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Les statistiques africaines bidon sur le sida


ben93

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De ce côté il y a de quoi se régaler:

Par example les chiffres donnés sur la primo infection par VIH:

- La primo-infection à VIH est symptomatique dans environ 50 à 80 p. 100 des cas ici

--> Environ , 50% , 80%

- La primo-infection par le VIH, Elle survient chez 20 à 50% des personnes infectées, ici

--> 20%, 50%

Le tout fait "environ" entre 20 et 80%. Pire, il y a certains spécialistes qui disent que c'est une phase complètement asymptômatique. D'autres disent que c'est très difficile de connaitre la date approximative de l'infection.

Si on me dit que j'ai 20% à 80% de probablité de developer des symptômes de primo infection au VIH après qu'un epersonne inconnue m'a éternué dans la figure, ou si on me dit qu'après une infection par le VIH j'ai 20% à 80% de probablité de developer les mêmes symptômes, pour moi c'est la même chose (car incompréensible).

25 ans de recherches pour:

- Des plages de certitudes du style 20% à 80% (c.a.d oui, non, peut-etre)

- Aucun symptôme spécifique en ce qui conserne l'infection par VIH

- Des estimations et prévisions toujours en dérive

- Pourecentages de transmission par act sexuel ridicules du type 0.0009% par act

- La liste est longue sur ce sujet ...

- Et au final, pas de remède et pas de vaccin.

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Concernant ce mythe de la primo-infection par le "VIH", certaines personnes "bien placées" disent que la primo-infection ne pourrait même n'intervenir que dans 5% des cas ! Comme par exemple dans cet article-ci :

Un confrère biologiste de la région toulousaine, qui fait beaucoup de dépistage, m’a assuré que dans son expérience personnelle, pas plus de 5% des séropositifs qu’il a diagnostiqué avaient vécu un épisode primo infectieux symptomatique.

En réalité, il me semble que la question de la primo-infection est prise à l'envers (par l'orthodoxie du sida bien sûr). Plutôt que d'affirmer que la (supposée) "contamination" par le "VIH" se manifesterait par des symptômes, les plus divers au surplus, il faudrait plutôt dire que les symptômes en question sont en réalité ceux de réelles infections bactériennes, virales, etc..., et que si ces réelles infections sont suffisamment aiguës, elles peuvent tout simplement rendre positif le test de stress oxydatif appelé par erreur "VIH" (cette explication, qui me semble évidente dès lors qu'il est constaté que l'existence du "VIH" n'a jamais été prouvé jusqu'à ce jour, permet en outre d'expliquer pourquoi la (supposée) "contamination" par le "VIH" se manifeste finalement si rarement par des symptômes quelconques [or, sauf erreur de ma part, généralement la plupart des infections virales se manifestent lors de la primo-infection par divers symptômes généralement identiques [soit tout le contraire du "VIH"], et en outre, avec une fréquence plus élevée que le supposé "VIH"]).

On sait en effet depuis longtemps que par exemple les infections virales aiguës peuvent faire réagir positivement ces tests dits "VIH", comme précisé entre autres dans cet article :

Acute viral infections, DNA viral infections (Cordes & Ryan 1995; Pearlman & Ballas 1994; Profitt & Yen-Lieberman 1993; Schleupner 1990; Steckelberg & Cockerill 1988; Voevodin 1992).

Pour le surplus, je me permets de renvoyer à ce post-ci.

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Bonjour,

Il serait intéressant pour des raisons d'interprétations de savoir pourquoi ils utilisent deux chiffres dans la présentation de ces statistiques. Aurait-on également appliquer la notion de "norme biologique" généralement comprise entre deux valeurs dans la démarche statistique ?

Je suis d'accord qu'une telle présentation semble être une abberation, mais peut-être est-ce plus représentatif des chances réelle qu'un seul chiffre ? Une moyenne ordinaire à un seul chiffre monte ou baisse à chaque cas ajoutés, ce qui crée une tendance générale plutôt que la reflète.

Voilà comment je pense que cela est établit:

Ils comptent parmis plusieurs groupes de 100 personnes le nombre personnes ayant fait une primo-infection.

Groupe 1 ; 80 personnes on fait une primo-infection

Groupe 2 ; 58 personnes on fait une primo-infection

Groupe 3 ; 67 personnes on fait une primo-infection

Groupe 4 ; 72 personnes on fait une primo-infection

Groupe 5 ; 5o personnes on fait une primo-infection

etc...

Puisqu'ils ne constatent la survenue d'aucun nouveau groupe où le nombre de primo-infection s'élève au-dessus du plus grand nombre et s'abaisse en-dessous du plus petit nombre déjà constatés , ils concluent qu'qu'il y a 50 à 80 pourcent de chances de faire une primo-infection.

Voilà pourquoi, nous qui sommes habitués à des moyennes générales, ceci ne voulait plus rien dire.

- La primo-infection à VIH est symptomatique dans environ 50 à 80 p. 100 des cas ici

--> Environ , 50% , 80%

- La primo-infection par le VIH, Elle survient chez 20 à 50% des personnes infectées, ici

--> 20%, 50%

Euh, je pense qu'il y a une mauvaise lecture de ta part à la base de l'addition que tu fais là:

80 à 50 % ne font pas de primo-infection.

qui pour moi constitue un léger abus ! Tu ne peux pas cumuler ce qui appartient à deux catégories différente. Voici une lecture correcte:

Parmis les séropositifs nouvellement infectés

20 à 50 % font une primo-infection.
Dont 50 à 80% sont symptômatiques.

Avec la négation logique car cela pose une question pertinente:

Parmis les séropositifs nouvellement infectés
20 à 50 % font une primo-infection.
Dont 50 à 80% sont symptômatiques.
Dont 20 à 50% sont asymptômatiques.

80 à 50 % ne font pas de primo-infection.

Qu'est-ce qui permet de faire la différence entre un séropositif n'ayant pas fais de primo-infection et un séropositif ayant fait une primo-infection asymptômatique ?

Il est certain que la primo-infection asymptômatique est un concept illusoire. Mainenant sa forme symptômatique n'est peut-être en effet qu'une co-incidence avec la découverte d'une séropositivité acquise il y a longtemps ou pour d'autre raisons, mise en relation avec notre activité sexuelle que j'imagine être assez fréquente.

Ce qui est intéressant c'est que les chiffres peuvent-être rigoureusement exacte, mais reflète la fréquence de tout autre chose:

Associer la fréquence:

- De la séropositivité

- Des infections virales et bactérienne ordinaires (grippe et autres)

- Des actes sexuels

Et vous obtenez aussi une "Primo-infection au VIH". A ce stade compter ce que nous croyons être en relation ne prouve rien, il faut prouver la relation avant de le compter.

L'important ce n'est pas forcément comment c'est compté mais surtout ce qui est compté.

Cordialement

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Salut Psyence,

J'ai bien vu que les formlations étaient différentes. J'ai mal interprété. Au fait ma compréhension est que

pour une personne infectée, une primo-infrection c'est évidamment produite (c.à.d. à 100%).

Quand je lis le paragraphe (1-) de cet article de Montagnier, je vois que pour chaque personne infecté,

il y a toujours une primo infection. La différence pour moi c'est l'aspect symptômatique.

Montagnier dit ( a propos du SIDA):

"1- Il s'agit d'une pathologie chronique qui dure des années, chez les patients Africains comme chez les Européens et Asiatiques. Après le pic de multiplication virale qui accompagne la primo-infection, commence une longue période asymptomatique - mis à part des lymphadénopathies".

Je crois comprendre là que la primo-infection est systématique chez les personnes infectées.

J'ai lu "La primo-infection par le VIH, Elle survient chez 20 à 50% des personnes infectées" comme suit:

20 à 50% des personnes infectées montrent de signes de primo-infection.

Sinon, je crois qu'il y a un problème de définition quand au vocable "Primo-infection"!!

Merci

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Re à tous,

J'ai bien vu que les formlations étaient différentes. J'ai mal interprété. Au fait ma compréhension est que

pour une personne infectée, une primo-infrection c'est évidamment produite (c.à.d. à 100%).

Quand je lis le paragraphe (1-) de cet article de Montagnier, je vois que pour chaque personne infecté,il y a toujours une primo infection. La différence pour moi c'est l'aspect symptômatique.

Oui, à nouveau c'est une question de définition ! Le tout est de savoir laquelle se pratique. Mais a priori il semble évident que si 100% des séropositifs ont été infectés par un virus, 100% des séropositifs ont eu une "primo-infection" ; au sens littéral de "première infection". Il y a là rien de plus évident..

Maintenant dans l'article que tu donne Montagnier parle de "pic de multiplication virale qui accompagne la primo-infection" ce qui implique la mesure de la charge virale. Donc ils définissent cette première vague de la charge virale comme étant la "Primo-infection" c'est-à-dire la première activtié de réplication du virus, qui alors infecte d'autres cellules. C'est sur la base de cette mesure qu'ils établissent la réalité de cette "primo-infection", ensuite il ne reste plus qu'à dire combien de cas s'accompagnent de symptômes et combien ne s'en accompagne pas.

Normalement il est recommandé d'attendre minimum 3 mois avant de faire le test anticorps au VIH suite à un "rapport à risque" (Wallypat, ne t'énerve pas trop vite de ce discours de pseudo-orthodoxe:-) , donc repérer la "primo-infection" par détection de la charge virale se fait probablement immédiatement suite au "rapport à risque" sinon ils ne pourraient parler de ce "pic"...de plus la "primo-infection" symptômatique dont témoigne les personnes ne dure pas plus de 1 semaines et suit souvent le "rapport à risque." (du moins la primo-infection est rattachée au plus près rapport sexuel à risque)

Tout ça c'est très intéressant car en définitif c'est toujours le test anticorps au VIH qui décidera du sens de ce pic de la charge virale lors d'une "primo-infection".

C'est seulement lorsque le test sera déclaré positif que la détection de la charge virale de la primo-infection sera attribuée au VIH. En d'autre termes c'est encore et toujours le même test qui donne son sens au concept de "SIDA": - si après avoir mesurer une charge virale après un rapport à risque et que le test effectué trois mois plus tard se révèle positif alors il y aura eu contamination, primo-infection , comme cela est bien ordonné dans la conception officielle. Par contre si le test se révèle négatif, il y aura eu un rapport à risque, une "primo-infection", mais aucune contamination possible.

Pour dire qu'il y a une primo-infection asymptômatique ils ont forcément du faire des mesures de charges virale avant de savoir si la personne était contaminée ! Pour confirmer que cette mesure de charge virale est bien liée à l'activitié du VIH, tous les tests anticorps des personnes dont a mesurés la charge virale par suspiçions ont du avoir pour résultat un test positif: - dans le cas contraire, cela veut dire que la mesure de la charge virale n'est pas spécifique du "VIH" (prétendu). -> ce qui a déjà été considérer ici.

Pour affirmer la réalité de la "primo-infection" asymptômatique, nous savons désormais que des tests PCR ont été pratiqués avant les tests anticorps ou simultanément. Il n'y a-t-il eu aucun test négatifs ? J'en doute, puisque la charge virale serait détectable chez des séronégatifs comme le prouverait l'anecdote de ce docteur allemand. (Je sais plus où c'est )

Voilà encore un des effets de la définition qui scelle toutes les portes à une profonde remise en question...

Cordialement

Modifié par Psyence
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Je voulais juste rappeler que

"80 à 50 % ne font pas de primo-infection."

c'est la négation de ce que tu as dis, à savoir que:

"20 à 50% font une primo-infection."

Selon la défintion du "pic de multiplication du virus" dont parle Montagnier, ne pas faire de "primo-infection" voudrait dire qu'en présence d'un test anticorps VIH positif subséquent, aucune charge virale n'a été préalablement détectée ni aucun symptôme. Cela veut dire, selon leur théorie, qu'il y a eu contamination mais que le virus n'est pas entrer en activité directement, autrement il n'a pas commencé à se répliquer, donc pas d'ADN proviral détectable par PCR. Ensuite la présence de symptômes se dévelloperait qu'en fonction de l'activité de réplication du virus, mais certains n'en développent pas. Ce qui repose la question de la spécifcité.

Je vois pas comment il serait possible d'affirmer ce chiffre autrement, sinon comment affirmer que 80 à 50% des cas ne font pas de primo-infection du tout puisqu'il en existerait des formes asymptômatiques.

Il est possible de définit la "primo-infection" comme étant la première activité de réplication du virus après contamination. Je pense que cela correspond à la pratique officielle.

Voilà pour ma part.

salutation

Modifié par Psyence
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Merci Psyence pour tes explications.

J'ai presque compris ce que tu veux dire, c'est logique.

Juste pour être sûr d'un truc: tu voulais aussi dire qu'il existe des

personnes infectées mais qui ne dévéloppent pas de charge virale détectable.

J'en conclu qu'il ne developperont jamais de charge virale détectable, sinon cela changerait la définition de la primo infection en ce qui concerne son timing (d'une semaine à 3 mois après l'infection) ou du moins cela introduira une autre étape dans le progression qui correspond au déclanchement de l'activité de réplication.

Si la prmière activité de réplication démarre 2 ans après l'infection. Est-ce que c'est aussi considérée comme primo-infection??

Merci

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Primo-infection = bullschitt

parce que si tu fais une maladie bizarre (du genre rougeole par exemple, avec plein de boutons partout et de la fièvre, des courbatures, peut-être de la diarrhée, etc...), tu penseras peut-être (après un lavage de cerveau de 25 ans ou sur la suggestion du médecin en fonction du groupe à risque dont on fait partie) à te faire un test de dépistage " vih ".

Le test ayant beaucoup de chances de réagir positif, ton médecin te dira que tu es en pleine " primo-infection au vih - hiv "

Tu auras beau nier avoir eu des rapports à risques, rien à faire : tu es envahi par le " vih ", point final.

Ton médecin te mettra sous antibios ou Dieu sait quoi, au lieu de soigner ta rougeole ou ce dont tu souffres réellement comme il faut.

Même scénario avec la grippe et d'autres maladies, ou quand on subit la réaction à un vaccin.

Faire un test de dépistage quand on est malade (comme ça peut arriver à tout le monde) = beaucoup de chances d'être déclaré en " primo-infection au vih "

Et qui se frotte les mains pendant que ta descente aux enfers commence ?

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Bonsoir,

Juste pour être sûr d'un truc: tu voulais aussi dire qu'il existe des

personnes infectées mais qui ne dévéloppent pas de charge virale détectable.

Attends ! Attends, je résume pour éviter le confusion.

Pour diagnostiquer et pronostiquer le "SIDA" la science médicale dispose:

- du test anticorps au VIH

- de la mesure de la charge virale par PCR

- de la mesure du taux de CD4.

La "primo-infection" est la phase qui suit immédiatement la "contamination" par le virus. Elle est perceptible sur deux plans distincts:

clinique ; par l'apparition de symptômes.

biologique: par la détection de l'ARN pro-viral. (mesure de la charge virale grace à la PCR)

Normalement il faut attendre minimum trois mois pour faire le test anticorps au VIH qui établira la séropositivité définitivement (selon leur théorie)

Une fois entré dans la séropositivité, la mesure de la charge virale et celle du taux de CD4 sont faites régulièrement. La baisse des CD4 et la hausse de la charge virale équivaut à l'avancement vers le stade SIDA. Au cours de ces mesures il apparâit parfois que la charge virale est indétectable. (Tu as des exemples de cela dans les témoignages du forum)

Donc le problème posé par la "primo-infection" lorsque celle-ci est asymptômatique, c'est que le seul signe permettant de l'établir c'est la charge virale, c'est-à-dire l'activité de réplication du virus qui est mesurée par PCR. Hors au moment où cette mesure est effectuée la séropositivité n'est encore pas établie puisqu'il faut un certain temps pour que la réponse immunitaire se fasse. Autrement dit les anticorps "spécifique" au "VIH" ne sont encore pas détectables.

Théoriquement le fait de pouvoir mesurer une charge virale devrait forcément indiquer une infection au VIH, mais si ce qui est mesuré par la PCR n'est pas spécifique au virus comme cela a été suggéré par l'expérience de ce Dr. séronégatif pour lequel il a également été détecté une charge virale de 1800, alors l'orthodoxie a forcément du rencontrer des mesures de charge virale avec un test négatif au bout du compte.

Pour conclure, je présume que ceux que l'on dit ne pas avoir fait de "primo-infection" seraient des personnes dont aucune forte activité de réplication du virus n'aurait été enregistrée après la contamination (probable)qui se révèlera que plusieurs mois après par un test anticorps positif.

Cordialement

Modifié par Psyence
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(Psyence @ Lundi 25 Septembre 2006 à 20h15)

Pour conclure, je présume que ceux que l'on dit ne pas avoir fait de "primo-infection" seraient des personnes dont aucune forte activité de réplication du virus n'aurait été enregistrée après la contamination (probable)qui se révèlera que plusieurs mois après par un test anticorps positif.

Si j'ai bien compris, font partie des " sans primo-infections " , ceux qui ne font aucun symptômes de primo-infection :

pas la moindre petite grippe, pas un seul ganglion enflé.

Mais si leur test de dépistage (Elisa) est positif, leur médecin leur demandera quand-même s'ils n'ont pas été malades dernièrement (allez, même un tout petit peu, hein ?), histoire de rechercher la fameuse primo-infection.

Ah, juste pour dire :

Quand, pour bien faire, j'ai couru chez les spécialistes demander une charge virale / PCR (je ne me voyais pas attendre 3 mois), on m'a répondu que ce n'était pas la peine. Trop tôt et c'est plus sûr de faire Elisa.

C'est ce que je disais ici :

- Acte 2 :

Le spécialiste. "Je ne peux rien pour vous pour l'instant. De toutes façons, si on n'attrape pas le vih au début de la relation, il y peu de chance qu'on se l'attrape par la suite. Revenez dans trois mois, on verra"

Alors je me demande, pour finir, quand cette soi-disant " réplication virale " a lieu après la " supposée contamination " ???

J'ai l'impression que chaque orthodoxe a sa version propre. Mais ça fait 25 ans que la chose est étudiée.

Juste une autre chose :

L'orthodoxie se base aussi, comprenne qui pourra, sur la gp 24 qui ne se trouve dans les tests, très orthodoxement, que de 60-90 jours après l'infection (signe irréfutable d' "infection récente" ). Après cela, elle disparait.

Alors, que se passe-t-il quand la gp 24 réapparait plusieurs mois après la pseudo " primo-infection " ???

Et au passage, l'orthodoxie, cherche à étudier de très près les Patients Elites (ça vient de sortir) qui n'ont aucuns symptômes (ni de primo ou d'infection tout court) et une charge virale insignifiante, mais dont le test Elisa a été positif une fois.

Une fois suffit si l'on fait partie d'un groupe à risque, après confirmation au Western Blott pour les chanceux, mais pas pour tout le monde. Q'importe : les rangs sont ouverts pour les Patients Elites !

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Merci Psyence. j'ai compris ton explication.

Donc 50 à 80% ne font pas de PI. Donc nécéssairement pas de symptômes.

20 à 50% font une PI. Mais celle-là est symptômatique dans 50 à 80% des cas.

Ce qui donne le calcul suivant:

Une personne infectée pourrait présenter des symptômes de primo-infection dans

Miniumum:

50% des 20% = 10%

Maximum:

80% des 50% = 40%

Ce qui donne 10 à 40% des personnes inféctées pourraient présenter de symptômes de PI.

Cela veut dire que 1 à 4 personnes sur 10 pourrait blabla...

Je crois dans tous les cas que ces pourcentages ne servent a rien pour un peronne lambda car tout simplement inutilisables.

Enfin, le post original questionnait la précision lâche des estimations et je crois qu'elle l'est.

Ciao

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Bonjour.

Liane,

J'ai l'impression que chaque orthodoxe a sa version propre. Mais ça fait 25 ans que la chose est étudiée.

Tout d'abord, je ne suis pas un "orthodoxe." Ce que j'ai exposé là:

Pour diagnostiquer et pronostiquer le "SIDA" la science médicale dispose:

- du test anticorps au VIH

- de la mesure de la charge virale par PCR

- de la mesure du taux de CD4.

La "primo-infection" est la phase qui suit immédiatement la "contamination" par le virus. Elle est perceptible sur deux plans distincts:

clinique ; par l'apparition de symptômes.

biologique: par la détection de l'ARN pro-viral. (mesure de la charge virale grace à la PCR)

Normalement il faut attendre minimum trois mois pour faire le test anticorps au VIH qui établira la séropositivité définitivement (selon leur théorie)

Une fois entré dans la séropositivité, la mesure de la charge virale et celle du taux de CD4 sont faites régulièrement. La baisse des CD4 et la hausse de la charge virale équivaut à l'avancement vers le stade SIDA. Au cours de ces mesures il apparâit parfois que la charge virale est indétectable. (Tu as des exemples de cela dans les témoignages du forum)

est un large consensus que tu retrouveras dans tous les livres d'infectologies universitaires, etc, un dogme n'a jamais plusieurs versions dans ces bases. (J'ai juste oublié de mentionner qu'à la "primo-infection" corresponderait aussi une chute de CD4.) > Toutefois hormis ce consensus beaucoup de recherches sont menées par différents groupes qui ne communiquent pas forcéement entre eux, ne sont pas aux courants d'autres recherches, résultats et donc forcément leur propre recherche oriente l'interpétation du concept généralement admis. Saisir comment la science fonctionne sociologiquement est utile pour comprendre les raisons de ce "chaos".

Maintenant il y a deux choses distinctes qu'il ne faut pas confondre.

1 - Ce que la recherche a fait pour définir cette maladie.

2 - Ce que les médecins appliquent en fonction de cette recherche.

Mais si leur test de dépistage (Elisa) est positif, leur médecin leur demandera quand-même s'ils n'ont pas été malades dernièrement (allez, même un tout petit peu, hein ?), histoire de rechercher la fameuse primo-infection.

2-Chez le médecin

Effectivement cela ne peut se passer que de cette façon chez les médecins lorsque:

Scénario 1

Une personne fait un test sans raison particulière ou suite à une campagne de prévention et que celui s'avère positif. Il faut rechercher quand cela a pu avoir lieu et s'il y a une primo-infection symptômatique. Cette recherche est "rétrospective" et n'a bien sur aucune valeur puisqu'il faut absolument trouver des symptômes coincidants avec une activité sexuelle qui est toutefois assez fréquente chez tous les être humains.

Puisque toute habitude rythme le temps: - l'on trouve forcément un jour où les symptômes sont apparut suite à un rapport sexuel, suite à une cigarette, suite à un repas, suite à la consommation de médicaments, etc.

Scénario 2

Puis il y a le cas de la personne qui arrive directement après un rapport à risque chez le médecin avec des symptômes (de peurs et d'angoisses ?) demandant un test HIV. Le médecin va temporisé et lui demander de revenir faire le test dans trois mois en prenant note de ces symptômes. Le test est positif.

Scénario 3.

Inversément la personne arrive avec ces symptômes et le médecins suspecte une primo-infection au VIH suite aux formation reçues. Il demande à patient s'il a eu un rapport à risque dernièrement. Le patient en trouve un ou n'en trouve point, mais le médecin en est convaincu. Il fait le test trois mois plus tard et il est positif.

La définition de la maladie s'exprime au travers du médecin et suggère de différentes façons à la mémoire du patient la re-construction d'un fait qui peut ne pas en être un.

Si j'ai bien compris, font partie des " sans primo-infections " , ceux qui ne font aucun symptômes de primo-infection : pas la moindre petite grippe, pas un seul ganglion enflé.

Chez le médecin je pense que cela correspond à ça: une personne asymptômatique ou qui a oublié en avoir eu et certaine de n'avoir rien eu.

1-La recherche

C'est au niveau de la recherche que je m'interrogais sur ce qu'est un séropositif n'ayant point fait de primo-infection par rapport au base statistiques donnée par Delwere. Là je crois que cela correspond effectivement à une personne qui aurait été infectée mais chez qui aucune forte activité de réplication du virus n'aurait été enregistrée lors d'un test PCR effectué suite à un rapport à risque.

Au niveau du médecin je ne crois pas que la PCR soit pratiquée avant l'entrée définitive dans la séropositivité, mais je n'en suis pas certains. Hors au niveau de la recherche c'est absolument indispensable pour établir qu'il existe une primo-infection asymptômatique de pratiquer la PCR avant le résultat à d'un test anticorps et suite à un rapport à risque.

Montagnier parle bien de "pic de multiplication du virus" et parle donc d'une mesure. Les chercheurs orthodoxes ont forcément du détecter ce pic chez les séropositifs symptômatiques et asymptômatiques environ 2 à 3 mois avant que leur séropositivité ait été établie par ELISA et WB, tout comme ils ont du ne pas la détecter certains seropositifs pour pouvoir affirmer un chiffre en ce qui concerne une absence de primo-infection.

En résumé, sachant que la primo-infection désignerait la première forte activité du virus suivant la contamination:

Infecté sans forte activité virale = séropositifs n'ayant point fait de primo-infection

Infecté avec forte activtié virale = séropositif ayant fait une primo-infection asymptômatique

Infecté avec forte activité virale et symptôme = séropositif ayant fait une primo-infection symptômatique.

Delwere

Enfin, le post original questionnait la précision lâche des estimations et je crois qu'elle l'est.

Je ne pense pas que la précision soit si lâche que cela pour la raison que ce n'est pas une présentation par moyenne générale pour une totalité, mais par variation de la moyenne pa groupe de 100 personnes. (ou 1000 à voir) simplement. En revanche ce qui est lâche c'est comme cela est compté; imagine que soit compté la co-ioncidence de:

- un acte sexuel (chose courante)

- une grippe (chose courante)

- un test positif pour 70 autres conditions différentes qu'une virus. (chose probablement courante)

Le problème c'est de pouvoir faire la différence entre un éventuel *cas réel et un cas virtuel pour les orthodoxes eux-même.

Cordialement

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(Psyence @ Mardi 26 Septembre 2006 à 09h40)

(J'ai juste oublié de mentionner qu'à la "primo-infection" corresponderait aussi une chute de CD4.)

Juste pour préciser qu'il peut arriver que chez certains séropositifs, l'hypothétique "primo-infection" se caractérise, non pas par une baisse des lymphocytes T4, mais bien par une augmentation de ceux-ci, comme précisé par exemple dans cet article du Perth Group :

In some individuals, seroconversion is followed by an increase, not a decrease in T4 cells (Detels et al., 1988; Natoli et al., 1993).

En d'autres termes, chez certains individus, la "contamination" par le "VIH" serait un bon moyen ... d'augmenter ses lymphocytes T4 !

Sinon, concernant le sujet de l'hypothétique "primo-infection", je tenais juste à préciser à toutes fins utiles et pour éviter toute équivoque que si les considérations reprises dans les posts qui précèdent sont assurément très intéressantes, il n'empêche pas moins qu'elles sont purement "théoriques", du moins dans le sens où elles ne prouvent en aucune façon que la "primo-infection" existe, que le "VIH" existe ou encore que le sida est causé par le "VIH". Sinon, oui, c'est intéressant de savoir comment l'orthodoxie du sida procède pour pondre des chiffres pareils.

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Bonsoir,

En fait savoir comment ils ont fait est très important pour les mettres face à leur propre contradiction - car ils ne sont pas prêt à admettre un déni de leur conception de base.

Et là je m'oppose radicalement à cette stratégie de négation de l'existence du virus même si cela justifié par des procédures d'isolation d'un virus baclées. Au contraire, je crois qu'en niant ce à quoi ils croient cela va au contraire renforcer leur croyance par opposition. Mieux vaut accepter d'affirmer des choses fausses pour l'instant pour ensuite mieux les confronter à leur propre incohérence ce qui induira au moins un doute à la place d'un rejet de l'argument. Mieux vaut obtenir leur approbation sur certains points successivement puis de mettre en relation les implications contradictoires de ces points. Au meilleur des cas cela provoquera le doute, au pire l'énervement accompagnée d'une absence de réponse.

Cordialement.

Modifié par Psyence
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  • 3 semaines après...

Et voilà un autre facteur parfait pour grossir les statistiques sur les séropositifs - sida :

LA LEISHMANIOSE (fièvre noire)

qui affecte principalement

l’Inde, pays le plus touché, le Bangladesh, le Brésil, le Népal et le Soudan.

OMS

En effet, par la leishmaniose :

Plus récemment, les co-infections avec le VIH sont devenues plus fréquentes.

Les interactions des deux maladies aggravent chacune d’elles en accélérant l’apparition du SIDA et en raccourcissant l’espérance de vie des personnes infectées par le VIH.

OMS

Ben voyons...

Et en plus :

La co-infection du virus et du parasite risque d'accélérer la progression du sida et d'accroître le nombre de victimes de cette maladie dans les pays du Tiers-Monde.

http://www.scom.ulav...tomne01/02.html

Après l'antimoine (proche de l'arsenic !) et les antibiotiques, un nouveau traitement est préconisé, la miltefosine, qui est aussi bizarement un anticancéreux.

Personellement, je ne vois pas le rapport, mais si quelqu'un peut expliquer...

Il y a quand-même un espoir de traitement alternatif contre la leishmaniose (certaines plantes) ... tant que l'Amazonie et d'autres forêts ne seront pas détruites (cultures intensives, appétits insatiables de bois précieux, etc...)

Une fois de plus, selon le groupe à risque dont on fait partie, il y a des chances de ne pas avoir droit à un bon diagnostic et de se retrouver séropo en moins de deux ! reflechi.gif

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Je continue sur ma lancée car la leishmaniose et le vih - sida semblent étroitement liés :

Une infection concomitante avec le VIH/SIDA aggrave la sévérité des deux maladies en raison de l’immunosuppression cumulée par ces deux affections. La malnutrition est également un facteur aggravant.

msf

Il existe plusieurs sortes de leishmanioses :

La leishmaniose viscérale (LV), appelée également kala azar, est la forme la plus grave de la maladie, avec une mortalité de presque 100% en l'absence de traitement. Elle se caractérise par des poussées de fièvre irrégulières, une perte de poids importante, une hépatosplénomégalie et de l'anémie.

La leishmaniose cutanéo-muqueuse (LCM), ou espundia, provoque des lésions pouvant conduire à une destruction étendue et défigurante des muqueuses du nez, de la bouche et de la gorge.

La leishmaniose cutanée (LC) peut provoquer un grand nombre d'ulcérations dermiques -- jusqu'à 200 dans certains cas -- sur les parties exposées du corps, comme le visage, les bras ou les jambes, ce qui entraîne un grave handicap et laisse au malade des cicatrices indélébiles.

La leishmaniose cutanée diffuse (LCD) ne guérit jamais spontanément et il existe une tendance aux rechutes après le traitement. Les formes cutanées de la leishmaniose sont les plus courantes et représentent 50 à 75% de tous les nouveaux cas.

OMS

En plus :

Par un cercle vicieux, le SIDA et la LV se renforcent mutuellement.

D'une part, la LV hâte l'apparition du SIDA déclaré (avec des maladies opportunistes telles que la tuberculose ou la pneumonie) et réduit l'espérance de vie des personnes infectées par le VIH.

De l'autre, le VIH favorise la propagation de la LV.

Le SIDA multiplie par cent, voire par mille, le risque de LV dans les zones d'endémie.

OMS

Distribution géographique :

Les leishmanioses sont actuellement endémiques dans 88 pays répartis sur cinq continents -- l'Afrique, l'Asie, l'Europe, l'Amérique du Nord et l'Amérique du Sud --, et 350 millions de personnes au total sont exposées au risque.

On estime qu'il y a à travers le monde 12 millions de personnes atteintes par la leishmaniose, certaines avec des manifestations cliniques et d'autres sans symptomes. Sur les 1,5 à 2 millions de nouveaux cas se produisant chaque année d'après les estimations, seuls 600 000 sont officiellement notifiés.

Sur les 500 000 cas de LV se produisant chaque année, 90% sont recensés dans cinq pays -- Bangladesh, Brésil, Inde, Népal et Soudan.

90% des cas de LCM se produisent en Bolivie, au Brésil et au Pérou.

90% des cas de LC se produisent en Afghanistan, en Arabie saoudite, au Brésil, en Iran, au Pérou et en Syrie, et l'on signale chaque année 1 à 1,5 million de nouveaux cas dans le monde.

La distribution géographique de la leishmaniose est limitée par celle du phlébotome, par la sensibilité de l'insecte aux climats froids, par sa tendance à consommer le sang d'êtres humains ou d'animaux uniquement et par sa capacité à transmettre telle ou telle espèce de leishmanies.

OMS

La leishmaniose semble liée à la production d'oxyde nitrique (NO) :

La protection conférée aux souris par ces composés semblait due à des mécanismes dépendant de la production de NO et au recrutement cellulaire accru dans les premiers temps de l’infection.

Ce recrutement était corrélé à une augmentation de la sécrétion de cytokines pro-inflammatoires et de type Th1 telles que l’IL-12, l’IL-2 et l’IFNγ de même que de chimiokines.

Finalement, deux études ont démontré l’importance des fibroblastes dans l’évolution de la pathogenèse (Blank et al., 1996; Bogdan et al., 2000a).

En effet, il semble que ces cellules peuvent, elles aussi, phagocyter le parasite Leishmania .

Le fait que ces cellules ne puissent produire de NO, essentiel à l’élimination du parasite, en font probablement de très bons réservoirs.

Ben tiens... http://www.theses.ul...21419/ch01.html

Si je récapitule, tout tourne autour du NO :

* Pour les pays du "Tiers-Monde" :

- malnutrition et/ ou antibiotiques à usage massif = problème de NO = maladie opportuniste comme la tuberculose, qui d'ailleurs devient résistante.

Au passage, l'arginine (des arachides par exemple) semble efficace contre la tuberculose.

- leishmaniose = problème de NO = idem pour la tuberculose

- " vih - sida" /stress oxydatif = problème de NO = idem pour la tuberculose

* Pour les pays nordiques :

- drogues et/ou amphétamines, vaso/bronchodilatateurs, etc... = problème de NO = maladie opportuniste comme la pneumocytose

- " vih - sida" /stress oxydatif = problème de NO = idem pour la pneumocytose

* Pour les pays d'Europe du Sud :

Leur situation géographique fait que ces pays cumulent certaines maladies du "Tiers-Monde" (comme la leishmaniose) + les problèmes des pays nordiques en matière de stress oxydatif (drogues et produits chimiques)

A cela se rajoutent les touristes qui, j'ose l'espérer, auront droit à un diagnostic correct une fois de retour chez eux ... mais il faudrait déjà qu'ils tombent sur un médecin qui y pense et qui n'est pas omnubilé par le " vih " et les groupes à risques reflechi.gif

Et quand il s'agira de trouver les causes d'un test positif au " vih ", autant chercher une aiguille dans une meule de foin, les protocoles médicaux réducteurs mais toujours actuels ne tenant pas compte de tous ces différents facteurs (autant le répéter)

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