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**[SIDA] : le "VIH" ne cause pas le SIDA ** 1/3


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Ah ! Aixur ! contente que tu sois sur ce forum ! icon_aime2.gif

Je viens de te répondre sur le Forum VIH/SIDA, 10 questions restées sans réponse et je conseille à celles et ceux qui nont pas lu les débats forts intéressants, daller jeter un il !

J'ai raté le début de ce Forum "Et si le SIDA était un canulard" et je crois bien que j'ai raté certains échanges très chauds !!!

Je réagis ici par rapport à la nouvelle que nous annonce Juju : l'arrivée d'un vaccin contre le virus, et de ses 2 hypothèses.

Et comme tu le dis si bien Aixur :

Et comme personne ne se soucie plus des gens qui sont morts durant la période AZT, même si l'affaire devait éclater d'ici 2 ou 3 ans, personne (ou pas grand monde) ne viendra faire de procès

Peut-être qu'il n'y aura pas beaucoup de réaction, mais je pense qu'il y en aura quelques une. Et concernant les familles des transfusés (pour la plupart soignés à l'AZT uniquement) qui ont ouvert un procès, elles ont la possibilité pendant 30 ans de faire réouvrir leur dossier !

Biensûr, c'est pas ce qui ramènera nos morts, mais pour le principe !

Et dit moi Aixur, je me pose une question : si il y a un vaccin c'est donc que forcément il y a un virus ?!!! c'est bien ça ou je me trompe ???

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Top Posters In This Topic

Attention !

Les médias et certains scientifiques parlent de "vaccin thérapeutique", qui augmenterait l'immunité, et ne combattrait pas le "virus".

J'aimerait trouver une description de la composition de ce "vaccin", mais pour l'instant, je n'ai rien trouvé d'autre que des banalités sur le net.

Donc, à priori, pas besoin de virus pour ce vaccin-là.

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Eh Aixur, j'viens d'voir un truc là ! icon_eek.gif

Ton message du 13/01 à 19h45, faisant référence à un sidéen ayant un taux de CD4 bas qui mange oeuf + fromage.

Je reprend le cas de H (pour celles et ceux qui ne suivent pas il faut d'abord lire le Forum VIH/SIDA 10 questions restées sans réponse) : je te confirme que M. H a mangé oeuf + fromage avec taux CD4 très certainement faible.

Oeuf pas très souvent car ça passait pas toujours bien au niveau de l'estomac.

Fromage quasi tous les jours.

Biensûr pour le cas de H il faut prendre en compte le traitement de l'époque (Chimio, AZT + ceux dont je ne me souviens pas du nom).

Virus ou pas virus ?

A mon avis il y a poison (phénomène qui peut , peut être, être autre chose qu'un virus), mais il y a poison qui vient d'un environnement extérieur mal-sein, et qui est rentré dans le corps.

T'en penses quoi ?

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Attention !

Les médias et certains scientifiques parlent de "vaccin thérapeutique", qui augmenterait l'immunité, et ne combattrait pas le "virus".

J'aimerait trouver une description de la composition de ce "vaccin", mais pour l'instant, je n'ai rien trouvé d'autre que des banalités sur le net.

Donc, à priori, pas besoin de virus pour ce vaccin-là.

Evidemment, le vaccin est aussi bidon que le virus (d'ailleurs, un vaccin thérapeutique, on ne voit pas trop de quelle façon ça fonctionne). Le fait qu'ils disent que ça permet à 25 % des personnes traitées d'abandonner la thritérapie est intéressant. Ca pourrait leur permettre d'abandonner petit à petit les trithérapies.

En ceci en augmentant régulièrement l'efficacité supposée du vaccin. D'ici 3 ou 4 ans, ils pourraient dire "on a amélioré l'efficacité du vaccin. Désormais, 50 % des personnes traitées au trithérapies ne sont plus obligées de les prendre". Puis, ce sera 75 %, et enfin, peut-être 100 %.

Modifié par aixur
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Bibi,

Je pense toujours qu'il n'y a pas de virus. Le vaccin est une pure invention pour un virus qui est lui aussi est une pure invention.

Quand au fait que H mangeait du fromage tous les jours, ça confirme le fait qu'il n'avait aucun virus détruisant son système immunitaire, sinon, il serait mort d'une salmonellose ou d'une listeria bien avant de mourrir de son cancer (ou plutot du traitement de son cancer).

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Invité gulliver

Bonjour à tous

j'ai comme vous entendu parler de ce "vaccin" mais j'avoue que je n'ai pas trop compris le principe. En fait j'ai appris qu'un vaccin ça servait "en amont", je veux dire par là que normalement on vaccine des personnes non malades pour habituer leur corps à se défendre contre une maladie, au cas où (bon ça c'est la manière dont on présente la vaccination).

Donc si je poursuis mon raisonnement, un vaccin contre le "sida" pour les déjà malades du sida (ou plutôt des maladies associées) ça serait quoi??

Le vaccin consisterait en un mixage de différents vaccins contre les maladies associées, peut-on vacciner des personnes déjà malades?

Ou bine le vaccin serait directement dirigé contre le VIH invisible, mais là encore, ce sont les personnes "saines" qui se font vacciner, pas les malades...

Enfin bref, j'ai un peu de mal à comprendre le raisonnement... à moins qu'ils ne préparent la plus grande campagne de vaccination au monde, je ne vois pas..

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Ca me fait penser au vaccin "express" de Pasteur contre la rage. L'enfant qu'il avait vacciné était déjà mordu, mais, le vaccin allait aller plus vite que le virus. Fantastique vaccin qui permet d'immuniser alors qu'on a déjà la maladie (qui tue en seulement quelques semaines). Il faut savoir que d'autres enfants avaient été mordus par le même chien. Et, ils n'ont pas développé la rage. Forcément, ça explique beaucoup de choses. C'est sur que c'est très facile d'immuniser quelqu'un qui n'a rien.

Ici, c'est le même principe. On est déjà infecté, mais, on peut quand même être vacciné. Fabuleux. Et quid du virus qui mute à toute vitesse et tout le temps (quel pouvoir pour un simple bout d'ARN, qui n'est jamais que quelques morceaux de protéines et dont beaucoup de gens se demandent si c'est du vivant ou du minéral) ? Oublié tout ça.

L'explication, je la vois venir d'ici. On va nous dire que ça se concentre sur une des caractéristiques du virus qui ne mute pas. Et hop, ça passera comme une lettre à la poste. On nous dira que c'est grace aux milliards investis dans la recherche, on béatifira les chercheurs à l'origine de la découverte et tout le monde dira merci à la médecine officielle sans se poser de question.

Modifié par aixur
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Ca me fait penser au vaccin "express" de Pasteur contre la rage. L'enfant qu'il avait vacciné était déjà mordu, mais, le vaccin allait aller plus vite que le virus.

C'est pas pareil... dans ce cas il s'agissait d'immunoglobulines... qui sont des sortes d'anticorps specifiques fabriqués... par des chevaux (arf... no comment). Il en existe aussi contre le tetanos.... c'est dailleurs ce qu'on injecte a ceux ki ont été contaminé par le tetanos... et non pas le vaccin...

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Ah mais oui. C'est vrai. J'avais complètement oublié ce truc des immunoglobulines. Effectivement, fabriquées par des chevaux. Amusant. Surtout que, dans le principe, je suppose qu'il faudrait en injecter une sacré quantité et régulièrement pour que ça donne la même chose que le système immunitaire de la personne. En plus, l'organisme chercherait probablement immédiatement à éliminer ces protéines étrangères. Dans le genre principe bidon, encore une fois, ça se pose là.

Quand aux diverses absurdités du vaccin contre le SIDA, je crois qu'ils n'en sont plus à ça près.

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Tout le monde connait le sens de SIDA, syndrome Immuno-Déficitaire Acquis.

Dans le mot tout s'y trouve. Un syndrome est un ensemble de symptômes dont médicalement on ne sait pas quoi faire ou comment les soulager

L'immunité est la capacité d'un organisme à s'adapter à son environnement. La déficience immunitaire est le témoignage d'une difficulté d'adaptation. On sait depuis les années 40 que c'est la résultante d'un stress prolongé.

Acquis parce que les gens que l'on a diagnostiqué sous cette appelation là étaient tellement malades que l'on a considéré que c'était quelque chose qu'ils avaient depuis longtemps.

Tout est dans le mot qui est LE PROGRAMME. angeaile.gif

Sollicité l'immunité revient à solliciter l'identité. Tel que je suis, je m'adapte. Doucement depuis de longues années, sous couvert d'éducation des masses, chaque individu est poussé plus ou moins violemment à s'identifier à quelqu'un ou quelque chose qui n'est pas lui. Désincarné dans une collectivité, quelle qu'elle soit, il est consommateur, mouton de panurge. Exclus du groupe c'est la panique.

Lorsque l'on veut manipuler les masses, il faut tout d'abord identifier un problème. Grave. Trés grave. Hypergrave. On médiatise=> panique. on laisse mijoter + un peu de médiatisation. Et là la masse affolée clame aprés un solution. No Problem, la solution est trouvée. Trouvez la seule activité humaine qui permet à la fois d'être entier et de partager voire de fondre son identité avec un autre être humain. Le Sexe camarade. Safer sex is the solution. Sortez couvert, le plaisir est toxique. Le seul remède en vente libre contre les névroses et tous les maux de la vie matérielle est un poison 4-horreur.gif

La solution est trouvez, c'est un bizness d'enfer. Tous ceux qui achètent sont mort et ne sont plus la pour en parler. Tous ceux qui ont survécu n'ont pas joué

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Nowar,

quand tu dis :

"Tout le monde connait le sens de SIDA, syndrome Immuno-Déficitaire Acquis.

Dans le mot tout s'y trouve. Un syndrome est un ensemble de symptômes dont médicalement on ne sait pas quoi faire ou comment les soulager

L'immunité est la capacité d'un organisme à s'adapter à son environnement. La déficience immunitaire est le témoignage d'une difficulté d'adaptation. On sait depuis les années 40 que c'est la résultante d'un stress prolongé.

Acquis parce que les gens que l'on a diagnostiqué sous cette appelation là étaient tellement malades que l'on a considéré que c'était quelque chose qu'ils avaient depuis longtemps."

Le SIDA étant le syndrome Immuno-Déficitaire Acquis., on pourrait aussi très bien dire alors que le stade précédent le SIDA (syndrome Immuno-Déficitaire Acquis) est le SID (syndrome Immuno-Déficitaire).

Quand je dis stade précédent le SIDA, je pense au stade séropositif, biensûr tout cela sous-réserve puisque j'ai lu à un moment dans le forum VIH/SIDA, je crois, que le test Western-Blot était contesté.

Je pencherait à dire alors que :

- A un moment T un corps à reçu un élément inhabituel (reste à déterminer quel élément et comment s'est-il introduit ou développé à l'intérieur de ce corps).

- Le rôle de l'immunité de ce corps est de gérer au mieux cet élément nouveau.

- Au fur et à mesure des années (phase séropositif), l'immunité se fait moindre.

Et pour finir (phase SIDA), l'immunité ne se fait plus du tout.

On a vu que les traitements, notamment l'AZT, étaient fortement constestée, ensuite la tri-thérapie semble être également remise en question, pour finir sur l'arrivée d'un soit-disant vaccin.

Je conçois que les efforts de recherche de chacun soient très complexes, sans parler en parallèle des histoires de gros sous, mais j'ai l'impression qu'on en arrive au stade "le ridicule ne tue pas" !!!!

Je me pose alors cette question :

Pourquoi les recherches ne se portent-elles pas davantage en amont, quel est cet élément inconnu qui perturbe autant l'immunité d'un corps ?

Pourquoi n'y a-t-il pas de rapprochement de situation sérieux qui soit établi ? par exemple un questionnaire pointilleux adressé à chaque séropositif et sidéen, voire même aux familles des sidéens décédés et ensuite faire un parallèle de toutes les réponses données.

Quel est l'intérêt de faire des recherches en aval si les recherches en amont n'ont jamais été sérieusement réalisées ?

Et je reprendrai pour finir une phrase de Cheminot citée dans le Forum "VIH/SIDA 10 questions restées sans réponses" du 09/02 à 00H31 : "et comme le disait Pasteur sur son lit de mort (citant Claude Bernard je crois) : "le microbe n'est rien, le terrain est tout"".

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Le SIDA étant le syndrome Immuno-Déficitaire Acquis., on pourrait aussi très bien dire alors que le stade précédent le SIDA (syndrome Immuno-Déficitaire Acquis) est le SID (syndrome Immuno-Déficitaire).

Quand je dis stade précédent le SIDA, je pense au stade séropositif, biensûr tout cela sous-réserve puisque j'ai lu à un moment dans le forum VIH/SIDA, je crois, que le test Western-Blot était contesté.

Je pencherait à dire alors que :

- A un moment T un corps à reçu un élément inhabituel (reste à déterminer quel élément et comment s'est-il introduit ou développé à l'intérieur de ce corps).

- Le rôle de l'immunité de ce corps est de gérer au mieux cet élément nouveau.

- Au fur et à mesure des années (phase séropositif), l'immunité se fait moindre.

Et pour finir (phase SIDA), l'immunité ne se fait plus du tout.

On a vu que les traitements, notamment l'AZT, étaient fortement constestée, ensuite la tri-thérapie semble être également remise en question, pour finir sur l'arrivée d'un soit-disant vaccin.

Je conçois que les efforts de recherche de chacun soient très complexes, sans parler en parallèle des histoires de gros sous, mais j'ai l'impression qu'on en arrive au stade "le ridicule ne tue pas" !!!!

Je me pose alors cette question :

Pourquoi les recherches ne se portent-elles pas davantage en amont, quel est cet élément inconnu qui perturbe autant l'immunité d'un corps ?

Pourquoi n'y a-t-il pas de rapprochement de situation sérieux qui soit établi ? par exemple un questionnaire pointilleux adressé à chaque séropositif et sidéen, voire même aux familles des sidéens décédés et ensuite faire un parallèle de toutes les réponses données.

Quel est l'intérêt de faire des recherches en aval si les recherches en amont n'ont jamais été sérieusement réalisées ?

Et je reprendrai pour finir une phrase de Cheminot citée dans le Forum "VIH/SIDA 10 questions restées sans réponses" du 09/02 à 00H31 : "et comme le disait Pasteur sur son lit de mort (citant Claude Bernard je crois) : "le microbe n'est rien, le terrain est tout"".

Lorsque j'insiste sur la notion d'identité et de stress, c'est parce que je constate quotidiennement que notre immunité est affaibli quand notre vie se trouve sous pression. Mais cette constatation a été décrite il y a prés de 60 ans par Hans Selye, le découvreur du stress.

Remarque bien, que lorsque quelque chose te tracasse tu seras plus facilement irritable, et puis tu commenceras à choper un rhume etc. Ce constat là a été mis en application par le Prof Hamer, dans le traitement des cancers.

Le problème qui est posé par l'approche actuelle, qui fait qu'il y a des gens que l'on a convaincu qu'ils avaient une maladie dont ils ne pouvaient que mourir, c'est que les traitements censés la guérir sont potentiellement destructeurs pour l'individu sain et plus encore malade, et surtout sont générateurs de profits extraordinaires. Cherche bien dans les actualités économiques et tu verras que le seul secteur à croissance à 2 chiffres c'est le créneau des industries pharmaceutiques. petard2.gif

Donc il apparait tout à fait cohérent que quelle que soit l'issue, l'important est d'avoir un vivier de client et de vendre un max. C'est du commerce, et le malade le justifie.

Petit à petit, face à ce commerce qui monopolise l'expression scientifique et aliène le libre choix des malades à choisir leur thérapie sans compter qu'il musèle toute information non commercialement correcte, des chercheurs indépendants publient des travaux la plupart du temps plus élaborés au niveau scientifique car à l'opposé du courant dominant, des anciens malades ne peuvent que trés peu s'exprimer pour raconter leur vécu et leur stratégies. Lis Nexus qui propose un panel interressant de ces visions. icon_cool.gif

Mais on sait également que si tu décides de faire un test, ces jours prochains, en couvant la grippe, par exemple, le résultats t'étiqueront séropositif. Si tu te souviens bien c'est pour ce test que Pasteur a sacrifié des milliers d'hémophiles dont on n'aurait jamais parlé si des familles de journalistes n'avaient été touchées. 3 - snifff.gif

Enfin, on parle d'activation de rétrovirus dans le déclenchement du SIDA. Les rétrovirus sont des structures qui sont encore mal définies et basées sur l'idée trés judéochrétienne que le mal sommeille en nous. Nous aurions des dizaines de rétrovirus chez nous. Autrement dit pas de panique si tu chopes pas le SIDA tu choperas autre chose. C'est coll, non? petard2.gif

L'approche qui me parait la plus saine, consiste à partir de soi, c'est à dire à savoir s'identifier (qui je suis) à savoir son cap (ou je vais) et à être prêt à le modifier si l'on ne se sens plus en accord avec. Tout le reste est basé sur la peur de l'extérieur, sur la peur de l'avenir, sur la peur de la vie qui a ce jour reste la seule maladie sexuellement transmissible véritablement mortelle.

Le jour ou tous les hommes seront en accord simplement avec eux-même, il n'y aura plus besoin des parasites sociaux que sont les thérapeutes.

à bientôt

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Nowar,

Remarque bien, que lorsque quelque chose te tracasse tu seras plus facilement irritable, et puis tu commenceras à choper un rhume etc. Ce constat là a été mis en application par le Prof Hamer, dans le traitement des cancers.

Bien sûr que les gens sont de plus en plus stressés et c'est tout à fait normal ; comment gérer les situations de divorces, les problèmes d'emplois, ou si il n'y a pas de problème d'emploi il y a le problème des 35H (faire le même travail en moins de temps avec toujours uniquement 2 bras et une tête), la fatigue des nombreux voyages professionnels... plus, plus, plus... biensûr qu'un être humain qui doit gérer tout ça à une vitesse grand V, et en plus doit faire le tout sans erreur, ne peut être que stressé et fatigué !

D'ailleurs, si tu regardes bien les formations professionnelles proposées aux salariés et gérants d'entreprises actuellement, tu trouveras entre autre dans la gamme des dernières formations mises sur le marché : la gestion du temps, la gestion du stress, apprendre à se connaître soit-même... et j'en passe...

Tu as aussi, pour essayer de rattraper ton repos, la fameuse thalasso !!!

Tous les moyens sont mis en place pour parer à ce stress.

Je conçois bien qu'une personne affaiblie physiquement et/ou moralement a toutes les chances de se déclarer elle-même une maladie.

Mais je pense néanmoins qu'il faut différencier les maladies dûes à un stress uniquement psychologique, et les maladies dûes à un élément extérieur.

Exemples de maladies dûes à un élément extérieur (stress extérieur) :

Prend le cas de l'amiante par exemple.

Pour les malades de l'amiante, le stress est dû à un élément extérieur, cet élément extérieur étant un produit nocif se trouvant dans les matériaux (entre autre charpente métallique il me semble) ; une personne en contact pendant des années avec ces matériaux nocifs a toutes les chances d'avoir une maladie au niveau des poumons, et cette maladie sera diagnostiquée en cancer.

Prend le cas d'un fumeur qui a un cancer au poumon, l'élément extérieur est quand même bien le tabac, même si tous les fumeurs ne développent pas de cancer au poumon.

Exemples de maladies dûes à un évènement psychologique (stress intérieur) :

sans tomber dans le cas d'un cancer, on trouve notamment dans cette catégorie tout ce qui est apparition de boutons de fièvre, certaines vérues, urticaire, maux de ventre...

Pour ces cas là, si le côté psychologique est vite stabilisé, ils ne tombent pas de surcroit dans un cancer, si le côté psychologique ne se stabilise pas, ils ont des chances que ça se transforme un jour ou l'autre en cancer.

Pour en revenir au SIDA, je ne saurais dire si on peut réellement parler de virus ou non, mais pour moi, il ne fait pas de doute que c'est un élément extérieur (virus, microbe, ou je ne sais quoi...) qui entre dans un corps par la voie sanguine, qui perturbe petit à petit les immunités jusqu'à épuisement de ces immunités, pour ensuite laisser place à tout développement de maladies très certainement cancéreuse.

Ca, ce n'est que mon avis qui n'engage que moi, et biensûr il est fortement intéressant d'entendre les avis de chacun, c'est en autre ma raison d'être sur ce Forum.

Et pour finir le p'tit conseil anti-stress du Sud, car on peut vraiment dire que les gens du sud ont une autre vie et le principal remède ici c'est l'E.P.O. : Eau, Pastis, Olives !!!! icon_biggrin.gif

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Salut bibi,

tu as raison, rien ne vaut l'EPO à ta façon.

Tu remarqueras que les jours ou tu petes la calamine tu peux croiser des dizaines de gens enrhumés sans rien attraper. les autres jours tu as des chances. Mais l'idée d'un système immunitaire qui s'affaiblit ne correspond en rien à la réalité physiologique. Ce merveilleux système est là pour te permettre de t'adapter à tout. Chaque fois qu'il est en contact avec un étranger, il le vire aprés lui avoir piqué ses codes pour pouvoir l'identifier la prochaine fois. Pendant ce travail là, ton corps réagit en chauffant, en produisant de l'énergie, généralement (la fièvre) ou localement (inflammation). Les globules blancs se gavent d'intrus et meurent. Il faut évacuer les cadavres de ce combat magnifique. C'est le pus, les glaires les mucosités diverses que l'on sort de partout. 4-horreur.gif

La plupart du temps, face à cette réaction de l'organisme, on te dit t'es malade, on va te traiter. Et on te donne des produits qui bloquent la fievre et l'élimination. Certains vont même décimer tes propres bactéries de ta faune locale dans la foulée. Outre la fatigue liée à cela, tu vas te retrouver fragilisé par ce combat et ce traitement. Comme l'intrus rode toujours dehors il va te retrouver exsangue et te sauter dessus. Ce coup là c'est toi qui perds. et là tu es vraiment malade, et pour longtemps. icon_redface.gif

Comme la santé publique vends ce type de traitements et te les appliques depuis ton enfance, comme à chaque cytoyen, n'oublie jamais que l'on ne parles par des survivants des épidémies. Eux ne rapportent rien

A bientôt

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  • 3 months later...

Une autre information qui pose toujours le problème de la transmission hétérosexuelle du SIDA en Afrique :

http://allafrica.com/stories/200303190482.html

où il est montré, en gros, que l'utilisation du préservatif a bien fait diminuer les maladies sexuellement transmissibles, mais pas la séropositivité au HIV, qui se moque bien (?? quelle intelligence pour un virus) des préservatifs.

Il est étonnant de constater que dans ce cas-là, comme toujours, on dit que l'étude faite par nos propres soins est mauvaise, qu'il faut la refaire dans d'autres conditions, alors qu'on est incapable de mettre en cause le "dogme" qui soutend l'étude.

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Oui, et j'avais lu qu'à l'inverse, dans certains pays occidentaux (la France, par exemple), depuis 1999, le nombre de séropositifs diminuaient, alors que les autres MST augmentaient. Très logique. D'ailleurs, à l'inverse, à la fin des années 80, en France et dans d'autres pays occidentaux, certaines MST diminuaient ou stagnaient, alors que le nombre de séropositifs augmentaient. Va comprendre Charles...

D'ailleurs, puisque on parle de microbes qui tuent à long terme et des autres MST, intéressons nous à un soi-disant microbe (une bactérie) qui tue à long terme et qui est une MST : la syphilis. Voilà une bactérie qui est sensée tuer au bout de 20 ans.

Un microbe qui tue à long terme, quand on y réfléchit, c'est quand même très bizarre. Voilà un organisme ultra simple, qui se divise à toute vitesse sans connaitre de pose. Donc, toutes les maladies à microbe devraient être d'issus rapide (létale ou non). Mais non ! Sur certaines maladies, on nous dit que le microbe fait une pose, ou alors que c'est l'organisme qui réussit à contenir le microbe pendant longtemps, puis, au bout d'un certain temps, craque (sans qu'on sache pourquoi). Quand on a vu que le VIH, c'était bidon, on est conduit à se dire que ces histoires de microbes qui tuent à long terme, qui sont déjà éminemment suspect à priori, sont complètement bidons. D'ailleurs, Stefan Lanka affirme que toutes les hépatites (encore des maladies microbiennes à long terme), ne viennent pas de virus, mais d'empoisonnement et du mode de vie, comme pour le VIH. Ce qui confirme le très gros doute qu'on commençait à avoir vis à vis des ces maladies microbiennes à long terme. Après avoir réglé le cas du VIH et des hépatites, la porte est donc grande ouverte pour la remise en cause d'autres maladies microbiennes à long terme.

Observons donc de plus près la syphilis.

Regardons d'abord les symptomes. On est face à une maladie aux symptomes peu particuliers à la syphilis dès qu'on a passé le stade des manifestations primaires et secondaire, qui, en fait, ne sont pas forcément non plus très particulières à la maladie (des éruptions cutanées, on en retrouve ailleurs et des chancres, on en retrouve aussi dans pas mal d'autres infections : herpes, chancre mou, etc... et même quand il n'y a pas d'infection). La maladie se manifeste en premier lieu par un chancre sur le sexe ou les lèvres, puis, au stade secondaire, par une éruption cutanée sur tout le corps. Ensuite, seulement 1/3 des personnes ayant subis le stade secondaire passeront au stade latent. Et parmi ces personnes au stade latent, seules 1/3 d'entre elles développeront une affection, c'est à dire, passeront au stade tertiaire. Donc, seulement 1/6 risqueront vraiment leur vie, c'est à dire 16 %. Et, durant ce stade tertiaire qui les touchera 20 ans après, auront-elle des signes cliniques très particuliers à la maladie ? Eh bien non. Ils seront affectés de cardiopathie, démence, cécité et paralysie. Ce sont des affections qu'on peut retrouver ailleurs. Quelqu'un qui a une éruption cutanée à 30 ans et qui meure d'une crise cardiaque à 55 ans, quoi de plus banal ? Mais, on dira que c'est la syphilis. De plus, j'ai lu que seulement 20 % des personnes ayant atteint le stade tertiaire mourront en l'absence de traitement (mais, est-ce que ce chiffre ne reprenait pas le 1/3 ? à voir). 20 % de 16 %, ça ne fait pas lourd : 3,2 %.

Regardons maintenant les chiffres de l'épidémiologie. Déjà, O surprise (enfin, surprise qui confirme plutot parfaitement ce qu'on peut penser de ce genre de maladies à long terme), on s'aperçoit que, loin d'être une maladie répandue, c'est une maladie très rare et même déclarée exceptionnelle depuis la fin des années 80 en France. Hélas, ça n'est plus une maladie à déclaration obligatoire depuis la fin des années 80 en France. On n'a donc pas de chiffre global pour la France depuis 1990 (mais un chiffre de 148 cas pour Paris en 2003, qui est LA zone ou on doit retrouver le plus de cas, ce qui n'augure pas d'un chiffre beaucoup plus élevé que 300 cas pour toute la France). Par contre en Angleterre, j'ai lu qu'on avait recensé que 132 cas en 1995. Pour un pays de 58 millions d'habitants, c'est presqu'une maladie orpheline. En 2000, pour l'angleterre, encore seulement 326 cas. Comment une MST si contagieuse peut-elle n'affecter que 132 personnes dans un pays de 58 millions d'habitants ? Mystère. Surtout que les 132 personnes en question, pour avoir réussi à être atteintes de la syphilis, devraient être de véritable lapins. Et donc, être du genre à transmettre la maladie à au moins des centaines d'autres personnes qui iraient en contaminer des millier d'autres. A moins que ce ne soit pas la maladie bactérienne qu'on croit, mais une maladie de la pauvreté ou du style de vie (alimentation, empoisonnement, drogues récréactives). Comme par hasard, l'OMS déclare que la majorité des cas se trouvent dans les pays d'Asie et d'Afrique subsaharienne (12 millions en 1995). Là ou il y a le plus de pauvres et aussi.... là ou c'est le plus difficile de vérifier les dire de l'OMS.

Bref, ce que je crois de plus en plus, c'est qu'il n'y a pas plus de syphilis que de VIH ou d'hépatite. Et je ne crois plus non plus aux MST en général. A mon avis, on peut avoir des rapports sans préservatif sans risquer quoi que ce soit.

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Invité tchargal
Bref, ce que je crois de plus en plus, c'est qu'il n'y a pas plus de syphilis que de VIH ou d'hépatite. Et je ne crois plus non plus aux MST en général. A mon avis, on peut avoir des rapports sans préservatif sans risquer quoi que ce soit.

Et les ravages des MST jusqu'au 19e siècle sont une vue de l'esprit ?

Que la pauvreté via l'insalubrité soit une cause de maladie, je veux bien, mais de là à nier la réalité des maladies, il y a un fossé que je ne saurai franchir.

Quelles sont donc vos références pour pouvoir affirmer si peremptoirement que "on peut avoir des rapports sans préservatif sans risquer quoi que ce soit."

Puis-je avoir vos coordonnées afin de pouvoir venir me plaindre si d'aventure, en suivant vos conseils, je m'attrape une de ces maladies qui n'existe pas ? Merci icon_confused.gif

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Oui, je pense que c'est une vue de l'esprit. Je pense que c'était les conditions de vie qu'il fallait mettre en cause.

Quand à venir se plaindre de mes conseils, c'est tout le problème de la responsabilité du conseil. Beaucoup de conseils peuvent être dangereux. Est-ce une raison pour se taire quand on pense quelque chose ? Est-ce qu'on est responsable du conseil qu'on donne ? On peut penser que oui, on peut penser que non.

Moi, je pense que non. Quand je suis les conseils de quelqu'un et qu'ils se révèlent mauvais, je ne viens jamais me plaindre après. Parce que je considère que je suis un grand gaçon et que c'est moi qui ai été bête de les suivre et de ne pas voir leur fausseté. A l'inverse et logiquement, je ne me considère pas responsable des actions que les autres ont faites à cause de mes avis. La mentalité d'assisté mental qui consiste à dire "je suis votre conseil, mais, si ça ne marche pas, c'est vous qui serez responsable" ça n'est pas mon truc, ni d'un coté (quand je peux en bénéficier après coup), ni de l'autre (quand ça peut me retomber sur les doigts). Donc, je pense que non, on n'est pas responsable des conseils que l'on donne et on ne doit pas se taire même s'ils peuvent s'avérer dangereux.

Bref, à toi, Tchargal, de prendre tes responsabilités.

PS : un exemple pratique. J'ai changé de régime alimentaire (vers un régime très frugivore) en lisant des sites végétarien. S'il se révélait que ce régime était mauvais (mais, jusque là, il s'est révélé au contraire, très bon), jamais je n'irais me plaindre auprès des sites qui conseillent le régime frugivore.

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Invité tchargal

Sans vouloir vous faire dire ce que vous n'avez pas dit, mais en poussant à l'extrème votre raisonnement, nous en arrivons à ceci :

- T'as qu'a crever, t'es un vrai c.. de m'avoir écouté 4-bravo.gif

C'est ce qui s'appelle avoir une morale sacrément élastique icon_confused.gif

Et quant à traiter "d'assisté mental" le pauvre gus qui, confronté à un choix, aura opté pour votre point de vue, je trouve vraiment celà assez bas. Dans la vie, assumer ses paroles, me semble être un minimum du point de vue de la morale.

Je me fiche du tiers comme du quart que vous utilisiez des préservatifs ou non,que vous soyez frugivore ou insectivore, mais il y a (au risque de me répéter) sur ce forum de nombreux jeunes et ados. Leur assurer que le préservatif est totalement inutile est un acte que je qualifierai de criminel et ne vous en déplaise vous en portez l'entière responsabilité.

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Invité Paracelse

Je crois qu'il faut faire la différence entre "conseiller" et "inciter".

Les conseilleurs ne sont pas les payeurs, et toute la difficulté consiste a ne pas faire passer son point de vue comme étant le meilleur ou la vérité.

Ensuite, si le conseil vient d'un ami, ca n'est pas la meme chose que si ca vient d'un médecin. Le médecin n'est pas un vrai conseilleur puisqu'il est sensé connaitre mieux que nous, et il est responsable de ce qu'il conseil.

Personnellement, en tant que médecin, je trouve aussi que le SIDA se comporte très bizarrement, et que la façon de le diagnostiquer est très particulière, c'est unique en infectiologie.

Evidemment, j'explique que le port du préservatif est indispensable pour tout rapport sexuel ne faisant pas partie d'une relation longue-durée. (Je préfère le préciser).

Je ne me sens pas responsable des conseils que je donne a mes amis médecins, car je leur dis seulement ce que moi je ferais probablement si j'étais dans la même situation. Et si je demande un conseil, c'est pour avoir un avis différent du mien, je prend ma décision tout seul. Je ne vais pas repprocher à quelqu'un de m'avoir donné un mauvais conseil alors que l'ai sollicité.

Je vais également répondre pour la syphilis: le treponeme pale, qui est la bacterie responsable de la syphilis, est détruit facilement par la penicilline. Aujourd'hui, l'utilisation de la penicilline est si courante, que la syphilis ne pourrait pas se répandre. A la moindre fièvre, les gens exigent des antibiotiques, meme pour des rhumes, et il est difficile de resister à la pression.

Je trouve donc normal que la syphilis ne se répande pas, étant donné la couverture antibiotique de la population. Surtout que les gens ayant le niveau de vie le plus bas, et donc les plus exposés, car les moins informés, sont les plus gros consommateurs de soins médicaux et de médicaments, en tout cas c'est ce que je constate.

Paracelse

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