aixur Posté(e) le 4 juin 2003 Partager Posté(e) le 4 juin 2003 Je vais également répondre pour la syphilis: le treponeme pale, qui est la bacterie responsable de la syphilis, est détruit facilement par la penicilline. Aujourd'hui, l'utilisation de la penicilline est si courante, que la syphilis ne pourrait pas se répandre. A la moindre fièvre, les gens exigent des antibiotiques, meme pour des rhumes, et il est difficile de resister à la pression. Je trouve donc normal que la syphilis ne se répande pas, étant donné la couverture antibiotique de la population. Surtout que les gens ayant le niveau de vie le plus bas, et donc les plus exposés, car les moins informés, sont les plus gros consommateurs de soins médicaux et de médicaments, en tout cas c'est ce que je constate. Paracelse Oui, mais les personnes diagnostiquées syphilitiques doivent très probablement être des personnes ayant une sexualité avec de nombreux partenaires. Or, parmi les cas parisiens diagnostiqués, un bon nombre (une large majorité) l'étaient en phase 2 de la syphilis (éruption cutanée) ; phase qui survient 2 mois après l'infection. Un temps suffisant pour infecter des centaines d'autres personnes qui iront en infecter des milliers d'autres. D'ailleurs, l'éruption cutanée peut survenir jusqu'à 12 mois après l'infection. Suffisament pour infecter un nombre encore plus énorme de personnes avant d'être détecté syphilitique. Donc, le coup des antibiotiques qui sont sensés détruire la bactérie avant qu'elle ne se répande, j'y crois très moyennement. Enfin bon, je ne vous oblige pas à y croire. Mais, pour moi, c'est clair, la syphilis, c'est du même tonneau que les hépatites et le VIH : du bidon. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 5 juin 2003 Partager Posté(e) le 5 juin 2003 Là, je ne suis pas d'accord avec toi, Aixur, car le tréponème est une bactérie, qu'on a pu isoler, faire se développer in vitro, avec laquelle on a pu rendre malade des animaux, et surtout, qu'on retrouve sans problème chez le patient après contamination par un partenaire infecté. Cette bactérie est visible à l'oeil nu grâce au microscope optique. C'est un vrai parasite. La pénicilline a empêché in vitro la prolifération de la bactérie, et l'a donc fait in vivo. D'ailleurs le mécanisme chimique de cette inhibition est bien connu et très simple. Le seul pb est que cette bactérie a développé des protéines (donc créé de toutes pièces des ARN) qui détruisent par hydrolyse les bêtalactamines (pénicillines). Quant à l'existence de divers stades de la maladie, il suffit de se souvenir que l'infestation par un ver tel que la douve du foie, fait également se succéder divers symptomes. C'est cette succession de symptomes, banaux lorsqu'ils sont pris séparément, qui permet le diagnostic de syphilis. Maintenant il faut aussi savoir qu'avant le traitement par la pénicilline, on les soignait avec du mercure, de l'arsenic ou leurs dérivés, de manière totalement anarchique, et on peut se demander si les dernières phases de la maladie n'étaient pas plutôt une maladie iatrogène. Hahnemann a d'ailleurs essayé de désembrouliier cela dans un traité sur la syphilis qu'il a écrit avant sa découverte du principe de similitude (l'homéopathie). On a bien eu conscience, au cours du 19ème et au début du 20ème, qu'il y avait des maladies épidémiques, et on s'est rendu compte qu'elles n'étaient pas accompagnées de bactéries pathogènes. C'est là qu'apparaissent les virus, et c'est de leur caractère purement exogène que l'on peut douter. Que ces virus (transmissibles) apparaissent et se développent dans des conditions de vie particulières, on peut aussi le retrouver, et parfois penser que c'est un certain stress physicochimique qui est à l'origine de leur émergence. Mais il est indéniable que quelque chose se transmet dans les maladies comme la rougeole ou la varicelle. On a pu vérifier in vitro et in vivo l'infectivité de ces virus. Personnellement, je me sépare des vues traditionnelles concernant ces maladies à propos du traitement. Les virus soit-disant découverts plus récemment (les hépatites, l'HIV), l'ont été en utilisant des techniques de "biologie moléculaire", et les ADN ou ARN retrouvés (et les protéines accompagnantes codées par ces ARN), n'ont permis de transmission que in vitro, de cellules de culture (qui sont des cellules cancéreuses ou foetales) à d'autes cellules de culture du même type, et dans des conditions de stress oxydatif important. Les études épidémiologiques dont je parle montrent en fait qu'on a pris des lambeaux d'ARN, apparus à la suite de stress physicochimiques qui font apparaître le même type d'ARN dans les cellules d l'immunité, pour un virus. alors qu'il aurait fallu étudier en détail comment tous ces gens avaient subi un stress oxydatif de leurs cellules. En ce qui concerne le mode de vie et l'aspect un peu philosophique des choses, il me semble que l'implication récente de ces "virus" dans la santé humaine procède du principe d'innocence de Rousseau, suivi d'ailleurs en cela par Marx. En effet, selon ce principe, l'homme ne peut être à l'origine, par son comportement, de toutes ces misères, et donc, il doit y avoir un agent extérieur à combattre. Cet agent extérieur existe certainement dans le cas de syphilis (d'ailleurs l'étude citée montre bien la protection obtenue par le préservatif), mais l'existence du VIH (HIV) est très problématique. Pour moi, les virus, quels qu'ils soient (réels comme celui de la rougeole ou fictifs comme le HIV), n'existent que pour contrer une modification anormale des processus chimiques qui ont lieu dans les cellules. Par exemple, un chaud froid peut provoquer un dysfonctionnement de la balance en monoxyde d'azote de la cellule, ce qui poura être réparé par des protéines nouvelles, fabriquées par des ARN nouveaux, que la cellule va touver en soi (hépatite, hiv) ou dans l'environnement (maladies infectieuses). Le tout est de trouver une thérapeutique qui va canaliser l'action de ces protéines. Les maladies attribuées à des virus selon les méthodes de la biologie moléculaire sont très certainement environnementales et comportementales (alcool, drogues, médicaments toxiques) et l'homme a du mal à critiquer ce qu'il a fabriqué de ses mains. Ainsi, bizarrement, les vétérinaires cherchent dabord une cause infectieuse à une maladie qui apparaît soudainement, et ne recherchent surtout pas l'existence d'un empoisonnement chimique chronique. En ce qui concerne la rougeole, je peux donner ma propre expérience, car mon fils l'a contractée à la suite d'un effort physique intense (vérification par sérologie), et ses frères et soeurs, qui étaient dans sa promiscuité, ne l'ont pas attrapée du tout. Elle a d'ailleus duré 2 jours grâce à une thérapeutique bien adaptée. Dans ce cas, la contagiosité dépend-elle de l'état général actuel de chacun ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nowar Posté(e) le 5 juin 2003 Partager Posté(e) le 5 juin 2003 Salut à tous, Glisser du SIDA aux MST c'est toujours tourner autour du même problème culturel: La culpabilité sexuelle dont W. Reich a magnifiquement démontré les effets, tellement bien qu'il a fini embastillé. Comme je l'ai déja dit, on ne parle jamais de ceux qui n'ont rien chopé parce qu'il ne sont pas rentable. Par contre, toute la communication sur la "santé publique" est basée sur la peur d'attraper une saloperie. C'est quand j'ai peur de me faire mal que je me fous un coup de marteau sur les doigts en bricolant. Moralité, quand je commence à me dire que je risque, j'arrete. C'est là ou je me suis coupé que je me cogne tout le temps. Parce que cette partie de mon être qui a été bléssée, je vais essayer de l'isoler, c'est à dire de la protéger. Et ce faisant, je vais la priver d'énergie et ce sera l'extérieur qui m'en apportera à travers les chocs. Même si cela peut vous paraître archaïque, ma fonction de thérapeute, m'a permis de constater que malgré la "libération sexuelle" que notre société est censée avoir connu lors de mon adolescence (dont j'ai abondamment abusé sans jamais avoir chopé quelque MST que ce soit, et pourtant à l'époque les MST courraient la rue) Le nombre d'êtres qui ont subi des violences sexuelles dont les dommages se traduisent par leur souffrance de vie quelle qu'elle soit me parait beaucoup trop important, voire plus qu'au début du siècle sous l'èere victorienne. Ceux qui se seront penché sur le yoga tantrique savent que l'éveil de la kundalini est dévastateur pour celui qui n'est pas préparé, et que les signes de cet éveail sont multiples et n'épargnent aucune partie du corps. La vision médicale actuelle est toujours la même qu'il y a un siecle quand les puritains refusaient de soigner les mécréant. L'immanence de la maladie méritée par l'anathème. Et ce débat tourne toujours autour de cette vision. Lisez ou relise le livre de Job A+ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
aixur Posté(e) le 11 juin 2003 Partager Posté(e) le 11 juin 2003 Cheminot, Quand je dis que la bactérie de la syphilis c'est bidon comme le VIH ou les hépatites, ça peut effectivement prêter à confusion. Alors, précisons ; je ne dis pas que la bactérie de la syphilis n'existe pas, je ne dis même pas non plus qu'elle n'est pas exogène. Ce que je pense, c'est qu'elle n'est pas la responsable de la maladie de la syphilis. Et je pense que pour toutes les bactéries soi-disant pathogènes, c'est pareil. Dans cette vision des choses, que la pénicilline empêche la prolifération in vitro de la bactérie, du coup, n'a plus grande importance. La seule chose qui en ai alors, est la question "est-ce que la bactérie de la syphilis donne la syphilis ou pas ?". Tu dis qu'on a pu rendre malade des animaux. J'aimerais connaître le compte-rendu des expériences. Parce qu'on dit que le virus de la grippe est contagieux, et on a des centaines de millions de malades chaque année pour s'en assurer. Or, tu sais bien ce qu'il faut penser de la grippe. Pareil pour le VIH. Après tous ces virus dont la contagiosité et la pathogénicité étaient sensées avoir été vérifiées et revérifiées et rerevérifiées, et qui, en fait n'existaient même pas, je suis désolé, mais, moi, je jette un regard extrêmement suspicieux sur les bactéries également, et encore plus quand elles mettent 20 ans à agir et qu'elles disparaissent avec le niveau de vie (l'utilisation d'antibiotique peut être une explication, mais alors, pourquoi la maladie n'est pas éradiquée, comme on l'a fait pour la variole ?). D'ailleurs, les exemples que tu cites vont plutôt dans mon sens. Tu dis : "Maintenant il faut aussi savoir qu'avant le traitement par la pénicilline, on les soignait avec du mercure, de l'arsenic ou leurs dérivés, de manière totalement anarchique, et on peut se demander si les dernières phases de la maladie n'étaient pas plutôt une maladie iatrogène". Forcément, ça ne devait pas aider du tout. Du coup, effectivement, tous les cas en phase 3 avant la pénicilline sont touchés de suspicion. Tu parles de l'expérience de tes enfants : "En ce qui concerne la rougeole, je peux donner ma propre expérience, car mon fils l'a contractée à la suite d'un effort physique intense (vérification par sérologie), et ses frères et soeurs, qui étaient dans sa promiscuité, ne l'ont pas attrapée du tout. Elle a d'ailleurs duré 2 jours grâce à une thérapeutique bien adaptée. Dans ce cas, la contagiosité dépend-elle de l'état général actuel de chacun ?". Je m'étonne que tu crois encore que certains virus soient des agents pathogènes. En tout cas, ton expérience ne va pas du tout dans le sens d'une maladie contagieuse, puisque aucun de ses frères et soeurs n'ont été atteints. Je ne crois pas non plus que, dans notre famille, la rougeole ou la rubéole, etc... aient été synchronisées. PS : je vais ouvrir un nouveau post. Parce que là, on dérive du sujet initial qu'est le SIDA. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nowar Posté(e) le 12 juin 2003 Partager Posté(e) le 12 juin 2003 PS : je vais ouvrir un nouveau post. Parce que là, on dérive du sujet initial qu'est le SIDA. Ce n'est pas parce que les appelations changent que le sujet diffère. Bordeaux ou bourgogne, c'est toujours du vin. Je ne crois pas qu'il y ait de différence fondamentale entre toutes les MST. la différence est dans la définition médicale de la MST. Dans ma jeunesse, choper la chaude pisse était considéré comme un trophée. De nos jours, le trophée est sous assistance médicale. On ne change pas le fond en utilisant d'autres appellations, le fond est toujours récurrent. Le problème de base m'apparaît de plus en plus lié à l'approche de la vie et à son vécu. On sait depuis des millénaires que la force de la vie s'exprime en allant de l'avant sans crainte et dans la joie. Bien sur que l'on va se cogner, se blesser. Mais je n'ai jamais vu les oiseaux faire la queue à la sécu ou à la CAF. Je crois profondément que l'angoisse manipulée par les médias et un grande partie des thérapeutes qui depuis ne parlent plus en scientifiques mais n'expriment que des fatwas est la cause du développement des maladies. Si tu y rajoutes les malaises sociaux, les mal êtres individuels, notre enfer restera pavé de nos bonnes intentions. Donnons toute notre empathie à celui qui souffre, privons de l'énergie de notre colère les vampires de la santé, et réjouissons nous, la vie est belle Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 12 juin 2003 Partager Posté(e) le 12 juin 2003 Bonsoir Aixur, J'ai bien aimé une remarque de Jean Ederman indiquant la manière dont on considère la relation modèles-expérience dans le monde politiquement correct : L'expérience DOIT entrer dans le modèle et non l'inverse ! Actuellement, tout doit pouvoir être expliqué selon le dogme du "germe", et l'expérience que l'on a du SIDA, de l'hépatite, de la grippe, doit y être ramenée de force, au prix même de toutes les incohérences. La thérapeutique qui en découle - car c'est pour cela que l'on veut trouver la cause de la maladie - n'a pour but que l'éradication du germe ou le blocage d'un processus biochimique bien étudié (par exemple l'utilisation d'acides carboxyliques ou d'amides substitués pour faire baisser la fièvre ou faire disparaître le mal de tête : paracétamol, ibuprofène). Pour celui qui applique la thérapeutique découverte par Hahnemann, tout ceci n'a plus aucune importance. Le remède qui guérira sera celui qui aura provoqué expérimentalement pratiquement la même maladie que celle que vit le malade à l'instant de la consultation. Quand je parle de maladie, il ne s'agit pas d'une étiquette illusoire comme tu le dis si bien, mais de l'ensemble de symptômes présents actuellement. Il ne s'agit pas, bien sûr de n'importe quels symptômes, le mal de tête est par exemple tellement banal qu'on ne va pas choisir un médicament homéopathique sur cette seule notion. Ce serait faire de l'allopathie, et autant utiliser alors les substances indiquées plus haut. Il s'agit en fait de déterminer comment le malade vit sa maladie, quelle est sa réaction vis-à-vis du déséquilibre qui le déstabilise. Par exemple, on essayera de caractériser un symptôme douloureux par une ou plusieurs modalités d'aggravation (chaud, froid, mouvement, ...), accompagné d'un signe concomittant bien net (par exemple l'absence de soif pendant la fièvre, qui, s' elle s'accompagne d'anurie et d'opisthotonos, devra faire penser à APIS. Attention, ce type de pathologie se rencontre dans la méningite). En fait, le médecin n'a que faire de la connaissance du germe, par contre, il sera intéressé par l'étiologie véritable, celle qui a déclenché la pathologie en question. Je me souviens d'un asthmatique rencontré il y a 25 ans, pour lequel la recherche du remède s'était avérée très ardue, avec un choix possible de plusieurs remèdes, jusqu'à ce qu'il me dise que 20 ans auparavant, il avait eu une "jaunisse". (ou ictère, ou hépatite...). Le seul remède qui regroupait les signes valorisés de l'asthme et la jaunisse était CHELIDONIUM, la grande chélidoine (qui a donc provoqué des ictères expérimentaux chez certaines personnes). Deux prises en 200 K à 2 mois d'intervalle ont suffit pour faire disparaître l'asthme pendant 25 ans. Il y a peu (soit 45 ans après l'ictère), un eczéma est apparu, qui a disparu avec le même remède. Ce qui veut dire que le déséquilibre physiopathologique complexe apporté par la jaunisse et qui a créé l'asthme, est également responsable de l'apparition de l'eczéma. Maintenant, qu'est-ce qui est à l'origine de la jaunisse ? Peut-être des conditions d'hygiène imparfaites pendant la guerre d'Algérie (cet homme a maintenant 65 ans et se porte comme un charme : il vient de faire le voyage Est de la France - St Jacques de Compostelle en vélo). Dernier exemple expérimental : cela fait 20 au moins que mes nombreux enfants ne sont pas tombés gravement malades. Ils n'ont jamais pris d'antibiotique, ni d'antiinflammatoires (paracétamol ou ibu...). Leurs états fébriles ont toujours été très brefs (3 jours au maximum) et n'ont jamais encore dégénérés en maladies suppuratives localisées). En tous cas le débat fait rage en ce moment aux EU, en Allemagne, sur la réalité des virus : sont-ils vraiment exogènes, ou font-ils partie de notre propre patrimoine génétique, en apparaissant lorsqu'il y besoin de faire du ménage. L'expérience des homéopathes penche beaucoup plus dans cette direction, car, avec leur méthode d'observation extrêment minutieuse, ils ont pu vérifier que les enfants ayant fait un bon exanthème lors de la rougeole, se portent beaucoup mieux par la suite, et ne font pratiquement plus de maladie. Ceux qui sont affaiblis (nutririon, immunité,...) sortent moins bien leur éruption. Il ne s'agit bien entendu pas d'études en double aveugle, car celles-ci excluent obligatoirement tous les paramètres expérimentaux dont on besoin les homéopathes. Incompatibilité totale donc avec les officiels, qui considèrent leurs propres protocoles d'expérimentation comme les seuls valables (C'est comme au temps de Galilée, à la seule différence que l'inquisition vient de la nouvelle Rome "la médecine scientifique"!! Pour les bactéries, il y a de fortes chances que les Dr Kremer et Lanka aient raison : il s'agirait de fossoyeurs de cellules mortes apparues lors d'un stress physicochimique quelconque. J'ai déjà parlé des mycobactéries (bacille de Koch, de la lèpre), que l'on retrouve bien là où les conditions de vie sont déplorables. Le staphylocoque apparaît manifestement là où il a eu destruction physique des tissus, plaies accidentelles ou chirugicales. Par contre, le tréponème me pose un problème : il y a tout de même contage lors de la relation sexuelle, et contrairement à la séropositivité au soit-disant VIH, le taux de transmission est pratiquement de 1:1. Ou alors est-ce plutôt un parasite du genre amibe ??? J'avoue que la connaissance de la physiologie du tréponème me manque. En ce qui concerne les épidémies virales, l'expérience montre tout de même que quelque chose se transmet, sans doute surtout chez les personnes prédisposées à ce moment-là. Est-ce un ADN entouré de protéines, ...??? J'ai pour ma part une théorie, qui peut paraître complètement farfelue, mais qui pourrait donner une explication en impliquant que les virus ne sont que des formations endogènes apparaissant lors de la maladie. Le monoxyde d'azote est la seule molécule régulatrice de la cellule qui soit paramagnétique, de spin 1/2. Plongée dans le champ magnétique terrestre, elle acquiert deux niveaux d'énergie potentielle, séparés par une différence d'énergie très faible. Le passage d'un niveau à l'autre peut être effectué sous l'effet d'une onde électromagnétique de très basse fréquence, par exemple d'une longueur d'onde de plusieurs kilomètres. C'est curieusement semblable au signal électromagnétique que prétend avoir détecté Jacques Benvéniste dans ses dernières recherches. Le NO pourrait donc servir d'émetteur récepteur d'ondes em. S'il y a un phénomène inflammatoire de type rougeole, peut-être l'environnement du NO change-t-il, de manière à ce que l'onde émise change de fréquence, ou d'intensité, et que la personne qui côtoie la malade, si elle est réceptive, va voir son NO cellulaire changer d'état énergétique, et par effet rétroactif, entraîner la maladie chez cette autre personne. C'est vraiment très osé, vous avez le droit de me jeter la pierre ! cordialement Cheminot Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nowar Posté(e) le 13 juin 2003 Partager Posté(e) le 13 juin 2003 L'expérience DOIT entrer dans le modèle et non l'inverse ! C'est vraiment très osé, vous avez le droit de me jeter la pierre ! Salut Cheminot, C'est bien d'oser surtout dans un domaine que le médecine élude avec un enthousiasme rare. Tu soigne tes enfants à l'homéopathie, moi je me charge des miens avec l'ostéopathie. nous avons les mêmes résultats. Pour moi cela pose la question de la relation à l'environnement basée sur l'identité, c'est à dire l'immunité et sur les capacités de résonnance de chaque être avec son milieu. On sait que l'être humain, et tout corps existant, est un émetteur récepteur dont le fonctionnement se caractérise par une activité électromagnétique dont la valeur énergétique n'est pas prouvée. Choisir le NO comme marqueur de cette activité me parait interressant. Cependant, il me semble que le réeau sanguin de l'organisme agit comme un ferrofluide avec des propriétés de concentration énergétique. D'autre part, notre champ magnétique terrestre évolue et certains parlent de modifications caractéristiques d'un prochain changement des poles (sciences et avenir Mai 2003). Il me semble nécessaire de comprendre comment le corps humain va devenir attractif pour des êtres comme le tréponème avant de se dire que l'on va le combattre. Il est encore plus nécessaire de poser cette réflexion sans poser de jugement ni sur les "malades", ni sur la bestiole. A+ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 13 juin 2003 Partager Posté(e) le 13 juin 2003 Lire les threads suivants : http://forums.delphiforums.com/n/mb/messag...cuous&msg=311.2 http://groups.msn.com/AIDSMythExposed/gene...425946318519186 Une autre information qui pose toujours le problème de la transmission hétérosexuelle du SIDA en Afrique : http://allafrica.com/stories/200303190482.html Ainsi que le pb du préservatif. Quand on parle de ces incohérences aux officiels, on ne reçois qu'insultes et attaques personnelles. Manifestement, le message de protection du Sida semble devoir servir à éviter les autres MST (qui, semble-t-il, voir plus haut, sont effectivement contenues par l'utilisation de préservatifs), à éviter les grossesses des jeunes filles (quelle hypocrisie), et peut-être à contrôler encore plus les naissances. Autre article, concernant un virus mieux connu que le HIV, le HPV (papillomavirus humain, responsable (???) du cancer de l'utérus) : http://forums.delphiforums.com/n/mb/messag...cuous&msg=346.1 Enfin, j'ai lu il y a peu (référence à retrouver), que les pores du latex sont 70 fois plus gros que le VIH. cordialement Cheminot Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité JIMMY(le rebel) Posté(e) le 25 août 2003 Partager Posté(e) le 25 août 2003 Salut à tous, Séro+ depuis 10 ans, hiv dissident depuis 4 mois, je suis un temoins vivant concernant ce débat. Si mon récit vous interesse, à bientôt. JIMMY(lerebel) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 26 août 2003 Partager Posté(e) le 26 août 2003 Bonjour Jimmy, Bien entendu que tout ce que tu peux nous dire nous intéresse, car en cherchant auprès des biologistes responsables de labos, on ne trouve que des réponses évasives. Cependant, je suis parvenu à mettre le trouble dans certains esprits, puisque l'un d'entre eux a démissionné. Il faut que chacun d'entre nous vérifie ce qui est proposé par les dissidents fameux comme Duesberg, Papadopoulos ou autres Rasnick, et jusqu'à présent, peu de choses viennent les contredire. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
aixur Posté(e) le 28 août 2003 Partager Posté(e) le 28 août 2003 (modifié) Bon, puisqu'il n'y a pas de forum français spécialisé sur les théories des dissidents, j'ouvre mon propre forum sur le sujet. L'adresse est http://membres.lycos.fr/planitus1/forum/phpBB2/ Pour éviter d'être aussi intolérant que les forum officiels vis à vis des dissidents, c'est ouvert aux non dissidents sur 2 forum réservés : un avec inscription et un autre sans. Modifié le 28 août 2003 par aixur Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 28 août 2003 Partager Posté(e) le 28 août 2003 manifestement les français connaissent très peu de choses des critiques posées sur la théorie VIH -> Sida par Duesberg, Papadopoulos, Fiala, Kremer. En ce qui concerne la médecine, l'information semble plus cloisonnée qu'en Allemagne ou en Angleterre. Bienvenue à ton Forum, Aixur, mais il semble renacler parfois pour ouvrir telle ou telle page. Erreur de jeunesse sans doute. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
aixur Posté(e) le 29 août 2003 Partager Posté(e) le 29 août 2003 C'est un forum mis sur un compte Lycos. Et, hélas, Lycos n'est pas très rapide pour la gestion du PHP, d'ou des lenteurs (surtout entre 20h et 22h, je suppose). Bon, si ça prend de l'ampleur, je migrerais le forum sur un hébergeur payant, mais plus rapide. Sinon, j'ai appris qu'il y avait un forum dissident en anglais : http://groups.msn.com/aidsmythexposed/general.msnw C'est vrai que l'information sur la médecine semble cloisonnée, mais, je pense qu'on n'est qu'au début d'un mouvement de prise de conscience. Et ça, grace à Internet. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
aixur Posté(e) le 30 août 2003 Partager Posté(e) le 30 août 2003 (modifié) Je poste un message que j'ai mis sur doctissimo (j'y interviens sous le pseudo de Alain) sur un point assez intéressant. Le fait qu'un certain nombre de personnes voient leurs indicateurs sanguins (CD4, plaquettes) diminuer après l'arrêt du traitement, puis remonter s'ils reprennent le traitement, ce qui, du point de vue des partisans de la médecine officielle, prouverait que les trithérapies sont efficaces : "Certains dissidents ont une explication, qui me semble convaincante, pour cette histoire des indicateurs sanguins qui baissent avec l'arrêt de la trithérapie et réaugmentent lors d'une reprise de la trithérapie. Selon eux, certains médicaments de la trithérapie agressent la moelle osseuse (là ont sont produit les CD4 et les plaquettes), ainsi que le reste du corps. Du coup, la moelle osseuse réagit à cette agression par une augmentation de la production de T4 et de plaquettes. Mais, sur le long terme, la trithérapie détruit la moelle osseuse. Donc, au bout d'un moment, la production de T4 et de plaquettes diminue petit à petit. Du coup, les médecins disent que la trithérapie ne fait plus effet parce que le virus mute. Lorsqu'on arrête la trithérapie, et donc, l'agression de l'organisme, la moelle osseuse n'a plus de raison de fabriquer des T4 et des plaquettes en quantité supérieures à sa capacité de production normale (qui est diminuée par rapport à un individu non traité) et donc, cette production diminue très fortement. La médecine officielle dit alors que le virus repasse à l'attaque. Si la personne reprend sa trithérapie, l'agression de l'organisme recommence, la moelle osseuse se remet à fabriquer des T4 et des plaquettes en quantité supérieure à la normale. Et du coup, la personne croit que la trithérapie apporte un bien. Mais, si l'individu laissait passer un certain temps sans trithérapie, sa moelle osseuse aurait le temps de se reconstituer et, au bout d'un ou deux ans, la production de T4 et de plaquettes reviendrait très probablement à la normale." Modifié le 30 août 2003 par aixur Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 1 septembre 2003 Partager Posté(e) le 1 septembre 2003 Pourquoi, sur doctissimo.fr, la rubrique "sida" a-t-elle disparu de la liste "santé"? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
aixur Posté(e) le 1 septembre 2003 Partager Posté(e) le 1 septembre 2003 Elle est désormais dans le forum sexualité. Ils ont déplacé d'autres catégories, comme "alimentation", dans laquelle j'interviens de temps à autres. Peut-être aussi est-ce pour les rendre moins visible, dans la mesure ou ce sont des catégories envahies de dissidents de tous poils (antilaits, végétariens, pour la catégorie "alimentation" ; dissidents pour la catégorie "SIDA"). Peut-être que la catégorie "vaccin", qui est aussi envahie de dissidents, et ou je suis intervenu (et padre aussi, une ou deux fois, je crois, pour le BCG), va être changée de place aussi, qui sait ? Mais, peut-être est-ce tout simplement une simple recatégorisation sans aucune idée derrière la tête. Merci de ton post. Je n'avais pas une vision très claire de l'histoire de l'isolation du VIH. C'est plus précis maintenant. En tout cas, c'est lourdingue ces quelques ahuris surrexcités qui pourrissent le topic "le sida un mythe ?". Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
EcliptuX Posté(e) le 1 septembre 2003 Auteur Partager Posté(e) le 1 septembre 2003 Je me suis permis de mettre le témoignage de Jimmy dans un topic séparé afin de le mettre en valeur http://www.onnouscachetout.com/forum/viewt...pic.php?p=39690 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité +++Athanor+++ Posté(e) le 1 septembre 2003 Partager Posté(e) le 1 septembre 2003 Pour ceux et celles qui se sentent proches de ce sujet voir le livre : "L'ultime supercherie" aux éditions Soleil. Robert E. willner Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité JIMMY(le rebel) Posté(e) le 1 septembre 2003 Partager Posté(e) le 1 septembre 2003 Merci, merci les amis ! Je viens de terminer mon recit et je pleure en lisant vos messages...mais je suis heureux, car j'ai pu pour une fois m'exprimer complètement sur ce sujet, sur ce vécu, sans etre bani, rejeté, insulté, mais au contraire bien acceuilli et sans jugement. Amitiés JIMMY(le rebel) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
aixur Posté(e) le 3 septembre 2003 Partager Posté(e) le 3 septembre 2003 Selon la théorie dissidente, il est tout à fait possible d'avoir un test positif, puis négatif. Toutefois, vu qu'en général, les diagnostiqués positifs ne cherchent pas à refaire de test et que les dissidents n'y croient plus et donc, n'en refont pas, je n'ai pas lu beaucoup d'exemples d'essais multiples de tests avec résultats positifs, puis négatifs. En voilà un, trouvé sur le forum Aids myth exposed, de Snagel, dans le topic, "poz then neg" : "Continuez les tests jusqu'à ce que vous obteniez le résultat que vous souhaitez. Ma fille a été testée 5 fois sur une période de 5 ans... 2 fois négative et 3 fois positive... Alors ? Négative ou positive ? Notre médecin est arrivé avec les 3 meilleurs résultats des 5 et a essayé de lui faire continuer à prendre ses merveilleuses drogues. Elle avait commencé à prendre ces drogues géniales à l'age de 2 mois et on nous avait dit qu'elle POURRAIT vivre jusqu'à l'age de 2 ans. A 20 mois, alors qu'elle n'était pas loin de mourir, nous avons décidés d'arrêter ces si géniales drogues... toutes... Et elle ne les a plus jamais reprises depuis. Elle aura 13 ans le mois prochain. Tous les autres enfants séropositifs du Minnesota ont été suivis par un des 3 mêmes docteurs à cette époque et sont tous morts depuis 6 ans ou plus. Alors ? Positif ou négatif ? Steve Nagel" Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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