Viduité Posté(e) le 22 juin 2005 Posté(e) le 22 juin 2005 Pourquoi, Que veux-tu dire précisément ... je dois être fatigué, je ne comprends pas tout. Amitiés.
Invité pourquoi Posté(e) le 22 juin 2005 Posté(e) le 22 juin 2005 Pour essayer d'être concis et précis en même temps: L'épidémie pose aux médecins et aux autorités administratives deux gros problèmes: 1. On n'a pas de traitement curatif vraiment décisif. 2. L'épidémie continue à se répandre malgré les efforts. Conclusion, la pression faite sur les S+ devient de plus en plus forte, on sait que certains risquent de mourir plus à cause des effets secondaires des traitements que de la maladie elle-même. Ca pose un problème monstre d'éthique médicale et de santé publique. Des interêts antagonistes s'opposent. Suis-je clair? Toutes mes plus amicales pensées.
Nowar Posté(e) le 22 juin 2005 Posté(e) le 22 juin 2005 En deux semaines, on vient de faire 20 pages. A cette allure, ce topuc sera encyclopédique, ce qui est un minimum à l'approche du tour de France. Merci tout d'abord à pourquoi pour avoir osé se jeter à l'eau. La logique du médecin référent ou du généraliste conseil, permet à la fois de gérer la pression sur les patients, mais également sur les patients qui tendent de plus en plus à chercher des solutions alternatives non médicales. L'inquisition médicale se précise, et pour les afficionados, concomittement à Benoit. D'autant plus qu'il nous faut rapprocher cela des dernières évolutions judiciaires ou il est criminel "de répandre un virus" de façon consciente Rosalie, je comprends que tu te fasse du souci car l'avenir médical est en train de déraper vers un bonheur insoutenable. Viduité, j'aurai bientôt terminé de creuser ma cave, et je lancerai les essais de distillations.
Cheminot Posté(e) le 22 juin 2005 Posté(e) le 22 juin 2005 D'ailleurs je ne saurais trop vous conseiller le bouquin d'Ira Levin
sicnarfa Posté(e) le 22 juin 2005 Posté(e) le 22 juin 2005 Rosalie, je comprends que tu te fasse du souci car l'avenir médical est en train de déraper vers un bonheur insoutenable Quand on pense par exemple que sur 800 000 plantes connues , 34 seulement sont autorisées. A ce train là , il faudra bientôt une ordonance pour se faire une bonne soupe aux poireaux . Mais tout cela n'est pas grave , du moment que l'on sait on l'on va partir en vacance , que l'on peut sillonner les rues de Paris en 4x4 ....et qu'il y a du foot à la télé . Amicalement,
Invité kdt Posté(e) le 23 juin 2005 Posté(e) le 23 juin 2005 A remarquer que les "analystes critiques" du sida sont d'abord 4 chimistes, dont deux prix nobel. Tu peux donner des noms ? Et quelques sources, STP ?
Cheminot Posté(e) le 23 juin 2005 Posté(e) le 23 juin 2005 Tout d'abord Kary Mullis, Prix Nobel de Chimie pour la découverte de la polymérase qui permet les PCR, les charges virales, et autres... Walter Gilbert, ensuite, Prix Nobel de chimie pour sa contribution à la détermination des suites de bases des acides nucléiques Peter Duesberg, chimiste et virologue, Membre de l'académie des sciences américaines David Rasnick, concepteur d'inhibiteurs de protéases... mais aussi Rodney Richards, qui était un des concepteurs des tests "vih" chez Abbott. voir aussi ce lien
Invité kdt Posté(e) le 27 juin 2005 Posté(e) le 27 juin 2005 (modifié) Merci Cheminot. Lire aussi : http://perso.wanadoo.fr/sidasante/critique/mullis.htm Mais alors, si le VIH ne serait pas la cause du sida, par quoi ont été contaminés les fameux tranfusés ? Modifié le 27 juin 2005 par kdt
Cheminot Posté(e) le 27 juin 2005 Posté(e) le 27 juin 2005 deux choses pour te répondre. si la séropositivité est une maladie alloimmune transmissible, il faut se poser la question de la cause de cette maladie alloimmune. le sang non chauffé transmet cette alloimmunité, alors que le sang chauffé ne la transmet plus. Donc , il est possible que ce soit simplement l'excès de facteur VIII (oxydant car coagulant) qui ait fait apparaître cette séropositivité, puis parfois le sida. Et là-dessus, le traitement systématique par l'AZT (oxydant) a été, selon tous les repenseurs, la cause essentielle de la mort des transfusés (attribuée de manière erronée selon nous au "sang contaminé")
aixur Posté(e) le 27 juin 2005 Posté(e) le 27 juin 2005 Mais alors, si le VIH n'est pas la cause du sida, par quoi ont été contaminés les fameux tranfusés ? Par l'AZT.
Invité FinallyFree Posté(e) le 28 juin 2005 Posté(e) le 28 juin 2005 Mouais... L'AZT comme une autre partie des ARV est avant tout un analogue nucléosidique, donc il ne faut pas se focaliser sur ses propriétés oxydo-réductrices, mais bien sur sont rôle dans la réplication du virus. Vous ne pensez pas ?
Bamboue Posté(e) le 28 juin 2005 Posté(e) le 28 juin 2005 L 'AZT est avant tout un poison et le médecin qui prescris ce poison est un co-labo assassin
Invité FinallyFree Posté(e) le 28 juin 2005 Posté(e) le 28 juin 2005 Bonjour Bamboue, Peux tu m'expliquer le mode d'action de l'AZT s'il te plait ?
Invité pourquoi Posté(e) le 28 juin 2005 Posté(e) le 28 juin 2005 Salut, je constate que les avis divergeants continuent à s'opposer, mais il y a quand même une hypothèse qui mérite d'être soulignée. Il se peut très bien que l'affection ait été produite au départ par ce fameux virus, et que nos corps soient aujourd'hui de plus en plus capables de s'autoguérir par des mécanismes immunitaires nouveaux. (De nombreuses théories sont apparues ces dernières années qui donnent à penser que l'être humain est plein de potentialités insoupçonnées) Car franchement je ne crois pas qu'on doive retourner complètement notre position et prétendre que le vih ne serait pas l'agent infectieux, ou que la séropositivité soit un leurre. Il y a trop d'arguments médicaux et biologiques en faveur de cette explication. Il est évident que de plus en plus de personnes sont capables de se guérir sans traitement, d'autant que les traitements proposés par les labos pharmaceutiques sont très agressifs et dangereux, mais je ne vois pas l'utilité de prétendre que le vih n'auarait pas été au départ de l'épidémie. L'étude épidémiologique des cas et des résultats obtenus par ceux qui cessent les traitements parce que leur intuition leur conseille de le faire, montre seulement que les médecins sont dépassés par les évènements, mais pas que le virus n'est pas la cause de l'affection. Il n'y a pas besoin d'aller si loin, pour comprendre ce qui se passe. Dans toute l'histoire de la médecine il y a eu des cas qui ont guéri contre l'attente des médecins. Là c'est vrai que le phénomène va loin au delà des connaissances antérieures, mais je ne vois pas l'utlité de rejetter toute la médecine pour autant, ni même l'étiologie virale de cette affection, pour moi elle reste acquise.
Cheminot Posté(e) le 28 juin 2005 Posté(e) le 28 juin 2005 (modifié) Pour prouver que l'AZT agit comme terminateur de la chaîne d'ADN "proviral", il faudrait pouvoir retrouver chez des patients traités cet analogue nucleoside en bout de chaîne nucléosidique spécifique du "vih". Or il n'existe aucune publication qui étudie ce séquençage. La seule "preuve" que l'on donne de l'action de l'AZT, c'est qu'il bloque la rétrotranscription d'un primer polyA en ADN (et encore ce polyA n'est qu'un primer synthétique qui ne provient pas du génome"viral"). Par ailleurs on argue également de l'action de l'AZT par le fait que le "virus" devient résistant et "mute". S'il mute par lui-même, il est vraiment extrêmement intelligent pour un genome de 9 kilobases!! Non, la manière la plus simple et la plus réaliste d'expliquer l'action de l'AZT dans ce blocage est de faire de la chimie pure et simple! L'AZT oxyde les bases puriques (par exemple la guanosine est oxydée en 8-oxyguanosine) ou pyrimidiques de l'ADN "proviral" qui va donc se répliquer en mutant, et l'ARNm qui en découle va créer une protéine (RT par exemple) mutée incapable d'accomplir sa mission de RT car elle a perdu sa structure primaire, donc aussi ses structures secondaires et tertiaires. Mais l'AZT détruit aussi d'autres ADN (mitochondrial des cellules humaines, mais aussi des cellules parasitaires) et donc agit-là en tant qu'antibiotique. Las autres analogues de nucléotides n'ont pas du tout les mêmes propriétés, et donc leur toxicité (qui est évidente malgré tout) est d'un autre ordre. Modifié le 28 juin 2005 par Cheminot
Invité crepator4 Posté(e) le 28 juin 2005 Posté(e) le 28 juin 2005 (modifié) $=$$$$$$$$$$$$$... (le mode d'action de l'azt bien zur) Edit: J'avais lu quelque part que les mitochondries utilisaient la vitamine C comme "combustible" (ou "combustible" de dernier recours ,me souvient plus) est ce qu'il est temeraire de penser qu'un oxydant de competitions(je nommerais pas ) va bouffer les reserves en vitamines C(voire autres bien sur) du corps ,"affamant" celles ci qui du coup vont mal travailler... Et heu ya t'il un statut des vitamines effectuées sur les "malades" ??? Modifié le 28 juin 2005 par crepator4
Cheminot Posté(e) le 28 juin 2005 Posté(e) le 28 juin 2005 (modifié) bien entendu, Crepator, et la réaction d'oxydation de l'AZT sur les réducteurs cellulaires a été bien démontrée in vitro et in vivo. Modifié le 28 juin 2005 par Cheminot
sicnarfa Posté(e) le 28 juin 2005 Posté(e) le 28 juin 2005 Cheminot , Tu fais souvent référence au fait qu'il y a plusieurs milliers de scientifiques qui nient la thése officielle VIH=SIDA . Tu as d'ailleurs précédemment cité les noms de quelques prix Nobel faisant partie du nombre. Mais existe t'il une liste officielle de ces personnalité , ou un document cosigné par l'ensemble de ces scientifiques , à laquelle on puisse faire référence ? Amicalement ,
Cheminot Posté(e) le 28 juin 2005 Posté(e) le 28 juin 2005 liste, oui,..., officielle, pas vraiment, mais elle se trouve à l'endroit indiqué par Maximus : http://www.aras.ab.ca/rethinkers.htm la pétition à signer est ici : http://www.virusmyth.net/aids/news/mbeki.htm (9361 signatures....)
Invité kdt Posté(e) le 28 juin 2005 Posté(e) le 28 juin 2005 La récompense de plusieurs millions de dollars à celui qui apporte une photo du VIH existe-t-elle toujours ? Y-a-t-il un lien là-dessus ?
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