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Les statistiques africaines bidon sur le sida


ben93
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Autre question... Ça marche pas vraiment votre thèse anti-sida...

Sur quel plan ? ... financier ? idéologique ?

Mais ceux qui "doutent" du discours ambiant (tu peux les appeler comme tu veux) n'ont rien à vendre et aucune sauce idéologique à placer ... En cela, ils se distinguent déjà beaucoup de bien d'autres.

Il ne s'agit pas d'une "thèse" comme tu dis mais de constats personnels ... dans de nombreux cas.

Si ces constats personnels ne reçoivent aucun écho médiatique (tu as raison) c'est sûrement que la matière ne souffre pas le débat car précisément ceux qui ont un intérêt financier et/ou idéologique n'ont aucun intérêt à entendre cela et surtout n'ont aucun intérêt à troubler la lisibilité du phénomène savamment construit dans l'esprit du grand public.

Un séropo est un malade ... un malade qui reçoit des "soins" ... lorsqu'il est en Occident. point barre.

Un séropo occidental qui refuse ses soins est un "fou" ... point barre encore ... un séropo occidental qui refuse les soins et qui n'est pas malade est un danger potentiel ... d'ailleurs y-en-a-t-il vraiment ? ... permets moi de te dire que j'en connais ...

Un séropo africain qui n'a pas "accès au soin" est un pauvre qui hurlerait son besoin irrémissible à la face du monde ... selon l'interprétation de ceux qui n'ont jamais foutu les pieds en Afrique ou de ceux dont le job est "d'aider" ces gens.

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Invité Vitchilo

Le fait est que beaucoup de sidatiques apprennent leur maladie en se posant des questions après avoir fait plusieurs pneumonies toujours plus graves les unes que les autres ou autres trucs et ce a répétition....

Pour avoir une grippe qui dure un mois de temps en afrique, il faut que ton systeme imunitaire soit gravement atteint... Meme chose pour pas mal toutes les maladies qui sont présentées comme symptômes...

Peut-tu répondre à ça?

Merci

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Permets-moi aussi une autre comparaison :

Pendant des lustres, sous une forme ou sous une autre, certains ont mis en exergue le danger que représentent les juifs. De fil en aiguille et à l'aune de quelques dérapages de l'Histoire, des solutions pragmatiques ont été mises en oeuvre ... du marquage à la diabolisation pour en finir par des solutions définitives.

Ce n'est pas tant la barbarie de ces "certains" qui est à retenir (des ordures, ça existe toujours) mais leur capacité à réaliser une imprégnation au sein du groupe de la ménagère de 20 à 77 ans et de son époux qui, sans cela, n'auraient pas eu la tentation de regarder avec une certaine "bienveillance" l'édification de miradors. Bien sûr, personne n'était pour des solutions radicales (d'ailleurs, ce groupe ne savait pas vraiment dit-on) mais bon une petite leçon ne pouvait pas faire beaucoup de mal.

Crois-tu que beaucoup du groupe précité se sont insurgés contre le port de l'étoile jaune ? ... Pas le feu au lac finalement ...

Bien sûr aujourd'hui tout le monde s'insurge ... les vérités d'hier ne sont plus celles d'aujourd'hui ...

L'oncle Adolf a réussi (sur un terreau fertile) à faire passer un message sans beaucoup de moyens médiatiques (ou du moins sans ceux actuels) ... Alors toi, mon garçon, es-tu bien sûr d'être à l'abri d'une illusion collective ? ... dans le domaine qui nous occupe comme dans bien d'autres ...

Quel rapport y-a-t-il entre la judaicité et la séropositivité ? aucun, je te l'accorde ... mais entre les méthodes d'intoxication utilisées dans les deux cas, ça me paraît un peu plus pertinent.

D'ailleurs et à ce sujet, n'es-tu pas troublé par le discours de SIDACTION qui dit (que cela soit vrai ou non) que 50 % des nouveaux cas de séropositivité en France sont détectés chez les populations migrantes (blacks) ... Qu'en conclure ... s'agissant des vecteurs et de l'application du principe de précaution ? ...

Modifié par Viduité
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(Vitchilo @ Mercredi 05 Avril 2006 à 05h31)

vu que le sida est apparu en 1959, dixit wikipedia

Bonjour Vitchilo.

Cela signifie en réalité que l'orthodoxie du sida a trouvé du "VIH" dans un échantillon de sang datant de 1959.

Cela ne signifie pas que le VIH en tant que rétrovirus exogène et pathogène existait "déjà" en 1959 (en fait, il n'existe toujours pas à l'heure actuelle; pour savoir ce qu'est réellement le VIH, lis par exemple ce post-ci), mais bien simplement que les scientifiques en question sont tombés sur une personne qui subissait en 1959 un fort stress oxydatif !

Et il est tout à fait possible que si des scientifiques tombent sur des échantillons de sang antérieurs (à 1959) encore préservés, certains échantillons de sang puissent se révéler positifs au test dit "HIV".

Je te signale à toutes fins utiles que les tests dit "HIV" ne détectent pas une infection appelée "VIH" (lis par exemple ce post-ci) mais ne sont en réalité que des tests de stress oxydatif, la positivité à ce test signifiant un dérèglement tantôt assez profond, tantôt extrêmement profond, tantôt provisoire du système immunitaire (mais certainement pas une infection par un rétrovirus appelé "VIH").

Pour le reste, bravo pour tenter de faire connaître la dissidence du sida. Mais arme toi de patience et de courage .... et de connaissance sur le sujet ! Lis par exemple très attentivement l'ensemble des liens figurant dans le sommaire du topic "Le VIH ne causerait pas le sida". Tu seras mieux armé pour répondre aux questions que des personnes pourraient te poser.

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(Vitchilo @ Mercredi 05 Avril 2006 à 08h51)

Autre question... Ça marche pas vraiment votre thèse anti-sida... (avocat du diable on)

Le fait est que beaucoup de sidatiques apprennent leur maladie en se posant des questions après avoir fait plusieurs pneumonies toujours plus graves les unes que les autres ou autres trucs et ce a répétition....

Pour avoir une grippe qui dure un mois de temps en afrique, il faut que ton systeme imunitaire soit gravement atteint... Meme chose pour pas mal toutes les maladies qui sont présentées comme symptômes...

Mais la dissidence du sida ne dit pas autre chose, Vitchilo !

Le sida existe bien sûr, ou du moins les maladies qualifiées de sida si une personne est séropositive au test dit "HIV". La dissidence du sida n'est pas une thèse "anti-sida", mais bien une thèse "anti-VIH" (du moins en tant que le VIH est interprété comme étant un rétrovirus, exogène et en plus pathogène).

Si une personne souffre de stress oxydatif au point de rendre son test dit "HIV" positif et si ce stress oxydatif résulte d'un style de vie néfastement durable (drogues récréationnelles et manultrition par exemple), son système immunitaire est fortement endommagé et cela s'aggravera de plus en plus s'il n'y est pas remédié correctement (non par le biais des drogues dites "antivirales" mais bien en renonçant - par exemple - aux drogues récréationnelles et en remédiant aux problèmes de manultrition et d'insalubrité comme en Afrique). Le séropo en question fera naturellement et de façon répétée des pneumonies de plus en plus graves (pour reprendre ton exemple).

La dissidence du sida ne conteste nullement l'existence et l'extrême gravité des maladies constitutives du sida mais bien la cause de ces maladies et, partant, la façon de les traiter efficacement (le recours aux tri"thérapies" dans cette autre vision du sida devant être exceptionnel, et non la règle comme cela est le cas à l'heure actuelle, et étant précisé que ce recours tout à fait exceptionnel aux trithérapies ne se justifie pas par je ne sais quel combat contre un rétrovirus mais bien par les propriétés antioxydantes et antibiotioques de certaines de ces drogues dites "antivirales").

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(wallypat @ Mercredi 05 Avril 2006 à 11h39)
(Vitchilo @ Mercredi 05 Avril 2006 à 05h31)

vu que le sida est apparu en 1959, dixit wikipedia

Bonjour Vitchilo.

Cela signifie en réalité que l'orthodoxie du sida a trouvé du "VIH" dans un échantillon de sang datant de 1959.

Cela ne signifie pas que le VIH en tant que rétrovirus exogène et pathogène existait "déjà" en 1959 (en fait, il n'existe toujours pas à l'heure actuelle; pour savoir ce qu'est réellement le VIH, lis par exemple ce post-ci), mais bien simplement que les scientifiques en question sont tombés sur une personne qui subissait en 1959 un fort stress oxydatif !

Merci Wallypat pour l'explication icon_smile.gif je me disais bien aussi... je fais partie de cette génération qui a grandi sans SIDA et je me souviens bien que le premier seropo célèbre "officiellement décédé" à qui on a collé l'étiquette "mort du sida" s'appellait Klaus Nomi et c'était bien dans les années 80.

Que des chercheurs aient trouvé des anticorps dans du sang datant de 1959 ne veut pas dire que le SIDA date de cet époque !! Ils sont grave sur Wikipédia ! Je sais bien que c'est une encyclopédie ouverte mais faut pas non plus laisser l'histoire se faire arranger ainsi sinon on peut aussi imaginer que la "purge" dans l'Histoire de France ou du monde que cela permet reflechi.gif

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Klaus Nomi

Ah oui ... excellent chanteur même ... et très viril aussi ...

... On chuchote également que sur la momie de Ramses II et sous les bandelettes, il y aurait également quelques traces de P24 ... est-ce le souverain lui-même qui était atteint ou ceux qui ont procédé à sa momification, nul ne peut le savoir encore.

Une étude sur le Saint Suaire serait menée également ... d'autant qu'on prête à celui qui fut emballé à l'intérieur quelques étreintes peu conventionnelles ... voire même quelques autres avec une catin répondant au nom de Marie Madeleine.

... mieux enfin : du fin fond de l'Ethiopie où je rôde parfois, il m'arrive de rencontrer des chercheurs de "Lucie" (notre lointaine grand mère tout hirsute) ... eh bien, je vous le donne en mille : il y a de la GP 120 et de la GP 160 ! ... il faut dire que Lucie ne dédaignait pas se plonger dans la luxure avec de grandes singes verts lorsque la bise soufflait dans ces arrides contrées.

Une question se pose : Pourquoi Klaus Nomi, Ramses II, JC et Lucie n'ont-ils pas eu droit aux soins ?

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(Vitchilo @ Mercredi 05 Avril 2006 à 09h11)

Pour avoir une grippe qui dure un mois de temps en afrique, il faut que ton systeme imunitaire soit gravement atteint... Meme chose pour pas mal toutes les maladies qui sont présentées comme symptômes...

Peut-tu répondre à ça?

Merci

Ouai, mais, tout dépend de la façon de présenter les choses.

Effectivement, présenté comme tu le fais, ça en impose. Un gars qui a une grippe depuis un mois, c'est sur que ça impressionne. On imagine le gars qui a 40 de fièvre non stop pendant un mois, bref, qui est dans le pic de la crise de grippe pendant un mois. Idem pour un cas de diarrhées persistentes qu'on présenterait de telle façon qu'on croirait que le gars a eu des diarrhées non-stop depuis un mois. Là, on se dit que les gars ne doivent pas aller bien du tout.

Seulement, les situations sont en général assez différentes de cette façon de présenter les choses. Un gars dont on va annoncer qu'il a une grippe depuis un mois, ça va être en général plutot quelqu'un qui a eu un épisode grippal éventuellement intense, et qui a encore une toux persistante ou alors, par intermittence, des courbatures. Bref, qui a eu une ou deux semaines intenses et deux ou trois semaines de lente récupération.

Pareil, un gars dont on dit qu'il a eu une diarrhée pendant un mois, c'est en fait en général un gars qui a eu des diarrhées par intermittence pendant un mois. Genre, 3 jours de diarrhées, puis une semaine sans rien, puis à nouveau des diarrhées. Ben, sinon, le gars serait mort (parce que, perdre autant d'eau dans des pays chauds comme ça, on ne survit pas longtemps).

Et on ne parle pas des pneumonies ou de la tuberculose, qui sont là aussi des trucs qui fonctionnent soit par intermittence, soit sont plus constants dans les symptomes, mais beaucoup moins intenses (genre, petite toux récurrente).

Donc, la plupart du temps, les cas ne vont pas être aussi impressionnants que le cas que tu évoques (je parle bien sur de situations normales ; hors situations de guerre, de famine, de sécheresse, etc... où les cas graves peuvent exploser). Et malgré tout, sans test, on va dire que ces gars sont séropositifs et ont le SIDA.

Pour rappel, voici les conditions faisant qu'on peut dire, sans test, qu'un africain a le SIDA :

Signes majeurs :

perte de poids > 10%

diarrhée chronique > 1 mois

fièvre > 1 mois (constante ou intermittente)

Signes mineurs :

Toux depuis > 1 mois

Démangeaisons généralisées

infections récurrentes à HVZ

candidose oro-pharyngée

infection herpétique chronique progressive et disséminée

lymphadénopathie généralisée

Critères d’exclusion :

Cancer

malnutrition sévère

autre causes reconnues

Le SIDA est défini par l’existence de :

au moins 2 signes majeurs et au moins 1 signe mineur

en l’absence de tout critère d’exclusion

ou

en présence d’un sarcome de Kaposi généralisé

ou

en présence d’une méningite à cryptocoque

http://www.sidasante...ion_ouverte.htm

On voit bien que les diarrhées ou la fièvre ne sont pas obligatoirement constantes, mais peuvent être intermittentes, ce qui introduit d'énormes possibilités d'interprétation. Ca peut aller du cas très grave au cas benin.

Alors, ça peut arriver qu'il y ait des cas impressionnants, mais, ça va être relativement rare. Et ça va surtout être des cas de diarrhées. Ce qui n'est pas étonnant, vu les problèmes de qualité d'eau dans ces pays.

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Pour avoir une grippe qui dure un mois de temps en afrique, il faut que ton systeme imunitaire soit gravement atteint... Meme chose pour pas mal toutes les maladies qui sont présentées comme symptômes...

Peut-tu répondre à ça?

Merci

En voila un qui ne voyage pas beaucoup ... car quand ça se présente ainsi en Afrique, on dit qu'on a choppé le palu ... et en Asie, on dit qu'on a choppé la malaria ...

Il n'est même pas nécessaire de vérifier son taux de CD4 ... car le palu et la malaria touchent indifféremment les séropos et les séronégas ... ou ne les touchent pas ... encore une bizarrerie de la question ...

Cela étant et comme la plau (ou la malaria) affecte le foie, je serais curieux de connaître la manière dudit foie quand il est, en plus, flingué par les tri thérapies ... là, ça doit être quelque chose ...

Par ailleurs, j'observe qu'on s'interroge peu sur les conséquences de ces mêmes tri thérapies sur des organismes qui, naturellement, ont déjà, en grande majorité, des problèmes hépatiques du fait d'accès à l'eau potable très réduits et de conditions d'hygiène plus que précaires ...

Ils ont donc un "accès au soin" et très certainement un super accès priviligié à de super chiasses ... 4-ptdrasrpt.gif

Modifié par Viduité
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extrait du dernier "Jeune Afrique l'intelligent" :

L'ex-vice-président sud-africain Jacob Zuma, jugé pour viol, a continué à témoigner mardi, affirmant que la plaignante, une jeune femme séropositive, l'avait séduit et avait pris l'initiative d'un rapport non protégé.

"Pourquoi vous, un homme qui pourrait encore être président de ce pays, étiez vous prêt à prendre ce risque?", a demandé la procureure, Charin de Beer, lors du contre interrogatoire mené devant la Haute cour de Johannesburg.

Longtemps considéré comme favori pour la succession du président Thabo Mbeki en 2009, Jacob Zuma a plaidé non coupable du viol de cette jeune femme de 31 ans à son domicile de Johannesburg dans la soirée du 2 novembre dernier.

"J'ai pris la décision de poursuivre (le rapport sexuel)", a déclaré Jacob Zuma qui a commencé à témoigner lundi en zoulou, affirmant que la plaignante l'avait séduit de telle manière qu'il n'avait pu refuser d'avoir des relations sexuelles avec elle.

"La nuit en question, elle a insisté (...) Elle a vraiment pris l'initiative (...) elle m'a encouragé", a affirmé l'ancien vice-président, 63 ans, limogé en juin dernier après sa mise en cause pour corruption dans une autre affaire pour laquelle il doit être jugé fin juillet.

La semaine dernière, le juge Willem van der Merwe a rejeté une requête de la défense qui demandait l'abandon des charges en raison de l'insuffisance de preuves. Il a également écarté la thèse du complot politique, mise en avant par Zuma pour expliquer ses déboires judiciaires.

L'ancien vice-président a reconnu avoir eu des relations sexuelles, sans préservatif, avec la plaignante, mais démenti tout viol, assurant que cette dernière était consentante.

S'il est reconnu coupable, il risque une peine de cinq à quinze ans de prison.

Mardi, Jacob Zuma a affirmé à la cour qu'il était séronégatif et avait été testé en 1988, 1998 et encore le mois dernier.

Il a ajouté qu'il avait eu plusieurs fois des rapports non protégés, en général avec sa femme "ou dans les cas où je voulais avoir des enfants".

Le ministère public a considéré que le fait qu'il n'ait pas utilisé de préservatif avec la jeune femme la soirée du 2 novembre indiquait qu'il l'avait effectivement violée.

Mais Zuma a argué que "son attitude et la façon dont elle était habillée" l'avait porté à croire qu'elle voulait avoir des relations sexuelles avec lui.

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Vu sur Aids Myth Exposed : le Washington Post vient de publier un papier intitulé "How AIDS in Africa Was Overstated" (comment l'épidémie de SIDA en Afrique a été exagérée).

Ils citent une étude menée par ORC Macro, une société de recherche basée à Calverton (dans le Maryland apparemment, bref, aux USA), et financée par l'Agence des Etats-Unis pour le développement international, des donateurs internationaux et divers gouvernements là où les études ont eu lieu.

D'après eux, le taux d'infection au Rwanda n'a jamais été de 30 % comme ça a été estimé par d'autres chercheurs, ni 13 % comme ça a été estimé par les Nations-Unis en 1998, mais de seulement 3 %.

Remarque, ça ne fait jamais que la 4ème baisse depuis 1998. ils étaient passé à 11,2 % en 2000, 8,9 % en 2002, et 5,1 % en 2004 (chiffres UNAIDS).

Bref, ils reconnaissent que les chiffres précédents étaient complètement bidons. Exactement ce que les dissidents disent depuis des années. Enfin, sauf que nous on dit en plus qu'il n'y a carrément pas d'infection. Bref, que le taux est de 0 %.

Voici l'article

http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/conte...6040502517.html

Modifié par aixur
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Outre les nombreuses explications déjà énumérées ci-avant pour expliquer le caractère absolument bidon des "contaminations " au "VIH" en Afrique (de même que dans des pays non africains où les habitants souffrent de malnutrition en général), il convient de ne pas perdre de vue que les vaccinations sont elles-mêmes de nature à rendre positif un test dit "HIV", et bien davantage encore sur un organisme souffrant de malnutrition. Et les vaccinations (forcées) de masse ont été et sont encore extrêmement courantes de nos jours en Afrique.

Pour éviter de me répéter, je renvois le lecteur intéressé vers ce court post explicatif placé dans un autre topic.

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Article sur santétropicale.com

On avance dirait-on ... mais chez les co-découvreurs ...

Plus la recherche avance dans des domaines autres que la virologie, plus des scientifiques comprennent à quel point le stress ou la nutrition, par exemple, peuvent influer sur le cours de la maladie. Cela paraît essentiel en cas de Sida déclaré ; et aussi très important dans tous les cas de séropositivité au VIH.

« Une grande partie de mon travail avec les patients atteints du cancer ou du Sida consiste à leur apprendre à rester dans la réalité du présent pour éviter qu'ils ne succombent aux peurs inutiles. Cette démarche est capitale pour maintenir une bonne immunité et aider au retour de la bonne santé. Car le pouvoir des croyances sur la santé du corps est bien réel».

Qui parle ? Un charlatan ? Un gourou ? En fait, la citation est extraite du livre que vient de publier le Dr Thierry Janssen, chirurgien, psychothérapeute et enseignant en faculté de médecine (1). Ce livre décrit une « révolution médicale» en cours : de plus en plus de patients ont recours aux médecines non conventionnelles, lesquelles sont de plus en plus validées par la recherche scientifique. Les troubles que l'on qualifiait naguère de psychosomatiques, domaine des psychologues méprisé par la médecine basée sur la biochimie, sont maintenant éclairés par la psycho-neuro-endocrino-immunologie.

Et le Dr Janssen explique, entre autres, se fondant sur des faits scientifiquement démontrés et publiés dans la littérature médicale, comment notre système immunitaire est influencé, renforcé ou déprimé, via les systèmes nerveux et hormonal, par nos émotions et nos croyances. Une anecdote le montre bien : «Au début de l'épidémie de Sida, dans les années 1980 à San Francisco, une aggravation de l'état de jeunes patients séropositifs semblait survenir de façon quasi-systématique un nombre précis de semaines après le diagnostic de la contamination. Un point commun reliait ces patients : ils avaient tous lu un article dans un magazine gay selon lequel la maladie évoluait de manière fatale après ce délai précis. Le démenti de cette information erronée permit de lever le sort jeté à ces patients». Le rôle du stress (individuel, social, violences, guerres, etc.) et des conditionnements psychologiques (stigmatisation des séropositifs ou des malades, croyance que Sida égale mort) n'est pas moins important en Afrique qu'ailleurs. On peut considérer que ces facteurs font partie de l'ensemble des cofacteurs influant sur la maladie et la santé.

Malnutrition, bactéries...

Si le Pr Luc Montagnier ne nie pas le rôle des stress, il parle plus volontiers d'autres cofacteurs : « Il y a bien sûr beaucoup d'immunodéficience liée à la malnutrition (...) Et il y a d'autres facteurs qui ont été apportés par l'extérieur, d'abord dans les villes qui étaient en contact avec des touristes (...) Ils apportaient quelque chose, un facteur, qui a augmenté la virulence et la transmissibilité du virus, et on revient à la théorie des cofacteurs bactériens que je soutiens depuis une dizaine d'années (...) Du fait de l'usage immodéré des antibiotiques, on a poussé un certain nombre de bactéries à prendre des formes analogues à celles des mycoplasmes. Et c'est l'ensemble de ces formes qui a rendu hautement transmissible le virus par le sang et par les voies sexuelles». De plus, «la transmission sanguine du virus en Afrique est totalement sous-estimée, via l'usage de seringues, de canules, d'instruments peu stériles.» (2) D'autres facteurs favorisant l'aggravation de l'immunodéficience ont été identifiés : les maladies sexuelles; les parasitoses, mycoses et infections intestinales, si courantes en Afrique; le stress oxydatif, qui endommage les cellules lors d'inflammations et d'infections chroniques et pourrait jouer un rôle important dans l'évolution vers le Sida; l'alcool qui, en fragilisant les cellules de la bouche, augmenterait le risque de transmission par voie orale; chez les femmes, la fragilité de la muqueuse utérine et vaginale, surtout au cours des règles ou en cas de mycoses et d'infections récurrentes...

Sur tous ces facteurs, il est possible d'agir. Par une nutrition saine, de l'eau potable, des compléments naturels antioxydants, des immunostimulants, des plantes antiparasitaires, des stratégies visant à réduire les mycoses, des techniques de gestion du stress, etc. Pour l'Unesco, le rôle de l'éducation à la prévention est primordial : «Les campagnes qui ne font état que des aspects négatifs peuvent engendrer la stigmatisation, la discrimination et peuvent même parfois exacerber les risques. C'est pourquoi les changements d'attitude induits par l'éducation à la prévention sont nécessaires non seulement pour ceux qui sont directement touchés mais aussi pour toute la communauté de sorte qu'elle reste source d'intégration et de soutien». (3).

Mieux impliquer l'immunité

Pour l'heure, l'OMS constate que « l'épidémie distance toujours la riposte ». « Je pense que nous avons besoin de nouvelles idées, déclarait en février à l'occasion du CROI (Conférence annuelle sur les rétrovirus) le Dr Stephen O'Brian, chercheur au Laboratoire d'étude de la diversité du génome humain. Nous ne disposons pas de médicaments pour guérir le Sida, et les antirétroviraux que nous avons développés pour réduire efficacement la charge virale produisent des effets secondaires sérieux (...) Tout cela ne peut être satisfaisant pour les 40 millions de personnes infectées dans le monde». Ces thérapies, logiquement, ont tendance à sélectionner les virus multi-résistants. Le Pr Montagnier est lui aussi d'avis que « la trithérapie n'est pas une solution à très long terme» et qu'il faudrait, tout comme le juge le Pr Jean-François Delfraissy, directeur de l'ANRS (Agence nationale française de recherche sur le Sida), susciter aussi une implication de la réponse immunitaire du patient. En attendant des nouvelles voies de recherche, une prévention prenant en compte l'ensemble des cofacteurs paraît plus que jamais souhaitable. Elle est parfois pratiquée sur le terrain mais les malades et les séropositifs ne sont pas encore assez informés sur son importance pour leur santé.

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bonjour Viduité,

As-tu des références pour tes textes?

Merci...

Et l'on constate encore l'utilisation de circonlocutions pour maintenir encore en vie le vieux virus (je n'ai pas voulu dire "bon vieux.."), alors que tout indique que ce sont d'autres facteurs qui sont les vrais responsables... et encore il ne s'agit souvent encore de corrélations, car, que prescrit-on en Afrique contre les parasites intestinaux? du métronidazole. Et contre la typhoïde? du chloramphénicol...

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  • 2 months later...

J'insère ce lien vers un récent post de Liane dont il ressort très clairement que c'est justement dans les pays africains où la pénurie alimentaire est la plus forte que le taux (présumé) de prévalence du soi-disant "VIH" est le plus élevé.

Ce n'est bien entendu pas une coïncidence. Il a déjà été mentionné à moult reprises que la famine ou de manière générale les carences alimentaires suffisent déjà à expliquer qu'un test dit "VIH" devienne positif, sans qu'il soit nécessaire de faire intervenir un rétrovirus dénommé "VIH" pour l'expliquer.

Encore une confirmation de plus de l'explication du stress oxydatif comme cause du sida !

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