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Les statistiques africaines bidon sur le sida


ben93
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Il semble que la leichmaniose viscérale fait partie de la liste des situations qui pourraient provoquer une réaction faussment positive aux test VIH.

Comment alors faire la différence entre co-infection et "cross-reaction" ??

Cette histoire d'un VIH mélangé à toutes les sauces est vraiment fatiguante !!

Modifié par delwere
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D'autant plus que la superoxyde dismutase (SOD) pourrait avoir un effet bénéfique contre la leishmaniose ... et le paludisme / malaria (un autre facteur de séropositivité) !

Un article à lire sur le sujet :

" Stress oxydant et signalisation redox dans le neuropaludisme et la leishmaniose "

Pour rappel, la SOD est liée au glutathion qui régule le NO.

Cheminot en a souvent parlé et j'ai abordé le sujet ici et .

En clair : le sida (séropositivité " vih " ), la leishmaniose et le paludisme sont des affections directement dépendantes du NO qui, lui, est régulé par le glutathion. CQFD.

Et comme le dit Delwere, balancer du " vih " à toutes les sauces, ça devient vraiment fatiguant. Mais il y en a que ça ne fatigue toujours pas. 5-tss.gif

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  • 2 weeks later...
(Liane @ Dimanche 15 Octobre 2006 à 16h52)

Et comme le dit Delwere, balancer du " vih " à toutes les sauces, ça devient vraiment fatiguant. Mais il y en a que ça ne fatigue toujours pas. 5-tss.gif

Et il y a encore des hôpitaux où le sang n'est toujours pas chauffé mais dont les pays n'ont aucun problème pour offir des antirétroviraux (ARV) gratuitement.

Les programmes de santé semblent être ciblés très arbitrairement :

Nigeria : un bébé contaminé par le sida, trois médecins révoqués.
Congoplus.info, 03 août 2006.

Le monde à l'envers : des ARV gratuits (financés par qui ?) sur un fond de conditions d'hygiène lamentables !

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Et si on commencait par le commencement ?

LAfrique, cobaye de Big Pharma

Attirés par la faiblesse des coûts et des contrôles, les laboratoires pharmaceutiques testent leurs produits en Afrique, au mépris de la sécurité des patients. Face à la multiplication des accidents, certains essais ont dû être interrompus.

Ces dérives révèlent comment les industriels du médicament utilisent les populations du Sud pour résoudre les problèmes sanitaires du Nord.

...

Une appropriation par les Africains de lessai clinique paraît indispensable à la satisfaction des besoins spécifiques de la santé publique sur le continent.

Cet enjeu est dautant plus important que les tests peuvent aussi concerner la pharmacopée traditionnelle, dont lutilisation est plus économique et mieux acceptée par la population.

Lexpérimentation clinique pourrait démontrer linnocuité et lefficacité de remèdes valorisant ainsi le patrimoine national.

Une industrie pharmaceutique locale pourrait en émerger.

Des plantes africaines, réputées anti-infectieuses, anti-inflammatoires ou diurétiques pourraient être employées contre les infections, rhumatismes, hypertension ou insuffisance cardiaque et suivre les exemples désormais fameux de la quinine extraite du quinquina, laspirine provenant du saule, la réserpine isolée dun Rauwolfia africain et les anticancéreux issus de la pervenche de Madagascar.

Le Monde Diplomatique
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Les européens et les américains ont plus de pertenaires sexuels que les habitants des régions en voie de développement :

http://news.bbc.co.uk/2/hi/health/6101970.stm

mon commentaire : la nième étude qui montre que le sida en Afrique ne provient pas des relations sexuelles, mais est le résultat de bon nombre de facteurs nouvellement apparus : la faim certainement, mais plus sûrement aussi tout ce qui diminue la robustesse du système immunitaire et en première ligne tous les produits chimiques qui y sont utilisés (médicaments, pesticides, vaccins)

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Invité belette_1509

Voila, je suis toute nouvelle sur le forum, je ne sais trop ou placer mes nombreuses interrogations !!! Je suis tombée sur celui ci par une simple recherche dans google : " guérir du sida" Quel n'a pas été mon etonnement !!

Seulement il y a beaucoup de choses qui me perturbent dans tous ça. Je sais, il y a une synthese et je vous assure que j'en ai lu les 3/4 (les points qui m'ont interpellés) mais mes questions sont simples et j'aimerais avoir des reponses toutes aussi simples...

Je post dans l'espoir d'en avoir plus tout en sachant que vu le niveau scientifique que vous semblez tous avoir, je risque de ne pas obtenir ce que je souhaiterai...

J'ai 21 ans et voila mes questions :

- Que croire quand un test VIH est déclaré positif apres des rapports non proteges avec un inconnu ( je precise que je n'ai pas fais le test, je m'informe juste)

- Faut - il ou non commencer un traitement ou laisser la nature faire en attendant de ne plus avoir d'immuno depresseurs ?

- En tant que non droguée, non homosexuelle, française, le risque d'attraper le sida est - il réel ? d'attraper des MST ?

- Est - il indispensable de faire un test apres avoir eu des rapports non proteges ?

J'ai encore des tas de questions qui me trottent dans la tete mais se sont surement la les principales.

Je vous serez extremement reconnaissante si vous trouviez le tps d'y repondre

Merci beaucoup, bonne journee

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Bonsoir

J'ai 21 ans et voila mes questions :

- Que croire quand un test VIH est déclaré positif apres des rapports non proteges avec un inconnu ( je precise que je n'ai pas fais le test, je m'informe juste)

Tout d'abord il faut être certaine que ton précédent test était négatif avant de pouvoir affirmer qu'il est devenu positifs suite à ce rapport non-protégé.

Il y a deux théories :

1 - Tu as été infectée par un virus qui serait responsable du syndrome d'immuno-déficience

2 - Tu as été en contact avec des facteurs de stress oxydants qui peuvent s'acquérir lors d'un rapport sexuel ou d'autres facteurs pouvant également le rendre positifs co-incident à un acte sexuel non-protégé.

Ta question est "que faut-il croire" : personne ne peut répondre à cette question pour toi - c'est une question de conviction - à toi de te faire ta propre opinion. Te répondre engage notre responsabilité hors ceci est uniquement de ta propre responsabilité.

- Faut - il ou non commencer un traitement ou laisser la nature faire en attendant de ne plus avoir d'immuno depresseurs ?

Ceci dépend de la façon dont tu répondra à la question précédente:

1- si tu suis la théorie virale en général les traitements commencent lorsque ton taux de cellules CD4 est bas et ton taux de "charge virale" est haut - parfois juste après le rapport à risque il y a possibilité traitement car il es considéré que lors de la prime-infection le virus se répliquerait très rapidement.

2- si tu suis la théorie du stress oxydatif, tu cesses immédiatement l'exposition aux agents oxydants et prends des antioxydants en surveillant ton taux gluthation, de sélénium, etc.

- En tant que non droguée, non homosexuelle, française, le risque d'attraper le sida est - il réel ? d'attraper des MST ?

1- du point de vue de la théorie virale ces catégories avaient surtout un sens au début de "l'épidémie de sida" - car c'est dans ces groupes que l'on a observé l'apparition le plus de cas de maladies caractéristiques du sida. Aujourd'hui les choses sont envisagées du point de vue de la séropositivité et celle-ci s'infiltre dans toutes les catégories de personnes, même si le fait d'appartenir à une catégorie à risque influence toujours le diagnostique.

2- du point de vue de la théorie du stress oxydant ces catégories n'ont presque plus de sens sauf pour les drogués et les homosexuels consommateurs de poppers et drogue récréationnelles. (fort agent oxydant) et les malnutris (sida africain) qui sont exposés au stress oxydatis par deux voies différentes: - excès d'agents oxydants et manque d'apport d'anti-oxydants.

- Est - il indispensable de faire un test apres avoir eu des rapports non proteges ?

Cela dépend aussi de ton point de vue - dans les deux théories la séropositivtié est conçue comme un "mauvais état de santé potentiel" - mais la question est d'ordre éthique.En cas de doute faire un test est très important du point de vue de la théorie virale pour préserver autrui d'une éventuelle contamination. Dans le doute je pense que c'est le principe de précaution qui s'applique - là aussi à toi de voir.

Voilà j'ai essayé de te répondre le plus impartialement possible - d'autre préciseront mes propos s'il l'estime utile.

Cordialement

Modifié par aixur
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Invité yoananda

Je sais pas si les stats sur le sida africains sont bidonnés, mais j'ai un collègues qui revenait d'afrique et qui m'a dit que la bas (je me souviens plus le pays) il n'y avait plus que des vieux et des jeunes, toute une génération était décimée.

Donc, ca doit pas être si faux que ca ...

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  • 2 weeks later...

Ci-dessous, un passage tiré de cet article-ci et qui me paraît très bien résumer en quelques phrases à peine le pourquoi du comment de la positivité des tests appelés par erreur "VIH" non seulement en Afrique mais de manière générale dans les pays "non développés" (l'article est un peu vieillot puisque datant de 1994 mais les explications données restent toujours parfaitement valables en 2006, et surtout, c'est en français) :

Une étude publiée par Max Essex, chercheur réputé en matière de sida, a fait état d'un taux très élevé de faux positifs chez des patients atteints de lèpre, ainsi que chez les personnes avec lesquelles elles avaient été en contact. Il en concluait que les réactions croisées se manifestaient non seulement avec Mycobacterium lepræ, ( le germe associé à la lèpre ) , mais avec d'autres types de mycobactéries, et que "le test Elisa et le Western Blot n'étaient plus suffisants pour le diagnostic du sida dans les pays d'Afrique centrale, où le sida est une maladie endémique et où les taux de morbidité provoqués par des mycobactéries sont très élevés". ( J. Infectious Diseases. Février 1994 ).

Les conséquences de ces observations sont très claires. La tuberculose, maladie provoquée par le Mycobacterium tuberculosis, peut donc constituer un indicateur de la prévalence du sida, dans tous le pays du monde, et notamment chez les consommateurs de drogue par voie intraveineuse. Dans de nombreuses régions du monde, et plus particulièrement dans celles où l'on assiste au développement d'une épidémie de sida, la tuberculose est une maladie répandue, endémique. La moitié des cas de tuberculose recensés dans le monde se produit dans le Sud-Est asiatique. La tuberculose est particulièrement répandue en Afrique, où l'on estime qu'elle décime plus d'un million d'individus chaque année.

..............

Autre maladie, impliquée dans la fabrication de faux positifs au cours des tests de dépistage du sida: la malaria. Cela permet peut-être d'expliquer pour quelles raisons le sida semble transmis essentiellement par voie hétérosexuelle dans les pays d'Afrique et d'Asie, et non aux Etats Unis et en Europe, où les cas de sida affectent principalement les populations mâles.

Dans la mesure où les moustiques ne pratiquent pas de discrimination sexuelle, les anticorps anti-malaria sont donc communs aux hommes et aux femmes, dans les pays où la malaria sévit à l'état endémique. De la même façon, la tuberculose affecte chaque sexe également.

Il y a peu de temps encore, le sida était encore rare dans les pays d'Asie. En 1994, I'O.M.S. (Organisation mondiale de la santé) répandit une information selon laquelle le virus VIH se répandait de façon alarmante dans cette région.

Selon le "Los Angeles Times" ( 1 juillet 1994 ): " I'épidémie de sida en Asie se répand plus rapidement que partout ailleurs dans le monde" et "elle va probablement éclipser le développement spectaculaire du sida par voie hétérosexuelle en Afrique".

Cependant, lorsqu'on observe attentivement la carte des zones de prévalence de la malaria dans le monde entier présentée par l'OMS, il est intéressant de remarquer qu'elle recouvre presque exactement celle de l'épidémie de sida.

Les pays décrits dans un article du "Time magazine" ( Thailande, Inde, et Vietnam ), ainsi que l'Afrique subsaharienne, se trouvent tous à l'intérieur de la zone de développement de la malaria. De même, on observe une corrélation très étroite entre la zone de prévalence du sida et celle de la tuberculose endémique. En 1991, plus de trois millions de cas de malaria ont été signalés en Asie du Sud-Est et plus de vingt millions en Afrique.

L'O.M.S. de son côté estime que 300 à 500 millions de cas se développent chaque année, dont 90% en provenance d'Afrique tropicale. Près de la moitié des patients atteints de sida en Afrique souffrent de tuberculose ( "Science" 1993, 260: 1266 ).

Des campagnes de vaccination de masse contre l'hépatite B ont été effectuées dans les pays d'Asie, au cours de ces dernières années. En Thaïlande seulement, plus de deux millions de personnes ont reçu le vaccin. Ce qui, associé au taux de prévalence de l'hépatite B en dehors des groupes à risque peut provoquer un potentiel très élevé de faux positifs parmi la population dans son ensemble, dans les pays d'Asie, à la différence des Etats-Unis et de l'Europe, pays dans lesquels la population - en dehors des groupes à risque - est faiblement exposée à l'hépatite B et donc ne sent pas la nécessité de se vacciner.

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(wallypat @ Samedi 25 Novembre 2006 à 03h14)

Autre maladie, impliquée dans la fabrication de faux positifs au cours des tests de dépistage du sida: la malaria.

Malaria (paludisme) et "vih", ça se confirme orthodoxement mais ça se présente comme "co-infection" :

Alliance néfaste d’un parasite et d’un virus :

L’infection par le parasite du paludisme augmenterait le risque de transmission du virus du sida de la mère à l’enfant, selon des travaux présentés à la conférence sur le paludisme qui se tient actuellement à Yaoundé, au Cameroun.

Des chercheurs de l’Institut Pasteur de Yaoundé ont remarqué que le nombre de cas de transmission du VIH par la mère augmentait trois mois après le début de la saison des pluies, période favorable à la reproduction des moustiques qui transmettent le parasite du palu par leur piqûre.

Nouvel Observateur

icon_rolleyes.gif On ne peut plus être malade sans se retrouver "co-infecté au vih" à tout bout de champ ??????

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Rebecca Culshaw toujours aussi élégante:

Cet article

J'ai bien aimé ce passeage:

But logical consistency has never been a problem for AIDS specialists. If observations don’t fit the framework that has been established, simply add more criteria to the framework rather than questioning it. Make the data fit the uber-construct. No matter the cost to logic and scientific method, it is very expensive construct that has already cost more than any other real disease in the US, and continues to get more money than cancer even though it claims far, far, far fewer lives. But not to worry, soon all cancers in HIV antibody positive people will be AIDS-related. At least if the present company continues to have its deceitful and dangerous way.

Ma traduction approximative:

Mais la consistance logique (des statistiques) n'a jamais était un problème pour les spécialistes du SIDA. Si les observations ne concordent pas avec la théorie déjà établie (ou avec le cadre orthodoxe) alors ils (les spécialistes) ajouteront simplement de nouveaux critères à la théorie afin que celle là concorde avec les faits plutôt que de questionner cette même théorie. En plus des atteintentes importantes affligées à logique et aux méthodes scientifiques, la théorie orthodoxe constitue un construit qui coute très cher et qui a déjà couté plus que n'importe quel autre vraie maladie aux USA et continue a recevoir plus d'argent que le cancer même s'il génère un nombre de victimes largement plus petit. Mais, il n'a y pas de soucis, si la firme du SIDA continue a agir avec ses méthodes dangereuses, bientôt tous les cancers observés chez les séropositifs deviendront des maladies de SIDA.

Juste un commentaire:

Si l'on demande a l'orthodoxie pourquoi on dépense plus d'argent dans le SIDA que dans le cancer ou les maladies cardiovasculaires malgrès le nombre important des victimes des deux derniers, ils répondront: C'est parceque le cancer et les maladies cardiovasculaires ne sont pas contagieuses. Le SIDA est contagieux et si on ne limite pas l'étendue de l'épidémie, le nombre des victimes dépassera largement celui des deux autres.

Voilà donc comment l'approche virale des maladies graves est largement plus profitable que n'importe quel autre. Voici quelques raisons claires:

- Virus --> fabrications de tests, de vaccins et de produits anti-viraux --> beaucoup d'argent

- Virus transmissible mortel --> peur de contaminer la planète entière --> investissments collosaux pour la recherche.

C'est le cas du SIDA et je crois aussi que c'est seulement le cas du SIDA.

Et enfin, le volume d'argent astronomique brassé par cette industrie ainsi que les aspects éthiques qui l'entoure (la mort transmissible) fait d'elle une industrie auto-protégée et capable très facilement de rejeter toute voix dissidente et de corriger les contradictions qu'elle génère (comme le dit Rebecca). Et j'irai plus loin, même si le dans 5 ans le nombre de victimes de SIDA approchera le Zéro, le SIDA continuera a recevoir la plus grosse part d'investissments tant que le "VIH" continue a exister.

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  • 2 weeks later...
"la bite des noirs est responsable de la famine en Afrique"

Selon des sources autorisées, l'excellent Pascal Sevran aurait complété malicieusement son propos récent ainsi :

"... et pas que de la famine "

Il faut dire qu'en la matière (de bites), Pascal s'y connaît ... 4-piout.gif

On chuchote dans les couloirs du P.A.F. que Pascal serait pressenti pour animer une nouvelle émission en prime time : " La chance au chancre mou " ... une sorte de reality show où s'exprimeront tous les détenteurs de clamydiae et de crêtes de coq ...

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(Viduité @ Mardi 12 Décembre 2006 à 18h59)
"la bite des noirs est responsable de la famine en Afrique"

Selon des sources autorisées, l'excellent Pascal Sevran aurait complété malicieusement son propos récent ainsi :

"... et pas que de la famine "

Il faut dire qu'en la matière (de bites), Pascal s'y connaît ... 4-piout.gif

Pas si sûr ! Ce Pascal devrait un peu mieux s'informer. Un complexe non avoué ?

" Westerners 'are more promiscuous' "

http://news.bbc.co.u...lth/6101970.stm

(lien déjà cité par Cheminot)

Désolée de casser le mythe ! icon_confused.gif

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Selon le vieil adage " Il vaut mieux en avoir une petite efficace qu'une grosse paresseuse ", il est vrai que les africains peuvent paraître sous dimensionnés ... en nombre de partenaires ... mais ça reste à voir sur le terrain ... et moi je n'ai jamais vu cela ...

A mon avis, Pascal reste plutôt sous le coup d'une expérience douloureuse justement avec un africain bien membré par nature : sans doute une sodomie n'ayant rien de commun avec celle des petits minets qui poussent la chansonnette près de la Bastille ...

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(wallypat @ Samedi 25 Novembre 2006 à 03h14)

Autre maladie, impliquée dans la fabrication de faux positifs au cours des tests de dépistage du sida: la malaria.

Allez, tout se confond et tout s'emmêle sans aucune remise en question:

Selon le Pr Laith Abu-Raddad et son équipe du Fred Hutchinson Cancer Research Center de Seattle, le paludisme multiplierait par dix la charge virale d'une personne infectée par le VIH.

Et un patient séropositif au VIH serait davantage susceptible de développer un paludisme du fait que son système immunitaire est déprimé.

Depuis 1980, l'auteur travaille sur la population de Kisumu, au Kenya.

Selon ses observations, le paludisme aurait ainsi été responsable de 8 500 infections au VIH supplémentaires.

Et 980 000 accès palustres auraient été causés en partie par le fait que des malades étaient séropositifs au VIH.

Pour Abu-Raddad, « la tuberculose et d'autres infections comme l'herpès, ont également contribué à l'extension rapide du VIH/SIDA en Afrique ».

http://fr.news.yahoo...de-souffle.html

Pour contracter le "vih" :

1- D'abord c'est la bite, pour employer les termes crus de certains,

2- Ensuite, c'est la malnutrition (plus il y a famine, plus il y a du "vih")

3- Pour finir, c'est le palu qui est responsable du "vih" et de "sa charge virale", en passant par la tuberculose et l'herpès.

4- What's next ?

Vous croyez qu' "on" se fout de ma gueule ???????

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La nuit, les moustiques n'épargnent rien ni personne : il n'est d'ailleurs pas rare de se faire dévorer la bite (si je peux m'exprimer ainsi) même quand on est seul au lit en Afrique ... ce qui est fort rare, j'en conviens.

Il va sans dire qu'en afrique toujours et lorsqu'on n'est pas seul (au lit), les risques sont plus grands surtout avec une petite faim et que l'amour passe dans le couloir de l'hôtel ...

Ces sucions sont terribles ...

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