Aller au contenu
forum sidasante

Les statistiques africaines bidon sur le sida


ben93
 Share

Recommended Posts

Ma compagne était instit en Seine Saint Denis au pied d'une cité habitée par 95 % d'Africains ou personnes d'origine Africaines.

En février elle a ammené les enfants en classe de neige. Je lui ai demandé, au cours d'une conversation sur le sida) si certains d'entre eux prenaient des médocs anti-vih.

Elle m'a répondu : aucun. (tant mieux pour eux tout de même)

Troublant non. On entends partout que l'Afrique meurt du sida, et dans cet échantillon d'Africains on ne retrouve pas de cas VIH

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Réponses 137
  • Created
  • Dernière réponse

Top Posters In This Topic

je livre cet article de Matthew Black, membre du service de surveillancde du sida au Kenya, que j'ai sauvegardé, car apparemment, Nationaudio.com ne répond pas aujourd'hui :

  Aids data: Most of it is lies, damned lies and statistics[/font]

HIV/Aids has truly impacted on the lives of each one of us in one way or another and the fight must be won.

Up-to-date facts and figures are a prerequisite in any effective communication on most subjects, and HIV/Aids is no exception.

Seven hundred Kenyans dying every day, three in five minutes, prevalence rates, and rates of incidence are common terms to us. Such data is bandied around with such adroitness and vigour that sometimes it is as if we are fighting a series of mathematical algorithms rather than an actual virus.

Whilst there is value in using numbers to describe phenomena, it is essential that when we do so, we understand exactly what these figures represent.

It was former British Prime Minister Benjamin Disraeli who once said:

"There are three types of lies: Lies, damned lies and statistics".

This could not be truer for some of the so-called "facts" hurled at us by reputable experts and international agencies in the build-up to World Aids Day.

In the Sunday Nation of November 30, Arthur Okwemba quoted the Executive Director of an Aids support group from Uganda claiming that there has been a fall in HIV prevalence in Uganda "from more than 30 per cent in 1995 to nearly 5 per cent today".

This translated in real terms, means that of the 23 million inhabitants of Uganda, almost seven million were HIV positive in 1995 and eight years later, the figure stands at slightly more than one million.

This means that there are six million less HIV positive Ugandans today than in 1995. If you factor in the Ugandans who acquired the virus after 1995, this leaves a simply enormous body of people who are no longer HIV positive. What has happened to the Ugandans who do not appear in the latest figures? Did they leave Uganda, die or were they cured of HIV?

If the prevalence figures are inverted, it does not say much for Uganda's widely commended HIV/Aids response if it is unable to prevent the deaths of 800,000 HIV positive people a year.

In Kenya, it has been stated that HIV/Aids had, by 1998, reduced life expectancy by 13 years to only 51. Taking HIV prevalence in Kenya of 12 per cent and applying a simple weighted average, it is easily proved that this assertion is a mathematical impossibility. In fact, for such a drop in life expectancy to be caused by HIV alone, HIV positive Kenyans would have to have a life expectancy of minus 44 years. That is, they would have been dead a whole two generations before they were born! We cannot be so foolish as to use baseless and incongruous statistics in our arguments.

Even the great UN, in its much quoted Aids Epidemic Update released recently, makes statements that, on closer inspection, are questionable.

It is simply not good enough to use tests on pregnant women taken in antenatal clinics as the main source for raw data used to estimate national prevalence in the way the UNAids study has.

People tested in antenatal clinics are, by the very fact they are women who have had unprotected sex, a high-risk group. The argument presented in the Epidemic Update in justifying the assumptions made by the UN in producing their estimates using this method is both weak and flawed.

What is needed is a wide reaching and aggressive campaign to derive comprehensive and accurate figures on the scourge that will allow us to plan our response based on knowledge and not conjecture.

MATTHEW BLACK,

Kenya Aids Watch Institute.

http://www.nationaudio.com/News/DailyNatio...s081220035.html

Je vais en donner la traduction un peu plus tard. Mais en gros, ce membre de l'institut de surveillance du sida dit tout simplement que les instances officielles nous mentent sur les chiffres africains.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 6 months later...

J'ouvre ce topic pour parler spécifiquement des fraudes sur les statistiques africaines du VIH/SIDA. On n'en avait pas d'ouvert sur ce sujet spécifique et du coup, les infos sont éparpillées sur d'autres topics. Or, c'est important parce que sur sidasante, le sujet est assez moyennement développé. Donc, ce sera utile d'avoir un topic de réflexions et d'informations sur le sujet.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pour commencer, il faut déjà savoir comment les cas de sida sont diagnostiqués en Afrique (voyez par exemple et entre autres cet article-ci).

En effet, les méthodes de détection des cas de sida en Afrique sont absolument différentes de ce qui a cours dans les pays occidentaux, et reposent essentiellement sur deux méthodes, qui expliquent à elles seules (mais il y a aussi d'autres facteurs) que les statistiques de sida en Afrique soient complètement bidon !

1) LA DEFINITION DE BANGUI

Il faut en effet savoir qu'en Afrique, les cas de sida ne sont que très rarement détectés à l'aide des tests Elisa et Western Blot, ceux-ci étant entre autres jugés trop chers pour les finances des Etats africains.

Par conséquent, les cas de sida en Afrique sont détectés à l'aide de la Définition de Bangui, datant de 1985.

Les cas de sida sont détectés à partir de symptômes cliniques ..... qui ont la particularité d'être très fréquents en Afrique !

L'orthodoxie du sida considère qu'il y a un sida africain lorsque le malade présente simultanément et au moins deux symptômes majeurs et un symptôme mineur.

Symptômes majeurs

- Une perte de poids de plus de 10%:

- Une fièvre persistante ou récurrente pendant un mois au moins;

- Une diarrhée chronique pendant un mois au moins.

Symptômes mineurs

- Toux durant au moins un mois;

- Herpès cutané;

- Démangeaisons généralisées;

- Candidose;

- Affection des ganglions lymphatiques.

Si un africain a le malheur de présenter en même temps deux de ces symptômes majeurs et un de ces symptômes mineurs simultanément, et bien, il a le sida ! (remarque : si un africain souffre d'un sarcome de Kaposi ou d'une méningite à cryptocoques, l'orthodoxie du sida ne tient pas compte de ces symptômes, et il est immédiatement diagnostiqué comme souffrant du sida, sans même faire de "tests" de détection "virale").

On constate tout de suite l'absence patente de critères scientifiques à ces symptômes, ceux-ci n'étant rien d'autre que les symptômes de nombreuses maladies endémiques en Afrique, résultant tout simplement de la pauvreté et/ou manque d'hygiène et de la manultrition en général : tuberculose, malaria, lèpre, etc...

En d'autres termes, un africain souffre au départ d'un début de tuberculose ou de malaria : selon l'orthodoxie du sida, il souffre effectivement de la tuberculose ou de malaria.

En revanche, si ce même africain est ultérieurement à un stade plus avancé de ces maladies et qu'il a le malheur de réunir certains des symptomes précités, et bien, l'orthodoxie du sida affirme qu'il souffre du sida car soi-disant contaminé par le VIH ! Mais en pratique, il souffre toujours de la tuberculose ou de la malaria mais à un stade plus avancé de la maladie ! Rien à voir avec le VIH !

Certes, si on fait parfois un test Elisa à certains de ces cas de sida africain, ce test peut effectivement parfois réagir positivement. Mais les maladies en question (tuberculose, malaria, etc...) ainsi que la malnutrition en général expliquent à elles seules la survenance d'anticorps élevés (non spécifiques au pseudo VIH, rappelons le) que les tests dits "HIV" détectent.

Bref, par ce biais-là, on a fait croire à ces "sidéens" africains et au monde en général qu'il y a une épidémie de sida en Afrique, au surplus hétérosexuellement transmissible ! En réalité, il n'en est rien. Il y a surtout une épidémie de pauvreté en Afrique, qui permet de perpétuer ces maladies chroniques en Afrique. Et on ne doit pas en douter, les gouvernements africains étant invités à destiner leurs maigres ressources financières, non à lutter contre la pauvreté, la manultrition et le manque d'hygiène, mais bien à acquérir ces si "bénéfiques" drogues antivirales, les cas de "sida" africain, au sens de la définition de Bangui, ne pourront qu'augmenter et donner ainsi l'impression que l'épidémie de sida n'est plus "contrôlée" du tout en Afrique !

Notons que c'est entre autres "grâce" à la définition de Bangui que l'orthodoxie du sida a pu prétendre que le sida africain touche aussi bien les femmes que les hommes, contrairement au sida des pays occidentaux.

2) LA METHODE SENTINELLE

La deuxième méthode utilisée en Afrique pour évaluer les cas de sida consiste à faire passer un test HIV aux femmes enceintes fréquentant les hôpitaux, et puis à extrapoler les résultats ainsi obtenus par des méthodes mathématiques acrobatiques à l'ensemble de la population africaine, hommes et enfants compris !

Or le fait d'être enceinte est en soi une source de "fausse" séropositivité, à tel point d'ailleurs que dans les pays occidentaux, il est généralement déconseillé de faire passer de tels tests aux femmes enceintes. Mais pour l'Afrique, ce serait en revanche une très bonne méthode !

Quand en plus on sait que pour les tests dits de "confirmation", soit les tests Western Blot, il suffit que deux des dix bandes réagissent positivement (alors que pour les pays occidentaux, c'est tantôt trois bandes, tantôt quatre bandes ![sinon, à part ça, les tests de détection "virale" sont très fiables ! lol Il suffit que vous changiez de frontière pour ne plus être considéré comme porteur d'un virus dangereux et sexuellement transmissible]), on aura définitivement compris que les statistiques des cas africains de sida relèvent de la pire forme de mensonge qui soit !

Et c'est - entre autres - "grâce" à ces deux méthodes de détection que les africains se croient "contaminés" par un virus mortel sexuellement transmissible, alors qu'ils ont pour seul tort de souffrir de manultrition, source de nombreuses maladies remplissant les symptômes de la définition de Bangui et expliquant déjà à elles seules que les test HIV (du moins, les rares fois où elles sont faites) puissent se révéler positives !

Voilà. Il s'agissait d'une introduction au sujet.

Modifié par wallypat
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 4 weeks later...
(wallypat @ Samedi 11 Mars 2006 à 01h11)

Certes, si on fait parfois un test Elisa à certains de ces cas de sida africain, ce test peut effectivement parfois réagir positivement. Mais les maladies en question (tuberculose, malaria, etc...) ainsi que la malnutrition en général expliquent à elles seules la survenance d'anticorps élevés (non spécifiques au pseudo VIH, rappelons le) que les tests dits "HIV" détectent.

Pour compléter ce point, je reproduis ci-dessous un passage tiré de cet article (A rebuttal to the NIAID/NIH document "The Evidence That HIV Causes AIDS"):

In addition, HIV antibody tests are rarely used in Africa and other poor nations where the majority of people with AIDS supposedly reside, so there is no way of knowing how many test positive on the HIV antibody tests. In these parts of the world AIDS case definitions like the Abidjan/WHO, Bangui/WHO (clinical), Caracas/PAHO and revised Caracas/PAHO leave the door wide open for AIDS surveillance "without laboratory evidence regarding HIV infection". Surveys indicate that more than half of Africans who qualify for an AIDS diagnosis test HIV-negative:

227 patients with "AIDS": 59% test HIV-negative (Hishida, 1992)

122 patients with "AIDS": 69% test HIV-negative (Brindle, 1993)

913 patients with "AIDS": 71% test HIV-negative (Songok, 1994)

Il en ressort donc que largement plus de la moitié des cas de sida africain sont HIV négatifs !

Maintenant les lecteurs attentifs diront que même si plus de la moitié des sidéens africains ne sont en réalité pas séropositifs, il n'empêche qu'une assez forte (selon les études) de ces sidéens africains sont quand même séropositifs et seraient donc porteurs du (rétro)virus HIV !?

Pour ces lecteurs-là, je leur rappelle qu'il a déjà été démontré à plusieurs reprises sur ce forum que la séropositivité aux tests HIV n'est jamais un signe d'infection par le VIH (lisez par exemple ce post-ci).

On rappellera que plus de 70 facteurs reconnus peuvent donner un test HIV positif. Nul besoin à cet égard d'un rétrovirus HIV, au surplus jamais isolé au sens scientifique du terme (et non dans son sens perverti et galvaudé tel qu'il est utilisé depuis plus de 20 ans quant il s'agit du HIV).

Le lecteur constatera à l'examen de ces 70 facteurs (qu'il retrouvera en cliquant ici [Facteurs reconnus pouvant donner des résultats de tests VIH faussement positifs]), que plusieurs de ces 70 facteurs sont extrêmement courants en Afrique :

- lèpre;

- tuberculose;

- malaria (paludisme);

- infections des voies respiratoires supérieures (rhume ou grippe);

- infection virale récente ou vaccination contre maladie virale;

- grossesse chez des femmes multipares (c'est-à-dire ayant déjà été enceinte auparavant);

- vaccination antihépatite B;

- vaccination antitétanique.

Bref, à la lecture de ce qui précède, le lecteur aura compris pour quelles raisons une minorité de sidéens africains peuvent réagir positivement à un test dit "HIV" ..... et qu'il n'est jamais nécessaire de faire pour autant intervenir un quelconque rétrovirus HIV pour l'expliquer !

Quant aux cas de sida proprement dit en Afrique, ceux-ci s'expliquent accessoirement par les drogues antivirales qu'on leur administre "pour leur bien" mais principalement par la manultrition qui s'aggrave d'années en Afrique.

Je me permets à cet égard de renvoyer entre autres à ce post de Vitosi et aux différents liens qu'il a mentionnés à cette occasion.

Ainsi, ce lien-ci précise entre autres ce qui suit :

La dénutrition réduit le nombre des lymphocytes B et T
Les carences en certains métaux (fer, zinc, sélénium) ont également un retentissement néfaste connu sur l'immunité, de même que les carences en vitamines A (lymphocytes T), vitamine C (immunité non spécifique), folates (lymphocytes T, polynucléaires neutrophiles), vitamines B6 et E (hypersensibilité retardée).

Cet autre lien repris dans le post de Vitosi précise également ce qui suit :

Dans les dénutritions, il y a une diminution des fonctions immunitaires. Les infections, notamment opportunistes, y sont plus fréquentes et plus graves (Figure 1) : pneumococystis carinii, mycobactéries atypiques, mycoses, infections virales (CMV, Herpès...). Le risque de mortalité s'accroît.

Tiens, tiens, ce sont justement les maladies caractéristiques du sida ! Ne venez pas me parler de coïncidence !

Les populations lymphocytaires : en cas de dénutrition protéique, la taille des populations de lymphocytes se réduit, surtout celle des CD4.

Bon, le lecteur aura maintenant clairement compris qu'il n'y a pas d'épidémie de sida en Afrique mais bien une épidémie de manultrition et de maladies endémiques (malaria, lèpre, tuberculose, etc...), qualifiée à tort de sida par l'orthodoxie du sida ! Et ceci est d'ailleurs valable non seulement pour l'Afrique mais également pour tous les pays où il y a des problèmes de malnutrition en général.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Hier, j'ai jeté un oeil sur le cable et sur C+ ... une blondinette aux cheveux courts y animait une émission (dans le cadre du "110") consacrée, cette fois, aux épouses contaminées par des époux volages ... j'ai relevé deux choses :

1. que dit le droit en la matière ? ... doctement, une journaliste a répondu par la décision relative à l'affaire de Colmar ... 6 ans de cabane ... un peu court comme démonstration car, si notre journaliste avait pris la peine de mieux s'informer, elle ne se serait pas risquée à confondre le "droit" (la norme) avec une décision qui n'a pas encore "autorité de la chose jugée" ... même si, et c'est scandaleux, elle produit ses effets carcéraux ... en flouant le principe de la présomption d'innocence ... C'est la décision de la Cour de cassation qui fera jurisprudence et non la décision telle qu'elle fut rendue en première instance et même en appel.

2. ... et pour compléter ce que dit Wallypat, dans ce même "débat" la blondinette, au détour d 'une phrase et d'un revers convenu de main, a dit " ... et en Afrique, c'est l'horreur ..." ... plus tout cela est dit avec aplomb et concision et mieux tout cela passe ... chez le grand public ...

C'est tellement pratique l'afrique (ou l'asie), on peut tout en dire (personne ne connait ou presque ... où se fondent les certitudes de la blondinette ?), on peut y essayer des "protocoles", vacciner de force, répondre à des questions que les blacks ne se posent pas ... pleurnicher sur le destin des africains du sud qui, eux, n'en demandent pas tant, diaboliser leur gouvernement qui fait la mauvaise tête sur la question du VIH mais qui fut, néanmoins reconduit démocratiquement ... (personne ne se demande pourquoi ?) ...

Pauvre monde ...

Modifié par Viduité
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité Vitchilo

Juste une question, les personnes dans les années 60, comment ils mourraient s'ils ne prennaient pas de médicaments?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

ben du sida mais on savait pas que c'était le sida on disait que c'était le sarcome de kaposi ou autres cancers toute façon en 60 on en avait rien a foutre des sauvages du moment qu'ils se laissaient déposseder par nos bons colonisateurs qui sont toujours tres actifs dans ces pays!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Juste une question, les personnes dans les années 60, comment ils mourraient s'ils ne prennaient pas de médicaments?

D'abord, ce n'était pendant les années 60 masi pendant les années 80 ... pour autant qu'on en sache ...

Ensuite, les médocs (et l'AZT en particulier) ont été immédiatement administrés (en doses massives) ... donc ...

Pour ce qui cocnerne l'Afrique que l'on avance toujours lorsqu'on est à bout d'argument sur l'Occident, il est intéressant d'observer les données statistiques en terme de croissance des populations ainsi qu'en terme de mortalité ...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité Vitchilo

Oui mais avant l'AZT... vu que le sida est apparu en 1959, dixit wikipedia, ils traitaient bien avec quelque chose? Ou bien s'ils ne traitaient avec rien, pourquoi les gens mourraient?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

A mon avis et depuis le début du genre humain, des individus meurent de causes diverses et variées. On peut le regretter mais c'est ainsi et, sans trop s'avancer, il est très probable que cela reste ainsi jusqu'à la disparition du dernier membre de ce genre humain.

Ceci étant et à ce niveau de généralités, je ne vois pas très bien comment on pourrait supputer une cause de décès liée au SIDA sur la période 1959/1983 puisque les "co-découvreurs" n'avaient pas encore mis au point leur arsenal et leur quincaillerie ... donc il serait bien hâtif de conclure à des décès de ce type même s'il est possible de dénombrer un grand nombre de décès dus aux maladies requalifiées par les précités d'opportunistes par la suite. D'ailleurs pourquoi en rester au seuil de 1959 ? ... au siècle précédent (et aux autres), il devait en être ainsi aussi.

Plus intéressant, me semble-t-il, serait de se pencher sur les décès "post prise d'AZT" (84/85) et "post prise de tri thérapies" (1996) ...

Je ne suis pas bloqué sur la question mais des faits m'intriguent ...

Prenons l'exemple du regretté Le Luron qui est mort du AIDS si je me souviens bien en 87 ... En admettant qu'il ait été dans la première charrette des "peu chanceux", qu'a-t-il donc ingurgité entre 84 et 87 pour qu'il disparaisse ainsi si vite ? Sachant que d'autres (moi par exemple) ont été déclarés positifs il y a déjà longtemps et que sans "soin", sans "comportement monomaniaque", sans "soumission à la ligne directrice", sans "changer de rythme de vie", je me porte avec insolence comme un charme ... pas le moindre rhume, pas la moindre malaria, ...

Ca ne t'interpelle pas ça ?

Certes, tu vas me rétorquer comme le fit un charmant thérapeute il y a de longues années (il est décédé depuis hélas ... le coeur) : " Tu ne perds rien pour attendre ... "

Je dis " hélas " pour le défunt thérapeute au coeur fragile (mais à la superbe, à l'époque, magnifique) car mon intention était de l'inclure dans quelques actions contentieuses de nature à empêcher de dormir même le plus bardé de certitudes académiques ... A titre conservatoire, mon défunt thérapeute avait même déjà pris la précaution de s'entourer déjà d'un conseil ...

" Sage précaution" lui avais-je dit alors ... en plus, ça donnait du travail à un de mes "frères" ...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité Vitchilo

Si tu as pris mon post pour une attaque, désolé, ce n'était pas mon intention. Je voulais juste clarifier quelques points. Je commence à parler de cette théorie des dissidents à ceux que je connais et je me heurte à beaucoup d'hostilité... ils me traitent de fou et disent que je lis trop de la bullshit sur internet... j'en ai même parlé aujourd'hui dans un de mes cours et puis le professeur et les élèves me regardaient vraiment très très croche... mais malgré tout, je continue.

Vous avez quelques chiffres sur les profits que l'industrie pharmaceutique fait avec les traitements anti-SIDA?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Mais oui ... prenons le simple exemple des laboratoires ROCHE :

Sur un an, les actions des laboratoires ROCHE enregistrent une hausse de 55,4 %.

Le laboratoire pharmaceutique a réalisé l'année dernière un chiffre d'affaires de 35,511 milliards CHF, en hausse de 19 % en monnaies locales (+12 % en francs suisses).

Le bénéfice d'exploitation ressort en hausse de 33 % hors exceptionnels, à 9,025 milliards CHF, pour un bénéfice consolidé en baisse de 5 % à 6,730 milliards CHF mais supérieur aux attentes des analystes (il convient de s'en réjouir).

La direction du groupe se fixe pour objectif 2006 une croissance du chiffre d'affaires supérieure à celle du marché, à deux chiffres pour le groupe et la division Pharma. L'année dernière, celle-ci a vu ses ventes progresser de 25 %, quatre fois plus vite que le marché mondial, pour 27,268 milliards CHF, le meilleur CA de son histoire (bravo !). Avec un chiffre d'affaires en hausse de 4 %, la division Diagnostic a conservé son titre de leader mondial de son secteur.

En hausse de 34 % en 2005, à 7,68 CHF, le bénéfice par titre devrait connaître cette année une progression comparable à celle attendue pour les ventes.

Les actionnaires de Roche devront se prononcer le 27 février, date de la prochaine Assemblée générale annuelle, sur le projet de distribution d'un dividende de 2,50CHF, en hausse de 25 %. Pas mal non ? Je conseille d'acheter ...

Modifié par Viduité
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Si tu es français et patriote, je te conseille aussi Sanofi-Adventis qui enregistre aussi de très beaux résultats avec sa modeste capitalisation boursière de 104 203.56 M€ et dont les actionnaires majoritaires sont les groupes "TOTAL" et "L'OREAL" ... des valeurs sûres aussi.

Tu conseilleras néanmoins à tes petits camarades et à tes professeurs de rester vigilants sur ce segment car de mauvaises jurisprudences ou des édifications de normes non maîtrisées peuvent obscurcir les perspectives de résultats ... mais dans la mesure où les actionnaires majoritaires tiennent aussi dans leurs holdings les clefs de la réussite par le biais de grands groupes médiatiques (qui font l'opinion) et le personnel politique qu'ils arrosent ... les risques restent tout de même très mesurés.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité Vitchilo

Mais désolé, même si j'en avais la chance, je n'achèterais pas d'action de compagnies qui exploitent les gens et polluent la planète... comme Roche, les compagnies de pétrole, ect... Je sais que le pétrole et l'or monteront lorsque les US attaqueront l'iran et que cet été, le pétrole va monter à cause des ouragans et que les pharmaceutiques vont se faire un paquet sur la folie de la grippe avaire mais je ne suis pas capable de profiter du malheur des gens pour m'enrichir. Je trouve que c'est un devoir moral. Aussi je ne suis pas français mais j'aime bien le peuple français. Je suis patriote des pays libres et égaux.

Voilà...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pourtant quand même ... il n'y a pas de honte à investir afin que tous les petits nègres puissent avoir "accès aux soins" ... bien au contraire ... !

C'est important tu sais : regarde ils le disent tout le temps à la télé ces temps-ci ... avec les dividendes réalisés sur tes placements, tu pourrais ainsi appeller le "110" et donner pour stabiliser la situation de "jeunes chercheurs" et permettre aux associations aussi nombreuses que variées à employer des gens susceptibles de bien remplir les dossiers de demande de subventions. Que crois-tu qu'il se passerait si les dossiers de demande de subvention n'étaient pas bien remplis ? ... eh bien, il n'y aurait même plus de subvention pour acheter le photocopieur qui permet de reproduire en 5 exemplaires le formulaire sans compter que ces gens seraient alors chôimeurs ! ...

De plus, crois-tu que les aînés des jeunes chercheurs pourraient aller débattre de la noble cause aux quatre coins de la planète : qui payerait alors leurs billets d'avion en first, les locations de palais fastueux accueillant les discussions, les suites cossues dans les hôtels exotiques et les imprimeries qui reproduisent les conclusions sur papier glacé destinées à être archivées avant destruction.

Sois raisonnable mon garçon, il te faut aider tout cela en appellant le 110. D'ailleurs Madame Line l'a dit.

Tu as la chance d'être dans une société pleine d'altruistes : il faut pas rater cette occasion pour t'y associer.

Modifié par Viduité
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité Vitchilo

Autre question... Ça marche pas vraiment votre thèse anti-sida... (avocat du diable on)

Le fait est que beaucoup de sidatiques apprennent leur maladie en se posant des questions après avoir fait plusieurs pneumonies toujours plus graves les unes que les autres ou autres trucs et ce a répétition....

Pour avoir une grippe qui dure un mois de temps en afrique, il faut que ton systeme imunitaire soit gravement atteint... Meme chose pour pas mal toutes les maladies qui sont présentées comme symptômes...

Merci

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Only 75 emoji are allowed.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.

Chargement
 Share


×
×
  • Créer...