Cheminot Posté(e) le 13 avril 2004 Partager Posté(e) le 13 avril 2004 Ce qui est incroyable, Mark, c'est que ton labo ne donne pas les densités optiques obtenues, ni la limite utilisée. Demande ces résultats-là. ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mark Posté(e) le 14 avril 2004 Partager Posté(e) le 14 avril 2004 Ce qui est incroyable, Mark, c'est que ton labo ne donne pas les densités optiques obtenues Hello Cheminot Tu sais que je suis vieux jeu et je n'ai pas fait de "test" depuis 1986! Alors explique-nous k'eszé des "densités optiques" et eszé normal pour un patient "normal" d'être informé ? Déjà que j'ai du mal à obtenir ce qu'ils ont caché derrière mes tests "standards"! T'être que un peu + de clarté dans la densité optique nous illuminera un peu + le coeur et les yeux. Désolé pour le Français mais suis lecteur de Moto Journal moi depuis 1980. Mark Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité zen33 Posté(e) le 16 avril 2004 Partager Posté(e) le 16 avril 2004 Le sida n'est pas contagieux ni sexuellement transmissible. Désolé Marcus, encore un guignol qui s'esprime. Bonjour, je viens de découvrir ce forum. Marcus, je pense que tu confonds, malheureusement, information et désinformation. Prends le temps d'écouter ce que des milliers de scientifiques tentent de faire entendre depuis 20 ans avant d'exclure l'autre simplement parce que son message te dérange. Il y a des milliers de « guignols » comme David Rasnick qui sont souvent des scientifiques reconnus (prix nobels par exemple) qui demandent un peu d'écoute. Plus nous tarderons à dénoncer les mensonges, plus nous serons complices de la misère du monde. Crois-tu Marcus que tu es seul sensible à la souffrance du monde? Tu parles de l'Afrique, de nombreux médecins ont soigné des personnes dites atteintes du SIDA en Afrique et soutiennent aujourd'hui les milliers de scientifiques qui comme David Rasnick demandent une réévaluation de l'hypothèse VIH-SIDA. Le problème pour les novices des facteurs de santé, c'est que ceux qui entretiennent la désinformation sont les premiers à inventer toutes sortes de théories fumeuses pour noyer la vérité. Le mémorandum du Dr Strecker sur le sida fait, à mon avis, partie de ces théories fumeuses. Concernant le SIDA il suffit de s'intéresser un peu au sujet pour trouver quantité de faits qui ne peuvent que nous alarmer et nous décider à nous prendre en main pour construire un autre monde. Où il n'y a ni bons ni mauvais virus. Il est tout aussi ridicule de croire que la maladie vient d'un virus que de croire que le ciel va nous tomber sur la tête. Oui, Marcus le SIDA n'est pas une maladie sexuellement transmissible (voir les prostituées en Afrique). Ce n'est même pas une maladie. Oui, de nombreuses personnes meurent en Afrique et ailleurs « du SIDA » mais si tu regardes de plus près tu verras que ces personnes meurent en fait de malnutrition et maladies liées à la misère dans lesquelles nous les laissons vivre. Il est plus facile de dire que c'est le SIDA que de dire « ils meurent du fait de notre pillage et de notre indifférence ». Le SIDA disparaitra avec la misère. Tous les crédits qui sont détournées pour lutter contre le soi-disant virus du SIDA ne pourront pas servir à lutter contre la malnutrition. Et puis à quoi bon les nourrir puisqu'ils sont condamnés par le SIDA. En parcourant rapidement le forum, j'ai vu qu'il y a de nombreux sujets intéresants et notament concernant Bilderberg. Cette « société secréte » n'est pas étrangère à la manipulation médiatique concernant la maladie en général et le SIDA en particulier. La révolution ne passe pas par les armes mais par notre vision du monde. Serge Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 16 avril 2004 Partager Posté(e) le 16 avril 2004 Mark a écrit : Alors explique-nous k'eszé des "densités optiques" et eszé normal pour un patient "normal" d'être informé ? Il y a plusieurs méthodes permettant de vérifier lé présence de telle ou tel anticorps dans le sang. Ces méthodes mettent en oeuvre la réaction de l'anticorps avec un antigène (synthétique !!). Soit il y a apparition d'un précipité très fin, qui modifie le trouble de la solution (on appelle cela la turbidité). On utilise un turbidimètre pour mesurer l'intensité de la précipitation. On peut également utiliser un anticorps monoclonal comportant un marqueur coloré ou fluorescent. Le taux d'anticorps est alors proportionnel à l'intensité de la coloration de la solution, cette grandeur étant mesurée par la "densité optique" (grâce à un spectromètre). Donc on doit pouvoir obtenir le taux réel d'anticorps, et non pas un simple +++, sans aucune référence. On sait en effet que tout ces tests sont des tests à limite, et que le taux d'anticorps doit être donné au patient versus letaux d'anticorps limite au delà duquel on considère que la personne est séropositive. Par contre, il me semble que si on multiplie ce taux d'anticorps par la PPV, il est impossible au labo de parler de cet artifice, sans montrer qu'il y a problème. Il faut donc demander les taux réels d'anticorps, ainsi que la limite utilisée pour séparer séropositifs de séronégatifs. En fait, il faudrait même faire refaire la manip en présence d'un huissier. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité JIMMY(le rebel) Posté(e) le 16 avril 2004 Partager Posté(e) le 16 avril 2004 Bonsoir, Humm ! J'ai l'impression qu'on régresse dans ce débat... Cheminot, peux tu dire clairement si tu crois ou non à l'existence du vih ? Car, comment peut on affirmer que les anticorps dont tu parle, sont spécifique au vih, sachant que ce dernier n'a jamais été isolé et reconnu ? Et l'étalon ? quand est il ? @+ JIMMY (le rebel) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mark Posté(e) le 16 avril 2004 Partager Posté(e) le 16 avril 2004 J'ai l'impression qu'on régresse dans ce débat... Oui Jimmy, ça me frustre aussi que finalement même les dissidents peuvent dépenser une énergie folle à intellectualiser sterilement autour des hypothèses virales. T'en fait pas, je reste irréductible et mon procès contre Pasteur est en route incessament. J'ai découvert hier un femme en Californie qui entame un procès parallel. Voilà nous sommes deux! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 16 avril 2004 Partager Posté(e) le 16 avril 2004 J'ai l'impression qu'on régresse dans ce débat... Cheminot, peux tu dire clairement si tu crois ou non à l'existence du vih ? Car, comment peut on affirmer que les anticorps dont tu parle, sont spécifique au vih, sachant que ce dernier n'a jamais été isolé et reconnu ? Cher Jimmy, si tu lis bien mon dernier post, tu constateras que jamais je n'ai indiqué que ces anticorps étaient spécifiques au vih. Cependant, il est sûr que ces protéines particulières, que Gallo a comparé à des anticorps, existent en quantité importante chez les personnes malades du Sida. Par ailleurs, elles existent aussi, mais à des taux inférieurs, chez les personnes en bonne santé. Cela signifie donc que, loin d'être créées pour s'opposer à un virus, elles font partie d'un processus de défense normal de la cellule, par exemple contre les oxydants, et leur production s'exacerbe lorsque la quantité d'oxydants cellulaire s'accroît (je pense essentiellemnt aux composés qui comportent des azotes oxydés). Ceci semble logique quand on sait que ces tests sont des tests à limite et non des tests noir/blanc. Chose curieuse, et qui vient encore étayer cette thèse, la maladie Sida se développe surtout chez les personnes dont les cellules sont privées de glutathion peroxydase, donc de sélénium. Or cette protéine est justement un des maillons de protection contre le stress oxydatif. Parmi les bouts d'ARN trouvés dans la zone d'ultracentrifugation par gradient de sucrose, on a justement trouvé le code de cette glutathion peroxydase, ce qui pourrait laisser aussi supposer que le stress oxydatif a pu détruire justement l'ARN messager cellulaire qui permet de créer cette enzyme, avec recombinaison aléatoire des brins d'ARN. Donc, pour résumer le pb des tests : oui, ils mesurent un taux de protéine anormalement élevé. non, ces protéines ne sont pas spécifiques du vih, qui, du moins je le pense à la lecture de multiples articles, n'est qu'un mauvais ramassis de lambeaux d'ARN. Et par ailleurs, le caractère vivieux de ces tests, c'est d'utiliser la PPV, qui va automatiquement créer des séropositifs chez les personnes faisant partie des "groupes à risque". C'est ainsi que les noirs d'Afrique, faisant partie d'un groupe à risque, ont un taux de séropositivité bien plus élevé que les "caucasiens", lorsqu'ils font un test en Europe. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mark Posté(e) le 17 avril 2004 Partager Posté(e) le 17 avril 2004 "La fretillement de l'aile d'un papillon fait vibrer une étoile" Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 17 avril 2004 Partager Posté(e) le 17 avril 2004 Tu as bien entendu raison. La médecine moderne va dans le mur. Cela fait maintenant 25 ans que je n'ai plus touché à aucun médicament classique, que ce soit de l'aspirine, du paracétamol,... Mes enfants non plus, du moins ceux dont j'ai encore la responsabilité. La médecine holistique que j'utilise est l'homéopathie, et c'est d'ailleurs après une réflexion approfondie à partir des connaissances que j'ai dans cette méthode que j'ai trouvé que la vision dissidente du $ida était la plus logique. La biologie moléculaire, malgré le défaut d'interprétation qu'elle donne (en particulier la théorie virale), présente tout de même une réalité: elle permet de déterminer le taux des différentes protéines contenus dans le sérum sanguin. Que certaines protéines soient présentes lors de certaines maladies, certainement. Mais quand on en déduit systématiquement la présence d'un virus infectieux, il me semble vraiment que c'est là que le bât blesse. Après tout, tout cela n'est que de la chimie, et l'action de substances chimiques étrangères à la vie peut très certainement suffire à expliquer pas mal de maladies. Il ne faut pas vous sentir aggressés quand je dis que les tests montrent quelque chose d'anormal. Le pb, comme tu le dis, Mark, est qu'on peut très bien vivre avec ces taux élevés de protéines, alors que l'utilisation de substances comme l'AZT, qui va encore augmenter ce taux protéique, car il est oxydant, conduit à la tombe. Je suis quant à moi convaincu par l'explication de Rasnick et Duesberg qui montrent une nette augmentation de la mortalité des personnes séropositives dans la période où l'AZT était prescrit à raison de 1500 mg/jour (c'est la dose recommandée par les biologistes qui ont montré in vitro qu'au dessous de ce taux, l'activité de la rétrotranscriptase n'était pas inhibée). Et une nette diminution de la mortalité après 93, date où les dosages d'AZT ont été fortement diminués (jusqu'à 500 mg/jour), diminution que l'on a attribué (volontairement ou non) à l'utilisation de la trithérapie qui a commencé, je vous le rappelle, 2 ou 3 ans plus tard. A remarquer que la dose d'AZT utilisée actuellement est nettement inférieure à la dose théoriquement efficace !!! Quelle chienlit ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mark Posté(e) le 17 avril 2004 Partager Posté(e) le 17 avril 2004 Merci Cheminot de cette réponse humaine. J'ai une bonne nouvelle : Kim Marie Bannon du Texas USA a entamé un procès contre ses fabricants de tests : http://www.altheal.org/rights/legalrights.htm Au téléphone j'ai eu une âme soeur qui a un chemin tellement parallel que le mien dans la découverte d'une santé holistique et responsable. Elle fait actuellement une formaton en Naturopathie et m'informe que le même fascisme médical s'opére envers les practiciens de santé naturelle au Kansas qu'en France. Sont fous ces améromains. Mon dossier sera devant un juge cette semaine. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité rouge100 Posté(e) le 18 avril 2004 Partager Posté(e) le 18 avril 2004 Le sida existe, il y a une réalité. Des hommes et des femmes meurent chaque jour d'une maladie qui fait suite au SIDA. Après tout le délire de la mafia médicale revient toujours à la même chose faire du fric sur le dos des malades. Pour le problème vient de l'état de santé générale de la personne atteinte. LE VIRUS N'EST RIEN - LE TERRAIN EST TOUT. Tout est dans cette phrase. Tchao. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mark Posté(e) le 18 avril 2004 Partager Posté(e) le 18 avril 2004 Des hommes et des femmes meurent chaque jour d'une maladie qui fait suite au SIDA. Hell Pour certains entre nous l'etat "Sida" ou "immuno-déficience" est le resultat de l'accumulation de plusieurs dégradations du terrain, et non le resultat d'une infection par un seul "virus" Sida qui a la qualité miraculeuse de détruire des cellules dans certains cas et les faire proliferer dans d'autres. Dans cette vision il est vrai que la dégradation de notre terrain physique et terrestre est en train de diminuer notre immunité naturelle - collectivement - ce qui amène à l'etat "$IDA" qui est en augmentation. Quant aux morts, un rapide coup d'oeil à quelques statistiques et comment on les gonflent pour entretenir l'industrie... http://www.sidasante.com/stats/statindex.htm Et de là à faire du fric sur des tests qui detectent ce même etat d'alteration causé par les mêmes multinationaux qui sont responsable de la dégradation de notre environment au départ... et j'en passe... Bye Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité lavienrose Posté(e) le 19 avril 2004 Partager Posté(e) le 19 avril 2004 (modifié) Des propos irresponsables sont tenus ici et à moins que les meilleurs scientifiques au monde soient TOUS des maffiosi ,il faut RAISON GARDER: Conférence de Durban: Dix-sept ans après la découverte du virus de l’immunodéficience humaine (VIH), des milliers de personnes venues de toutes les régions du monde sont réunies à Durban, en Afrique du Sud, dans le cadre de la XIIIe conférence internationale sur le sida. Au tournant du millénaire, on estime que 34,3 millions de personnes vivent avec le VIH ou le sida, dont 24,5 millions en Afrique subsaharienne (1). L’année dernière, 2,8 millions de personnes sont décédées du sida, soit le nombre le plus élevé depuis le début de l’épidémie. Si les tendances actuelles perdurent, l’Asie du Sud et du Sud-Est, l’Amérique du Sud et les régions de l’ancienne Union soviétique seront aussi durement frappées au cours des deux prochaines décennies. Le sida se propage par l’entremise d’une infection, à l’instar d’autres maladies, notamment, la tuberculose et la malaria, qui entraînent des maladies et des décès, particulièrement dans les collectivités peu favorisées et pauvres. Le VIH-1, qui est responsable de la pandémie de sida, est un rétrovirus étroitement lié à un virus de l’immunodéficience simienne (VIS) qui infecte les chimpanzés. Le VIH-2, un virus commun en Afrique de l’Ouest qui s’est propagé en Europe et en Inde, est presque identique à un VIS qui infecte les mangabeys. Bien que le VIH-1 et le VIH-2 aient fait leur apparition sous forme de zoonoses (2) - infections qui se transmettent des animaux aux humains - ces deux virus se transmettent maintenant d’une personne à l’autre lors des relations sexuelles ; d’une mère à son enfant ; et par l’entremise du sang contaminé. Le VIH n’est pas la seule infection de source animale. La peste a été transmise par les rats et la grippe par les oiseaux. Le nouveau virus Nipah qui sévit en Asie du Sud-Ouest a été transmis aux humains par les porcs. La variante de la maladie Creutzfeldt-Jakob aux Etats-Unis est identique à la maladie de la vache folle. Une fois établi chez les humains, le VIH s’est conformé aux habitudes et aux mouvements humains. A l’instar de nombreux autres virus, le VIH ne reconnaît aucune frontière sociale, politique ni géographique. La preuve que le sida est causé par le VIH-1 ou le VIH-2 est claire, exhaustive et non équivoque, et elle est conforme aux critères scientifiques les plus rigoureux (3) (4) (5) (6) (7). Les données respectent les mêmes critères que celles portant sur d’autres maladies virales, notamment, la poliomyélite, la rougeole et la variole : Les malades atteints du syndrome de l’immunodéficience acquis, où qu’ils vivent, sont infectés par le VIH [3-7]. Si elles ne sont pas traitées, la plupart des personnes infectées par le VIH manifestent les symptômes du sida dans les 5 à 10 ans (9) La présence de l’infection par le VIH dans le sang est confirmée par des analyses d’anticorps, le séquençage des gènes ou les isolats viraux. Ces épreuves sont aussi fiables que celles dont on se sert pour déceler d’autres infections dues à un virus. Les personnes qui reçoivent du sang ou des produits sanguins contaminés par le VIH contractent le sida, contrairement à celles qui reçoivent du sang non contaminé ou qui a subi un test de dépistage. (10). La plupart des enfants qui contractent le sida sont nés de mères infectées par le VIH. Plus la charge virale de la mère est élevée, plus l’enfant est exposé au risque d’infection (11). Dans le laboratoire, le VIH infecte les lymphocytes T auxiliaires. Or, toutes les personnes atteintes du sida développement une carence de ce type de globule blanc (12) (13) (14) Les médicaments qui bloquent la réplication du VIH dans les éprouvettes diminuent la charge virale des personnes et ralentissent la progression du sida. Aux endroits où il est disponible, le traitement a diminué la mortalité due au sida de plus de 80 p. 100 (15). Les singes inoculés à l’aide d’ADN de SIV cloné deviennent infectés et contractent le sida (16). Des données complémentaires probantes sont disponibles (17). Le VIH provoque le sida (18). Il est malheureux que quelques personnes continuent bruyamment à nier l’évidence. Cette position entraînera le décès d’un nombre incalculable de personnes. Les tendances de la propagation et des symptômes du VIH/sida varient selon les régions. En Afrique, par exemple, les personnes infectées par le VIH ont onze fois plus de chances de mourir en cinq ans (19) et au-delà de cent fois plus de chances de contracter le sarcome de Kaposi, un cancer associé à un autre virus (20). Comme c’est le cas pour les autres infections chroniques, divers facteurs ont une incidence sur le risque de maladie. Les personnes mal nourries, déjà atteintes d’une infection ou plus âgées sont plus susceptibles de contracter rapidement le sida à la suite de l’infection par le VIH. Cependant, aucun de ces facteurs ne diminue la portée des preuves scientifiques : le VIH est la seule cause de l’épidémie de sida. Etant donné l’urgence de la situation globale, l’infection par le VIH doit constituer la plus grande priorité en matière de santé publique à l’échelle internationale. Les connaissances et les outils nécessaires à la prévention de l’infection sont disponibles. La monogamie mutuelle, l’abstinence ou l’usage des préservatifs interrompent la transmission sexuelle du VIH. Les tests de dépistage des produits sanguins et la non-réutilisation des aiguilles freinent la transmission par le sang. Enfin, les traitements à court terme à l’aide d’antiviraux diminuent de moitié ou plus la transmission mère-enfant (21) (22). Les ressources limitées et le fardeau énorme de la pauvreté dans de nombreuses régions du monde posent des enjeux énormes au regard du contrôle de l’infection par le VIH. On peut traiter les personnes déjà infectées à l’aide de médicaments salutaires, mais le coût élevé de ces traitements empêche la majorité des gens de s’en prévaloir. Il faut mettre au point des nouveaux médicaments antiviraux qui sont plus faciles à prendre, causent moins d’effets indésirables et coûtent beaucoup moins cher, pour que des millions de personnes puissent en bénéficier. Il y a de nombreuses façons de communiquer les renseignements essentiels à propos du VIH/sida, et les méthodes appropriées à un pays ne sont pas nécessairement utiles dans un autre. Mais pour s’attaquer à la maladie, il faut d’abord comprendre que le VIH est l’ennemi. Les recherches, et non les mythes, mèneront à l’élaboration de traitements plus efficaces et moins chers et, espérons-le, à la mise au point d’un vaccin. Mais pour l’instant, il faut s’attacher à prévenir la transmission sexuelle. La fin de la pandémie de sida n’est pas en vue. Mais en unissant nos efforts, nous pourrons renverser la tendance. La science triomphera un jour du sida comme elle l’a fait pour la variole. La première étape sera d’interrompre la transmission du VIH. Jusque-là, la raison, la solidarité, la volonté politique et le courage doivent être nos partenaires. (1) 1. ONUSIDA. Rapport de l’épidémie mondiale de l’infection à HIV/SIDA. Décembre 1999.->www.unaids.org/hivaidsinfo/documents.html (2) Hahn, B. H., Shaw, G. M., De Cock, K. M., Sharp, P. M. (2000). AIDS as a zoonosis : scientific and public health implications. Science, 287, 607-614. (3) Weiss R.A et Jaffe, H.W. (1990). Duesberg, HIV and AIDS. Nature, 345, 659-660. (4) NIAID (1996). HIV as the cause of AIDS. (5) O’Brien, S.J. et Goedert, J.J. (1996). HIV causes AIDS : Koch’s postulates fulfilled. Current Opinion in Immunology, 8, 613-618. (6) Darby, S.C. et autres, (1995). Mortality before and after HIV infection in the complete UK population of haemophiliacs. Nature, 377, 79-82 (7) Nunn, A.J. et autres, (1997). Mortality associated with HIV-1 infection over five years in a rural Ugandan population : cohort study. BMJ, 315, 767-771. ( Darby, S.C. et autres, (1995). Mortality before and after HIV infection in the complete UK population of haemophiliacs. Nature, 377, 79-82 (9) Nunn, A.J. et autres, (1997). Mortality associated with HIV-1 infection over five years in a rural Ugandan population : cohort study. BMJ, 315, 767-771. (10) Darby, S.C. et autres, (1995). Mortality before and after HIV infection in the complete UK population of haemophiliacs. Nature, 377, 79-82 (11) Sperling, R. S. et autres, (1996). Maternal viral load, zidovudine treatment, and the risk of transmission of human immunodeficiency virus type 1 from mother to infant. N. Engl. J. Med. 335, 1678-80. (12) Weiss R.A et Jaffe, H.W. (1990). Duesberg, HIV and AIDS. Nature, 345, 659-660. (13) NIAID (1996). HIV as the cause of AIDS. (14) O’Brien, S.J. et Goedert, J.J. (1996). HIV causes AIDS : Koch’s postulates fulfilled. Current Opinion in Immunology, 8, 613-618. (15) Centers for Disease Control and Prevention (CDC). HIV/AIDS Surveillance Report 1999 ; 11, 1-44. (16) Liska, V. et autres, (1999). Viremia and AIDS in rhesus macaques after intramuscular inoculation of plasmid DNA encoding full-length SIVmac239. AIDS Research & Human Retroviruses, 15, 445-450. (17) NIAID (1996). HIV as the cause of AIDS. (18) O’Brien, S.J. et Goedert, J.J. (1996). HIV causes AIDS : Koch’s postulates fulfilled. Current Opinion in Immunology, 8, 613-618. (19) Nunn, A.J. et autres, (1997). Mortality associated with HIV-1 infection over five years in a rural Ugandan population : cohort study. BMJ, 315, 767-771. (20) Sitas, F. et autres, (1999). Antibodies against human herpesvirus 8 in black South African patients with cancer. N. Engl. J. Med., 340, 1863-1871. (21) Shaffer, N. et autres, (1999). Short course zidovudine for perinatal HIV-1 transmission in Bangkok Thailand : a randomised controlled trial. Lancet, 353, 773-780. (22) Guay, L. A. et autres, (1999). Intrapartum and neonatal single-dose nevirapine compared with zidovudin for prevention of mother-to-child transmission of HIV-1 in Kampala, Uganda : HIVNET 012 randomised trial. Lancet, 354, 795-802 http://www.survivreausida.net/article52.html Modifié le 19 avril 2004 par lavienrose Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 19 avril 2004 Partager Posté(e) le 19 avril 2004 Je n'ai pas vraiment le temps de répondre à l'instant. Juste trois remarques En 1986, Duesberg a émis un doute quant à la rigueur des investigations menées par ses pairs. Au lieu d'écouter ses doléances, il a été brutalement démis de ses fonds de recherche par le gouvernement américain. Croyez-vous que la majorité des chercheurs ont envie de se retrouver sur la paille du jour au lendemain, par décision purement politique? Alors, les études qui sont faites mentionnent toujours la relation vih -> sida, même si l'on peut lire, dans leur publication, que l'orientation de leur quête se fait dans un autre sens. Il suffit de lire toutes les publications du groupe de Stanford, dirigé par Herzenberg, pour constater que, de facto, ils privilégient la piste chimique, cad la piste du stress oxydatif. D'ailleurs Montagnier, dans ses derniers écrits, tout en jurant ses grands dieux que le hiv est bien la cause, oriente se thérapeutique dans le droit fil du stress oxydatif. Parlons maintenant du traitement préventif de la transmission mère-enfant par la Névirapine, proposée par l'expérimentation HIVNet012 (soit dit en passant, les américains ont arrêté son utilisation, pour défaut de clarté dans cette expérimentation). L'expérimentation n'a pas vérifié l'utilité de la Nevirapine par rapport au placébo, mais par rapport à l'AZT, sous des prétextes éthiques. Et bien entendu, on a trouvé que la Névirapine avait un profil thérapeutique nettement plus intéressant. Cependant, Ruengpung Sutthent, Kulkanya Chokephaibulkit, Daorung Piyasujabul, Nirun Vanprapa , Anuwat Roogpisuthipong , Pongsakdi Chaisilwatana dans The Journal of Clinical Virology 25 (2002) 47-56 ont comparé l'action de l'AZT par rapport au placébo chez la femme parturiante. Voici ce qu'ils écrivent : In the Sunday Nation of November 30, Arthur Okwemba quoted the Executive Director of an Aids support group from Uganda claiming that there has been a fall in HIV prevalence in Uganda "from more than 30 per cent in 1995 to nearly 5 per cent today". This translated in real terms, means that of the 23 million inhabitants of Uganda, almost seven million were HIV positive in 1995 and eight years later, the figure stands at slightly more than one million. This means that there are six million less HIV positive Ugandans today than in 1995. If you factor in the Ugandans who acquired the virus after 1995, this leaves a simply enormous body of people who are no longer HIV positive. What has happened to the Ugandans who do not appear in the latest figures? Did they leave Uganda, die or were they cured of HIV? If the prevalence figures are inverted, it does not say much for Uganda's widely commended HIV/Aids response if it is unable to prevent the deaths of 800,000 HIV positive people a year. Alors, ne parlez pas trop vite. Utilisez votre intelligence pour vous poser des questions sans a priori. Posez-en aux responsables des labos d'analyse sur la nature des tests, comme je l'ai fait, et vous les verrez parfois pâlir. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mark Posté(e) le 19 avril 2004 Partager Posté(e) le 19 avril 2004 Des propos irresponsables sont tenus ici et à moins que les meilleurs scientifiques au monde soient TOUS des maffiosi , il faut RAISON GARDER: Pour que le libre accès aux infos soit respecté, il faut prendre en compte toutes les informations. Pour ne pas répondre aux questions pertinentes du Gouvernement de Mbeki en 2000, 5000 scientifiques, sous l'influence de Simon Wain-Hobson de l'Institut Pasteur, ont signé "La Déclaration de Durban" qui fut publié immédiatement par le journal "Nature". (Sans "peer review"). Il sera intéressant de voir maintenant quelle direction prendra la nouvelle majorité (ANC) en Afrique du Sud... Pour faire la part démocratique des choses il faudra également lire : 1) La réfutation de la déclaration de Durban http://www.sidasante.com/science/refutation.htm 2) The Presidential AIDS advisory panel report : http://www.altheal.org/africa/aidspanelreport.pdf 3) Castro Hlongwane. HIV/AIDS and the Struggle for the Humanisation of the African. (un document magnifique du African National Congress au sujet du Sida) http://www.altheal.org/africa/hlongwane.htm Avant de nous accuser de "propos irresponsables". En anglais nous disons "celui qui a l'argent choisit la chanson" - ce qui est vrai à propos de la "santé publique". Bonne lecture Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
diamant bleue Posté(e) le 19 avril 2004 Partager Posté(e) le 19 avril 2004 Dix-sept ans après la découverte du virus de limmunodéficience humaine (VIH), vivi et d'ailleurs ceux qui ont "découvert" ce "virus" sont tellement philantropiques qu'ils ne vont pas réclamer la prime de 100 000$ actuellement disponible pour celui qui produira la photo du virus en question... lavienrose, comme tu es nouveau ici, pourrais tu avoir le respect de lire les différents topics qui existent déjà sur le sujet dans leur intégralité... celui ci en premier. Ensuite tu pourras peut etre nous amener des arguments nouveaux... Merci d'avance.... Diamant Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité lavienrose Posté(e) le 19 avril 2004 Partager Posté(e) le 19 avril 2004 (modifié) lavienrose, comme tu es nouveau ici, pourrais tu avoir le respect de lire les différents topics qui existent déjà sur le sujet dans leur intégralité... celui ci en premier. Ensuite tu pourras peut etre nous amener des arguments nouveaux... Pas besoin , je travaille depuis 30 ans dans l'un de ces laboratoires que vous dénigrez tellement ; depuis des années mes collègues de la recherche se crèvent au boulot pour trouver un vaccin contre ce VIRUS que vous passez votre temps à nier!!!!!!Je ne suis pas médecin,juste chimiste . Pour des raisons de déontologie évidente , je ne peux pas participer comme je le souhaiterais à ce forum mais si vous trouvez que certains labos adaptent leur diagnostique à l'aspect vestimentaire (v.l'effarante rem.+haut) des personnes testées , c'est vraiment très grave et empêche toute discussion sérieuse. Je suis entièrement d'accord sur un point avec vous : c'est la honte de toute l'industrie pharmaceutique d'empêcher l'accès aux soins pour tous à cause des prix prohibitifs!!!!Je pense aussi que les médicaments utilisés en ce moment sont loin d'être parfaits et extêmement chargés en effets secondaires ...mais c'est le cas de tous les médicaments utilisés dans la lutte contre les pathologies lourdes. Pour le reste , si la polyo ou la variole(et un tas d'autres fléaux) sont pratiquement éradiquées , ce n'est pas grâce aux paramedicaux qui ,pour des raisons peut-être pâs si innocentes, crachent sur les labos de recherche... Un vaccin contre le Sida sortira un jour de ces labos (du mien ,je l'espère de tout mon coeur) et des millions d'enfants,de femmes,d'hommes de tous pays,de toute condition renaîtront à la vie. Tout le reste n'est que du vent ! Modifié le 19 avril 2004 par lavienrose Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
diamant bleue Posté(e) le 19 avril 2004 Partager Posté(e) le 19 avril 2004 Pas besoin , je travaille depuis 30 ans dans l'un de ces laboratoires que vous dénigrez tellement ; depuis des années mes collègues de la recherche se crèvent au boulot pour trouver un vaccin contre ce VIRUS que vous passez votre temps à nier!!!!!!Je ne suis pas médecin,juste chimiste . Pas besoin de lire.... c'est dommage car tu pourrais peut etre comprendre pourquoi depuis plus de 15 ans les labos ne trouvent pas ce qu'ils recherchent... Et pendant ce temps la ils dilapident des milliards d'euros dans une voie sans issue, ignorant des voies où ils pourraient trouver des réponses... et en parallèle ils refilent des médocs dangereux à des gens qui en meurent.... Tu as raison ne lit pas ce que disent les autres mais si tu as les preuves n'hésite pas... ta fortune est faite... 100 000$ t'attendent... Diamant PS : ah au fait, moi aussi j'ai travaillé dans un des labos qui cherche le vaccin contre le sida... et je sais donc que le virus du SIDA n'a jamais été isolé dans le sang d'un séro+ et n'a jamais été photographié.... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 19 avril 2004 Partager Posté(e) le 19 avril 2004 Et explique-moi pourquoi nous n'avons pas la même conception des choses, alors que nous sommes tous deux chimistes. Les études faites sur l'interaction de l'AZT sur les thiols, et en particulier le glutathion montrent de manière irréfutable le caractère oxydant du groupement azoture , avec une constante d'équilibre largement supérieure à 1. Alors qu'on montre par ailleurs que plus le sida est avancé, plus le taux de glutathion est faible. Comment expliquer que l'on traite une maladie caractérisée par une telle déficience, avec une substance qui va augmenter cette déficience (et ce d'autant plus qu'il a été montré que la supplémentation en précurseur du glutathion (en particulier la N-éthanoylcystéine) augmente nettement l'espérance de vie des malades. Pour moi, c'est un non-sens absolu, qui n'est possible que parce qu'on a perdu les bases mêmes de la chimie traditionnelle. Oh, tu peux toujours me dire que tu synthétises des peptides avec les méthodes utilisant le groupe fmoc et la dicyclohexylcarbodiimide (ou autres), cela ne suffit pas pour affirmer que les protéines qui ont été trouvées dans la zone de densité 1,16 g obtenue par ultracentrifugation à gradient de sucrose soient celles appartenant à un virus mortel, à moins de poser par principe (mais alors c'est vraiment une pétition de principe), que ce matériel ne peut être que rétroviral. Pétition de principe qui dure depuis 30 ans, et qui se base uniquement sur le fait que ce matériel peut, dans certaines conditions, induire une synthèse d'ADN à partir d'ARN. Qu'en est-il des explications de Barré-Sinoussi dans les années 70 et qui indiquaient que la rétrotranscription était aussi le fait de matériaux endogènes? Tu rétorqueras qu'on a photographié au microscope électronique ce rétrovirus. Eh bien non! Même Gelderblom et al. (1997) indiquent que le matériel isolé dans cette zone de gradient de densité ne correspond pas du tout à l'idée qu'on peut se faire de rétrovirus. Etonnant tout de même que l'on n'ait pas fait ce travail sur cet isolat avant 1997 ! Ce qui veut dire que toutes les représentations du vih sont en fait des modélisations (je dirai des vues de l'esprit), pire à mon avis que les modélisations des orbitales atomiques ou moléculaires, qui elles, sont des artifices mathématiques simplement reliées par leur carré à la probabilité de présence de l'électron. Et ces protéines, ces anticorps, quelle est leur structure? N'y a-t-il pas de très nombreux ponts disulfure? Et pourtant cette notion toute simple permet de concevoir une autre cause à leur synthèse : le stress oxydatif, soit plus simplement l'oxydation des thiols de la cystéine protéique en cystine. Le potentiel redox de ce couple est suffisamment bas pour qu'on puisse imaginer que la plupart des oxydants puissent donner la structure oxydée par l'intermédiaire d'enzymes semblables à la glutathion peroxydase, en présence d'un excès d'oxydants tesl que H2O2,ou des peroxynitrites, ... Quant à l'apoptose des lymphocytes TH1, de très nombreux travaux montrent qu'elle est induite par les peroxynitrites, et donc aussi par un excès de NO (soit dit en passant, l'action du monoxyde d'azote est fascinante, mais aussi ubiquitaire, cad dire qu'il peut favoriser ou défavoriser l'apoptose selon les conditions) Il est vrai que ce sont des questions que je me pose, auxquelles les réponses sont encore bien fragmentaires. Mais je me les pose à cause des très nombreuses incohérences du modèle rétroviral, soulignées de temps à autre par le Pr Montagnier lui-même, qui, sans en avoir l'air, a plusieurs fois lancé un pavé dans la mare du Sida (avec les mycoplasmes,....) Et l'encodage de ces protéines, me diras-tu. Eh bien, il me semble normal qu'il y ait un ARN particulier à côté des protéines qu'il encode, et chose bizarre, il a même était montré que le "vih" encodait pour la glutathion peroxydase. Ne serait-il pas plus simple de dire qu'il s'agit-là d'un morceau d'ARN endogène? Par ailleurs, il est vrai que j'ai du mal à accepter des modélisations en chimie qui font abstraction des propriétés chimiques les plus simples de ces molécules, et en particulier de leurs propriétés redox. Peut-être peux-tu me donner ton sentiment là-dessus. cordialement Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité lavienrose Posté(e) le 19 avril 2004 Partager Posté(e) le 19 avril 2004 Je ne suis pas un chercheur , je me contente de faire mon boulot de chimiste , du mieux que je peux ...et je ne travaille pas sur l'HIV .Mon domaine c'est le contrôle de qualité de médicaments, soit pendant leur production , soit au stade de produit fini .De toute façon , j'ai prévenu que je n'entrerais pas dans ce genre de discussion ,d'ici 3 postits invariablement je devrai faire référence à mon entreprise et je ne peux m'exprimer à ce titre même indirectement (ça s'passe comme ça dans l'industrie pharmaceutique...surtout quand le sujet du forum est aussi brûlant) Bien cordialement Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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