kierkegaard Posté(e) le 13 mai 2004 Partager Posté(e) le 13 mai 2004 (modifié) Article du monde rédigé par Jean Jacques BOZONNET :Une ONG italienne aide à faire reculer le SIDA au Mozambique en administrant des trithérapies ,des mozambicains témoignent de leur efficacité !! je peut scanner ou retranscrire l'article si vous êtes interessés 8000 tests de dépistage, 4000 patients suivies une femme est revenue de la mort ,elle pesait 29 kilos et aujourd'hui 70 kg, 413 enfants sont nés sains de mère infectées etc... Votre opinion Modifié le 13 mai 2004 par kierkegaard Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité ZeH Posté(e) le 13 mai 2004 Partager Posté(e) le 13 mai 2004 En ligne sur lemonde.fr. Le ventre de "une" Au Mozambique, des bénévoles font reculer le sida LE MONDE | 13.05.04 Rome de notre correspondant "Je m'appelle Anna Maria, je suis une femme mozambicaine séropositive." Il y a deux ans, cette mère de famille souriante ne pesait que 29 kilos, elle avait perdu ses cheveux, ses forces, et tout espoir de vivre. "Tous les jours, les voisins demandaient à voix basse à ma mère si j'étais morte." Jusqu'à ce 24 février 2002. La date est gravée dans sa mémoire. "C'est le jour où j'ai commencé le traitement antirétroviral." Anna Maria Muhai va bien aujourd'hui : "Je pèse 70 kilos, je mène une vie normale et je peux m'occuper de mes enfants." Elle était à Rome, mercredi 12 mai, pour apporter son témoignage au moment où la communauté de Sant'Egidio, une ONG italienne composée de laïcs de l'Eglise, faisait un premier bilan de son programme-pilote de lutte contre le sida au Mozambique. Dans ce pays où elle a concouru activement à la signature d'un accord général de paix en 1992, la communauté de Sant'Egidio compte plus de 4 000 membres. Lancé depuis deux ans, ce programme, baptisé "Dream", porte aussi bien sur la prévention que sur les soins, à l'aide de trithérapies antirétrovirales, jusque-là réservées aux pays occidentaux. Près de 8 000 tests de dépistage ont pu être pratiqués, 4 000 patients séropositifs sont suivis avec des traitements adaptés au cas par cas, et 1 729 bénéficient d'une thérapie antirétrovirale complète. "Grâce aux traitements, 413 enfants sont nés sains de mères infectées", a précisé Leonardo Palombi, l'un des responsables du programme. Il estime à 10 000 le nombre des Mozambicains qui seront suivis dans les trois ans grâce, notamment, aux aides fournies par une cinquantaine de sponsors privés et publics, italiens et internationaux. Pour réduire les coûts, Sant'Egidio s'appuie sur un fonctionnement entièrement bénévole. C'est la marque de cette ONG qui dépense moins de 4 % de son budget en frais de structures. Au Mozambique, 400 médecins, biologistes, infirmières et techniciens de haut niveau se relaient gratuitement dans les 13 centres créés en deux ans, où ils contribuent à former les populations locales. Dream s'étend progressivement à six pays - l'Afrique du Sud, le Malawi, la Guinée- Conakry, la Guinée-Bissau, l'Angola et le Swaziland. Les ministres de la santé de treize autres pays africains étaient présents à Rome pour s'informer sur ce modèle inédit. Ils ont signé, jeudi 13 mai, un appel commun aux grandes puissances et aux laboratoires pharmaceutiques pour demander leur aide. Jean-Jacques Bozonnet ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU 14.05.04 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kierkegaard Posté(e) le 13 mai 2004 Auteur Partager Posté(e) le 13 mai 2004 Merci ZeH ,j'aurais du y penser ,vos réactions concernant le contenu de cet article !! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 13 mai 2004 Partager Posté(e) le 13 mai 2004 sur le site de sanegidio.be, on trouve ceci : http://www.santegidio.be/vivaafrica/fr/index.html#PMOZ Vous pouvez aussi aider Ensemble, nous pouvons sauver le Mozambique ! Si chacun apporte sa collaboration. - 6 euro suffisent pour un test de dépistage - pour 55 euro, il est possible de nourrir un malade et sa famille pendant un mois - pour 210 euro, il est possible de réaliser laccouchement dune mère séropositive dans de bonnes conditions médicales Soit le fait que leur principal travail a été la réalimentation des habitants du Mozambique dont ils se sont occupés. Il y a aussi très certainement le fait (prouvé par ailleurs) que les antirétroviraux ont une action microbicide sur les mycoses. Les accouchements sont par ailleurs faits dans de bonnes conditions d'hygiène. A suivre donc. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
diamant bleue Posté(e) le 13 mai 2004 Partager Posté(e) le 13 mai 2004 Et combien pour les traitements antiretroviraux ? Ou alors ils les ont gratuitement ? (ce qui est vraiment "miraculeux" quand on connait les procès intentés par les labos contre les pays qui voulaient faire des génériques) J'espère que les médecins qui ont travaillé la bas témoigneront bientot, comme cela a été fait pour la Tanzanie ou l'Ouganda. Comme dit Nowar "A suivre" Diamant Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kierkegaard Posté(e) le 13 mai 2004 Auteur Partager Posté(e) le 13 mai 2004 Soit le fait que leur principal travail a été la réalimentation des habitants du Mozambique dont ils se sont occupés. Il y a aussi très certainement le fait (prouvé par ailleurs) que les antirétroviraux ont une action microbicide sur les mycoses. Les accouchements sont par ailleurs faits dans de bonnes conditions d'hygiène. A suivre donc. Je penche résolument pour cette version , on arriverait presque à te vendre les trithérapies pour des compléments alimentaires ,passés de 29 à 70 kg !!!??? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Terry Posté(e) le 13 mai 2004 Partager Posté(e) le 13 mai 2004 Propagande...quand tu nous tiens !!! Les tri-therapies qui font grossir !!!!!!!!! Laissez-moi rire !! On aurat vraiment tout lu! Quel est l'idiot qui a eu un ecart de faiblesse en croyant ces balivernes.......cela fait des années que des etudes menées en Afrique sur les bien-faits des traitements sont publiées.....y a rien de nouveau là!....... Maintenant l'évidence montre que les tri-therapies ont de veritables pouvoir anti-infectieux ( rien de nouveau la aussi, car elles ont ete créees dans ce sens la) et que certains malades en tirent profit ok, mais dans un espace temps trés trés limité alors et puis ces effets s'arretent en meme temps que l arret du traitement!.......... Mais passé de 29k a 75kg sous HAART c'est de la connerie.....quand on a prouvé scientifiquement que celles-ci cause lypoatrophie et lypodystrophie ! Surement une étude PUBLICITAIRE publiée et destinée aux peuples africains lisant le français ( congo ....tout ces pays sous "protectorat" francais). Enfin , vaut mieux lire cela que d'etre aveugle ou sous AZT! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nowar Posté(e) le 14 mai 2004 Partager Posté(e) le 14 mai 2004 Je comprends que cela te chauffe Terry, le contraire m'eut étonné - 6 euro suffisent pour un test de dépistage - pour 55 euro, il est possible de nourrir un malade et sa famille pendant un mois - pour 210 euro, il est possible de réaliser laccouchement dune mère séropositive dans de bonnes conditions médicales Si ma mémoire est bonne, le coût d'un teste de dépistage en France n'est pas aussi faible. Voila des gens qui réussisent à convaincre les mercantiles de la mort que leur générosité est nécessaire pour sauver des vies et accessoirement faire du chiffre sur leurs produits. Je pense qu'ils méritent une médaille, ce doit être des jésuites qui ont l'art de faire croire l'inverse de ce qu'ils font. S'ils avaient fait un article en disant, en améliorant les conditions de vie on guérit le $ida, l'article n'aurait jamais été publié Nowar P.S.: Diamant à suivre Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Terry Posté(e) le 22 mars 2006 Partager Posté(e) le 22 mars 2006 je tiens à preciser que le traitement anti vih n est pas une obligation legale, comme le test.....à la difference de la tuberculose......! qu un patient n est pas obligé donc de prendre une tri therapie, de meme qu un medecin ne peut refuser un test vih à un patient demandeur ( surtout si à risque).....mieux encore, un medecin vih ne peut et n a pas le droit d arreter un traitement vih chez un patient qui le supporte .....sauf au cas ou si celui ci est conduit aux urgences pour effets iatrogenes......là, legalement il est possible de dire à un patient d arreter la tri therapie.........sous reserve de prouver que c est bien la tri therapie responsable et non pas le virus... sacre bordel car en lisant la notice du reytaze ' derivé du 3tc ' selon cheminot : des maladies opportunistes liées au vih peuvent survenir meme avec ce traitement.....chez certains patients il est pas possible à l heure actuelle de differencer un effet secondaire du traitement d une maladie opportuniste liée au vih........ Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 23 mars 2006 Partager Posté(e) le 23 mars 2006 je te réponds rapidement, Terry, tout d'abord, je n'ai trouvé nulle part de reytaze, mais reyataze, ou encore atazanavir. vois-tu une ressemblance queconque entre les deuxmolécules dont tu parles : (désolé, je ne peux m'empêcher de poster ces formules ) reyataz 3TC le reyataz me semble être vraiment une belle cochonnerie, avec une double action : réducteur par ses cycles, donc va diminuer la charge virale, mais le formation de phénols par cette réaction et la présence d'une liaison azote-azote (comme dans l'isionazide, antituberculeux) me semble vraiment capable d'être à la source des ennuis dont tu parles. surtout, ne confonds pas toutes ces molécules, il ne s'agit vraiment pas de la même chose. tu sais aussi que pour moi, ce n'est pas en utilisant un réducteur en quantité massive (acétylcystéine ou lamivudine) que l'on soignera vraiment ce stress oxydatif (si tant est qu'il ne soit pas devenu irréversible), mais en régulant le métabolisme grâce au remède homéopathique bien choisi. en ce qui concerne les hépatites, qu'elles soient A ou B, le traitement homéopathique est souverain, mais il faut savoir choisir le remède. j'ai déjà vu des hépatites régresser totalement en un mois. l'hépatite C ? ça m'a l'air d'être beaucoup plus irréversible, mais... en tous cas, sache que je pense vraiment que le 3TC est le moins mauvais de ces fameux antirétroviraux, la palme de l'insanité revenant à l'AZT et à la névirapine. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 23 mars 2006 Partager Posté(e) le 23 mars 2006 Une publication qui montre que le 3TC marche mieux que la trithérapie chez des personnes chez qui le "virus" a subi une "mutation" qui le rendrait résistant au 3TC justement. LOL! : AIDS. 2006 Apr 4;20(6):795-803. Lamivudine monotherapy in HIV-1-infected patients harbouring a lamivudine-resistant virus: a randomized pilot study (E-184V study). Castagna A, Danise A, Menzo S, Galli L, Gianotti N, Carini E, Boeri E, Galli A, Cernuschi M, Hasson H, Clementi M, Lazzarin A. From the aClinic of Infectious Diseases bMicrobiology Laboratory, Vita-Salute San Raffaele University, Milan, Italy cVirology Laboratory, Politecnica delle Marche University, Ancona, Italy. "OBJECTIVE:: We compared the immunological and clinical outcomes of lamivudine monotherapy and complete therapy interruption in the treatment of HIV-1-infected patients harbouring lamivudine-resistant virus. METHODS:: This 48-week, open-label pilot study randomly assigned HIV-infected patients receiving lamivudine-containing HAART and harbouring the M184V mutation to monotherapy with lamivudine 300 mg once daily (lamivudine group) or the discontinuation of all antiretroviral drugs (TI group). The primary endpoint was the occurrence of immunological or clinical failure; immunological failure was defined as the first report of a CD4 T-cell count less than 350 cells/mul, and clinical failure as the occurrence of a Centers for Disease Control and Prevention grade B or C event. The data were analysed on the basis of the intention-to-treat principle. RESULTS:: By week 48, 20 of 29 patients in the TI group (69%; 95% CI 51-83%) and 12 of 29 in the lamivudine group (41%; 95% CI 26-59%) had discontinued the study because of immunological or clinical failure, which was significantly delayed in the lamivudine group (P = 0.018). Only patients in the TI group (6/29, 20.7%) experienced grade 3-4 clinical adverse events at least possibly related to HIV-1 (P = 0.02). The mean decline in CD4 cell percentage, viral rebound and recovery of HIV-1 replication capacity were significantly lower in the lamivudine group. The 24-week virological and immunological response after therapy resumption in patients who prematurely discontinued the study was similar in the two groups. CONCLUSION:: In HIV-1-infected patients harbouring a lamivudine-resistant virus, lamivudine monotherapy may lead to a better immunological and clinical outcome than complete therapy interruption." autre lien et aussi Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Vitosi Posté(e) le 24 mars 2006 Partager Posté(e) le 24 mars 2006 salut à tous http://www.mindfully.org/Health/2006/AIDS-...ption1mar06.htm Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 24 mars 2006 Partager Posté(e) le 24 mars 2006 Il n'est pas complet. On trouvera le texte édité ici : http://melbourne.indymedia.org/news/2006/0...542_comment.php il s'agit du premier commentaire Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité venusien Posté(e) le 25 mars 2006 Partager Posté(e) le 25 mars 2006 Une publication qui montre que le 3TC marche mieux que la trithérapie chez des personnes chez qui le "virus" a subi une "mutation" qui le rendrait résistant au 3TC justement. LOL! : AIDS. 2006 Apr 4;20(6):795-803. Lamivudine monotherapy in HIV-1-infected patients harbouring a lamivudine-resistant virus: a randomized pilot study (E-184V study). Castagna A, Danise A, Menzo S, Galli L, Gianotti N, Carini E, Boeri E, Galli A, Cernuschi M, Hasson H, Clementi M, Lazzarin A. From the aClinic of Infectious Diseases bMicrobiology Laboratory, Vita-Salute San Raffaele University, Milan, Italy cVirology Laboratory, Politecnica delle Marche University, Ancona, Italy. "OBJECTIVE:: We compared the immunological and clinical outcomes of lamivudine monotherapy and complete therapy interruption in the treatment of HIV-1-infected patients harbouring lamivudine-resistant virus. METHODS:: This 48-week, open-label pilot study randomly assigned HIV-infected patients receiving lamivudine-containing HAART and harbouring the M184V mutation to monotherapy with lamivudine 300 mg once daily (lamivudine group) or the discontinuation of all antiretroviral drugs (TI group). The primary endpoint was the occurrence of immunological or clinical failure; immunological failure was defined as the first report of a CD4 T-cell count less than 350 cells/mul, and clinical failure as the occurrence of a Centers for Disease Control and Prevention grade B or C event. The data were analysed on the basis of the intention-to-treat principle. RESULTS:: By week 48, 20 of 29 patients in the TI group (69%; 95% CI 51-83%) and 12 of 29 in the lamivudine group (41%; 95% CI 26-59%) had discontinued the study because of immunological or clinical failure, which was significantly delayed in the lamivudine group (P = 0.018). Only patients in the TI group (6/29, 20.7%) experienced grade 3-4 clinical adverse events at least possibly related to HIV-1 (P = 0.02). The mean decline in CD4 cell percentage, viral rebound and recovery of HIV-1 replication capacity were significantly lower in the lamivudine group. The 24-week virological and immunological response after therapy resumption in patients who prematurely discontinued the study was similar in the two groups. CONCLUSION:: In HIV-1-infected patients harbouring a lamivudine-resistant virus, lamivudine monotherapy may lead to a better immunological and clinical outcome than complete therapy interruption." Salut, je ne comprends pas, je ne vois pas de comparaison entre trithérapie et monothérapie (lamivudine) dans cette publication. Il me semble qu'ils comparent plutôt pause thérapeutique et passage à la monothérapie chez des patients qui étaient sous tri à la base, non? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Terry Posté(e) le 25 mars 2006 Partager Posté(e) le 25 mars 2006 désolé cheminot pour l erreur de nom....toutes ces mollecules ont des noms barbares comme leurs effets secondaires d ailleurs......il me semblait avoir que le 3tc avait un petit frere ....... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wallypat Posté(e) le 25 mars 2006 Partager Posté(e) le 25 mars 2006 (modifié) tu sais aussi que pour moi, ce n'est pas en utilisant un réducteur en quantité massive (acétylcystéine ou lamivudine) que l'on soignera vraiment ce stress oxydatif (si tant est qu'il ne soit pas devenu irréversible), mais en régulant le métabolisme grâce au remède homéopathique bien choisi. J'essaie de te comprendre, Cheminot, et il est certain que je ne connais pas grand chose à l'homéopathie. Mais à te lire, tu sous-entendrais que la séropositivité pourrait être soignée grâce à l'homéopathie (si je t'ai bien compris) ? Pourrais-tu en dire plus ? Car je trouve cela très intéressant bien sûr, surtout qu'à part toi, je n'ai encore jamais lu un écrit d'un scientifique dissident du sida émettant l'hypothèse que la séropositivité pourrait se soigner grâce à l'homéopathie. Mais tu diras peut-être que l'homéopathie est déjà - à tort - dénigrée en temps normal, et qu'il est donc normal que la dissidence scientifique du sida ne pense pas à cette possibilité de "traitement". Je présume toutefois (mais je me trompe peut-être) que l'homéopathie reste sans effet en cas de stress oxydatif devenu irréversible et, de manière générale, si le séropositif n'a pas renoncé définitivement au style de vie qui l'a mené à la séropositivité. D'un autre côté, je ne crois pas que la plupart des "survivants à long terme" ont eu recours à l'homéopathie pour "survivre" à leur séropositivité. Bref, je ne sais quoi penser de ta suggestion, mais en tout cas, il serait peut-être temps que je m'intéresse de plus près à l'homéopathie (mais c'est justement le temps qui me manque ! lol). Modifié le 25 mars 2006 par wallypat Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 25 mars 2006 Partager Posté(e) le 25 mars 2006 [salut, je ne comprends pas, je ne vois pas de comparaison entre trithérapie et monothérapie (lamivudine) dans cette publication. Il me semble qu'ils comparent plutôt pause thérapeutique et passage à la monothérapie chez des patients qui étaient sous tri à la base, non? Oui, Vénusien , tu as raison, Mais ces personnes viennent de la trithérapie, qui comportait aussi de la lamivudine, et on avait détecté chez elles une mutation de la rétrotranscriptase qui était typique de l'utilisation de lamivudine, mais au sein dela trithérapie... et patatras, cette mutation n'a plus d'effet sur la lamivudine en monothérapie. La conclusion qui s'impose est que cette idée de mutation est ici remise en cause Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité venusien Posté(e) le 25 mars 2006 Partager Posté(e) le 25 mars 2006 (modifié) [salut, je ne comprends pas, je ne vois pas de comparaison entre trithérapie et monothérapie (lamivudine) dans cette publication. Il me semble qu'ils comparent plutôt pause thérapeutique et passage à la monothérapie chez des patients qui étaient sous tri à la base, non? Oui, Vénusien , tu as raison, Mais ces personnes viennent de la trithérapie, qui comportait aussi de la lamivudine, et on avait détecté chez elles une mutation de la rétrotranscriptase qui était typique de l'utilisation de lamivudine, mais au sein dela trithérapie... et patatras, cette mutation n'a plus d'effet sur la lamivudine en monothérapie. La conclusion qui s'impose est que cette idée de mutation est ici remise en cause Ce n'est pas ce qui ressort du papier Les deux groupes ont leur charge virale et CD4 qui augmentent et diminuent (respectivement) au moment de l'arrêt de la tri (semaine 0 sur la figure). Ces deux paramétres bougent plus dans le groupe en pause thérapeutique que dans le groupe monothérapie avec lamivudine. Ce qui est dommage, c'est qu'il n'y ait pas un troisième groupe constitué de personnes qui continuent la tri, ça serait plus aisé de comparer tri, mono et pause. Difficile de tirer une conclusion à ce niveau Quelques publications antérieures suggèrent que cette mutation ne rend la transcriptase inverse que partiellement insensible à la lamivudine. en in vitro: Antiviral activity of lamivudine in salvage therapy for multidrug-resistant HIV-1 infection. publication 2005 Modifié le 25 mars 2006 par venusien Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 25 mars 2006 Partager Posté(e) le 25 mars 2006 Vénusien, nous sommes bien d'accord, mais assigned HIV-infected patients receiving lamivudine-containing HAART and harbouring the M184V mutation to monotherapy with lamivudine 300 mg once daily (lamivudine group) or the discontinuation of all antiretroviral drugs (TI group). le texte est cependant clair. Les patients qui recevaient la trithérapie et qui présentaient la mutation M184V en été assignés soit à la monothérapie de 3TC soit à nada. S'ils présentaient cette mutation et si on l'a recherchée, c'est qu'ils étaient auparavant en faillite virologique. le 3TC a donc simplement ralenti puis stabilisé les paramètres. Effectivement, on ne peut pas tirer de conclusions définitives de cet essai, et il faudrait étudier le 3TC en monothérapie dès le départ d'un traitement contre le sida. Mais cela a-t-il été fait? La publication 2005 dit la même chose que cette publication-là, non? pour moi, et pour tous ceux qui se posent des questions sur cette maladie, ce sont les propriétés chimiques de la lamivudine qui sont la cause de cette réussite, en particulier le fait qu'en présence d'électrophiles (oxydants), elle va pouvoir manifester des propriétés réductrices qu'elle ne manifeste pas dans un milieu dont le statut rédox n'est pas altéré. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 25 mars 2006 Partager Posté(e) le 25 mars 2006 Wallypat, comme je connais bien la méthode homéopathique ainsi que les améliorations qu'elle a pu donner dans des situations apparemment irréversibles (qui ne l'étaient donc que pour la médecine classique - ce sont ces cas-là qui permettent d'ailleurs de vérifier le bien fondé de la méthode de manière éclatante), je pense qu'on devrait soumettre les personnes séropositives à l'interrogatoire homéopathique et en tirer le remède adéquat pour chaque personne. Cela n'empêche pas de recourir à des suppléments nutritionnels - ainsi que tu le montres dans un autre post - si nécessaire, en effet, un rééquilibrage -ce que fait le remède homéo - ne sert à rien s'il n'y a rien à rééquilibrer. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés
Rejoindre la conversation
Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.