). The chemical sequence (4, 5), the genetic map of the genome (4), and the three-dimensional crystal structure of the virion (6) were determined 2 decades ago. Poliovirus employs one of the simplest genetic systems known for proliferation (3, 7). The virus enters the cell after attaching to the cellular receptor CD155 (8, 9). Immediately after the virus particle uncoats inside the cell, the genomic RNA is translated under the control of the internal ribosomal entry site (IRES) into a single polypeptide, the polyprotein (10, 11). The polyprotein is then processed into functional proteins by two viral proteinases (3, 7). With the aid of viral proteins, most notably the RNA-dependent RNA polymerase 3Dpol and the genome-linked protein VPg, along with cellular components, the viral RNA is transcribed into minus-strand copies that serve as templates for the synthesis of new viral genomes (plus-strand RNA). Newly synthesized plus-strand RNA can serve as messenger RNA for more protein synthesis, engage further in RNA replication, or be encapsidated by an increasing pool of capsid proteins (7, 12). In suitable tissue culture cells (for example, HeLa cells), the entire replication cycle is complete in only 6 to 8 hours and yields 104 to 105 progeny virions per cell.

Fig. 1. Genomic structure of PV1(M) and strategy for the synthesis of its full-length cDNA. (A) The positive-stranded RNA of poliovirus is shown with VPg at the 5' end of the NTR. In the cDNA, VPg is replaced by the T7 RNA polymerase promoter. The polyprotein contains one structural (P1) and two nonstructural (P2 and P3) domains. The 3' NTR contains a heteropolymeric region and is polyadenylated (shown as AAAn). (B) PV1(M) cDNA carrying a T7 RNA polymerase promoter at the 5' NTR end was subdivided into three large fragments for the synthesis of full-length sPV1(M) cDNA. The sizes of the fragments (in bp) are depicted above or below each rectangle that represents the respective fragment. The genome sequence encoded by each fragment was described in (13). © The three DNA fragments were synthesized as described in the text. The DNA fragments were assembled stepwise via common unique restriction endonuclease cleavage sites to yield full-length sPV(M) cDNA (F1-2-3 pBR322). The sequence of sPV(M) cDNA was confirmed by automated sequence analyses.

Here we describe the de novo chemical-biochemical synthesis of infectious poliovirus from basic chemical building blocks, independent of viral components previously formed in vivo and with the use of the known sequence as the only instruction for engineering the genome. The succession of macromolecular events in an infected cell was reproduced in a test tube containing a cell-free extract devoid of nuclei, mitochondria, and other cellular organelles and seeded with viral RNA. This result confirms that the genome sequence originally deciphered from virion RNA is correct (4, 5) and demonstrates the feasibility of chemical-biochemical synthesis of an infectious agent in the absence of a natural template.

The strategy of synthesizing the genome of poliovirus type 1 (Mahoney) [PV1(M)] began with the assembly of a full-length cDNA carrying a phage T7 RNA polymerase promoter at the (left) 5' end (Fig. 1) from three large, overlapping DNA fragments (F1, -2, and -3). Each DNA fragment was obtained by combining overlapping segments of 400 to 600 base pairs (bp). The segments were synthesized by assembling purified oligonucleotides [average length, 69 nucleotides (nt)] of plus and minus polarity with overlapping complementary sequences at their termini, and the segments were then ligated into a plasmid vector (13). Five to 15 clones were sequenced to identify either the correct DNA segments or the segments containing small numbers of errors that could be eliminated, either by combining the error-free portions of segments by an internal cleavage site or by standard site-directed mutagenesis (13). To ascertain the authenticity of the synthesized viral genome [sPV1(M)] and to distinguish it from the wild-type (wt) sequence of PV1(M) [wt PV1(M)] (4, 5), we engineered nucleotide substitutions into the sPV1(M) cDNA as genetic markers (13).

We have shown previously that poliovirus cDNA carrying a phage T7 promoter for the phage RNA polymerase can be transcribed with T7 RNA polymerase into highly infectious RNA (14). Accordingly, the sPV1(M) cDNA and wt PV1(M) cDNA were transcribed (13) and were found to yield transcript RNAs of the same length as virion RNA (15). De novo synthesis of poliovirus from transcript RNA of wt PV1(M) cDNA in a cell-free extract of uninfected HeLa cells has been previously described by Molla et al. (2). Therefore, the incubation of transcript RNA from sPV1(M) cDNA in cytoplasmic extracts of uninfected HeLa cells should result in the generation of poliovirus. To examine this possibility, transcript RNA derived from sPV1(M) cDNA was incubated with a cytoplasmic extract of HeLa S3 cells, and the synthesis of virus-specific proteins and infectious viruses were monitored. The products of sPV1(M) cDNA-derived RNA translation and proteolytic processing were the same as those obtained with wt PV1(M) RNA (Fig. 2), an observation suggesting that the open reading frame (ORF) of the sPV1(M)-specific RNA is intact. We then tested for the presence of infectious virus particles in the cell-free incubation mixture by adding aliquots of the incubation mixture to monolayers of HeLa cells. After 48 hours, plaques appeared [0.5 to 1 × 105 plaque-forming units (PFU) per µg of transcript RNA in 50 µl of reaction] whose heterogeneous morphology was characteristic of those produced by authentic poliovirus (Fig. 3). All together, these results indicate that the input synthetic RNA was translated and replicated in the cell-free extract and that newly synthesized RNA was encapsidated into newly synthesized coat proteins, resulting in the de novo synthesis of infectious poliovirus.

Fig. 2. Products of in vitro translation and proteolytic processing of poliovirus RNAs in a HeLa cell-free extract. Transcript RNA derived from sPVM cDNA (13) and virion RNA derived from wt PV1(M) were translated and analyzed as described in (13). Lane 1, wt PV1(M) marker (M) displaying a lysate of [35S] methionine-labeled poliovirus-infected HeLa extract; lane 2, virion RNA derived from wt PV1(M); lane 3, RNA derived from sPV1(M) cDNA. Bands correspond with the segments in Fig. 1A. VPO, 2BC, 3AB, and 3CD are precursor polypeptides.

Fig. 3. Plaque phenotypes of polioviruses generated in the HeLa cell-free extract. De novo synthesis of poliovirus from transcript RNA in cell-free extract of uninfected HeLa cells was done as described in (13). (A) Plaque phenotype of virus derived from transcript sPV1(M) RNA. (B) Plaque phenotype of virus derived from virion wt PV1(M) RNA.

Experiments were then carried out to confirm that the infectious material isolated from the cell-free extract was indeed sPV1(M), as designated by the oligonucleotide sequence. Restriction enzyme digestion of the reverse transcriptase-polymerase chain reaction (RT-PCR) product of the viral RNA recovered from sPV1(M)-infected HeLa cells revealed the presence of all engineered markers (fig. S1, lanes 1 and 2).

We also tested the effects of the poliovirus receptor-specific monoclonal antibody (Mab) D171 and type-specific hyperimmune sera on plaque formation by sPV1(M) (Table 1). Mab D171 has been shown to completely block infection of all three serotypes by specifically binding to CD155, the cellular receptor of poliovirus (8, 9, 16). The treatment of HeLa cells with Mab D171 before the addition of sPV1(M) completely abolished plaque formation (Table 1). Similarly, no plaques were observed when sPV1(M) was incubated with poliovirus type 1-specific rabbit hyperimmune serum [anti-PV1(M)]. Neutralization of the synthetic virus was type-specific because hyperimmune serum to poliovirus type 2 (Lansing) [PV2(L)] did not inhibit plaque formation (Table 1). These results were in full agreement with those obtained with wt PV1(M) (Table 1). They imply that the de novo poliovirus particles synthesized in the cell-free extract were serotype 1, requiring the authentic poliovirus receptor for infection.

Table 1. Biological characterization of sPV1(M). Plaque reduction assay in the presence (+) and absence (-) of antibodies as described in (13). Anti-PV1(M) and anti-PV2(L) are neutralizing polyclonal antibodies specific for types 1 and 2 poliovirus, respectively. Neuropathogenicity of sPV1(M) and wt PV1(M) was assayed in hPVR-tg mice as described in (13). PLD50 is defined as the amount of virus that caused paralysis or death in 50% of the inoculated mice.

The sPV1(M) virus was assayed to determine whether it expresses a neurovirulent phenotype in mice transgenic for the human poliovirus receptor [CD155 tg mice strain ICR.PVR.tg I (17)]. When injected with wt poliovirus strains, these animals develop a neurological disease indistinguishable, clinically and histologically, from primate poliomyelitis (17-19). Intracerebral injection of sPV1(M) caused flaccid paralysis or death in CD155 tg mice, resembling the disease produced by wt PV1(M) (13). However, a larger inoculum of sPV1(M) than PV1(M) was necessary to paralyze or kill the animals (Table 1). The increase in the magnitude of attenuation was unexpected, because all nucleotide substitutions introduced into sPV1(M) resulted in silent mutations in the ORF, except for the newly created Xma I and Stu I sites in the 5' nontranslated region (NTR) and 2B region, respectively. These latter changes had been shown previously to have no influence on viral replication in tissue culture (20, 21). However, the silent mutations that we introduced into the poliovirus genome may exert a strong influence on pathogenesis by hitherto unknown mechanisms.

The presence or absence of genetic markers in the inoculated virus and the virus isolated from the spinal cords of paralyzed mice was confirmed by amplification of the viral RNA by RT-PCR and restriction enzyme analysis. Our results show that the viruses isolated from the spinal cords of paralyzed mice resembled the inoculated virus (fig. S1). Our data also confirm that the synthetic virus was the causative agent of the flaccid paralysis observed in the sPV1(M)-infected mice.

The chemical synthesis of the viral genome, combined with de novo cell-free synthesis, has yielded a synthetic virus with biochemical and pathogenic characteristics of poliovirus. In 1828, when Wöhler synthesized urea, the theory of vitalism was shattered (22). If the ability to replicate is an attribute of life, then poliovirus is a chemical

[C332,652H492,388N98,245O131,196-P7501S2340, see (2)] with a life cycle.

As a result of the World Health Organization's vaccination campaign to eradicate poliovirus (23), the global population is better protected against poliomyelitis than ever before. Any threat from bioterrorism will arise only if mass vaccination stops (23) and herd immunity against poliomyelitis is lost. There is no doubt that technical advances will permit the rapid synthesis of the poliovirus genome, given access to sophisticated resources. The potential for virus synthesis is an important additional factor for consideration in designing the closing strategies of the poliovirus eradication campaign.

References and Notes

1. F. L. Schaffer, C. E. Schwerdt, Proc. Natl. Acad. Sci. U.S.A. 41, 1020 (1955). [Context Link]

2. A. Molla, A. Paul, E. Wimmer, Science 254, 1647 (1991). Bibliographic Links [Context Link]

3. T. Pfister, C. Mirzayan, E. Wimmer, in The Encyclopedia of Virology, R. G. Webster, A. Granoff, Eds. (Academic Press Ltd., London, ed. 2, 1999), pp. 1330-1348. [Context Link]

4. N. Kitamura et al., Nature 291, 547 (1981). Bibliographic Links [Context Link]

5. V. R. Racaniello, D. Baltimore, Proc. Natl. Acad. Sci. U.S.A. 78, 4887 (1981). Bibliographic Links [Context Link]

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12. W. K. Xiang, A.V. Paul, E. Wimmer, Semin. Virol. 8, 256 (1987). [Context Link]

13. Materials and methods are available as supporting material on Science Online. [Context Link]

14. S. van der Werf, J. Bradley, E. Wimmer, F. W. Studier, J. J. Dunn, Proc. Natl. Acad. Sci. U.S.A. 82, 2330 (1986). Bibliographic Links [Context Link]

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21. W. Xiang, K. S. Harris, L. Alexander, E. Wimmer, J. Virol. 69, 3658 (1995). Bibliographic Links [Context Link]

22. F. Wöhler, Ann. Phys. Chem. 88, 253 (1828). [Context Link]

23. A. Nomoto, I. Arita, Nature Immunol. 3, 205 (2002). [Context Link]

24. We thank A. Wimmer and J. Benach for valuable comments on the manuscript. We are indebted to B. L. Semler for a sample of cell-free HeLa cell extract. Supported by Contracts N65236-99-C-5835 and N65236-00-M-3707 from the Defense Advanced Research Project Agency.

En fait, la lecture minutieuse de ce texte (très court selon moi pour décrire une procédure chimique) montre en fait qu'il ne s'agit pas de chimie, mais de l'utilisation de machineries cellulaires (ici des mitochondries, ce me semble), pour permettre la combinaison de nombreux oligonucléotides (69 bases en moyenne)

D'où proviennent ces oligonucléotides, je n'en vois nulle part la mention.

En fait, contrairement à leur conclusion, il ne s'agit pas vraiment d'un synthèse chimique, mais plutôt d'une synthèse par génie "cellulaire".

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Mais ça date de 2002, pas de 1980.

En fait, je ne vois pas pourquoi on attribuerait l'existence de l'ARN soit-disant du "vih" à un complot visant à synthétiser ce virus de novo. Tout d'abord, il faudrait avoir des connaissances étonnantes pour obtenir un virus qui soit si résistant...

Non, il s'agit plutôt d'ARN apparu àla suite de l'utilisation sans limite de substances mutagènes et immunosuppressives (cela va souvent ensemble).

Et toutes les études qui étudient chimiquement la résistance supposée du virus font en réalité des modélisations numériques utilisant des paramètres que je considère comme erronés (j'en ai déjà parlé ici)

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